PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
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PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Rappel du premier message :
La Main Céleste de Tombow
(1976-02-10)
Le 10 Février 1976, selon une information parue dans le "Corriere della Valle d'Aosta", à Tombow (40 Km au sud de Moscou), une main blanche est apparue dans le ciel clair ; cette main tenait un pinceau et se mit à écrire :
« Le Mal submerge le Bien. C'est l'hiver pour mon peuple. C'est l'Heure du Repentir. Il ne restera pas une Âme droite au milieu des Âmes dépravées, et pas une Âme dépravée au milieu des Âmes droites." "Prenez Garde à Mon Avertissement. Faites Pénitence et repentez-vous. Je sauverai ceux qui craignent le Seigneur. Prenez vos responsabilités. Le Temps est proche. Je reviendrai bientôt. Amen. »
La MAIN passa environ une demie heure à tracer ce Message qui fut visible dans le ciel par tous les habitants de Tombow pendant 3 heures. L'émotion y fut telle que toute circulation fut interrompue. Les spectateurs se lisaient les uns aux autres, le texte écrit dans le ciel, les plus religieux l'expliquant aux Incroyants. Les Autorités soviétiques n'osèrent pas intervenir de crainte d'un soulèvement populaire.
Le même fait s'est de nouveau produit à Moscou, en Russie, le 19 Décembre, une main avait écrit dans le ciel :
« Le temps est venu de séparer l'ivraie du bon grain. »
La Main Céleste de Tombow
(1976-02-10)
Le 10 Février 1976, selon une information parue dans le "Corriere della Valle d'Aosta", à Tombow (40 Km au sud de Moscou), une main blanche est apparue dans le ciel clair ; cette main tenait un pinceau et se mit à écrire :
« Le Mal submerge le Bien. C'est l'hiver pour mon peuple. C'est l'Heure du Repentir. Il ne restera pas une Âme droite au milieu des Âmes dépravées, et pas une Âme dépravée au milieu des Âmes droites." "Prenez Garde à Mon Avertissement. Faites Pénitence et repentez-vous. Je sauverai ceux qui craignent le Seigneur. Prenez vos responsabilités. Le Temps est proche. Je reviendrai bientôt. Amen. »
La MAIN passa environ une demie heure à tracer ce Message qui fut visible dans le ciel par tous les habitants de Tombow pendant 3 heures. L'émotion y fut telle que toute circulation fut interrompue. Les spectateurs se lisaient les uns aux autres, le texte écrit dans le ciel, les plus religieux l'expliquant aux Incroyants. Les Autorités soviétiques n'osèrent pas intervenir de crainte d'un soulèvement populaire.
Le même fait s'est de nouveau produit à Moscou, en Russie, le 19 Décembre, une main avait écrit dans le ciel :
« Le temps est venu de séparer l'ivraie du bon grain. »
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Ancilla de Bruxelles
(1979-04-12)
Ancilla de Bruxelles (1972-1979). Ces messages furent publiés avec l'approbation de Mgr l'Archevêque de Niteroi, pour l'édition portugaise :
« Le saint-Père Paul VI est réduit à l'impuissance et ne peut plus paraître devant vous. Les décrets promulgués par le Vatican contre ma sainte Doctrine ne viennent pas de lui. Vous avez été avertis de l'action diabolique des traîtres, qui ont pris sa place et qui détiennent tous les pouvoirs pour mener mon Église à sa ruine. Priez pour mon Vicaire, le souverain Pontife Paul VI, martyr de l'Église, victime expiatoire pour les péchés des hommes et les sacrilèges de mes consacrés » (25/05/1976).
« Le saint Père Paul VI, prisonnier et infirme, a été éloigné de tous pouvoirs en tant que Chef suprême de la chrétienté, Je vous le répète. Cette action diabolique est menée par l'imposteur et mes indignes serviteurs, cardinaux de Rome, hauts placés dans les sociétés secrètes. Ils ont reçu pour mission de détruire ma maison, ma sainte doctrine, et de destituer ceux qui ont refusé de s'associer aux déserteurs de la vraie Foi » (26/07/76).
« Mon Église est sur la via dolorosa, elle gravira la montagne du Calvaire jusqu'au Sacrifice de la Croix » (5/11/1979).
« Ma Passion ne finira qu'avec l'arrivée de Ma Justice. Alors ce sera la joie de la résurrection de Mon peuple saint et indestructible dans la Vérité éternelle de la foi et l'épanouissement de Ma sainte Doctrine » (12/04/1979).
(1979-04-12)
Ancilla de Bruxelles (1972-1979). Ces messages furent publiés avec l'approbation de Mgr l'Archevêque de Niteroi, pour l'édition portugaise :
« Le saint-Père Paul VI est réduit à l'impuissance et ne peut plus paraître devant vous. Les décrets promulgués par le Vatican contre ma sainte Doctrine ne viennent pas de lui. Vous avez été avertis de l'action diabolique des traîtres, qui ont pris sa place et qui détiennent tous les pouvoirs pour mener mon Église à sa ruine. Priez pour mon Vicaire, le souverain Pontife Paul VI, martyr de l'Église, victime expiatoire pour les péchés des hommes et les sacrilèges de mes consacrés » (25/05/1976).
« Le saint Père Paul VI, prisonnier et infirme, a été éloigné de tous pouvoirs en tant que Chef suprême de la chrétienté, Je vous le répète. Cette action diabolique est menée par l'imposteur et mes indignes serviteurs, cardinaux de Rome, hauts placés dans les sociétés secrètes. Ils ont reçu pour mission de détruire ma maison, ma sainte doctrine, et de destituer ceux qui ont refusé de s'associer aux déserteurs de la vraie Foi » (26/07/76).
« Mon Église est sur la via dolorosa, elle gravira la montagne du Calvaire jusqu'au Sacrifice de la Croix » (5/11/1979).
« Ma Passion ne finira qu'avec l'arrivée de Ma Justice. Alors ce sera la joie de la résurrection de Mon peuple saint et indestructible dans la Vérité éternelle de la foi et l'épanouissement de Ma sainte Doctrine » (12/04/1979).
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Natuzza Evolo
(2007)
Natuzza Evolo, la mystique de Pavarati dans le sud de l’Italie, est mariée, mère de 5 enfants et favorisée par le Ciel de très nombreux charismes :stigmatisation, bilocation, converse avec les âmes du purgatoire, les damnés, les élus, cause des guérisons médicales miraculeuses, écritures miraculeuses sur sa peau. Natuzza Evolo est une mystique de notre temps.
En réalité, l’âge auquel elle commença à servir est assez incertain. Les souvenirs de Natuzza sont imprécis et les témoignages des autres personnes interrogées ne concordent pas. Les estimations vont de huit ans à quatorze ans, cette dernière paraissant la mieux établie.
C’est dans la maison de ses patrons que les morts commencèrent à apparaître à Natuzza, en juin 1939. Le phénomène se développa à partir de 1940, à la suite d’une expérience étrange. Pendant le Carême de cette année-là, Natuzza avait décidé de faire un jeûne complet de quarante jours, sans manger ni boire. Dans la nuit du samedi au dimanche des Rameaux, des défunts lui apparurent et lui annoncèrent qu’elle mourrait "en apparence" le jour de la fête de sainte Anne et de saint Joachim, le 26 juillet 1940. Natuzza crut pourtant qu’il s’agissait de sa vraie mort. Effectivement, ce jour-là, Natuzza tomba dans un état de léthargie qui dura sept heures. Des milliers de personnes se rassemblèrent. Les Colloca firent venir en vain plusieurs médecins. Les yeux clos, le corps raidi, elle semblait vraiment n’être plus qu’un cadavre. Que s’est-il passé pendant ces sept heures ?
Ce phénomène de transe se reproduisit souvent et jusque vers 1958 ou 1960, selon les auteurs. Il se présentait comme une perte de conscience accompagnée de mouvements convulsifs et faisait naturellement penser à des crises d’épilepsie.
Si nous ne savons rien de ce qui se passait en elle pendant cet état, il est très net qu’aussitôt après, à peine revenue à elle, elle disait avoir des visions du Christ et de la Sainte Vierge. Natuzza entrait en extase, fixant un point devant elle dans la pièce, parlait, toute seule, tombait à genoux et, si d’autres personnes se trouvaient avec elle, elle les invitait à en faire autant. Ces dialogues avec le Christ ou la Vierge se produisaient aussi en dehors de ces transes. Mme Alba Colloca raconte même comment un jour elle essaya d’en avoir le coeur net, en écoutant derrière la porte ce que Natuzza disait à la Sainte Vierge. Elle n’entendait évidemment pas ce que pouvait dire la Sainte Vierge, mais seulement Natuzza parlant à voix haute : "Ma petite Madone, quand est-ce que ça me passera, cette maladie ?... Vous m’avez dit de réciter un Ave, un Notre Père et un Gloria : à trois heures... Mais moi, je ne sais pas l’heure qu’il est !... Ah, vous avez dit qu’il est trois heures moins dix ?... Que voulez-vous encore ? Les neuf premiers vendredis ?... Mais qu’est-ce que c’est ?... Je ne vous comprends pas... pourquoi ne dites-vous pas que vous voulez une neuvaine ? Ah, vous voulez que je fasse la communion le premier vendredi pendant neuf mois. Très bien... Que dites-vous ? que Madame est derrière la porte à m’écouter ?..." Depuis lors, Madame n’insista pas.
Elle avait environ dix ans, lorsqu’un jour, assise devant la porte de la maison, elle vit un moine mendiant qui ressemblait fort au saint François de Paul qui lui était apparu en songe. Elle lui dit aussitôt qu’elle n’avait pas d’argent pour lui faire l’aumône. Mais, dans un sourire, il lui fit signe qu’il n’attendait rien d’elle.
Un jour, en entrant dans la chambre des enfants, elle vit trois personnes assises sur les lits. Un peu étonnée, elle les pria d’aller s’asseoir au salon. Les intrus lui dirent qu’ils étaient morts. Très troublée, elle courut annoncer à sa patronne qu’il y avait trois morts assis sur les lits des enfants. Mme Alba se tourna alors en riant vers son beau-père, notaire, Antonio Colloca, lequel s’adressant à la pauvre servante désemparée, lui dit : "S’ils sont morts, pourquoi ne leur demandes-tu pas leurs noms ?" Natuzza retourna alors rapidement à la chambre, le temps de faire la demande suggérée, et revint en annon-çant : "Ils s’appellent Nannina, Raffaele et Concettal." Tout étonné, le notaire remarqua que trois personnes de la famille portant ces noms étaient mortes il y avait longtemps.
Cette vision des morts allait, désormais, faire partie de sa vie et de sa mission. C’est un saint mort qui le lui annonça : "Un soir, rapporte-t-elle, après avoir fermé la porte cochère, je m’étais à peine retirée dans ma chambre que je vis entrer des gens vêtus comme nous, qui me dirent qu’ils étaient des âmes de l’autre monde. C’était la deuxième fois qu’on me faisait de telles déclarations et que je voyais des morts.
(2007)
Natuzza Evolo, la mystique de Pavarati dans le sud de l’Italie, est mariée, mère de 5 enfants et favorisée par le Ciel de très nombreux charismes :stigmatisation, bilocation, converse avec les âmes du purgatoire, les damnés, les élus, cause des guérisons médicales miraculeuses, écritures miraculeuses sur sa peau. Natuzza Evolo est une mystique de notre temps.
En réalité, l’âge auquel elle commença à servir est assez incertain. Les souvenirs de Natuzza sont imprécis et les témoignages des autres personnes interrogées ne concordent pas. Les estimations vont de huit ans à quatorze ans, cette dernière paraissant la mieux établie.
C’est dans la maison de ses patrons que les morts commencèrent à apparaître à Natuzza, en juin 1939. Le phénomène se développa à partir de 1940, à la suite d’une expérience étrange. Pendant le Carême de cette année-là, Natuzza avait décidé de faire un jeûne complet de quarante jours, sans manger ni boire. Dans la nuit du samedi au dimanche des Rameaux, des défunts lui apparurent et lui annoncèrent qu’elle mourrait "en apparence" le jour de la fête de sainte Anne et de saint Joachim, le 26 juillet 1940. Natuzza crut pourtant qu’il s’agissait de sa vraie mort. Effectivement, ce jour-là, Natuzza tomba dans un état de léthargie qui dura sept heures. Des milliers de personnes se rassemblèrent. Les Colloca firent venir en vain plusieurs médecins. Les yeux clos, le corps raidi, elle semblait vraiment n’être plus qu’un cadavre. Que s’est-il passé pendant ces sept heures ?
Ce phénomène de transe se reproduisit souvent et jusque vers 1958 ou 1960, selon les auteurs. Il se présentait comme une perte de conscience accompagnée de mouvements convulsifs et faisait naturellement penser à des crises d’épilepsie.
Si nous ne savons rien de ce qui se passait en elle pendant cet état, il est très net qu’aussitôt après, à peine revenue à elle, elle disait avoir des visions du Christ et de la Sainte Vierge. Natuzza entrait en extase, fixant un point devant elle dans la pièce, parlait, toute seule, tombait à genoux et, si d’autres personnes se trouvaient avec elle, elle les invitait à en faire autant. Ces dialogues avec le Christ ou la Vierge se produisaient aussi en dehors de ces transes. Mme Alba Colloca raconte même comment un jour elle essaya d’en avoir le coeur net, en écoutant derrière la porte ce que Natuzza disait à la Sainte Vierge. Elle n’entendait évidemment pas ce que pouvait dire la Sainte Vierge, mais seulement Natuzza parlant à voix haute : "Ma petite Madone, quand est-ce que ça me passera, cette maladie ?... Vous m’avez dit de réciter un Ave, un Notre Père et un Gloria : à trois heures... Mais moi, je ne sais pas l’heure qu’il est !... Ah, vous avez dit qu’il est trois heures moins dix ?... Que voulez-vous encore ? Les neuf premiers vendredis ?... Mais qu’est-ce que c’est ?... Je ne vous comprends pas... pourquoi ne dites-vous pas que vous voulez une neuvaine ? Ah, vous voulez que je fasse la communion le premier vendredi pendant neuf mois. Très bien... Que dites-vous ? que Madame est derrière la porte à m’écouter ?..." Depuis lors, Madame n’insista pas.
Elle avait environ dix ans, lorsqu’un jour, assise devant la porte de la maison, elle vit un moine mendiant qui ressemblait fort au saint François de Paul qui lui était apparu en songe. Elle lui dit aussitôt qu’elle n’avait pas d’argent pour lui faire l’aumône. Mais, dans un sourire, il lui fit signe qu’il n’attendait rien d’elle.
Un jour, en entrant dans la chambre des enfants, elle vit trois personnes assises sur les lits. Un peu étonnée, elle les pria d’aller s’asseoir au salon. Les intrus lui dirent qu’ils étaient morts. Très troublée, elle courut annoncer à sa patronne qu’il y avait trois morts assis sur les lits des enfants. Mme Alba se tourna alors en riant vers son beau-père, notaire, Antonio Colloca, lequel s’adressant à la pauvre servante désemparée, lui dit : "S’ils sont morts, pourquoi ne leur demandes-tu pas leurs noms ?" Natuzza retourna alors rapidement à la chambre, le temps de faire la demande suggérée, et revint en annon-çant : "Ils s’appellent Nannina, Raffaele et Concettal." Tout étonné, le notaire remarqua que trois personnes de la famille portant ces noms étaient mortes il y avait longtemps.
Cette vision des morts allait, désormais, faire partie de sa vie et de sa mission. C’est un saint mort qui le lui annonça : "Un soir, rapporte-t-elle, après avoir fermé la porte cochère, je m’étais à peine retirée dans ma chambre que je vis entrer des gens vêtus comme nous, qui me dirent qu’ils étaient des âmes de l’autre monde. C’était la deuxième fois qu’on me faisait de telles déclarations et que je voyais des morts.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
LES PROPHÉTIES NOUS ANNONCENT QUE TOUS VA COMMENCER PAR DES RÉVOLUTIONS DS LA FRANCE,PUIS LE MONDE,LA 3e GUERRE MONDIALE ET UN GRAND SCHISME DS L'ÉGLISE.LES MUSULMANS ET RUSSES ENVAHIRRAIENT L'EUROPE PUIS GAGNERAIENT BCP DE BATAILLES JUSQU'A LA VENUE DU GRAND MONARQUE,NOMMÉ PAR LE SAINT PAPE.CE MONARQUE VAINCRA LES MUSULMANS,LES RUSSES SE CONVERTIRONT MAIS TOUT CA PAS SANS L'INTERVENTION DU JOUR DE YAWHEY OU 66% DES HUMAINS MOURRAIENT...PUIS UNE GRANDE ERE DE PAIX VIENDRAIT OU LA GRANDE MAJORITÉ SE CONVERTIRONT AU CATHOLICISME.PUIS,LA FERVEUR SE REFROIDIRAIT ET L'ANTÉCHRIST(un homme juif)ARRIVERA AU POUVOIR.IL SE FERA RECONNAITRE COMME LE MESSIE PAR LES JUIFS PUIS AU POUVOIR,IL CHANGERA ET METTRA A MORT LES CHRÉTIENS.ÉLIE ET ÉNOCH VIENDRONT AIDER LES CHRÉTIENS MAIS SERONT EXÉCUTÉS PAR L'ANTÉCHRIST MAIS RESSUCITERONT PAR CHRIST QUI TUERA L'ANTÉCHRIST.LE JUGEMENT DES NATIONS,LA FIN DU MONDE ET LE RENOUVELLEMENT DE TOUTE CHOSE.VOILA EN BREF CE QUE LES PROPHÉTIES ANNONCENT.VOUS POUVEZ ALLER LIRE LES PROPHÉTIES DES SAINTS ET PERES DE L'ÉGLISE AINSI QUE LES MESSAGES DE LA VIERGE MARIE DS SES APPARITIONS RECONNUES PAR L'ÉGLISE.....Je ne vous raconte pas ca pour vous faire peur mais je vous dit ce qui selon moi va arriver.Je ne suis pas un fataliste mais si vous ajouter aux prophéties ,aux messages de Marie les données des météorologues(voir section réchauffement climatique),vous commencerez a comprendre ma vision.D'OU L'URGENCE DE SE TOURNER VERS DIEU,SE CONVERTIR ET L'AIMER.Ainsi,pas besoin de craindre car,en bout de ligne,nous retournerons a lui et ca pour l'éternité ds un lieu tellement plus beau qu'ici.Francesco
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de soeur Olive:
Le peu de monde qu'il y a en ma présence est la plupart du temps à faire des conversations et, hélas ! des choses désagréables à mes yeux. Le mal se commet devant mes yeux, ils ne savent pas que J'ai toujours l'oeil ouvert ; ils veulent se cacher, mais je vois tout. C'est pour cela que Je veux que les prières qui Je t'ai dites soient connues pour qu'ils sachent que mon oeil est ouvert ; partout où ils vont, Je les vois ! C'est le triangle et mon Divin Regard est au milieu..."
"...Je suis mort pour sauver leurs âmes. Eh bien, ils Me rendent comme honneur des outrages, des sacrilèges ; des déshonneurs arrivent dans les familles. Oui souvent, parmi les âmes qui Me sont consacrées, il y a des âmes qui ont l'air et l'apparence d'êtres unies à mon Coeur aimant et qui, hypocritement, Me font des injures et font souvent de mauvaises actions ; ils donnent le mauvais exemple autour d'eux. J'aime mieux mille fois un pécheur converti que mille tièdes..."
"...Mais courage, Mon Coeur souffre avec toi ! J'ai été critiqué sur la terre et critiqué même en ce moment dans Mon Saint Tabernacle. Je suis vrai Dieu caché sous l'Hostie pure, consacrée. Les méchants Me volent et Me mettent dand des creux, dans la terre."
Mon petit Chérubin, sache que les méchants M'ont mis dans la terre, ils ont pressé dessus avec leurs pieds, ils M'ont blasphémé, ils M'ont brisé l'ensemble (mélangé à) de la terre. O ma petite Reine, toi du moins répare le mal commis contre les Sainte Espèces, console mon Coeur.
Oh, coeurs ingrats de ces âmes ! Ils seront jugés. Je suis la Justice, mais Je leur pardonne parce que tu Me le demandes pour eux. Ils sont aussi rachetés par mon Sang. Je leur pardonne. Je suis miséricorde, mais ma Justice punira ; mon Coeur pardonne et les aime quand même. J'ai le jugement pour Me venger, le jugement dernier ; c'est là qu'il y aura des pleurs, des regrets ; les damnés se maudiront eux-mêmes, ils grinceront des dents ; les bons béniront Mon Père, Le loueront et L'aimeront pour toujours...
... A l'instant même, je vois revenir vers moi le joli petit enfant qui m'avait conduite en allant et me tendait sa petite main. Je m'étais levée de dessus la chaise pour Le suivre, seulement, je ne pensais pas à faire la prosternation comme j'avais avec moi le Dieu Tout-Puissant ; mais Il m'avait fixée et me disait : "Fléchis-toi devant Moi, c'est mon Eucharistie". Il me relève et me prend par la main de nouveau..."Ma petite Reine, sache que ma Divine Eucharistie est plus réelle et plus vivante que lorsque je suis devant toi par une vision miraculeuse. Je ne peux Me donner à toi en nourriture comme dans la communion. Là, Je suis vivant, aimant, réellement Dieu et Homme. Par les visions, je ne peux te nourrir de Ma chair et de Mon Sang, mais dans l'Hostie, je suis aussi vivant que tu es vivante en ce moment..."
... Mon oeuvre sera faite ici, c'est ma Volonté, mais à présent mon ministre ne semble pas la faire, ni entendre ma parole par mon enfant, ce sera pour lui une condamnation s'il y met du désordre et arrête mon oeuvre si utile et consolante pour mon Coeur et le salut des âmes. Je veux mon oeuvre ou rien. Je laisse les âmes libres pour faire ma Volonté, Je ne les force pas ; mon oeuvre doit être faite de coeur, de vonlonté, de foi. Non, désormais, le ministre reste seul, Je me retire de lui, du côté de mon oeuvre, Je reste encore dans son coeur. Il a manqué de constance pour mon oeuvre, manqué de fidélité, manqué de confiance, manqué de Foi...
... L'enfant parlera de mon oeuvre, ceci est écrit. Elle dira aussi que si les âmes ne se soumettent pas dans un temps limité, ma colère divine frappera et punira. Les nations luttent contre les nations, les ministres sont persécutés, priez, chère épouse, priez ! Lorsque mon oeuvre sera aimé plus qu'elle n'est aimée, les âmes trouveront grâces ; lorsque ma Royauté sera acceptée et respectée, les nations trouveront la paix...
... Sache, ma petite Reine, que l'Eglise souffre et souffrira davantage. Pourquoi ?
Mon Coeur n'est pas assez connu, assez aimé, ma Puissance n'est pas assez reconnue, mes dons sont méprisés, critiqués, cela peine mon Coeur. Encore une fois, Je laisse libre mes ministres ; mais ils souffriront des fautes...
... Chères âmes, chers ministres, celui ou celle qui écoute cette enfant écoute directement ma voix, mais celui ou celle qui la repousse, me repousse ; celui-là ou celle-là sera privé de grâces et sera puni et jeté au feu de la justice. Aimez-vous les uns les autres comme je vous aime...
... Ce que le ministre dit, Je le laisse libre sur cela. Je t'ai indiqué ma Volonté pour obtenir ce qu'il faut aux âmes. Mon épouse fidèle, mon Coeur est peiné de voir la lâcheté des hommes, mon Coeur est bléssé, mon Coeur souffre. Oh ! ne viendra-t-il donc aucune âme à l'aide de mon oeuvre pour la diriger comme ma Volonté la réclame. Oh ! coeur ingrat des hommes, où est ta foi ? Ne suis-Je pas venu sur cette terre pour sauver toutes les âmes ? Ne suis-Je pas venu sur cette terre pour sauver toutes les âmes ? Ne suis-Je pas mort sur la croix pour elles toutes ? N'ai-Je pas laissé mon Evangile pour leur dire : marchez dans la foi ? Ne suis-Je pas vivant dans la Sainte Eucharistie ? Ne faut-il pas avoir la foi pour cela ? Eh bien, ne faut-il pas avoir la foi pour me construire un édifice ? Quelle différence y a t-il entre ces deux choses à croire ? Aucune différence...
... Mon ministre a peiné mon Coeur, il reste incrédule, il ne bouge pas. Où est sa foi ?...
... Mon Coeur a besoin d'être honoré, aimé, connu ; ma Royauté a besoin d'être adorée, glorifiée par toutes les âmes du monde entier...
... Ma petite fleur, tout n'est pas encore révélé. Le monde va être châtié, la fin du monde commance à être préparée par mon Père Céleste, mais il y a encore du temps pour ramener à mon Coeur les âmes des nations. C'est pourquoi Je veux leur faire connaître ma Royauté, ma Puissance, ma Bonté. Mais je veux leur faire connaître avant ma justice, ma colère divine. Oh ! malheur aux âmes infidèles et qui auront méprisé ce petit enfant avec toute ma Puissance, malheur à celui qui foudroie mes dons, mes bienfaits. Au jour de colère et de justice, il sera jugé. Mon oeuvre n'est pas ce que le ministre principal et les autres ministres font, non ; mes paroles sont méprisées, et pourtant, n'ai-Je pas montré ma Volonté devant la face de cet indigne ministre ?...
... Les âmes peinent mon Coeur, et surtout les âmes consacrées : ces âmes me trahissent tous les jours. Judas m'a trahi une fois, mais ces âmes incrédules, hypocrites, tièdes, lâches me trahissent tous les jours et plusieurs fois par jour...
... J'ai promis l'épreuve ; cela a été forcé par les âmes des ministres incrédules...
...Ma colère divine est prête à tomber sur la terre, si les âmes ne prient et ne font pénitence, et si ma Royauté n'est pas acceptée...
... Il y a des âmes qui cherchent à détruire le christianisme, l'Eglise et les âmes consacrées à mon oeuvre...
... Dans le Tabernacle, là J'existe entier...
...sèche tes larmes et reprends ton courage. Reprends les armes et luttre contre le démon, il est jaloux, il veut mettre la mort dans l'âme par le désespoir et le découragement, il rôde autour des âmes très haut placées, il leur pousse dans l'ouïe des mauvaises inspirations, il met le trouble. Mais ne te trouble pas, confiance, espérance, persévérance jusqu'à la mort et l'immolation...
... O France, ma Fille aimée, je suis ton Sauveur, mais tu me fais souffrir. Je ne peux plus rester sans te châtier. j'ai toujours attiré sur toi mes regards, mais hélas ! mon Coeur se lasse, je n'en peux plus, Je tombe en défaillance sur le champ de la vallée, et ma colère Divine est pour toi préparée.
O France, Fille de mon Coeur, si tu ne pries et si tu te soumets, si tu ne fais pénitence, l'armée de ton Père est prête à te détruire. Sache, Fille aînée de l'Eglise et de mon Coeur, que mon Père m'a laissé clouer sur la croix de souffrance et de mort pour sauver les âmes, eh bien, mon Père m'aimait pourtant ; Il souffrait de me faire souffrir, mais mon Père a été forcé d'immoler son Fils unique pour sauver les âmes de bonne volonté et repentantes. Mais aussi, pauvre France, Je suis ton Père qui t'aime, mais Je suis forcé de te châtier et de te mettre à mort pour sauver les âmes. Oh ! réveille-toi, ma Fille, et soumets-toi.
Mais si tu répares, si tu pries, si tu te soumets, J'arrêterai ma Colère...
... C'est au moment où tout semble fini à l'âme, c'est là que tout se relève de par ma puissance...
... L'accomplissement de la Royauté de mon Père sera le salut du genre humain...
... Je veux qu'on répare les outrages faits envers ma Face adorable par les méchants. Les hommes oublient qu'on pèche contre ma Face : c'est pourquoi Je renouvelle la ferveur pour ma Sainte Face qui souffre mystiquement de la part des hommes, lesquels détournent leur face de mon Vicaire, de mon Eglise, de mes laïcs, de mes commandements. Oui, je veux qu'on répare, Je veux renouveler la ferveur envers ma Face Divine. Dis cela aux hommes ; ne crains rien...
...console mon Coeur de toutes les froideurs que Je reçois de la part des âmes et des âmes !...
... Que celui qui est puissant, dit-Iln n'écrase point son plus faible frère, de peur que le Roi, dans Sa Toute-Puissance, et dans Sa Justice ne l'appelle et lui fasse le reproche face aux nations, face au Tabernacle ! Que nul n'entraîne son frère ni son prochain devant le tribunal terrestre, car pour lui se prépare une sentence terrible ; elle sera éternelle...
La Vierge Marie :
" Brûle, mon enfant. Brûle toujours, pour mon Fils. Il veut ton amour. Donne-lui de l'amour. Supporte tout avec joie. Tu as vu, ma petite fille, que mon Fils souffre beaucoup dans son Divin Coeur à cause des péchés des hommes, à cause de la peine causée par les oublis qu'Il reçoit tous les jours dans son Tabernacle. O, donne-lui ton amour..."
......................................................................
... Le lendemain, elle reçut encore la Sainte Hostie, mais non des mains de Notre Seigneur Jésus-Christ. Pendant la Sainte Messe, elle vit tout le ciel et de son lit, une Hostie semblant voltiger puis descendre vers elle, sans avoir besoin de La toucher de ses mains. En effet, soeur Olive, spontanément avait tendu la main pour la saisir, mais l'Hostie se retire, puis d'elle-même se dirige vers la bouche de l'enfant qui La reçoit ainsi.
Face à cet évènement, tellement marqué par Jésus, l'historien de la petite Olive le Père Joseph Jacq, rédige quarante cinq pages sur l'enseignement traditionnel de l'Eglise concernant la communion reçue à genoux et dans la bouche de la main d'un prêtre. Quarante cinq pages où le Père exprime tout le dogme et l'histoire dans l'Eglise, en faveur de cette double exigence de respect.Félicitons-le de ce beau travail et surtout prions-le avec Marie-Julie Jahenny du Crucifix et la soeur Marie du Christ Roi, de nous obtenir le retour à cette double pratique envers Jésus présent dans le mystère de la Sainte Eucharistie...
... "N'oublions pas que par sa couronne d'épines Jésus et donc soeur Olive avec Lui, répare les péchés de l'esprit humain qui sont les péchés d'orgueil. Orgueil, c'est le péché de Satan, pur esprit, l'orgueil du sang, de la fortune, de la puissance, de la beauté, de l'esprit de l'estime. L'orgueil c'est l'impureté de l'esprit, c'est le péché irrémissible. Et c'est précisément dans son couronnement d'épines que Jésus avec sa petite Olive, victime pressurée, broyée, anéantie, répare et expie d'une façon on ne peu plus humiliante, et plus outrageante, le stupide orgueil de l'homme, des hommes d'Eglise tout spécialement...
... Notre Seigneur chargea l'enfant de prier le Réverend Père confesseur d'aller trouver son Eminence le Cardinal et de l'avertir de ce qui se passait, puis de lui porter la prière au Saint Enfant-jésus qu'Il désirait voir se répander. Enfin, de demander des messes et des prières pour réparer les profanations et les vols sacrilèges...
... Le même jour, jeudi, le Saint Enfant-Jésus apparut à soeur Olive à nouveau, pendant la consécration et lui dit qu'Il avait voulu lui montrer l'Hostie miraculeuse à l'aurore du jour où il avait institué la Sainte Eucharistie, le Jeudi-Saint, afin de rappeler ce bienfait et d'obtenir des adorations et des réparations. Notre Seigneur dit encore ce jour-là de prévenir son Eminence le Cardinal Dubois de ce qui se passait et de faire connaître son désir de voir connue et propagée la prière au Saint Enfant-Jésus, qu'Il lui avait indiquée...
Prière à l'Enfant-Jésus :
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Soeu Olive:Paroles d'Espoir pour la France - Message à la France
O douce France, reviens vers ton Seigneur,
Il souffre de ton absence, viens calmer sa douleur.
Pourquoi te troubler, ton bonheur tu peux retrouver.
Elève to regard d'azur et fixe le soleil,
Dans le ciel très pur, tu verras cette merveille,
Rêve, tendre France, que tu mèneras ton pont dans l'Océan Pacifique,
Et que ce doux rêve est la réalité, veux-tu que Je te l'explique?
Oui, Je connais ta souffrance, écoute la Vérité,
Pourquoi restes-tu sceptique et crains-tu la critique?
Je lis dans ton coeur tremblant, Je veux te dire que Je suis Aimant.
N'oublies pas que Je suis ton fidèle Seigneur,
Ton absence cause, en vérité, ma douleur.
Consume le souvenir de ton passé,
Ne pense plus qu'à ton Seigneur Aimé.
Il te porte dans ses bras tout puissants,
Et te conduira vers les bonheurs triomphants.
O France, ma douce France,
Je te sens lasse et affaiblie...
Tu te vois par l'épreuve, défraîchie,
Non, non, ma souveraine, tu n'es que fatiguée,
Je sais que tu ne veux point être prisonnière,
Aujourd'hui, tu vas être délivrée.
Relève ta tête noble et fière,
Ce n'est pas par un diadème de laurier,
Que ta tête va être couronnée,
Le riche diadème impérial
Ceindra ton front virginal.
Ne rougis point devant cette faveur,
Car tu as trouvé grâce devant ton Seigneur.
Pourquoi ne souris-tu pas O France?
Ton regard reste, vers Moi, fixé,
Crains-tu que ce n'est que condescendance?
Douce Reine, oui, Je t'ai aimée,
Ma voix te parvient d'un pays lointain,
Sois heureuse d'avoir retrouvé ton chemin,
Et ton véritable et stable bonheur,
Tu le trouveras, sans cesse, dans mon Coeur.
O douce souveraine trésorière,
J'aime ton âme droite et fière,
En toi, J'aime la douceur et la grâce,
Accueille avec amour ton Souverain qui passe,
Il t'emportera loin du regard humain,
Afin que tu ne sois jalousée et perde ton destin.
En vain, tu as espéré le bonheur,
En ce jour, tu cherches sa valeur,
Un seul regret, ton esprit agité,
Il faut que cette pensée te quitte,
"Ce Seigneur est le mien, pourquoi?"
O France, il faut que tu aies la foi.
Reste dans mon Coeur l'arche bénie,
Là, ne crains plus rien, tu es à l'abri.
Ta volière, O France n'est point limitée,
Mon Coeur est plus vaste que l'espace, en vérité.
Tu ne seras que prisonnière de mon Amour,
Celui qui ne cesse de se donner nuit et jour.
Elève tes yeux vers la beauté suprême,
Vers la réalité, le bonheur extrême,
Laisse à la terre le fruit gâté,
Cueille sur ton fruitier le fruit nouveau,
Celui qui dans l'ombre, jusqu'à cette heure, caché
Et qui triomphe de son bourreau.
France, paix à ton âme,
Joie à ton coeur,
Je viens allumer la flamme
Et faire jaillir ton bonheur.
Paroles de Notre-Seigneur inspirées à Soeur Olive
La Messagère du Christ-Roi (Henri-Pierre Bourcier
O douce France, reviens vers ton Seigneur,
Il souffre de ton absence, viens calmer sa douleur.
Pourquoi te troubler, ton bonheur tu peux retrouver.
Elève to regard d'azur et fixe le soleil,
Dans le ciel très pur, tu verras cette merveille,
Rêve, tendre France, que tu mèneras ton pont dans l'Océan Pacifique,
Et que ce doux rêve est la réalité, veux-tu que Je te l'explique?
Oui, Je connais ta souffrance, écoute la Vérité,
Pourquoi restes-tu sceptique et crains-tu la critique?
Je lis dans ton coeur tremblant, Je veux te dire que Je suis Aimant.
N'oublies pas que Je suis ton fidèle Seigneur,
Ton absence cause, en vérité, ma douleur.
Consume le souvenir de ton passé,
Ne pense plus qu'à ton Seigneur Aimé.
Il te porte dans ses bras tout puissants,
Et te conduira vers les bonheurs triomphants.
O France, ma douce France,
Je te sens lasse et affaiblie...
Tu te vois par l'épreuve, défraîchie,
Non, non, ma souveraine, tu n'es que fatiguée,
Je sais que tu ne veux point être prisonnière,
Aujourd'hui, tu vas être délivrée.
Relève ta tête noble et fière,
Ce n'est pas par un diadème de laurier,
Que ta tête va être couronnée,
Le riche diadème impérial
Ceindra ton front virginal.
Ne rougis point devant cette faveur,
Car tu as trouvé grâce devant ton Seigneur.
Pourquoi ne souris-tu pas O France?
Ton regard reste, vers Moi, fixé,
Crains-tu que ce n'est que condescendance?
Douce Reine, oui, Je t'ai aimée,
Ma voix te parvient d'un pays lointain,
Sois heureuse d'avoir retrouvé ton chemin,
Et ton véritable et stable bonheur,
Tu le trouveras, sans cesse, dans mon Coeur.
O douce souveraine trésorière,
J'aime ton âme droite et fière,
En toi, J'aime la douceur et la grâce,
Accueille avec amour ton Souverain qui passe,
Il t'emportera loin du regard humain,
Afin que tu ne sois jalousée et perde ton destin.
En vain, tu as espéré le bonheur,
En ce jour, tu cherches sa valeur,
Un seul regret, ton esprit agité,
Il faut que cette pensée te quitte,
"Ce Seigneur est le mien, pourquoi?"
O France, il faut que tu aies la foi.
Reste dans mon Coeur l'arche bénie,
Là, ne crains plus rien, tu es à l'abri.
Ta volière, O France n'est point limitée,
Mon Coeur est plus vaste que l'espace, en vérité.
Tu ne seras que prisonnière de mon Amour,
Celui qui ne cesse de se donner nuit et jour.
Elève tes yeux vers la beauté suprême,
Vers la réalité, le bonheur extrême,
Laisse à la terre le fruit gâté,
Cueille sur ton fruitier le fruit nouveau,
Celui qui dans l'ombre, jusqu'à cette heure, caché
Et qui triomphe de son bourreau.
France, paix à ton âme,
Joie à ton coeur,
Je viens allumer la flamme
Et faire jaillir ton bonheur.
Paroles de Notre-Seigneur inspirées à Soeur Olive
La Messagère du Christ-Roi (Henri-Pierre Bourcier
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de ste Hildegarde:
Voici le texte de sainte Hildegarde :
« Lorsque la crainte de Dieu sera tout à fait délaissée, des guerres atroces et cruelles surgiront à l’envi, une foule de personnes seront immolées et bien des cités se changeront en monceaux de ruines. Mais quand la société aura été enfin complètement purifiée par ces tribulations, les hommes se rangeront sous les lois de l’Église.
A ce moment de rénovation, la justice et la paix seront établies par des décrets si nouveaux et si peu attendus, que les peuples, ravis d’admiration, confesseront hautement que rien de semblable ne s’était vu jusque-là. Cette paix du monde, avant les derniers temps, figurée par celle qui précéda le premier avènement du Fils de Dieu, sera néanmoins contenue : l’approche du dernier jour empêchera les hommes de se livrer complètement à leur joie.
Les juifs se joindront aux chrétiens.
En ces jours de bénédictions, s’épancheront sur la terre les plus douces nuées ; elles la couvriront de verdure et de fruits, parce que les hommes s’adonneront alors à toutes les œuvres de justice, tandis que, dans les jours précédents, si désolés par les mœurs efféminées du monde, les éléments, violentés par les péchés des hommes, auront été dans l’impuissance de rien produire de bon. Les princes rivaliseront de zèle avec leur peuple pour faire régner partout la loi de Dieu. Ils interdiront l’usage des armes de guerre.
Les juifs et les hérétiques ne mettront pas de bornes à leurs transports. « Enfin, s’écrieront-ils, l’heure est venue de notre justification, les livres de l’erreur sont tombés sous nos pieds. » La foule des fidèles sera notablement accrue par des flots de païens. Dieu a mis six jours à faire ses œuvres, et il s’est reposé le septième jour. Ces six jours représentent les six premiers âges du monde. Maintenant, le monde se trouve au septième âge, qui sera suivi des derniers jours.
Mon fils est venu au monde après les cinq premiers âges, et lorsque le monde était déjà presque vers son déclin. Le fils de perdition qui régnera très peu de temps, viendra dans les derniers jours. Après, avoir passé une jeunesse licencieuse au milieu des hommes très pervers et dans un désert où elle aura été conduite par un démon déguisé en ange de lumière, la mère du fils de perdition le concevra et l’enfantera. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de st pie X:
Il peut être bon de rappeler quelquefois «la prophétie de saint Pie X» :
«Que dirai-je, maintenant, à vous fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ? Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation… Les fautes ne resteront pas impunies mais elle ne périra jamais la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes. Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une Voix qui lui répétera : “Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?” Et sur sa réponse : “Qui êtes-vous Seigneur ?” la Voix répliquera : “Je suis Jésus que tu persécutes. Il est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même.” Et elle, frémissante et étonnée, dira : “Seigneur que voulez-vous que je fasse ?” Et lui : “Lève-toi, lave-toi des souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille aînée de l’Église, nation prédestinée, vase d’élection, va porter comme par le passé mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la terre.”»
Note abbé Belmont : Consistoire du 29 novembre 1911. : le Père Calmel écrit «la prophétie de saint Pie X» entre guillemets, et il fait bien car il y aurait quelque abus d’affirmer que saint Pie X a prophétisé. Saint Pie X exprime là un voeu, un désir de son coeur paternel, et pour cela il emprunte ce texte à l’un de ses maîtres : le Cardinal Pie. Car ce texte «prophétique» est en réalité une citation de l’Oraison funèbre du général de Lamoricière prononcée par le Mgr Pie le 5 décembre 1865 (OEuvres, V, 506-507). Simple prêtre encore, en 1846, il avait déjà manifesté cet espoir de conversion (OEuvres sacerdotales II, 332-333). Le 28 septembre 1879, dans son Discours de prise de possession du titre presbytéral de N.-D. de la Victoire, le Cardinal Pie s’exprimera dans les mêmes termes (OEuvres X, 63-64)].
Note LHR : oui c'est bien du Cardinal Pie et c'est une prophétie !
Et une prophétie qui a tellement marqué saint Pie X qu'il la reprend à son compte.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de la bienheureuse Elizabeth Canori Mora:
Elisabeth Canori-Mora
(1820)
Elisabeth Canori-Mora, tertiaire de l’ordre de la Sainte Trinité comme sa contemporaine Anna-Maria Taïgi, fut favorisée d’une visite de St Pierre dans une vision concernant le relèvement et le triomphe de l’Eglise, de la manière que nous allons rapporter, et comme elle l'écrivit elle-même, par obéissance à son confesseur :
"En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, pendant que je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu. Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à Lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables bien qu'au milieu de ces douceurs célestes mon esprit fût parfaitement calme. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre, avec majesté, le prince des apôtres, accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des hymnes de louange. Le glorieux apôtre était revêtu des habits pontificaux, et tenait en main une crosse avec laquelle il traça sur la terre une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré par les anges, qui chantaient en son honneur les paroles du psaume : Constitues eos principes super omnem terram, etc. "Vous les établirez princes sur toute la terre…" Il appuya ensuite sa crosse aux quatre extrémités de la croix, et au même instant il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et étaient entourés d'une vive lumière. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et préserver les bons chrétiens du terrible châtiment qui bouleversera le monde entier.
Tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut, seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment. Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles... Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui s'adonnent au libertinage et suivent les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile ! Par leur conduite détestable, ces misérables, niant la foi de Jésus-Christ, périront sous le poids du bras exterminateur de la justice de Dieu, à laquelle personne n'échappera.
Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance. Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au ciel accompagné des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. Tout à coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux.
Tous ces hommes seront en insurrection. Ils s'entre-tueront sans pitié. Pendant cette horrible et sanglante boucherie, la main vengeresse de Dieu s'appesantira sur ces malheureux, et sa toute puissance brisera leur orgueil et leur témérité. Il se servira des ténèbres pour exterminer ces hommes impies et sectaires qui désiraient renverser la sainte Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes iniques prétendent faire descendre Dieu de son trône suprême ; mais Il se rira de leur astuce et, par un signe de sa main puissante, il punira ces perfides et ces blasphémateurs, en permettant aux puissances ténébreuses de sortir de l'enfer.
D'immenses légions de démons parcourront alors le monde entier, et par les grandes ruines qu'ils causeront, ils exécuteront les ordres de la justice divine. Ces esprits mauvais s'attaqueront à tout, nuiront aux hommes, aux familles, aux immeubles, aux meubles, aux villes, aux villages, aux maisons. Rien de ce qu'ils trouveront sur la terre ne sera épargné, Dieu permettant que ces sycophantes et sectaires soient forcés de subir la cruauté des démons et punis par une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront soumis volontairement au pouvoir infernal, et qu'ils se seront alliés avec lui contre l'Église catholique.
Afin que mon pauvre esprit fût bien pénétré de ce sentiment de la justice divine, on me montra l'horrible prison. Je vis alors s'ouvrir dans les profonds abîmes de la terre, une sombre et effrayante caverne pleine de feu et d'où sortaient une multitude de démons qui, ayant pris la forme d'hommes et de bêtes, venaient infester le monde, ne laissant partout que massacres et que ruines. Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils auront pour eux la puissante protection des saints apôtres Pierre et Paul, qui veilleront sur eux afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni dans leurs personnes, ni dans leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, blasphémé et traité d'une manière sacrilège. Ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. Saint Pierre descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre saint Paul qui, par ordre de Dieu, parcourut l'univers, enchaîna les démons, et les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis.
Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du prince des apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux, et bénissant Dieu, remercièrent l'apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde. Le saint choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de Dieu.
Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique. Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle en reconnaissant le Souverain Pontife pour Vicaire de Jésus-Christ".
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de soeur Lucie de Fatima:
J'AI LU CE PASSAGE DS LES MÉMOIRES DE SOEUR LUCIE:SOEUR LUCIE:La sainte VIERGE m'a fait comprendre que nous sommes dans les derniers temps .Ceux du grand combat apocalyptique entre la Vierge et satan.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Pauline Périé
(1860)
Pauline Périé est née à Francoulès, près de Cahors, le 3 octobre 1838. Elle a été favorisée d’apparitions de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge depuis 1860. Elle est stigmatisée. Voici quelques une de ses révélations :
Le divin Sauveur : Priez toujours et ayez confiance jusqu’à ce que le moment arrive. Je ne puis pas encore vous donner un bon roi. Il y aurait trop de danger pour lui et pour vous.
Il faut d’abord qu’une crise bien terrible arrive, pour que le gouvernement que vous avez tombe tout à fait, que le peuple le connaisse, comprenne combien il est mauvais et qu’il s’en désabuse complètement.
Lorsque ceux qui le composent seront abandonnés à eux-mêmes, ils ne seront capables que d’une chose : ce sera de se donner la mort les uns aux autres.
Alors le peuple se tournera tout entier du bon côté, et il n’y a aucun danger à ce qu’un bon roi monte alors sur le trône.
_________________
Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu.
(Luc 12, 2)
(1860)
Pauline Périé est née à Francoulès, près de Cahors, le 3 octobre 1838. Elle a été favorisée d’apparitions de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge depuis 1860. Elle est stigmatisée. Voici quelques une de ses révélations :
Le divin Sauveur : Priez toujours et ayez confiance jusqu’à ce que le moment arrive. Je ne puis pas encore vous donner un bon roi. Il y aurait trop de danger pour lui et pour vous.
Il faut d’abord qu’une crise bien terrible arrive, pour que le gouvernement que vous avez tombe tout à fait, que le peuple le connaisse, comprenne combien il est mauvais et qu’il s’en désabuse complètement.
Lorsque ceux qui le composent seront abandonnés à eux-mêmes, ils ne seront capables que d’une chose : ce sera de se donner la mort les uns aux autres.
Alors le peuple se tournera tout entier du bon côté, et il n’y a aucun danger à ce qu’un bon roi monte alors sur le trône.
_________________
Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu.
(Luc 12, 2)
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Saint Ange
(1225)
Saint Ange est né à Jérusalem, sans doute dans une famille de juifs palestiniens convertis. A l’âge de dix-huit ans, il est accueilli par les carmes de Palestine où il fait profession religieuse sur ce Mont-Carmel sanctifié par le Prophète Elie. Devenu prêtre, il est envoyé à Rome pour défendre les intérêts de son Ordre et obtenir la confirmation de la Règle de son Ordre. Puis il est envoyé en Sicile pour évangéliser les cathares et c'est un jour qu'il prêchait à l'église saint Jacques de Licata en Sicile qu'il fut tué, en 1225, de cinq coups d'épée par un seigneur incestueux dont il avait converti la complice. Il fut favorisé de nombreux miracles, en arrêtant le cours du Jourdain, ou en rencontrant le Christ qui le conduisit en Sicile vers son martyre.
Saint Ange demanda à Jésus quand il délivrerait Jérusalem du joug des Musulmans. Jésus lui répondit :
« Un roi s'élèvera finalement de l'antique race des Rois de France, d'une insigne piété envers Dieu.
Il sera honoré par les princes chrétiens, et dévoué à la foi orthodoxe ; il sera aimé d'eux et sa puissance s'étendra au loin sur la terre et sur la mer.
Alors l'Église étant comme retirée d'une certaine destruction, ce roi s'unira au Pontife romain et le soutiendra.
L'erreur sera détruite parmi les chrétiens.
L'Église sera rendue à l'état que les bons ont choisi pour elle.
Il enverra une armée à laquelle s'uniront spontanément de nombreux guerriers, s'élançant au combat pour l'amour de Mon Nom ; et l'amour de la Croix, qui les transportera leur obtiendra des trophées, dont l’éclat s'élèvera jusqu'au ciel.
Le Monarque équipant bientôt une flotte, passera les mers, et rendra à l'Église les contrées perdues par elle. Il délivrera Jérusalem... »
Ayant ainsi parlé, Jésus disparut aux yeux de St Ange dans une nuée éblouissante
(1225)
Saint Ange est né à Jérusalem, sans doute dans une famille de juifs palestiniens convertis. A l’âge de dix-huit ans, il est accueilli par les carmes de Palestine où il fait profession religieuse sur ce Mont-Carmel sanctifié par le Prophète Elie. Devenu prêtre, il est envoyé à Rome pour défendre les intérêts de son Ordre et obtenir la confirmation de la Règle de son Ordre. Puis il est envoyé en Sicile pour évangéliser les cathares et c'est un jour qu'il prêchait à l'église saint Jacques de Licata en Sicile qu'il fut tué, en 1225, de cinq coups d'épée par un seigneur incestueux dont il avait converti la complice. Il fut favorisé de nombreux miracles, en arrêtant le cours du Jourdain, ou en rencontrant le Christ qui le conduisit en Sicile vers son martyre.
Saint Ange demanda à Jésus quand il délivrerait Jérusalem du joug des Musulmans. Jésus lui répondit :
« Un roi s'élèvera finalement de l'antique race des Rois de France, d'une insigne piété envers Dieu.
Il sera honoré par les princes chrétiens, et dévoué à la foi orthodoxe ; il sera aimé d'eux et sa puissance s'étendra au loin sur la terre et sur la mer.
Alors l'Église étant comme retirée d'une certaine destruction, ce roi s'unira au Pontife romain et le soutiendra.
L'erreur sera détruite parmi les chrétiens.
L'Église sera rendue à l'état que les bons ont choisi pour elle.
Il enverra une armée à laquelle s'uniront spontanément de nombreux guerriers, s'élançant au combat pour l'amour de Mon Nom ; et l'amour de la Croix, qui les transportera leur obtiendra des trophées, dont l’éclat s'élèvera jusqu'au ciel.
Le Monarque équipant bientôt une flotte, passera les mers, et rendra à l'Église les contrées perdues par elle. Il délivrera Jérusalem... »
Ayant ainsi parlé, Jésus disparut aux yeux de St Ange dans une nuée éblouissante
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
St Ange:
rapporte une prophétie que Jésus-Christ Lui-même a faite au saint lorsqu’il jeûnait dans la solitude du désert :
« Sache, Ange, dit J.C., que la ville de Jérusalem sera longtemps en la possession des Agarenes … que les église que tu vois où le service de Dieu est fait seront ruinées et presque partout sera aboli l’exercice de la religion chrétienne. Ne tardera guère après que cette partie du monde qu’on appelle Asie Mineure sera réduite en la puissance de Mahomet… De là croîtra de plus en plus leur puissance, tant par mer que par terre qui étonnera tous les peuples et parviendra jusqu’aux royaumes de Cypre, Dalmarie et Russie…
Ces choses adviendront quand l’Église aura sa beauté effacée, sera délaissée comme une veuve. Quand plusieurs courront après le siège et le rang de pasteur de Rome et l’un sera contraire à l’autre. Quand s’élèveront hypocrites, décevant les peuples sous prétexte de sainteté et de religion sera l’Église pleine de sectes où régneront l’ambition et la luxure… Quand les hérésies auront le dessus et sera la Foi quasi éteinte.
Quand mon peuple sera contrit, quand il connaîtra mes voies, apprendra la justice et la gardera, viendra enfin celui qui délivrera, qui mettra la paix aux nations et sera la consolation des justes. Et qui sera celui qui délivrera votre Cité ? demanda saint Ange. Se lèvera enfin un Roi de nation ancienne, dit J.C. , de la race des Français, homme d’insigne piété envers Dieu, qui sera reçu des Rois chrétiens qui feront profession de la religion catholique et sera aimé d’eux. »
Cité par Jean Boucher dans son œuvre Couronne Mystique.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Pie X:PIE X, PAPE
Vénérables Frères, salut et bénédiction apostolique.
« Au moment de vous adresser pour la première fois la parole du haut de cette chaire apostolique où Nous avons été élevé par un impénétrable conseil de Dieu, il est inutile de vous rappeler avec quelles larmes et quelles ardentes prières Nous Nous sommes efforcé de détourner de Nous la charge si lourde du Pontificat suprême... Pour passer sous silence bien d'autres raisons, Nous éprouvions une sorte de terreur à considérer les conditions funestes de l'humanité à l'heure présente. Peut-on ignorer la maladie si profonde et si grave qui travaille, en ce moment bien plus que par le passé, la société humaine, et qui, s'aggravant de jour en jour et la rongeant jusqu'aux moelles, l'entraîne à sa ruine ? Cette maladie, vénérés Frères, vous la connaissez, c'est, à l'égard de Dieu, l'abandon et l'apostasie... De nos jours, il n'est que trop vrai, les nations ont frémi et les peuples ont médité des projets insensés (7)contre leur Créateur ; et presque commun est devenu ce cri de ses ennemis :
Retirez-vous de nous (. De là des habitudes de vie, tant privée que publique, où nul compte n'est tenu de sa souveraineté. Bien plus, il n'est ni effort ni artifice que l'on ne mette en oeuvre pour abolir entièrement son souvenir et jusqu'à sa notion.
« Qui pèse ces choses a droit de craindre qu'une telle perversion des esprits ne soit le commencement des maux annoncés pour la fin des temps, et comme leur prise de contact avec la terre, et que véritablement le fils de perdition dont parle l'Apôtre (9)n'ait déjà fait son avènement parmi nous. Si grande est l'audace et si grande la rage avec lesquelles on se rue partout à l'attaque de la religion, on tend d'un effort obstiné à anéantir tout rapport de l'homme avec la divinité. En revanche, et c'est là, au dire du même Apôtre, le caractère propre de l'Antéchrist, l'homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur en s'élevant au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu. C'est à tel point, qu'impuissant à éteindre complètement en soi la notion de Dieu, il secoue cependant le joug de sa majesté, et se dédie à lui-même le monde visible en guise de temple, où il prétend recevoir les adorations de ses semblables. Il siège dans le temple de Dieu, où il se montre comme s'il était Dieu lui-même
Vénérables Frères, salut et bénédiction apostolique.
« Au moment de vous adresser pour la première fois la parole du haut de cette chaire apostolique où Nous avons été élevé par un impénétrable conseil de Dieu, il est inutile de vous rappeler avec quelles larmes et quelles ardentes prières Nous Nous sommes efforcé de détourner de Nous la charge si lourde du Pontificat suprême... Pour passer sous silence bien d'autres raisons, Nous éprouvions une sorte de terreur à considérer les conditions funestes de l'humanité à l'heure présente. Peut-on ignorer la maladie si profonde et si grave qui travaille, en ce moment bien plus que par le passé, la société humaine, et qui, s'aggravant de jour en jour et la rongeant jusqu'aux moelles, l'entraîne à sa ruine ? Cette maladie, vénérés Frères, vous la connaissez, c'est, à l'égard de Dieu, l'abandon et l'apostasie... De nos jours, il n'est que trop vrai, les nations ont frémi et les peuples ont médité des projets insensés (7)contre leur Créateur ; et presque commun est devenu ce cri de ses ennemis :
Retirez-vous de nous (. De là des habitudes de vie, tant privée que publique, où nul compte n'est tenu de sa souveraineté. Bien plus, il n'est ni effort ni artifice que l'on ne mette en oeuvre pour abolir entièrement son souvenir et jusqu'à sa notion.
« Qui pèse ces choses a droit de craindre qu'une telle perversion des esprits ne soit le commencement des maux annoncés pour la fin des temps, et comme leur prise de contact avec la terre, et que véritablement le fils de perdition dont parle l'Apôtre (9)n'ait déjà fait son avènement parmi nous. Si grande est l'audace et si grande la rage avec lesquelles on se rue partout à l'attaque de la religion, on tend d'un effort obstiné à anéantir tout rapport de l'homme avec la divinité. En revanche, et c'est là, au dire du même Apôtre, le caractère propre de l'Antéchrist, l'homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur en s'élevant au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu. C'est à tel point, qu'impuissant à éteindre complètement en soi la notion de Dieu, il secoue cependant le joug de sa majesté, et se dédie à lui-même le monde visible en guise de temple, où il prétend recevoir les adorations de ses semblables. Il siège dans le temple de Dieu, où il se montre comme s'il était Dieu lui-même
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie du pape Léon XIII:L'APOSTASIE
Il y a près de deux mille ans, l'Église de Thessalonique s'agitait dans le trouble un bruit colporté par de faux docteurs y avait annoncé que le monde touchait à sa fin. L'apôtre saint Paul, fondateur de cette Église, ayant appris ce trouble des âmes, prit la plume et, dans une Épître demeurée célèbre, la II° aux Thessaloniciens, il les rassura en ces termes « Nous vous conjurons, mes Frères, par l'avènement de Notre-Seigneur Jésus-christ, et par notre réunion avec lui, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et que tous ne soyez pas épouvantés, soit par quelque prophétie, soit quelque parole ou quelque lettre qu'on prêterait tenir de nous, comme si le jour du Seigneur était proche. Que personne ne vous séduise en aucune manière ; car il faut que l'apostasie arrive auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme de péché, le fils de la perdition (1) . »
Le trouble disparut de l'Église de Thessalonique mais deux annonces avaient été faites par l'Apôtre pour l'instruction des siècles futurs c'est que la fin du monde n'arriverait que lorsque se serait produite auparavant l'apostasie et qu'aurait paru l'Antéchrist ou l'homme de péché. Donc l'apostasie d'abord, l'Antéchrist ensuite.
Or, voici qu'au milieu de notre Société profondément troublée, soit par les révoltes de la Raison humaine contre la Foi, soit par des assauts incessants contre l'Église, soit enfin par des mesures aussi multiples que perfides contre le christianisme des individus, des familles et des nations, voici que le mot d'apostasie, tel que l'a prononcé saint Paul, vient de retentir de haut, tombant à plusieurs reprises, comme un avertissement, des lèvres ou de la plume des Pontifes Romains.
C'est d'abord Léon XIII qui, dans le Consistoire secret du 30 décembre 1889, s'est exprimé, une première fois, de la sorte devant les EE. Cardinaux :
« Vénérables Frères, on voit facilement qu'il y a le commun dessein de faire la guerre à la religion des ancêtres et, sous les auspices et la conduite des sectes perverses, d'arracher, s'il était possible des bras de l'Église, toute la nation italienne... Ce que nous voulons, c'est la conservation intégrale de la foi chrétienne ; car cette intégrité est mise en péril lorsque les gouvernements assignent à l'État le rôle de revendiquer pour la raison humaine la souveraineté sans mesure et sans loi ; ce qui, à parler sans ambages, n'est autre chose que rejeter tout ce que Dieu a révélé et se séparer complètement de l'Église. Il semble à peine croyable que l'on on soit arrivé là (2). »
Une seconde fois, le même Pontife a dénoncé l'apostasie, dans une Protestation adressée à son secrétaire d'État, S. E. le cardinal Rampolla del Tindaro :
« Le but suprême de l'occupation de Rome, nous ne disons pas dans l'esprit de tous ceux qui y coopérèrent, mais dans les visées des sectaires qui en furent les premiers moteurs, n'est point, ou tout au moins n'est pas entièrement atteint par l'achèvement de l'unité politique. Non : cet acte de violence qui a peu d'exemples dans l'histoire, devait, dans les décrets de la secte, servir de moyen et être le prélude d'une entreprise plus ténébreuse. Si on étendit la main pour renverser les murs de la métropole civile, ce fut pour mieux battre en brèche la cité sacerdotale : et pour arriver à attaquer de près la puissance spirituelle des Papes, on commença par en abattre le rempart terrestre... Il y a déjà vingt-cinq ans que, regardant autour d'elle, Rome voit, maîtres du terrain, les adversaires des institutions et des croyances chrétiennes. Elle voit les doctrines les plus perverses répandues ; la personne et le ministère du Vicaire de Dieu impunément méprisés ; la libre-pensée opposée au dogme catholique, le siège maçonnique à la chaire de Pierre. Et c'est précisément à cet ensemble néfaste d'idées et de faits qu'on a prétendu récemment donner un semblant de droit et de stabilité en y apposant le sceau d'une loi nouvelle et en les célébrant par de bruyantes manifestations ouvertement dirigées par la secte ennemie de Dieu. Est-ce là le triomphe de la cause italienne, n'est-ce pas plutôt l'avènement de l'apostasie (3) ?
Une troisième fois, Léon XIII élève la voix dans la grave allocution qu'il prononce dans le Consistoire du 15 avril 1901 :
« Vénérables Frères, le grand souci qui nous tourmente est de voir que les épreuves et les afflictions qui entourent les catholiques, loin de s'atténuer, vont en s'aggravant chaque jour et même se propagent d'une partie de l'Europe à l'autre comme une véritable contagion... Ce qui domine en ce moment, c'est le dessein manifeste des ennemis de l'Église d'attaquer violemment les institutions chrétiennes, et on dirait qu'il y a comme un pacte formé entre eux dans ce but. On en voit la preuve dans ce qui se passe un peu partout, à savoir les soulèvements des foules, les cris de violence et les menaces proférées en public, les publications populaires, les outrages publics jetés sur les choses et les personnes les plus respectables. Ce sont là de tristes indices pour l'avenir et qui font présager avec toute vraisemblance qu'à des temps malheureux succéderont des temps plus malheureux encore. L'Église, sans doute, appuyée sur Dieu et n'ayant rien à craindre pour elle, attendra et supportera toutes les luttes que chaque jour lui apportera. Quant aux États, il est à craindre qu'ils ne voient point où ils vont, et pour la société civile elle-même, il est à redouter qu'elle ne coure à des catastrophes d'autant plus grandes qu'elle s'éloigne davantage de Jésus-Christ Rédempteur (4).
La même année 1901, dans une lettre datée du 29 juin et adressée aux Supérieurs généraux des Ordres et Instituts religieux, Léon XIII insistait encore sur le péril de l'apostasie : « Il n'est pas étonnant, s'écriait le clairvoyant Pontife, que ce soit contre les Ordres et Instituts religieux que, maintenant comme autrefois, se déchaîne la Cité du monde et, en particulier, cette secte qui, par des pactes sortilèges, s'est étroitement liée au Prince de ce monde et lui obéit servilement. Il n'est que trop vrai que, dans son dessein, la désorganisation et l'extinction des Ordres religieux constituent une habile manoeuvre pour entraîner l'apostasie des nations catholiques (5) »
Un cinquième et dernier avertissement, Léon XIII l'a gémi au milieu du Sacré Collège en réponse à une adresse du cardinal Oréglia, relative à la ruine légale des Congrégations : « Alors que de cent manières déjà le bon droit de l'Église et du nom catholique a été violé, voici que par le même chemin l'on veut aller jusqu'à la ruine légale des saintes institutions de l'Église... Ah ! Ce n'est pas l'amour sincère de la prospérité publique ou des intérêts civils qui fait agir les fauteurs de telles calamités ! Ce qu'on veut, et ce qu'on cherche, c'est l'écroulement des institutions chrétiennes et la reconstitution des États sur les bases du naturalisme païen.
« S'il est écrit dans le ciel que parmi tant d'amertumes cette dernière survienne au déclin de Notre vie, Nous fermerons avec résignation Nos paupières fatiguées, bénissant le Seigneur, mais fermement convaincu dans Notre coeur que, l'heure de la miséricorde une fois venue, tout tournera au salut des nations assignées en héritage au Fils unique de Dieu (6). »
Et Léon XIII, le veilleur du Vatican, s'est endormi depuis, dans la paix du Seigneur, le 20 juillet 1903.
La première Encyclique d'un nouveau Pape, s'adressant Urbi et Orbi , revêt un caractère de solennité exceptionnelle. Le cardinal Sarto, patriarche de Venise, a succédé à Léon XIII. Il est monté et s'est assis dans la chaire de Saint-Pierre sous le nom vénéré et aimé de Pie X. Il s'adresse donc à tous les Patriarches, Primats, Archevêques, Évêques et autres Ordinaires en paix et communion avec le Siège apostolique. Que leur dit-il ?
Il y a près de deux mille ans, l'Église de Thessalonique s'agitait dans le trouble un bruit colporté par de faux docteurs y avait annoncé que le monde touchait à sa fin. L'apôtre saint Paul, fondateur de cette Église, ayant appris ce trouble des âmes, prit la plume et, dans une Épître demeurée célèbre, la II° aux Thessaloniciens, il les rassura en ces termes « Nous vous conjurons, mes Frères, par l'avènement de Notre-Seigneur Jésus-christ, et par notre réunion avec lui, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et que tous ne soyez pas épouvantés, soit par quelque prophétie, soit quelque parole ou quelque lettre qu'on prêterait tenir de nous, comme si le jour du Seigneur était proche. Que personne ne vous séduise en aucune manière ; car il faut que l'apostasie arrive auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme de péché, le fils de la perdition (1) . »
Le trouble disparut de l'Église de Thessalonique mais deux annonces avaient été faites par l'Apôtre pour l'instruction des siècles futurs c'est que la fin du monde n'arriverait que lorsque se serait produite auparavant l'apostasie et qu'aurait paru l'Antéchrist ou l'homme de péché. Donc l'apostasie d'abord, l'Antéchrist ensuite.
Or, voici qu'au milieu de notre Société profondément troublée, soit par les révoltes de la Raison humaine contre la Foi, soit par des assauts incessants contre l'Église, soit enfin par des mesures aussi multiples que perfides contre le christianisme des individus, des familles et des nations, voici que le mot d'apostasie, tel que l'a prononcé saint Paul, vient de retentir de haut, tombant à plusieurs reprises, comme un avertissement, des lèvres ou de la plume des Pontifes Romains.
C'est d'abord Léon XIII qui, dans le Consistoire secret du 30 décembre 1889, s'est exprimé, une première fois, de la sorte devant les EE. Cardinaux :
« Vénérables Frères, on voit facilement qu'il y a le commun dessein de faire la guerre à la religion des ancêtres et, sous les auspices et la conduite des sectes perverses, d'arracher, s'il était possible des bras de l'Église, toute la nation italienne... Ce que nous voulons, c'est la conservation intégrale de la foi chrétienne ; car cette intégrité est mise en péril lorsque les gouvernements assignent à l'État le rôle de revendiquer pour la raison humaine la souveraineté sans mesure et sans loi ; ce qui, à parler sans ambages, n'est autre chose que rejeter tout ce que Dieu a révélé et se séparer complètement de l'Église. Il semble à peine croyable que l'on on soit arrivé là (2). »
Une seconde fois, le même Pontife a dénoncé l'apostasie, dans une Protestation adressée à son secrétaire d'État, S. E. le cardinal Rampolla del Tindaro :
« Le but suprême de l'occupation de Rome, nous ne disons pas dans l'esprit de tous ceux qui y coopérèrent, mais dans les visées des sectaires qui en furent les premiers moteurs, n'est point, ou tout au moins n'est pas entièrement atteint par l'achèvement de l'unité politique. Non : cet acte de violence qui a peu d'exemples dans l'histoire, devait, dans les décrets de la secte, servir de moyen et être le prélude d'une entreprise plus ténébreuse. Si on étendit la main pour renverser les murs de la métropole civile, ce fut pour mieux battre en brèche la cité sacerdotale : et pour arriver à attaquer de près la puissance spirituelle des Papes, on commença par en abattre le rempart terrestre... Il y a déjà vingt-cinq ans que, regardant autour d'elle, Rome voit, maîtres du terrain, les adversaires des institutions et des croyances chrétiennes. Elle voit les doctrines les plus perverses répandues ; la personne et le ministère du Vicaire de Dieu impunément méprisés ; la libre-pensée opposée au dogme catholique, le siège maçonnique à la chaire de Pierre. Et c'est précisément à cet ensemble néfaste d'idées et de faits qu'on a prétendu récemment donner un semblant de droit et de stabilité en y apposant le sceau d'une loi nouvelle et en les célébrant par de bruyantes manifestations ouvertement dirigées par la secte ennemie de Dieu. Est-ce là le triomphe de la cause italienne, n'est-ce pas plutôt l'avènement de l'apostasie (3) ?
Une troisième fois, Léon XIII élève la voix dans la grave allocution qu'il prononce dans le Consistoire du 15 avril 1901 :
« Vénérables Frères, le grand souci qui nous tourmente est de voir que les épreuves et les afflictions qui entourent les catholiques, loin de s'atténuer, vont en s'aggravant chaque jour et même se propagent d'une partie de l'Europe à l'autre comme une véritable contagion... Ce qui domine en ce moment, c'est le dessein manifeste des ennemis de l'Église d'attaquer violemment les institutions chrétiennes, et on dirait qu'il y a comme un pacte formé entre eux dans ce but. On en voit la preuve dans ce qui se passe un peu partout, à savoir les soulèvements des foules, les cris de violence et les menaces proférées en public, les publications populaires, les outrages publics jetés sur les choses et les personnes les plus respectables. Ce sont là de tristes indices pour l'avenir et qui font présager avec toute vraisemblance qu'à des temps malheureux succéderont des temps plus malheureux encore. L'Église, sans doute, appuyée sur Dieu et n'ayant rien à craindre pour elle, attendra et supportera toutes les luttes que chaque jour lui apportera. Quant aux États, il est à craindre qu'ils ne voient point où ils vont, et pour la société civile elle-même, il est à redouter qu'elle ne coure à des catastrophes d'autant plus grandes qu'elle s'éloigne davantage de Jésus-Christ Rédempteur (4).
La même année 1901, dans une lettre datée du 29 juin et adressée aux Supérieurs généraux des Ordres et Instituts religieux, Léon XIII insistait encore sur le péril de l'apostasie : « Il n'est pas étonnant, s'écriait le clairvoyant Pontife, que ce soit contre les Ordres et Instituts religieux que, maintenant comme autrefois, se déchaîne la Cité du monde et, en particulier, cette secte qui, par des pactes sortilèges, s'est étroitement liée au Prince de ce monde et lui obéit servilement. Il n'est que trop vrai que, dans son dessein, la désorganisation et l'extinction des Ordres religieux constituent une habile manoeuvre pour entraîner l'apostasie des nations catholiques (5) »
Un cinquième et dernier avertissement, Léon XIII l'a gémi au milieu du Sacré Collège en réponse à une adresse du cardinal Oréglia, relative à la ruine légale des Congrégations : « Alors que de cent manières déjà le bon droit de l'Église et du nom catholique a été violé, voici que par le même chemin l'on veut aller jusqu'à la ruine légale des saintes institutions de l'Église... Ah ! Ce n'est pas l'amour sincère de la prospérité publique ou des intérêts civils qui fait agir les fauteurs de telles calamités ! Ce qu'on veut, et ce qu'on cherche, c'est l'écroulement des institutions chrétiennes et la reconstitution des États sur les bases du naturalisme païen.
« S'il est écrit dans le ciel que parmi tant d'amertumes cette dernière survienne au déclin de Notre vie, Nous fermerons avec résignation Nos paupières fatiguées, bénissant le Seigneur, mais fermement convaincu dans Notre coeur que, l'heure de la miséricorde une fois venue, tout tournera au salut des nations assignées en héritage au Fils unique de Dieu (6). »
Et Léon XIII, le veilleur du Vatican, s'est endormi depuis, dans la paix du Seigneur, le 20 juillet 1903.
La première Encyclique d'un nouveau Pape, s'adressant Urbi et Orbi , revêt un caractère de solennité exceptionnelle. Le cardinal Sarto, patriarche de Venise, a succédé à Léon XIII. Il est monté et s'est assis dans la chaire de Saint-Pierre sous le nom vénéré et aimé de Pie X. Il s'adresse donc à tous les Patriarches, Primats, Archevêques, Évêques et autres Ordinaires en paix et communion avec le Siège apostolique. Que leur dit-il ?
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de Padre Pio selon le marquis de la Franquerie:L'Ascendance Davidique des Rois de France et leur parenté avec Notre-Seigneur Jésus-Christ, la Très Sainte Vierge Marie et saint Joseph est un sujet qui me tient très à cœur depuis soixante ans.
Avant que d'étudier les documents, je dois vous dire comment j'ai été amené à penser que les Rois de France pourraient vraisemblablement descendre du Roi David.
Je peux dire en toute vérité, que c'est providentiellement qu'en 1924 j'ai étudié puis écrit mon premier livre : La Mission Divine de la France. Au cours de cette étude, j'ai été frappé, puis très ému, par le parallélisme rigoureux existant entre les serments faits par Dieu à David en faveur de la descendance du saint Roi et de sa Race et les promesses inspirées par Dieu à saint Remy en faveur de Clovis et de sa Race, saint Remy agissant comme Légat Pontifical pour tout le royaume de France.
Cette émotion intense m'a ouvert des horizons absolument insoupçonnés jusqu'alors et qui, touchant à ma Foi, multiplièrent mon amour et ma reconnaissance envers Dieu d'abord, et aussi envers la Race de nos Rois à laquelle depuis toujours ma famille demeure passionnément attachée.
Ma foi me disait que là était la Vérité. Mais il fallait historiquement le prouver. D'où mes recherches.
Révélations du Padre Pio
J'ai toujours été convaincu - et mon expérience personnelle me l'a confirmé - qu'un catholique fervent qui ne cherche qu'à défendre son Dieu, son Pays, son Roi et veut s'abandonner avec foi au bon vouloir divin, ne sera jamais abandonné et sera providentiellement guidé et parfois même miraculeusement protégé.
Au cours d'extases de Marie-Julie Jahenny - la stigmatisée bretonne - auxquelles assistaient des personnes jusqu'alors inconnues et qui pourraient en témoigner, deux de mes études - que je n'avais jamais songé à écrire - ont été demandées, tout d'abord ma plaquette sur saint Michel, puis La Vierge Marie dans l'Histoire de France. Ajoutons qu'il y a une dizaine d'années, j'eus l'occasion de voir deux autres stigmatisés - qui ne se connaissaient pas - un religieux français et une personne étrangère. L'un et l'autre, à quelques mois d'intervalle, me dirent que je devais reprendre mes recherches sur l'ascendance Davidique des Rois de France. Je me remis donc à ce travail. Dans la bibliothèque de mon grand-père, qui avait été l'un des fondateurs de la Société de l'Histoire du Vieux Paris et de l'Île de France, j'ai trouvé un ouvrage remarquable du Père Jacques Lelong de l'Oratoire : Bibliothèque Historique de la France contenant le catalogue de tous les ouvrages tant imprimés que manuscrits qui traitent de ce Royaume ou qui y ont rapport avec des notes critiques et historiques, publié à Paris en 1719, gros in-folio de 1100 pages. J'ai donc pu faire venir de France ou de l'Étranger soit des microfilms, soit des photocopies afin de les étudier. Nous en reparlerons tout à l'heure.
Sur ces entrefaites, je fis une conférence à Avignon et la personne qui l'avait organisée invita à dîner avec moi un vieux chanoine. Au cours de la conversation, il me cita le nom d'une illustre famille irlandaise dont il était issu. Je lui dis :
- "Mais alors, Monsieur le Chanoine, vous descendez des Rois d'Irlande..."
- "Comment le savez-vous" me répondit-il, très surpris... et il m'ajouta :
- "Nous avons même notre généalogie remontant jusqu'à Adam".
Et comme je lui disais à quel point la question m'intéressait, il me la confia avec autorisation de la photocopier. Ce Chanoine est mort et sa généalogie est déposée dans les Archives de la ville.
Enfin, la Providence permit que le 18 décembre 1978 on me montrât plusieurs lettres de l'un des confidents et secrétaire à l'occasion du Padre Pio. Ces lettres remontaient à 1972 et étaient adressées à un pieux religieux de mes amis. J'en ai les copies et vous en cite les parties les plus importantes ; le tout écrit par un Italien, dont je vous conserve le style.
25 février 1972
"Très cher Père, Padre Pio me disait "sans le soutien du pouvoir royal de David, l'Eglise tombe en décadence sous le pouvoir de l'esprit du serpent qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l'Eglise". Le Padre Pio disait que "le pouvoir Royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l'empêchant de s'élever vers le Dieu du Ciel… C'est aujourd'hui le mal de l'Europe sous les républiques" disait le Padre Pio..."
Lettre du 5 mai 1972
"Un jour Padre Pio me parla d'un importantissime Testament caché au Vatican. Il s'agit du Testament de la Duchesse d'Angoulême... Ce Testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin mais encore le sien... Pour le bien de la France, de l'Italie et du monde, un tel Testament ne peut rester secret..."
Lettre du 6 novembre 1972
"Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélera à l'heure établie (c'est-à-dire à l'heure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n'a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd'hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d'États et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd'hui dans le cœur de peu d'hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables..."
Lettre du 20 novembre 1972
"L'amour du cœur de la France royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David ressort ressuscité en ses héritiers... Le pouvoir de royauté de David doit RÉVEILLER dans les cœurs des Français l'amour de la ROYAUTÉ DE DIEU qui a en France son berceau. LA VRAIE GRANDEUR de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette.
La France fut pardonnée par le grand cœur du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts VICTIMES pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique)".
Le pardon du Roi Louis XVI a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est AMOUR et HUMILITÉ, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l'amour divin...
Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, ... pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France".
Inutile de dire l'émotion intense que j'ai ressentie à la lecture de ces documents relatant la pensée inspirée du Padre Pio !
Avant que d'étudier les documents, je dois vous dire comment j'ai été amené à penser que les Rois de France pourraient vraisemblablement descendre du Roi David.
Je peux dire en toute vérité, que c'est providentiellement qu'en 1924 j'ai étudié puis écrit mon premier livre : La Mission Divine de la France. Au cours de cette étude, j'ai été frappé, puis très ému, par le parallélisme rigoureux existant entre les serments faits par Dieu à David en faveur de la descendance du saint Roi et de sa Race et les promesses inspirées par Dieu à saint Remy en faveur de Clovis et de sa Race, saint Remy agissant comme Légat Pontifical pour tout le royaume de France.
Cette émotion intense m'a ouvert des horizons absolument insoupçonnés jusqu'alors et qui, touchant à ma Foi, multiplièrent mon amour et ma reconnaissance envers Dieu d'abord, et aussi envers la Race de nos Rois à laquelle depuis toujours ma famille demeure passionnément attachée.
Ma foi me disait que là était la Vérité. Mais il fallait historiquement le prouver. D'où mes recherches.
Révélations du Padre Pio
J'ai toujours été convaincu - et mon expérience personnelle me l'a confirmé - qu'un catholique fervent qui ne cherche qu'à défendre son Dieu, son Pays, son Roi et veut s'abandonner avec foi au bon vouloir divin, ne sera jamais abandonné et sera providentiellement guidé et parfois même miraculeusement protégé.
Au cours d'extases de Marie-Julie Jahenny - la stigmatisée bretonne - auxquelles assistaient des personnes jusqu'alors inconnues et qui pourraient en témoigner, deux de mes études - que je n'avais jamais songé à écrire - ont été demandées, tout d'abord ma plaquette sur saint Michel, puis La Vierge Marie dans l'Histoire de France. Ajoutons qu'il y a une dizaine d'années, j'eus l'occasion de voir deux autres stigmatisés - qui ne se connaissaient pas - un religieux français et une personne étrangère. L'un et l'autre, à quelques mois d'intervalle, me dirent que je devais reprendre mes recherches sur l'ascendance Davidique des Rois de France. Je me remis donc à ce travail. Dans la bibliothèque de mon grand-père, qui avait été l'un des fondateurs de la Société de l'Histoire du Vieux Paris et de l'Île de France, j'ai trouvé un ouvrage remarquable du Père Jacques Lelong de l'Oratoire : Bibliothèque Historique de la France contenant le catalogue de tous les ouvrages tant imprimés que manuscrits qui traitent de ce Royaume ou qui y ont rapport avec des notes critiques et historiques, publié à Paris en 1719, gros in-folio de 1100 pages. J'ai donc pu faire venir de France ou de l'Étranger soit des microfilms, soit des photocopies afin de les étudier. Nous en reparlerons tout à l'heure.
Sur ces entrefaites, je fis une conférence à Avignon et la personne qui l'avait organisée invita à dîner avec moi un vieux chanoine. Au cours de la conversation, il me cita le nom d'une illustre famille irlandaise dont il était issu. Je lui dis :
- "Mais alors, Monsieur le Chanoine, vous descendez des Rois d'Irlande..."
- "Comment le savez-vous" me répondit-il, très surpris... et il m'ajouta :
- "Nous avons même notre généalogie remontant jusqu'à Adam".
Et comme je lui disais à quel point la question m'intéressait, il me la confia avec autorisation de la photocopier. Ce Chanoine est mort et sa généalogie est déposée dans les Archives de la ville.
Enfin, la Providence permit que le 18 décembre 1978 on me montrât plusieurs lettres de l'un des confidents et secrétaire à l'occasion du Padre Pio. Ces lettres remontaient à 1972 et étaient adressées à un pieux religieux de mes amis. J'en ai les copies et vous en cite les parties les plus importantes ; le tout écrit par un Italien, dont je vous conserve le style.
25 février 1972
"Très cher Père, Padre Pio me disait "sans le soutien du pouvoir royal de David, l'Eglise tombe en décadence sous le pouvoir de l'esprit du serpent qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l'Eglise". Le Padre Pio disait que "le pouvoir Royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l'empêchant de s'élever vers le Dieu du Ciel… C'est aujourd'hui le mal de l'Europe sous les républiques" disait le Padre Pio..."
Lettre du 5 mai 1972
"Un jour Padre Pio me parla d'un importantissime Testament caché au Vatican. Il s'agit du Testament de la Duchesse d'Angoulême... Ce Testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin mais encore le sien... Pour le bien de la France, de l'Italie et du monde, un tel Testament ne peut rester secret..."
Lettre du 6 novembre 1972
"Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélera à l'heure établie (c'est-à-dire à l'heure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n'a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd'hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d'États et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd'hui dans le cœur de peu d'hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables..."
Lettre du 20 novembre 1972
"L'amour du cœur de la France royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David ressort ressuscité en ses héritiers... Le pouvoir de royauté de David doit RÉVEILLER dans les cœurs des Français l'amour de la ROYAUTÉ DE DIEU qui a en France son berceau. LA VRAIE GRANDEUR de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette.
La France fut pardonnée par le grand cœur du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts VICTIMES pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique)".
Le pardon du Roi Louis XVI a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est AMOUR et HUMILITÉ, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l'amour divin...
Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, ... pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France".
Inutile de dire l'émotion intense que j'ai ressentie à la lecture de ces documents relatant la pensée inspirée du Padre Pio !
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Bonjour,ca fait longtemps que ca me trotte ds la tete.Partant du principe que ds un message prophétique,il y a plusieurs choses a déchifrer,revenons sur le miracle du soleil a Fatima.Pourquoi un miracle avec le soleil.....Pourquoi le soleil s'est il mis a TOMBÉ sur la terre un temps pour REVENIR a sa place.Étais ce un message ou une prophétie...Non pas que le soleil nous tombe dessus mais qu'un FEU nous tomberait dessus ....A Akita,la vierge annonce un chatiment plus grand que le déluge.Plusieurs prophéties annoncent un feu du ciel(mais aussi de la terre)qui tomberait sur terre....Je me suis tjs demandé pourquoi Dieu avait donné cette image du Soleil qui tombe sur terre a Fatima....Aussi,ds une apparition qui semble sérieuse a tilly ,la voyante disait que le chatiment sera que des feux tomberaient sur terre.Quand pensez vous.Pourquoi ai miracle du soleil,Dieu a fait comme si le soleil tombait sur terre.Étais ce une message ou juste pour montrer sa puissance....Francesco
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de la bienheureuse Anne Katerine Emmerick:Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l'Église. Je le vis très-entouré de trahisons. Je vis que, dans certains cas d'extrême détresse, il a des visions et des apparitions. Je vis beaucoup de bons et pieux évêques, mais ils étaient mous et faibles, et le mauvais parti prenait souvent le dessus. Je vis de nouveau les manèges de l'homme noir. J'eus encore le tableau des démolisseurs s'attaquant à l'église de saint Pierre ; je vis encore, comment, à la fin, Marie étendit son manteau au-dessus de l'église et comment les ennemis de Dieu furent chassés. Je vis saint Pierre et saint Paul travaillant activement pour l'Église. Je vis l'église des apostats prendre de grands accroissements. Je vis les ténèbres qui en partaient se répandre à l'entour et je vis beaucoup de gens délaisser l'Église légitime et se diriger vers l'autre, disant : « Là tout est plus beau, plus naturel et mieux ordonné. » Je ne vis pas encore d'ecclésiastiques parmi eux. Je vis le Pape continuant à tenir ferme, mais très-tourmenté. Je vis que le traité dont on attend du bien pour nous ne nous sera d'aucun secours, et que tout ira de mal en pis. Je vis que le Pape montre maintenant plus de vigueur et qu'il lui est recommandé d'être énergique jusqu'à la mort. Je vis qu'il a gagné cela par la constance dont il a fait preuve en dernier lieu ; mais ses derniers ordres n'auront pas d'effet parce qu'il y a trop faiblement insisté. J'ai vu sur cette ville de terribles menaces venant du nord..<
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Anne Katerine Emmerick:ELLE A PROPHÉTISÉ SUR LA RUSSIE:« De là, j'allai au levant, par delà la mer, dans une contrée froide où je vis sainte Brigitte, saint Canut et saint Eric. Ce pays était plus tranquille et plus pauvre que le précédent, mais il était aussi froid, brumeux et sombre. Il y avait beaucoup de fer et peu de fertilité. Je ne sais plus ce que j'y ai fait ou vu. Tout le monde y était protestant. De là j'allai dans une immense contrée tout à fait ténébreuse et pleine de méchanceté, il y montait de grands orages. Les habitants étaient d'un orgueil inouï ; ils bâtissaient de grandes églises et croyaient avoir la raison pour eux. Je vis qu'on armait et qu'on travaillait de tous les côtés : tout était sombre et menaçant. Je vis là saint Basile et d'autres encore. Je vis sur le château aux toits étincelants le malin qui se tenait aux aguets, alors je me dirigeai vers le midi et le levant. »<
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie de st Vincent Ferrier:CETTE PROPHÉTIE CONCERNE SURTOUT LES APOTRES DES DERNIERS TEMPS(demandons la grace d'etre fidele a ce programme et de toujours croitre en sainteté).F
Évocation d'un temps de prospérité pour l'Église.
Vous devez jour et nuit vous représenter l'état de ces hommes très pauvres, très simples et très doux, oublieux d'eux-mêmes, unis par une ardente charité, n'ayant de pensée, de parole, de goût que pour Jésus-Christ seul, et Jésus-Christ crucifié.
Uniquement préoccupés de la gloire éternelle de Dieu et des élus, y aspirant de tout leur être, soupirant sans cesse vers elle, attendant la mort avec un désir toujours plus ardent, à l'exemple de saint Paul s'écriant : « Je désire mourir pour être avec le Christ ».
Ces hommes auront part aux immenses trésors et aux inépuisables richesses du Ciel. Ils seront envahis et submergés par cette source ineffable de joies, et rassasiés de leur douceur infinie.
C'est pourquoi dans vos méditations il faut vous représenter ces hommes chantant déjà sur la terre le cantique des anges sur la harpe de leur cœur, dans le ravissement de l'extase.
Cette représentation habituelle vous donnera, plus qu'on ne saurait croire, l'ardent désir de voir l'avènement de ces temps heureux.
Vous puiserez dans cette perspective une clarté merveilleuse qui dissipera les nuages du doute et de l'ignorance.
Vous verrez tout dans une pure lumière et discernerez tous les maux de notre époque.
Vous comprendrez la mystérieuse ordonnance de tous les Ordres religieux qui sont nés depuis la venue de Notre-Seigneur Jésus-Christ au monde, ou naîtront dans l'Église jusqu'à la fin des siècles et jusqu'à la consommation de la gloire du Christ, notre Sauveur et souverain Dieu.
Portez toujours dans votre cœur ce Dieu crucifié afin qu'il vous admette un jour à la participation de sa gloire éternelle. AMEN.
Aux martyrs espagnols.
Voici maintenant deux extraits d'un poème-postface de Paul Claudel, qui vient admirablement compléter le tableau évoqué par saint Vincent Ferrier. Lorsqu'en 1936 commença la guerre fratricide d'Espagne, de nombreux Espagnols se réfugièrent à l'étranger pour éviter la persécution. D'autres, pour s'opposer à ceux qui se disaient eux-mêmes les ennemis de la divinité, confessèrent publiquement leur foi. Ceux-ci obtinrent par milliers la gloire du martyre « avec toute la sainte et glorieuse signification de ce nom ». (Pie XI).
Passant, qui tourneras une à une les pages de ce livre sincère, (1)
Lis tout, enregistre dans ton cœur, mais contiens ton épouvante et ta colère !
C'est la même chose, c'est pareil, c'est ce que l'on a fait à nos anciens,
C'est ce qui est arrivé du temps d'Henry VIII, du temps de Néron et de Dioclétien.
Le calice qu'ont bu nos pères, est-ce que nous ne le boirons pas la même chose ?
La couronne d'épines pour eux, pour nous seuls ce sera-t-il une couronne de roses ?
Le sel qu'on nous a mis sur la langue jadis, c'était le goût de ce nouveau baptême !
Est-ce possible, ô mon Dieu, qu'à la fin vous nous laissiez cet honneur suprême
De vous donner, nous aussi, pauvres gens, quelque chose, et d'être présents !
Et de dire que c'est vrai, et que Vous êtes le fils de Dieu avec notre sang !
La merveille que vous existiez, il est vrai, ça ne peut se payer avec autre chose qu'avec du sang !
L'Évangile de Jésus-Christ que j'ai reçu, ça ne pouvait pas être impunément !
Dans ce monde qui ne croit pas, c'est pas vrai que l'on puisse croire impunément !
Ce n'est pas pour notre confort seulement que Tu T'es donné la peine de naître !
*
- C'est fait ! l'œuvre est consommée, et la terre par tous ses pores a bu le sang dont elle était altérée.
Le ciel a bu et la messe des cent mille martyrs, toute la terre est profonde à la digérer.
L'assassin en titubant rentre chez lui et il regarde sa main droite avec stupeur,
Le saint a pris solennellement possession de sa part qui est la meilleure.
Tout une fois de plus est consommé et dans le ciel il s'est fait un silence d'une demi-heure.
Et nous aussi, la tête découverte, en silence, ô mon âme, fais silence devant la terre ensemencée !
La terre au fond de son entraille a conçu et déjà le recommencement a commencé.
Le temps du labourage est fini, c'est celui maintenant de la semaille.
Le temps de l'amputation pour l'arbre a fini et c'est le temps maintenant des représailles.
L'idée sous la terre qui a germé, et de toutes parts dans ton cœur, sainte Espagne, la représaille immense de l'amour !
Les pieds dans le pétrole et le sang, je crois en Toi, Seigneur, et en ce jour un jour qui sera Ton jour !
J'étends la main droite vers Toi pour jurer entre l'action de grâces et le carnage.
« Ton corps est véritablement une nourriture et Ton sang véritablement est un breuvage ».
De cette chair qui a été pressée, la Tienne, et de ce sang qui a été répandu,
Pas une parcelle n'a péri, pas une goutte qui ait été perdue,
L'hiver sur nos sillons continue, mais le printemps déjà a fait explosion dans les étoiles !
Et tout ce qui a été versé, les anges respectueusement l'ont recueilli et porté à l'intérieur du Voile !
Paul CLAUDEL.
Branques, 10 mai 1937.
Évocation d'un temps de prospérité pour l'Église.
Vous devez jour et nuit vous représenter l'état de ces hommes très pauvres, très simples et très doux, oublieux d'eux-mêmes, unis par une ardente charité, n'ayant de pensée, de parole, de goût que pour Jésus-Christ seul, et Jésus-Christ crucifié.
Uniquement préoccupés de la gloire éternelle de Dieu et des élus, y aspirant de tout leur être, soupirant sans cesse vers elle, attendant la mort avec un désir toujours plus ardent, à l'exemple de saint Paul s'écriant : « Je désire mourir pour être avec le Christ ».
Ces hommes auront part aux immenses trésors et aux inépuisables richesses du Ciel. Ils seront envahis et submergés par cette source ineffable de joies, et rassasiés de leur douceur infinie.
C'est pourquoi dans vos méditations il faut vous représenter ces hommes chantant déjà sur la terre le cantique des anges sur la harpe de leur cœur, dans le ravissement de l'extase.
Cette représentation habituelle vous donnera, plus qu'on ne saurait croire, l'ardent désir de voir l'avènement de ces temps heureux.
Vous puiserez dans cette perspective une clarté merveilleuse qui dissipera les nuages du doute et de l'ignorance.
Vous verrez tout dans une pure lumière et discernerez tous les maux de notre époque.
Vous comprendrez la mystérieuse ordonnance de tous les Ordres religieux qui sont nés depuis la venue de Notre-Seigneur Jésus-Christ au monde, ou naîtront dans l'Église jusqu'à la fin des siècles et jusqu'à la consommation de la gloire du Christ, notre Sauveur et souverain Dieu.
Portez toujours dans votre cœur ce Dieu crucifié afin qu'il vous admette un jour à la participation de sa gloire éternelle. AMEN.
Aux martyrs espagnols.
Voici maintenant deux extraits d'un poème-postface de Paul Claudel, qui vient admirablement compléter le tableau évoqué par saint Vincent Ferrier. Lorsqu'en 1936 commença la guerre fratricide d'Espagne, de nombreux Espagnols se réfugièrent à l'étranger pour éviter la persécution. D'autres, pour s'opposer à ceux qui se disaient eux-mêmes les ennemis de la divinité, confessèrent publiquement leur foi. Ceux-ci obtinrent par milliers la gloire du martyre « avec toute la sainte et glorieuse signification de ce nom ». (Pie XI).
Passant, qui tourneras une à une les pages de ce livre sincère, (1)
Lis tout, enregistre dans ton cœur, mais contiens ton épouvante et ta colère !
C'est la même chose, c'est pareil, c'est ce que l'on a fait à nos anciens,
C'est ce qui est arrivé du temps d'Henry VIII, du temps de Néron et de Dioclétien.
Le calice qu'ont bu nos pères, est-ce que nous ne le boirons pas la même chose ?
La couronne d'épines pour eux, pour nous seuls ce sera-t-il une couronne de roses ?
Le sel qu'on nous a mis sur la langue jadis, c'était le goût de ce nouveau baptême !
Est-ce possible, ô mon Dieu, qu'à la fin vous nous laissiez cet honneur suprême
De vous donner, nous aussi, pauvres gens, quelque chose, et d'être présents !
Et de dire que c'est vrai, et que Vous êtes le fils de Dieu avec notre sang !
La merveille que vous existiez, il est vrai, ça ne peut se payer avec autre chose qu'avec du sang !
L'Évangile de Jésus-Christ que j'ai reçu, ça ne pouvait pas être impunément !
Dans ce monde qui ne croit pas, c'est pas vrai que l'on puisse croire impunément !
Ce n'est pas pour notre confort seulement que Tu T'es donné la peine de naître !
*
- C'est fait ! l'œuvre est consommée, et la terre par tous ses pores a bu le sang dont elle était altérée.
Le ciel a bu et la messe des cent mille martyrs, toute la terre est profonde à la digérer.
L'assassin en titubant rentre chez lui et il regarde sa main droite avec stupeur,
Le saint a pris solennellement possession de sa part qui est la meilleure.
Tout une fois de plus est consommé et dans le ciel il s'est fait un silence d'une demi-heure.
Et nous aussi, la tête découverte, en silence, ô mon âme, fais silence devant la terre ensemencée !
La terre au fond de son entraille a conçu et déjà le recommencement a commencé.
Le temps du labourage est fini, c'est celui maintenant de la semaille.
Le temps de l'amputation pour l'arbre a fini et c'est le temps maintenant des représailles.
L'idée sous la terre qui a germé, et de toutes parts dans ton cœur, sainte Espagne, la représaille immense de l'amour !
Les pieds dans le pétrole et le sang, je crois en Toi, Seigneur, et en ce jour un jour qui sera Ton jour !
J'étends la main droite vers Toi pour jurer entre l'action de grâces et le carnage.
« Ton corps est véritablement une nourriture et Ton sang véritablement est un breuvage ».
De cette chair qui a été pressée, la Tienne, et de ce sang qui a été répandu,
Pas une parcelle n'a péri, pas une goutte qui ait été perdue,
L'hiver sur nos sillons continue, mais le printemps déjà a fait explosion dans les étoiles !
Et tout ce qui a été versé, les anges respectueusement l'ont recueilli et porté à l'intérieur du Voile !
Paul CLAUDEL.
Branques, 10 mai 1937.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie du pere Lamy:CONSIDÉRATIONS SUR L'AVENIR
Il est nécessaire d'aborder le chapitre du Futur pour s'inscrire en faux contre plusieurs prétendues prophéties du P. Lamy colportées par des visiteurs et surtout par des visiteuses d'une imagination inventive. Lui-même, déplorant souvent cette tournure d'esprit, répétait : « Il faut couper les ailes à ces canards-là ! » Certes, il répondait très fréquemment aux questions avant qu'elles fussent posées, où il annonçait tel et tel événements relatifs à une âme : sa conversion imminente, son prochain appel au service des autels, la nécessité d'agir vite auprès d'elle avant sa comparution inopinée devant le tribunal de Dieu ; mais, seules, les âmes l'intéressaient. S'il parlait quelquefois de l'avenir, c'était par accident, et jamais quand on l'interrogeait. Rien ne lui déplaisait autant que les demandes faites sur des choses qu'il connaissait pertinemment, comme le rôle de sa congrégation dans les temps futurs. Sur ces points, lui toujours si doux, était prêt à se fâcher : il se taisait ou répondait par des généralités. À un fervent du Bienheureux Grignion de Montfort qui le questionnait sur les Apôtres des Derniers Temps : « Nous ignorons, s'exclamait-il, la fin du monde. « On dit... On dit !... » Je ne sais qu'une chose : Notre-Seigneur a dit dans l'Évangile que ce jour n'était connu de personne, pas même des anges dans le ciel. Ses anges, eux-mêmes, l'ignorent. La Sainte Vierge, qui est dans le sein du Père, le sait ; mais Elle ne découvre pas son secret. Mille ans ? Deux mille ? Je n'en sais rien. Ce jour-là viendra comme l'éclair qui part de l'Orient jusqu'à l'Occident. »
« Il ne faut jamais bâtir son existence sur des visions, et surtout sur, celles des autres. Dans les choses matérielles, il ne faut connaître que le bon sens. Et dans les choses spirituelles, il faut encore du bon sens ; mais, là, nous ne saurions nous tromper, ayant les règles infaillibles, que Dieu nous a tracées. Il faut se défendre de la mystique. Le démon est derrière la Mère de Dieu (allusion au 9 septembre 1909) : si on laisse passer Celle-ci, on trouve le démon. »
Les rares indications d'ordre général données par le P. Lamy ont été les suivantes : « Elle a bien voulu lever pour moi un petit coin du voile qui nous cache l'avenir, mais j'aime ne pas regarder les événements futurs. Confions-nous tout à fait en Sa miséricordieuse protection. »
« Le saint archange Gabriel m'a dit, en parlant de Lucifer : « Il joue son va-tout ; il croit la partie gagnée », en quoi il se trompe. Satan joue son va-tout. Il faut prier avec espérance, malgré son tapage. Je vous confie ces choses-là : ce sont des miettes. On sentira encore davantage quelle est la délicatesse de bonté de la Très Sainte Vierge, Mater Amabilis, Mater Admirabilis ! On la pressent dans la Très Sainte Vierge. Je lui dis souvent : « Bonne Mère, ne quittez pas le sein du Père, mais écoutez nos prières. »
« La paix sera rendue au monde, mais je ne verrai pas cela, et il se passera d'autres choses, dont je ne verrai pas personnellement la fin. Quand la paix aura été rétablie dans le monde, que de choses seront changées ! La grosse industrie, c'est la guerre. La fabrication des avions, l'exploitation des mines, le travail du fer, tout cela diminuera. Il n'y aura plus de ces grandes usines où la moralité dégénère et disparaît. Les ouvriers seront bien obligés de se rejeter sur la terre. Le travail de la terre reprendra une grande extension. La terre redeviendra très chère. Quand la paix sera rendue au monde, l'industrie se ramènera à des proportions moindres et y restera. Tout s'amoindrira. Ils vont devant l'inévitable ; ils y arriveront tout de même. Ici, la terre a perdu beaucoup de sa valeur et il n'y a plus de bras pour la culture. Nous avions une jolie vigne : ma sœur a voulu absolument vendre sa part pour s'en débarrasser. Elle l'a vendue 100 francs ! Treize ares pour 100 francs ! Aux Archots, j'ai eu l'exemple de 12 ares vendus pour 13 francs ; une autre fois, 13 ares vendus 35 francs. Quand la paix sera rendue au monde, les terres acquerront plus de valeur qu'elles n'ont. Que les vieux ouvriers s'entêtent à mourir dans les villes, cela arrivera. »
« Dieu voulait purifier la foi de son peuple en lui faisant faire un long séjour dans le désert. Les Israélites sont restés toute une génération dans les sables. J'ai souvent médité sur cette rude épreuve. De même, quand Dieu rendra la paix au monde, il faudra le réévangéliser, et cela sera l'œuvre de toute une génération. »
« Il y aura un grand effort à donner pour la conversion des hommes après la paix rendue à la terre. Il y aura bien des difficultés. Saint Paul n'en a-t-il pas rencontré ? L'état d'âme des premiers chrétiens reviendra, d'ailleurs, mais il y aura alors si peu d'hommes sur terre ! Et il y aura à nouveau une floraison magnifique des ordres et des congrégations. »
Il est nécessaire d'aborder le chapitre du Futur pour s'inscrire en faux contre plusieurs prétendues prophéties du P. Lamy colportées par des visiteurs et surtout par des visiteuses d'une imagination inventive. Lui-même, déplorant souvent cette tournure d'esprit, répétait : « Il faut couper les ailes à ces canards-là ! » Certes, il répondait très fréquemment aux questions avant qu'elles fussent posées, où il annonçait tel et tel événements relatifs à une âme : sa conversion imminente, son prochain appel au service des autels, la nécessité d'agir vite auprès d'elle avant sa comparution inopinée devant le tribunal de Dieu ; mais, seules, les âmes l'intéressaient. S'il parlait quelquefois de l'avenir, c'était par accident, et jamais quand on l'interrogeait. Rien ne lui déplaisait autant que les demandes faites sur des choses qu'il connaissait pertinemment, comme le rôle de sa congrégation dans les temps futurs. Sur ces points, lui toujours si doux, était prêt à se fâcher : il se taisait ou répondait par des généralités. À un fervent du Bienheureux Grignion de Montfort qui le questionnait sur les Apôtres des Derniers Temps : « Nous ignorons, s'exclamait-il, la fin du monde. « On dit... On dit !... » Je ne sais qu'une chose : Notre-Seigneur a dit dans l'Évangile que ce jour n'était connu de personne, pas même des anges dans le ciel. Ses anges, eux-mêmes, l'ignorent. La Sainte Vierge, qui est dans le sein du Père, le sait ; mais Elle ne découvre pas son secret. Mille ans ? Deux mille ? Je n'en sais rien. Ce jour-là viendra comme l'éclair qui part de l'Orient jusqu'à l'Occident. »
« Il ne faut jamais bâtir son existence sur des visions, et surtout sur, celles des autres. Dans les choses matérielles, il ne faut connaître que le bon sens. Et dans les choses spirituelles, il faut encore du bon sens ; mais, là, nous ne saurions nous tromper, ayant les règles infaillibles, que Dieu nous a tracées. Il faut se défendre de la mystique. Le démon est derrière la Mère de Dieu (allusion au 9 septembre 1909) : si on laisse passer Celle-ci, on trouve le démon. »
Les rares indications d'ordre général données par le P. Lamy ont été les suivantes : « Elle a bien voulu lever pour moi un petit coin du voile qui nous cache l'avenir, mais j'aime ne pas regarder les événements futurs. Confions-nous tout à fait en Sa miséricordieuse protection. »
« Le saint archange Gabriel m'a dit, en parlant de Lucifer : « Il joue son va-tout ; il croit la partie gagnée », en quoi il se trompe. Satan joue son va-tout. Il faut prier avec espérance, malgré son tapage. Je vous confie ces choses-là : ce sont des miettes. On sentira encore davantage quelle est la délicatesse de bonté de la Très Sainte Vierge, Mater Amabilis, Mater Admirabilis ! On la pressent dans la Très Sainte Vierge. Je lui dis souvent : « Bonne Mère, ne quittez pas le sein du Père, mais écoutez nos prières. »
« La paix sera rendue au monde, mais je ne verrai pas cela, et il se passera d'autres choses, dont je ne verrai pas personnellement la fin. Quand la paix aura été rétablie dans le monde, que de choses seront changées ! La grosse industrie, c'est la guerre. La fabrication des avions, l'exploitation des mines, le travail du fer, tout cela diminuera. Il n'y aura plus de ces grandes usines où la moralité dégénère et disparaît. Les ouvriers seront bien obligés de se rejeter sur la terre. Le travail de la terre reprendra une grande extension. La terre redeviendra très chère. Quand la paix sera rendue au monde, l'industrie se ramènera à des proportions moindres et y restera. Tout s'amoindrira. Ils vont devant l'inévitable ; ils y arriveront tout de même. Ici, la terre a perdu beaucoup de sa valeur et il n'y a plus de bras pour la culture. Nous avions une jolie vigne : ma sœur a voulu absolument vendre sa part pour s'en débarrasser. Elle l'a vendue 100 francs ! Treize ares pour 100 francs ! Aux Archots, j'ai eu l'exemple de 12 ares vendus pour 13 francs ; une autre fois, 13 ares vendus 35 francs. Quand la paix sera rendue au monde, les terres acquerront plus de valeur qu'elles n'ont. Que les vieux ouvriers s'entêtent à mourir dans les villes, cela arrivera. »
« Dieu voulait purifier la foi de son peuple en lui faisant faire un long séjour dans le désert. Les Israélites sont restés toute une génération dans les sables. J'ai souvent médité sur cette rude épreuve. De même, quand Dieu rendra la paix au monde, il faudra le réévangéliser, et cela sera l'œuvre de toute une génération. »
« Il y aura un grand effort à donner pour la conversion des hommes après la paix rendue à la terre. Il y aura bien des difficultés. Saint Paul n'en a-t-il pas rencontré ? L'état d'âme des premiers chrétiens reviendra, d'ailleurs, mais il y aura alors si peu d'hommes sur terre ! Et il y aura à nouveau une floraison magnifique des ordres et des congrégations. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophétie d'Alexandria Maria D'Acosta:Envoyé : 26/07/2007 20:25
La consécration du monde à Marie
Nous nous souvenons aussi que le 30 juin 1935, Jésus avait demandé la consécration du monde à Notre-Dame. Il avait dit à Alexandrina:
"En raison de l’amour que tu as envers ma très Sainte Mère, communique à ton directeur spirituel la demande suivante: que chaque année un acte de consécration du monde à ma Mère soit fait, un jour fixé et que l’on demande à la Vierge sans tache de confondre les impurs, afin que ceux-ci changent de vie et ne M’offensent plus davantage. Comme J'ai demandé à Marguerite-Marie la consécration du monde à mon divin Cœur, ainsi Je te demande à toi, qu’il soit consacré à Marie au cours d'une fête solennelle."[2]
Le Père Mariano Pinho, son directeur, avait d'abord semblé très perplexe sur ce sujet, mais peut-être en avait-il cependant parlé autour de lui, car, le 31 mai 1937, Alexandrina recevait la visite du Père Antonio Durão, jésuite, en qualité d'envoyé du Saint-Siège, pour la questionner sur la consécration du monde à Notre-Dame.
Puis, le 24 octobre 1938 le Père Pinho écrivait à Rome. En effet, lors de plusieurs extases, Alexandrina avait entendu Jésus demander au Père Pinho d'écrire au Pape au sujet de la consécration du monde. Le 5 janvier 1939, c'est le chanoine Vilar, envoyé par le Saint-Siège, qui fut chargé d'enquêter sur la consécration du monde à la Vierge. Le 20 janvier, Jésus prédit la guerre, châtiment pour les grands péchés:
"Le monde est suspendu à un fil très fin... Ou le Pape se décide à le consacrer ou le monde sera puni!..."
La consécration du monde à Marie
Nous nous souvenons aussi que le 30 juin 1935, Jésus avait demandé la consécration du monde à Notre-Dame. Il avait dit à Alexandrina:
"En raison de l’amour que tu as envers ma très Sainte Mère, communique à ton directeur spirituel la demande suivante: que chaque année un acte de consécration du monde à ma Mère soit fait, un jour fixé et que l’on demande à la Vierge sans tache de confondre les impurs, afin que ceux-ci changent de vie et ne M’offensent plus davantage. Comme J'ai demandé à Marguerite-Marie la consécration du monde à mon divin Cœur, ainsi Je te demande à toi, qu’il soit consacré à Marie au cours d'une fête solennelle."[2]
Le Père Mariano Pinho, son directeur, avait d'abord semblé très perplexe sur ce sujet, mais peut-être en avait-il cependant parlé autour de lui, car, le 31 mai 1937, Alexandrina recevait la visite du Père Antonio Durão, jésuite, en qualité d'envoyé du Saint-Siège, pour la questionner sur la consécration du monde à Notre-Dame.
Puis, le 24 octobre 1938 le Père Pinho écrivait à Rome. En effet, lors de plusieurs extases, Alexandrina avait entendu Jésus demander au Père Pinho d'écrire au Pape au sujet de la consécration du monde. Le 5 janvier 1939, c'est le chanoine Vilar, envoyé par le Saint-Siège, qui fut chargé d'enquêter sur la consécration du monde à la Vierge. Le 20 janvier, Jésus prédit la guerre, châtiment pour les grands péchés:
"Le monde est suspendu à un fil très fin... Ou le Pape se décide à le consacrer ou le monde sera puni!..."
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Alexandria Maria d'Acosta:Un vendredi de 1945, au cours d’une Passion, Alexandrina eut une vision terrible au sujet de l'avenir. Bien longtemps avant le Concile Vatican II elle écrivit:
«Quel feu dans mon cœur!... Combien je donnerais, combien j’aimerais souffrir pour obtenir que ce feu soit le mien et qu’il soit un feu d’amour pour Jésus. Je veux de l’amour, je veux de l’amour pour le donner au monde afin qu’il aime uniquement Jésus... Je vois le monde s’enfuir vers un autre monde, un monde de perdition.
Je reste les bras ouverts et les yeux levés vers le ciel. Comment remédier à ce mal? De grandes, de très grandes inquiétudes montent de la terre vers le ciel. Mon Dieu, je vois les âmes pleines de lourdeur et les corps détruits par la lèpre: conséquences du péché. Quelle lumière, celle qui m’oblige à tout voir!... À quel extrême le monde est réduit!... Doux Jésus, votre divin Cœur n’en peut plus!...
Je me sens placée entre le monde et Jésus afin d’éviter que la méchanceté des hommes ne blesse son Cœur si aimant. Flagellation, épines et mauvais traitements me blessent. Je ne vois pas Jésus mais je le sens comme opprimé, rempli d’épouvante et qui attend les coups de cette chaîne de méchanceté...
Sans même avoir pensé à la Cène de Jésus avec ses disciples, je me suis sentie à table. Mon cœur était le calice, le vin et le pain. Tous venaient manger et boire à ce calice. À partir de cet instant cette Cène allait se répéter. Mais quelle horreur ce que j’ai vu!... Tant de Judas buvant et mangeant indignement! Que de langues sales! Pire encore: combien de mains indignes distribuant ce pain et ce vin; des mains indignes et des cœurs démoniaques.
Quelle horreur mortelle!... J’en ai éprouvé tant de douleur et tant d’horreur au point de croire que mon âme allait fondre et le cœur se briser. Je ne sais pas mieux exprimer ce que j’ai vu, ce que j’ai souffert. Et avant tout autre chose, l’amour de Jésus, un amour indicible; un amour que l’on ne peut évaluer qu’après l’avoir expérimenté…" (Autobiographie: 12 avril 1945)
Remarque importante
Ces textes ont de quoi nous affliger. En effet, en 1945, les fidèles recevaient l'hostie consacrée uniquement sur la langues, et jamais les laïcs ne distribuaient la communion. Comment Alexandrina aurait-elle pu deviner ou inventer ces choses? Il faut également ajouter qu'en 1945, une telle révélation devait être incompréhensible. Et pourtant, aujourd'hui, n’importe qui peut distribuer la Communion, et bien rares sont les personnes qui se confessent pour recevoir le Sacrement de l’Amour. Aussi doit-on considérer les paroles d'Alexandrina comme une vraie prophétie.
1-7-2-Annonce de la guerre
En 1935 et en beaucoup d'autres occasions, le Seigneur, en lui annonçant la guerre comme châtiment des nombreux péchés de l'humanité, lui disait:
"Ce seront les victimes de mes Tabernacles qui arrêteront le bras de la Justice divine, pour que le monde ne soit pas détruit et que de plus grands châtiments n'adviennent."
La même année, Jésus lui ordonna de demander au Saint-Père la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, et l'institution de la fête liturgique.
1-7-3-Élection de Pie XII
Tout de suite après l'élection du Pape Pie XII, Jésus lui prédit le 27 mars 1939: "C'est lui le Pontife qui consacrera le monde au Cœur Immaculé de Marie, ma Mère." Trois ans après, cette parole de Jésus s'accomplissait.
Nous avons vu que pendant la guerre, Alexandrina s'était offerte comme victime pour la paix, et pour le Pape à qui elle écrivit pour le rassurer et lui dire qu'il serait protégé des dangers au sein des catastrophes internationales. D'ailleurs, le Seigneur lui avait dit, le 6 décembre 1940:
"La paix viendra, mais au prix de beaucoup de sang. Le Saint-Père sera ménagé. Le dragon orgueilleux et enragé, qui est le monde, n'osera pas toucher à son corps, mais son âme sera victime de ce dragon."
«Quel feu dans mon cœur!... Combien je donnerais, combien j’aimerais souffrir pour obtenir que ce feu soit le mien et qu’il soit un feu d’amour pour Jésus. Je veux de l’amour, je veux de l’amour pour le donner au monde afin qu’il aime uniquement Jésus... Je vois le monde s’enfuir vers un autre monde, un monde de perdition.
Je reste les bras ouverts et les yeux levés vers le ciel. Comment remédier à ce mal? De grandes, de très grandes inquiétudes montent de la terre vers le ciel. Mon Dieu, je vois les âmes pleines de lourdeur et les corps détruits par la lèpre: conséquences du péché. Quelle lumière, celle qui m’oblige à tout voir!... À quel extrême le monde est réduit!... Doux Jésus, votre divin Cœur n’en peut plus!...
Je me sens placée entre le monde et Jésus afin d’éviter que la méchanceté des hommes ne blesse son Cœur si aimant. Flagellation, épines et mauvais traitements me blessent. Je ne vois pas Jésus mais je le sens comme opprimé, rempli d’épouvante et qui attend les coups de cette chaîne de méchanceté...
Sans même avoir pensé à la Cène de Jésus avec ses disciples, je me suis sentie à table. Mon cœur était le calice, le vin et le pain. Tous venaient manger et boire à ce calice. À partir de cet instant cette Cène allait se répéter. Mais quelle horreur ce que j’ai vu!... Tant de Judas buvant et mangeant indignement! Que de langues sales! Pire encore: combien de mains indignes distribuant ce pain et ce vin; des mains indignes et des cœurs démoniaques.
Quelle horreur mortelle!... J’en ai éprouvé tant de douleur et tant d’horreur au point de croire que mon âme allait fondre et le cœur se briser. Je ne sais pas mieux exprimer ce que j’ai vu, ce que j’ai souffert. Et avant tout autre chose, l’amour de Jésus, un amour indicible; un amour que l’on ne peut évaluer qu’après l’avoir expérimenté…" (Autobiographie: 12 avril 1945)
Remarque importante
Ces textes ont de quoi nous affliger. En effet, en 1945, les fidèles recevaient l'hostie consacrée uniquement sur la langues, et jamais les laïcs ne distribuaient la communion. Comment Alexandrina aurait-elle pu deviner ou inventer ces choses? Il faut également ajouter qu'en 1945, une telle révélation devait être incompréhensible. Et pourtant, aujourd'hui, n’importe qui peut distribuer la Communion, et bien rares sont les personnes qui se confessent pour recevoir le Sacrement de l’Amour. Aussi doit-on considérer les paroles d'Alexandrina comme une vraie prophétie.
1-7-2-Annonce de la guerre
En 1935 et en beaucoup d'autres occasions, le Seigneur, en lui annonçant la guerre comme châtiment des nombreux péchés de l'humanité, lui disait:
"Ce seront les victimes de mes Tabernacles qui arrêteront le bras de la Justice divine, pour que le monde ne soit pas détruit et que de plus grands châtiments n'adviennent."
La même année, Jésus lui ordonna de demander au Saint-Père la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, et l'institution de la fête liturgique.
1-7-3-Élection de Pie XII
Tout de suite après l'élection du Pape Pie XII, Jésus lui prédit le 27 mars 1939: "C'est lui le Pontife qui consacrera le monde au Cœur Immaculé de Marie, ma Mère." Trois ans après, cette parole de Jésus s'accomplissait.
Nous avons vu que pendant la guerre, Alexandrina s'était offerte comme victime pour la paix, et pour le Pape à qui elle écrivit pour le rassurer et lui dire qu'il serait protégé des dangers au sein des catastrophes internationales. D'ailleurs, le Seigneur lui avait dit, le 6 décembre 1940:
"La paix viendra, mais au prix de beaucoup de sang. Le Saint-Père sera ménagé. Le dragon orgueilleux et enragé, qui est le monde, n'osera pas toucher à son corps, mais son âme sera victime de ce dragon."
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Sainte Anna-Maria Taïgi
(1837)
Sainte Anna-Maria Taïgi, romaine du tiers Ordre de la Sainte Trinité naquit en 1769. Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup.
Le Seigneur lui donna de bonne heure le don de prophétie. Elle prédit avec une exactitude absolue les événements du Premier Empire, la mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène, la guerre de la Grèce contre les Turcs, la révolution de 1830 en France, la guerre de Pologne, l'élection des papes depuis Pie VII et les événements marquants de leur pontificat, la fuite prochaine du Pape, lors de la révolution italienne, annonce à la fois la grande épidémie et les trois jours de ténèbres physiques. Ce dernier fléau lui avait été manifesté à plusieurs reprises dans le mystérieux soleil où elle voyait l'avenir.
Dieu enverra un double châtiment : l'un part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux ; l'autre part du ciel, à savoir une obscurité épaisse. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Cette obscurité sera accompagnée d’une infection dans l’air, ce qui fera périr non exclusivement, du moins principalement les ennemis de la religion. Des ténèbres pestilentielles peuplées de visions effroyables, envelopperont la terre pendant trois jours. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel.
Après les ténèbres, saint Pierre et saint Paul descendront des cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur pape.
Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.
Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Son nom sera vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Il est le Pontife saint, destiné à soutenir la tempête. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus. Il aura à la fin de don des miracles.
Des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée.
En ces temps-là, la religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur. La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira.
(1837)
Sainte Anna-Maria Taïgi, romaine du tiers Ordre de la Sainte Trinité naquit en 1769. Elle se maria à Rome où elle vécut et mourut en 1837. Elle s’offrit à Dieu en victime et souffrit beaucoup.
Le Seigneur lui donna de bonne heure le don de prophétie. Elle prédit avec une exactitude absolue les événements du Premier Empire, la mort de Napoléon 1er à Sainte-Hélène, la guerre de la Grèce contre les Turcs, la révolution de 1830 en France, la guerre de Pologne, l'élection des papes depuis Pie VII et les événements marquants de leur pontificat, la fuite prochaine du Pape, lors de la révolution italienne, annonce à la fois la grande épidémie et les trois jours de ténèbres physiques. Ce dernier fléau lui avait été manifesté à plusieurs reprises dans le mystérieux soleil où elle voyait l'avenir.
Dieu enverra un double châtiment : l'un part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux ; l'autre part du ciel, à savoir une obscurité épaisse. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Cette obscurité sera accompagnée d’une infection dans l’air, ce qui fera périr non exclusivement, du moins principalement les ennemis de la religion. Des ténèbres pestilentielles peuplées de visions effroyables, envelopperont la terre pendant trois jours. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Eglise, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel.
Après les ténèbres, saint Pierre et saint Paul descendront des cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur pape.
Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.
Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Son nom sera vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Il est le Pontife saint, destiné à soutenir la tempête. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus. Il aura à la fin de don des miracles.
Des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée.
En ces temps-là, la religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur. La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Anna Maria Taigi:Un jour de 1818, parlant des prochains fléaux de la terre, des futurs fléaux du ciel, elle précisa qu’ils pourraient, les uns et les autres, être atténués par les prières des âmes pieuses. Anne-Marie prédit que des millions d’hommes sont appelés à mourir par une main de fer, qu’un grand nombre mourront à l’occasion de guerres, de litiges, par traîtrise, et d’autre millions, par des morts imprévues. Des nations entières arriveraient ensuite à l’unité de l’Église catholique. Plusieurs turcs, païens et juifs, se convertiront, en demeurant tout confus devant les chrétiens, admirant leur ferveur et l’exactitude de leur vie. Elle me dit plusieurs fois que le Seigneur lui fit voir dans le mystérieux soleil, le triomphe et la joie universelle de la nouvelle Eglise, si grands et si surprenants, qu’elle ne pouvait pas l’expliquer
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Anna Maria Taigi:Anne sera, dans la suite, encore plus précise. Elle indique, en une autre occasion, au chanoine Raymond Pigliacelli, que des temps difficiles s’annoncent pour l’Eglise. A la question du prélat qui porte sur l’identité du pape qui régnera en cette période de mésaventures, Anne répond : " Le pontife qui régnera, en sera un qui n’est même pas cardinal. De plus, il ne demeure pas à Rome ".
Elle confirma, quelque temps après, ses propos, à Mgr IMatali, à qui elle avait indiqué la façon de faire face à la persécution que subirait l’église de Rome, à l’intérieur de laquelle l’iniquité serait triomphante. Dieu exigera un pontife saint, choisi selon son coeur, et à qui il communiquerait des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par Dieu, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le Turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il instruira le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat, retourneront à l’unité de la Sainte église Catholique Romaine.
Elle confirma, quelque temps après, ses propos, à Mgr IMatali, à qui elle avait indiqué la façon de faire face à la persécution que subirait l’église de Rome, à l’intérieur de laquelle l’iniquité serait triomphante. Dieu exigera un pontife saint, choisi selon son coeur, et à qui il communiquerait des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par Dieu, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le Turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il instruira le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat, retourneront à l’unité de la Sainte église Catholique Romaine.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
SAINT RÉMI,PREMIER ÉVEQUE DE FRANCE:Moi, Rémi, évêque de la cité de Reims, revêtu du sacerdoce, ai fait mon testament, conformément au droit prétorien ; j’ai voulu qu’il ait la force d’un codicille, dans le cas où il y manquerait quelque formalité. Quand moi, Rémi, évêque, j’aurai quitté cette vie, je t’institue mon héritière, ô sainte et vénérable Église catholique de la ville de Reims, (…) .
[Suit la répartition des biens que possédait Rémi. Au milieu de cette énumération, on trouve ce passage intéressant, car il fait allusion aux miracles accomplis pour le salut des Francs, dont vraisemblablement le miracle de la sainte ampoule :]
A l’égard des villages que mon seigneur d’illustre mémoire, le roi Clovis, que j’ai tenu sur les saints fonts du baptême, m’a donnés en propre, lorsque, païen encore, il ne connaissait pas le vrai Dieu, je les ai consacrés aux lieux les plus pauvres, de peur qu’il ne crût, infidèle qu’il était, que je fusse attaché aux choses de ce monde et moins occupé de son salut que des biens temporels. Il a admiré ma conduite, et a consenti avec bonté et générosité, tant avant qu’après son baptême, que j’intercédasse en faveur de tous ceux qui souffraient .
Comme il a reconnu que de tous les évêques de la Gaule, c’est moi qui ai le plus travaillé à la conversion des Francs, Dieu m’a donné tant de crédit auprès de lui, et la vertu divine, par la grâce du Saint-Esprit, a fait opérer par moi, pauvre pécheur, tant de miracles pour le salut des Francs, que le roi a non seulement restitué à toutes les Églises du royaume tout ce qu’on leur avait enlevé, mais encore en a enrichi beaucoup d’autres de son bien propre, par un effet gratuit de sa libéralité 3. (…)
Que le présent testament, observé fidèlement et inviolablement par mes frères et successeurs les évêques de Reims, maintenu et défendu partout par mes très chers fils les rois de France par moi consacrés au Seigneur à leur baptême, par un don gratuit de Jésus-Christ et la grâce du Saint-Esprit, obtienne à tout jamais une force inviolable et perpétuelle dans ses dispositions, envers et contre tout (…)
Seulement, par égard pour la famille royale qu’avec tous mes frères et co-évêques de la Germanie, de la Gaule et de la Neustrie, pour l’honneur de la sainte Église et la défense des pauvres, j’ai choisie délibérément pour être élevée à tout jamais au sommet de la majesté royale, que j’ai baptisée, que j’ai tenue sur les fonts baptismaux, marquée des sept dons du Saint-Esprit, et sacrée de l’onction des rois, par le saint chrême du même Saint-Esprit, j’ai ordonné ce qui suit :
_________________
[Suit la répartition des biens que possédait Rémi. Au milieu de cette énumération, on trouve ce passage intéressant, car il fait allusion aux miracles accomplis pour le salut des Francs, dont vraisemblablement le miracle de la sainte ampoule :]
A l’égard des villages que mon seigneur d’illustre mémoire, le roi Clovis, que j’ai tenu sur les saints fonts du baptême, m’a donnés en propre, lorsque, païen encore, il ne connaissait pas le vrai Dieu, je les ai consacrés aux lieux les plus pauvres, de peur qu’il ne crût, infidèle qu’il était, que je fusse attaché aux choses de ce monde et moins occupé de son salut que des biens temporels. Il a admiré ma conduite, et a consenti avec bonté et générosité, tant avant qu’après son baptême, que j’intercédasse en faveur de tous ceux qui souffraient .
Comme il a reconnu que de tous les évêques de la Gaule, c’est moi qui ai le plus travaillé à la conversion des Francs, Dieu m’a donné tant de crédit auprès de lui, et la vertu divine, par la grâce du Saint-Esprit, a fait opérer par moi, pauvre pécheur, tant de miracles pour le salut des Francs, que le roi a non seulement restitué à toutes les Églises du royaume tout ce qu’on leur avait enlevé, mais encore en a enrichi beaucoup d’autres de son bien propre, par un effet gratuit de sa libéralité 3. (…)
Que le présent testament, observé fidèlement et inviolablement par mes frères et successeurs les évêques de Reims, maintenu et défendu partout par mes très chers fils les rois de France par moi consacrés au Seigneur à leur baptême, par un don gratuit de Jésus-Christ et la grâce du Saint-Esprit, obtienne à tout jamais une force inviolable et perpétuelle dans ses dispositions, envers et contre tout (…)
Seulement, par égard pour la famille royale qu’avec tous mes frères et co-évêques de la Germanie, de la Gaule et de la Neustrie, pour l’honneur de la sainte Église et la défense des pauvres, j’ai choisie délibérément pour être élevée à tout jamais au sommet de la majesté royale, que j’ai baptisée, que j’ai tenue sur les fonts baptismaux, marquée des sept dons du Saint-Esprit, et sacrée de l’onction des rois, par le saint chrême du même Saint-Esprit, j’ai ordonné ce qui suit :
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Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
St Rémi:Malédictions
Si un jour cette famille, tant de fois consacrée au Seigneur par mes
bénédictions, rendant le mal pour le bien, usurpe, ravage ou détruit
les églises de Dieu, et s’en déclare l’ennemie ou la persécutrice, que
les évêques du diocèse de Reims soient convoqués et lui fassent d’abord
des remontrances, qu’ensuite l’Église de Reims, s’adjoignant sa sœur
l’Église de Trèves, aille une deuxième fois trouver le roi. La
troisième fois, que trois ou quatre archevêques des Gaules seulement
soient convoqués et fassent des remontrances au prince, quel qu’il soit
en sorte que la longanimité de la tendresse paternelle diffère jusqu’au
septième avertissement, si les premiers n’obtiennent aucun succès .
Enfin, si au mépris de toutes les remontrances, il ne dépose pas cet
esprit d’obstination incorrigible, s’il refuse de se soumettre à Dieu
et de participer aux bénédictions de l’Église, que tous prononcent
contre lui la sentence de séparation du corps de l’Église, par la
formule que l’on sait avoir été chantée il y a longtemps par le
prophète-roi David, sous l’inspiration de ce même Saint-Esprit qui est
dans les évêques : « Parce qu’il a persécuté l’indigent, le pauvre,
l’homme au coeur contrit, parce qu’il ne s’est point souvenu de la
miséricorde et qu’il a aimé la malédiction, celle-ci lui arrivera ; il
n’a point voulu de la bénédiction, elle s’éloignera » (Ps 108, 16- 18
). Et tout ce que l’Église a
l’habitude de chanter de Judas le traître et des mauvais évêques, que toutes les églises le chantent de lui .
Parce que le Seigneur a dit : « Tout ce que vous avez fait au plus
petit des miens, c’est à moi que vous l’avez fait, et tout ce que vous
ne leur avez pas fait, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait » (Mt
25, 40 & 45), ainsi ce qui est vrai pour la tête l’est aussi pour
les membres. Il ne faut changer qu’un seul mot par interposition : «
Que ses jours soient abrégés et qu’un autre reçoive l’autorité royale 2
! » (Ps 108, 8.)
Si mes successeurs les archevêques de Reims négligent d’accomplir ce
que j’ai ordonné, qu’ils soient frappés de malédictions et qu’ils
subissent les peines portées contre les princes : « Que leurs jours
soient abrégés, et qu’un autre reçoive leur évêché . »
_________________
Si un jour cette famille, tant de fois consacrée au Seigneur par mes
bénédictions, rendant le mal pour le bien, usurpe, ravage ou détruit
les églises de Dieu, et s’en déclare l’ennemie ou la persécutrice, que
les évêques du diocèse de Reims soient convoqués et lui fassent d’abord
des remontrances, qu’ensuite l’Église de Reims, s’adjoignant sa sœur
l’Église de Trèves, aille une deuxième fois trouver le roi. La
troisième fois, que trois ou quatre archevêques des Gaules seulement
soient convoqués et fassent des remontrances au prince, quel qu’il soit
en sorte que la longanimité de la tendresse paternelle diffère jusqu’au
septième avertissement, si les premiers n’obtiennent aucun succès .
Enfin, si au mépris de toutes les remontrances, il ne dépose pas cet
esprit d’obstination incorrigible, s’il refuse de se soumettre à Dieu
et de participer aux bénédictions de l’Église, que tous prononcent
contre lui la sentence de séparation du corps de l’Église, par la
formule que l’on sait avoir été chantée il y a longtemps par le
prophète-roi David, sous l’inspiration de ce même Saint-Esprit qui est
dans les évêques : « Parce qu’il a persécuté l’indigent, le pauvre,
l’homme au coeur contrit, parce qu’il ne s’est point souvenu de la
miséricorde et qu’il a aimé la malédiction, celle-ci lui arrivera ; il
n’a point voulu de la bénédiction, elle s’éloignera » (Ps 108, 16- 18
). Et tout ce que l’Église a
l’habitude de chanter de Judas le traître et des mauvais évêques, que toutes les églises le chantent de lui .
Parce que le Seigneur a dit : « Tout ce que vous avez fait au plus
petit des miens, c’est à moi que vous l’avez fait, et tout ce que vous
ne leur avez pas fait, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait » (Mt
25, 40 & 45), ainsi ce qui est vrai pour la tête l’est aussi pour
les membres. Il ne faut changer qu’un seul mot par interposition : «
Que ses jours soient abrégés et qu’un autre reçoive l’autorité royale 2
! » (Ps 108, 8.)
Si mes successeurs les archevêques de Reims négligent d’accomplir ce
que j’ai ordonné, qu’ils soient frappés de malédictions et qu’ils
subissent les peines portées contre les princes : « Que leurs jours
soient abrégés, et qu’un autre reçoive leur évêché . »
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Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
St Rémi:Bénédictions
Mais si Notre Seigneur Jésus-Christ daigne écouter les prières que je
répands tous les jours en présence de la majesté divine, spécialement
pour la persévérance de cette famille royale, suivant mes
recommandations , dans le bon gouvernement de son royaume et le respect
de la hiérarchie de la sainte Église de Dieu, qu’aux bénédictions que
le Saint-Esprit a versées par ma main pécheresse sur la tête de son
chef, le même Esprit-Saint joigne d’autres bénédictions plus
abondantes, et que de lui sortent des rois et des empereurs qui, pour
le présent et pour l’avenir, selon la volonté du Seigneur, confirmés
dans la vérité et la justice pour l’extension de la sainte Église,
puissent conserver le royaume et en reculer chaque jour les limites ;
puissent-ils être élevés aussi sur le trône dans la maison de David,
c’est-à-dire dans la Jérusalem céleste, pour y régner éternellement
avec le Seigneur. Ainsi soit-il .
Fait à Reims même jour que dessus, et sous le consul sus-nommé, en présence et avec la participation des soussignés :
+ Moi, Rémi, évêque, j’ai relu, signé, scellé et fermé ce testament,
avec la grâce de Dieu, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
_________________
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Mais si Notre Seigneur Jésus-Christ daigne écouter les prières que je
répands tous les jours en présence de la majesté divine, spécialement
pour la persévérance de cette famille royale, suivant mes
recommandations , dans le bon gouvernement de son royaume et le respect
de la hiérarchie de la sainte Église de Dieu, qu’aux bénédictions que
le Saint-Esprit a versées par ma main pécheresse sur la tête de son
chef, le même Esprit-Saint joigne d’autres bénédictions plus
abondantes, et que de lui sortent des rois et des empereurs qui, pour
le présent et pour l’avenir, selon la volonté du Seigneur, confirmés
dans la vérité et la justice pour l’extension de la sainte Église,
puissent conserver le royaume et en reculer chaque jour les limites ;
puissent-ils être élevés aussi sur le trône dans la maison de David,
c’est-à-dire dans la Jérusalem céleste, pour y régner éternellement
avec le Seigneur. Ainsi soit-il .
Fait à Reims même jour que dessus, et sous le consul sus-nommé, en présence et avec la participation des soussignés :
+ Moi, Rémi, évêque, j’ai relu, signé, scellé et fermé ce testament,
avec la grâce de Dieu, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
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Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Ste Brigitte de Suede:Quant à l'avènement de l'Antéchrist et à la fin du monde, Brigitte reçut la révélation suivante. Le Fils de Dieu lui dit: « Ce monde est semblable à un navire qui est chargé de souffrances et de misères, et poussé çà et là par les tempêtes des tentations. Les hommes, qui y sont montés, ne sont jamais en sûreté, jusqu'à ce qu'ils soient arrivés au port de l'éternel repos. De même qu'un navire est divisé en trois parties, de même il y a trois âges pour le monde. Le premier s'étendit d'Adam à mon incarnation; cet âge est symbolisé par la proue, qui est élevée, admirable et forte : élevée par la piété des Patriarches, admirable par la science des Prophètes, et forte par l'observance de la Loi. Le milieu du navire, c'est-à-dire le second âge du monde, commença le jour où moi-même, le Fils du Dieu avivant, je revêtis la forme de l'esclave; de même que la partie terlance du
(1) Révélations VI, 68.
32
navire est plus basse que les extrémités, de même à partir de mon avènement, l'humilité a été prêchée et pratiquée par une foule d'âmes durant de longs siècles. Aujourd'hui que l'impiété et l’orgueil vont en croissant et que ma Passion tombe en oubli, aujourd'hui s'ouvre le troisième âge qui se prolongera jusqu'au jour du jugement; et c'est en cet âge que je t'ai chargée de porter ma parole au monde. Quiconque l'écoutera et l'observera sera sauvé. Car si Jean dit dans son évangile, qui est le mien : « Bienheureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru », je dis à mon tour: « Bienheureux, oui éternellement bienheureux seront ceux qui écouteront ma parole et la suivront. A la fin de cet âge apparaîtra l'Antéchrist ; et, tandis que les enfants de Dieu naissent d'une union sainte, l'Antéchrist naîtra, lui, d'une femme maudite, qui prétendra à l'intelligence des choses spirituelles, et d'un homme également maudit; et c'est le démon qui, par eux, formera son ouvrage, avec ma permission. Le temps de l’Antéchrist n'est pas celui qu'annoncent les écrits du moine impie; moi seul je connais ce temps. Quand l'iniquité (33) aura débordé et que l'impiété sera au comble, alors viendra l'Antéchrist. Sache qu'avant cette époque les portes de la foi s'ouvriront pour plusieurs peuples païens. Lorsque les chrétiens aimeront l'hérésie, et lorsque les méchants fouleront aux pieds le clergé et la justice, alors ce sera le signe de l'approche de l'Antéchrist (1).
(1) Révélations VI, 68.
32
navire est plus basse que les extrémités, de même à partir de mon avènement, l'humilité a été prêchée et pratiquée par une foule d'âmes durant de longs siècles. Aujourd'hui que l'impiété et l’orgueil vont en croissant et que ma Passion tombe en oubli, aujourd'hui s'ouvre le troisième âge qui se prolongera jusqu'au jour du jugement; et c'est en cet âge que je t'ai chargée de porter ma parole au monde. Quiconque l'écoutera et l'observera sera sauvé. Car si Jean dit dans son évangile, qui est le mien : « Bienheureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru », je dis à mon tour: « Bienheureux, oui éternellement bienheureux seront ceux qui écouteront ma parole et la suivront. A la fin de cet âge apparaîtra l'Antéchrist ; et, tandis que les enfants de Dieu naissent d'une union sainte, l'Antéchrist naîtra, lui, d'une femme maudite, qui prétendra à l'intelligence des choses spirituelles, et d'un homme également maudit; et c'est le démon qui, par eux, formera son ouvrage, avec ma permission. Le temps de l’Antéchrist n'est pas celui qu'annoncent les écrits du moine impie; moi seul je connais ce temps. Quand l'iniquité (33) aura débordé et que l'impiété sera au comble, alors viendra l'Antéchrist. Sache qu'avant cette époque les portes de la foi s'ouvriront pour plusieurs peuples païens. Lorsque les chrétiens aimeront l'hérésie, et lorsque les méchants fouleront aux pieds le clergé et la justice, alors ce sera le signe de l'approche de l'Antéchrist (1).
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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