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Quand un préfet et un procureur mettent en garde

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Quand un préfet et un procureur mettent en garde  Empty Quand un préfet et un procureur mettent en garde

Message par MichelT Ven 4 Mar 2011 - 13:47

Quand un préfet et un procureur mettent en garde : si nous ne disons pas non à la charia, « nous devrons vivre dans une autre France » le 4 mars 2011

Un texte frappé au coin du bon sens écrit par Claude Valleix, préfet honoraire, et Pierre Mérand, procureur général e.r.

Depuis une génération, les fondements de notre société subissent une pression religieuse sans précédent.
Depuis une génération, les fondements de notre société subissent une pression religieuse sans précédent. L’islam frappe à toutes les portes de la République et s’efforce de pénétrer notre arsenal juridique pour obtenir un droit de cité de plus en plus large. Nous aurions tort de ne pas prendre garde à ce phénomène, car son développement risque de bouleverser ce qui fait l’essence de la France.

À l’époque gallo-romaine, le christianisme a supplanté les vieilles croyances païennes, mais cette évolution spirituelle s’est faite de l’intérieur, contrairement à ce qui se produit aujourd’hui. La deuxième religion de France est totalement importée. Pour des raisons historiques, d’abord, du fait de la décolonisation ; par maladresse, ensuite, en accordant la nationalité française selon des procédures automatiques aux enfants de parents étrangers nés sur notre sol ; par la mise en place, enfin, de politiques d’immigration qui ont facilité l’accès à notre territoire de populations en majorité musulmanes.

Des revendications inconnues jusqu’ici se manifestent, les unes derrière les autres, jamais en bloc.
L’effet de masse a fait le reste. Des revendications inconnues jusqu’ici se manifestent, les unes derrière les autres, jamais en bloc. Elles ne procèdent probablement pas d’une manoeuvre délibérée, mais leur succession constitue un piège qui fonctionne à merveille, car il nous contraint à réagir au coup par coup. On mesure bien la fragilité de la riposte, qui s’exprime par des mesures d’interdiction, souvent difficilement applicables. Si l’école a su faire respecter la réglementation du port du voile, c’est parce que l’opposition à cette marque ostentatoire de religion a fait l’objet d’un large consensus, notamment au sein du monde enseignant, vigilant gardien de la laïcité. D’autres sujets, comme le port de la burqa ou la construction de lieux de culte, sont sources de débats et il faudra du temps pour que la justice dégage une jurisprudence qui s’imposera à tous les tribunaux, lesquels tranchent aujourd’hui dans des sens divers.

Si nous pensons faire front en élevant des barrières juridiques chaque fois que nos fondements culturels et politiques sont menacés, nous échouerons.
Si nous pensons faire front en élevant des barrières juridiques chaque fois que nos fondements culturels et politiques sont menacés, nous échouerons, car elles sauteront toutes les unes après les autres, par difficulté à les faire appliquer. Nous serons victimes de nos propres règles, tout bonnement parce que la pratique de l’islam, si éloignée de nos moeurs enracinées dans la morale judéo-chrétienne, exigera, au nom des libertés fondamentales, le droit à la nourriture halal, le droit à la pratique traditionnelle du culte à l’école et sur les lieux de travail, le droit pour un musulman d’obtenir la garde d’un enfant issu d’un couple mixte, conformément à la loi musulmane, etc.

On commence à faire appel à un islam de France, en se fondant sur l’organisation cultuelle mise en place ces dernières années. Idée cartésienne bien de chez nous, mais sans efficacité et sans avenir. L’influence du Conseil français du culte musulman sera toujours limitée, puisque l’islam, échappant à toute structuration hiérarchisée, est étranger à nos formes d’organisation. Rien ne garantit en outre son invulnérabilité à des idéologies venues de l’extérieur.

la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans certains milieux éducatifs, dans l’entreprise, dans le commerce.
Pendant ce temps, la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans certains milieux éducatifs, dans l’entreprise, dans le commerce, avec ces chaînes de distribution et d’alimentation qui s’adaptent à la demande d’une clientèle musulmane, quand elles ne la précèdent pas. On ne sert plus de porc dans les avions, car il est plus simple de procéder ainsi que de proposer deux menus. On tend à banaliser la pratique d’exception, par commodité, sans s’apercevoir qu’elle devient la norme. Qui peut croire que nous pouvons continuer sur cette voie sans dommage pour l’équilibre de notre société ?

Nous voilà avec des centaines de milliers de Français malgré eux, qui, à ce titre, présentent une force revendicative que nous aurons du mal à contenir
Il faudra bien dire que ces dérives sociales ne sont pas compatibles avec l’ordre public français, celui qui exprime l’état de nos moeurs, en évolution constante et dont il revient au juge de préciser le contenu. Rôle redoutable, confié aux magistrats, alors que le bloc de l’institution judiciaire montre des fissures qui ne doivent s’élargir à aucun prix.

Alors, que faire ? Commençons par faire preuve de lucidité. Notre politique de la ville est un désastre qui a englouti des milliards d’euros. Des associations ont alimenté avec l’argent du contribuable un esprit communautariste au lieu de favoriser l’intégration, à défaut de l’assimilation. Nous voilà avec des centaines de milliers de Français malgré eux, qui, à ce titre, présentent une force revendicative que nous aurons du mal à contenir, et une immigration clandestine dont le poids est à redouter.

Tâche délicate, mais si nous ne le faisons pas, nous devrons vivre dans une autre France.
Un coup d’arrêt s’impose pour dire clairement que la charia est incompatible avec nos principes républicains et notre culture héritée de deux mille ans d’histoire. Sans doute faudra-t-il préciser, en ranimant les vertus de la laïcité, les conditions dans lesquelles la religion musulmane peut être pratiquée sur le sol national. Tâche délicate, mais si nous ne le faisons pas, nous devrons vivre dans une autre France, et nombreux seront ceux qui ne l’accepteront pas. Il sera alors trop tard pour le regretter.

Claude Valleix, préfet honoraire, et Pierre Mérand, procureur général e.r.

Source : Valeurs Actuelles

Certains commencent a se réveiller....... mais il est déja tard...

Quand des États et des nations s`élevent jusqu`a la haine et au mépris de la divinité, l`oubli seul de Dieu est un anatheme irrévocable sur les ouvrages humains qui en sont flétris. Toutes les institutions imaginables reposent sur une idée religieuse ou ne font que passer (État, Constitution, systeme juridique, Écoles, Hopitaux, armées, immigrations et fontieres ect). Elles sont fortes et durables a mesure qu`elles sont divinisées. La raison humaine ne peut pas suppléer a ces bases (l`homme qui se déifie). Joseph de Maistre - 1797

Les pays occidentaux font exactement cela - Ils s`élevent au mépris de la divinité (de la religion chrétienne) a partir de l`école jusqu`aux gouvernements et au systeme juridique. Alors tout commence a se flétrir et a s`écrouler...pour etre remplacé par une autre doctrine...

Etre conscient c`est une chose - trouver une vrai solution en est une autre - le mal est fait - et il est du au rejet de la foi chrétienne par la majorité. Seul une pression solide a la christianisation sauvera la mise et cela ne se fera pas sans graves tensions et probablement des violences. Les radicaux musulmans vont faire ce que leur doctrine ordonne. Finalement il faut simplement en revenir a ce qui fut toujours au 17 eme et 18 eme siecles. L`alternative sera la constante désintégration interne, les reculs politiques et les faits accomplis par la démographie et l`immigration de masse. Les gens verront leur environnement social changer sans avoir aucune prise jusqu`a ce que cela devienne si grave que un point de non retour sera atteint et il y aura une révolte.

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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