Une autre faussaire:Agnes Mignoni

Agnès Mignoni, encore une fausse voyante.... rien qu'à écouter cette vidéo, on comprend mieux ! Elle affirme avoir divorcé sur ordre de la Vierge pour se consacrer à la religion [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
LA JUSTICE S’INQUIETE
L’obsession de la Messagère à imiter la Vierge Marie mais surtout à se mettre en scène aussi souvent que possible avec un poupon en celluloïd dans les bras inquiète l’autorité judiciaire. Celle-ci redoute qu’un couple fragile psychologiquement et fasciné par cette communauté ne lui donne ou prête un enfant. L’occasion pour Agnès - "Marie" Mignoni de ressembler en tout point à ces images pieuses diffusées sur son site internet où la Vierge veille avec bienveillance sur son fils. Sur sa page de son site MySpace elle pose d’ailleurs tout de blanc vêtue avec un bébé emmailloté dans les bras. Le projet de l’association de rechercher une vaste propriété en Corse où tous ses membres pourraient vivre ensemble renforce aussi cette inquiétude. Un risque également signalé par d’anciens adeptes.

Le blog de la "voyante"...
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le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a été fermé à la demande de l'évêque :
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Et cette info.... accusation pour escroquerie !

Corse. Une association religieuse soupçonnée d'escroquerie
L’association "La famille Ave Maria de l’enfant Jésus", située à Vescovato en Corse, est soupçonnée d'abus de confiance. Elle aurait soutirée de l'argent à plusieurs fidèles.

"Messagère de la Vierge Marie" qui "porte les stigmates du Christ ", une présentation sans ambages qui faisait accourir des fidèles de toute l'Europe et les clics se multiplier sur le site Internet.

C'est une ancienne aide-soignante d’une maison de retraite de Bastia, qui dirige dans le village de Vescovato une bien curieuse association religieuse : La famille Ave Maria de l’enfant Jésus. Elle était l'objet de la surveillance du parquet de Bastia et de plusieurs enquêtes depuis plusieurs mois, pour soupçons d'abus de faiblesse, de confiance et des escroqueries. L’évêché de Corse, lui, condamne fermement les pratiques de l’Ave Maria et met en garde les croyants.

Derrière le voile blanc religieux et la tenue religieuse immaculée, on trouve Agnès Mignoni, 46 ans. Elle affirme avoir divorcé sur ordre de la Vierge pour se consacrer à la religion dans les colonnes du Parisien. Sur le site de l’association, Agnès assure avoir « une première apparition le 23 juin 1986 », alors qu’elle faisait des études d’infirmière. En mars 1990, la Vierge lui aurait montré « une croix glorieuse » surgissant au pied d’un rosier enflammé. Depuis, Agnès Mignoni a été renvoyée de la maison de retraite où elle travaillait après avoir fait part de ses visions.

"Nous sommes face à une organisation religieuse à risques. Il existe une forte personnalisation autour de cette femme. Cela peut s’apparenter à un risque de dérive sectaire ", prévient Jean-Jacques Fagni, le procureur de Bastia, qui note par ailleurs que l’association évoque sans cesse son " besoin d’espèces sonnantes et trébuchantes ". Des appels de fonds qui ont conduit un homme originaire de Clermont-Ferrand à porter plainte pour abus de faiblesse. Son épouse fascinée par la Messagère avait vidé le compte familial de 12 000 € relève le Post.

Du côté de l'église corse, on se bat depuis plusieurs années pour la fermeture du site Internet. Et si Agnès revendique le soutien de certains religieux, c'est une allégation sans fondement comme l'explique Stéphane Sclavo, le secrétaire particulier de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque de Corse "Agnès Mignoni revendiquait faussement le soutien de certains prêtres qui n’ont pas le droit d’exercer ".

Lors de la semaine de la Vierge en septembre, la Messagère loue un appartement à Pancheraccia où allongée sur un lit, elle montre les stigmates du Christ sur son corps. (!!!)
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L’association "La famille Ave Maria de l’enfant Jésus", située à Vescovato en Corse, est soupçonnée d'abus de confiance. Elle aurait soutirée de l'argent à plusieurs fidèles.


"Messagère de la Vierge Marie" qui "porte les stigmates du Christ ", une présentation sans ambages qui faisait accourir des fidèles de toute l'Europe et les clics se multiplier sur le site Internet.

C'est une ancienne aide-soignante d’une maison de retraite de Bastia, qui dirige dans le village de Vescovato une bien curieuse association religieuse : La famille Ave Maria de l’enfant Jésus. Elle était l'objet de la surveillance du parquet de Bastia et de plusieurs enquêtes depuis plusieurs mois, pour soupçons d'abus de faiblesse, de confiance et des escroqueries. L’évêché de Corse, lui, condamne fermement les pratiques de l’Ave Maria et met en garde les croyants.

Derrière le voile blanc religieux et la tenue religieuse immaculée, on trouve Agnès Mignoni, 46 ans. Elle affirme avoir divorcé sur ordre de la Vierge pour se consacrer à la religion dans les colonnes du Parisien. Sur le site de l’association, Agnès assure avoir « une première apparition le 23 juin 1986 », alors qu’elle faisait des études d’infirmière. En mars 1990, la Vierge lui aurait montré « une croix glorieuse » surgissant au pied d’un rosier enflammé. Depuis, Agnès Mignoni a été renvoyée de la maison de retraite où elle travaillait après avoir fait part de ses visions.

"Nous sommes face à une organisation religieuse à risques. Il existe une forte personnalisation autour de cette femme. Cela peut s’apparenter à un risque de dérive sectaire ", prévient Jean-Jacques Fagni, le procureur de Bastia, qui note par ailleurs que l’association évoque sans cesse son " besoin d’espèces sonnantes et trébuchantes ". Des appels de fonds qui ont conduit un homme originaire de Clermont-Ferrand à porter plainte pour abus de faiblesse. Son épouse fascinée par la Messagère avait vidé le compte familial de 12 000 € relève le Post.

Du côté de l'église corse, on se bat depuis plusieurs années pour la fermeture du site Internet. Et si Agnès revendique le soutien de certains religieux, c'est une allégation sans fondement comme l'explique Stéphane Sclavo, le secrétaire particulier de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque de Corse "Agnès Mignoni revendiquait faussement le soutien de certains prêtres qui n’ont pas le droit d’exercer ".

Lors de la semaine de la Vierge en septembre, la Messagère loue un appartement à Pancheraccia où allongée sur un lit, elle montre les stigmates du Christ sur son corps.

Nous sommes face à une organisation religieuse à risques. Il existe une forte personnalisation autour de cette femme. Cela peut s’apparenter à un risque de dérive sectaire ", prévient Jean-Jacques Fagni, le procureur de Bastia, qui note par ailleurs que l’association évoque sans cesse son " besoin d’espèces sonnantes et trébuchantes ". Des appels de fonds qui ont conduit un homme originaire de Clermont-Ferrand à porter plainte pour abus de faiblesse. Son épouse fascinée par la Messagère avait vidé le compte familial de 12 000 € relève le Post.

Lorena a écrit:De plus je connais personnellement quelqu'un (un ami) qui l'a suivie pendant 18 mois au risque de briser sa famille. Il en a été traumatisé et est en train de se reconstruire. Il a demandé pardon à sa famille, et il ne veut plus rien savoir de cette fausse prophétesse....

J'ai dû le dire sur un autre forum "Viens Seigneur Jésus" qui est beaucoup trop indulgent avec cette personne... Curieusement sur ce forum les 16 vidéos ont été effacées...

Enquête du parquet de Bastia sur une association religieuse et une « messagère »
samedi 1er août 2009, par admin

AJACCIO, 30 juil 2009 (AFP) - Une enquête préliminaire a été ouverte, notamment pour « abus de faiblesse sur une personne vulnérable », sur les agissements d’une association religieuse établie à Vescovato, en Haute-Corse, a indiqué jeudi le procureur général Paul Michel à l’AFP.

« Une enquête préliminaire a été ouverte par le procureur Jean-Jacques Fagni sur cette association religieuse qui se fait appeler +La famille Ave Maria de l’enfant Jésus+ », a-t-il précisé.

« Elle a été ouverte il y a plusieurs semaines à la suite d’un signalement. Nous n’en sommes qu’aux prémices », a précisé le magistrat confirmant une information du quotidien le Parisien.

« Nous passons tout en revue pour voir si nous avons à faire à de doux dingues ou si il y a eu une entourloupe », a déclaré le procureur Fagni à l’AFP en relevant « le caractère a priori assez curieux de cette association ».

L’enquête a été ouverte « pour abus de faiblesse sur une personne vulnérable en liaison avec une entreprise sectaire, abus de confiance et escroquerie », a-t-on indiqué de source judiciaire.

L’association est dirigée par une ancienne-aide soignante, Agnès Mignoni, 46 ans, qui se fait appeler « La messagère ».

Sur son site internet - dont l’évéché d’Ajaccio à vainement demandé la fermeture - « l’association se prévaut de soutiens de l’Eglise de Corse et du Vatican, dont elle ne dispose pas », a précisé jeudi à l’AFP un porte-parole de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque d’Ajaccio.

« Cette personne prétend être une messagère de Dieu et fait état de soutiens de personnalités de l’Eglise qu’elle n’a pas, et d’apparitions qui n’ont jamais fait l’objet de la moindre enquête de l’Eglise et, par conséquent, ne sont pas validées », a déclaré le porte-parole.

Agnès Mignoni mise en examen!?

Message par sylvia le Sam 17 Déc - 17:30
La Messagère de la Vierge écrouée pour escroquerie

Accusée d’avoir soutiré d’importantes sommes à ses fidèles, Agnès Malet, qui se fait appeler la Messagère de la Vierge, a été incarcérée mercredi.

MARION GALLAND | Publié le 17.12.2011, 12h12


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Agnès Malet, ici en 2009 (sur les deux photos), ne se déplaçait plus qu’en habit de prière et coiffée d’un voile blanc, « à la demande de la Vierge Marie ». | (DR.)


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Depuis mercredi soir, Agnès Malet dort derrière les barreaux de la prison de Borgo. La responsable de l’association Ave Maria de l’enfant Jésus a été mise en examen pour abus de confiance, abus de faiblesse et escroquerie sur personnes vulnérables. Cette ancienne aide-soignante de 48 ans aurait subtilisé plusieurs dizaines de milliers d’euros à ses fidèles en affirmant recevoir, depuis près de vingt-cinq ans, des messages de la Vierge Marie.

« Ça a commencé le 23 juin 1986, explique Agnès Malet dans une vidéo sur Internet. C’était la première rencontre, inoubliable! Après c’est devenu de plus en plus fréquent. » Originaire du continent, mais installée à Vescovato après son mariage avec un insulaire, celle qui se fait appeler la Messagère a intrigué dès son arrivée en Corse. « Elle a toujours été spéciale, confie une villageoise, à l’église elle se mettait toujours en avant. Elle roulait dans une vieille voiture grise sur laquelle elle avait apposé un énorme autocollant de la Vierge. »

Dans cette commune de 2300 habitants, Agnès Malet ne passe pas inaperçue, son comportement amuse. Mais, à partir de 2001, son attitude change et fait naître une inquiétude croissante. Durant près d’un an elle disparaît en compagnie de son mari et de ses deux enfants, aux prénoms prédestinés, Marie et Joseph. Certains pensent qu’ils ont fui en Sardaigne mais, encore aujourd’hui, le doute subsiste.

A leur retour, les choses s’aggravent. Agnès aurait littéralement dépouillé son époux et essayé d’embrigader ses enfants, arguant que sa fille recevait elle aussi des messages de Marie. Le père, très chrétien, a réussi à protéger ses enfants, dont il a aujourd’hui la garde. Mais d’autres sont tombés sous l’emprise d’Agnès. « Un jour, une croix lumineuse de trois ou quatre mètres de hauteur a été installée dans le jardin d’une dame du village. Agnès et les autres y venaient, déguisées en nonnes et elles chantaient, dansaient autour de la croix. » La Messagère, qui, « à la demande de Marie », se déplace désormais toujours en habit de prière et coiffée d’un voile blanc, n’est plus la bienvenue au village. Dans l’une de ses vidéos, elle évoque, sourire aux lèvres, « des persécutions, des calomnies » dues à son statut de messagère puis, quelques secondes plus tard, « des attaques directes du démon ». L’ancienne aide-soignante affirme que son association est affiliée au Vatican, des faits totalement démentis par l’ancien évêque de Corse.

« Il y a très clairement des dérives sectaires, indique Dominique Alzéari, le procureur de la République de Bastia. Nous avons interrogé les membres de l’association et tous continuent à la défendre alors que certains se sont fait dépouiller. L’enquête est encore en cours mais on parle de sommes très importantes. » L’association ne comptait qu’une vingtaine de membres, mais les détournements remonteraient à plusieurs années et les enquêteurs sont à la recherche d’anciennes victimes qui auraient quitté de leur plein gré cette organisation.

En plus de la Vierge Marie, Agnès disait recevoir des apparitions de Joseph, et cela de manière très ponctuelle, le 19 de chaque mois. La prochaine visite, prévue dans deux jours, se fera sans doute au parloir de la prison de Borgo.

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