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LES ENNEMIS INTERIEURS ET EXTERIEURS DE L'EGLISE

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LES ENNEMIS INTERIEURS ET EXTERIEURS DE L'EGLISE Empty LES ENNEMIS INTERIEURS ET EXTERIEURS DE L'EGLISE

Message par Hervé J. VOLTO Jeu 23 Mai 2019 - 13:39

Les Français sont aujourd'hui appellés à choisir : avec le Christ ou contre le Christ.

La République en France, c'est le règne de l'étranger. L'esprit républicain désorganise la défense nationale et favorise des influences religieuse directement hostile au Catholicisme traditionnel. Il faut rendre à la France un régime qui soit Français.

Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique il défend le principe d'expension-évangélisation, dont Léon XIII reprendra l'idée: tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien: mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est, enfin, face à la masse l'affirmation de la personne.

Il inspire en France le Légitimisme et les néo-Légitimismes que sont le Parmisme, le Survivantisme et le Providentialisme, et à l'étranger le Carlisme espagnol, le Miguélisme portugais, le Né-Bourbonnisme napolitain, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme hongrois et le Monarchisme polonnais. Comme aussi le Royalisme hiérosolymite, le Roi de France étant aussi Roi de Jérusalem : nous avons des amis en Terre Sainte, très impliqués dans la défense des Chrétiens d'Orient.

-Quand on songe, disait saint Pie X, à tout ce qu’il a fallu de forces, de science, de vertus surnaturelles pour établir la cité Chrétienne, et aux souffrances de millions de martyrs, et aux lumières des Pères et des Docteurs de l’Église, et au dévouement de tous les héros de la Charité, et une puissante hiérarchie née du Ciel, et des fleuves de grâce Divine, et le tout édifié, relié, compénétré par la Vie et l’Esprit de Jésus-Christ, la Sagesse de Dieu, le Verbe fait homme, on ne s’étonne pas qu’une telle œuvre fût l’objet constant d’une opposition satanique.

L’œuvre de civilisation et de concorde internationale conduite par l’Église fut en effet freinée, empêchée et combattue par quatre grands obstacles :

1. Le Grand Schisme d'Orient (1054) lui ferma longtemps la Méditerranée et les routes directes de l'évangélisation vers l'Asie et l'Afrique. L'expansion de l'islam survenant, en conséquence et châtiment de nos divisions et trahisons Chrétiennes, le Proche-Orient demeure un verrou fermé à notre civilisation et une poudrière. Ah, si les Croisés avaient réussi à se maintenir en Terr Sainte ! S'ils avaient rencontré à Byzance l'amitié au lieu de la perfidie, le secours au lieu de la trahison!

2. Le protestantisme (1517), plus gravement encore, a dressé des nations Chrétiennes en rivales et en ennemies irréductibles des nations Catholiques, et d'autant plus mortellement que les États protestants se livrèrent au XVIII° siècle à la judéo-maçonnerie, ennemie absolue de la Chrétienté. Depuis cette cassure du monde Chrétien en agrégats irréconciliables, l’Europe connaîtra une succession de guerres civiles européennes -en France, ce furent les Guerres de Religion- toujours suscitées contre Rome et contre les nations Catholiques, jusqu’à l’édification d’une communauté européenne, désormais émancipée de la Loi du Christ, censée apportée la paix et la prospérité ! En outre, c’en est fini de la Croisade, c'est-à-dire de notre capacité de faire défense commune contre la menace barbare.

3. La Révolution Française (1789) a porté le troisième coup à l'œuvre de paix séculaire de l'Église, en livrant les nations Catholiques et Royales ou Impériales elles-mêmes à leur mortelle ennemie, l'alliance judéo-maçonnique universelle, par le truchement de gouvernements républicains destructeurs de l’ordre traditionnel, imposés par la mécanique démocratique.

4. Enfin, la Révolution conciliaire de Vatican II, en prétendant réconcilier l’Église et le monde moderne, a réduit l’Église au rang de Mouvement d’Animation Spirituelle de la Démocratie Universelle, ennemie des États encore ouvertement Catholiques, et qui prétend établir l'oeucuménisme avec des religons fondamentalement non-Chrétiennes. L’Église du MASDU se flatte d’être reconnue par les États et les organisations internationales, mais ses interventions moralisatrices n’ont d’autre efficacité que celle consentie par les puissances qui les contrôlent... pour la destruction des dernier bastion de Chrétienté.

Les principes révolutionnaires étant partout répandus, y compris donc dans l’enseignement du Magistère authentique de l’Église, il est de première nécessité de bien les comprendre et de les réfuter.

Pour Etienne Couvert [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , la gnose est un savoir, elle est la connaissance, la connaissance originelle: elle est LA science suprême dont, disent ses adpetes, sont issues toutes les religions et croyances. La gnose est un panthéisme, influencé par la philosophie de Platon, qui fait de l'homme et de l'univers une émanation du "grand tout" Divin. Le gnostique ne "croit" pas, car pour lui la Foi est inférieur à la connaissance. Il est un ésotériste qui "sait" parce qu'il est initié. Il ne croit pas, il sait. C'est par la révélation de la connaissance qu'il est sauvé. Pour lui, Jésus-Christ n'est ni l'homme ni Dieu, mais un intermédiaire.

Or, remarque encore Etienne Couvert :

-Elle (la gnose) est à la source des grandes hérésies, elle a contaminé tous les courants intellectuels, la Renaissance, le romanitsme, le marxisme, le nazisme, l'humanisme, etc...

Plus grave encore, Etienne Couvert l'établit de façon très nette:

-La gnose campe aux lisières de la tradition Catholique, si elle ne l'a pas déjà pénétré.

La pensée moderniste est imprégnée de la gnose, cette volonté de syncrétisme qui va de pair avec la volonté de réaliser le mondialisme. Vraiment, la religion du Serpent est en train de se substituer à celle de Jésus-Christ. Le Nouvel Age en est la forme la plus achevée.

Cette volonté de faire disparaître l'enseignement de N.S. Jésus-Christ avait été manifestée par Karl Marx lorsqu'il écrivait, en 1944:

-La détresse religieuse est pour une part l'expression de la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, la chaleur d'un monde sans coeur (...). Elle est l'opium du peuple.

Le Nouvel Age profite des destructions du marxisme pour s'élever suse ses décombres. MAIS SANS S'OPPOSER A LUI !

Il n'y pas que lui, d'ailleurs. Et c'est pourquoi Bertrand Russel (1872-1070) fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Russell écrovait en 1921:

-Parmi les religions, le bolchévisme doit être rattaché plutôt à la religion de Mahomet qu'au Christianisme et qu'au bouddhisme. Le Christianisme et le bouddhisme sont, en principe, des religions personnellles, avec des doctrines mystiques et un Amour de la contemplation. La religon de Mahomet et le bolchévisme sont des religions pratiques, sociales, non spirituelles et soucieuses de gagner l'empire du monde. Leurs fondateurs n'auraient pas résisté à la troisième des tentations dans le désert. Ce que le religon mahométanne a fait pour les arabes, le bolchévisme peut le faire pour le russes et a voulu le faire dans le monde entier.

Et se rend-t-on bien compte de l'importance destrucrice de la révolution culturelle, à l'extérieur et à l'intérieur de la société, de l'Eglise de l'école? Souvenons-nous de ce qu' a écrit André Breton (1896–1966), le pape du surréalisme, dans La clé des champs (1952):

-Le pacte surréaliste est triple : aider dans toute la mesure du possible, à la libération sociale de l'homme, travailler sans répit au désencroutement intégral des moeurs, refaire l'entendement humain...

1. Le Royaliste, parecque Catholique et Français, ne pactise donc pas avec l'impiété de ceux qui reconnaissent l'existence de Dieu mais prétendent ne point se soumettre à sa loi et refusent de lui rendre un culte. Venant de chrétiens qui ont abandonné leur foi, il considère leur apostasie comme un crime.

2. Il n'admet pas l'athéisme, ni individuel, ni collectif, ni étatique. Il y voit une monstruosité d'intelligences dépravées et rebelles à laquelle il s'oppose ouvertement, fût-ce au péril de sa vie. Il n'accepte aucune collaboration, sinon tout extérieure, avec les athées. Il considère comme une contrainte odieuse et injuste toute soumission due à des patrons, des chefs, des gouvernements athées. Il combat toutes les organisations athéistes à prétentions scientifique, philosophique, morale, culturelle ou écologique. Il sait que, sans Dieu, les hommes ne peuvent construire que des Tours de Babel vouées à la ruine.

3. Il récuse l'agnosticisme moderne et rejette le criticisme kantien qui en est la prétendue justification théorique. S'il admet l'incertitude de l'agnostique, comme une infirmité ou une maladie de l'intelligence individuelle, il conteste toute valeur aux épistémologies positiviste et idéaliste qui en paraissent le fondement. L'agnosticisme est une régression spirituelle, un mal moral et aujourd'hui un fléau social universel.

Le Royaliste manifestera en toute occasion sa détestation du kantisme et de l'hégélianisme; il démontrera la fausseté de ces philosophies, l'inanité des morales qui s'y ajoutent; il combattra l'engouement stupide des modernes pour cette pensée allemande, toute de vaine dialectique à prétention idéaliste ou matérialiste, qui a provoqué la ruine mentale et morale, politique et sociale de l'Occident. Il lui opposera, pour la régénération de la civilisation, la Philosophia perennis d'Aristote et de Saint Thomas d'Aquin. Sa théorie de la connaissance, d'un réalisme et d'un intellectualisme équilibrés, répond seule aux erreurs contradictoires du nominalisme, du rationalisme ou de l'empirisme exclusif. Sa philosophie des natures, loin de tout monisme matérialiste ou panthéiste, distingue avec sûreté la hiérarchie des êtres, des infimes minéraux jusqu'aux vivants supérieurs et jusqu'aux purs esprits, situant l'homme à la jonction des deux mondes. Codification du sens commun, cette philosophie est aussi le fondement et l'arbitre des sciences, physiques, biologiques et humaines comme aussi des mathématiques.

4. Le Royaliste reconnaîtra toutefois qu'un progrès est possible, même dans ce domaine le plus élevé de la spéculation transphysique. La pensée occidentale est longtemps demeurée trop prisonnière de l'idéalisme de Platon et du substantialisme d'Aristote, négligeant par trop la valeur des individus concrets et l'importance de leur destin particulier aussi bien que de leur histoire universelle. Avec cette conséquence funeste de proposer comme sujet de la science morale l'homme abstrait, la “ personne humaine ”, substance indépendante et autonome en face de Dieu, bientôt rivale de Dieu et se rendant un culte à elle-même.
Il trouvera, au contraire, dans la relation d'origine de toute créature individuelle à JESUS qui en est la source, la raison première et dernière de son existence, de son destin, de sa valeur. Il s'émerveillera, au sujet de toute personne humaine, si chétive soit-elle apparemment, que par sa relation unique à Dieu et à l'humanité qui l'ont concurremment appelée à être, elle soit riche tout à la fois d'un destin historique et d'une immortalité qui font toute sa grandeur dans le monde et devant Dieu.

5. Dans le faisceau de ses relations constitutives et historiques à ses parents, à sa patrie et au monde, le phalangiste saura reconnaître l'intention paternelle de JESUS, son Créateur, qui lui montre ainsi sa vocation la plus personnelle. Dans la fidélité pleine d'amour aux liens qui le définissent, comme dans sa libre générosité, créatrice de nouvelles relations, procréatrice de nouvelles vies, il donnera toute sa mesure, ne se rendant pas un culte à lui-même, impie et anarchique, mais servant la convivialité des créatures et leur communion avec Dieu. Telle est pour le Royaliste la vraie dignité et valeur de chaque personne humaine, participant ainsi par son service de ses proches au grand dessein de vie et d'amour de JESUS.

Tant que dans le monde Dieu ne sera pas connu, adoré, aimé, servi et glorifié, l'humanité errera malheureusement à la recherche de son âme, de son centre, de son essentiel.

En face, toutes les encycliques dénoncent avec une constance jamais démentie, l'ennemi extérieur qui cherche à ruiner l'héritage Français et Chrétien, et il s'appelle aussi le libéralisme, le socialisme, le communisme, la franc-maçonnerie, le laïcisme, le judaîsme, l'islamisme, etc... et à l'intérieur ce sont les Catholiques modernistes qui, petit à petit, font le lit du communisme.

Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ (1 Jean 2:22) ?

Pour tout homme éclairé, la Bible forme un tout dont les deux parties se répondent l'une à l'autre. Elles sont indissociables. L'une est la préparation, l'autre l'accomplissement de l'œuvre divino-humaine qui se poursuit dès lors jusqu'à la fin du monde et doit s'étendre jusqu'aux extrémités de la terre.

Le Royaliste ne peut donc considérer le judaïsme actuel comme une vraie religion, une alliance de salut, non pas même comme l'héritage de l'Israël ancien et de l'alliance mosaïque. La Synagogue a rompu cette alliance en ne voulant pas reconnaître son accomplissement dans le Christ. Et elle a été dépouillée des promesses en crucifiant son messie, son sauveur, race déicide s'attirant la malédiction. Le judaïsme actuel, déformation perfide de la religion ancienne, n'a donc ni vérité, ni grâce, ni authenticité. Au contraire, il s'est constitué en ennemi de Dieu et de son Église, l'Israël spirituel, par l'élaboration de la Mishna et du Talmud, écrits rabbiniques dont l'inspiration est passionnément hostile à l'Évangile du Christ.

Aujourd'hui frère ennemi du judaïsme, dont il fut à l'origine une tentative de réforme « prophétique » et « sapientiale », l'Islam en est venu à pratiquer contre lui des violences injustifiables. Mais il partage avec lui la volonté d'exterminer les peuples chrétiens par la Guerre Sainte ou de les dominer par la force et par la ruse. C'est ainsi qu'il se trouve en accord constant avec tous les courants révolutionnaires hostiles à notre civilisation, actuellement avec le communisme.

L'islam n'a aucun rapport avec la révélation Divine. Qui peut venir après le Christ sinon l'Antichrit (matthieu 24:4; Matthieu 24:11; Matthieu 24:24)? L'homme impie, l'Etre Perdu, l'Adversaire, celui qui s'élève au-dessus de toiut ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte, allant jusqu'à s'assoir dans le sanctuaire de Dieu, se produisant lui-même comme Dieu (2 Théssaloniciens 2:3-4), reniant la Divinité du Christ (1 Jean 18-23). La Révélation a parfaitement été accomplie en Jésus-Christ, en sorte qu'est maudit celui qui vint après le Christ délivrer un autre Message (Galates 1:8-9).

D'ailleurs, rappellons l'apostrophe du communiste Florimond Bonte (1890-1977) fr.wikipedia.org/wiki/Florimond_Bonte , à Lile le 10 Avril 1927:

-Quand à vous, Démocrates-Chrétiens, nous ne vous combattons pas. Vous nous êtes trops utiles. Si vous vous voulez savoir quelle besogne vous accomplissez, regadez-moi. Je sors de chez vous. Avant la guerre, j'étais l'un des vôtres. Depuis, je suis allé jusqu'à la conclusion logique des principes que vous m'avaez enseignés. Grâce à vous, le communisme pénètre là où vous ne laisseriez pas entrer ses hommes: dans vos écoles, vos patronages, vos cercles d'études et vos syndicats. Donnez-vous beaucoups de peine. Tout ce que vous ferez pour nous, c'est pour la révolution communiste que vous le ferez...

En 1932, c'est la fondation de la revue Esprit, par Emmanuel Mounier (1905-1950) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , et aux Etats-Unis du Catholic Worker. De ce moment date une formidable confusion générale. Jacques Maritain (1882-1973) fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Maritain nous parle des bienfaits (!) de la conivence avec "l'esprit moderne, ce qui nous inclinera évidamment à juger que cet esprit n'est pas si mauvais qu'on le dit".

Mounier affirme clairement que l'avenir passe par le communisme.

L'Aube de 1933 publie des articlesouvertement favorables au régime soviétique. Le signataire de ces articles procommunistes est d'ailluers collaborateur régulier du Populaire et directeur de la revue Terre nouvelle, également philocommuniste.

La Coix, aux côtés de Esprit, passera de "Droite" à "Gauche" entre 1932 et 1933.

Gustavo Corção fr.wikipedia.org/wiki/Gustavo_Corção rappelle d'ailleurs que, déjà le 13 mai 1931, La Croix imprimait ce titre fabuleux:

-La populace à Madrid a incindié des couvents. Gardons-noud pourtant des jugemnets actifs...

Ben voyons! Il vaux mieux se hâter... pas trops lenement vers le camps communiste !

Pour terminer, en 1936, la Ligue de la Jeune République, fondée par Marc Sangnier (1873-1950) fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Sangnier en 1911, participe au Front Populaire. C'est le plus grand sacndale de ce siècle, le mariage adultaire de Catholiques avec des communistes! C'est le catho-communisme cher à nos cousins transalpin, incarné chez nous par Mrg Gayot fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Gaillot . Ainsi, avec ces manoeuvres occultes dont nous avons fait état, l'influence de la gnose et de la franc-maçonnerie sur l'Eglise, le complot mondialiste -dernier avatar du totalitarisme- ainsi que la pénétration du monde Catholique par le communisme, nous constatons une continuité de phénomène qui, depuis la Renaissance, l'humanisme et la Réfrome, la Révoution dite Française, écarte progressivement de Dieu toute une civilisation, avec la complicité d'un clergé infiltré.

C'est le III° Secret de Fatima.

-L'enfer existe parce qu'il est fait de passions humaines qui grandissent oar absence de paix et d'Amour Divin et deviennent des centres de haine sans fin, de guerre et de mort (Docteur Luigi Gaspari).

Qu'on se le dise: Banque du Vatican, scandales dans le clergé, corruption au sein du gouvernement pontifical, menaces de morts : Sa Sainteté Benoit XVI a démissionné aussi parce qu'il n'y a plus un nouveau Charlemagne pour faire une descente à Rome le sauver...

Le Roi, vite !!!

Dans l'attente de la Restauration du Roi que Dieu choisira de nous donner, le Royaliste, parce que Catholique et Français, dénoncera le racisme, religieux et parfois même athée, et l'ambition charnelle du judaïsme comme l'inversion la plus redoutable de l'esprit prophétique ancien, racisme orgueilleux, impérialisme cupide qui mettent constamment en péril la civilisation et la paix du monde. Ce contre quoi la Chrétienté doit se défendre. Pariellement, le Royaliste ne reconnaîtra aucun intérêt, aucune valeur, aucun droit à cette religion guerrière et expensioniste qu'est l'islam; il ne préconisera aucune entente ou collaboration avec elle.

Tout protestantisme, pentecôtisme, illuminisme, est absolument repoussé par le Royalisme comme le « péché contre l'Esprit » dont on ne revient pas, parce qu'il est l'égarement majeur de la foi. Et c'est pourquoi le Royalisnme se méfie de toute poussée « charismatique » dans l'Église. Le Royaliste redoute et déteste le schisme qui est une révolte contre l'autorité divine et hiérarchique de l'Église romaine, une rupture de charité fraternelle sans qu'aucun motif puisse le justifier, car il va à l'encontre de l'unité et de la Catholicité, dons de l'Esprit-Saint. De même il abhorre et fuit toute innovation et toute altération de la foi qui, par une révolte opiniâtre contre le magistère infaillible, mènent à l'hérésie, blessant la sainteté et l'apostolicité, dons de l'Esprit-Saint.

Il démasquera cette hérésie majeure dans le modernisme qui, avec perfidie, accorde au « Christ de la Foi », personnage inconsistant, création de l'expérience intime, du sentiment individuel, tous les titres que l'Église reconnaît à Notre-Seigneur Jésus-Christ Fils de Dieu, mais les refuse au nom de la raison et de la science critique au « Jésus de l'histoire ».

Gagnés au grand principe maçonnique de la tolérance, les libéraux jugent dès lors notre foi, sûre d'elle-même et de sa vérité, d'un intégrisme insupportable, d'un fanatisme, d'une étroitesse d'esprit et de cœur dignes de condamnation et d'exclusion. C'est ainsi que ces apôtres de la tolérance se muent en dénonciateurs, en calomniateurs, en inquisiteurs et persécuteurs de leurs frères qu'ils veulent bannir de l'Église ou reléguer en quelque retraite perdue, terreau de l'isalmisme, pour que règnent enfin la charité avec la liberté !

Mais face à la violence sournoise qui s'exerce partout, contre l'âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son Histoire, contre la sécurité et l'honneur de la France, nous, Royalistes, nous devons opposer sans relache nos Valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques, AGISSANT COMME SI TOUT DEPENDAIT DE NOUS TOUT EN PRIANT COMME SI TOUT DEPENDAIT DE DIEU !


 
Hervé J. VOLTO, CJA



A lire : François-Marie Algould, Notre avenir est dans le passé (Ed. de Chiré).
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A paraître : Le socialo-écolo-communisme.

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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