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Le multiculturalisme et la constitution de 1982

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Le multiculturalisme et la constitution de 1982 Empty Le multiculturalisme et la constitution de 1982

Message par MichelT Mer 10 Avr 2013 - 13:12

Le role du chef de la cour supreme du Canada a cette époque - Bora Laskin - afin que soit inclue la fameuse Charte des Droits de la Personne et le Multiculturalisme - qui a completement changé les fondements du pays sans aucune consultation publique est tres intéressant . Le Canada a ainsi été probablement le premier du monde a devenir officiellement multiculturel donnant des protections et avantages a certains groupes minoritaires choses étrangement ensuite répandue dans le monde occidental.

Le Juge Bora Laskin était un juif- canadien venue d`Europe de l`Est. On peut sérieusement se demander si il n`agissait pas sur une commande des organisations juives militantes mondiales afin que le multiculturalisme devienne une lois avancant les objectifs politiques de ces organisations? ( On retouve dans plusieurs pays cet activisme politique des organisations juives militantes -États-Unis, Grande-Bretagne, Australie, France, Hollande, Irlande, Suede, ect). Cette lutte politique au Canada en était une entre l`État fédéral anglophone et le Québec francophone et le PM Trudeau voyait cela comme une lutte contre les indépandantiste au Québec mais les organisations militantes sionistes ont leurs propres objectifs religieux et politiques qui sont différents et on a vu ensuite cette doctrine multiculturelle se répandre dans tout l`occident.


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Bora Laskin

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L`infiltration juridique et politique a toujours été recommandée par les autortés religieuses

« Réponse des juifs de Constantinople à ceux
d'Arles et de Provence, »

Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre
lettre dans laquelle vous nous faites connaître les
anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en
avons été pénétrés d'une aussi grande peine que
vous memes.

L'avis des rabbins est le suivant:
A ce que vous dites que le roi de France vous
oblige à vous faire chrétiens : faites-le , puisque
vous ne pouvez faire autrement ; mais que la loi de
Mo'ise se conserve en votre cœur.

A ce que vous dites qu'on commande de vous
dépouiller de vos biens : faites vos enfants marchands que, peu à peu ils dépouillent les chrétiens des
« leurs.

A ce que vous dites qu'on attente à vos vies :
faites vos enfants médecins et apothicaires, afin quils
ôtent aux chrétiens leurs vies.

A ce que vous dites qu'ils détruisent vos synagogues : faites
vos enfants chanoines et clercs, afin quils détruisent leurs églises,

A ce que vous dites qu'on vous fait bien d'autres
vexations : faites en sorte que vos enfants soient
avocats et notaires, et que toujours ils se mêlent des
à affaires des Etats afin que en mettant les chrétiens sous
votre joug vous dominiez le monde et vous puissiez vous
venger d'eux.


« Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous
donnons, parce que vous verrez par expérience que,
d'abaissés que vous êtes, vous arriverez au faîte de la
« puissance.

< V. S. S. V, F. F., prince des juifs de Constanti-
« nople, le 21 de Casleu, 1489. »


La Cour suprême plonge dans La bataille de Londres
Par Radio-Canada – il y a 8 heures.. .

Interpellée par des allégations concernant les agissements de deux de ses juges au moment du rapatriement de la Constitution canadienne de 1982, contenues dans un livre tout juste paru, la Cour suprême du Canada a annoncé mardi qu'elle en examinait la teneur, tandis que le gouvernement du Québec exhorte le fédéral de rendre publique toute l'information relative aux circonstances qui ont entouré cet événement majeur de l'histoire politique canadienne.

Dans un message transmis aux médias, la Cour suprême soutient avoir pris connaissance desallégations formulées par l'historien Frédéric Bastien, voulant notamment que le juge en chef de l'époque ait transmis de l'information aux gouvernements canadien et britannique, ce qui serait contraire à la séparation des pouvoirs judiciaire et exécutif.

« La Cour attache une très grande importance à son indépendance institutionnelle et à la confidentialité de ses délibérations, et elle examine présentement la teneur de ces allégations », a laissé savoir le chef du cabinet juridique de l'actuelle juge en chef Beverley McLachlin, Owen M. Rees, tout en précisant qu'aucun juge ou porte-parole de l'institution ne commentera davantage.
Québec veut en savoir plus, Ottawa dit non
Le gouvernement fédéral a déclaré n'avoir aucune intention de rendre publics les documents confidentiels relatifs au rapatriement de la Constitution, ce que Québec trouve inacceptable.

Le ministre des Affaires intergouvernementales canadiennes, Alexandre Cloutier, estime que les révélations de l'historien Frédéric Bastien remettent en question la légitimité du renvoi émis par la Cour suprême.

L'ancienne ministre péquiste Louise Beaudoin a ajouté sa voix à celle de M. Cloutier pour dénoncer l'ingérence politique dans le débat juridique. « Dans un État de droit, c'est inacceptable », a déclaré Mme Beaudoin en entrevue à RDI.

« On se rend compte du caractère incroyable de ce qui s'est produit dans notre histoire, et que, 30, 35 ans plus tard, nous ne sommes pas prêts à envisager une réparation quelle qu'elle soit », a déclaré le ministre des Relations internationales, Jean-François Lisée.

« Nous sommes dans une fédération dysfonctionnelle à sa base », a ajouté le ministre.

À Québec, le Conseil des ministres sera saisi de la question mercredi.

Le chef de l'aile parlementaire du Parti libéral du Québec, Jean-Marc Fournier, a joué de prudence dans sa réaction, concédant que « si jamais c'était avéré, certainement ce serait troublant ». « Tous les livres peuvent être ouverts, il n'y a pas de problème avec ça, a-t-il lancé. Ceci étant, qu'est-ce qu'on va découvrir? Qu'un juge a fait le rapatriement? »

De son côté, le chef de la Coalition avenir Québec, François Legault, a paru agacé par les questions des journalistes à ce sujet. « Ça pose des questions, mais ça change quoi dans la vie des Québécois? Si on dit : "On va donner une tape sur les mains au gouvernement de l'époque, il y a 30 ans", OK. Moi, je veux avoir toute l'information, mais ça change quoi concrètement? Est-ce que quelqu'un peut me dire qu'est-ce que ça change pour les Québécois? » a-t-il demandé.

Cette controverse ressurgit au moment où Justin Trudeau, le fils de Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada à l'origine du rapatriement de la Constitution, est sur le point d'être élu à la tête du Parti libéral du Canada (PLC).

À Ottawa, l'attaché de presse du Bureau du premier ministre Stephen Harper a estimé que le Parti québécois voulait « ouvrir les chicanes avec l'ancien gouvernement libéral de Trudeau ». « On n'a pas l'intention de jouer dans ce film-là et puis on va rester concentrés sur ce qui préoccupe vraiment les Québécois, c'est-à-dire les emplois et l'économie », a déclaré Carl Vallée.


L'historien Frédéric Bastien révèle, dans son livre La bataille de Londres, que le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Bora Laskin, aurait alors transmis de l'information sur l'état des délibérations des juges aux gouvernements canadien et britannique.

Informé des fuites d'informations émanant de la Cour suprême, le haut-commissaire britannique en poste à Ottawa a écrit à son supérieur, selon M. Bastien, qu'il s'agissait d'une « véritable tentative de coup d'État dans le but de modifier l'équilibre des pouvoirs dans la Confédération ».

L'historien Frédéric Bastien soutient avoir basé son étude sur des documents obtenus de Londres - des documents déclassés du Foreign Office britannique - alors que le gouvernement canadien lui a remis des documents lourdement caviardés.

Le livre de M. Bastien révèle également que Londres aurait reconnu un Québec indépendant, tout comme Washington, dont l'ambassadeur aurait confié à l'historien que son gouvernement avait une attitude similaire à celle des Britanniques.




MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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