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Ça brasse au Vatican

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Message par Rémi Ven 2 Juil 2010 - 15:26

Article très intéressant.

Alors que Rome est assiégée, les cardinaux se disputent

Schönborn contre Sodano, Sepe contre Bertone. L'affaire sérieuse de l'archevêque de Vienne. Benoît XVI punit, pacifie et regarde au loin. Notamment avec des nominations à trois postes clés de la curie

par Sandro Magister




ROME, le 2 juillet 2010 – Pour le pape, la vigile de la fête des saints apôtres Pierre et Paul, patrons de l’Église de Rome, a été riche en activités.

Il a célébré les vêpres à la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs, comme toujours, avec une délégation du patriarcat œcuménique de Constantinople qui avait été reçue au Vatican le matin même.

Dans son homélie il a annoncé la création au Vatican d’un nouvel organisme "pour une évangélisation renouvelée" dans les pays d’ancienne chrétienté où se manifeste une "éclipse du sens de Dieu".

Mais Benoît XVI a également travaillé dur pour rétablir un peu la paix entre certains cardinaux qui se sont publiquement affrontés ces dernières semaines. Il l’a fait à travers deux communiqués plutôt inhabituels et une audience également spéciale qu’il a accordée à trois des adversaires.

Curieuse coïncidence : la veille, qui était un dimanche, on avait lu dans les églises du monde entier le passage de la lettre de saint Paul aux Galates dans lequel l'apôtre lance l’avertissement suivant : "Si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde : vous allez vous détruire les uns les autres".

Un avertissement que Benoît XVI avait déjà repris et cité dans sa mémorable lettre du 10 mars 2009 aux évêques, également publiée après de durs affrontements entre hommes d’Eglise.

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Message par MichelT Ven 2 Juil 2010 - 20:49

Je suis en train de lire un livre protestant venant de Suisse et datant de 1968. Je pense que ce livre est protestant Évangélique.

Le Titre - L`Inspiration et l`Autorité de la Bible par Rene Pache - un vieux livre d`occasion

Pourtant ce livre montre quelquechose d`important

Il dit - diront nous avec le Christ - Ta Parole est Vérité ou diront nous comme Pilate - Qu`est-ce que la Vérité

La premiere attaque du Tentateur est contre la Parole - Dieu a t`il réellement dit...(Genese) c`est attaquer la Parole

Pourtant depuis 1960 l`autorité de l`Inspiration des textes bibliques ont été attaqué de l`extérieur comme de l`intérieur de l`Église.

Rudolph Bultmann un théologien connu des années 60 s`effrorcait de dégager les mythes du texte biblique inacceptable a l`esprit moderne.

Voici le résultat - selon lui des mythes

La préexistance du Christ
Sa naissance miraculeuse
Sa divinité
Ses miracles
Sa mort substitutive a la Croix
Sa résurrection
Son ascension
Son retour en gloire
Le jugement final du monde
L`existence des esprits bons et mauvais
La personnalité et la puissance du Saiant-Esprit
La doctrine de la Trinité
La mort comme conséquence du péché
La doctrine du péché originel

Donc une fois démythisé le texte biblique....que reste t`il

Voila un des grands problemes non seulement des églises protestantes mais aussi de l`Église catholique - le doute... Il y a meme eu des Éveques anglicans qui ont écrit des livres modernes mettent en doute les Écritures dans les années 60.

Espérons que le Pape saura serrer la vis et remettre de l`ordre dans la maison. La Bible est la Parole de Dieu de A a Z tout les textes sont inspiré par la Parole dans un but particulier - Il n`y a pas de mythe mais un fil qui conduit de la Genese a l`Apocalypse - Dieu révele son plan de Salut pour l`homme sur 1,600 ans d`Écritures inspirées par Lui formant un tout cohérent. La complexité du langage varie simplement avec les époques. La Genese n`est pas un mythe mais simplement un maniere plus simple d`expliquer que Dieu a tout créée.

Je pense que Emmerich a vu la Vérité en parlant des démolisseurs dans l`Église.

Ce livre est une excellente analyse des textes bibliques et de la nature de l`Autorité et de l`Inspiration divine.

Les luttes intestines dans l`Église sont un danger pour l`Église catholique!

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par Francesco Mer 7 Juil 2010 - 3:23

Le second communiqué du 28 juin concerne le cardinal Christoph Schönborn (photo), archevêque de Vienne, qui avait été reçu par le pape le matin de ce jour-là.

Schönborn avait fait parler de lui, au cours des semaines précédentes, en proposant à plusieurs reprises une "relecture" de la discipline du célibat du clergé et en critiquant sévèrement des actes et des propos du cardinal Sodano à propos de la pédophilie.

Schönborn avait fait d’autant plus parler de lui qu’il est considéré comme très proche de Joseph Ratzinger. Il a été un brillant étudiant du pape, qui l’a toujours beaucoup apprécié. C’est pourquoi beaucoup de gens ont pensé qu’il s’était exprimé sur ces questions avec l’approbation du pape pour l’essentiel.

Mais ce n’était pas le cas. Sa déclaration sur le célibat et ses attaques contre Sodano n’ont pas plu du tout à Benoît XVI. Qui a sévèrement réprimandé Schönborn, à la fois verbalement et par écrit.

Mais pour dissiper l'impression qu’il existait une entente entre eux deux, il fallait un geste public. C’est ce qui a eu lieu le 28 juin, d’abord avec un entretien en tête à tête entre le pape et l'archevêque de Vienne, puis avec l’inclusion des cardinaux Sodano et Bertone dans cette audience et enfin avec un communiqué qui a rendu public le contenu de la rencontre.

Voici le texte intégral du communiqué, suivi d’un commentaire et d’un résumé des derniers changements décidés par Benoît XVI à la curie.

__________


COMMUNIQUÉ DE LA SALLE DE PRESSE DU VATICAN, LE 28 JUIN 2010


1) Le Saint-Père a reçu aujourd’hui en audience le cardinal Christoph Schönborn, archevêque de Vienne et président de la conférence des évêques d’Autriche. Celui-ci avait demandé de pouvoir rendre compte personnellement au Souverain Pontife de la situation actuelle de l’Église en Autriche. Le cardinal Christoph Schönborn a notamment souhaité clarifier le sens exact de ses récentes déclarations concernant certains aspects de l’actuelle discipline ecclésiastique, ainsi que certains jugements qu’il a émis sur le comportement de la secrétairerie d’état, et en particulier de celui qui était alors le secrétaire d’état du pape Jean-Paul II de vénérée mémoire, en ce qui concerne le regretté cardinal Hans Hermann Groër, archevêque de Vienne de 1986 à 1995.

2) Plus tard, les cardinaux Angelo Sodano, doyen du collège des cardinaux, et Tarcisio Bertone, secrétaire d’état, ont été invités à se joindre à cet entretien.

Au cours de la seconde partie de l’audience ont été clarifiées et résolues quelques équivoques très répandues et en partie dues à des expressions utilisées par le cardinal Christoph Schönborn, qui a dit qu’il regrettait les interprétations qui en ont été faites. En particulier :

a) Il est rappelé que, dans l’Eglise, seul le pape est compétent en cas d’accusations contre un cardinal ; les autres instances peuvent avoir une fonction de conseil, toujours avec le respect dû aux personnes.

b) Le mot "jacasseries" a été interprété à tort comme un manque de respect pour les victimes d’abus sexuels, envers lesquelles le cardinal Angelo Sodano éprouve des sentiments de compassion et de condamnation du mal semblables à ceux que le Saint-Père a exprimés lors de différentes interventions. Ce terme, employé dans l’allocution adressée au pape Benoît XVI pour Pâques, était tiré littéralement de l’homélie pontificale du dimanche des Rameaux et se référait au "courage qui ne se laisse pas intimider par les jacasseries des opinions dominantes".

3) Le Saint-Père, qui se rappelle avec beaucoup d’affection sa visite pastorale en Autriche, transmet à travers le cardinal Christoph Schönborn son salut et ses encouragements à l’Église qui est en Autriche ainsi qu’à ses pasteurs et il confie à la céleste protection de Marie, si vénérée à Mariazell, le chemin d’une communion ecclésiale renouvelée.

__________


Ce communiqué ne laisse place à aucun doute : Schönborn s’est rendu chez le pape les cendres sur la tête et il a dû retirer ce qu’il avait dit contre le cardinal Sodano et à propos du célibat.

Tout cela n’aurait pas été rendu public par le Saint-Siège si les propos et les actes de Schönborn n’avaient pas l’écho médiatique qui est le leur.

Car ce qui distingue l’archevêque de Vienne de tant d’autres cardinaux, c’est justement sa capacité à se trouver sur le devant de la scène en matière d’opinion publique. Et il se montre très sensible aux préférences et aux pressions de celle-ci.

En effet, il obtient presque toujours un succès médiatique. A propos du célibat, il y a ce qu’il a dit et ce qu’il n’a pas dit, mais ses allusions à une possible "relecture" de cette discipline ont suffi à lui assurer un haut niveau d’écoute et de consensus.

Il n’a jamais dit qu’il était d’accord avec les revendications du mouvement de réforme catholique néo-moderniste "Nous sommes aussi l’Église", qui est né en Autriche et y est plutôt répandu. Mais, le soir du dernier mercredi saint, il a voulu avoir près de lui, à la cathédrale de Vienne, les dirigeants de ce mouvement quand il demandait pardon pour les abus sexuels commis par le clergé.

D’autre part, en ce qui concerne les procédures permettant de combattre les abus, l’archevêque de Vienne apparaît comme l'interprète le plus déterminé de ce que l’on appelle la "transparence" : le renvoi systématique de ces affaires devant la justice civile et en tout cas devant des organismes judiciaires indépendants de la hiérarchie. Sur ce point aussi, il obtient un large consensus.

En accusant le cardinal Sodano d’insensibilité et d’incapacité en ce qui concerne le scandale de la pédophilie, Schönborn a atteint une cible presque trop facile, quelqu’un qui soulevait déjà beaucoup de critiques pour diverses raisons.

Mais ce qui préoccupe le plus les autorités vaticanes et le pape lui-même, c’est la faiblesse de l’archevêque de Vienne dans son rôle de guide vis-à-vis de l’Église d’Autriche dans son ensemble.

Dans les années 80, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger avait confié à Schönborn et à quelques autres évêques de confiance la rédaction du Catéchisme de l’Église catholique. Mais, recevant, le 5 novembre 2005, peu de temps après avoir été élu pape, les évêques autrichiens en visite "ad limina", il leur reprocha précisément d’enseigner la doctrine "de manière incomplète", en omettant "ces choses que l’on écoute le moins volontiers ou qui suscitent des réactions de protestation et de dérision". Schönborn était là lui aussi et il écoutait.

Les 15 et 16 juin 2009, les évêques autrichiens furent de nouveau convoqués à Rome pour faire leur rapport. Évidemment, le pape estimait que la leçon qu’il leur avait donnée en 2005 n’avait pas suffi.

De plus, une partie importante des catholiques s’était rebellée, peu de temps auparavant, contre la nomination à Linz d’un évêque, Gerhard Maria Wagner, auquel il était reproché d’être trop conservateur. Schönborn et d’autres évêques laissèrent la protestation se développer. Au bout d’un mois Rome céda et annula la nomination, à la grande joie de tous ceux qui prétendent que le bon critère pour choisir les évêques est la satisfaction populaire.

Le Saint-Siège publia également, après la rencontre des 15 et 16 juin 2009, un communiqué public qui rendait compte des rappels à l’ordre adressés aux évêques autrichiens.

Le communiqué du 28 juin concernant la rencontre entre le pape et Schönborn est donc la troisième réprimande de la série. Entre temps, les cinq ans canoniques depuis la visite "ad limina" de 2005 se sont presque écoulés. Les évêques autrichiens vont donc bientôt se rendre chez le pape pour ce qui sera, on peut le prévoir, une quatrième réprimande publique.

Tout cela n’empêche pas Ratzinger de continuer à apprécier les qualités de son ancien étudiant Schönborn qui est, au fond de lui-même, absolument orthodoxe. Lorsque les anciens étudiants du pape se réuniront autour de lui à Castel Gandolfo, au cours du dernier week-end d’août, c’est justement Schönborn qui fera l’exposé d’introduction, sur un sujet crucial comme l'interprétation du concile Vatican II.

Cependant, Benoît XVI connaît aussi les défauts de Schönborn, dont le plus important est l'incohérence entre sa pensée – qui est tout à fait en ligne avec celle du pape – et ce qu’il dit et fait pour se faire écouter et applaudir.

*

Pour en revenir au communiqué, il contient un passage qui nécessite des explications. C’est celui dans lequel le pape reproche à Schönborn les accusations lancées par celui-ci contre Sodano à propos du "regretté" cardinal Hans Hermann Groër, archevêque de Vienne entre 1986 et 1995.

En pratique Schönborn a accusé Sodano d’avoir couvert les abus sexuels commis par Groër.

Commis ? En réalité Groër n’a jamais admis quelque faute que ce soit et il n’a jamais fait l’objet d’aucun procès, ni canonique ni civil.

La reconstitution la plus précise de l’affaire est celle qu’a publiée, le 1er juillet, le journal "il Foglio" :

"L’affaire Groër éclate en 1995 lorsque, à la suite des accusations d’abus sexuels diffusées dans les médias, la démission du cardinal, qui avait déjà dépassé les 75 ans, est acceptée. Schönborn est nommé à sa place : en l’espace de quelques mois il devient évêque auxiliaire, puis coadjuteur et enfin archevêque proprement dit de Vienne. Pendant cette première phase, le jeune prélat dominicain ne paraît pas convaincu de la culpabilité de son prédécesseur bénédictin.

"L’affaire Groër explose à nouveau avec violence en janvier 1998 : ceux qui l’accusent sont des confrères moines. Le consistoire au cours duquel Schönborn doit recevoir la barrette cardinalice est fixé au 21 février de cette année et il fait tout ce qu’il peut pour éviter que Groër ne soit également présent à la cérémonie. À ce moment, en effet, le nouvel archevêque de Vienne en est déjà arrivé à penser que son prédécesseur est coupable. Toutefois non seulement Jean-Paul II n’empêche pas Groër de venir mais il le reçoit en audience le 20 février.

"Après la fin du consistoire, le conseil permanent des évêques d’Autriche se réunit. Y participent le nouveau cardinal, Schönborn, et quatre autres évêques, Kapellari, Eder, Weber et Aichern. À la fin de la réunion, quatre d’entre eux signent une note dans laquelle ils se déclarent 'moralement certains' de la culpabilité du cardinal Groër. Le seul à ne pas signer est Aichern, lui aussi bénédictin, qui connaît peut-être mieux que les autres évêques les querelles confraternelles dans lesquelles ont mûri les accusations contre Groër.

"Schönborn se rend alors à Rome pour demander que le Saint-Siège ratifie la condamnation formulée par les prélats. Mais il n’obtient pas gain de cause. Le refus est formulé – de manière claire et nette – pendant la semaine sainte de cette année, lors d’une audience où Jean-Paul II et le cardinal Sodano reçoivent Schönborn, Weber et Eder. Le Saint-Siège estime que les accusations ne sont pas probantes. En tout cas, après Pâques, Groër publie un communiqué dans lequel il demande pardon au cas où il aurait fait quelque chose de mal mais il ne reconnaît aucune faute.

"En juin de cette année, le pape se rend en visite en Autriche. Schönborn et d’autres évêques, mais pas tous, demandent que Groër ne soit pas présent pendant la visite et que le Vatican formule une condamnation à son encontre. La première demande est satisfaite, pas la seconde. Groër s’absente pendant quelques mois mais il rentre ensuite en Autriche. Il mourra en 2003 sans que Jean-Paul II, qui seul en avait le pouvoir – comme l’a rappelé le communiqué du 28 juin dernier – ait prononcé un mot de condamnation à son sujet."

*

Par ailleurs une série de nominations à la curie a été officialisée le 30 juin et le 1er juillet. Il y en a trois principales.

La première est celle de l’archevêque Salvatore Fisichella en tant que président du conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation qui vient d’être créé.

Fisichella était recteur de l’Université pontificale du Latran et président de l’académie pontificale pour la vie. Il sera remplacé au premier poste par le prêtre salésien Enrico dal Covolo et au second par Mgr Ignacio Carrasco de Paula.

La seconde nomination importante est celle du cardinal canadien Marc Ouellet comme préfet de la congrégation pour les évêques, à la place du cardinal Giovanni Battista Re.

Ouellet, 66 ans, sulpicien, jusqu’à présent archevêque de Québec, disciple du grand théologien Hans Urs von Balthasar, est un ratzingerien pur et dur. En tant qu’évêque au Canada francophone, il a exercé son ministère dans l’un des pays où la déchristianisation a été la plus importante et la plus soudaine. On prévoit donc que, lorsqu'il choisira les futurs évêques, il sera tout à fait en accord avec la manière de voir qui a conduit Benoît XVI à créer le nouvel organisme chargé de la nouvelle évangélisation.

Toutefois on ne connaît pas encore de manière précise les tâches qui seront confiées à ce nouvel organisme ; elles seront définies par un "motu proprio" pontifical. Par exemple, on ne distingue pas clairement la frontière entre ses compétences et celles du conseil pontifical pour la culture, qui s’occupe déjà de la "Cour des gentils", c’est-à-dire de l'évangélisation des non-croyants.

De plus, le fait de confier le nouvel organisme à Mgr Fisichella pourrait relancer les polémiques qui ont perturbé sa présidence de l’académie pontificale pour la vie. Ces polémiques - nées de la publication dans "L'Osservatore Romano" d’un article controversé qu’il avait écrit en faveur d’une fillette brésilienne à laquelle avait été imposé un double avortement – n’ont pas été apaisées, même par une déclaration faite ultérieurement par la congrégation pour la doctrine de la foi.

N'oublions pas que ce cardinal Schonborn est ce meme personnage qui s'était rendu a Medjugorje et avait suporté publiquement les dites apparitions sans tenir compte des avis et publications de l'éveque du lieu....C'était faire preuve de tres peu de respect pour un confrere qui a une grave responsabilité ainsi que pour la facon de procéder en église...


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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