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Crise économique: l’oligarchie se prépare au grand chantage à la gouvernance mondiale !

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Crise économique: l’oligarchie se prépare au grand chantage à la gouvernance mondiale ! Empty Crise économique: l’oligarchie se prépare au grand chantage à la gouvernance mondiale !

Message par MichelT Mar 8 Nov 2011 - 13:25

Crise économique: l’oligarchie se prépare au grand chantage à la gouvernance mondiale !

« Les crises financières seront dorénavant scientifiquement planifiées. »
- Charles Lindbergh, membre du Congrès US, 1913 –


Destruction planifiée de l’économie mondiale: le chantage à la gouvernance mondiale se profile à l’horizon par Résistance 71

Nous avons dit sur ce blog que l’objectif à terme de l’oligarchie financière est d’imposer la gouvernance mondiale par le truchement du contrôle total de l’économie mondiale au moyen d’un « comité économique » mondial, un cartel de gestion de l’ensemble de la finance et des transactions économiques.

Depuis l’accord du grand cirque barnum outre-Atlantique sur l’augmentation du plafond de la dette, qui fut orchestré comme un soap-opera, la note du crédit américain a été dévaluée, alors que la clique des « économistes » de Goldman Sachs qui compose le braintrust d’Obama, Tim Geithner en tête, avait déclaré auparavant et de manière péremptoire qu’il était impossible que la note du crédit du pays soit dégradée… Les menteurs professionnels à l’œuvre, c’est un classique.

Elle le fut dans les heures qui suivirent l’adoption de l’accord sur le plafond de la dette et l’instauration d’un « comité des 13″ qui dorénavant va diriger le grand législateur américain et contourner les débats du Congrès (fait superbement ignoré par les médias occidentaux à la botte). La baisse de la note du sale garnement américain a bien sûr provoqué une onde de choc sur les marchés financiers et les bourses ont perdu des sommes folles en quelques jours. Ceci ajouté à la crise économique mondiale, les Etats-Unis non seulement en récession (doux euphémisme), mais de plus en plus en dépression d’après l’avis de certains experts, l’enlisement dans des guerres et ingérences sans fin (Afghanistan, Irak, Libye, Yémen, Somalie, Syrie), la crise de la zone Euro, les attentats fausse-bannières (Oslo), les émeutes au Royaume-Uni et la colère grandissante des peuples, et les discussions sur une « facilitation quantitative » troisième partie (QE3), tout concourt à forcer les peuples à jeter l’éponge et à demander (via la « grande sagesse » de leurs élus corrompus et acquis à la cause oligarchique) une régulation internationale afin de gérer cette crise tous azimuts sans précédent dans l’Histoire moderne.

Bien sûr l’oligarchie du cartel banquier et industriel transnational tient à la disposition de leurs sbires étatiques la solution toute prête: la gouvernance mondiale. Tous les grands titres de la presse internationale à l’unisson relaie le cri de détresse et les larmes de crocodiles du clone de Goldman Sachs et de Wall Street: Obama, qui veut rallier les états sous son panache blanc et sauver le monde du marasme économique que ses patrons de Wall Street et de la City de Londres ont créé en première instance.
Toutes les conditions sont réunies pour le chantage international à venir, qui va se résumer à ceci: unifions l’économie mondiale sous un régulateur commun (le cartel banquier privé) pour éviter l’effondrement et sauver capitalisme et propriété privée. Si vous refusez, ce sera le chaos plus avant et la 3ème guerre mondiale…

Si nous les laissons faire, ce qui nous attend est une société néo-féodale, contrôlée par une petite clique de technocrates aux ordres d’un cartel privé transnational de banquiers et d’industriels, qui dès lors passera à l’étape supérieure de leur plan, celle qui les intéresse vraiment dans leur délire néo-malthusien psychopathe: l’élimination de 90% de la population mondiale.

Tous l’ont dit et écrit sous des formes diverses, de Kissinger à John Holdren (le tsar de la science d’Obama à la Maison Blanche): la surpopulation (qui n’existe que dans leurs esprits malades) est le vrai problème à gérer d’urgence.

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par Annie Mer 9 Nov 2011 - 14:03

Finalement, ça va nous tomber dessus bien plus tôt que prévu.

La grèce se voit imposer un nouveau gouvernement "de crise". Le peuple n'a pas eu droit à son referendum mais à une mise sous tutelle.

Ne parlons pas des pays arabes, dans lesquels les révolutions ont permis d'installer des islamistes au pouvoir. Et ceux qui 'avaient pas envie d'entrer dans une révolution, on les a aidés!

Et en France, les élections présidentielles sont dans 4 mois...

Tout s'accélère.

Annie

Date d'inscription : 01/03/2011

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Message par Amazone Mer 9 Nov 2011 - 15:46

Annie a écrit:
Ne parlons pas des pays arabes, dans lesquels les révolutions ont permis d'installer des islamistes au pouvoir.
Tout s'accélère.
Cela aide aussi à islamiser encore plus nos pays, tout s'accélère comme vous le dites si bien...



Et Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. (Luc 18:16)   
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Féminin Date d'inscription : 31/12/2010

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Message par Annie Jeu 10 Nov 2011 - 21:56

Et voilà! Le nouveau premier ministre grec est...

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Lucas Demetrios Papademos (Greek: Λουκάς Παπαδήμος, Greek pronunciation: [luˈkas papaˈðimos]; born 11 October 1947) is a Greek economist who was designated as Prime Minister of Greece in November 2011 heading an interim coalition government. Previously, he was Governor of the Bank of Greece from 1994 to 2002 and Vice President of the European Central Bank from 2002 to 2010. He was also a visiting professor of public policy at the Kennedy School of Government at Harvard University and a Senior Fellow at the Center for Financial Studies at the University of Frankfurt.[1]


Education and career:
Born in Athens, Papademos attended the Massachusetts Institute of Technology, gaining a degree in physics in 1970, a masters degree in electrical engineering in 1972, and a doctorate in economics, in 1978.

He followed an academic career at Columbia University where he taught economics from 1975 until 1984, and then at the University of Athens from 1988 to 1993.[2]

He has served as Senior Economist at the Federal Reserve Bank of Boston in 1980. He joined the Bank of Greece in 1985 as Chief Economist, rising to Deputy Governor in 1993 and Governor in 1994. During his time as Governor of the national bank, Papademos was involved in Greece's transition from the drachma to the euro as its national currency.[3]

After leaving the Bank of Greece in 2002, Papademos became the Vice President to Jean-Claude Trichet at the European Central Bank from 2002 to 2010. In 2010 he left that position to serve as an advisor to Prime Minister George Papandreou.[3]

He has been a member of the Trilateral Commission since 1998.[4]

He is a member of the Academy of Athens.[2] He has published numerous articles in the fields of macroeconomic theory, the structure and functioning of financial markets, monetary analysis and policy as well as on subjects concerning the economic performance, financial stability and economic policy in the European Union.[5] He has also delivered addresses on the Greek debt crisis.[6]

Prime Minister: Papademos was named Prime Minister of Greece on 10 November 2011 after the head of the governing party, George Papandreou, decided to step down, and allow a provisional coalition government to form with the task to take Greece out of a major political crisis caused by the country's debt crisis.[7] It is unknown whether or not he will serve his term as an elected member of the Greek parliament.

Il y a quand-même des mots qui reviennent souvent, ces derniers temps.

Annie

Date d'inscription : 01/03/2011

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Message par Rémi Jeu 10 Nov 2011 - 22:25

Le monde est rendu une oligarchie privée, gauche, droite, centre, centre droit, centre gauche, ce n'est plus le peuple qui décide les orientations que prendra leur pays mais ceux qui suivent le plan des décideurs d'arrière banc, que l'on ne voit pas et que l'on n'élis pas. Tous vers le même but, le nouvel ordre mondial, rejetant Dieu et se prosternant devant Mammon.


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Message par Annie Sam 12 Nov 2011 - 21:28

Et qui va diriger l'Italie?
Pourquoi pas un mondialiste, tiens?

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Mario Monti, né le 19 mars 1943 à Varèse, est un économiste, un universitaire et un homme politique italien. Il n'appartient à aucun parti politique.

Économiste et universitaire réputé, il est nommé commissaire européen au Marché intérieur en 1995, puis devient, en 1999, commissaire européen à la Concurrence. En 2004, à la fin de son mandat, il retourne au monde universitaire. En novembre 2011, à peine nommé sénateur à vie, il est pressenti pour succéder à Silvio Berlusconi comme président du Conseil des ministres[1], et former un gouvernement de techniciens[2], comme celui de Lamberto Dini, en 1995. Il pourrait être nommé à ces fonctions dès dimanche 13 novembre 2011[3].


Formation et carrière Mario Monti est diplômé de l'université Bocconi de Milan en économie et management, ainsi que de l'université Yale (États-Unis).

Il a enseigné l'économie auprès de l'université de Turin (1970-1985), avant de passer à l'université Bocconi de Milan, dont il est recteur (1989-1994) et ensuite président. Ses recherches ont mené à la définition du modèle Klein-Monti pour la description du comportement des banques en régime de monopole.

Commissaire européen En 1994, il est nommé à la Commission européenne, avec la radicale Emma Bonino, par le premier gouvernement de Silvio Berlusconi. Le président de la Commission, Jacques Santer, lui confie, en 1995, le portefeuille du Marché intérieur, des Services, des Douanes et de la Fiscalité.

Il est reconduit quatre ans plus tard, par le gouvernement de centre-gauche de Massimo D'Alema, et intègre la Commission dirigée par Romano Prodi, en tant que commissaire européen à la Concurrence. À ce poste, il a notamment initié une procédure contre Microsoft et étudié la proposition de fusion entre General Electric et Honeywell en 2001, qui fut bloquée in fine par la Commission européenne.

Retour au monde universitaire Le second gouvernement Berlusconi ne le confirma pas à son poste en 2004 et proposa Rocco Buttiglione à sa place. La nomination de ce dernier ayant été rejetée par le Parlement européen, le commissaire européen italien fut finalement Franco Frattini.

Mario Monti est actuellement président de l'université Bocconi de Milan et un responsable de Bruegel, un think tank européen fondé en 2005. Dès 2005, il est « International Advisor » pour Goldman Sachs. De janvier 2009 à juin 2010, il est membre du groupe de réflexion sur l'avenir de l'Europe, présidé par l'ancien président du gouvernement espagnol, Felipe González. Dans ce cadre, il prend position en faveur des propositions de gouvernement économique européen ainsi que d'un fonds monétaire européen, il milite pour un new deal européen intégrant mieux le social.

Depuis 2010, il est aussi président de la section Europe à la Commission Trilatérale[4]. Il est également membre du comité de direction du groupe Bilderberg[5].

En 2010, il rédige le Livre blanc (Rapport Monti) intitulé « Revitaliser le marché unique », commissionné par la Commission Barroso II[6]. Il a déclaré son soutien, en septembre 2010, à l'initiative fédéraliste du Groupe Spinelli au Parlement européen[7], en compagnie de l'ancien président de la Commission européenne Jacques Delors, des députés européens Daniel Cohn-Bendit, Andrew Duff, Elmar Brok et Sylvie Goulard et enfin de l'ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt.

Il a par ailleurs participé à plusieurs reprises aux États-Généraux de l'Europe, le rendez-vous de la société civile européenne organisé par l'ONG think tank EuropaNova et le Mouvement européen.

Une personnalité appréciée et écoutée À la fin du mois de juillet 2011, dans un article du quotidien La Stampa, à la suite d'une rencontre avec l'ancien président du Conseil de centre-gauche Romano Prodi, il se dit prêt à remplacer Silvio Berlusconi à la direction du gouvernement, en cas de démission ou perte de soutien de ses alliés de la Ligue du Nord[8]. Il réitère cette proposition le 2 septembre, en prévision d'une chute de Berlusconi qui n'a finalement pas lieu.

Président du Conseil pressenti Le 9 novembre 2011, il est nommé sénateur à vie, pour ses mérites dans les domaines scientifique et social, par le président de la République, Giorgio Napolitano, au siège que lui-même occupait jusqu'en 2006 et qui fait usage, pour la première fois de son mandat, de cette prérogative constitutionnelle, deux jours après l'annonce de la démission prochaine de l'actuel président du Conseil, Silvio Berlusconi[9].

Selon la presse italienne, il devrait succéder à Berlusconi au plus tard le 14 novembre, et décider lui-même des membres de son gouvernement[2]. Lui-même n'a cependant fait aucune déclaration depuis sa nomination au Sénat de la République.

Il est beau, le mondialiste, il est beau...

Annie

Date d'inscription : 01/03/2011

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