LE DEBUT DE LA FIN
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LE DEBUT DE LA FIN
LE DEBUT DE LA FIN
Cette tribune et sous le patronage de Saint Nicolas, qui est le vrai Père Noel, et comme nous somms le peremier vendredi du mois, sous celle également du Sacré-Coeur ou Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
L’allocution d’Emmanuel Macron jeudi soir 5 décembre 2024 a indigné à gauche comme à droite. Le Président a fait bondir la classe politique. Si le président de la République n’a pas nommé de Premier ministre jeudi soir, il a en revanche largement vilipendé la gauche et le Rassemblement national (RN), évoquant un « front anti-républicain des extrêmes ». Et il ne démissione pas...
-Nous vivons le début de la fin du macronnisme (Philippe de Villires)
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Motion de censure : Bruno Retailleau dénonce un « chaos organisé » et appelle la droite à assumer ses responsabilités et à œuvrer pour un futur gouvernement reposant sur l'ordre, le mérite et le bon sens
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Chute du gouvernement Barnier : réaction de Eric Zemmour
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« Une intervention pour rien », « le déni total » : la classe politique s’insurge contre le discours de Macron
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Mais la meilleure analyse vient encore de l'Action Française, que nous rejoignons totalement. Aussi le Cabinet a décidé de la publier en entier, tel quel :
La chute du Gouvernement Barnier ne saurait ni étonner ni affliger l’Action Française. Elle est la simple conséquence du manque de majorité, même relative —trois blocs sensiblement équivalents. Emmanuel Macron a joué avec le feu en dissolvant l’Assemblée nationale puis en organisant un « front républicain » dont le seul objectif était d’empêcher Jordan Bardella d’accéder à Matignon : on s’aperçoit aujourd’hui que cela ne fait pas une politique.
Le plus grave n’est pas tant que la France se retrouve sans budget pour 2025 à quelques semaines de la fin de l’année : la Constitution a prévu ce cas de figure et tous ceux qui, dans le « bloc central », ont joué contre les Français en appelant les marchés financiers à organiser le chaos pour faire peur au pays et rester en place, n’ont réussi pour l’instant qu’à montrer leur absence de patriotisme. Il en est de même de l’appel à un « gouvernement technique » : un gouvernement conduit toujours une politique et, qu’il soit « technique » — les Italiens en ont fait l’amère expérience — signifie seulement qu’il conduit la politique de Bruxelles et celle des marchés financiers — ce que font, peu ou prou, tous les gouvernements de droite ou de gauche depuis des lustres.
Depuis 1962 et la chute du Gouvernement Pompidou, aucun autre gouvernement n’était tombé à la suite d’une motion de censure. De plus, Macron est le premier président de la République dont un gouvernement tombe sur un « 49, alinéa 3 », à savoir en vue de rejeter un texte, en l’occurrence le projet de loi de financement de la Sécurité sociale — mais il en aurait été de même du projet de loi de finances pour 2025. C’est donc bien l’ensemble de la politique de ce gouvernement « républicain-macronien » que les oppositions ont rejeté, certes, pour des raisons souvent divergentes, mais de manière radicale. Un nouveau gouvernement ne changera pas la donne politique à l’Assemblée qui ne peut être de nouveau dissoute avant juin 2025. La démission du président de la République elle-même, si elle pourrait laisser la place à l’espoir d’un changement radical à plus ou moins brève échéance, dans le sens des intérêts de la nation, n’aurait pas non plus d’effet immédiat, une majorité patriote à l’Assemblée n’étant pas possible avant plusieurs mois. En revanche, elle permettrait de voir partir de l’Élysée un homme qui a toujours été indigne de sa fonction.
Nous ignorons à cette heure les conséquences immédiates de la chute du Gouvernement Barnier. Mais nous savons déjà qu’elle est le signe du pourrissement accéléré de nos institutions qui ne protègent même plus les Français de l’instabilité gouvernementale. Les maux qu’ils doivent affronter sont trop importants pour qu’ils ne se tournent pas à plus ou moins brève échéance vers un changement institutionnel radical. La Ve République semblait la meilleure en ce qu’elle paraissait la moins républicaine de toutes. Elle l’est encore manifestement trop. Passons de la fausse monarchie républicaine à une véritable monarchie, la monarchie Royale, seule à même de garantir le bien commun en assurant la continuité de la nation et un arbitrage indépendant de toutes les factions et les oligarchies.
Source : Communiqué d’Action française – Chute du Gouvernement Barnier
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Emmanuel Macron ne démissionnera donc pas. La France doit s’attendre à un nouveau déclassement, surtout si des événements intérieurs ou extérieurs menacent gravement sa cohésion. Il ne faudra pas alors compter sur un pays légal nombriliste, impuissant et indifférent à l’intérêt national pour assurer le relèvement de la France.
Oui passons de cette Monarchie élective qu'est la V° Régence Républicaine à la véritable Monarchie Française, la Monarchie Catholique et Royale, seule à même de garantir le bien commun en assurant la continuité de « la nation des Francs qui a Dieu pour fondateur » et un arbitrage indépendant de toutes les factions et les oligarchies.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Cette tribune et sous le patronage de Saint Nicolas, qui est le vrai Père Noel, et comme nous somms le peremier vendredi du mois, sous celle également du Sacré-Coeur ou Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
L’allocution d’Emmanuel Macron jeudi soir 5 décembre 2024 a indigné à gauche comme à droite. Le Président a fait bondir la classe politique. Si le président de la République n’a pas nommé de Premier ministre jeudi soir, il a en revanche largement vilipendé la gauche et le Rassemblement national (RN), évoquant un « front anti-républicain des extrêmes ». Et il ne démissione pas...
-Nous vivons le début de la fin du macronnisme (Philippe de Villires)
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Motion de censure : Bruno Retailleau dénonce un « chaos organisé » et appelle la droite à assumer ses responsabilités et à œuvrer pour un futur gouvernement reposant sur l'ordre, le mérite et le bon sens
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Chute du gouvernement Barnier : réaction de Eric Zemmour
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« Une intervention pour rien », « le déni total » : la classe politique s’insurge contre le discours de Macron
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Mais la meilleure analyse vient encore de l'Action Française, que nous rejoignons totalement. Aussi le Cabinet a décidé de la publier en entier, tel quel :
La chute du Gouvernement Barnier ne saurait ni étonner ni affliger l’Action Française. Elle est la simple conséquence du manque de majorité, même relative —trois blocs sensiblement équivalents. Emmanuel Macron a joué avec le feu en dissolvant l’Assemblée nationale puis en organisant un « front républicain » dont le seul objectif était d’empêcher Jordan Bardella d’accéder à Matignon : on s’aperçoit aujourd’hui que cela ne fait pas une politique.
Le plus grave n’est pas tant que la France se retrouve sans budget pour 2025 à quelques semaines de la fin de l’année : la Constitution a prévu ce cas de figure et tous ceux qui, dans le « bloc central », ont joué contre les Français en appelant les marchés financiers à organiser le chaos pour faire peur au pays et rester en place, n’ont réussi pour l’instant qu’à montrer leur absence de patriotisme. Il en est de même de l’appel à un « gouvernement technique » : un gouvernement conduit toujours une politique et, qu’il soit « technique » — les Italiens en ont fait l’amère expérience — signifie seulement qu’il conduit la politique de Bruxelles et celle des marchés financiers — ce que font, peu ou prou, tous les gouvernements de droite ou de gauche depuis des lustres.
Depuis 1962 et la chute du Gouvernement Pompidou, aucun autre gouvernement n’était tombé à la suite d’une motion de censure. De plus, Macron est le premier président de la République dont un gouvernement tombe sur un « 49, alinéa 3 », à savoir en vue de rejeter un texte, en l’occurrence le projet de loi de financement de la Sécurité sociale — mais il en aurait été de même du projet de loi de finances pour 2025. C’est donc bien l’ensemble de la politique de ce gouvernement « républicain-macronien » que les oppositions ont rejeté, certes, pour des raisons souvent divergentes, mais de manière radicale. Un nouveau gouvernement ne changera pas la donne politique à l’Assemblée qui ne peut être de nouveau dissoute avant juin 2025. La démission du président de la République elle-même, si elle pourrait laisser la place à l’espoir d’un changement radical à plus ou moins brève échéance, dans le sens des intérêts de la nation, n’aurait pas non plus d’effet immédiat, une majorité patriote à l’Assemblée n’étant pas possible avant plusieurs mois. En revanche, elle permettrait de voir partir de l’Élysée un homme qui a toujours été indigne de sa fonction.
Nous ignorons à cette heure les conséquences immédiates de la chute du Gouvernement Barnier. Mais nous savons déjà qu’elle est le signe du pourrissement accéléré de nos institutions qui ne protègent même plus les Français de l’instabilité gouvernementale. Les maux qu’ils doivent affronter sont trop importants pour qu’ils ne se tournent pas à plus ou moins brève échéance vers un changement institutionnel radical. La Ve République semblait la meilleure en ce qu’elle paraissait la moins républicaine de toutes. Elle l’est encore manifestement trop. Passons de la fausse monarchie républicaine à une véritable monarchie, la monarchie Royale, seule à même de garantir le bien commun en assurant la continuité de la nation et un arbitrage indépendant de toutes les factions et les oligarchies.
Source : Communiqué d’Action française – Chute du Gouvernement Barnier
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Emmanuel Macron ne démissionnera donc pas. La France doit s’attendre à un nouveau déclassement, surtout si des événements intérieurs ou extérieurs menacent gravement sa cohésion. Il ne faudra pas alors compter sur un pays légal nombriliste, impuissant et indifférent à l’intérêt national pour assurer le relèvement de la France.
Oui passons de cette Monarchie élective qu'est la V° Régence Républicaine à la véritable Monarchie Française, la Monarchie Catholique et Royale, seule à même de garantir le bien commun en assurant la continuité de « la nation des Francs qui a Dieu pour fondateur » et un arbitrage indépendant de toutes les factions et les oligarchies.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: LE DEBUT DE LA FIN
Après la chute du gouvernement Barnier, l’eurodéputée ECR et présidente du mouvement Identité-Libertés Marion Maréchal appelle à former une alliance allant du RN à l’UDR en passant par la Droite républicaine et Horizons, à l’image des coalitions à l’œuvre chez certains de nos voisins européens
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Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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