COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : PROTEGER L'AGRICULTURE FRANCAISE
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COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : PROTEGER L'AGRICULTURE FRANCAISE
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : PROTEGER L'AGRICULTURE FRANCAISE
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Mais comment traiter du problême de l'agriculture selon l'optique Royaliste ?
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Pateite-fils d'agricultuteur, fils d'éleveur puis d'artisan, spécilaiste de communication politique en France puis officier de sécurité en Italie, je vous ai montré avec mon Cabinet comment protéger la faune et la flore : préserver la bio-diversité, agir contre la souffrance des animaux, limiter et maîtriser la vivisection, laisser les questions d'environnement aux ruraux : agriculteurs et éleveurs, chatelains, chasseurs, forestiers, montagnards, etc... ce qui signifie créer un ministère de la ruralité et de l'agriculture et adjoindre les questions d'environnement à ce ministère.
Pour traiter du problême de l'agriculture selon l'optique Royaliste, il faut ainsi :
1. Donner au revenu agricole son juste niveau par une politique de prix vrais.
Le paysan Français doit voir récompenser ses efforts en retirant le juste fruit de son
travail. Il convient donc que le produit soit payé à sa juste valeur et que les prix agricoles
tiennent effectivement compte de tous les coûts entrant dans leur composition.
On objecte souvent à cette proposition qu’elle va augmenter les prix pour le
consommateur : c’est marginalement vrai, mais ce que le consommateur libre paiera, le
contribuable captif (par le biais des primes) cessera de le payer. L’opération est donc
quasiment équilibrée.
Quant au marché mondial, dont la principale référence reste le blé, la France y est en
position de force sur le plan de la production. Elle pourra aussi, par le biais de traités de
commerce bilatéraux vis-à-vis de ses voisins européens ou d’autres pays, mener une
politique d’exportation qui respecte les intérêts des deux parties. Elle se protégera, quoi
qu’il arrive, de toute importation excessive et, a fortiori, détaxée.
2. Développer la moyenne exploitation familiale et son autonomie économique.
L’agriculture Française est pluraliste et doit le rester. Il existe des exploitations de grande
capacité qui produisent des quantités importantes. Il existe aussi des exploitations de
caractère plus familial nécessitant davantage de main-d’oeuvre. Ces exploitations sont
généralement de taille plus faible et réalisent des productions à valeur ajoutée
supérieure. Ce sont celles-là que les pouvoirs publics doivent encourager en priorité. Elles
feront le choix d’une agriculture naturelle et d’une politique de produits d’appellation ou
labellisés. Comme prévu dans la loi agricole de 1960, toute liberté sera rendue aux
paysans pour se lancer à la conquête de leur propre marché, notamment en conférant de
la valeur ajoutée à leurs productions.
Cette politique vise clairement à instaurer un lien direct entre producteurs et
consommateurs et à diminuer le poids des groupes agro-industriels ou de la distribution,
c’est-à-dire de faire le choix de la concurrence saine. Les lois de 1984 (“maîtrise
foncière”) et celle de juillet 1999 (Contrats territoriaux d’exploitation, CDOA...) seront
abrogées.
3. Favoriser l’installation de jeunes agriculteurs.
Les contraintes financières qui empêchent la pérennité des exploitations seront levées.
Les taux des prêts bonifiés seront abaissés et les charges sociales supprimées les cinq
premières années d’exploitation. La dotation aux jeunes agriculteurs sera
considérablement revalorisée.
4. Instituer un moratoire des dettes.
Il sera mis en place un moratoire des dettes agricoles afin de remédier à ces situations
en proposant des solutions qui assurent la pérennité des fermes en exploitation.
5. Créer un statut du pluriactif agricole.
Beaucoup d’exploitations modestes peuvent rester viables si l’agriculteur peut exercer,
par ailleurs, une autre activité. Ce mode de fonctionnement sera encouragé par la
création d’un statut de pluriactif, réglant de façon avantageuse pour le paysan les
questions d’assurance-maladie, de retraite et de fiscalité. Le régime-maternité des
femmes d’agriculteur sera aligné sur le régime de droit commun.
6. Supprimer les taxations indues qui frappent l’activité agricole.
L’impôt sur le foncier non-bâti sera supprimé et remplacé, pour les communes rurales,
par une dotation globale versée par l’État. En outre, l’ensemble des nombreuses taxes
parafiscales qui frappent l’agriculture sera réformé afin d’alléger le poids qu’elles
imposent aux agriculteurs. Sera inscrit dans la constitution la suppression de tout impôt sur la sucesion et la donation pour les familles Françaises vivant en ville ou à la campagne.
Les cotisations-maladie et maternité seront alignées sur le régime général et calculées sur le revenu effectif.
Défendons l'exception agricole française ! | Marion Maréchal (avec Agnès Marion)
https://www.youtube.com/watch?v=-T-RSgCnRmY
7. Mettre les retraites agricoles au même niveau que celles des autres Français.
Le régime des retraites agricoles sera revu pour le mettre à parité avec les autres
catégories socio-professionnelles, par son rattachement au sein du régime général et sa
fiscalisation, en raison du déséquilibre structurel du régime.
8. Limiter l’usage des engrais et des produits phytosanitaires.
Le choix de l’agriculture naturelle permettra d’éliminer progressivement ce type de
pollution. Il sera également procédé à l’interdiction de l’usage des herbicides les plus
polluants (dinoterbe, alachlore, atrazine). L’épandage et l’utilisation des boues
d’épuration urbaine à des fins agricoles sera prohibée.
9. Développer l’élevage naturel des animaux de boucherie.
L’élevage naturel extensif est seul de nature à garantir, contrairement à la stabulation ou
au “hors sol”, le respect de l’environnement comme la qualité du produit fini. La
céréaliculture sera encouragée pour la nourriture des animaux de boucherie.
Les ateliers industriels hors-sol seront taxés à proportion des nuisances à l’environnement qu’ils
entraînent, en attendant leur démantèlement. Toute installation nouvelle sera interdite.
La vaccination systématique des animaux susceptibles d’être atteints de fièvre aphteuse
sera de nouveau pratiquée.
10. Viser à une qualité croissante des produits agricoles et alimentaires.
Le consommateur recherche aujourd’hui des denrées de qualité. Cette orientation
augmentera la valeur ajoutée sur les produits et donc le revenu des agriculteurs. La
politique des labels (AOC et IGP) sera très fortement intensifiée. La commission nationale
des labels et certifications (qui ne comprendra que des exploitants) sera renforcée et
veillera à une stricte application des critères d’éligibilité, pour éviter détournements de
procédures et assouplissements des normes.
11. Mettre en place un moratoire pour les organismes génétiquement modifiés (OGM).
Compte tenu des questions non résolues qu’ils posent à ce jour, les OGM seront interdits
à l’utilisation, à la commercialisation et à l’importation. Un moratoire de dix ans leur sera
appliqué, permettant à la recherche nationale, tant la démonstration de leur innocuité
sanitaire et environnementale, que l’expérimentation permettant de disposer d’un outil
national en la matière pour des raisons d’indépendance bien compréhensibles.
12. Supprimer les SAFER et mettre fin au remembrement agricole.
Ces sociétés de droit public seront dissoutes. En plus de la suppression des droits de
succession en ligne directe, des modifications seront apportées à la loi civile pour éviter
le morcellement agricole. La directive européenne Natura 2000 ne sera pas appliquée.
13. Parvenir à l’auto-suffisance nationale agricole et alimentaire.
Confortée par le rétablissement des frontières, l’agriculture Française devra s’efforcer de
couvrir au maximum les productions actuellement importées. L’État encouragera le
développement de cultures susceptibles d’être utilisées comme matières premières
industrielles.
Il faut défendre le « Manger français » , modèle agricole le pus durable au monde, une agriculture dynamique, viable et vivable, et il est inacceptable de continuer l’import de produits étrangers alors même que l’agriculture Française est en perdition. Il faut demander des prises de position fortes de la part du ministère qui devrait s’inquiéter des conséquences de ses choix sur les exploitations.
Pour perpétuer la tradition viticole en danger, Yves d’Amécourt en appelle à une diplomatie du vin :
-Le Président est plus occupé à vendre des avions et des armes que du vin ! Pendant ce temps, d’autres pays, comme le Chili, sont beaucoup plus offensifs et mettent leur diplomatie au service de l’exportation des vins. Ils obtiennent notamment des droits de douane plus avantageux sur des marchés prometteurs. Lorsqu’elle négocie les accords internationaux, la France semble oublier que la filière viticole est à la seconde place des contributeurs à la balance commerciale de la France, derrière l’aéronautique et devant les cosmétiques.
14. Rendre aux paysans leurs libertés professionnelles et la maîtrise de l’enseignement agricole.
Il convient d’encourager le pluralisme syndical et de diversifier le mode de représentation
des agriculteurs. Le mode de scrutin proportionnel sera instauré pour les élections aux
chambres d’agriculture. L’insémination animale cessera d’être le monopole des centres
techniques.
L’enseignement agricole doit garder sa spécificité et rester le lieu de la formation de
paysans professionnellement compétents et respectueux du capital de civilisation que
représente la terre française. Toutes les mesures nécessaires seront prises dans ce sens,
notamment en confiant l’enseignement agricole à la profession. Le chèque scolaire lui est
naturellement applicable.
15. Préserver les communes rurales et leur donner les moyens de se développer.
Ainsi qu’il est précisé au chapitre Institutions, la personnalité et l’existence de toutes les
communes françaises, dont 90% sont rurales, seront préservées.
De plus en plus de citadins veulent échapper aux contraintes des grandes agglomérations
en s’installant à la campagne. Il faut amplifier ce mouvement de réenracinement
territorial. Les mesures suivantes seront adoptées :
- la création de zones de reconversion rurale, bénéficiant de privilèges comparables aux
pôles de reconversion industrielle ;
- la suppression pendant cinq ans des charges sociales pour toute création d’emploi en
milieu rural ;
- la mise en place de bonifications d’intérêts pour les investissements de qualité.
- protéger les éleveur contre l'échoterrorisme : déclarer par L214 comme organisation terroriste, prévoir sa dissolution et réprimer toute attaque écoterroriste contre les éleveurs.
16. Limiter la propriété foncière étrangère.
Des dispositions légales restreindront l’appropriation de la terre par des ressortissants
étrangers.
17. Valoriser nos forêts.
La France possède le premier massif boisé d’Europe. Le développement des activités liées
au bois permettra de réduire nos importations et de créer des emplois nouveaux dans
une activité qui connaît un potentiel d’innovation et une croissance des qualifications
reconnus.
18. Protéger les animaux.
Disons le haut et fort : nous, Royalistes, nous avons beaucoups d'amis chez les ruraux : chatelains, agriculteurs/éleveurs, vignerons, chasseurs. Certains chatelains possèdent des chevaux, certains chasseurs possèdent des chevaux et des chiens, les agriculteurs et les éleveurs possèdent des animaux de fermes et de basse-court et il n'est pas exclut que certains vignerons possèdent des chiens et des chats.
La maltraitance volontaire des animaux n’est plus supportable au sein de notre société. Elle révèle, de la part des individus qui en sont responsables, des comportements qui, s’il n’y est pas mis fin, peuvent entraîner de graves dérives dans leurs rapports avec les autres.
Pour protéger les animaux il faudra accorder une reconnaissance constitutionnelle au statut juridique des animaux, créer un nouveau statut de droit civil pour les animaux, renforcer les peines sanctionnant les infractions commises envers les animaux, renforcer le rôle des associations, lutter contre les fraudes, pour mieux protéger les animaux, doter l’État des outils nécessaires à la protection animale, rendre la parole aux citoyens sur la question animale, par la création du référendum d’initiative populaire en matière législative.
19. Protéger nos campagnes.
Alors qu'ils viennent jusque dans nos campagnes égorger nos filles et nos compagnes, il faut réformer les prérogatives du pouvoir judiciaire (assurer l'indépendance des juges, supprimer les juges d'application des peines, revaloriser le statut des magistrats, sanbsctionner le magistrtats laxistes ou idéologisés), se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels (un grand chapeau au Groupe d'Observation et de Surveillance de la Gendarmerie Nationale, donner à la gendarmerie plus de moyens), assurer la prévention du crime et de la délinquance (mettre fin à l'immigration extra-européenne, réintroduction du civisme et de la morale à l'école), punir les crimes et les délits (doter les forces de polic et de gendarmerie des attribus de police judiciaires autant que de police administrative), moderniser le système pénitenciaire (armer les gardiens de prison, transfomre les gardiesn de prison en policiers pénitenciers dépendants du GIGN).
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos insitutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeune fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Mais comment traiter du problême de l'agriculture selon l'optique Royaliste ?
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Pateite-fils d'agricultuteur, fils d'éleveur puis d'artisan, spécilaiste de communication politique en France puis officier de sécurité en Italie, je vous ai montré avec mon Cabinet comment protéger la faune et la flore : préserver la bio-diversité, agir contre la souffrance des animaux, limiter et maîtriser la vivisection, laisser les questions d'environnement aux ruraux : agriculteurs et éleveurs, chatelains, chasseurs, forestiers, montagnards, etc... ce qui signifie créer un ministère de la ruralité et de l'agriculture et adjoindre les questions d'environnement à ce ministère.
Pour traiter du problême de l'agriculture selon l'optique Royaliste, il faut ainsi :
1. Donner au revenu agricole son juste niveau par une politique de prix vrais.
Le paysan Français doit voir récompenser ses efforts en retirant le juste fruit de son
travail. Il convient donc que le produit soit payé à sa juste valeur et que les prix agricoles
tiennent effectivement compte de tous les coûts entrant dans leur composition.
On objecte souvent à cette proposition qu’elle va augmenter les prix pour le
consommateur : c’est marginalement vrai, mais ce que le consommateur libre paiera, le
contribuable captif (par le biais des primes) cessera de le payer. L’opération est donc
quasiment équilibrée.
Quant au marché mondial, dont la principale référence reste le blé, la France y est en
position de force sur le plan de la production. Elle pourra aussi, par le biais de traités de
commerce bilatéraux vis-à-vis de ses voisins européens ou d’autres pays, mener une
politique d’exportation qui respecte les intérêts des deux parties. Elle se protégera, quoi
qu’il arrive, de toute importation excessive et, a fortiori, détaxée.
2. Développer la moyenne exploitation familiale et son autonomie économique.
L’agriculture Française est pluraliste et doit le rester. Il existe des exploitations de grande
capacité qui produisent des quantités importantes. Il existe aussi des exploitations de
caractère plus familial nécessitant davantage de main-d’oeuvre. Ces exploitations sont
généralement de taille plus faible et réalisent des productions à valeur ajoutée
supérieure. Ce sont celles-là que les pouvoirs publics doivent encourager en priorité. Elles
feront le choix d’une agriculture naturelle et d’une politique de produits d’appellation ou
labellisés. Comme prévu dans la loi agricole de 1960, toute liberté sera rendue aux
paysans pour se lancer à la conquête de leur propre marché, notamment en conférant de
la valeur ajoutée à leurs productions.
Cette politique vise clairement à instaurer un lien direct entre producteurs et
consommateurs et à diminuer le poids des groupes agro-industriels ou de la distribution,
c’est-à-dire de faire le choix de la concurrence saine. Les lois de 1984 (“maîtrise
foncière”) et celle de juillet 1999 (Contrats territoriaux d’exploitation, CDOA...) seront
abrogées.
3. Favoriser l’installation de jeunes agriculteurs.
Les contraintes financières qui empêchent la pérennité des exploitations seront levées.
Les taux des prêts bonifiés seront abaissés et les charges sociales supprimées les cinq
premières années d’exploitation. La dotation aux jeunes agriculteurs sera
considérablement revalorisée.
4. Instituer un moratoire des dettes.
Il sera mis en place un moratoire des dettes agricoles afin de remédier à ces situations
en proposant des solutions qui assurent la pérennité des fermes en exploitation.
5. Créer un statut du pluriactif agricole.
Beaucoup d’exploitations modestes peuvent rester viables si l’agriculteur peut exercer,
par ailleurs, une autre activité. Ce mode de fonctionnement sera encouragé par la
création d’un statut de pluriactif, réglant de façon avantageuse pour le paysan les
questions d’assurance-maladie, de retraite et de fiscalité. Le régime-maternité des
femmes d’agriculteur sera aligné sur le régime de droit commun.
6. Supprimer les taxations indues qui frappent l’activité agricole.
L’impôt sur le foncier non-bâti sera supprimé et remplacé, pour les communes rurales,
par une dotation globale versée par l’État. En outre, l’ensemble des nombreuses taxes
parafiscales qui frappent l’agriculture sera réformé afin d’alléger le poids qu’elles
imposent aux agriculteurs. Sera inscrit dans la constitution la suppression de tout impôt sur la sucesion et la donation pour les familles Françaises vivant en ville ou à la campagne.
Les cotisations-maladie et maternité seront alignées sur le régime général et calculées sur le revenu effectif.
Défendons l'exception agricole française ! | Marion Maréchal (avec Agnès Marion)
https://www.youtube.com/watch?v=-T-RSgCnRmY
7. Mettre les retraites agricoles au même niveau que celles des autres Français.
Le régime des retraites agricoles sera revu pour le mettre à parité avec les autres
catégories socio-professionnelles, par son rattachement au sein du régime général et sa
fiscalisation, en raison du déséquilibre structurel du régime.
8. Limiter l’usage des engrais et des produits phytosanitaires.
Le choix de l’agriculture naturelle permettra d’éliminer progressivement ce type de
pollution. Il sera également procédé à l’interdiction de l’usage des herbicides les plus
polluants (dinoterbe, alachlore, atrazine). L’épandage et l’utilisation des boues
d’épuration urbaine à des fins agricoles sera prohibée.
9. Développer l’élevage naturel des animaux de boucherie.
L’élevage naturel extensif est seul de nature à garantir, contrairement à la stabulation ou
au “hors sol”, le respect de l’environnement comme la qualité du produit fini. La
céréaliculture sera encouragée pour la nourriture des animaux de boucherie.
Les ateliers industriels hors-sol seront taxés à proportion des nuisances à l’environnement qu’ils
entraînent, en attendant leur démantèlement. Toute installation nouvelle sera interdite.
La vaccination systématique des animaux susceptibles d’être atteints de fièvre aphteuse
sera de nouveau pratiquée.
10. Viser à une qualité croissante des produits agricoles et alimentaires.
Le consommateur recherche aujourd’hui des denrées de qualité. Cette orientation
augmentera la valeur ajoutée sur les produits et donc le revenu des agriculteurs. La
politique des labels (AOC et IGP) sera très fortement intensifiée. La commission nationale
des labels et certifications (qui ne comprendra que des exploitants) sera renforcée et
veillera à une stricte application des critères d’éligibilité, pour éviter détournements de
procédures et assouplissements des normes.
11. Mettre en place un moratoire pour les organismes génétiquement modifiés (OGM).
Compte tenu des questions non résolues qu’ils posent à ce jour, les OGM seront interdits
à l’utilisation, à la commercialisation et à l’importation. Un moratoire de dix ans leur sera
appliqué, permettant à la recherche nationale, tant la démonstration de leur innocuité
sanitaire et environnementale, que l’expérimentation permettant de disposer d’un outil
national en la matière pour des raisons d’indépendance bien compréhensibles.
12. Supprimer les SAFER et mettre fin au remembrement agricole.
Ces sociétés de droit public seront dissoutes. En plus de la suppression des droits de
succession en ligne directe, des modifications seront apportées à la loi civile pour éviter
le morcellement agricole. La directive européenne Natura 2000 ne sera pas appliquée.
13. Parvenir à l’auto-suffisance nationale agricole et alimentaire.
Confortée par le rétablissement des frontières, l’agriculture Française devra s’efforcer de
couvrir au maximum les productions actuellement importées. L’État encouragera le
développement de cultures susceptibles d’être utilisées comme matières premières
industrielles.
Il faut défendre le « Manger français » , modèle agricole le pus durable au monde, une agriculture dynamique, viable et vivable, et il est inacceptable de continuer l’import de produits étrangers alors même que l’agriculture Française est en perdition. Il faut demander des prises de position fortes de la part du ministère qui devrait s’inquiéter des conséquences de ses choix sur les exploitations.
Pour perpétuer la tradition viticole en danger, Yves d’Amécourt en appelle à une diplomatie du vin :
-Le Président est plus occupé à vendre des avions et des armes que du vin ! Pendant ce temps, d’autres pays, comme le Chili, sont beaucoup plus offensifs et mettent leur diplomatie au service de l’exportation des vins. Ils obtiennent notamment des droits de douane plus avantageux sur des marchés prometteurs. Lorsqu’elle négocie les accords internationaux, la France semble oublier que la filière viticole est à la seconde place des contributeurs à la balance commerciale de la France, derrière l’aéronautique et devant les cosmétiques.
14. Rendre aux paysans leurs libertés professionnelles et la maîtrise de l’enseignement agricole.
Il convient d’encourager le pluralisme syndical et de diversifier le mode de représentation
des agriculteurs. Le mode de scrutin proportionnel sera instauré pour les élections aux
chambres d’agriculture. L’insémination animale cessera d’être le monopole des centres
techniques.
L’enseignement agricole doit garder sa spécificité et rester le lieu de la formation de
paysans professionnellement compétents et respectueux du capital de civilisation que
représente la terre française. Toutes les mesures nécessaires seront prises dans ce sens,
notamment en confiant l’enseignement agricole à la profession. Le chèque scolaire lui est
naturellement applicable.
15. Préserver les communes rurales et leur donner les moyens de se développer.
Ainsi qu’il est précisé au chapitre Institutions, la personnalité et l’existence de toutes les
communes françaises, dont 90% sont rurales, seront préservées.
De plus en plus de citadins veulent échapper aux contraintes des grandes agglomérations
en s’installant à la campagne. Il faut amplifier ce mouvement de réenracinement
territorial. Les mesures suivantes seront adoptées :
- la création de zones de reconversion rurale, bénéficiant de privilèges comparables aux
pôles de reconversion industrielle ;
- la suppression pendant cinq ans des charges sociales pour toute création d’emploi en
milieu rural ;
- la mise en place de bonifications d’intérêts pour les investissements de qualité.
- protéger les éleveur contre l'échoterrorisme : déclarer par L214 comme organisation terroriste, prévoir sa dissolution et réprimer toute attaque écoterroriste contre les éleveurs.
16. Limiter la propriété foncière étrangère.
Des dispositions légales restreindront l’appropriation de la terre par des ressortissants
étrangers.
17. Valoriser nos forêts.
La France possède le premier massif boisé d’Europe. Le développement des activités liées
au bois permettra de réduire nos importations et de créer des emplois nouveaux dans
une activité qui connaît un potentiel d’innovation et une croissance des qualifications
reconnus.
18. Protéger les animaux.
Disons le haut et fort : nous, Royalistes, nous avons beaucoups d'amis chez les ruraux : chatelains, agriculteurs/éleveurs, vignerons, chasseurs. Certains chatelains possèdent des chevaux, certains chasseurs possèdent des chevaux et des chiens, les agriculteurs et les éleveurs possèdent des animaux de fermes et de basse-court et il n'est pas exclut que certains vignerons possèdent des chiens et des chats.
La maltraitance volontaire des animaux n’est plus supportable au sein de notre société. Elle révèle, de la part des individus qui en sont responsables, des comportements qui, s’il n’y est pas mis fin, peuvent entraîner de graves dérives dans leurs rapports avec les autres.
Pour protéger les animaux il faudra accorder une reconnaissance constitutionnelle au statut juridique des animaux, créer un nouveau statut de droit civil pour les animaux, renforcer les peines sanctionnant les infractions commises envers les animaux, renforcer le rôle des associations, lutter contre les fraudes, pour mieux protéger les animaux, doter l’État des outils nécessaires à la protection animale, rendre la parole aux citoyens sur la question animale, par la création du référendum d’initiative populaire en matière législative.
19. Protéger nos campagnes.
Alors qu'ils viennent jusque dans nos campagnes égorger nos filles et nos compagnes, il faut réformer les prérogatives du pouvoir judiciaire (assurer l'indépendance des juges, supprimer les juges d'application des peines, revaloriser le statut des magistrats, sanbsctionner le magistrtats laxistes ou idéologisés), se doter des moyens de répréssion des délinquants et des criminels (un grand chapeau au Groupe d'Observation et de Surveillance de la Gendarmerie Nationale, donner à la gendarmerie plus de moyens), assurer la prévention du crime et de la délinquance (mettre fin à l'immigration extra-européenne, réintroduction du civisme et de la morale à l'école), punir les crimes et les délits (doter les forces de polic et de gendarmerie des attribus de police judiciaires autant que de police administrative), moderniser le système pénitenciaire (armer les gardiens de prison, transfomre les gardiesn de prison en policiers pénitenciers dépendants du GIGN).
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos insitutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeune fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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