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LE MESSAGE DE LA RUE DU BAC - Par le Grand Monarque à venir, rendre au Divin Christ-Roi la Couronne perdue en 1830

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LE MESSAGE DE LA RUE DU BAC - Par le Grand Monarque à venir, rendre au Divin Christ-Roi la Couronne perdue en 1830 Empty LE MESSAGE DE LA RUE DU BAC - Par le Grand Monarque à venir, rendre au Divin Christ-Roi la Couronne perdue en 1830

Message par Hervé J. VOLTO Mer 28 Aoû 2019 - 16:22


1830 . Le ciel est descendu sur la Terre. Un Roi est tombé mais une médaille a été donnée. La médaille, réalisée en 1832, va connaître une expansion fulgurante. Elle se répand aux Etats-Unis (1836) en Pologne (1837), en Chine, en Russie (1838). Dix ans après les apparitions, elle est diffusée à plus de dix millions d’exemplaires.


- Les Rois de France, jusqu'aux derniers Bourbons, furent toujours les vrais Lieutenants du Christ-Roi. Nous savons des apparitions de la Rue du Bac que Jésus avait perdu la Couronne de France quand Charles X fut détrôné. Catherine Labouré en effet, trois jours avant la chute de Charles X, vit le Christ qui perdait la couronne de Roi . Tout cela démontre l'intérêt du Christ pour sa France, pour Sa douce France, dont Il veut qu'elle soit le Royaume de l'Amour, qui de la France doit s'étendre à toute l'Europe unie . Pour quelle raison le Christ-Roi et Marie-Reine ont-ils tant aimé la France ? Parce que la France devait être à perpétuité la patrie de la Royauté, comme l'Italie devait être celle de la sacerdotalité . ( Dr Luigi Gaspari lors de sa conférence faite à Paris le 31 Octobre 1992).


Catherine naquit dans un petit village de Bourgogne, à Fain-les Moutiers (21500), huitième d’une famille de dix enfants. Elle a 9 ans quand meurt sa mère le 9 octobre 1815 et elle est recueillie, avec l’une de ses sœurs, par une tante à Saint-Rémy, non loin de Fain. En janvier 1818, elle revient à la ferme natale, rendant ainsi possible l’entrée de sa sœur Marie-Louise chez les Sœurs de la Charité à Langres.


A 12 ans, elle assume le rôle de la mère de famille, de fermière et de maîtresse de maison. Elle commande aux serviteurs et à la servante. Son domaine, c’est le fournil, le verger, l’étable, le poulailler et le colombier. La première, elle se lève avant l’aurore, prépare les repas qu’emportent les ouvriers aux champs, assure la traite des vaches et conduit le troupeau à l’abreuvoir communal. Elle prend soin de son jeune frère infirme et veille au bien-être de son père quand il revient des champs ou du marché de Montbard (21500).


Et chaque jour Catherine se rend à l’église pour prier, dans la chapelle de la Vierge restaurée par la famille Labouré. Depuis la Révolution, l’église est sans prêtre, le tabernacle est vide. Catherine ne se contente pas de prier. Elle visite les malades, secourt les pauvres. Elle sent que Dieu l’appelle, mais elle ne sait ni où ni comment.


De 1824 à 1826, elle suit des études chez une cousine qui tient un penssionat. sans prêtre, le tabernacle est vide.Puis, devenue adolescente, elle désire comme sa sœur aînée Marie-Louise entrer chez les Filles de la Charité à la suite d'un rêve la faisant rencontrer un vieux prêtre qui l'encourage dans cette voie.


Elle est confirmée dans sa décision de devenir religieuse lorsqu'elle découvre dans la maison des Sœurs de la charité à Châtillon-sur-Seine un tableau de Saint Vincent de Paul, qui a fondé cet ordre, en qui elle reconnaît le vieux prêtre. Son père qui désire la marier et la détourner de ce choix, l'envoie travailler à Paris, où un de ses frères tient une cantine pour ouvrier. Elle y découvre la misère du peuple, ce qui l'incite d'autant plus, à 18 ans, à entrer chez les religieuses de Saint Vincent de Paul.


Après trois mois de discernement à la maison des Sœurs de la charité à Châtillon-sur-Seine, elle commence son noviciat le 21 avril 1830 à la maison-mère située Rue du Bac, à Paris. Le 6 juin, jour de la Sainte Trinité, Catherine a une vision inquiétante :


- Notre Seigneur m’apparut comme un Roi, avec la Croix sur sa poitrine… Subitement tout a coulé à terre .


Catherine se confie encore au Père Aladel. Selon la vision, UNE COURONNE ORNAIT LE FRONT DE N.S. JESUS-CHRIST, UNE GRANDE CROIX PECTORALE PENDAIT A SON COU, UN SCEPTRE ET UN GLOBE SURMONTE D'UNE CROIX ETAIENT DANS ES MAINS. JESUS SEMBLE ALORS PERDRE SES ATTRIBUS ROYAUX : LA CROIX PECTORRALE SE DETACHE DE SON COU ET TOMBE A TERRE, LA COURONNE GLISSE DE COTE ET LUI TOMBE DE LA TETE, ET IL LACHE LE SCEPTRE ET LE GLOBE AVEC LA CROIX QUI TOMBENT EUX-AUSSI A TERRE . Pas d’écho.


Catherine a vu M. Vincent, elle a vu Notre Seigneur…mais elle n’a pas vu la Sainte Vierge. Son désir va être comblé. Trois apparitions vont se succéder : le soir du 18 juillet, le 27 novembre et un jour de décembre 1830.


Au soir du 18 juillet 1830, c'est Sœur Marthe qui donne l'instruction au séminaire et au Couvent de la Rue du Bac. C'est la veille de la fête de Monsieur Vincent. Elle évoque chaleureusement la piété du fondateur envers la Vierge Marie. Catherine boit ses paroles. Et la voilà emportée par un nouvel élan :


- Je me suis couchée avec la pensée que, cette même nuit, je verrais ma Bonne Mère. il y avait si longtemps que je désirais la voir !


Et c'est ce qui arrive :


- Enfin, à 11 heures et demie du soir, je m'entendis appeler par mon nom : “ Ma sœur, ma sœur !” M'éveillant, j'ai regardé du côté où j'entendais la voix qui était du côté du passage. Je tire le rideau. Je vois un enfant habillé de blanc, âgé à peu près de quatre à cinq ans, qui me dit : “ Levez-vous en diligence et venez à la chapelle, la Sainte Vierge vous attend !” Aussitôt la pensée me vient - Mais on va m'entendre !- Cet enfant me répond : (il répond à sa pensée) “ Soyez tranquille, il est 11 heures et demie, tout le monde dort bien. Venez, je vous attends ”.- Je me suis dépêchée de m'habiller, et me suis dirigée du côté de cet enfant, qui était resté debout, sans avancer plus loin que la tête de mon lit. Il m'a suivie, ou plutôt je l'ai suivi, toujours sur ma gauche, portant des rayons de clarté partout où il passait. Les lumières étaient allumées partout où nous passions, ce qui m'étonnait beaucoup. Mais bien plus surprise lorsque je suis entrée à la chapelle... la porte s'est ouverte, à peine l'enfant l'avait touchée du bout du doigt .


En racontant ingénument son aventure, Catherine ne se doute pas qu'elle réitère celle de Saint Pierre, dans les Actes des Apôtres (12:6-11) lorsqu'il fut libéré de sa prison :


-Pendant la nuit... l'ange du Seigneur lui dit – Lève-toi vite... D'elle-même la porte s'ouvrit devant eux... Il croyait rêver ...


Elle continue :


- Mais ma surprise a été encore bien plus complète quand j'ai vu tous les cierges et flambeaux allumés : ce qui me rappelait la messe de minuit. Cependant je ne voyais point la Sainte Vierge. L'enfant me conduisit dans le sanctuaire, à côté du fauteuil de Monsieur le Directeur. Et là, je me suis mise à genoux, et l'enfant est resté debout tout le temps. Comme je trouvais le temps long, je regardais si les veilleuses ne passaient pas par la tribune. Enfin, l'heure est arrivée, l'enfant me prévient. Il me dit : “ Voici la Sainte Vierge. La voici ”. J'entends comme un bruit... comme le frou-frou d'une robe de soie, qui venait du côté de la tribune, auprès du tableau de Saint Joseph, qui venait se poser sur les marches de l'autel, du côté de l'Évangile, dans un fauteuil pareil à celui de sainte Anne.Pourtant, ce n'était pas Sainte Anne qui était dans ce fauteuil, mais la Sainte Vierge seulement... Ce n'était pas la même figure que sainte Anne ... Je doutais si c'était la Sainte Vierge. Cependant l'enfant qui était là me dit : “ Voici la Sainte Vierge ” . A ce moment, il me serait impossible de dire ce que j'ai éprouvé, ce qui se passait au-dedans de moi. Il me semblait que je ne voyais pas la Sainte Vierge .


Tout ce début a les apparences d'un rêve, mais tissé de précisions réalistes qui cadrent mal avec un rêve. Catherine craint le passage des veilleuses qui circulent la nuit dans la tribune latérale. Elle doute de l'identité de la Vierge. Debout dans le chœur, elle observe attentivement le fauteuil où la visiteuse est assise en face d'elle, sur les marches de l'autel. Il est pareil à celui du tableau accroché au-dessus du reliquaire de Monsieur Vincent (celui où sainte Anne enseigne sa fille, la petite Vierge Marie). L'enfant répète : “ Voici la Sainte Vierge ” . Mais Catherine ne réalise pas. Elle reste à distance, près du fauteuil de M. Richenais, placé là en vue de la grand-messe de Saint Vincent.


- C'est alors que cet enfant me parla, non plus comme un enfant, mais comme un homme : le plus fort et des paroles les plus fortes. IL M'EXPLIQUA QUE LA CHUTE DE CHARLES X LUI FAIRAIT PERDRE SA ROYAUTE. Alors, regardant la Sainte Vierge, je n'ai fait qu'un saut auprès d'elle, à genoux sur les marches de l'autel, les mains appuyées sur les genoux de la Sainte Vierge. Là, il s'est passé un moment, le plus doux de ma vie. Il me serait impossible de dire ce que j'ai éprouvé. Elle me dit comment je devais me conduire envers mon directeur, et plusieurs autres choses que je ne dois pas dire ; la manière de me conduire dans mes peine s. “Les temps sont très mauvais, dit alors la Vierge, des malheurs vont fondre sur la France, LE TRONE SERA RENVERSE PAR DES MALHEURS DE TOUTES SORTE (la Sainte Vierge avait l’air très peinée en disant cela et il revint en mémpoire la vision du Christ-Roi persant Ses attributs Royaux !). Mais venez au pied de cet autel, là, les grâces seront répandues sur toutes les personnes qui les demanderont avec confiance et ferveur, elles seront répandues sur les grands et les petits (…). Le moment viendra où le danger sera grand. ON CROIRA TOUT PERDU. LA , JE SERAI AVEC VOUS !”...


La Vierge lui montre “ de la main gauche le pied de l'autel ”.


- C'est là que je dois venir me jeter et répendre mon coeur, continue Catherine. Je recevrai toutes les consolations dont j'aurai besoin. Je lui ai demandé ce que signifiaient toutes ces choses que j'avais vues. Elle m'expliqua tout .


Quelles explications Catherine a-t-elle entendues, durant cette rencontre intime, au contact de Notre-Dame ? Quelques jours plus tard, la Révolution de 1830 devait envoyer en exil Charles X, le frère de Louis XVI, et placer sur le Trône leur cousin Louis-Philippe d'Orléans, pourtant un cadet.


A partir de l’exil de Charles X en 1830, le Légitimisme est le mouvement politique Français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de Droit Divin dans la personne de l’Aîné des Capétiens, donc le chef de la Maison de Bourbon , Salique, Catholique, nait Français et de Naissance Légitime, prévu par les Lois Fondamentales du Royaume de France , et opposé à ce que les Légitimistes voient comme la laïcisation et à un choix humain de l’Orléanisme.


Pour les Légitimistes, LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMAMANT DE DIEU et ce principe s'incarnait en 1830 à l'époque en la personne du petit Henri Duc de Bordeaux, futur Comte de Chambord (qui, adulte, ne renoncera qu'après la révélation par le Berger de La Salette de la survivance de la véritable descendance Royale). Pour les Orléanistes, le Roi est une impérieuse nécessité nationale, la continuité de La France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universle et du diktat des fortune anonymes et vagabondes, et ce principe s'incarnait en le Duc d'Orléans, Louis-Philippe, Monarque de Juillet .


Qu'est-ce que la Légitimité ?


- La Légitimité est l’application du droit Royal Français tel qu’il est défini dans la théorie statutaire et les Lois Fondamentales du Royaume , écrit l’historien du droit Guy Augé (Guy Augé, « Du légitimisme à la légitimité », in La Légitimité , N° 2, janvier 1975).


La conviction Royaliste est intimement liée à la Foi Catholique. Le Royalisme politique se définit historiquement par le respect des Lois Fondamentales du Royaume de France , notamment la LOI DE CATHOLICITE , ce qui obligeau le bon Roi Henri IV à abjurer le protestantisme .


-Paris vaut bien une Messe...


Clovis devient en 496, le seul Roi Légitime parmi les Rois barbares, du fait de son Baptême et non pas de sa seule force. Le Baptême, la Légitimité dynastique, ne suffisent pas : encore faut-il une politique Légitime , et un pouvoir n'est Légitime que s'il défend la Foi Catholique (Légitimité théologique) et le Bien Commun (Légitimité naturelle).


Clovis s'engagea à mettre sa force au service du droit Chrétien et à servir ses sujets Chrétiennement, c'est à dire avec Amour , et ses descendants continuèrent cette politique Royale et Très Chrétienne jusqu'en 1789, puis de nouveau de 1814 à 1830 (la Restauration) : les Mérovingiens chasseront l'hérésie arienne, les Carolinigiens porteront UN FOI, UN ROI, UNE LOI, de la Catalogne à la Pologne, les Capétiens construiront les cathédrales, crééront la Chevalerie qu'ils enverront en Croisade, les Capétiens Valois institueront le Protectorat Français sur les Lieux Saints et les Capétiens Bourbons enracineront la caractère Catholique de la Crouronne de France et de l'Etat Français avant d'encourager les Missions.


AINSI, SEULE LA MONARCHIE, SURTOUT DANS SA FORME CAPETIENNE, CATHOLIQUE ET ROYALE, A POSSEDE HISTORIQUEMENT CETTE DOUBLE LEGITIMITE. LA CONTINUITE CATHOLIQUE ET ROYALE S'EST INTERROMPUE EN 1830 : A PARTIR DE CETTE ANNE, N.S. NE REGNE PLUS.


Car la Monarchie de Juillet, son origine même la voue à l'échec et aussi à l'athéisme politique. Fonder une Monarchie sur la violation du droit Monarchique et des Lois Fondamentales du Royaume de France -qui prévoient que le Roi doit être salique, Catholique et né Français de Naissance Légitime- est inconcevable : c'est ce que fait Louis-Philippe, le Gouvernement du " Roi Citoyen " inaugurant une politique antireligieuse.


Le Catholicisme, de Religion d'Etat, tombe au rang de religion de la majorité des Français . L'Etat accorde aux pasteurs protestants et aux rabbins un traitement, les mettant ainsi illégitimement sur le même pied que les Prêtres Catholiques (Le traitement fourni aux prêtres par l'Etat est une dette Sacrée ; c'est le simple intérêt (bien minime) du capital considérable que la Révolution vola à l'Eglise en lui enlevant tous ses biens. Aucun vol de ce genre n'a été commis contre les Ministres des autres Cultes. C'était en outre mettre sur le même pied les représentants du vrai Dieu et ceux de l'erreur).


Une fois de plus, avant de châtier, le Christ rappelle Sa mission à la France. Le 20 novembre 1843, Il dit dans une apparition à Marie Lataste, Religieuse du Sacré-Coeur (Abbé Pascal Darbins, Vie de Marie Lataste. T. III , p. 395 à 399, chez Bray et Retaux, 82, rue Bonaparte, 1877) :


- LE PREMIER ROI, LE PREMIER SOUVERAIN DE LA FRANCE, C'EST MOI. Je suis le Maître de tous les Peuples, de toutes les Nations, de tous les Royaumes, de tous les Empires, de toutes les dominations ; JE SUIS PARTICULIEREMENT LE MAITRE DE LA FRANCE. JE LUI DONNE PROSPERITE, GRANDEUR ET PUISSANCE AU-DESSUS DE TOUTES LES AUTRES NATIONS, QUAND ELLE EST FIDELE A ECOUTER MA VOIX. J'AI CHOISI LA FRANCE POUR LA DONNER A MON EGLISE COMME SA FILLE DE PREDILECTION.


Mais, malgrès la trahison faite à Son Divin Fils, celui-ci chargera Sa Très Sainte Marie de donner au monde un Don particulier : le Médaille Miraculeuse.


LE DESSIN DE CETTE MEDAILLE EST, A LUI SEUL, LE PROGRAMME DE L'AVENIR RELIGIEUX DE LA FRANCE ET DE L'OCCIDENT CHRETIEN.


Il était temps car :


- La République, le plus grand des chatiements (citation de A. M. de la Rochette, député de la Loire-Inférieure, 15 octobre 1872, op. cit., p. 122) !


Regardez : la III° République consomme la destruction de la France en la Laïcisant, la IV° République athéïse la France, la V° République tente aujourd'hui de l'islamiser ! Aussi, pour éviter la tyrrannie de demain, il importe de refermer la parenthèse républicaine, renouer la chaine des siècles et restaurer l'institution Royale bienfaisante qui a su, en défendant la foi Catholique, faire de la France la Fille Aînée de l'Eglise et l'Educatrice des Peuples, et batir notre grande civilisation Chrétienne. Etre Royaliste, c'est avoir notre propre Histoire, notre espérence Monarchiste, mais c'est aussi UN DEVOIR ENVERS DIEU QUI A VOULU LA ROYAUTE TRES CHRETIENNE EN FRANCE, Monarchie de droit Divin interrompue en 1789 et restaurée de 1814 à 1830. CE DEVOIR ENVER DIEU, NOUS DEVONS LE CONCRETISER PAR L'AIDE A LA DIFFUSION DE LA DEVOTION DE LA MEDAILLE MIRACULEUSE ET PAR L'ACTION ROYALISTE, EN TANT QUE PELERIN, HISTORIEN OU POLITICIEN, CE AU SERVICE DU RETOUR DU ROI SUR LE TRONE DE FRANCE, LE VERITABLE AINE DES CAPETIENS, LE ROI CACHE HENRI V DE LA CROIX, FIL AINE DES COEURS-UNIS DE JESUS ET DE MARIE, GRAND MONARQUE A VENIR QUI RENDRA AU DIVIN CHRIST-ROI LA COURONNE PERDUE EN 1830 . Tel est LE MESSAGE DE LA RUE DU BAC !


PAROLES DE N.S. JESUS-CHRIST :

-En vérité, en vérité, je vous le dis, qui accueille celui que j’aurai envoyé m’acuille; et celui qui m’accuille, acuille celui qui m’a envoyé (Jean 13:20).

Accuillir le Roi de France, c’est accuillir N.S. Jésus-Christ dont il est le Lieuetnant. Accuillir N.S. Jésus-Christ, c’est accuillir Dieu en personne…


-Voici que cette Royauté doit retourner à resplendir dans le coeur de vous autres, Français, parce que vous avez été choisis par Jésus-Christ, comme a dit Sainte Marguerite-Marie Alacoque en tant d'occasions, encore comme l'a dit la Madone à La Salette, à Lourdes et dans d'autres apparitions, toujours en votre belle terre de France (Luigi Gaspari, conférence de Paris, 31 Octobre 1992) !


Pour que vive la France, vive le Roi !





Hervé J. VOLTO, CJA


Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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