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PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS

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Message par Francesco Jeu 17 Jan 2008 - 1:12

Rappel du premier message :

La Main Céleste de Tombow
(1976-02-10)

Le 10 Février 1976, selon une information parue dans le "Corriere della Valle d'Aosta", à Tombow (40 Km au sud de Moscou), une main blanche est apparue dans le ciel clair ; cette main tenait un pinceau et se mit à écrire :

« Le Mal submerge le Bien. C'est l'hiver pour mon peuple. C'est l'Heure du Repentir. Il ne restera pas une Âme droite au milieu des Âmes dépravées, et pas une Âme dépravée au milieu des Âmes droites." "Prenez Garde à Mon Avertissement. Faites Pénitence et repentez-vous. Je sauverai ceux qui craignent le Seigneur. Prenez vos responsabilités. Le Temps est proche. Je reviendrai bientôt. Amen. »

La MAIN passa environ une demie heure à tracer ce Message qui fut visible dans le ciel par tous les habitants de Tombow pendant 3 heures. L'émotion y fut telle que toute circulation fut interrompue. Les spectateurs se lisaient les uns aux autres, le texte écrit dans le ciel, les plus religieux l'expliquant aux Incroyants. Les Autorités soviétiques n'osèrent pas intervenir de crainte d'un soulèvement populaire.

Le même fait s'est de nouveau produit à Moscou, en Russie, le 19 Décembre, une main avait écrit dans le ciel :

« Le temps est venu de séparer l'ivraie du bon grain. »
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Message par Francesco Mar 20 Juil 2010 - 1:43

18. Louis XVI (1754-1793)



Du livret « Le Saint Pape et le Grand Monarque », pages 30 et 31 :



Le Roi Martyr, dans une apparition consignée dans le dossier constitué en vue de sa Cause de Canonisation disait :



« Plusieurs se sont assis sur mon trône et y ont trouvé leur perte. Tout ce qui aura survécu s’assemblera un jour autour de la place où mon sang a coulé (la place de la Concorde à Paris) ; au milieu d’eux paraîtra celui qu’on croit mort à cause du vêtement et de la nuée qui le couvrent. C’est lui qui doit tenir mon sceptre en sa main ; il est l’aîné après moi ».



19. L’Abbé Souffrand (1755-1828)



De l’ouvrage « Demain », pages 217 à 221:



« Ce prêtre humble et zélé gouverna pendant près de 50 ans la paroisse de Maumusson, au diocède de Nantes, et ne voulut jamais la quitter, malgré l’offre d’une cure plus importante. Sous la révolution, l’évêque légitime l’avait en même temps son vicaire général. Il courut alors de nombreux dangers et plus tard, sous le régime impérial et celui de la Restauration, subit des persécutions. Car sa conviction profonde de la survivance du Dauphin évadé du Temple lui fit écrire deux lettres, l’une à Napoléon 1 er et l’autre à Louis XVIII, pour leur reprocher leur usurpation. De là les colères et les gendarmes. Il avait présagé à ses amis MM. De Charrette les évènements de 1814 et de 1815. ‘Comment voyez-vous l’avenir ? » insistèrent-ils en 1817. Voici sa réponse, avec des additions extraites d’autres copies et entre autres un document écrit de sa propre main :



« […] 5. Dans ces temps [à partir de la seconde moitié du 19 ième siècle] et après une nouvelle république, vous verrez trois partis en France, deux mauvais et un bon (le parti socialiste et communiste et le parti de l’ordre). Les deux premiers feront beaucoup de mal dans Paris qui sera détruit, et dans le Nord et le Midi de la France.

6. Ensuite paraîtra le grand monarque qui sera un Lys, amené par le Pontife Saint et un prince du nord qui se convertira (alias, nouvellement converti) mais il viendra par le Midi de la France.

7. La venue de ce grand Monarque sera très proche, lorsque le nombre des Légitimistes restés vraiment fidèles sera tellement petit qu’à vrai dire on les comptera.

8. Un général, petit noble de la Loire-Inférieure, jouera un rôle important pour le rétablissement du grand Monarque ; il le ramènera.



[D’après une prophétie bretonne, il aura des cheveux blancs quand sa mission commencera, il sera du cœur de la Bretagne et viendra des bords de l’Elorn. Il vaincra les méchants (les révolutionnaires), il les chassera de la France (les allemands), il conquerra l’Ile volée par les Saxons (l’Angleterre)].



9. Avant le grand Monarque, des malheurs doivent arriver. Le sang coulera par torrents, dans le Nord et le midi. L’ouest sera épargné à cause de sa foi. Mais le sang coulera tellement au nord et au midi, que je le vois couler comme la pluie dans un jour de grand orage, et je vois les chevaux ayant du sang jusqu’au sangles.

10. C’est principalement dans les villes que le sang coulera.

11. La religion sera persécutée, les ministres seront obligés de se cacher au moins momentanément, les églises seront fermées encore pendant un peu de temps.

12. Des cris sans nombres seront proférés ; ceux qui domineront seront ceux de : Vive la République ! Vive Napoléon ! Vive le grand Monarque que Dieu nous garde !

13. Paris sera détruit au milieu de toutes ces calamités, tellement détruit que la charrue y passera.

14. Dans ces évènements les bons n’auront rien à faire, car se seront les républicains qui se dévoreront entre eux.

15. Il viendra un moment où l’on croira tout perdu. C’est alors que tout sera sauvé ; car entre le cri : « Tout est perdu » et « Tout est sauvé », il n’y aura pour ainsi dire pas d’intervalle – le temps de virer une galette.

16. Les puissances étrangères s’armeront, marcheront contre la France.

17. La Russie viendra abreuver ses chevaux dans le Rhin, mais ils ne le passeront pas.

18. Les généraux français déposeront les armes, dès que le grand monarque sera montré (alias : leur sera montré).

19. Le grand Monarque est de la branche aînée des Bourbons [Cf. Notre Dame de tous les Peuples à Amsterdam] et il est issu de la branche d’un rameau coupé.

20. Il ne fera que prendre la couronne pour la placer sur la tête de son héritier direct.

21. Le grand Monarque fera des choses si extraordinaires que les plus incrédules seront forcés de reconnaître le doigt de Dieu.

22. Ce monarque réformera tout, fera un Code nouveau, une nouvelle noblesse et tous ses actes seront si parfaits que tous les autres Souverains lui seront soumis.

23. Il aura une magnifique puissance, il n’y aura plus pour ainsi dire que deux empires en Europe, l’empire d’Orient et l’Empire d’Occident.

24. Sous le grand Monarque la religion sera honorée et Dieu sera glorifié, comme il ne l’a pas été depuis des siècles.

25. La Russie se convertira et elle aidera la France à rendre la paix et la tranquilité au monde entier.

26. Sous son règne toute justice sera rendue. Ceux qui possèdent des biens volés seront les premiers à les rendre. Les biens nationaux seront otés à leurs acquéreurs.

27. Les malheurs prédits plus hauts seront la suite de nos crimes. Si, comme Dieu le désire, nous entrons dans ses vues et celles de l’Eglise, nos maux seront allégés.

28. C’est à cause de cela que l’Ouest a trouvé grâce devant Dieu, en vue de sa foi ; aussi sera-t-il épargné dans ces évènements.

29. Dieu se servira du grand Monarque pour exterminer toutes les sectes hérétiques, toutes les superstitions des gentils et répandre, de concert avec le Pontife Saint, la religion catholique das tout l’univers excepté dans la Palestine, pays de malédiction.

30. Après la crise il y aura un concile général, malgré quelques oppositions faites par le clergé lui-même.

31. Ensuite, il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul pasteur, parce que tous les infidèles et tous les hérétiques (mais pas les Juifs, dont la masse se convertira qu’après la mort de la bête), rentreront dans l’Eglise latine, dont le triomphe se continuera jusqu’à la destruction de l’Antéchrist.



Une pauvre femme de Maumusson, la femme Delanoue, a transmis encore, en 1842, ces trois recommandations de l’Abbé Souffrand :



32. 1° : Tous les diocèses doivent être consacrés au Sacré-Cœur par leurs évêques. Celui de Paris doit faire vœu d’une église au Cœur de Jésus.

33. 2° : Il faut un certain nombre de victimes volontaires qui offrent le sacrifice de leur vie pour l’Eglise de France.

34. 3° : La chose la plus importante, c’est qu’il faut qu’avant les derniers bouleversements, où beaucoup de méchants périronts et aussi de bons, que la miséricorde intervienne au devant de la justice et que des prières soient faites dans toute l’Eglise, en particulier au Sacré-Cœur de Jésus, à la Très Sainte Vierge, à Saint Joseph et à Saint Michel Archange. Dieu n’attend plus que cela pour frapper et guérir ensuite (Curicque) ».



20. La prophétie de Prémol (1783)



Prémol, signifiant « pré mou » est une ancienne Charteuse située aux environs de Grenoble. Ce monastère, fondée en 1234 par Béatrice de Montferrat, épouse du Dauphin Guigues-André, fut plusieurs fois incendié et détruit durant la Révolution, avant d’être déserté en 1791 et pillé.



De l’ouvrage « Demain », pages 180 et 181 :



« Le grand Pape et le grand Roi du grand triomphe



100. Et je vis un homme d’une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion [le Saint Pontife].

101. Une lumière céleste descendit sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.

102. Et les enfants de Sion [les catholiques] se prosternent à ses pieds et il les bénit.

103. Et il appela les Samaritains et les Gentils et ils se convertirent tous à sa voix [Il réunit catholiques, protestants, orthodoxes, juifs].

104. Et je vis venir de l’Orient un jeune homme remarquable [le Grand Monarque], monté sur un lion [Le lion est le symbole de la force et de la puissance].

105. Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le coq [La France] chantait devant lui. Et le lion mit le pied sur la tête du dragon [Satan].

106. Et sur son passage tous les peuples s’inclinaient, car l’Esprit de Dieu était en lui.

107. Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit sa main dans la main du Pontife [Alliance du Saint Pontife et du Grand Monarque].

108. Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils dirent : ‘Vous ne serez heureux et forts qu’unis dans un même amour’ [Tous les peuples se soumettent à leur voix et acceptent de vivre sous le même amour, celui du Christ].

109. Et une voix, sortie du ciel au milieu des éclairs et du tonnerre : ‘Voici ceux que j’ai choisis pour mettre la paix entre l’Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon Verbe [le Saint Pontife] et mon bras [le Grand Monarque]. Et c’est mon Esprit qui les garde.

110. Et je vis des choses merveilleuses.

111. Et j’entendis les cantiques de s’élever de la terre aux cieux.

112. Puis j’aperçus à l’horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla et je ne vis et n’entendis plus rien ».



21. Bienheureuse Anna-Maria Taïgi (1769-1837)



« Née à Sienne, Anna-Maria Gianetti suivit son père à Rome où des revers de fortune l'avait contraint d'aller se fixer. La petite passa à peine deux ans à l'école où elle n'apprit qu'à lire. Ses parents faisaient retomber leur amertume sur leur fillette, mais l'angélique pauvrette redoublait de douceur envers eux. Anna-Maria entra très tôt en service afin d'aider ses parents. Elle grandissait, pieuse, travailleuse et coquette, prenant plaisir à se parer. Domenico, qui travaillait au jour le jour au palais Chigi, homme honnête, rude et prompt à la colère, offrit de l'épouser; Anna-Maria accepta sa proposition de mariage. Or, les parents d'Anna-Maria vinrent partager la vie du jeune foyer. Depuis leur arrivée, les scènes de criailleries qu'elle apaise de son mieux se répètent tous les jours, car sa mère acariâtre cherche sans cesse querelle à son gendre qui s'emporte facilement. Pour leurs sept enfants, la maison risquait de devenir un enfer, mais la bienheureuse demeurait si surnaturellement douce, que Domenico affirmera que c'était un vrai paradis chez lui, et que l'ordre et la propreté régnaient partout dans son pauvre gîte. Lors de sa réception comme membre du Tiers-Ordre de la Sainte Trinité, la bienheureuse s'était offerte comme victime expiatrice pour les péchés du monde. En retour de cette généreuse offrande, Dieu lui accorda la vision permanente d'un globe ou soleil lumineux dans lequel elle lisait les besoins des âmes, l'état des pécheurs et les périls de l'Église. Ce phénomène extraordinaire dura quarante-sept-ans. Surprise au milieu de ses occupations domestiques par les ravissements et les extases, Anna-Maria s'efforçait vainement de s'y soustraire. Bien que la bienheureuse Anna-Maria Taïgi souhaitait ardemment rester ignorée de tous, une foule de visiteurs composée de pauvres, de princes, de prêtres, d'évêques, du pape même, accourait pour demander conseil à sa sagesse inspirée. Or, celle qui répandait ainsi la sérénité et la lumière autour d'elle, fut privée de consolation spirituelle pendant vingt ans, et éprouvait le sentiment très net d'être reléguée en enfer. Le Lundi-Saint, dans une extase, Anna-Maria apprit qu'elle mourrait le Vendredi-Saint. Après avoir béni tous les siens, et les avoir remercié, elle rendit l'âme dans un cri de bonheur et de délivrance. Le pape Benoît XV béatifia Anna-Maria Taïgi, le 30 mai 1920 » (sources : écrits de Marteau de Langle de Cary).



De l’ouvrage « Demain », pages 231 et 232 :



« […] 27. Après les ténèbres, Saint Pierre et Saint Paul descendront de cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape.

28. Une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le cardinal futur pape (sur le Pape Angélique).

29. Saint Michel Archange, paraissant alors sur terre sous forme humaine, tiendra le démon enchaîné jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.

30. En ce temps-là, la religion étendra partout son empire : Unus pastor.

31. Les Russes seront convertis, ainsi que l’angleterre et la Chine ;

32. Il plut à Dieu de lui révéler aussi que l’Eglise, après avoir traversé plusieurs douloureuses épreuves, remporterait un triomphe si éclatant que les hommes en seraient stupéfaits ;

33. Que les nations entières retourneraient à l’unité de ‘Eglise romaine et que la terre changerait de face.

34. Elle décrivit aussi un futur Pontife : il serait élu d’une manière extraordinaire ; il ferait des réformes ; que si les hommes en était reconnaissants, le Seigneur les combleraient de bénédictions ; mais que s’ils en abusaient, son bras tout-puissant s’apppesantirait sur eux pour les punir.

35. Elle dit que ce Pontife, choisi selon le cœur de Dieu, serait assisté par lui de lumières toutes spéciales ;

36. Que son nom serait vénéré dans tout le monde et applaudi par les peuples ;

37. Que le Turc lui-même le vénèrerait et l’enverrait complimenter.

38. Elle dit qu’il était le Pontife saint destiné à soutenir la tempête ; que le bras de Dieu le soutiendrait et le défendrait contre les impies, lesquels seraient humiliés et confondus ;

39. Qu’il aurait à la fin le don des miracles ».


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par admin2 Mer 21 Juil 2010 - 1:23

22. Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich (1774-1824)



« Anne-Catherine Emmerick naît en 1774 dans une famille nombreuse de petits paysans en Westphalie (Allemagne). Toute jeune enfant, elle a déjà des visions sur des épisodes de l’Ancien et du Nouveau Testament. Elle travaille dur à la ferme, puis exerce le métier de couturière à la maison. Depuis longtemps, elle ressent l’appel à la vie religieuse, mais elle rencontre des difficultés pendant bien des années (opposition de ses parents pourtant très pieux, pauvreté, etc.). En 1802, elle entre enfin chez les Augustines de Dülmen. Elle reçoit les stigmates de la Couronne d’épines, mais elle les tient cachés. En 1811, le couvent est fermé lorsque Jérôme Bonaparte, frère de Napoléon, est nommé roi de Westphalie et les religieuses sont jetées à la rue. Dès lors, vivant en pleine ville, à Dülmen, elle ne peut plus tenir cachés les phénomènes mystiques dont elle est l’objet, d’autant plus qu’en 1812, elle reçoit les autres stigmates de la Passion et, la même année, elle cesse de se nourrir, ne vivant plus que de l’Eucharistie. Alors commence pour elle la notoriété et aussi les critiques. Le grand auteur romantique allemand, Clemens Brentano, converti de fraîche date, s’installe à son chevet, à partir de 1818 jusqu’à la mort de la voyante, et consacre désormais tout son talent à transcrire ses visions. Anne-Catherine Emmerick, malgré ses souffrances qui la clouent au lit, a le souci d’exercer la charité envers son prochain par ses travaux de couture, ses charismes et ses nombreux contacts. Elle unit ses souffrances à celles de Jésus son Époux et meurt en 1824. Elle a été béatifiée le 3 octobre 2004 par le Pape Jean-Paul II » (sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



De l’ouvrage « Demain », page 206 et 207 :



18. Les attaques de la Franc-Maçonnerie sous la figure d’une immense foule de démolisseurs, ornés des insignes maçonniques, et démolisant petit à petit la basilique de Saint-Pierre (l’Eglise).

19. Pendant que d’un autre côté, sous la direction du Pape, les catholiques et le clergé travaillaient, bien mollement souvent, à sa reconstruction.

20. Enfin apparut la Sainte Vierge, qui couvrit l’Eglise de son manteau, arrêtant ainsi le travail de démolition, pendant que celui de reconstruction se continuait avec plus d’ardeur.

21. L’édifice bientôt restauré, un nouveau Pape s’avança escorté d’une procession.

22. Il était plus jeune et beaucoup plus sévère que son prédécesseur. Il fut reçu en grande pompe.

23. Il s’apprêtait à consacrer la basilique…quand j’entendis une voix dire que cette consécration n’était pas nécessaire, la plus grande partie de l’édifice ayant été épargnée. Mais on allait célébrer une double solennité…, un jubilé universel et la renaissance de l’Eglise.

24. L’Eglise de Saint-Pierre m’apparut de nouveau avec sa haute coupole.

25. L’archange Saint Michel planait au-dessus de la basilique, tout rayonnant, couvert d’une robe empourprée comme le sang et tenant déployé à la main l’étendard des combats ».



23. La Bienheureuse Elisabeth Canori-Mora (1774-1825)



De l’ouvrage « Demain », pages 210 et 212 (vision du 29 juin 1820) :



« Contemporaine d’Anna Maria Taïgi et d’Anne-Catherine Emerich, mariée à un sacripant d’avocat qui la rendit plus malheureuse que la pierre des grandes routes, elle passa sa vieà souffrir les douleurs les plus cuisantes pour les âmes de l’Eglise et à jouir de visions consolantes et instructives. Cinq ans avant sa mort, du vivant de son époux, elle entra dans le Tiers-Ordre séculier des Trinitaires Déchaussés, sous le nom de Jeanne-Félix de la Très-Sainte Trinité.


14. […] Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. Saint Pierre descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre.

15. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre Saint Paul qui, par ordre de Dieu, parcourut l'univers, enchaîna les démons, et les ayant amenés devant Saint Pierre, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis.

16. Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes. Les anges conduisirent, devant le trône du prince des apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à Jésus-Christ.

[Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux, et bénissant Dieu, remercièrent l'apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde].

17. Le saint choisit alors le nouveau Pontife.

18. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de Dieu.

19. Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique. Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle en reconnaissant le Souverain-Pontife pour Vicaire de Jésus-Christ ».



24. L’Abbé Mattay (1815)



De l’ouvrage « Demain », pages 198 à 202 :



« En 1813, l’abbé Mattay, curé de Saint-Méen, en Bretagne, à quelques kilomètres de Dinant, prononça du haut de la chaire les paroles suivantes : ‘ Pauvres mères, vous pleurez la perte de vos enfants, vous avez raison ; mais consolez-vous ; dans deux ans vous n’aurez plus d’empereur, il sera détrôné et remplacé par un prince de la famille des Bourbons’. Cette audace faillit lui susciter des difficultés avec le régime impérial. Le maire, bien pensant, en fut quitte pour le représenter auprès des autorités du chef-lieu comme un homme qui n’avait plus la tête à lui. Il l’avait si bien à lui, qu’en 1815 il fit la prophétie suivante, claire, détaillée et en même temps si logique de suite. Elle complète celle de l’Abbé Souffrand.



Par souci de cohérence je présente les versets de la prophétie dans un ordre différent de la version originale, en faisant apparaître plus largement d’autres thèmes majeurs liés à nos temps :



« 10. Après elle [il est ici question de la République] un prince légitime[le Grand Monarque], d’une grande piété et d’une grande sagesse, sera appelé à gouverner la France. Il vivra très vieux, et la France se trouvera heureuse sous son règne. Il viendra au moment où on s’y attendra le moins. Il prendra le titre d’empereur ; car, à partir de là, nous ne devons plus avoir de rois.

11. Vers la fin du règne de l’usurpateur, le pape mourra et aura pour successeur un jeune pape, qui saura se mettre à la hauteur de sa mission ; et c’est sous ce jeune pape que nous sommes appelés à voir les grands évènements.

12. L’empereur aura passé en France presque tout le temps du règne républicain ; mais on en parlera très peu, si ce n’est quelques jours avant son avènement.

13. Il partira de Rome pour occuper le trône après avoir reçu la bénédiction du Saint-Père.

14. Sa garde sera composée d’étrangers […].

16. Les puissances étrangères s’armeront, non en faveur de la légitimité, mais dans le but de partager la France.

17. L’empereur de Russie à la tête d’une grande armée, viendra jusqu’au Rhin, qu’il ne passera pas, parce que là une main invisible l’arrêtera. Il verra le doigt de Dieu.

18. Quelque chose de miraculeux arrivera : l’empereur de Russie embrassera la religion catholique et la fera reconnaître dans tous ses Etats. Je ne puis au juste préciser l’époque de ces choses [conversion de la Russie promise par Notre-Dame à Fatima]. […].

20. Et à un moment donné toute l’Europe sera en feu [comme annoncé par l’ensemble des prophéties actuelles]. […].

26. Les Eglises seront fermées pendant quelque temps, surtout dans les villes.

27. Le feu n’atteindra point la Bretagne, ou du moins elle souffrira peu […].

34. Pendant le temps que durera la grande Crise, les journaux, devenus presque insignifiants, n’apprendront que peu de nouvelles, et souvent celles du jour seront démenties le lendemain. […].

21. Le calme naîtra cependant de l’orage au moment où l’on s’y attendra le moins et qu’on croira tout perdu.

22. L’heureux changement arrivera et sera annoncé par des proclamations qui, dans un clin d’œil, seront répandues par toute la France.

23. Les fonctionnaires désignés se trouveront à leur poste à point nommé ; les emplois seront donnés au mérite et non à la faveur ; la religion sera protégée et respectée […].

32. La paix sera attribuée à Dieu et non aux hommes, et ce dont nous devons être témoins sera regardé comme miraculeux.

33. Alors, la joie sera si grande que le voyageur n’aura pas besoin d’argent ; il sera recueilli et défrayé partout ; on dressera des tables dans les rues, et on y admettra tout le monde sans distinction ; les réjouissances dureront huit jours consécutifs ».



25. La religieuse trappistine de Notre-Dame des Gardes en Anjou (vers 1828+)



De l’ouvrage « Demain », pages 222 à 224 :



« Cette religieuse, cachée en 1793 chez des amis, y tomba dans une maladie qui, au bout de six mois, fit désespérer de sa vie. Un médecin, républicain modéré, lui donnait ses soins. Dans une de ses dernières visites, la malade lui ayant dit : ‘Guérissez-moi donc, monsieur le médecin’ il lui répondit brusquement : ‘Nous ne sommes plus dans les temps où les Apôtres faisaient des miracles’, et il dit en particulier aux maîtres de la maison : ‘Dans vingt-quatre heures votre religieuse n’existera plus’. Lorsqu’il se fut retiré, la malade mit sur sa poitrine un Sacré-Cœur et dormit d’un profond sommeil pendant deux heures. S’étant réveillée, elle dit à sa garde :’Je veux me lever’. Voici quelques-unes des prophéties de la religieuse :



Le dimanche avant la Toussaint 1816 [Notre Seigneur Jésus à propos de la France et du Grand Monarque]



3. Tu vois les crimes qu’on commet…et qui retient mon bras vengeur ? Je vais donc encore frapper la France pour le bonheur des uns et le malheur des autres.

4. Je vis dans ce moment un gros nuage si noir que j’en fus épouvantée ; il couvrit toute la France, et dans ce nuage j’entendis des voix confuses qui criaient, les unes : Vive la République ; les autres, Vive Napoléon ; les autres, Vive la religion et le Grand Monarque que Dieu nous garde.

5. En même temps, il se donna un grand combat, mais si violent, qu’on n’en n’avait jamais vu de semblable ; le sang coulait comme quand la pluie tombe bien fort ; surtout depuis le Midi jusqu’au Nord [c’est la guerre civile à Paris, dans le Midi et dans le Nord. En correspondance avec la prophétie de l’Abbé Souffrand], car l’ouest me parut tranquille […].

7. Je vis la capitale [Paris], brûlée, pillée, saccagée.

8. A cette vue je fus tellement épouvanté, que je crus que nous allions tous périr, mais la voix me dit :

9. Ne crains rien, j’ai des vues de miséricorde sur la France, je vais lui donner un roi selon mon cœur ; il aura en partage la douceur, la sagesse et la sévérité ; je lui rendrai tout facile…

10. Il rendra tous les biens usurpés, de quelques genres que ce soient, ce qui lui sera très facile, la plupart de ceux qui les possédaient ayant péri dans le grand combat ;

11. Et ceux qui survivront, étant effrayés par le châtiment des autres, ne pourront s’empêcher de reconnaître le doigt de Dieu. Plusieurs se convertiront.

12. Dans ce moment, je vis un jeune homme qui parut avoir environ trente-trois ans. Il était d’une beauté merveilleuse…En même temps, la voix me dit : ‘Voilà celui que je garde de tous les périls pour le bonheur de la France’

13. J’entendis qu’il portait ces deux noms de Louis-Charles. Il fut sauvé de la tour du Temple...

14. Il ne rentrera en France qu’après le grand combat.

15. Et il sera conduit par l’Empereur de Russie, à la tête d’une belle armée.

16. Il fera une étroite alliance avec l’empereur de Russie qui se fera catholique, et tous les deux emploieront leur puissance pour le bien de la religion.

17. Le temps de ces bouleversements ne sera pas plus de trois mois.

18. Et celui de la crise où les bons triompheront ne sera que d’un moment…

19. Quand les méchants auront répandu une très grande quantité de mauvais livres, ces évènements seront proches… ;

20. Aussitôt après qu’ils seront arrivés, tout rentrera dans l’ordre, et toutes les injustices de quelque natures que se soient, seront réparées, ce qui sera très facile, la plupart des méchants ayant péri dans le combat ;

21. Et ceux qui auront survécu seront si effrayés du châtiment des autres, qu’ils ne pourront s’empêcher de reconnaître le doigt de Dieu et d’admirer sa toute-puissance ; plusieurs se convertiront.

22. La religion fleurira ensuite de la manière la plus admirable. J’ai vu des choses si belles à cet égard que je n’ai point d’expressions pour les peindre ».



26. Saint Jean-Baptiste Marie Vianney (1786-1859)



De l’ouvrage « Demain », page 284 :



« […] Dieu viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion fleurira plus que jamais ».



27. La Très Sainte Vierge Marie aux berges de la Salette (1846)



Le 19 septembre 1846, la Sainte Vierge Marie apparaît en pleurs aux deux petits bergers de la Salette, Mélanie Calvat et Maximin Giraud, et donne un avertissement à la France qui bafoue les commandements de Dieu, se moque de la religion, n’honore plus le repos dominical, ne pratique plus l’abstinence et le jeûne les jours prescris, blasphème et oublie la prière.

Ainsi la Mère de Dieu exhorte à la pénitence et au repentir face au danger qui menace la nation.



Ce que l’on sait moins voire pas du tout, c’est que la Sainte Vierge, en plus du grand Secret « donne un secret à chaque enfant » comme nous le précise Jean-Baptiste Rousselot à la page 164 de son ouvrage « Les deux voix de Sainte Jeanne d’Arc ».

Ces deux secrets seront transmis au Pape et à lui seul enjuillet 1851, et « n’ont été retrouvés que le 2 octobre 1999, dans les archives de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, au Vatican, par l’abbé Corteville ».



Je poursuis la citation pages 164 et 165 : « Le 3 juillet 1851, Maximin transcrivait les paroles de la Sainte Vierge :



Si mon peuple continue ce que je vais vous dire arrivera plus tôt, s’il change un peu, ce sera un peu plus tard.

La France a corrompu l’univers, un jour elle sera punie (1).

La Foi s’éteindra dans la France : trois parties de la France ne pratiqueront plus la religion, ou presque plus, l’autre partie la pratiquera sans bien la pratiquer.

Puis après, les nations se convertiront, la foi se rallumera partout.

Une grande contrée dans le nord de l’Europe, aujourd’hui protestante, se convertira (2) : par l’appuis de cette contrée, toutes les autres contrées du monde se convertiront.

Avant que tout cela arrive, de grands troubles arriveront, dans l’Eglise et partout.

Puis après, notre Saint-Père le Pape sera persécuté.

Son successeur sera un pontife que personne s’y attend.

Puis après, une grande paix arrivera, mais elle ne durera pas longtemps.

Un monstre viendra la troubler.

Tout ce que je vous dis viendra dans l’autre siècle, plus tard aux deux-mille ans (3) ».



Notes :



(1) : « La corruption de l’univers » réside dans le fait que la France a malheureusement exporté ses idées révolutionnaires et anticléricales dans le monde entier.

(2) : En 1853, Maximin précisera que la grande contrée protestante qui se convertira est l’Angleterre. La Sainte Vierge Marie à Amsterdam (apparition reconnue par l’Eglise), lors du 3 ième message donné le 29 juillet 1945 confirme également la conversion de l’Angleterre, en précisant que l’Amérique la suivra : « […] La Dame prend un air triste ; elle dit : « L’Angleterre me retrouvera ». Après une pause, elle dit d’une voix lente et douce : « L’Amérique aussi ». La Dame disparaît ensuite lentement et je vois le monde qui baigne dans un flou étrange »].

(3) : Par l’expression « plus tard aux deux-mille ans » il faut entendre aux environs de l’an 2000.



De plus, comme retranscrit page 33 du livret « Le Saint Pape et le Grand Monarque », Maximin « avait reçu ordre de la Sainte Vierge de révéler la survivance de Louis XVII et de sa descendance au Comte de Chambord. Il se rendit donc à Frohsdorf. A ce moment, le secrétaire du Prince était le Comte de Vanssay qui a rédigé pour sa famille – dont je tiens la copie du document – le compte rendu de l’entretien :



‘Je vis que le Comte de Chambord était ému et parla longuement et avec beaucoup de bonté au jeune voyant. Quand Maximin quitta la pièce, tout ému, le Prince se tourna vers moi : « Maintenant J’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est Lui seul qui se réserve de rétablir la royauté ». Et le comte de Vanssay ajoute pour ses neveux et petits-neveux : ‘Surtout qu’ils gardent l’espérance qu’un jour Dieu ramènera sur le trône de France le descendant du lys à la tête coupée et que notre chère Patrie redevenue la Fille aînée de l’Eglise retrouvera sa grandeur et sa gloire’ »



Le, 6 juillet 1851, la Sainte Vierge confiait à Mélanie, selon la citation de la page 166 de l’ouvrage « Les deux voix de Sainte Jeanne d’Arc » :



« Le temps de la colère de Dieu est arrivé !

Si lorsque vous aurez dit aux peuples ce que je vous ai dit tout à l’heure, et ce que je vous dirai de dire encore, si après cela ils ne se convertissent pas (qu’on ne fait pas pénitence, qu’on ne cesse pas de travailler le dimanche et qu’on continue à blasphémer le Saint Nom de Dieu), en un mot, si la face de la terre ne change pas, Dieu va se venger contre le peuple ingrat et esclave du démon.

Mon Fils va faire éclater sa puissance !

Paris, cette ville souillée de toutes sortes de crimes, périra infailliblement, Marseille sera détruite en peu de temps.

Lorsque ces choses arriveront, le désordre sera complet sur la terre. Le monde s’abandonnera à ses passions impies.

Le pape sera persécuté de toutes parts ; on lui tirera dessus, on voudra le mettre à mort, mais on ne pourra rien, le Vicaire de Dieu triomphera encore une fois.

Les prêtres et les religieuses et les vrais serviteurs de mon Fils seront persécutés, et plusieurs mourront pour la foi de Jésus-Christ. Une famine règnera en même temps.

Alors que toutes ces choses seront arrivées, beaucoup de personnes reconnaîtront la main de Dieu sur elles, se convertiront, et feront pénitence de leurs péchés.



Un grand Roi montera sur le trône et règnera pendant quelques années.



La religion refleurira et s’étendra par toute la terre et la fertilité sera grande, le monde content de ne manquer de rien recommencera ses désordres, abandonnera Dieu et se livrera à ses passions criminelles.



(Parmi) les ministres de Dieu et les Epouses de Jésus-Christ, il y en a qui se livreront au désordre, et c’est ce qu’il y aura de terrible.



Enfin, un enfer régnera sur la terre. Ce sera alors que l’Antéchrist naîtra d’une religieuse ; mais malheur à elle ! Beaucoup de personnes croiront à lui, parce qu’il se dira le venu du ciel, malheur pour ceux qui le croiront !
Le temps n’est pas éloigné, il ne passera pas deux fois 50 ans ».



Jean-Baptiste Rousselot précise à la page 166 que « ce retour du Roi » annoncé par Mélanie « pour un avenir indéterminé » avait été annoncé par « Jésus à Sœur Marie de Jésus » et que « tôt ou tard, quels que soient les obstacles, la France serait consacrée à son Divin Cœur et que cette consécration ne pourrait se faire que par le légitime Roi de France », supposant donc son retour sur le trône.

Aux pages 166 et 167 du même ouvrage, l’auteur précise également qu’en « août 1853, le nouvel évêque de Grenoble, Mgr Ginoulhiac, bonapartiste à la différence de son prédécesseur, Mgr de Bruillard, royaliste, demanda à Maximin la teneur du secret qu’il avait adressé au Pape. Maximin lui en donna une variante avec quelques prophéties inédites », concernant notamment Napoléon III, mais annonce surtout « une deuxième fois la venue providentielle de ce Roi de France, qui coïncidera avec un retour de la France à la foi catholique » :



« La France recouvrira la foi ; puis il arrivera un grand roi. Le pape moura ; un pape français lui succèdera et ce roi et ce pape ne feront qu’un. Il n’y aura qu’une seule religion et qu’un seul royaume ».



et précisera par ailleurs, comme retranscrit pages 32 et 33 du livret « Le Saint Pape et le Grand Monarque » :



« C’est Lucifer qui gouverne la France…Dieu nous donnera un Roi caché auquel on ne pensera, et Il nous le donnera après les fléaux. Dieu seul le lui donnera ».



« Je n’ai jamais annoncé le retour des d’Orléans et je croirais un châtiment de Dieu sur la France s’ils remontaient sur le trône…Il n’y aura qu’un seul troupeau. Le Pape Saint avec le Roi Très Chrétien ne feront qu’un dans la foi. Le grand triomphe de l’Eglise se verra sous le Pasteur Angélique avec l’Ange terrestre de la survivance du Roi Martyr ».



Pour autant, il convient de noter l’intervention de Mélanie Calvat sur le sujet, comme relatée page 558 du tome 2 de la série des ouvrages « Veillez et priez car l’Heure est proche », extraite de sa correspondance avec le chanoine de Brandt :



- le 3 novembre 1881 : « Nous sommes trop dans le naturel. Nous pensons trop dans le naturel. Nous penson trop à la manière humaine (1). Ce ne sont pas les hommes qui mettront le roi sur le trône de France, ce sera le bon Dieu qui le conduira quand la France aura été lavée ; elle en a besoin. Maintenant la boue lui couvre les yeux et elle n’est pas en état de comprendre et d’être dans la vérité ».



- le 29 janvier 1883 : « Dans ce moment, la France ne veut pas de roi, et quand le moment sera venue, Dieu trouvera le roi à donner à la France humilié jusqu’au centre de la terre ».



- le 29 avril 1884 : « Dieu nous donnera un roi et un roi auquel on ne pense pas, et il nous le donnera après les fléaux petits ou grands, après que le sang sera versé…Peut-être que je me trompe, mais pour moi je croirais me défier de la bonté de Dieu envers nous si je m’occupais du roi futur, surtout en ce temps-ci où nous devrions, la face contre la terre, prier, supplier le bon Dieu d’avoir pitié et miséricorde de nous ».



Note :



(1) : Notre Seigneur Jésus s’exprime dans le même sens à Françoise, en assurant que ce ne sera pas « un roi à la manière humaine ».



Du Journal de l’Abbé Combe « Dernières années de Sœur Marie de la Croix, bergère de la Salette » :



- extrait de la page 176 :



L’Abbé Combe : « […] Pour la deuxième fois, elle aborde la question des Naudorff ? Mais cette fois-ci elle l’a abordée de façon peu banale ? ».

Mélanie Calvat : « Mon Père, vous savez qu’il n’y a pas de famille d’Orléans ? Que les princes d’Orléans ne sont pas des Bourbons ? »

L’Abbé Combe : « Comment peut-on le savoir avec certitude ? Vous voulez parler de l’affaire Chiappini ? ».

Mélanie Calvat : « Vous savez pourtant ce qui s’est passé ».

L’Abbé Combe : « Je sais qu’on raconte avec documents à l’appui, mais il faudrait bien davantage pour que je dise, c’est certain. Savez-vous par révélation que cet échange d’enfants eut lieu ? Répondez sans détour ».

Mélanie Calvat : « Oui, mon Père, vous savez, reprit-elle, que la famille Naudorff descend de Louis XVII ».



- extrait de la page 177 :



« Extrait d’une lettre de l’abbé Rigaux, à l’abbé Combe du 14 février 1907



Le ton avec lequel elle [Mélanie] me disait : La France, me fit soupçonner un autre mystère. Je lui dis ‘Ma chère Enfant, je sais que Jésus donna autrefois la France à Jeanne d’Arc. Le roi Charles VII, émerveillé des gestes de la Sainte Pucelle, lui avait donné la France. Jeanne accepta cette donation signée du roi. Elle s’en fut l’offrir à son tour à Jésus et à Marie, qui acceptèrent. Jésus dit à l’héroïne : ‘A mon tour je vous donne Ma France’ – ‘ Il me l’a donnée aussi, mon Père’, répondit-elle. ‘Alors, ma chère Enfant, votre France vous est devenue odieuse, puisque vous dites que vous retournerez en Italie pour y mourir ?’ Elle pleura et dit : ‘Oh non ! Je l’aime ; je voudrais mourir mille fois pour elle, mon cœur lui appartient’. Voilà la substance exacte de notre conversation ».
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Message par admin2 Mer 21 Juil 2010 - 1:32

30. La prophétie de la mère du Bourg (1852)


De l’ouvrage « Demain », pages 280 et 281 :



« La R. Mère du Bourg, native de Toulouse, vécut à Limoges, où elle fonda la Congrégation des Sœurs du Sauveur. Fille d’u martyr de la Révolution, elle a été comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie. Elle ne séparait jamais l’amour de sa patrie de celui de Dieu ; aussi mérita-t-elle souvent d’obtenir des révélations précieuses sur l’avenir de la France. Elle les a mises par écrit sous le nom de Vues intérieures, Notre Seigneur lui ayant dit que ce n’était pas pour elle que ces paroles avaient été dites.

Après avoir constaté l’exact accomplissement de ce qui lui avait été annoncé, elle écrivait, en 1857 :



1. Voilà où nous en sommes : les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières :

2. Des fléaux, des troubles, du sang versé ; il y aura dans notre France un renversement effroyable.

3. Cependant, ces jours seront abrégés en faveur des justes.

4. Dieu élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien.

5. Le fils de Saint Louis aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance.

6. Lui-même l’a préparé depuis longtemps et l’a fait passer au creuset de l’épreuve et de la souffrance, mais il va le rappeler de l’exil. Lui, le Seigneur le prendra par la main et, au jour fixé, il le remplacera sur le trône.

7. Sa destinée est réparer et de régénérer : alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du prince Dieudonné.

8. Mais ensuite le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu’à la fin des temps [comprendre la « fin du monde » après le millénaire de paix d’Ap 20,1-6, où Satan sera relâché de sa prison Cf. Ap 20,7-10].

9. La lumière d’en haut ne m’a pas été donnée pour les derniers évènements du monde dont parle l’Apocalypse ».



31. Joséphine Reverdy (1854-1919)



De l’ouvrage « Demain », page 330 et 333 :



« Née en 1854, à Boulleret (Cher), elle forme avec Marie-Julie et Pauline Périé la trinité des voyantes modernes, comme au commencement du 19 ième siècle nous vîmes Anne Emmerich, Elisabeth Canori-Mora et Anne-Maria Taïgi. Probablement victime volontaire, elle fut affligée d’une maladie incurable qui se manifestait surtout par des vomissements de sang.



13. […] La Sainte Vierge se présente aussitôt aux yeux de la voyante. Elle se fait remarquer alors par une beauté éclatante, une couronne de lis repose sur son front auguste. Au même instant se déroule aux regards de la voyante un jardin délicieux rempli de lis, d’arbres chargées de fleurs et de fruits, au milieu des quels elle distingue une foule de fidèles rangés en longues files, portant des palmes, des bannières.

14. Aussitôt, un spectacle merveilleux se déroule aux regards de la voyante. Elle voit un Pape, qui n’était pas Léon XIII, la tiare en tête, et revêtu de ses ornements pontificaux, s’approcher du personnage qu’elle avait remarqué et le sacrer roi. Auprès de ce nouveau monarque était une splendide corbeille de lys blancs, très hauts et un drapeau fleurdelisé. En même temps, la Sainte Vierge dit à la voyante ces paroles, qu’elle lui fait répéter tout haut devant tous les assistants : Voici le digne successeur d’Henri IV, c’est celui-là qui sauvera la France, il est héritier des sentiments de Jésus-Christ.

15. O bienheureuse Jeanne d’Arc ! Sauvez-nous, sauvez la France, ne la laisser pas périr ! ».



32. Mgr Makarios (1860)



Du tome 2 de la série des ouvrages « Veillez et priez car l’Heure est proche », page 546 :



« Mgr Makarios, évêque du Liban, a publié en 1860 la prophétie suivante, répandue en Orient : "Les chrétiens se réuniront sur le Liban ; un grand roi de la fleur des lys viendra à leur secours et livrera bataille entre Alep et Jérusalem ; 84.000 musulmans seront anéantis et le sultan périra à Damas dans la mosquée où il se sera réfugié" ».



33. Marie Martel (1872-1911)



Marie Martel est la voyante des apparitions de la Très Sainte Vierge Marie à Tilly-sur-Seulles, dans le Calvados.



De l’ouvrage « La Vierge Marie dans l’histoire de France », page 269 :



Le 31 janvier 1903 :



« "Oh, mes enfants, priez, priez, livrez-vous à la pénitence. Je ne puis plus retenir la justice divine. Priez pour le Saint-Père, son cœur est torturé. Priez pour le Roi. En ces jours vous vivez sous le règne du crime. Mais la France va régner par le Sacré-Cœur ; le Roi qui va venir portera dans ses armes les insignes de mon Divin Fils". Dans une autre circonstance : "La république va tomber. C’est le règne de Satan. Priez pour le Roi qui va venir". Marie Martel ne connaît pas le nom du Roi, elle sait seulement que c’est la monarchie qui assurera le relèvement de la France dans une ère nouvelle, parce que la royauté en France est traditionnellement un régime chrétien. Elle reçoit souvent la consigne : "Prie Jeanne d’Arc" ».



Du tome 2 de l’œuvre « Les documents de Tilly », page 400 :



Extase du 3 mai 1903



« Le triomphe viendra…mes enfants, priez, priez beaucoup…Il faut prier pour le futur Roi…et pour le souverain pontife…La république va tomber : c’est le règne de Satan ! ...Un autre monde et un autre règne vont venir… ».



34. La religieuse de Tours (1872 et 1873)



De l’ouvrage « Demain », pages 295 à 301 :



« Tout ce que nous savons de cette religieuse favorisée d’extases, c’est qu’elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint-François, sui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : La veille de la victoire du Christ, sans aucun commentaire, publia en 1882 les révélations de sa pénitente :



65. […] La France ne sera pas détruite. Dieu dans sa miséricorde ne perdra pas le peuple de France. En l’écrasant sous le poids du malheur, il veut le sauver. Et la Vierge Marie fléchira le céleste courroux. La Sainte Vierge prie pour nous.

66. Au moment où les Prussiens seront les maîtres et que nous croirons tout perdu, Dieu manifestera sa puissance et la Vierge Marie se montrera notre protectrice.

67. La France, dans ce moment-là, n’aura aucun secours humain. Elle se trouvera seule sans protecteur.

68. C’est à ce moment-là qu’elle se souviendra de Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.

69. Ils reconnaîtront enfin que c’est lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.

70. C’est alors que les Français voudront le bon Roi. Ils iront chercher celui qui est destiné pour être roi de France.

71. C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra, ce sauveur que Dieu garde à la France, ce roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu’il est selon le Cœur de Dieu.

72. C’est lui qui montera sur le trône, délivrera l’Eglise et rétablira le Pape dans ses droits.

73. Le roi de Prusse viendra à Paris avec son armée, mais il sera repoussé, lui et toute sa troupe.

74. Le combat sera grand, la puissance de Dieu se manifestera ; c’est alors qu’on criera : ‘Vive le roi blanc ! Vive le Cœur de Jésus ! Vive Marie Immaculée !’La France sera sauvée par un miracle (Bataille de Saint-Pons, près de Lyon).

75. Avec notre roi, avec le drapeau blanc et orné du Cœur de Jésus qui est le drapeau de notre roi, au nom de Marie Immaculée nous serons sauvés […].

79. Le bon roi ne viendra qu’après les malheurs ; car, lorsque nous serons au pouvoir de l’ennemi, notre grande misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde pour les pêcheurs. Et ce n’est qu’après ces malheurs que le roi viendra pour nous sauver.

80. C’est lui qui remettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le Cœur de Jésus.

81. Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le Sacré-Cœur de Jésus.



Ce qui suit l’avènement du roi.



82. Le concile recommencera après le triomphe.

83. En ce temps-là, les hommes seront obligés d’obéir. Il n’y aura qu’un troupeau et qu’un pasteur. Les hommes reconnaîtront le Pontife comme le Père universel, le roi des peuples. Ce sera la régénération du genre humain.

84. L’époque des évènements terribles a été retardée plusieurs fois à cause de la prière des bons ; car Dieu est si bon que, dans sa miséricorde, il nous avertit avant de frapper. Après ces grands malheurs, Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi on ne veut pas y croire ou plutôt on n’ose pas y penser. Et pourtant cela va arriver, nous y touchons ».



35. Marie Josseaume dite Berguille (1875)



De l’ouvrage « Demain », pages 302 et 306 :



« [Cet extrait provient des révélations de] Madame Marie Josseaume, surnommée Berguille, habitant Foutet, près de Réole [dans le département de la Gironde] :



34. Henri V sera roi.

35. Il n’arrivera pas par le vote et les combinaisons des hommes. Les hommes ne le connaissent pas. Il sera conduit par la volonté de Dieu.

36. Le roi est promis de nouveau ainsi que le Pontife.

37. Oh ! Saint Michel, montre le chemin ! Quand le roi pieux délivrera le Saint Père, il combattra avec ces forces, qui sont les saints anges et archanges, venant délivrer la Sainte Eglise ».



36. Sœur Marie Angélique Millet (1919)



Du livret « Prophéties pour la France », pages 81 et 82 :



« L’Eglise pleure et la France ne la console pas. Je crois que la France va sauter comme une montagne sur une mine mais pour, de montagne d’iniquité, devenir un édifice consacré à l’amour. C’est par le Grand Monarque que la France se donnera au Cœur de Jésus pour le consoler et le glorifier. C’est par le Grand Monarque que sera purgée la terre, rétabli le temps de Dieu, bâtie la nouvelle Jérusalem ».



37. La prophétie de Flandres (1933-1952)



De l’ouvrage « Le retour du Lys », pages 54 à 58 :



« La prophétie de Flandres rapporte un certain nombres d’apparitions dont sera témoin un mystique flamand, Jules de Vuyst, entre 1933 et 1952, et au cours desquelles il recevra de nombreux messages prophétiques émanant de la Sainte Vierge, de Saint Joseph et du Christ. Ces textes sont absolument inédits. Ils seront frappés d’interdiction provisoire de publication par la Vierge elle-même [comme à La Salette], au cours de l’extase du 24 janvier 1951. Nous considérons que les temps sont venus pour que certains extraits soient portés à la connaissance du public avant que les troubles qui sont très proches se produisent.

Le texte prophétique que nous avons eu entre les mains, de manière exceptionnelle, était écrit pour la majeure partie en langue flamande et seules quelques pages étaient rédigées en français.



Extases d’octobres 1933 à octobre 1934



La Vierge lui demandera de prier pour un jeune roi qui lui sera montré d’abord, jeune et svelte, puis revêtu d’un uniforme de soldat avec des décorations rouges. Il apprendra plus tard qu’il s’agissait de l’ayant droit à la Couronne de France qui rentrerait dans son pays par Marseille [en correspondance avec la prophétie de l’Abbé Souffrand, en rappelant que Marseille est la première ville au monde consacrée au Sacré-Cœur de Jésus] lorsque le temps sera venu pour lui de monter sur le trône.



Extase du 8 décembre 1933



La Vierge Marie lui apparaîtra pour la première fois le long de la route un jour de pèlerinage. Elle lui annoncera qu’elle lui fera connaître des secrets : elle lui parlera de meurtres, de personnes bannies et de branches royales vraies et fausses. En même temps, de l’autre côté de la route, il verra un enfant fuir avec une femme. La Vierge lui donnera le nom de cette femme qu’il oubliera. La Sainte Vierge ajoutera :

Cette femme a fui avec l’enfant, elle est entourée d’anges et elle est éclairée par la divine Providence. Cet enfant était un enfant de roi qui était perdu et qui a été plusieurs fois sauvé dans sa vie par cette femme. Plus tard de la descendance de cet enfant sortira un grand Roi qui viendra apporter le bonheur en France. Il vivra saintement et s’appellera lui-même le roi du Sacré-Cœur. Avant que ces évènements ne se produisent, la plus grande partie de la France sera dirigée contre lui et la plus petite partie se battra pour lui. Et il aura beaucoup de défenseurs en Flandres. L’Allemagne jettera beaucoup de pierres sur son chemin afin d’empêcher le rétablissement de la royauté en France. La Vierge, avec l’aide de la Providence divine, contrecarrera ces projets et rétablira le trône.



Extases des 10 et 11 octobre 1935, vers 22 heures



Sur la route de la grotte mariale d’Onkerzele, accompagné de 88 pèlerins. De nouveau apparaîtra le jeune roi, celui qu’il voyait depuis deux ans dans ses extases ; il sera habillé de rouge, avec de longs pantalons rouges aux parements rouges foncés, et un chapeau rond rouge dans visière. Dans sa main il tiendra un rosaire. Dans la vision du pèlerinage précédent (30 septembre au 10 octobre), le jeune roi avait dit : « Priez pour moi ! Priez pour moi ! ».



Extase du 19 mars 1936 au mont Saint-Amand, près de Gand



Saint Joseph dira : « Ce jeune roi gagnera sur beaucoup d’autres rois, il vénérera ardemment le Sacré-Cœur de Jésus et le portera sur ses armes ». Il ajoutera : « Je laisserai descendre une fois mon lys pur dans ce pays et le libérerai ». Marie dira : « Voici le jeune roi qui va régner sur la France, priez pour lui ! Il appartient à la lignée des rois pour qui Jeanne d’Arc avait combattu ».



Extase du 15 septembre 1938 (à Onkerzele)



La Belgique sera protégée par l’Archange Saint Michel. La France possède une des reliques les plus précieuses du monde : une épine de la couronne d’épines de la sainte tête de Jésus. Mais comme ce pays s’adonne à la luxure, Paris sera détruit par les flammes. Durant de longues années, la France n’a pas été digne d’avoir un roi. Cependant, mon cher Fils qui l’aime beaucoup lui donnera un grand Roi et un grand Pape de sang français. Le grand Saint Père régnera à peine quatre ans, il sera le Pasteur angélique, il occupera le trône de Saint Pierre, où il renouvellera le trône de mon cher Fils.



Extase du 24 janvier 1951 à Gand



La Sainte Vierge donnera instruction à Jules de Vuyst de « faire connaître au peuple Belge la véritable histoire de la lignée royale des Bourbons, de montrer au peuple les portraits de tous les rois, de toutes les reines et de leurs enfants depuis Saint Louis, enfin de se battre ».

La Vierge révèlera que « des testaments existent et qu’ils n’ont pas été communiqués ».



Extase du 10 octobre 1951, 20h40, à Hamme



Priez, priez, car celui dont je parle depuis des années sur les montagnes du pays français à la Salette et sur le mont Saint-Martin, situé près d’Onkerzele, est celui dont vous entendrez bientôt la voix à la radio. Après une grande bagarre, la Vérité parfaite rétablira l’ayant-droit sur le trône de France.



Extase du 6 janvier 1952 à Gand, à 17h



Durant vos années d’enfance, dira la Vierge, vous avez vu apparaître la guerre, plus tard vous avez vu la Seconde Guerre mondiale semant la mort et la destruction. La prochaine guerre mondiale sera pire encore. J’ai toujours dit que celui qui a été chez vous était le véritable descendant de la Couronne de France, c’était l’ayant droit du trône et à la Couronne de France, mais je n’ai jamais donné le nom du Grand Roi. Il faudra combattre en permanence et le ciel se joindra à cette lutte. La femme qu’on appelle la « Dame voilée » était la vraie fille du Roi de France et la sœur de celui qu’on a appelé Naundorff (1).



Note :



(1) : «Rappelons que deux voyants, Martin de Gallardon et Maximin (de la Salette) confirment que Naundorff était bien le fils de Louis XVII ».



Extase du 8 mai 1952 en la cathédrale Notre-Dame de Paris



Je suis la fille aînée du pays où vous vous trouvez maintenant, dit la Vierge, et où il y a tant de secrets. Quand mon cher fils viendra avec le vrai descendant, le Grand Prince, l’argent n’aura aucune influence.



Extase du 22 mai 1952, à 17h25, à Saint-Amand



La Vierge demandera la publication des portraits de Louis XVII et de sa descendance jusqu’à maintenant. …La Russie se convertira après la troisième guerre……Vous avez vu le coq fier qui perdra ses plumes. Viendra un jour où le coq sera remplacé par le lys blanc. Avant que tout cela n’arrive, les peuples se disputeront la Couronne de France. Mon fils divin distribuera les trônes…».
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Message par admin2 Mer 21 Juil 2010 - 1:34

29. Marie-Julie Jahenny (1858-1941)



A la page 40 de l’ouvrage « Les prophéties de La Fraudais »,nous pouvons lire « l’opinion de Marie-Julie sur le Roi », recueillie par Monsieur Lainé le 9 février 1914, au cours d’une d’une conversation de trois heures. Je la fais apparaître en premier lieu comme courte synthèse :



« Dieu cache celui qu’il choisira pour sauver l’Eglise et régner sur la France, pour soustraire le monde entier à la domination du démon dont le règne bat son plein présentement, et que Dieu laisse actuellement le maître. Marie-Julie ne peut rien préciser au sujet du Roi. Elle sait seulement qu’il sera de la race de Saint Louis, c’est tout. Celui que Dieu prendra sera d’une parfaite pureté ; il vivra en Dieu et pour Dieu. Il sera complètement abandonné à la volonté de Dieu pour la protection de l’Eglise et le salut des âmes. Dieu le sortira à son heure. Son avènement a été montré à Marie-Julie et, cela, plusieurs fois. Elle sait qu’elle ne le verra pas sur la terre, mais elle le verra d’en-haut. Le Roi arrivait avec un tout petit cortège d’hommes animés, comme lui, de l’amour de Dieu et ne voulant rien autre chose que sa gloire. Mais ce petit cortège était précédé de l’Archange Saint Michel, ouvrant la marche se son épée flamboyante…Ils n’avaient, humainement, ni le nombre ni la force. Leur force était en Dieu…Mais, avant que n’arrive cet évènement, trois souverains doivent se produire, animés d’ambitions humaines, et ne connaissant que les moyens humains. Saint Michel les renversera successivement. A celui qu’il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens qu’il devra mettre en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».



Voici par prolongement les textes les plus authentiques publiés dans le « Bulletin de l’association des amis de Marie-Julie Jahenny ». Marie-Julie du Crucifix prophète,n° 47-48 :



- extrait du message donné le 23 mai 1874 par la Très Sainte Vierge Marie, page 62 :



« Je bouleverserai, je renverserai la bande des méchants et des impies. Je ferai triompher l’homme juste et les âmes ferventes. Oui, je confondrai la terre que j’amènerai aux pieds du juste, de l’homme qui doit gouverner la terre de France… ».



- extrait du message donné le 21 juin 1874 par Notre Seigneur Jésus, page 62 :



« Je ne suis pas le Roi des Français, ni de tel ou tel peuple, mais Je suis le Roi de l’Univers. J’ai voulu donner à la France un roi qu’elle a rejeté [il s’agissait à cette époque du Comte de Chambord qui mourut en 1883, pour lequel la France « n’avait pas assez prié »], mais celui que Je veux lui donner, elle l’acceptera et elle le demandera, elle le placera sur son cœur.

Mais avant d’avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente ; le sang des chrétiens se mêlera avec celui de l’impie. Les justes tomberont, en petit nombre, mais il en tombera, car le sang des bons servira aux méchants…Le temps sera court, mais il vous paraîtra long ».



- extrait du message donné le 3 juillet 1874 par la Très Sainte Vierge Marie, pages 62 et 63 :



« Je viendrai le placer au milieu de Mon Cœur. Mon Cœur sera au milieu de la Patrie ; son courage sera inébranlable. L’innocence et la blancheur ont flotté à sa naissance et flotteront sur les cendres de son tombeau. Les jours d’orage et de deuil ne sont pas passés ; Je vous garderai et vous protégerai, ne craigniez rien ».



- extrait du message donné le 25 août 1874 par Saint-Louis, page 63 :



« Je veux que la France abjure ses erreurs…Marie Immaculée lui donnera un baptême nouveau, puis après, je lui rétablirai son trône. Je lui apporterai cette belle palme de pureté au milieu de ce trône. Mon frère en Jésus-Christ qui la gouvernera conservera l’innocence et la pureté et Jésus et Marie le béniront, béniront sa Charité et sa Foi héroïque ».



- extrait du message donné le 1 décembre 1876 par Notre Seigneur Jésus, page 63 :



« Jamais, pauvre France, tu ne seras gouvernée par un autre que ce Roi de Mon choix. Je viendrai Moi-Même au moment où il y aura le moins d’apparence d’espérance. Je Me placerai au milieu de la France ; J’appellerai tous Mes enfants autour de Mon Sacré-Cœur et Je donnerai au vainqueur de la France la bannière où est gravé Mon Sacré-Cœur. Après cette terrible épreuve, J’abrégerai le temps des châtiments à cause de Mes victimes, à cause de Mon Sacré-Cœur et enfin pour donner plus vite le Roi choisi et élu par Mon Divin Cœur. Je peuplerai la terre de France de fleurs, c'est-à-dire de cœurs purs, généreux, repentants qui aimeront la Sainte Eglise, le Saint Père et le Roi. Je bénirai cette terre et Mon peuple échappé. Je donnerai à la France une génération nouvelle. Ils grandiront dans Ma grâce ; ils suivront sous le règne d’un Roi très pieux qui, par ses vertus, fera le bel ornement de la France. J’aime mieux que tu oublies d’autres révélations que celle-ci ; Il ne faut pas que Mon peuple soit surpris des châtiments promis ».



- extrait du message donné le 11 mai 1877 par Notre Seigneur Jésus, page 64 :



« La Croix a fait vaincre les grands héros. Ils l’ont portée à la face de l’ennemi et elle leur a donné la victoire…Vous Chrétiens, qui aller passer un terrible moment, prenez le Croix pour soutien…Quand le Roi élu et Sauveur de la France aura vu le triomphe de la France, il fera écrire partout : In hoc signo vinces ; par ce signe, tu vaincras ! La France sera sous le signe du Sacré-Cœur, de la Croix et de Marie ».



- extrait du message donné le 28 décembre 1880 par Notre Seigneur Jésus, page 68 :



« Ce sera la veille du magnifique triomphe, où les amis fidèles en cortège unis, se seront rendus sur les frontières françaises, pour lever la blancheur du noble étendard que J’ai destiné pour la France nouvelle. Celui qui la renouvellera est appelé à travers d’immenses difficultés, périssables selon le monde. Selon Ma Puissance éternelle, il est appelé comme l’homme enveloppé de prodiges ; son manteau sauvegardera sa noble personne et toute la cour qui l’assiste, unie aux amis de la France. Ils le conduiront aux chants de la victoire jusqu’au lieu où il y aura plusieurs combats, luttes, détrônement, sang versé, révoltes indignes, avant qu’il monte s’asseoir, ce noble et digne fils de saint Louis, sur cette chaise dont la souillure n’est pas encore effacée ».



- extrait du message donné le 15 mars 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 68 :



« Le prince de la terre digne d’honneur et louable, à cause de sa grande confiance et de la grande Foi qu’il a dans son attente, à cause de la blancheur qu’il aime et préfère à toutes les autres couleurs, sans que son cœur s’y attente, le Seigneur lui réserve de bien grandes paroles de grâce et de puissance qui lui seront remises par un messager de la terre, chargé des ordres du Seigneur. Avant que la langue reste sans mouvement, avant son repos tout entier, le Seigneur a de grands envois à laisser tomber de la bouche, sous la main de Ses serviteurs, pour celui qui n’est point appelé de Dieu en vain, qui n’est point acclamé par un vrai nombre, triomphateurs des couleurs impures qu’on va lever dans la France et faire flotter dans toute sa longueur et largeur. Vous amis du grand destiné, vous porterez à sa rencontre la blancheur que son cœur aime tant. Le souffle du vent fera flotter sa bannière et, de loin, ses yeux mouillés de pleurs d’action de grâces, verront la bannière flotter sur son tombeau, au jour de ses religieuses funérailles [c'est-à-dire qu’il sera fidèle jusqu’à la mort] ».



- extrait du message donné le 22 mars 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 65 :



« Toutes Mes paroles prophétiques véritables, ô Roi de l’exil, t’appellent et t’acclament. Sans trop tarder, je te rendrai à tes sujets et à ton peuple qui porte sur sa tête la même fleur que tu aimes. Cette fleur, c’est le lys…ô Roi, enfant du miracle, ne t’apprêtes-tu pas à venir de l’exil sous une épaisse poussière remuée par les fureurs des meurtriers de ton pays. Tu t’apprêtes à venir sur le bord de cette terre qui te fut étrangère. Du nord des frontières ta noble personne passera à travers les légions qui n’attendront que toi pour lever une vengeance. Mais, comme au jour des ténèbres, leurs yeux se voileront, l’exil s’éteindra et Ma justice s’accomplira. Tu passeras pour aller reprendre le sceptre de gloire. Tu en tremperas la pointe dans le sang des Romains, pour la défense du Souverain Pontife, le lien de tous les fidèles.



J’aurai de profondes paroles de vie et d’encouragement. J’ai trouvé sur la terre de sages messagers tout prêts à obéir, pour porter ces paroles… ».



- extrait du message donné le 7 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :



« Il sera facile de voir que l’on veut moins que jamais, de celui que le Ciel a dessein d’envoyer sous un ciel chargé encore des nuées du combat de ses ennemis et de ses amis ».



- extrait du message donné le 14 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 70 :



« Mes enfants, il n’y a plus que deux choses qui dévorent la pensée de ces hommes d’autorité gouvernementale : c’est l’Eglise, c’est le Roi. Ces deux choses animent au fond de leur cœur une passion que rien ne pourra ternir, et cela parce que Je destine Mon serviteur exilé à rentrer sur la terre de sa naissance. Il sera l’appui et le soutien de l’Eglise, Mon Epouse, dans les dernières luttes que lui tiendront, à lui, les princes étrangers, jaloux d’un règn si plein de paix et de fidélité à l’égard de l’Eglise et de son Chef. Ma divinité va être déchirée ; toute Ma puissance et Mon Règne vont tomber sous les noires peintures de leurs abominables paroles ».



- extrait du message donné le 19 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, pages 70 et 71 :



« Après qu’ils se seront vengés de tout, il viendra celui que la Bonté merveilleuse de Dieu a élu à travers tous les nuages obscurs, bien que cela paraisse impossible. Elle est si voilée, qu’il n’y a rien d’apparent pour les aveugles et pour ceux qui ne voudraient jamais connaître son nom, ni le nom de tous ceux qui lui ressemblent par le caractère et surtout par la blancheur royale. Tout est possible au Seigneur. Cet arrêt est impossible aux hommes, mais [bien même] l’univers serait rangé pour empêcher ce passage triomphant, Dieu a des ailes, Il a Ses puissances, et sans effort, Il le rendra maître et sauveur. Là où le serpent porte la dent, la morsure est ineffaçable. Le temps est bien proche où la dent du serpent déchirera la réputation, l’honneur, la royauté de l’Ami du Sacré-Cœur. Mais sa morsure ne l’atteindra pas ; elle ne fera que parcourir les régions depuis la France jusqu’à l’étranger. Il faut que ce coup passe et que la violence décharge l’écume de sa rage. Tout cela est proche. Le mal a fait un long chemin en immenses profondeurs. Nul ne peut le réparer sans lutte, sans crise, sans combattre jusqu’au sang. Il ne reste plus que le dernier effort. Tout est là dans cet effort, ses coups, ses iniquités, sa terreur tout entière. Je dis : tout est là. Paroles claires et sans nuages ».



- extrait du message donné le 21 juillet 1881 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :



« Mon peuple bien aimé de France, Je vais Me disposer à entrer sur la terre qui fut le trône de Saint Louis…Cette même terre, Je la prépare à celui qui est méprisé des hommes et regardé comme incapable, parce qu’il est chrétien et qu’il croit à son retour sur la terre de son berceau. Ses épaules porteront comme les miennes le manteau de l’abomination, ainsi que celles de ceux qui espèrent le voir ramener la paix. Je le vois venir de bien près de la terre des martyrs, sur le sol où l’Eglise a tant de fois prononcé, par la bouche de l’Esprit-Saint de la terre, le nom de tant de chrétiens jugés dignes de monter sur les autels, c'est-à-dire de ceux dont la sainteté a été reconnue ».



- extrait du message donné le 23 janvier 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 65 :



« Peuple fidèle, ne désespère pas…Il y a au Ciel un saint Louis à qui le Ciel réserve une grande mission prochaine…L’Immense Miséricorde divine a réservé des protecteurs, mais, enfants de la victoire, il faudra payer par bien des souffrances et compter bien des sacrifices ».



- extrait du message donné le 14 février 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :



« Du ciel, tu verras le triomphe de l’Eglise planer sur le front de Mon vrai serviteur Henri de la Croix ; Il viendra consoler l’indigence, renouveler le sacerdoce dévasté, affaibli et tombé comme une branche sous la scie de l’ouvrier. Sa charité renouvellera le sacerdoce, relèvera les statues de Ma Mère, fera remonter les calvaires insultés et réduits en morceaux ».



- extrait du message donné le 9 mai 1882 par Notre Seigneur Jésus, pages 73 et 74 :



« C’est vers la fin de la troisième crise qu’on amènera celui qui n’a guère d’espérance, qui n’est guère agréable ni consolant. Son nom passera dans le soleil, rapidement, comme un éclair, afin que le peuple sache qu’il n’est pas le vrai roi qui doit monter sur le trône (un prétendant). C’est là que ses amis marcheront à l’encontre du nouveau Sauveur pour le terrasser dès son entrée, et l’empêcher d’arriver au trône qui lui est destiné. Le vrai Roi viendra du côté du Levant (Il aura le secours d’amis étrangers et de troupes angéliques). A deux lieux du Centre se trouveront réunies les armées des gouverneurs d’aujourd’hui ; c’est là, dans une grande ville, que Dieu les attend pour leur donner ses grandes marques et aveugler ces barbares qui seront opposés au futur Sauveur. D’autres iront plus avant pour l’attendre à son entrée, et d’autres plus nombreux que ceux qui auront été terrassés par l’aveuglement de la Justice. Le Roi aura déjà fait dix à douze lieues (une lieue = 4 km) sur la terre de France, en direction du trône. C’est là que Dieu attend Ses vrais amis pour les réjouir de Son grand signe. L’étendard blanc sera levé dans ce lieu dont le nom sera dit. Il passera malgré le rempart qui lui sera opposé, et ses vrais combattants ne craindront rien, car sur eux planera la protection. Il marchera, foulant aux pieds ses ennemis que l’aveuglement aura renversés. Il viendra jusqu’au trône, avant que le combat ne soit fini. Celui qui avait été désigné, en descendra honteux à la confusion de ceux qui l’y auront placé ».



- extrait du message donné le 16 mai 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :



« Ce n’est pas un pasteur du Centre qui aura l’insigne honneur de couronner de gloire le Roi, l’héritier qui aura mérité de gouverner sa patrie. Ce pasteur sera jeune ; ses 45 ans ne seront pas sonnés. Il viendra du diocèse d’Aix. Les pasteurs qui gouvernent aujourd’hui les diocèses ne seront plus sur leur siège épiscopal…Le glorieux et digne enfant de Dieu qui sacrera le vrai Roi, sur les ruines du Centre, quand la terre sera bien désertée, viendra d’assez loin ».



- extrait du message donné le 15 juin 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 66 :



« Ce seront des essais sur le trône de France pour les malheureux qui ne sont ni proches, ni choisis pour devenirs des sauveurs, essais qui feront un grand mal au reste de Mon peuple…Le commencement ne s’étendra pas partout, le second et le troisième viendront partout. C’est là que seront la violence et le mal…Après, Je choisirai, Je ferai appeler, nommer par les âmes, le véritable consolateur de Mon peuple et de l’Eglise, celui qui reconstruira Mes Temples dévastés, incendiés sous la violence de la guerre civile ».



- extrait du message donné le 8 juillet 1882 par Notre Seigneur Jésus, pages 72 et 73 :



« Mais quand environ vers les deux heures du jour où je lèverai le voile, commencera à paraître, sous le ciel, l’appel des amis et des frères du Sauveur, en Mon amour et en Ma Puissance, Mes victimes se lèveront aussi à leur tour, sans abandonner ceux qui auront travaillé à Mon œuvre et elles iront porter la Sainte Bénédiction à celui qui rentrera, le front dans la poussière, en se courbant sous l’appel du Seigneur avec toute sa cour. Il arrive en face de Mes amis et des siens qui sont invités à aller à sa rencontre. Ces chers serviteurs et victimes ne porteront le drapeau sans tache, que décore le Lys de mon Cœur, qu’en revenant vers le Siège, car sa Majesté, instruite des desseins du Seigneur, aura obéi ponctuellement à Ses ordres divins. Ma volonté divine permettra que ces noms brillants des Français, Mes apôtres et disciples, soient imprimés sur le blanc drapeau du Sauveur, qui restera avec lui, dans sa demeure, sur son trône. Dans l’avenir des siècles, la France redira l’honneur et la gloire des illustres vainqueurs du Roi choisi et élu par le Sauveur se son peuple…Ce ne sera qu’après quelques jours de repos que les chères victimes et amis connus et présents seront réunis sous Mon œil adorable, pour célébrer en action de grâce, les Augustes Mystères dans Mon Temple détrôné et appauvri par les affreux ravages du temps commencé. Sous ce toit béni, l’Apôtre fidèle posera sa main consacrée sur la tête de celui que le Ciel aura conduit et amené par une voie miraculeuse. Il sera difficile de trouver de grands pasteurs en ce moment, car le vide sera si profond qu’une grande partie de la terre sera comme les lieux inhabités [après le grand châtiment]. Après avoir reçu la très Sainte Bénédiction, avec ses compagnons et Mes nobles défenseurs, leur désir et Mes desseins sont qu’ils s’acheminent avec joie, portant la bannière blanche au lieu où J’aurais clairement dit l’heure de sa venue, d’où J’aurais envoyé les messagers porter la nouvelle et l’espérance du salut. Au sanctuaire où déjà Mes dons sont au comble de toute gloire et consolation, reposera ce signe de victoire, la bannière blanche. Et l’Appelé, avec des larmes, louera Ma bonté, et en imitant le roi saint Louis, se frappera la poitrine et se placera la figure contre terre. Mon peuple, attends la clarté sans ombres des choses plus complètes en Mon immense travail ; Il sera beau, le triomphe de la terre, la venue de l’Exilé au Siège de la Croix…Cette fête désirée, acclamée, ne sera plus pour réjouir tes yeux, mais de plus haut, voyant l’allégresse des nobles familles, voyant l’éclat de Ma gloire les vêtir, la sublime envie de ton âme ; partie de la terre, serait de revenir partager l’allégresse. Mais Mes desseins sont écrits bien plus profondéments. Pas un cœur, bientôt ne doutera ».



- extrait du message donné le 5 septembre 1882 par Notre Seigneur Jésus, page 74 :



« Le moment le plus éclatant sera celui où les ministres chrétiens, qui s’étaient tous disputés sous la dent des tigres, reviendront par d’affreux chemins, pour le jour solennel. Parmi les ministres du Seigneur, amis du Roi, je n’ai vu que 4 évêques ».



- extrait du message donné le 6 septembre 1890 par l’Archange Saint Michel, pages 64 et 65 :



« Pour ramener le Roi choisi et élu de Dieu, il faut que tous ceux qui sont au pouvoir soient balayés. Le poison est resté sur le trône, il faut qu’il soit purifié, car c’est un autre Saint Louis qui doit s’asseoir sur les lys embaumés. Les cadavres des ennemis de ce Roi seront tombés sous les pieds de ceux qui l’accompagneront sur le trône où il doit régner, rétablir la paix et faire refleurir partout le bien. Toutefois, il restera encore des ennemis debout, quand le Roi en prendra possession, parce qu’il viendra dans le cours de l’orage ; mais il sera sain et sauf, car la Mère de Dieu le garde comme son propre fils et l’a réservé pour être héritier d’une couronne méritée qui lui aura été ravie. Les jours d’exil durent encore et coûtent bien plus cher à ce Roi fidèle, catholique, mais il sera d’autant plus récompensé. Laissons dire et affirmer aux hommes qu’il ne reviendra jamais. Ecoutez-les, puis demandez-leur, s’ils sont prophètes !



Je marche sur la France ; je la veille de près, parce que le Seigneur est proche. Un autre attend dans la solitude avec résignation l’appel de ses frères pour donner de beaux jours florissants à celle que de saints rois jadis ont si bien gouvernés. Mais soyez sûrs qu’au moment où la décision commendera le choix, soyez sûrs qu’il ne sera pas le premier, celui que l’exil possède dans sa solitude. Il y a encore les restes d’une famille qui prétend aussi à une place, à un sceptre et à une couronne. Mais cette race n’est pas dans le dessein de Dieu, parce que sa malice a été jusqu’à faire une innocente victime qui a donné son sang pour garder sa Foi. C’est Louis XVI, cette âme royale dont le nom sera cher à la France. Les descendants des meurtriers prétendent avoir un droit au trône qui a été souillé par celui de sa race qui a gouverné. Mais cette famille a un fond très mauvais…Celui qui attend, c’est celui que l’on appelle l’enfant du miracle. Ce royaume n’a pas encore connu que son nom, mais plus tard il connaîtra le fond de son cœur. Il est réservé pour les grandes époques… ».



- extrait du message donné le 19 septembre 1901 par la Très Sainte Vierge Marie, page 66 :



« Quand la terre aura été purifiée, de beux jours reviendront et le Sauveur choisi par nous, inconnu de Mes enfants jusqu’ici, viendra. C’est une âme bien belle, c’est une fleur spéciale de vertu et le Cœur adorable de Mon Fils commence à lui préparer ses nobles dignités et il viendra au nom du Sacré-Cœur avec la poitrine décorée de l’Adorable Cœur de Jésus. La grâce du Ciel sera avec lui et les ruines seront relevées ».



- extrait du message donné le 18 septembre 1902 par Notre Seigneur Jésus, page 66 :



« L’étranger entrera dans le royaume de la Fille aînée de l’Eglise avec toute son armée ; il fera une longueur d’un espace mesuré par Moi. Je les arrêterai et, dans cet arrêt, Je susciterai le Sauveur, du reste de Mes enfants. Il traversera l’Est et semblera sortir du fond du Nord. Je le conduirai jusqu’au midi et de là, Je le ramènerai non pas sur le trône d’aujourd’hui, car il n’y en aura plus, même pas de base pour en fonder un autre ».



- extrait du message donné le 9 février 1914 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :



« A celui qu’Il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens par lesquels il devra mettre tout en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».



- extrait du message donné le 16 juillet 1914 par Notre Seigneur Jésus, page 67 :



« Il n’y aura pas une multitude d’hommes à conduire au trône de paix l’homme juste et sage choisi pour relever les ruines de la Fille aînée de l’Eglise ».



- extrait du message donné le 23 juillet 1925 par la Très Sainte Vierge Marie, pages 74 et 75 :



« Après ce sera un Royaume purifié. En des contrées, il restera très peu de monde. La Justice fauchera une multitude, mais les justes seront préservés…Ma France plongée dans le crime ressuscitera glorieuse. Le règne de la paix sera prolongé de 25 ou 30 années, sous la direction d’une âme que le Divin Cœur réserve à Son peuple. A la montée de ce Prince qui deviendra roi, ma France nouvelle sera purifiée, ennoblie, ravissante à mes yeux ».
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Message par admin2 Mer 21 Juil 2010 - 1:41

38. Marie des Neiges Holgado (1937)



Du livret « Prophéties pour la France », pages 83 et 84 :



« Le Roi tant attendu fera son entrée en triomphe, plein de majesté et de gloire, en bénissant les survivants. Ils ne seront pas nombreux, parce que la plupart auront été entraînés par le torrent impétueux du communisme, qui disparaîtra, sans laisser la moindre trace, avant l’arrivée du Roi…Les lieux saints seront de nouveau conquis par de nombreux chrétiens, et c’est là que résidera un roi, mais il n’y restera que quelque temps. Combien peu s’attendent aux grands évènements qui vont bientôt survenir : le règne de mon Cœur, le triomphe de ma Sainte Mère, la venue du Grand Monarque…C’est lui qui procurera le triomphe complet à l’Eglise par le retour à Rome du Grand Pontife. Comme le Grand Monarque, il appartiendra au dernier ordre religieux, les Apôtres des derniers temps. Le règne de mon Cœur miséricordieux, le triomphe de ma très Sainte Mère, la venue du Grand Monarque, le retour du pasteur de l’Eglise au siège de sa mission, tout cela se réalisera par l’entremise de ma Mère. …Le Pape qui ira en exil s’appellera Angélique parce qu’il sera gardé par les anges comme le Grand Roi, et il sera en union avec vous, mes bien-aimés. L’œuvre de ma Mère fera l’admiration du monde entier, parce qu’elle sera la lumière qui enverra les rayons de sa pure clarté aux élus qui seront en exil, à ceux que mon Père a destinés à accomplir la grande œuvre de l’Eglise. Et le Grand Pontife verra l’étoile qui le guidera au port en assurant son triomphe. Car ils reviendront ensemble à Rome, et l’étoile le suivra ensuite en éclairant ses pas, jusqu’à ce qu’il rende le dernier soupir… L’on verra l’Eglise dans l’affliction. Mon Cœur penché sur elle l’encouragera à suivre celui qui sera méprisé parce qu’il est juste. Mais je l’aurai affiné dès le principe et le manteau de ma Mère le couvrira de son ombre parce qu’il sera Pastor Angelicus. Ses appels d’amour feront rentrer mon troupeau, nouvellement choisi, au bercail de mon Cœur. Tout cela se fera par l’entremise de ma Mère. Puis chacun de vous aura une mission à remplir et je serai avec tous ».



Du tome 2 de la série des ouvrages « Veillez et priez car l’Heure est proche », pages 546 et 547 :



6 juin 1937



« Combien peu s’attendent aux grands évènements qui vont bientôt survenir : le règne de mon Cœur, le triomphe de ma très Sainte Mère, la venue du Grand Monarque…C’est lui qui procurera le triomphe complet à l’Eglise par le retour à Rome du Grand Pontife (le pape angélique) ; comme le Grand Monarque, il appartiendra au dernier Ordre religieux, qui comprendra les Crucifières (1) et les Apôtres des derniers temps(2) ».



22 décembre 1937



« Le règne de mon Cœur miséricordieux, le triomphe de ma très sainte Mère, la venue du Grand Monarque, le retour du Pasteur de l’Eglise au siège de sa Mission (Rome), tout cela se réalisera par l’entremise de ma Mère, le grand Capitaine de l’Armée Céleste ».



Notes :



(1) : « Dont Marie des neiges Holgado, qui fut soumise à l’obédience du cardinal Segura, eut la vision annonciatrice. Leur prière et leur sacrifice ne cessent pas ».

(2) : « Mgr Robert-Hugh Benson, prélat anglais (1914+) – qui fut, avant sa conversion en 1903, un Haut Initié maçon – écrit dans un ouvrage prophétique, étonnant de justesse : "Lords of the world" – en français : "Les Maîtres de la terre" (roman à clef, au titre – et sous-titre : "La crise des derniers temps" – significatifs), qu’à la fin des temps, et sous les tribulations de l’Eglise et de la papauté, il n’y aura plus qu’un Ordre religieux : celui du "Christ Crucifié" (L’ouvrage a été réédité en 1971 aux éditions Saint-Michel à Saint Céneré) ».



39. Sœur Marie du Christ-Roi - Olive Danzé (1906-1968)



Du livret « Prophéties pour la France », page 85 :



« Il y aura un chef qui me représente, il y aura un roi qui sera mon image, une reine qui représente ma Divine Mère, il y aura les saints et les saintes, c'est-à-dire des époux et des épouses qui formeront la cour royale. J’ai établi sur mes ouvriers un chef : il faut qu’il soit vaillant afin que mes sujets n’aient pas faim et qu’ils soient soutenus par la tête et le cœur de ce chef. L’heure est venue, afin que le plus saint d’entre mes ministres soit le médecin de la divine charité et lui fasse honneur et réparation. Il faut que ma divine loi soit exercée rigoureusement ; elle est le but de ma venue ».



40. Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Kérizinen (1938-1965)



A la page 32 de l’ouvrage « Kérizinen, messages du Christ et de la Sainte Vierge, 1938-1965 », nous pouvons lire l’intégralité du message suivant, donné le 29 mai 1948, lors de la 18 ième apparition(pendant l’octave de la Fête-Dieu et la veille de la Fête de Sainte Jeanne-D'arc). La Très Sainte Vierge annonce ici pour la première fois, qu’Elle-même fera le don d’un « grand Chef, un Roi » afin de « relever et sauver la France » :


« Il va y avoir une prochaine guerre lourde de conséquences. La France est appelée à être envahie et occupée par une armée russe et c'est là que l'Eglise et les bons souffriront persécution de la part des sans-Dieu (1). Mais que l'on prête enfin attention à mes demandes et Je vous préserverai de ces terribles ennemis, car Je descends pour vous épargner bien des peines, vous adoucir bien des maux. Je descends pour relever et sauver la France. Dans quelque temps Je lui donnerai un grand Chef, un Roi (2). Elle connaîtra alors un tel redressement que son influence spirituelle sera prépondérante dans l'Univers. Mais Je descends surtout pour vos âmes, pour les pécheurs et c'est par la Bretagne, qui m'est restée le plus fidèle, (3) que Je veux rechristianiser la France qui, revenue au Christ, revêtira un caractère tellement religieux qu'elle redeviendra lumière des peuples païens. Quelques années après cette prochaine guerre vous en subirez une autre, mais après laquelle les fidèles serviteurs du Christ jouiront d'une douce et juste paix: ce sera le règne de Jésus par Mon Cœur Immaculé. Cependant, ces guerres peuvent être évitées si le monde repentant retournait à Dieu ».



Notes :



(1) : « Les sans-Dieu est l'expression habituelle utilisée par la Très Sainte Vierge pour nommer les communistes ».

(2) : « Vers la fin des temps, un descendant des Rois Francs règnera sur tout l'antique empire romain. Il sera le plus grand des Rois de France, et le dernier de sa race. Il arrivera comme par miracle. (Saint-Rémi évêque de Reims, nuit de Noël 496) Vous direz aux Français qu'ils fassent leur trésor des testaments de Saint-Rémi, de Charlemagne et de St-Louis (Actes de Saint-Pie X, tome 5, page 204 de l’édition de 1908) ».

(3) : « La grande fidélité de la Bretagne fut que, pendant la Révolution française, elle combattit et se fit massacrer pour défendre la religion catholique. (Lire "la bataille de Kerguidu" par Lan Inizan, prêtre de Plounévez-Lochrist -Editions Robert Laffont) ».



Une deuxième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 31 octobre 1956 lors de la 37 ième apparition, confirme l’avènement du « Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu » qui n’est plus seulement celui qui redressera la France, mais également celui qui sera « défenseur de l’Eglise et de la liberté » :



« […] Voyez, déjà la paix semble fuir le Monde. Dieu pourrait, bientôt, affirmer ses droits en frappant rigoureusement ce Monde pécheur. Depuis le temps que Je vous préviens! Quel cas a-t-on fait de mes avertissements pourtant si maternels ? C'est dans ces temps d'angoisse, dans ces temps lugubres que vous le comprendrez, que vous le sentirez, le miracle de ma présence parmi vous. Car visiblement, de ma protection, Je couvrirai ces terres bretonnes, desquelles doit surgir une France nouvelle, une France chrétienne, gouvernée par ce Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu comme défenseur de l'Eglise et de la liberté, et sous le règne duquel toute justice sera rendue ».



Enfin, une troisième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 13 octobre 1958 lors de la 42 ième apparition, évoque « le salut miraculeux » de la France par « son sauveur prédestiné » :



« Voyez, dans cette période de purification, l'Esprit-Saint, comme un aigle divin, plane au-dessus des âmes et, de son regard de feu, fascine celles qui ont compris qu'Il est le centre de leur être. En secret, Il opère des merveilles jusqu'à ce que le nombre de victimes soit atteint. Ne vous alarmez donc pas en raison de tant d'événements, mais plus que jamais, il vous est nécessaire de prier et aussi d'agir, car, si les hommes ont besoin du secours de Dieu, Dieu aussi demande le concours des hommes. Il a besoin de vous pour réaliser les desseins éternels de sa Providence. Faites-vous donc l'impérieux devoir d'être les dignes répondants et les fidèles messagers de nos deux Cœurs si intimement unis dans le Saint-Esprit. Priez beaucoup pour l'Eglise. Priez beaucoup pour la France, qui reste guettée par certains pays ennemis qui voudraient en faire leur proie. Croyez à son salut miraculeux, à son sauveur prédestiné, car les bras des hommes sont incapables de mettre ordre aux affaires publiques ».



41. La Dame de tous les peuples à Amsterdam (1945-1959)



- extrait du 6 ième message donné le 3 janvier 1946, page 32 de l’ouvrage « Les messages de la Dame de tous les peuples », par Ida Peerdeman, témoin des apparitions :


Jeanne d’Arc


« Puis, tout d’un coup, je vois quelqu’un à cheval, revêtu d’une armure. Comme je demande qui c’est, il m’est répondu : « Jeanne d’Arc ». Derrière elle, je vois soudain s’élever une grande cathédrale. Je demande quelle peut bien être cette église et j’entends intérieurement : c’est la cathédrale de Reims. Je vois ensuite un cortège qui s’avance et se dirige vers l’église. C’est un cortège comme dans les temps anciens avec quelqu’un à cheval. Il porte un bouclier et une épée ; il y a un grand nombre d’écuyers autour de lui. J’entends : « Bourbon ». J’ai l’impression que c’est pour plus tard ».



42. La Vierge des Douleurs à l’Escorial (1980-2002)



De l’ouvrage « Apparitions et messages à l’Escorial (1980-1983) » :



- extrait du message donné le 18 décembre 1981, pages 57 à 59 :



« […] Le monde va de mal en pis. Je ne sais ce qu'il manque pour que les hommes se sauvent. lis commettent des crimes, des péchés d'impureté, des sacrilèges... le monde est submergé par le péché. , Pense qu'il n'y a rien d'autre que perversité, il n'y a pas d'amour envers le prochain, ils ne font pas cas des avertissements; Je les préviens constamment mais ils font la sourde oreille. Le châtiment est très proche. Je ne sais comment le monde et Mon Eglise vont se purifier. Je donne beaucoup d'occasions et Je vais arracher toute l'ivraie et préparer une renaissance miraculeuse pour le triomphe de Ma miséricorde. Rendez-vous compte que Dieu le Père va envoyer deux châtiments très grands: l'un sous forme de guerre, de révolution et dangers révolutionnaires. Et l'autre sera envoyé par le ciel. II viendra sur la terre une obscurité intense qui durera trois jours et trois nuits. Rien ne sera visible; l'air deviendra pestilentiel et nocif et causera du mal et pas seulement aux ennemis de la religion. Pendant les trois jours de ténèbres, il n'y aura pas de lumière artificielle; seuls les cierges bénis brûleront durant ces jours de ténèbres; les fidèles devront rester dans leurs maisons, priant le Saint Rosaire et implorant la miséricorde divine. Tous les ennemis de l'Eglise, visibles et inconnus, périront sur toute la Terre pendant cette obscurité universelle, à l'exception de quelques-uns qui se convertiront. Saint Pierre et Saint Paul interviendront pour l'élection d'un nouveau Pape. Regarde: la Terre sera enveloppée de flammes, beaucoup d'édifices de la Terre s'effondreront et il semblera que le ciel est à l'agonie. Des millions d'hommes mourront par le fer, les uns à la guerre, les autres au combat, des millions d'autres mourront de mort imprévue. Cela surviendra lorsqu'il semblera que l'Eglise a perdu tous les moyens humains pour faire face à la persécution. Pense, Ma fille, que la colère de Dieu le Père va bientôt éclater, car le Père Eternel est très fâché. Les hommes ne font pas cas des avertissements et la coupe déborde; elle est pleine; elle déborde. Les évêques, les prêtres, les ministres du Christ négligent la prière dans l'Eglise. Il n'y a pas la foi dans l'Eglise. C'est pourquoi Je viendrai, envoyé par Mon Père Céleste, Je ferai un acte de justice et de miséricorde envers les justes. J'ordonnerai à Mes Anges de faire périr tous Mes ennemis. Soudain les persécuteurs de l'Eglise du Christ et tous les hommes adonnés au péché mourront; la Terre deviendra comme le désert. Alors ce sera la paix et la réconciliation entre Dieu et les hommes. Je serai servi, adoré et glorifié; la charité brillera de toutes parts; les nouveaux rois seront le bras droit de l'Eglise, laquelle sera forte, humble, pieuse, pauvre, zélée et imitatrice de Jésus-Christ. L'Evangile sera prêché partout et les hommes vivront dans la crainte de Dieu. Ma Sainte Eglise sera forte, humble, pieuse, pauvre, imitatrice des vertus de Jésus-Christ. Mais il faut prier, il faut beaucoup prier pour que des occasions soient données à plus d'âmes. Qu'elles demandent pardon de leurs péchés et qu'elles fassent pénitence ».



- extrait du message donné le 24 février 1983, pages 152 et 153 :



« Ma fille, demandez à Dieu, miséricorde; nous sommes à la fin. Il ne manque que des secondes pour que vienne le Châtiment Ma fille, raconte ce que tu vois Amparo: Voici Saint Pierre; lorsque ce moment arrivera, Il choisira un nouveau Pape. On vivra l'Evangile. Les méchants iront au fond de l'abîme. Regarde comme ils sont nombreux. Ils ne
font pas cas de Mes messages. Ce sera horrible! Ils pensent que Dieu est Miséricordieux; mais ils oublient qu'Il est aussi un Juge très sévère qui jugera chacun selon ses œuvres […].
Vision d'un ange et de Elie : "Les couvents: les uns sont choisis et les anges les laissent; d'autres, beaucoup plus nombreux, sont emmenés: là, ils s'effondrent...Saint Pierre élira un nouveau Pape" (cela signifierait-il que le Pape nommera son successeur?)...
"Rome connaîtra de grands tremblements de terre et sera presque entièrement détruite...
Jésus règnera comme Roi des rois sur la Terre promise des élus... Les nefs célestes se trouvent prêtes pour transférer les élus à la Terre Promise...Mon Coeur Immaculé triomphera sur toute l'humanité" ».
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Message par admin2 Sam 7 Aoû 2010 - 3:58

Propheties de St Nilus sur le XXieme siècle.
PROPHÉTIE DÉCRIVANT LES ÉPREUVES DU MONDE ET DE L'ÉGLISE AU VINGTIÈME SIÈCLE

écrite par

SAINT NILUS
(autour de l'an 430)


Remarques préliminaires


Saint Nilus fut l'un des nombreux disciples et fervents défenseurs de saint Jean Chrysostome. Il était huissier au tribunal de Constantinople, marié et père de deux fils. Alors que saint Jean Chrysostome était patriarche, avant son exil (398-403), il dirigea Nilus dans l'étude de l'Écriture sainte et dans des œuvres de piété. Saint Nilus quitta sa femme et emmena l'un de ses fils, Théodule, au mont Sinaï pour s'y faire moine avec lui. L'Évêque d'Eleusis les ordonna tous deux prêtres. Son épouse et son autre fils entrèrent en religion à leur tour en Egypte. Perdu dans son monastère du Sinaï, Nilus n'en était pas moins connu dans toute l'Église d'Orient. Par ses écrits et sa correspondance, il joua un rôle important dans l'histoire de son temps. Comme il était réputé en tant que théologien, bibliste et écrivain ascétique, des gens de toutes conditions - de l'Empereur au dernier de ses sujets - lui écrivaient pour le consulter sur telle ou telle question. Ses nombreux ouvrages, y compris une multitude de lettres, consistent en une dénonciation de l'hérésie, du paganisme, des abus de la discipline, du crime, ainsi qu'en des règles et principes d'ascétisme, notamment des maximes au sujet de la vie religieuse. Il ne craignait pas d'avertir et de menacer les gens haut placés : abbés et évêques, gouverneurs et princes, et jusqu'à l'Empereur lui-même. Il entretint une correspondance avec Gaina, chef des Goths, qu'il s'efforçait d'extirper de l'arianisme. Il dénonça avec vigueur la persécution de saint Jean Chrysostome tant auprès de l'Empereur Arcadius qu'auprès de ses courtisans. Saint Nilus est à classer parmi les grands écrivains ascétiques du cinquième siècle. Sa fête est célébrée le 12 novembre dans le calendrier byzantin, et il est commémoré à la même date dans le martyrologe romain. Saint Nilus est probablement mort en 430, car on n'a aucune preuve qu'il eût vécu après cette date. [Extrait de "L'Encyclopédie Catholique", édition de 1911).



La prophétie



Après l'année 1900, vers le milieu du vingtième siècle, les gens de cet âge-là deviendront méconnaissables. Lorsque le temps de la venue de l'Antéchrist approchera, l'intelligence des hommes sera obscurcie par les passions charnelles ; l'avilissement et la licence s'accentueront. Le monde deviendra alors méconnaissable. Les gens changeront d'apparence, il sera impossible de distinguer les hommes des femmes à cause de l'effronterie dans leur manière de s'habiller et dans la mode de leurs cheveux. Ces gens seront cruels et comme des animaux sauvages à cause des tentations de l'Antéchrist.

On ne respectera pas les parents et les aînés. L'amour disparaîtra. Et les pasteurs chrétiens, évêques et prêtres, deviendront des hommes vains, complètement incapables de distinguer le chemin à droite du chemin à gauche.

En ce temps-là, les lois morales et les traditions des chrétiens et de l'Église changeront. Les gens ne pratiqueront plus la modestie, et la dissipation règnera. Le mensonge et la cupidité atteindront de grandes proportions, et malheur à ceux qui empileront des trésors ! La luxure, l'adultère, l'homosexualité, les actions secrètes et le meurtre seront la règle de la société.

En ce temps futur, à cause du pouvoir de si grands criminels et d'une telle débauche, les gens seront privés de la grâce du Saint-Esprit, reçue à leur Baptême, et de même ils n'auront pas de remords.

Les églises seront privées de pasteurs pieux et craignant Dieu, et malheur aux chrétiens qui resteront sur la terre à ce moment-là ! Ils perdront complètement leur Foi, car il n'y aura personne pour leur montrer la lumière de la vérité. Ils s'éloigneront du monde en allant dans de saints refuges afin d'alléger leurs souffrances spirituelles, mais ils ne rencontreront partout qu'obstacles et contrainte.

Tout cela résultera du fait que l'Antéchrist veut être le Seigneur de toutes choses et devenir le maître de tout l'univers. Il accomplira des miracles et des signes invraisemblables. Il donnera aussi aux hommes une manière par laquelle un homme puisse mener une conversation avec un autre d'un bout de la terre à l'autre. En ce temps-là aussi, les hommes voleront dans les airs comme des oiseaux, et descendront au sein de l'océan comme des poissons.

Et lorsqu'ils en seront rendus là, ces malheureux passeront leur vie dans le confort sans savoir, pauvres âmes, que c'est une supercherie de Satan. Et lui, l'impie, il remplira à tel point la science de vanité qu'elle s'écartera de la voie droite et conduira les gens jusqu'à la perte de la foi dans l'existence de Dieu, d'un Dieu en trois Personnes.
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Message par admin2 Sam 7 Aoû 2010 - 4:14

Le 2 février 1634, à Quito, capitale de l'Equateur, la Mère Marie-Anne de Jésus Torres, de l'Ordre de l'Immaculée Conception, priait devant le Saint Sacrement quand, subitement, la lampe qui brillait devant l'autel s'éteignit. Comme elle essayait de la rallumer, une lumière surnaturelle inonda l'église : « Fille chérie de mon coeur, je suis Marie du Bon Suceso, etc. ». Après ces paroles, Notre-Dame s'est mise à parler de l'Ordre de l'Immaculée Conception et spécialement de la Conception de Quito.



« La lampe qui brûle devant l'amour prisonnier et que tu as vue s'éteindre a beaucoup de signification. La première : à la fin du XIX° siècle et durant une grande partie du XX° siècle, diverses hérésies foisonneront sur cette terre alors république libre. La lumière précieuse de la foi s'éteindra dans les âmes en raison de la corruption presque totale des mours [...]. La seconde : Mes communautés seront désertées [...]. Combien de vraies vocations périront par manque de direction adroite, prudente pour les former [...]. Le troisième motif pour lequel la lampe s'est éteinte, c'est qu'en ce temps-là l'atmosphère sera remplie de l'esprit d'impureté qui, telle une mer immonde, inondera les rues, les places et endroits publics. Cette liberté sera telle qu'il n'y aura plus au monde d'âme vierge. Un quatrième motif est que, s'étant emparé de toutes les classes sociales, les sectes tendront, avec une grande habilité, de pénétrer dans les familles pour perdre jusqu'aux enfants. Le démon se glorifiera de se nourrir d'une manière perfide du cour des enfants. C'est à peine si l'innocence enfantine subsistera. Ainsi les vocations sacerdotales se perdront [...]. Les prêtres s'écarteront de leurs devoirs sacrés et dévieront du chemin tracé par Dieu. Alors, l'Eglise subira la nuit obscure à cause de l'absence d'un prélat et d'un Père qui veille avec amour, douceur, force et prudence, et beaucoup d'entre eux perdront l'esprit de Dieu, mettant en grand danger leur âme. Prie avec insistance, crie sans te fatiguer et pleure sans cesse avec des larmes amères dans le secret de ton cour, demandant à Notre Père du Ciel que, par amour pour le Cour Eucharistique de mon très saint Fils, pour son Précieux Sang versé avec tant de générosité et pour les profondes amertumes et douleurs de sa Passion et de sa mort, il prenne en pitié ses ministres et qu'il mette fin à des temps si funestes, envoyant à l'Eglise le prélat qui devra restaurer l'esprit de ses prêtres. Ce fils que je chéris, celui que mon divin Fils et moi aimons d'un amour de prédilection, nous le comblerons de beaucoup de dons, de l'humilité de cour, de la docilité aux diverses inspirations, de force pour défendre les droits de l'Eglise [...] Il conduira avec une douceur toute divine les âmes consacrées au service divin [...]. Il tiendra en sa main la balance du sanctuaire pour que tout se fasse avec poids et mesure en sorte que Dieu soit glorifié. Ce prélat et père, sera le contrepoids de la tiédeur des âmes consacrées dans le sacerdoce et la religion. [...] Il y aura une guerre affreuse où coulera le sang des religieux [...]. Alors arrivera mon heure : de façon stupéfiante, je détruirai l'orgueil de Satan, le mettant sous mes pieds, l'enchaînant dans l'abîme infernal [...]. Le cinquième motif pour lequel la lampe s'est éteinte est que [...] le peuple deviendra indifférent aux choses du bon Dieu, prenant l'esprit du mal et se laissant entraîner à tous les vices et passions. [...] Ma chère fille, s'il t'était donné de vivre en ces temps funestes, tu mourrais de douleur en voyant se réaliser tout ce que je t'ai annoncé. »

Cité dans Fideliter N°66, de novembre-décembre 1988, p. 66 à 69.
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Message par Francesco Lun 16 Aoû 2010 - 0:00

Pensée du pape Paul VI:
Un an avant sa mort,en 1977,le pape Paul VI s'exprimait ainsi:Un grand malaise pese sur le monde et sur l'église en ce qui concerne la foi............Je lis parfois les passages de l'évangile au sujet des derniers temps et j'avoue qu'a notre époque,certains de ces signes sont en train de surgir.Sommes nous pres de la fin?Nous ne le saurons jamais.Nous devons nous tenir prets ,bien que nous puissions attendre encore longtemps......Ce qui me frappe dans le monde catholique,c'est qu'a l'intérieur du catholicisme ,il semble qu'une facon de penser non -catholique prédomine parfois et,il se peut que cette pensée soit la plus forte demain.Mais,elle ne représentera jamais la pensée de l'église .Il est nécessaire qu'un petit troupeau subsiste,si petit qu'il puisse etre......


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Lun 16 Aoû 2010 - 0:17

La vénérable Marie d'Agreda dit en parlant de la Vierge Marie:Il me fut révélé que par l'intercession de la Vierge Marie,toutes les hérésies disparaitront.La victoire sur les hérésies fut réservée par le Christ pour sa sainte Mere.A la fin des temps,le Seigneur fera connaitre sa mere sur toute la terre.Avant le retour de Jésus,Marie doit briller plus que jamais en miséricorde ,en puissance et en grace afin de conduire les incroyants a la foi catholique.La puissance de Marie a la fin des temps sera tres évidente.

Marie étendra le regne du Christ sur les paiens et les musulmans et ce sera un temps de grande joie alors que Marie sera couronnée ''Maitresse et Reine des Coeurs''. Un chatiment étrange frappera la race humaine vers la fin des temps......


A Fatima,la Vierge Marie a clairement annoncé a Lucie que nous étions entrés dans la Fin des Temps....


.


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Message par Francesco Lun 16 Aoû 2010 - 0:20

Jean Paul II s'exprimait ainsi dans son encyclique sur la Miséricorde:Mon soucu est dicté par un amour pour tout ce qui est humain,pour l'humanité qui,d'apres les intuitions de plusieurs de nos contemporaines,est menacé par un grave Danger.......


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Message par Francesco Lun 16 Aoû 2010 - 0:31

Quelques prophéties de la Vierge Marie donné a Amsterdam.Ces apparitions sont reconnues par l'église:
Les apparitions d’Amsterdam (Hollande)
NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES

1945-1959




Ida Peerdeman est décédée le 17 juin 1996. Entre le 25 mars 1945 et le 31 mai 1959, la Vierge Marie lui est apparue 55 fois. Elle lui a révélé notamment le désir que l'Eglise la proclame "Marie, Co-rédemptrice, Médiatrice et Avocate." Elle a demandé également que l'on récite une prière pour hâter la seconde Pentecôte (11 février 1951)



Quelques récits d’apparitions :



25 Mars 1945 1ere apparition :

« Je vois à ma gauche et au dessus de moi quelqu’un, debout, vêtu d’une longue robe blanche, de silhouette nettement féminine. Il me semble que c’est la Sainte Vierge »

16 Décembre 1949, 20ème vision :

« …La Dame dit : il y a dans le monde un grand courant vers le bien, et c’est pourquoi précisément l’autre esprit s’est mis a l’ouvrage. Cet esprit est occupé à influencer le monde et à la corrompre. Les hommes en eux même ne sont pas mauvais mais faibles. […]Vois-tu cette croix, c’est vers Elle que l’humanité devra être reconduite. Je leur demande instamment dans leur monde moderne, avec sa technique moderne, qu’ils n’oublient donc pas cette simple croix… Pourquoi Rome ne cherche t-elle pas encore davantage les moyens modernes et pourquoi ne travaille-t-elle pas encore davantage dans l’esprit moderne ? Qu’ils recourent donc à ces moyens là pour gagner cet esprit du monde. D’autres soignent bien pour le corps. L’Eglise doit travailler l’esprit. Ils ont en ce moment précisément une si grande occasion, parce que l’humanité et en train de chercher. On n’en veut plus aux nations, mais a l’esprit. »

27 Mai 1950 22ème vision :

« Tu verras, ce ne sera qu’après beaucoup de misère et de désastres que la croix sera replantée. Que chacun fasse de son coté ce qu’il peut. Et j’en reviens à rappeler le premier et principal commandement : la Charité – l’Amour du prochain. »

16 Novembre 1950 24ème vision :

« Mon Enfant, je suis debout sur ce globe, parce que Je veux être appelée la Dame de tous les Peuples. »

25 Janvier 1951 26ème vision :

« Il devra être et sera promulgué un décret que les gens ne devront pas être à jeun pour communier. Il y a tant de gens qui quand ils sont à l’église sont exclus parce qu’ils ne sont pas restés à jeun. »

11 Février 1951 27ème vision, fête de Notre Dame de Lourdes :

« …Répète après moi en priant devant la croix :

Seigneur Jésus-Christ, Fils du Père,
envoie à présent Ton Esprit sur la terre.
Fais habiter l’Esprit Saint
dans les coeurs de tous les peuples
afin qu’ils soient préservés
de la corruption, des calamités
et de la guerre.
Que la Dame de tous les Peuples,
qui fut un jour Marie,
soit notre Avocate. Amen

La Vierge Marie demande que cette prière soit récitée au moins une fois par jour et qu’elle soit largement diffusée.

La Congrégation pour la Doctrine de la Foi (2006), après en avoir délibéré avec l’évêque ordinaire, a approuvé le texte de la prière en demandant toutefois, afin d’éviter d’éventuels malentendus, de remplacer l’incise initiale « qui fut un jour Marie » par « la bienheureuse Vierge Marie », ce qui donne :

Seigneur Jésus-Christ, Fils du Père,
envoie à présent Ton Esprit sur la terre.
Fais habiter l’Esprit Saint
dans les coeurs de tous les peuples
afin qu’ils soient préservés
de la corruption, des calamités
et de la guerre.
Que la Dame de tous les Peuples,
la bienheureuse Vierge Marie,
soit notre Avocate. Amen



1er Avril 1951 30ème vision :

« … J’ai souffert avec mon Fils spirituellement et surtout aussi corporellement. Ce dogme sera fortement controversé.

Avec cela, tous les dogmes Mariaux sont clos. …

Mon enfant, comme Lui a souffert, ainsi moi j’ai souffert, comme la Mère du Fils de l’homme. »

15 Avril 1951 31ème vision :

« Le Fils est venu au monde en rédempteur des hommes. Il était envoyé par le Père. Mais maintenant le Père et le Fils veulent envoyer la Dame à travers le Monde entier. »

29 Avril 1951 32eme vision :

« … Je suis ici comme la co-rédemptrice et l’Avocate. … Le monde est en corruption, à un tel degré, qu’il fallait que le Père et le Fils M’envoient dans le Monde parmi tous les peuples, pour venir comme Avocate et pour les délivrer. »

31 Mai 1951 33ème vision :

« …Je suis la Co-rédemptrice, Médiatrice et Avocate….

Le troupeau de brebis est l’image des peuples du monde entier. Ils ne trouveront le repos que quand ils seront couchés et regarderont paisiblement la croix, point central de ce monde.

Regarde maintenant mes mains : (il sort de chaque main trois rayons , qui paraissent luirent sur les brebis ) : ce sont les trois rayons de la grâce, de la Rédemption et de la Paix.

Par la grâce de mon Seigneur et Maître, le Père, par Amour pour l’humanité envoya son Fils unique sur la terre comme rédempteur. Tous deux veulent maintenant envoyer le Saint et Vrai Esprit, qu seul peut apporter la Paix. »

15 Août 1951 Assomption 35ème vision :

« …Des années passeront, des années passeront la dessus, mais plus il aura d’années, moins il y aura de foi … »

20 Septembre 1951 36ème vision :

« … Cette prière a été donnée courte et simple pour que chacun puisse la dire, dans ce monde moderne et pressé. Elle a été donnée pour supplier le vrai Esprit de venir dans le monde. »

15 Novembre 1951 37ème vision :

« Ce monde est en corruption. Le monde subira désastre sur désastre. Du point de vue économique et matérialiste, le monde marche vers sa ruine et l’a atteinte. »

6 Avril 1951 41ème vision :

« … C’est au moment du sacrifice de la Croix qu’Elle est devenue la Dame, Co-rédemptrice, et Médiatrice. …Il a prononcé ces paroles : Femmes voilà ton Fils. Fils, voilà ta Mère. Un seul geste et Marie a reçu ce nouveau titre. »

5 Octobre1951 43ème vision :

« La Dame de tous les Peuples a été spécialement envoyée en ce temps-ci pour vaincre la déchéance spirituelle, la corruption. […] Comprenez donc votre temps, comprenez donc la lutte. Sachez que c’est l’esprit qui lutte. Ceci est le temps de l’esprit. La lutte est lourde et dure, mais le Vrai Esprit l’emportera pourvu que vous tous vous collaboriez. »

20 Mars 1953 45ème vision :

« …Comme vous serez un jour unis dans la même politique, ainsi vous devez être uni dans le vrai Saint Esprit. »

4 Avril 1954 49ème vision :

« Parce que Marie est Co-rédemptrice, elle est aussi Médiatrice, elle est aussi Avocate. C’est parce qu’elle est Immaculée Conception […] La Dame de tous les peuples est venue au départ de son Fils avec comme seul témoin, un seul Apôtre, un seul théologien. Car c’est lui, St Jean, qui a du prendre soin de la Mère. Et elle même, elle a du prendre soin des Apôtres. […]

Satan est toujours le prince de ce monde. Il tient ce qu’il peut. Et c’est pourquoi la Dame de tous les Peuples a du venir en ces temps-ci. Elle est l’Immaculée Conception, et par la même, la Co-redemptrice, Médiatrice et Avocate. La Dame devait apporter sa prière maintenant dans ce monde satanique.

Car le Saint Esprit doit encore descendre sur les peuples. Vous peuples, récitez donc ma prière pour que l’Esprit Saint vienne effectivement et réellement. »

31 Mai 1954 50ème vision fête de Marie Médiatrice de toutes Grâces :

« Fête de Notre Dame de tous les Peuples. Ce jour là sera le couronnement de sa Mère, la Dame de tous les peuples, qui fut un jour Marie. Elle désire l’unité dans le Vrai Esprit Saint. Le monde est enveloppé d’un faux esprit, de Satan. […]

Agenouillez vous devant votre Seigneur, soyez reconnaissants. La Science de ce monde a appris aux hommes à oublier sa gratitude. »

31 Mai 1955 51ème vision :

« Vous êtes responsables. On fera des inventions troublantes. Dieu le permet, mais vous peuples, vous pouvez faire en sorte que cela ne soit pas fait pour le mal. »

31 Mai 1957 53ème vision :

« Vous hommes de peu de foi, vous êtes comme un enfant, qui insiste pour avoir un feu d’artifice, et la vraie lumière et le vrai feu, vous ne le voyez pas. »





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Message par Francesco Lun 23 Aoû 2010 - 5:13

Les prophéties de Marie Julie Jahenny(La Fraudais):[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


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Message par Francesco Mer 25 Aoû 2010 - 2:23

Des prophéties de saint a profusion.

Inscrire:Prophétie de saint dans la recherche et Bonne lecture...


La plupart de ses livres sont introuvables.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


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Message par Francesco Mar 31 Aoû 2010 - 0:53

PROPHETIES VENERABLE MERE MARIANA DE JESUS TORRES
PROPHETIES



VENERABLE ERE



DE JESUS MARIANA TORRES



(1563/1635)














Les paroles citées de la Vierge Marie figurent en particulier dans le livre du frère Manuel Sousa Pereira «La vie admirable de la Mère Mariana de Jésus Torres» rédigé en 1790, soit antérieurement aux événements annoncés.






APPROBATION DE L'EGLISE




La dévotion à Notre-Dame du Bon Succès a été approuvée par tous les évêques de Quito depuis le 2 février 1611, date à laquelle le 8ème archevêque de cette ville, Salvador de Ribero, bénit la statue miraculeuse de Notre-Dame du Bon Succès et l'installa dans le couvent de l'Immaculée Conception.



La cause de béatification de la Mère Mariana de Jésus Torres a été ouverte le 8 août 1986 par l'archevêque de Quito, Mgr Antonio J. Gonzales.



En 1911, l'archi-diocèse de Quito a demandé à Rome que Notre-Dame du Bon Succès puisse être canoniquement couronnée, chose qui fût faite le 2 février 1991.



La même année, la chapelle du couvent de l'Immaculée Conception de Quito a été déclarée sanctuaire marial de l'archi-diocèse.



























NOTRE DAME DU BON SUCCES




Les révélations de Notre-Dame du Bon Succès et la dévotion à Sa miraculeuse Statue ont été approuvés par l'Eglise catholique depuis le début. Salvador de Ribera, 9e évêque de Quito, a attesté dans les documents officiels de la réalisation miraculeuse de la statue avec saint François d'Assise et les trois Archanges - Saint-Michel, Saint Gabriel et Saint-Raphaël - et présidé à l'onction de la consécration solennelle de la statue dans l'église du Couvent Royal de l'Immaculée Conception le 2 Février 1611. La dévotion et les apparitions ont également été autorisés et encouragés par son successeur l'évêque de Quito, Pedro de Oviedo, qui a gouverné le diocèse de 1630 à 1646. Ainsi, cette dévotion a bénéficié de l'appui et l'approbation de l'Église depuis ses débuts.



En 1607 le pape Paul V donna le nom de Vierge du Bon Succès à une statue miraculeusement retrouvé par deux frères espagnols de l'Ordre des Minimes pour le service des malades.




le pape Paul V non seulement reconnut le caractère surnaturel de cette découverte, mais pour confirmer le nouvel Ordre, il le plaça sous la protection de la même Vierge, auquel il donna le nom de la Vierge du Bon Succès.

La statue fut placée à l'Hôpital Royal de Madrid, et devint rapidement célèbre pour les nombreuses faveurs accordées par le ciel à travers elle.



La miraculeuse Statue de Notre-Dame de Bon-Succès est tiré du choeur supérieur du cloître trois fois par an et placé au-dessus du maître-autel de l'église du couvent, de sorte qu'il peut être vénérée par le peuple de Quito.





















BIOGRAPHIE




Mère de Jésus Mariana Torres (1563-1635) était une sœur espagnole conceptionnistes qui est partie d'Espagne vers le Nouveau Monde afin d'aider à fonder le Couvent Royal.



Mariana Francisca est né en Espagne de la province de Biscaye en 1563, première-née de Diego de Cadix et Maria Alvarez Berriochoa. Le jour de sa première communion à 9 ans, Notre-Dame lui apparut et lui dit qu'elle devait être un religieuse de son Immaculée Conception dans le Nouveau Monde. En 1577, lorsque Marianna n'avait que 13 ans, elle quitta l'Espagne en compagnie de sa tante, Mère Maria de Jesus Taboada, et quatre autres sœurs, pour fonder une branche de l'Ordre de l'Immaculée Conception à San Francisco de Quito, en Equateur.



La vie de Mère Mariana a été vraiment extraordinaire. Le nombre de visions mystiques et les faveurs mystiques qu'elle reçut, ainsi que les miracles accomplis par son intercession sont nombreux. Au cours de sa vie, elle a été supérieure du Couvent trois fois. Au cours de son premier mandat comme abbesse, elle a subi les persécutions d'un groupe de nonnes rebelles qui voulaient assouplir la règle. La rébellion a augmenté, et les soeurs «inobservantes» mirent Mère Marianne et l'autre mères fondatrices espagnoles dans la prison du couvent. Mère Mariana accepta tout cela et accepta les conditions de Notre-Seigneur qui étaient de souffrir les tourments de l'enfer pendant cinq ans pour obtenir la conversion du leader de ces sœurs rebelles .

Un des faits les plus extraordinaires de sa vie a été un phénomène mystique et physique: elle eût plusieurs morts et résurrections. Les registres bien documentés du couvent et les archives diocésaines montrent que cette très sainte religieuse est morte trois fois. Son premier décès a été en 1582. Debout devant le siège de jugement, elle a été jugée irréprochable et on lui donna à choisir : rester dans la gloire céleste dans le ciel ou pour retourner à terre pour souffrir comme une victime expiatoire pour les péchés du 20e siècle. Elle choisit d'expier. Sa seconde mort est le Vendredi saint de 1588, après une apparition où elle a montré les abus horribles et les hérésies qui existent dans l'Église de notre temps. Elle a été ressuscité deux jours plus tard le jour de Pâques dimanche matin. Elle mourut finalement le 16 Janvier 1635. Des miracles obtenus par son intercession suivirent sa mort.


Le corps de la mère Mariana Torres de Jésus, avec le corps intact d'une autre Mère fondatrice, est conservé dans le niveau inférieur du couvent cloîtré. En 1906, lors de la rénovation du couvent, le sarcophage dans lequel elle avait été enterré en 1635 a été ouverte et son corps a été découvert, incorrompu. Aujourd'hui, il est conservé dans le niveau inférieur du couvent cloîtré.








PROPHETIES




La plupart des prophéties de Notre-Dame de Bon-Succès ont déjà été remplies. Elle a prédit la proclamation des dogmes



- de l'Immaculée Conception

- l'infaillibilité papale

- la consécration de ce pays au Sacré-Cœur de Jésus

- le martyre d'un président catholique de l'Équateur par des maçons (président Gabriel Garcia Moreno, assassiné en 1875),



et de nombreux d'autres choses qui vont advenir.



Monseigneur Luis E. Cadena Y Almeida, postulateur de la cause de béatification de la Servante de Dieu, Mère Mariana de Jésus Torres, a écrit un livre en espagnol sur les nombreux messages prophétiques qui ont déjà eu lieu. Mme Horvath a traduit son livre en anglais, sous le titre «Notre-Dame du Bon Succès : Les prophéties de notre temps»




Les prophéties les plus importantes de Notre-Dame de Bon-Succès, cependant, ont parlé de la crise mondiale dans l'Église et de la société qui commence au 19ème siècle et s'étend à travers le 20e siècle. Pendant ce temps, elle a averti qu'il y aurait une corruption quasi-totale des moeurs et que Satan règnerait presque partout par le moyen des sectes maçonniques.



Dans l'Église catholique les sacrements seraient profané et abusé, et la lumière de la Foi serait presque entièrement éteinte dans les âmes.



En vérité les âmes religieuses seraient réduites à un petit nombre et de nombreuses vocations périrait. L'impureté régnerait presque partout et les gens seraient sans aucun souci pour les questions spirituelles.




Notre-Dame a dit à Mère Mariana, la religieuse Conceptioniste qui a reçu ces révélations, que les âmes qui demeureraient fidèles dans ces temps difficiles auraient besoin d'une grande force de volonté, de constance, courage et confiance en Dieu. Des moments viendront où tout semblera être perdu et paralysé, mais ce sera le moment, elle l'a promis, de l'heureux début de la restauration complète.



«Mon heure arrivera, a-t-elle prédit, «quand de façon stupéfiante, je détruirai l'orgueil de Satan, le mettant sous mes pieds, l'enchaînant dans l'abîme infernal, laissant l'Église et de la terre libre de cette cruelle tyrannie»







LES APPARITIONS




Entre 1588 et 1634, Mère Mariana eut sept apparitions de la Vierge Marie.



Dans ces apparitions, la Vierge Marie fit connaître à la mère Mariana une série d'événements situés aux XIXe et XXe siècles et se rapportant surtout à la crise dans l'Église à cette époque.



Voici quelques extraits des paroles qu'elle prononça :








Extrait des paroles de la Vierge Marie lors de la troisième apparition (16 janvier 1599)




Dans peu de temps, le pays dans lequel tu vis cessera d'être une colonie et deviendra une République libre. Alors, connu sous le nom d'Équateur, il aura besoin d'âmes héroïques pour lui permettre d'affronter de si nombreuses calamités publiques et privées.



Ici (dans ce Couvent) Dieu trouvera toujours de telles âmes comme des violettes cachées. Quito serait maudite sans ce Couvent ! (...)



Au XIXe siècle, il y aura un vrai président chrétien (Garcia Moreno - ndr), un homme de caractère auquel Dieu Notre-Seigneur donnera la palme du martyre sur la place adjacente à mon Couvent.



Il consacrera la République au Sacré-Cœur de mon très saint Fils et cette consécration soutiendra la religion catholique dans les années qui suivront. Pendant ces années qui seront funestes pour l'Église, la secte exécrable de la Maçonnerie prendra la direction du gouvernement civil ; une cruelle persécution frappera toutes les communautés religieuses et frappera aussi violement celle-ci qui est mienne.








Extrait des paroles de la Vierge Marie lors de la quatrième apparition (21 janvier 1610)




Notre Dame est apparue portant une crosse dans la main droite et son divin Fils sur son bras gauche afin que «tous sachent que je suis miséricordieuse et compréhensive. Qu'ils viennent à moi, car je vais les conduire à Lui.



Je t'apprends qu'à partir de la fin du XIXe siècle, et à partir du début de la deuxième moitié du XXe siècle, dans ce qui est aujourd'hui la Colonie et qui sera un jour la République de l'Équateur, exploseront les passions et il y aura une totale corruption des mœurs, car Satan régnera presque complètement au moyen des sectes maçonniques.



Ils se concentreront en particulier sur les enfants afin de parvenir à cette corruption générale.Malheur aux enfants de cette époque ! Il sera difficile de recevoir le sacrement du baptême et aussi celui de la confirmation. Les enfants ne recevront le sacrement de confession que s'ils restent dans les écoles catholiques, car le diable s'efforcera de le détruire au moyen de personnes en position d'autorité. La même chose arrivera pour la sainte communion. (...)




Quant au sacrement du mariage, qui symbolise l'union du Christ avec son Église, il sera attaqué et profondément profané. La franc-maçonnerie, alors au pouvoir, promulguera des lois iniques dans le but d'éliminer ce sacrement, rendant facile pour chacun de vivre dans le péché, et encourageant la procréation d'enfants illégitimes, nés sans la bénédiction de l'Église. L'esprit catholique décroîtra très rapidement ; la précieuse lumière de la foi s'éteindra progressivement, jusqu'à ce que l'on arrive à une presque totale corruption des mœurs. (...)



Dans ces temps malheureux, il y aura une luxure effrénée qui conquêrera d'innombrables âmes frivoles qui seront perdus. L'innocence ne sera presque plus trouvée chez les enfants, ni la pudeur et la modestie chez les femmes. En ce moment suprême de nécessité de l'Eglise, ceux qui devraient parler se tairont



Elle a déploré «le grand nombre de sacrilèges et les profanations du Saint-Sacrement qui se produiraient. Le sacrement de l'extrême-onction sera peu estimé et beaucoup de gens mourront sans l'avoir reçu, ainsi privés de l'assistance dont ils auraient eu besoin pour ce «grand saut du temps à l'éternité»

Le Sacrement Sacré des saints Ordres sera ridiculisé, opprimé et méprisé. Le démon travaillera sans cesse à corrompre les membres du clergé et réussira avec beaucoup d'entre eux. Et ces «prêtres dépravés, qui scandaliseront le peuple chrétien, inciteront la haine des mauvais chrétiens et des ennemis de l'Eglise romaine, catholique et apostolique à tomber sur tous les prêtres. Ce triomphe apparent de Satan apportera d'énormes souffrances aux bons pasteurs de l'Eglise»




Dans ces temps malheureux, il y aura une luxure déchaînée qui entraînera les gens au péché et fera la conquête d'innombrables âmes frivoles qui seront perdues. On ne trouvera presque plus d'innocence chez les enfants ni de modestie chez les femmes. Dans ce suprême moment de besoin de l'Eglise, ceux qui devraient parler garderont le silence !



Tu verras tout cela du ciel, où tu ne souffriras plus, ma fille bien aimée, mais tes filles et celles qui les suivront souffriront ; ces âmes bien-aimées que tu connais déjà apaiseront la colère divine. Elles recourront à moi par l'invocation de Notre-Dame du Bon Succès, dont je te commande de faire faire la statue pour la consolation et la préservation de mon Couvent et pour les âmes fidèles de ce temps, une époque où il y aura une grande dévotion envers moi, parce que je suis la Reine du ciel sous de nombreuses invocations.



Cette dévotion sera le bouclier entre la Justice divine et le monde prévaricateur, pour empêcher la réalisation de la terrible punition de Dieu que cette terre coupable mérite.








Extrait des paroles de la Vierge Marie lors de la cinquième apparition (2 février 1610)




Tout ceci ne sera connu du vaste public qu'au XXe siècle. Pendant cette période, l'Église se trouvera attaquée par de terribles hordes de la secte maçonnique, et cette pauvre terre de l'Équateur sera agonisante à cause de la corruption des mœurs, de la luxure effrénée, de la presse impie et de l'éducation laïque. Les vices d'impureté, de blasphème et de sacrilège domine­ront en ces temps de désolation dépravée, et ceux qui devraient parler garderont le silence !























Extrait des paroles de la Vierge Marie lors de la sixième apparition (2 février 1634)




A cette date, alors que mère Mariana priait Notre Seigneur dans la chapelle, elle vit la lampe du Saint Sacrement s'éteindre brusquement. Puis la Vierge Marie lui apparut et, ayant rallumé la lampe, elle se présenta comme Marie du Bon Succès et lui expliqua la raison de l'obscurité du sanctuaire.



«La lampe qui brûle devant l'amour prisonnier et que tu as vue s'éteindre a beaucoup de signification. :



la première raison de l'extinction de la lumière est qu'à partir de la fin du XIX° siècle et durant une grande partie du XX° siècle, diverses hérésies foisonneront sur cette terre alors république libre. Quand ces hérésies auront le dessus, la lumière précieuse de la foi s'éteindra dans les âmes à cause de la presque totale corruption des mœurs. (...)




La seconde : Mes communautés seront désertées [...]. Combien de vraies vocations périront par manque de direction adroite, prudente pour les former [...].




Le troisième motif pour lequel la lampe s'est éteinte, c'est qu'en ce temps-là l'atmosphère sera remplie de l'esprit d'impureté qui, telle une mer immonde, inondera les rues, les places et endroits publics. Cette liberté sera telle qu'il n'y aura plus au monde d'âme vierge.




La quatrième raison de l'extinction de la lumière du sanctuaire est que, après avoir infiltré toutes les classes sociales, la secte maçonnique sera assez habile pour pénétrer au cœur des familles pour corrompre les enfants, et le diable se fera une gloire de se nourrir de la délicieuse délicatesse du cœur des enfants.



Pendant ces temps malheureux, le mal attaquera l'innocence des enfants, et, de cette façon, des vocations à la prêtrise seront perdues, et ce sera un vrai désastre. (...)



Les prêtres s'écarteront de leurs devoirs sacrés et dévieront du chemin tracé par Dieu. Alors, l'Eglise subira la nuit obscure à cause de l'absence d'un prélat et d'un Père qui veille avec amour, douceur, force et prudence, et beaucoup d'entre eux perdront l'esprit de Dieu, mettant en grand danger leur âme.



Prie avec insistance, crie sans te fatiguer et pleure sans cesse avec des larmes amères dans le secret de ton coeur, demandant à Notre Père du Ciel que, par amour pour le Coeur Eucharistique de mon très saint Fils, pour son Précieux Sang versé avec tant de générosité et pour les profondes amertumes et douleurs de sa Passion et de sa mort, il prenne en pitié ses ministres et qu'il mette fin à des temps si funestes, envoyant à l'Eglise le prélat qui devra restaurer l'esprit de ses prêtres. Ce fils que je chéris, celui que mon divin Fils et moi aimons d'un amour de prédilection, nous le comblerons de beaucoup de dons, de l'humilité de coeur, de la docilité aux diverses inspirations, de force pour défendre les droits de l'Eglise [...]




Il conduira avec une douceur toute divine les âmes consacrées au service divin [...]. Il tiendra en sa main la balance du sanctuaire pour que tout se fasse avec poids et mesure en sorte que Dieu soit glorifié. Ce prélat et père, sera le contrepoids de la tiédeur des âmes consacrées dans le sacerdoce et la religion. [...]




Il y aura une guerre affreuse où coulera le sang des religieux [...].




Alors arrivera mon heure : de façon stupéfiante, je détruirai l'orgueil de Satan, le mettant sous mes pieds, l'enchaînant dans l'abîme infernal [...].




Priez avec insistance, sans vous lasser, et pleurez des larmes amères, dans le secret de votre cœur, en implorant notre Père céleste pour que, pour l'amour du Cœur eucharistique de mon très saint Fils, pour son précieux Sang versé avec tant de générosité, et pour l'amertume profonde et les souffrances de sa cruelle passion et de sa mort, il prenne pitié de ses ministres et mette rapidement fin à ces temps funestes, en envoyant à son Église le prélat qui restaurera l'esprit de ses prêtres.



Mon très saint Fils et moi aimerons ce fils privilégié d'un amour de prédilection, et nous lui ferons don de rares capacités : humilité de cœur, docilité aux divines inspirations, force pour défendre les droits de l'Église, et un cœur tendre et compatissant. (...)




Le cinquième motif pour lequel la lampe s'est éteinte est que [...] le peuple deviendra indifférent aux choses du bon Dieu, prenant l'esprit du mal et se laissant entraîner à tous les vices et passions. [...]




Ma chère fille, s'il t'était donné de vivre en ces temps funestes, tu mourrais de douleur en voyant se réaliser tout ce que je t'ai annoncé»















Extrait du récit de la septième apparition (8 décembre 1634)




Mère Mariana vit, face à elle, la Reine du ciel, belle et fascinante comme toujours, avec son très saint Fils sur le bras gauche, et le Pastoral dans la main droite. Elle était accompagnée de trois archanges :



Saint Michel portait de nombreuses tuniques parsemées d'étoiles et ornées d'or brillant.



Saint Gabriel portait un calice qui contenait le sang du Rédempteur, un ciboire rempli d'hosties et une grande quantité de lys blancs et parfumés.



Saint Raphaël portait une précieuse ampoule transparente et finement ciselée qui contenait un baume excellent dont le parfum suave se répandait dans l'air, purifiant l'atmosphère et faisant éprouver à l'âme une joie immense et une admirable tranquillité. Il portait aussi de nombreuses étoles de couleurs violettes qui brillaient d'une lumière resplendissante, et une plume d'or brillant, où était gravé le nom de Marie. (...)




La Reine prononça ces paroles :



« (...) ma dévotion, sous la consolante invocation du Bon Succès, sera le soutien et la sauvegarde de la foi dans la quasi-totale corruption du XXe siècle. (...)




Gabriel, comme tu vois, porte aussi un ciboire rempli d'hosties : cela signifie le très auguste sacrement de l'Eucharistie qui est distribué par mes prêtres catholiques aux fidèles qui appartiennent à la sainte Église catholique apostolique et romaine, dont le chef visible est le Pape, le roi de la chrétienté. Son infaillibilité pontificale sera déclarée dogme de foi par le même Pape que celui qui fut choisi pour la proclamation du dogme du mystère de mon Immaculée Conception. Il sera persécuté et emprisonné au Vatican par l'usurpation injuste des États pontificaux causée par l'iniquité, l'envie et l'avarice d'un monarque terrestre. (...)




La plume d'un or poli et brillant, marquée à mon nom, est pour tous les prêtres réguliers et séculiers qui écrivent sur mes gloires et mes peines. Elle est aussi pour ceux qui, au moyen de leurs écrits, font connaître ma dévotion du Bon Succès de ce couvent, et aussi ta vie, qui est inséparable de cette douce et réconfortante invocation.



Au XXe siècle, cette dévotion fera des prodiges dans la sphère spirituelle comme dans la sphère temporelle, parce que c'est la volonté de Dieu de réserver cette invocation et la connaissance de ta vie pour ce siècle, quand la corruption des mœurs sera presque générale et la lumière précieu­se de la foi sera presque éteinte ! »




Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Mar 31 Aoû 2010 - 1:03

Prophétie de Marie des Vallées:
PROPHETIES






LA CONVERSION GÉNÉRALE LA GRANDE TRIBULATION ET LE GRAND JUBILÉ




Les révélations qui nous ont été conservées à ce propos concordent très exactement avec les textes patristiques et scripturaires; elles sont, il faut l’ajouter, aussi nettes qu’eux en même temps qu’aussi vagues.



«Marie ne souffrait pas seulement pour les âmes de son temps, mais aussi pour celles qui vivraient avant le commencement du Grand Jubilé, c'est-à-dire le temps de la Grande Tribulation.



Puisque Dieu lui avait parlé d'une conversion universelle, elle s'offrit comme victime expiatrice afin que celle-ci puisse se réaliser, «et Dieu, écrivit saint JEAN EUDES, exauça sa prière».

«Je vis, raconta-t-elle, venir la Force sur un cheval blanc, qui symbolise la joie. Elle portait en croupe la Vérité. Elle nie donna un grand papier sur lequel il y avait des inscriptions et nie dit : Voilà le Jubilé que je t'ai promis. Et Notre-Seigneur m'a dit encore que l'expiation générale ne se fera qu'après un grand et épouvantable signe qui arrivera, niais Il ne m'a pas expliqué quel sera le signe».






Ces temps derniers sont mon oeuvre et ma passion. La fin sera pleine de consolation, glorieuse, digne d'admiration, mais aussi plus désastreuse, plus violente et plus épouvantable qu'on ne le croit.



Elle moisonnera la terre avec 3 de ses filles : la foi, l'espérance et l'église militante.






Quand elle nomma jésus «Roi du ciel et de la terre», Il l'interrompit brusquement :



«Non, pas de la terre, c'est le péché qui y règne. Mais le chasserai et le détruirai bientôt ce monstre et Je régnerai dans tout l'univers».



Marie elle-même a annoncé :



«Le temps viendra, après une crise universelle qui doit arriver, où il n'y aura plus que la justice sur terre, et le péché sera banni».






«Notre-Seigneur lui dit :



«Allez-vous-en dire une chose trois fois triste.



- À qui est-elle ? Où la prendrai-je ? Répliqua-t-elle.



- Ce sont, dit-il, ces paroles : Spiritus Domini replevit orbem terrarum. Ce qui s’entend du temps auquel le Saint-Esprit mettra le feu de l’Amour divin par toute la terre, et qu’il fera son déluge.



Car il y a trois déluges, qui tous trois sont tristes, et qui sont envoyés pour détruire le Péché :



. Le premier déluge est celui du Père éternel, qui a été un déluge d’eau ;

. le second est celui du Fils, qui a été un déluge de sang ;

. le troisième est celui du Saint-Esprit qui sera un déluge de feu. Mais il sera triste aussi bien que les autres, puisqu’il trouvera beaucoup de résistance et quantité de bois vert, qui sera difficile à brûler.



Deux sont passés, mais le troisième reste ; et comme les deux premiers ont été prédits longtemps auparavant qu’ils arrivassent, ainsi le dernier, dont Dieu seul connaît présentement le temps.»






Notre Seigneur dit à MARIE DES VALLEES qu’un temps viendra auquel



«Il fera pleuvoir un déluge de grâces sur toute la terre, etc... et qu’Il donnera de très beaux vases d’or à l’Église, ce qui est la figure des bons pasteurs dont elle sera ornée et enrichie pour lors. Pour la conversion générale, tous les amis de Dieu à la fois se répandront sur la terre pour faire le siège des âmes»




Qui sont-ils ces amis de Dieu ? Gaston de Renty rapportant les paroles de Marie, précise :



«Ce seront de grands martyrs quoique les bourreaux ne les touchent point, mais ils seront martyrs de l’Amour divin. Ce sera le divin Amour qui les martyrisera. Ils seront brûlés dans la fournaise de l’Amour et ils seront plus grands martyrs que quantité d’autres des premiers martyrs qui souffrirent le martyre par l’espérance des couronnes et de la gloire, mais ceux-ci ne regardent point la récompense mais la seule gloire de Dieu». Et c’est la Sainte Vierge qui soutiendra les forces de ces fidèles en ces terribles combats»






«Ne vous mettez point en peine de cela, lui disait Notre-Seigneur, mais sachez que quand ma Miséricorde viendra au temps de la Grande Tribulation, Elle jettera tous les enfants par les fenêtres et Elle les écrasera. C’est-à-dire qu’elle tuera tous les péchés qui sont les enfants des pécheurs. Et ce sera ma Divine Miséricorde qui fera ce massacre et qui exécutera les châtiments qui se feront alors. Mais on ne la connaîtra pas pour telle. On croira que ce sera la Justice, parce qu’elle sera revêtue de la robe de la Justice»






Un jour que MARIE DES VALLEES, priant le Christ, l’appelait «roi du ciel et de la terre» :



- Non, pas de la terre, interrompit-Il brusquement. C’est le Péché qui y règne. Mais Je chasserai et Je détruirai bientôt ce monstre, et Je régnerai dans tout l’univers».






MARIE voyait les «misères du peuple» sous la forme de cordes qui tiraient sur terre la colère de Dieu, afin de punir les crimes détruire le Péché et établir le règne de là Grâce.






JESUS-CHRIST fit un jour faire dans COUTANCES à la SOEUR MARIE une étrange procession symbolique.



. Elle devait d’abord aller réciter les litanies du Père au beau milieu de la grande place de la ville,

. puis les litanies du Fils dans le plus sale cloaque qu’elle pourrait trouver,

. enfin celles du Saint-Esprit devant un crucifix, à l’église.



Elle s’acquitta consciencieusement de tout cela («Je fus bien étonnée, dit-elle, de ce commandement, et même je vis la SAINTE VIERGE pleurer tendrement ; cependant il fallut l’accomplir»), non sans exciter l’étonnement des passants et les moqueries des enfants qui, la voyant s’agenouiller dans un cloaque malodorant, sous les remparts de la ville, la couvrirent de huées et lui jetèrent même quelques pierres.



Les bons bourgeois pour la plupart hochaient la tête et la blâmaient.



«Mais la Vierge, qu’elle avait d’abord vue pleurer amèrement, vint la consoler, lui disant d’un ton joyeux : «Ô ma fille ! nous voilà bien. Dites maintenant : Regina coeli lætare, alleluia.» Et Notre-Seigneur lui dit qu’en la conversion Générale les âmes ne pécheraient plus, «et que son Amour divin ferait de toutes une guirlande au crucifix, c’est-à-dire qu’il couronnerait non seulement la Passion que JESUS-CHRIST a soufferte en son corps, mais aussi celle qu’il a renouvelée en SOEUR MARIE DES VALLEES.»



C’est en effet pour la conversion générale d’un monde mauvais que MARIE avait prié.



Les premières litanies sur la place étaient pour appeler les Infidèles.



Les secondes, dans le cloaque, étaient pour la conversion des mauvais chrétiens et spécialement des mauvais prêtres; car, dit le Christ, «Je suis dans mon Église comme un homme dans un infâme cloaque, qui serait forcé d’y demeurer par les liens dont il serait garrotté, car ma Charité divine m’y nécessite.»



Les troisièmes litanies enfin, devant le crucifix, «étaient pour obtenir le déluge et l’effusion des grâces au temps de la grand conversion».




C’est d’ailleurs un fait remarquable que la plupart des mystiques et des saints ont été tout particulièrement sensibles aux imperfections du clergé et ont dénoncé vigoureusement les abus dans l’Église. Ce ne sont pas seulement les «Réformés» qu ont réclamé de tous temps sa réforme ; et c’est même lui faire injure que de ne pas perpétuellement exiger d’elle cette réforme puisque, aussi bien, n’étant pas de ce monde, sa vie en ce monde ne peut être qu’une lutte continuelle pour éliminer les principe de lourdeur, se purifier de tout ce qu’elle a d’humain, se dégager des forces d’inertie.



Dieu permet les mauvais prêtres pour des raisons qu’Il connaît seul, dit la VIERGE MARIE à la soeur MARIE en lui faisant faire quelques prières pour abréger le temps durant lequel «les mauvais pasteurs doivent régner dans l’Église, selon les ressorts de la divine Providence».



Un jour, Notre-Seigneur lui dit :



«Mon épouse est devenue lépreuse. Qu’elle aille donc se laver sept fois au Jourdain ; prenez cette chemise que ma Mère lui donne, et la lui portez.»



Il expliqua ensuite que son épouse l’Église, couverte de la lèpre du péché, doit guérir des sept péchés capitaux dans le Jourdain de la pénitence. La chemise, c’est Son Humanité dont les chrétiens se doivent revêtir. (Revêtez-vous de Jésus-Christ, dit saint Paul.) La soeur MARIE DES VALLEES la porte, car elle dispose le monde à faire pénitence et à faire usage de cette grande tribulation dont il a été parlé. La faisant prier (en 1646) pour une affaire de grande conséquence qui touchait l’Église, sans lui dire laquelle, Il promet à cette Église «trois choses singulières : la première est une bague d’or avec une pierre d’aimant attirant le feu ; la seconde sera Mon Coeur ; la troisième la connaissance des Écritures et d’un sens qu’elle n’a point encore connu»



On ne lui a pas encore expliqué cela, note SAINT JEAN EUDES, qui pense que la bague signifie à SOEUR MARIE, la pierre JESUS, qui attire les coeurs dans la grande conversion, que son Coeur, c’est sa Passion, et que le sens des textes scripturaires non encore connu concerne les textes qui peuvent s’appliquer à MARIE DES VALLEES et à la fin des Temps. SAINTE CATHERINE DE SIENNE s’occupait, elle aussi, simple femme du peuple, des plus grands intérêts de l’Église.






Un jour, MARIE DES VALLEES vit le Péché sous la figure d’un serpent dont le corps faisait un triple tour (le péché des prêtres, celui des chefs d'Etat, et celui du peuple) qui se mordait la queue, c'est-à-dire qui se détruisait lui-même.



Notre-Seigneur dit à MARIE DES VALLEES :



«Va-t'en dire une chose trois fois triste. Ce sont, dit-II, ces paroles :



Spiritus Domini replevit orbem terrarum, ce qui s'entend du temps où le Saint-Esprit mettra le feu de l'Amour divin par toute la terre et qu'il fera son déluge. Car il y a trois déluges, qui sont tous trois tristes et qui sont envoyés pour détruire le péché. Le premier déluge est celui du Père Eternel, qui a été un déluge d'eau, le second est celui du Fils qui a été un déluge de sang ; le troisième est celui du Saint-Esprit qui sera un déluge de feu. Mais il sera aussi triste que les autres puisqu'il trouvera beaucoup de résistance et quantité de bois vert qui sera difficile à brûler. Deux sont passés, mais le troisième reste ; et comme les deux premiers ont été prédits longtemps avant qu'ils n'arrivassent, ainsi en sera-t-il du dernier dont Dieu seul connaît présentement le temps»

(Irmgard Hausmann : «Marie des Vallées, âme expiatrice pour le temps de la conversion générale», pp. 26-29).




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Message par Francesco Mer 1 Sep 2010 - 1:22

Prophéties de la bienheureuse Alexandria Maria d'Agosta:
PROPHETIES




Un vendredi de 1945, au cours d’une Passion, Alexandrina eut une vision terrible au sujet de l'avenir. Bien longtemps avant le Concile Vatican II elle écrivit :



«Quel feu dans mon cœur !... Combien je donnerais, combien j’aimerais souffrir pour obtenir que ce feu soit le mien et qu’il soit un feu d’amour pour Jésus. Je veux de l’amour, je veux de l’amour pour le donner au monde afin qu’il aime uniquement Jésus... Je vois le monde s’enfuir vers un autre monde, un monde de perdition.




Je reste les bras ouverts et les yeux levés vers le ciel. Comment remédier à ce mal ? De grandes, de très grandes inquiétudes montent de la terre vers le ciel. Mon Dieu, je vois les âmes pleines de lourdeur et les corps détruits par la lèpre: conséquences du péché. Quelle lumière, celle qui m’oblige à tout voir !... À quel extrême le monde est réduit !... Doux Jésus, votre divin Cœur n’en peut plus !...

Je me sens placée entre le monde et Jésus afin d’éviter que la méchanceté des hommes ne blesse son Cœur si aimant. Flagellation, épines et mauvais traitements me blessent. Je ne vois pas Jésus mais je le sens comme opprimé, rempli d’épouvante et qui attend les coups de cette chaîne de méchanceté...
Sans même avoir pensé à la Cène de Jésus avec ses disciples, je me suis sentie à table. Mon cœur était le calice, le vin et le pain. Tous venaient manger et boire à ce calice. À partir de cet instant cette Cène allait se répéter. Mais quelle horreur ce que j’ai vu !... Tant de Judas buvant et mangeant indignement ! Que de langues sales ! Pire encore : combien de mains indignes distribuant ce pain et ce vin ; des mains indignes et des cœurs démoniaques.

Quelle horreur mortelle !... J’en ai éprouvé tant de douleur et tant d’horreur au point de croire que mon âme allait fondre et le cœur se briser. Je ne sais pas mieux exprimer ce que j’ai vu, ce que j’ai souffert. Et avant tout autre chose, l’amour de Jésus, un amour indicible; un amour que l’on ne peut évaluer qu’après l’avoir expérimenté…»




(Autobiographie : 12 avril 1945)




Remarque importante :

Ces textes ont de quoi nous affliger. En effet, en 1945, les fidèles recevaient l'hostie consacrée uniquement sur la langues, et jamais les laïcs ne distribuaient la communion. Comment Alexandrina aurait-elle pu deviner ou inventer ces choses ? Il faut également ajouter qu'en 1945, une telle révélation devait être incompréhensible. Et pourtant, aujourd'hui, n’importe qui peut distribuer la Communion, et bien rares sont les personnes qui se confessent pour recevoir le Sacrement de l’Amour. Aussi doit-on considérer les paroles d'Alexandrina comme une vraie prophétie.


















ANNONCE DE LA GUERRE




En 1935 et en beaucoup d'autres occasions, le Seigneur, en lui annonçant la guerre comme châtiment des nombreux péchés de l'humanité, lui disait :



«Ce seront les victimes de mes Tabernacles qui arrêteront le bras de la Justice divine, pour que le monde ne soit pas détruit et que de plus grands châtiments n'adviennent»




La même année, Jésus lui ordonna de demander au Saint-Père la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, et l'institution de la fête liturgique.








ÉLECTION DE PIE XII



Tout de suite après l'élection du Pape Pie XII, Jésus lui prédit le 27 mars 1939 :


«C'est lui le Pontife qui consacrera le monde au Cœur Immaculé de Marie, ma Mère»



Trois ans après, cette parole de Jésus s'accomplissait.

Nous avons vu que pendant la guerre, Alexandrina s'était offerte comme victime pour la paix, et pour le Pape à qui elle écrivit pour le rassurer et lui dire qu'il serait protégé des dangers au sein des catastrophes internationales. D'ailleurs, le Seigneur lui avait dit, le 6 décembre 1940 :



«La paix viendra, mais au prix de beaucoup de sang. Le Saint-Père sera ménagé. Le dragon orgueilleux et enragé, qui est le monde, n'osera pas toucher à son corps, mais son âme sera victime de ce dragon»





Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Mer 1 Sep 2010 - 5:01

La Religieuse Allemande Maria Laach





Maria Laach est une religieuse allemande qui a effectué plusieurs prophéties au XVIème siècle :



« Le XXème siècle apportera la mort et la destruction, l'apostasie dans l'Eglise, et la discorde dans les familles, les villes et les gouvernements. Ce sera le siècle de trois grandes guerres avec des intervalles de quelques décennies. Il se trouvera des hordes d’hommes dévastateurs et meurtriers qui partiront pour mettre en ruines, non seulement l'Allemagne, mais tous les pays de l'Est et l'Ouest. (...) Après une grande défaite de l'Allemagne, une autre grande guerre viendra. Il n'y aura pas de pain pour le peuple et ni de nourriture pour les animaux. Des nuages toxiques créés par la main de l'homme vont tout exterminer. L'esprit humain sera pris par la folie ».



Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Ven 3 Sep 2010 - 0:54

Prophétie de la Vierge a Cuapa(Nicaragua),apparitions reconnues par l'église:
LA PREMIERE VISION




Le 8 mai 1980 je me sentais triste en raison de problèmes financiers, d'emploi, et spirituels. J'avais même dit dans la matinée que je voulais mourir. Je ne voulais plus exister. J'avais beaucoup travaillé pour les habitants de la ville et je me rendais compte qu'ils n'appréciaient rien .. Je n'avais plus envie de continuer . ... Dans la chapelle, j'avais balayé ... dépoussièré .... lavé les nappes d'autel et aubes ... et en échange, j'avais été bafoué, traité d' idiot. Même ma propre famille - mes frères de sang - disaient que si je n'avais pas réussi financièrement, c'était à cause de mon engagement à la sacristie. J'étais sacristain bénévolement. Je travaillais dans la maison de Dieu, depuis que j'étais capable d'utiliser les chiffons et les balais ... Je me sentais humilié. Je le faisais pour servir le Seigneur.

En tout cas, depuis, à Cuapa, tout a changé : le balayage de la chapelle est un honneur. C'est maintenant un honneur! Les nappes d'autel sont lavées en un clin d'œil, avant que vous soyez capable de le remarquer.

La septième nuit, je dormis mal. J'eus très chaud toute la nuit et à cause de cette chaleur, je me levai. Je mangai un peu et me dis :

«Je vais aller pêcher à la rivière de sorte que je serai au frais et au calme»





Maison de Bernardo



Je partis tôt le matin avec un sac et une machette et me dirigai vers la rivière ... Je me sentais heureux ... content .... dans un environnement agréable.. Et j'ai tout oublié. Quand il fut midi, je n'avais pas envie de partir tant je me sentais en paix ... Et je sentais pas la faim. Tout-à-coup, il se mit à pleuvoir et je m'abritai sous un arbre où j'ai commençai à prier le Rosaire. Comme la pluie finissait, je terminai mon Rosaire J'étais tout mouillé, tous mes vêtements trempés. Je ramassai les poissons qui étaient dans le sable, je les mis dans un sac, et me rendis sous un manguier pour voir si un fruit était mûr. J'allai ensuite sur une colline pour couper une branche afin de cueillir des baies, puis je me dirigeai vers un arbre à jocote.









arbre à jocote



Je pensai soudain que j'étais en retard. Je regardai le soleil parce que je n'avais pas de montre. Pour nous, dans le pays, le soleil est une horloge, dans lequel nous lisons le temps. Il était trois heures de l'après-midi. Les heures avaient passé comme des minutes. Je me dis :

«Il est tard»

Je me souvins que j'avais à nourrir les animaux et que je devais aller en ville pour prier le Rosaire avec les gens à cinq heures.





palmier coyoles


Je partis à pied chercher des coyoles quand soudain, j'ai vis un éclair Je pensé en moi-même,

«Il va pleuvoir»

Mais j'étais intrigué parce que je ne voyais pas d'où la lumière venait. Je me suis arrêté mais je ne vis ni pluie, ni rien. Ensuite je partis près d'un endroit rocheux. J'avançai de six ou sept pas.





C'est alors que je vis un autre éclair au milieu duquel, elle est apparue. Je me suis demandé si c'était une illusion ou si c'était la même statue lumineuse qu'à la chapelle ... Mais je vis ses yeux cligner ... .. qu'elle était belle ... Elle se tenait sur un nuage conmme en mousse, au-dessus du tas de pierre il y avait un petit arbre sur les rochers et au-dessus, se trouvait le nuage. Le nuage était au-dessus ... le nuage était très blanc .. les rayons se confondaient avec la lumière du soleil. Les pieds nus d'une très belle dame reposaient sur le nuage. Sa robe était longue et blanche. . Elle avait un ceinture d'or autour de la taille.. Ses manches étaient longues. Elle était couverte d'un voile de couleur pâle, avec des bordures brodées d'or. Ses mains étaient jointes sur sa poitrine. Elle ressemblait à la statue de la Vierge de Fatima.





Je demeurai immobile. incapable de courir ou crier. Je n'avais pas peur J'étais stupéfait. Je me dis :

«Qu'est-ce que je vois ? .... Serait-ce la même statue de la Vierge, qu'ils auraient apporté et mise ici pour moi ? …La statue de la chapelle ... Serait-ce pour me jouer un tour parce que j'avais dit l'avoir vue illuminée... était-ce une ruse ? Mais non ! je les aurais vu la transporter»

Je me suis frotté les yeux croyant que c' était un rêve. Et je me dis :

«Est-ce que je dors ?»

mais je n'ai trébuché sur rien.

Quand j'écartai les mains de mon visage, je vis qu'elle avait une peau humaine et que ses yeux bougeaient et clignaient. Je me fis la réflexion : «Elle est vivante ... ce n'est pas une statue ! Elle est vivante !" Mon esprit était la seule chose en éveil. Je me sentais comme engourdi, ma mâchoire inférieure rigide et ma langue immobilisée, seul l'esprit était en éveil. J'étais dans ces réflexions quand elle étendit les bras - comme la Médaille Miraculeuse qui je n'avais jamais vu, mais qui plus tard m'a été montrée- Elle étendit les bras et de ses mains émanaient des rayons de lumière plus forts que le soleil ... elle était au-dessus et les rayons qui venaient de ses mains touchèrent ma poitrine ... . C'est quand Elle émit Sa lumière que je fus encouragé à parler, bien qu'avec bégaiement., je Lui dis :

«Quel est votre nom ?»

Elle me répondit d'une voix si douce …. Je n'avais jamais entendu pareille voix d'aucune femme ni d'aucune personne. En lui voyant bouger les lèvres, je me dis :

«Elle est vivante! Elle a parlé ! Elle m'a répondu !»

J'ai réalisé que nous pourrions entamer une conversation, que je pouvais parler avec elle.. Je lui demandai, ensuite, d'où elle venait. Elle me dit avec la même douceur :

«Je viens du ciel. Je suis la Mère de Jésus»

Entendant cela, je lui demandai immédiatement, en me rappelant la demande du prêtre :

«Qu'est-ce que vous voulez ?»

Elle me répondit :

«Je veux qu'on récite le Rosaire chaque jour»

L' interrompant je lui dis :

«Oui, nous le prions ... Le prêtre nous confie les intentions de la paroisse de San Francisco, afin que nous nous unissions avec eux»

Elle me dit :

«Je ne le veux pas seulement prié au mois de mai. Je veux qu'il soit prié de façon permanente, en famille, y compris avec les enfants suffisamment âgés pour comprendre ; qu'il soit prié à une heure définie quand il n'y a pas de problèmes avec le travail dans la maison»

Elle me dit que le Seigneur n'aime pas les prières que nous faisons à la hâte ou mécaniquement. Pour cette raison, elle recommanda de prier le Rosaire médité avec l'évangile pour mettre en pratique la Parole de Dieu. Quand j'entendis cela, je me dis

«Comment cela ?»

parce que j'ignorais que le Rosaire fut biblique. C'est pourquoi je lui demandai :

«Où sont les méditations ?»

Elle me dit de les chercher dans la Bible et continua en disant :

«Aimez vous les uns les autres. Remplissez vos obligations. Faites la paix. Ne demandez pas à notre Seigneur la paix parce que si vous ne la faites pas, il n'y aura pas de paix. Refaites les cinq premiers samedis. Vous avez reçu beaucoup de grâces quand vous tous faisiez cela»

«Avant la guerre, nous avions l'habitude de faire cela. --- Nous allions à la Confession et à la Communion tous les Premiers Samedis du mois. --- Mais depuis que le Seigneur nous avait libérés des batailles sanglantes à Cuapa, nous ne continuions plus cette pratique»


Puis elle dit :


«Le Nicaragua a beaucoup souffert depuis le tremblement de terre. Il est menacé de plus de soufrance. Il continuera à soufrir si vous ne changez pas»

Et après une brève pause, elle dit :

«Priez ! Priez, mon fils, le Chapelet pour le monde entier. Dites aux croyants et aux non-croyants que le monde est menacé par de graves dangers. Je demande au Seigneur d'apaiser Sa justice, mais si vous ne changez pas, vous hâterez l'arrivée de la Troisième Guerre Mondiale

Après avoir dit ces mots, je compris que je devais le dire aux gens et je lui dis :

«Madame, je ne veux pas de problèmes, j'en ai déjà beaucoup à l'église. Demandez cela à une autre personne»

Elle me répondit :

«Non, parce que Notre Seigneur vous a choisi pour donner le message»

Quand elle me dit cela, je vis que le nuage s'élevait, et je me suis souvenu de la demande de Mme Consuelo Marin et dis :

«Dame, ne partez pas car je voudrais vous parler de Mme Consuelo qui ne peut vous voir»

Elle me dit :

«Tout le monde ne peut me voir. Elle me verra quand je l'emmenerai au ciel, mais je lui demande de prier le Rosaire»

Apres m'avoir parlé, le nuage n'avait pas disparu.. Elle leva les bras au ciel, comme la statue de l’Assomption que j’ai vue tant de fois dans la cathédrale de Juigalpa. Elle tourna les yeux en haut vers le ciel, et le nuage qui la soutenait l’éleva. Elle était comme dans une niche de lumière, et à une certaine distance, Elle disparut de ma vue.. Je rassemblai ensuite la machette, le sac, et les branches et je partis couper les coyoles en pensant que je ne dirais rien à personne de ce que j'avais vu et entendu.

J'allai prier le Rosaire à la chapelle, sans rien dire. En rentrant je me sentais triste. Mes problème grandissaient. Je priai de nouveau le Rosaire en demandant à la Très Sainte Mère de me libérer de la tentation, car je pensais qu'il s'agissait d'une tentation. Au cours de la nuit, j'entendis une voix qui me demandait de parler. Je me réveillai à nouveau, et je priai de nouveau le chapelet.. Je ne parvenais pas à trouver la paix.. Je ne racontai rien à personne car je ne voulais pas que les gens en parlent. Ils parlaient déjà à cause de la statue que j'avais vue éclairée. Je me disais :

«Maintenant, ce sera pire. Je ne connaitrai plus la paix»

aussi, je ne voulais rien dire.. Je ne retournai pas sur le lieu des apparitions. Les mangues et jocotes furent perdues. J'allai à la rivière, mais par une autre route.. J'y vais tous les jours pour me baigner et donner à boire à mon veau

Au cours de cette période où je gardais le secret, un grand poids semblait être tombé, m'abattait, et j'ai entendu quelque chose comme une voix qui me disait de parler. Mais je ne le voulais pas Pour oublier ma souffrance qui grandissait, je cherchais à me divertir. Mais rien ne parvenait à m'intéresser. Je recherchais mes amis afin de me divertir - des amis jeunes et anciens- mais au meilleur de ma joie, j'entendais la voix et ma tristesse revenait.. J'étais devenu pâle et maigre. Des gens me demandaient ce qui n'allait pas, si j'étais malade..8 jours passèrent ainsi.





Le 16 mai, j'étais en route pour donner à boire au veau. Je traversai le pâturage sans trouver le veau.. Je marchais avec un bâton à la main. Comme j'étais près d'une Guapinol déjà à mi-chemin de la prairie, avec un soleilde plomb au-dessus, je vis un éclair de flash. Il était midi. En pleine lumière, parce que comme je l'ai dit, il s'agissait d'une chaude journée ensoleillée, il y eut une lumiere encore plus forte que la lumiere du jour Dans ce flash-éclair, elle apparut.

Je la vis de la même manière que je l'avais vue le 8 mai, elle étendit les mains et dans le prolongement de ses mains, les rayons de lumière m'apparurent.. Je suis restée à la regarder. Je restai silencieux en pensant :

«C'est elle ! C'est la même. La même femme m'est à nouveau apparue»

je pensais qu'elle allait me reprocher d'avoir tu ce qu'elle m'avait demandé de dire. Je me sentais coupable de ne pas en avoir parlé comme elle le voulait, et en même temps, dans mon esprit, je me dis :

«Je ne suis pas allé ou elle apparait d'habitude mais elle m'apparait n'importe où et maintenant, elle est ici. Je vais être dans un bel état, elle va me suivre partout où j'irai»

C'est ainsi, qu'elle me dit avec sa voix douce - mais sur un ton de reproche :

«Pourquoi n'avez-vous pas dit ce que je vous avais demandé de dire ?»

Je lui répondis alors :

«Madame, c'est que je suis effrayé. J'ai peur d'être le ridiculisé par les gens, peur qu'ils se moquent de moi, qu'ils ne me croient pas. Ceux qui ne croiront pas cela se moqueront de moi. Ils diront que je suis fou»

«N'ayez pas peur. Je vais vous aider. Et parlez au prêtre»

Puis, il ya eu un autre éclair, et elle disparut.

Je continuai ensuite à pied et découvrit le veau que je n'avais pas vu auparavant.. Je l'emmenai à la rivière, lui donnai un peu d'eau, et retournai à la maison.. Je me préparai pour aller à la chapelle tout en priant le chapelet.

Je pensai qu'il me faudrait parler à Mme Lilliam Ruiz de Martinez et à Mme Socorro Barea de Marin. C'est ce que j'ai fis. J'ai plus confiance en elles qu'aux autres personne de la communauté de Cuapa. Je les pris à part et leur dit tout ce que j'avais vu et entendu.. Elles me réprimandèrent. C'était la première fois que je recevais une réprimande sans répondre, car j'ai toujours rejimbé en défendant mes idées. Je promis qu'à l'avenir, je parlerais. Je rentrai chez moi pour me reposer. Le lendemain, à l'aube, je ressenti un étrange bonheur. Tous les problèmes semblaient dissipés.

Le 17 mai , tous ceux qui vinrent chez moi, entendirent ce que j'avais à leur dire. Certains me croyaient, d'autres écoutaient par curiosité et faisaient semblant de me croire, d'autres ne me croyaient pas et riaient.. Mais cela n'avait pas d'importance pour moi. Quand l'heure fut venue, nous priâmes le Rosaire et ensuite, je leur dis tout. Une fois de plus, je remarquai la même chose, certains croyaient, d'autres non, certains écoutaient, étonnés ... surpris ... d'autres, analysaient, d'autres restaient silencieux, d'autres riaient et me traitaient de fou, chacun en fonction de ce qu'il ressentait....mais rien ne m'importait.. Je ressentais le bonheur de tout dire.
Le 19 mai, j'allai à Juigalpa dans la matinée et je dis au prêtre ce que la Dame attendait de moi. Je lui dis tout ce que j'avais vu et entendu.. Il m'écouta et me dit :

«Serait-ce quelqu'un qui veut te faire peur dans les collines ?»

Je répondis non car ce serait impossible à la rivière et dans les collines où je vais couper la canne ainsi qu'au milieu des pâturages où je passe car personne ne peut s'y cacher : ils seraient à découvert. Il me dit :

«Peut-être est-ce une tentation qui te persécute ?»



Je lui répondit que non ...Je lui ai répondu que je ne savais pas car avec lui je ne pouvais pas dire ce que j'avais vu et entendu, mais en ce qui concerne la tentation, je ne savais pas parce que je ne connaissais pas. Il me dit de retourner prier le Rosaire à l'endroit où les apparitions avaient eu lieu, de faire le signe de la croix quand je la verrai et de ne pas avoir peur, car que ce soit bien ou mal rien ne m'arriverait Il me demanda également, à l'avenir, de ne parler à personne ce que je verrai ou entendraii. Mais ce que j'avais déjà vu, je pourrai le dire aux gens de Cuapa.

Je considère cette apparition comme un prolongement de celle du 8 Mai et je l'appelle, celle de la réprimande








LA DEUXIÈME VISION




Le 8 Juin, j'allai à l'endroit où les apparitions avaient eu lieu comme elle me l'avait demandé. Je priai le Rosaire en arrivant, avec d'autres personnes, mais la dame ne vint pas. Je repartis inconsolable.



Pendant la nuit, elle se présenta en rêve. Elle était la même que pendant la journée. Je la vis au même endroit que la première fois. Je priai le chapelet. A la fin du Rosaire, je vis de nouveau les deux éclairs clignoter et elle apparut. Dans mon rêve, je lui dis :

«Que voulez-vous, ma mère ?»

Elle me donna le même message que la première fois. Je lui confiai ensuite certaines intentions, parce que maintenant les gens me confiaient certaines requêtes. Elle me répondit :

«Certaines seront exaucées, d'autres non»

Je n'ai pas su quels sont ceux qui seraient exaucés et ceux qui ne le seraient pas. Les intentions que me confiaient les gens de Cuapa étaient variées : certains demandaient des choses plus ou moins matérielles, telles que : «avoir de la chance dans le travail», «être guéri de quelque maladie», ou autres problèmes. D'autres demandaient quelque chose de spirituel, tel que, «être patient», «aimer Dieu"», «avoir la foi”», «persévérer dans la prière», «être capable d'aimer ceux qui ne sont pas comme nous et qui sont durs pour ceux qu'on aime» En fait, il m'était impossible de dire quelles personnes seraient exaucées ou qui ne le seraient pas.

Notre-Dame se présenta sur le petit arbre Norisco comme la première fois. Elle regardait vers l'Est. À sa gauche, près du tas de roches, où a grandi le petit arbre, il y avait deux cèdres. À l'heure actuelle, l'un d'eux n'existe plus, parce que les gens ont coupé le tronc, morceau par morceau ; l'autre est également en train de disparaître. Aussi, les cèdres ne sont pas très grands, dépouillés, sans feuillage et sans branche, ils sont secs. La seule partie restante est la partie où le tronc est attaché à ses racines. Sur le petit arbre Norisco il ne reste rien, il a totalement disparu. À sa droite, mais un peu plus loin, il ya quatre palmiers coyole. Entre le premièr et le second, quand on vient de la rivière, il ya un grand espace. Elle leva la main droite, en indiquant l'espace et dit :

«Regarde le ciel»

Je regardai dans cette direction. L'arbre jocaro qui est en face, entre les deux palmiers, ne m'empêcha pas de regarder, car il a peu de branches et il est bas. Elle présenta quelque chose comme un film dans le ciel. que je vais décrire :

Je vis un grand groupe de personnes habillées de blanc qui cheminaient vers l’orient. Elles allaient, toutes baignées de lumière et de joie, elles chantaient. Je les entendais, mais je ne comprenais pas les paroles qu’elles prononçaient. C'était une fête céleste. C'était un tel bonheur ... une joie incomparable telle, que je ne l'ai jamais vu dans aucune procession. . Leurs corps irradiaient de lumière. Je me sentis transporté. Je ne pus me l'expliquer dans mon émerveillement

Elle me diit :

«Regarde, voici les premières communautés des débuts du christianisme. Ce sont les premiers catéchumènes. Beaucoup d’entre eux furent martyrs»

«Voulez-vous être martyrs ? Aimerais-tu être martyr ?»

A l'époque, je ne savais pas exactement ce que voulait dire être martyr –je le sais maintenant, pour l'avoir demandé, que c'est celui qui confesse Jésus-Christ ouvertement en public, qui est un témoin prêt à donner sa vie-. On me le demanda et je répondis oui.

Ensuite, je vis un autre groupe. Les gens étaient aussi habillés de blanc avec des chapelets lumineux dans les mains. Les grains étaient très blancs et jetaient des feux multicolores. L’un d’eux avait un grand livre ouvert.. Il lisait et après avoir écouté, ils méditaient silencieusement. Ils semblaient être en prière. Après un moment de prière silencieuse, ils prièrent le Notre Père et dix Je vous salue Marie Je priai avec eux. Lorsque le Rosaire fut terminé, la Sainte Vierge me dit :

«Ceux-ci, sont les premiers à qui j'ai donné le Rosaire. C'est de cette façon que je veux que vous priiez le Rosaire»

Je répondis oui à la dame. Certaines personnes me dirent qu'il s'agissait peut-être de Dominicains. Je ne connais pas les religieux et à ce jour n'ai jamais vu quelqu'un de cet ordre.

Ensuite, je vis un troisième groupe, tous vêtus d'une robe marron. Je crus reconnaitre des Franciscains. Pareillement, ils priaient le rosaire. Alors qu'ils passaient, après avoir prié, la dame me dit de nouveau :

«Ils ont reçu le Rosaire des mains des premiers»

Après cela, un quatrième groupe arriva. C'était une immense procession, habillée comme nous. Il étaient si nombreux qu'il m'eut été impossible de les compter. Précédemment, j'avais vu beaucoup d'hommes et de femmes, mais cette fois, c'était comme une armée en bataille avec des Chapelets à la main. Ils étaient habillés normalement, de toutes les couleurs. Je fus très heureux de les voir.






LA TROISIEME VISION




Le 8 juillet 1980 , une quarantaine d'entre nous, allâmes à l'endroit où les apparitions avaient eu lieu, . Nous priâmes et chantâmes, mais je ne la vis pas. Dans mes prières, je la suppliai de la voir de nouveau.


La nuit, en dormant, j'ai fis un rêve. Je rêvai que j'étais à l'endroit des apparitions, en train de prier pour le monde. Dans mon rêve, je me rappelai que la Vierge m'avait demandé de prier pour le Nicaragua et pour le monde entier en raison de graves dangers menaçants.

Je me souvins ensuite ce que le prêtre m'avait dit quand je lui avais confié le message de la Vierge, en particulier, de prier pour les religieux, les religieuses, les prêtres, et le Pape. Me souvenant de tout cela, je commençai à prier, je commençai à les confier. Et je confiai l'humanité entière dans le Rosaire.

Il y avait un garçon de Cuapa qui avait été mis en prison, accusé d'être un contre-révolutionnaire contre le gouvernement communiste. Sa sœur m'avait demandé de faire une pétition pour lui. Elle était très triste parce qu'elle ne pouvait pas lui parler seul à seul quand elle lui a rendait visite en prison. Après avoir fini le chapelet, je me rendis compte que j'avais oublié de prier pour ce garçon, et je pensai :

«Je vais prier pour lui, mais le Rosaire me prends tant de temps...»

Je pensais dans mon rêve de la même façon que sur le lieu des apparitions. Je me dis :

«Je dois rentrer à la maison, sinon je serai en retard ... je vais dire trois Je vous salue Marie»

Dans le rêve, je m'agenouillai et mis les bras en Croix. Je regardai de nouveau vers le haut en priant pour le garçon.

Quand je baissai les yeux et regardas les rochers, où la Sainte Vierge était apparue, je vis un ange. Il était vêtu d'une longue tunique blanche, il était grand et très jeune. Son corps semblait baigner dans la lumière. Il avait un physique et une voix d'homme. Il ne portait ni ornement, ni manteau, ni couronne. Il était simple mais beau. Ses pieds n'étaient pas sur un nuage. Ils étaient nus. Il avait un comportement chaleureux, convivial et semblait d'une grande sérénité. Je senti un respect envers lui, mais mon sentiment à son égard était différent de ce que je ressentais devant la Dame ... comme si elle était plus grande ... elle est plus grande que lui... Je ne sais pas comment l'expliquer, Ca m'est difficile à dire ... Néanmoins, elle m'inspirait plus de respect, un plus grand respect et une plus grande vénération, que ce que je ressentais envers l'ange. Avec elle j'ose lui poser des questions, lui parler et lui faire des pétitions. Avec l'ange, je parle difficilement.

J'entendis l'ange me dire :

«Votre prière a été entendue»

Après un moment de silence, il ajouta :

«Allez et dites à la soeur du prisonnier d'aller le consoler dimanche, parce qu'il est très triste ; de lui conseiller de ne pas signer un document qu'ils vont le presser de signer, un papier dans lequel il assume sa responsabilité pour quelque somme d'argent [il est innocent.] ; elle ne devrait pas s'inquiéter ; elle pourra lui parler pendant un long moment ; elle sera traitée de façon amicale ; dites-lui d'aller lundi au siège de la Police de Juigalpa pour compléter toutes les étapes de sa libération parce qu'il sera relâché ce jour-là ; de prendre 1,000 Cordoba comme montant de l' amende»

Je lui dis que j'avais une autre requête écrite par une cousine qui vit en Zelaya. Elle était venue me voir à Cuapa pour me demander de parler à la Sainte Vierge au sujet de deux soucis : un problème chez elle, d'alcoolisme et un autre de travail en raison des changements apportés par la Révolution. Elle voulait savoir comment venir à bout de l'alcoolisme de son père et de son frère, parce qu'ils devenaient violents quand ils buvaient trop. Elle voulait également savoir comment résoudre les problèmes qu'elle connaissait dans son emploi de professeur. Elle m'avait expliqué qu'elle ne voulait pas perdre son emploi, ça la conduisaient peu à peu à renier sa foi. Ca la faisait beaucoup souffrir, car elle ne voulait pas perdre son travail, mais encore moins renier sa foi.

Je dis à l'ange que j'avais deux demandes pour la Vierge venant d'un cousin, et sans entrer dans les détails, je lui dis qu'il s'agissait de problèmes familiaux d'un frère et d'un père alcooliques, ainsi que de problèmes d'emploi. Je ne suis pas rentré dans les détails.

L'ange me répondit :

«Les personnes qui les entourent devraient être patientes avec eux, et ne pas se plaindre quand ils sont ivres»

Plus tard, il ajouta :

«Va et dis-leur d'arrêter ce vice; de le faire petit à petit. De cette façon, cette envie les quittera»

Il me dit d'avertir mon cousin qu'ils allaient l'attaquer ; et qu'ils lui tireraient dans le pied, le blessant au talon gauche. Plus tard, ils le tueraient. En entendant cela, j'ai tellement pris peur que je dis à l'ange :

«Ne pourrait-on pas éviter à mon cousin, ce malheur, en récitant de nombreux Chapelets ?»

Il répondit :

«Non, il en mourra, mais s'il écoute tes conseils, sa vie pourra être prolongée»

Il ajouta ensuite, à props de mon cousin :

«Elle ne devrait pas avoir peur, et elle devrait rester ferme là où elle est. Il dit qu'elle ne devrait pas quitter son travail, parce qu'en tant qu'enseignante (qui a foi en Notre Seigneur), elle pourrait faire beaucoup de bien aux gens»

Il poursuivit, disant :

«Ne tournez pas le dos aux problèmes et ne maudissez personne»

et l'ange à la fin, disparut.

Je me réveillai. Je commençai immédiatement à prier le Rosaire, sans être distrait par ce rêve. Puis, je me remémorai son contenu. Je me rappelais de tout .Tout était resté imprimé. Je ne savais qu'en penser. Mais je choisis de parler à la soeur du détenu en secret parce que je craignais, qu'il ne tienne pas compte de son devoir. Les gens firent des commentaires sur la gloire de Dieu que j'avais vu, le 8 Juin et ils dirent :

«Qui a disparu et qui est repartie ? Bernardo est fou. Il faut l'emmener à l'asile»

C'est pourquoi j'ai eu peur.

Je dis à Mme Socorro de lui transmettre, que ça la concernait personnellement. Je lui dis le lendemain. Elle me demanda comment ce serait possible puisqu'elle n'était pas été autorisée à parler avec lui. Je lui dis d'avoir confiance dans le Seigneur, d'y aller et de faire tout ce que l'ange demandait. Ensemble, nous avons prié le Rosaire pour son frère qui était en prison. Nous sommes allés le voir le dimanche 13 Juillet. Elle est restée longtemps seul avec lui, grâce à quoi elle fut en mesure de lui transmettre de ne pas signer le document. Ils ont tous été aimables avec elle. Quand elle revint à Cuapa, le jour même, dimanche après-midi, elle demanda un prêt de 1000 cordobas à un homme qui ne prête rien sans garantie. Il lui donna sans aucune garantie, sans caution, et ajouta :

«Si vous en voulez plus, je vous en donnerai plus»

Ils présentèrent le document au garçon, mais il refusa de le signer.


Mme Socorro se rendit lundi au poste de police de Juigalpa pour effectuer toutes les démarches nécessaires afin, éventuellement , de le relâcher. Elle trouva les personnes du poste assez conviviales. Ils libérèrent le frère en le condamnant à une amende de 1000 cordobas. Elle leur dit qu'elle était pauvre, qu'ils pourraient abaisser un peu l'amande. Ils la réduisirent de 200 córdobas. Tout fut accompli. Ils partirent rapidement et retournèrent à Cuapa où, arrivés chez moi, ils m'exprimèrent leur reconnaissance. Je leur ai dit de ne pas me remercier, mais plutôt de remercier le Seigneur et la Sainte Vierge. Je leur suggérai de prier le Rosaire. Mme Socorro était très heureuse et me demanda si elle pouvait en parler aux gens. Je lui dis oui. Beaucoup crurent grâce à cet événement. Et pour moi comme pour d'autres, ce dénouement providentiel fut perçu comme une grâce.

Il sortit de prison le lundi 14 Juillet, et le lendemain j'allai à Zelaya leur parler du message reçu. Je parlai à trois d'entre eux. Elle me cru et me dit qu'elle continuerait à travailler comme enseignante. Mon oncle écouta et me promit qu'il essayerait d'abandonner son vice peu à peu. Ensuite je partis rapidement à cheval au ranch de mon cousin mais il ne me pas crut pas. Il ne cru rien. Il écouta par politesse. Il fut indifférent , et même dur parce que, d'un ton de voix insultant, il me dit :

«Cousin, cherches-tu une occasion pour prendre un verre ?»

Je retournai chez moi avec un sentiment de tristesse et priai le Rosaire à son intention. Quelques jours plus tard, j'entendis dire qu'on l'avait volé et agressé à son domicile. Je repartis à Zelaya pour lui donner des conseils et lui dire de vendre son ranch et retourner à Cuapa. Ainsi, il pourrrait d'éviter ces incidents. Il ne me prêta aucune attention malgré ce que je lui avait dit lors de la précédente visite, et déjà en partie accompli : Je lui avais parlé d'un vol. Ils lui volèrent deux mules . Je lui avais parlé d'une effraction . Ils lui cassèrent une porte une nuit et le volèrent de nouveau.

Je lui avais dit que son talon gauche serait blessé. Il en fut ainsi. Lors de cette deuxième visite à Zelaya, il me montra sa blessure, mais n'y cru pas. Il dit que c'était un hasard. Cela n'avait provoqué aucun changement en lui.

Triste, je repartis de nouveau à Cuapa, inconsolable! Je tins à prier le chapelet pour lui.


Deux mois et un jour plus tard, soit le 9 Septembre, 1980, sa belle-soeur qui vivait à Cuapa et ne croyait rien de ce que je disais, reçu un télégramme l'avisant que mon cousin avait été retrouvé assassiné. Le même jour à minuit, suivant la quatrième vision, son cadavre arriva à Cuapa. Tout ce que m'avait dit l'ange se révéla exact.

Je pris rendez-vous avec la dame, mais il fut annulé. Nous ne pumes pas y aller parce que la rivière était trop profonde...elle était en crue. Le courant était trop fort et la rivière débordait de son lit à cause du vent violent. Il plut abondamment toute la nuit et le jour suivant le septième jour ainsi que toute la nuit du lendemain. Il plut sans arrêt toute la journée du huitième jour du mois d'août. Il fut impossible de traverser ! J'étais accompagné par un groupe de femmes. Arrivant au bord de la rivière en dépit de notre volonté , il nous fut impossible de traverser . C'eut été impossible, même à cheval. Je dis :

«je vais traverser tout seul»


Mais, après avoir regardé, je dis :

«Je ne peux pas le faire seul ! Le courant va m'emporter il est trop fort !»

Il continua à pleuvoir. Nous étions totalement détrempés. Je dis alors aux gens :

«La Vierge Marie, la Très Sainte Mère, nous entendra où que nous soyons»

Et nous avons cessé d'essayer de traverser la rivière pour rejoindre le site de l'apparition. Nous nous assîmes sur les rochers au bord de la rivière, pendant que certains restaient debout. Nous priâmes le Rosaire, et chantâmes de nombreux cantiques. A notre retour, nous n'eûmes pas froid et ne fûmes pas tristes.

Quand il fut de nouveau possible de traverser, nous retournâmes sur le lieu des apparitions. Mais rien ne se passa et la Dame ne vint pas. Ne pas la voir, me manquait. Je m'étais fait à l'idée de la voir. Son attente et sa vue me rendaient heureux.

Un autre événement eut lieu au cours de ce mois, je m'étais rendu compte que le prêtre ne me croyait pas. Par politesse, il essayait de ne pas le montrer, mais ...non, il ny croyait pas. Il n'a jamais manifesté aucun intérêt pour le lieu des apparitions. Cependant, un jour qu'il célébrait la messe à la chapelle, il me dit qu'il voulait aller sur le lieu des apparitions Mais il me demanda de ne pas lui indiquer la route et de ne pas parler avec lui.

Il en fut ainsi. Nous arrivâmes sur les lieux. Je me rendais compte qu'il regardait tout autour de nous. Il sembla reconnaître quelque chose. Ensuite, en indiquant un endroit précis :

«j'ai rêvé de ce lieu la nuit dernière»

Après cela, il changea. Auparavant, il ne croyait rien. J'en pris note mais ne le jugeai pas , il fut sans doute l'instrument de la providence.


Vers la fin du mois d'août, je lui dis un jour :

«Père, je suis triste parce que nous n'avons pas pu traverser la rivière à cause de la force des courants. Serait-ce qu'elle attendait que nous traversions la rivière, le 8 août ? Serait-il possible qu'elle ne revienne pas ?»

Il me dit :

«Priez, et elle apparaîtra de nouveau»

Il le dit avec certitude.








LA QUATRIEME VISION




Le 8 septembre 1980 , j'allai sur le lieu des apparitions dans l'espoir d'accomplir ce que je n'avais pas réalisé au mois d'août. J'accompagnai de nouveau de nombreuses personnes, il y avait aussi des enfants. Nous priâmes le Rosaire, et dès que nous eûmes fini, je vis une lumière éclatante. On voyait seulement cette lumière. Il fait clair et aucun signe de la pluie. Je me dis intérieurement :



«La dame est sur le point d'arriver !»



L'autre signe fut la grande joie intérieure que je connais lorsque je suis sur le point de la voir. Je vis alors une seconde lumière éclatante – lors delaquelle, elle apparait toujours - et je la vis sur un nuage. Le nuage était suspendu sur l'arbre Morisco sans feuille- les gens de Cuapa se sont parlé peu à peu entre eux- le petit arbre, planté au beau milieu de la plaine dont les épines semblaient désséchées parce que l'arbre Morisco est brun et ayant été laissé sans feuille, semblait encore plus desséché. Mais non, il n'était pas sec, si l'on grattait l'écorce fine, il était vert à l'intérieur. De cette manière, apparaissait la Vierge Marie. Je l'ai vue comme une enfant. Magnifique ! Mais petite ! Elle était vêtue d'une tunique de couleur crème pâle, sans voile, ni couronne, ni manteau, ni ornement, ni broderies. La robe ainsi que les manches étaient longues, ceinturé d'un cordon rose. Ses cheveux bruns tombaient sur ses épaules . Les yeux étaient d'un brun léger, presque de la couleur du miel, tout en elle, irradiait de lumière. Elle ressemblait à la Dame, mais c'était une enfant.

Je la regardai étonné, sans dire un mot, puis j'entendis sa voix qui semblait celle d'une enfant ... une enfant de sept ... huit ... ans. D'une très belle voix, elle donna le message, totalement identique. Tout d'abord, je pensai, puisqu'il s'agissait d'un enfant, que ce serait plus facile de la voir pour ceux qui m'accompagnent. C'était ma préoccupation. Je me disais :



«Les autres devraient aussi la voir !»



Je lui dis :



«Laissez-vous voir, afin que tout le monde vous croit. Ces gens qui sont réunis ici, veulent vous rencontrer»

Les gens pouvaient m'entendre , mais ne pouvaient pas l'entendre. Je lui parlai essayant de la persuader de se montrer, mais après m'avoir écoute elle dit :

«Non, il vous suffit de leur donner le message ; pour celui qui croit, ce sera suffisant, et pour celui qui ne croit pas, même s'il me voyait, il ne croirait pas d'avantage»

Ses paroles se sont accomplies. Je peux maintenant voir l'incrédulité ou la foi d'un individu. Les personnes qui sont venues ne cherchent pas à voir un signe, le message leur suffit , ils le reçoivent. Certains ont de grands besoins ... ils ne demandent pas un miracle, ils ne demandent pas la guérison, ils préfèrent faire confiance dans le Seigneur. Il en est d'autres qui, par les signes en sont venus à croire. Je connaissais un homme, qui rempli de joie, m'a dit :

«Bernard, je crois maintenant que la Vierge est apparue. Vous en avez de la chance ! Je la vois aussi»

Et il a indiqué l'endroit. C'est dans l'ancienne chapelle, où était l'autel avant. A quelques mètres il y avait un autre homme qui, quand il me vit passer à proximité, me dit plein d'indifférence :

«C'est vrai qu'elle est là. Mais ce n'est rien de plus que les êtres d'autres planètes. Qui sont-ils ?»

Cela se produisit le 7 mai, 1981, la veille du premier anniversaire de la première apparition.


Je n'insistai plus pour qu'elle se montre mais lui parlai plutôt de l'église que les gens voulaient construire en son honneur. Le Père Domingo nous avait dit que c'était une décision qu'il ne pouvait prendre et que nous devions le dire à la Sainte Vierge. C'est pourquoi je lui posai cette question. Parce qu'un homme de Matagalpa avait déjà donné C $ 80,00 córdobas dans ce but. Elle me répondit :

«Non ! Le Seigneur ne veut pas d'églises matérielles, Il veut des temples vivants qui sont vous-mêmes. Restaurez le temple sacré du Seigneur. Le Seigneur prend plaisir d'être présent en vous»


Et elle continua en disant :

«Aimez vous les les autres. Pardonnez vous les uns les autres. Faites la paix. Ne la demandez pas seulement, faites la»

Je lui demandai ce que je devais faire des C $ 80,00 córdobas que j'avais en ma possession. Je me demandais si je devais les rendre. Elle me dit d'en faire don pour la construction de la chapelle de Cuapa. Et d'ajouter :

«A partir d'aujourd'hui, n'acceptez pas un centime pour quoi que ce soit»

Ensuite, elle me dit de ne pas dire «église» pour les choses matérielles parce que l'église et les temples sont nous-mêmes, que les chapelles sont les maisons réservées à la prière. Parfois, par habitude je faisais l'erreur de dire «église» au lieu de «chapelle»



A ce moment, l'ombre d'un doute me vint à l'esprit. Je décidai de lui confier ce doute : je ne savais pas si oui ou non, je devais poursuivre le catéchuménat. Je souhaitais qu'elle me conseille. Elle me dit :

«Continuez toujours fermement dans le catéchuménat. Petit à petit, vous comprendrez tout ce que le catéchuménat signifie. En tant que groupe communautaire, méditez les béatitudes en silence»

Plus tard, elle ajouta :

«Je ne reviendrai pas le 8 octobre, mais le 13»

Ensuite, les nuages s'élevèrent comme pour chaque apparition.








LA CINQUIÈME VISION




Le 8 octobre nous allâmes sur le lieu d'apparitions. Je savais qu'elle ne viendrait pas parce que la petite fille me l'avait dit. Les gens me suivaient parce qu'ils voulaient se réunir et réciter le rosaire sur le monticule de pierre. Ils voulaient le faire par dévotion et le 13 qui était lundi, nous eûmes une célébration à la chapelle vers 10 heure du matin. Nous partîmes ensuite une cinquantaine de personnes, vers le lieu d'apparition en petit pélerinage. Nous allâmes réciter le rosaire et chanter.



Nous avions commencé un autre rosaire. Le ciel était menaçant de pluie avec des gros nuages. Il allait pleuvoir. Nous allâmes placer les fleurs que les gens avaient apportées, sur le monticule de rochers.



Quand nous fumes rendus au troisième mystère, “la naissance de l'Enfant Jésus», je sentis l'émotion habituelle, quand elle était sur le point de m'apparaitre mais je ne voulais pas déranger le cours du rosaire.



A la fin nous chantions «Sainte Reine du Rosaire», nous répétions cette partie qui dit «Etoile brillante du jour, donne-nous la grâce de chanter l'Ave Maria» quand tout à coup se forma un cercle lumineux sur la terre. Tous, sans exception le virent comme un seul rayon qui tombait et marquait un cercle lumineux sur le sol. La lumière venait d'en haut. La lumière qui venait était comme un feu qui, en tombant sur le sol se dispersait. Voyant que cette lumiere tombait sur la tête de ceux qui étaient là, je me retournai pour voir ce qui arrivait et vis qu'il s'était également formé un cercle dans le ciel. Nous nous dîmes «son royaume est au ciel comme sur terre». Ce cercle donnait des lumières de couleurs qui n'apparaissaient pas au sol. On ne connait rien de semblable ici bas.



Une jeune fille qui tenait sa mère par la main, essaya de s'en défaire, disant que la Dame l'appelait. La maman l'a retenue encore plus fort et ne l'a pas laissée partir. Ceci c'est la mère qui me l'a raconté après que les apparitions furent passées. Il était 3 heures de l'après-midi. On pouvait sentir une petite brise qui était suave comme un vent frais qui ne nous froissait pas.

Durant ce phénomène, nous restions silencieux et continuions de regarder ce cercle sur le sol comme un soleil de midi .

Tout à coup, une lumière semblable aux autres apparitions m'apparut. Je levai le regard et vis la Madonne. Le nuage était au dessus des fleurs que nous avions disposées, et au-dessus, les pieds de la tres belle Madone. Elle étendit les mains et nous envoya à tous, des rayons de lumière. En la voyant ainsi les bras étendus, je dis aux gens :

«Regardez la, elle est ici !»

Et personne ne me contesta. Je demandai alors à la Madonne de se laisser voir... que les personnes qui étaient ici désiraient la voir. Elle répondit :

«Non, ce n'est pas tout le monde qui peut me voir»

Et je redis aux gens qu'elle était sur le tas de pierres au-dessus des fleurs. J'entendis quelques personnes pleurer. J'entendis qu'ils marmonnaient seuls. Une dame qui s'appelait Mildred me dit :

«Je ne vois qu'une ombre au-dessus des fleurs»

Je me retournai vers la dame pour demander à nouveau qu'elle se laisse voir et elle me dit :

«non»

Alors je me retournai vers les gens :

«Regardez les fleurs sur les pierres !»

Personne ne contesta. Alors je dis à la Madone :

«Dame, qu'ils te regardent pour croire parce que plusieurs ne croient pas ; Ils me disent que c'est le diable qui m'apparait, que la Vierge est morte, et ....... comme n'importe quel mortel...Mais Dame...qu'ils te voient»

Elle me dit :

«non»

Et levant les mains sur la poitrine, tout comme l'image de la Vierge des douleurs, ces images que l'on voit dans les processions, lors de la semaine sainte. Son visage devint pâle comme celui de la statue, son manteau devint gris, et puis le regard triste et elle pleura. Je pleurai moi aussi.

Je tremblais de la voir comme ça et lui dis :

«Dame, pardonnez-moi pour ce que j'ai dit, c'est moi qui suis coupable ! Vous êtes attristée à cause de moi. Pardonnez-moi! Pardonnez-moi !»

Elle me répondit :

«Je ne suis pas attristée et fâchée à cause de toi»

Je lui demandai :

«Et pourquoi pleurez-vous ? Je vous vois pleurer»

Elle me dit :

«Cela m'attriste de voir la dureté des coeurs de ces gens. Mais vous devrez prier pour eux pour qu'ils changent»

Je ne pouvais parler. Je continuai à pleurer, le cœur broyé. Je me sentais très triste comme si j'allais mourir sur place, de douleur. Mon seul soulagement était de pleurer. J'arrêtai d'insister pour qu'elle se laisse voir. Je sentis que j'étais à blâmer de lui avoir dit cela . Je ne pouvais pas supporter ses pleurs. Alors que je continuais à pleurer, elle me communiqua le message :




«Priez le Chapelet. Méditez sur les mystères. Écoutez la Parole de Dieu qui qui se communique dans ces mystères. Aimez vous les uns les autres. Pardonnez vous les uns les autres. Faites la paix. Ne demandez pas la paix sans la faire parce que si vous ne la faites pas, il ne sert à rien de la demander.

Remplissez vos obligations. Mettez en pratique la Parole de Dieu. Cherchez des moyens de plaire à Dieu. Servez votre voisin car de cette façon vous Lui plairez»

Quand elle eut fini de donner son message, je me souvins de la demande des gens de Cuapa. Je lui dis :



«Lady, j'ai beaucoup de demandes, mais j'ai oublié. Il en existe un grand nombre. Vous, Madame, les connaissez tous»



Puis elle me dit :



«Ils me demandent des choses qui sont sans importance. Demandez la Foi pour que chacun ait la force de porter sa croix.



La souffrance en ce monde ne peut pas être enlevée. Les souffrances, c'est la Croix que vous avez à porter. C'est la vie. S'il y a des problèmes avec le mari, la femme, les enfants, les frères. Parlez, discutez, afin qu'ils soient résolus en paix. N'ayez pas recours à la violence. N'ayez jamais recours à la violence. Priez pour avoir la foi qui vous donnera la patience»

De cette manière, elle me permis de comprendre que, si avec foi, nous demandons d'être libéré d'une souffrance, nous ne serons libéré que si la souffrance n'est pas la croix que nous avons à porter. Mais si la souffrance est la la croix d'une personne, ce poids se transformera en gloire. C'est pourquoi elle nous dit de demander la foi pour recevoir force et patience.


Ensuite, elle me dit :

«Vous ne me verrez plus en ce lieu»

Je pensai que je ne la reverrais jamais et je commencai à me lamenter :

«Ne nous laissez pas, ma mère !
Ne nous laissez pas, ma mère !
Ne nous laissez pas, ma mère !»

Je parlais au nom de tous, puis elle me dit :

«Ne sois pas triste. Je suis avec vous tous même si vous ne me voyez pas. Je suis la Mère de vous tous pécheurs.

Aimez vous les uns les autres. Pardonnez vous les uns les autres. Faites la paix, parce que si vous ne la faites pas, il n'y aura pas de paix. N'ayez pas recours à la violence. N'ayez pas recours à la violence.

Le Nicaragua a beaucoup souffert depuis le tremblement de terre, et il va continuer à souffrir si vous tous ne changez pas. Si vous ne changez pas, vous allez hâter l'arrivée de la Troisième Guerre Mondiale.

Priez, priez, mon fils, pour le monde entier. De grave dangers menacent le monde. La Mère n'oublie jamais Ses enfants, et Je n'oublie pas votre souffrance. Je suis la Mère de vous tous pécheurs. Invoquez-moi avec ces mots»

Sainte Vierge, Vous êtes ma Mère, la Mère de nous tous pécheurs»

La Vierge Marie est apparue à un paysan, Bernardo Martinez, devenu prêtre par la suite (1995), durant six mois, du 8 mai au 13 octobre 1980. Les apparitions, par leur fréquence notamment, témoignent d'une certaine similitude avec celles de Fatima.


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Mar 7 Sep 2010 - 0:36

Prophétie du curé d'Ars:
PROPHETIES





Jean-Baptiste-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, naquit en 1786 et mourut en 1859. Il prononça des paroles prophétiques qui ont été recueillies.

Jean-Baptiste-Marie Vianney a annoncé la reconstruction de la chapelle de Notre Dame de Fourvière sur un plan et des proportions plus dignes de ce célèbre pèlerinage, en disant que cette reconstitution aura lieu à la suite de grandes calamités qui surviendront dans le pays.



«Je suis sûr que l’Eglise d’Angleterre reprendra son ancienne splendeur».




«On voudra me canoniser, on n’en aura pas le temps (en 1914)».




«La Salette fera de plus en plus de bien. Ce sera toujours de mieux en mieux, et dans tout l’univers».



«En ce temps-là, les français seront divisés en deux partis, l’un contre l’autre».




«On ne se convertira pas, on sera châtiés (en 1870), mais on ne se convertira pas, et alors, il y aura un intervalle ; et alors, ils reviendront (1914)».




«Ils demanderont davantage ou bien quelque chose, et ils reviendront…»




«Les ennemis ne s’en iront pas tout à fait, ils reviendront encore et ils détruiront tout sur leur passage ; on ne leur résistera pas (1939)».




«Il périra beaucoup de monde, plus que la première fois (en 1870), parce qu’on ne se sera converti».




«Et il y aura beaucoup de maisons détruites».




«On détruira, on détruira. Il y aura bien des bons qui périront. Mais, ceux-là, comme ils seront heureux, oh ! Comme ils seront heureux !»




«La grosse affaire n’est pas passée. Paris sera démoli et brûlé tout de bon. Pas tout entier cependant».




«Mais il va y avoir une limite que la destruction ne franchira pas».




«La Maison (des Frères de la Doctrine Chrétienne) ne sera pas démolie, quoi qu’elle doive se trouver sur le chemin de la destruction».




«Paris sera changé, et aussi, deux ou trois autres villes».




Mais, il va y avoir de bien plus terribles choses que celles que nous avons vues».




«Les ennemis laisseront brûler Paris et ils en seront contents».








«Les communistes de Paris, après leurs défaites, se répandront dans toute la France et se multiplieront beaucoup ; ils opprimeront les gens d’ordre ; enfin la guerre civile éclatera partout».




«Les méchants se rendront maîtres dans le Nord, l’Est et le Sud-ouest ; ils feront beaucoup de meurtres».




«Ils voudront même faire périr tous les prêtres et tous les religieux».




«Ce ne sera pas long».




«On croira que tout est perdu et le Bon Dieu sauvera tout. Ce sera un signe du jugement dernier».




«Après cette affaire, ce grand coup, les choses marcheront bien».




«Dieu alors viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion refleurira plus que jamais».




«Ils arriveront près de Poitiers sans trouver de résistance ; mais là, ils seront écrasés par les défenseurs de l’Ouest qui les poursuivront».




«On les battra, on les chassera pour tout de bon».




«La première fois, ils (nos soldats) ne se seront pas bien battus ; mais cette fois, ils se battront, oh ! comme ils se battront !»




«Après cela, on leur coupera les vivres et on leur fera éprouver de grandes pertes».




«Ils se retireront dans leur pays ; on les accompagnera et il n’y en aura guère qui rentreront ; alors on leur reprendra tout ce qu’ils oint enlevé et même beaucoup plus».













Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Mer 8 Sep 2010 - 0:24

Prophétie du pere Bernard Marie Clausi:
PROPHETIES





PREMIER TEMOIGNAGE



«Le serviteur de Dieu fut orné de dons surnaturels. Et, de fait, je puis dire que le Seigneur lui avait montré plus de cent fois qu’il préparait de grandes choses pour toute l’Eglise et par tout le monde; que tous les démons sortiraient de l’enfer, mais qu’après, ils y seraient relégués et que tout leur pouvoir, dans la suite, serait limité.

Après cela, il y aurait une grande paix et le triomphe de l’Eglise. Quelles étaient ces choses ?...

Le serviteur de Dieu disait qu’il n’avait pas de paroles pour décrire, ou pour faire comprendre à l’esprit, les grandes choses que Dieu préparait.

Quand au temps où elles devaient arriver, le Seigneur ne le lui avait pas manifesté. Après m’avoir parlé ainsi, il ajouta :

«Souvenez-vous de ce que je vous ai dit en ce jour, jour de Notre-Dame de Compassion.»

J’ajoute que ce jour fut le troisième dimanche du mois de septembre, fête de Notre-Dame des Sept Douleurs»







DEUXIEME TEMOIGNAGE



«Je me souviens que, l’an 1831, époque de la Révolution, par un sentiment de crainte, j’interrogeai le serviteur de Dieu, lequel me dit d’être tranquille, que ce n’était rien, mais qu’il viendrait une époque très malheureuse.

Dans la Révolution de 1849, en parlant avec lui, je lui dis que l’époque annoncée par lui était venue; mais il me répondit, en riant :

«que ce que je voyais n’était qu’une mascarade de peu de durée, et qu’il viendrait une époque dans laquelle tout serait bouleversé, et où la main de l’homme serait impuissante ; et alors le Seigneur y mettrait ses très saintes mains, et que, comme un éclair, tout serait arrangé de telle sorte que même les méchants seraient forcés de reconnaître la main de Dieu»

Peu après, le serviteur de Dieu partit, et moi, le jour avant son départ, j’allai le trouver et je l’interrogeai au sujet de ces choses. A quoi il ne fit pas d’autre réponse que de me répéter les paroles que j’ai rapportées plus haut, ajoutant seulement qu’il y avait encore du temps d’ici là ; et aux instances que je faisais pour avoir quelques éclaircissements, il me répondit qu’on ne pouvait l’exprimer par des paroles, qu’il y aurait des choses

grandes, dignes de Dieu, et que chacun goûterait, pour parler ainsi, les délices du Paradis.

Et il ajouta que le Seigneur lui avait fait connaître tout cela, maintes et maintes fois, et il me dit même que c’était autant de fois qu’il avait de cheveux sur la tête. Tout d’abord il croyait, comme il le dit, que c’était une illusion diabolique; mais ensuite il avait pu se persuader du contraire, parce qu’il avait eu ces révélations même pendant le sacrifice de la messe.»






TROISIEME TEMOIGNAGE 3.





«Quant aux prophéties, je me souviens que le serviteur de Dieu vint dans cette communauté, et je lui demandai, tout d’abord, si le choléra qui parcourait l’Europe viendrait aussi à Rome ; le père Bernard répondit qu’il y viendrait, mais que ce serait en effet de la miséricorde de Dieu.

Je ferai remarquer que le serviteur de Dieu fit cette prédiction plusieurs années avant que la peste vînt à Rome. Quand ensuite le fléau éclata dans cette ville, le père Bernard nous donna l’assurance que non seulement il n’entrerait pas dans la communauté, mais encore que les parents des religieuses ne périraient pas. De fait, aucun des parents des religieuses ne mourut à cette époque, et aucun membre de la communauté ne fut atteint par le fléau.


Il répétait ensuite, mais d’une manière à jeter la terreur et l’épouvante, que
...«il viendrait un grand fléau, mais qu’il tomberait tout sur les impies. Il ajouta que ce fléau serait tout nouveau, que l’on ne l’aurait jamais vu dans le monde ; qu’il serait terrible ; que le ciel et la terre s’uniraient ; mais qu’il arriverait instantanément et passerait en un moment ; que de grands pécheurs se convertiraient, parce qu’alors ils connaîtraient Dieu ; que le fléau serait universel par tout le monde. Mais, avant qu’il arrive, les maux auront tellement augmenté, qu’il paraîtra que tous les démons seront sortis de l’enfer, et les bons vivront dans un véritable martyre par les persécutions des méchants»



«Les choses arriveront à leur paroxysme, mais lorsque la main de l'homme ne pourra plus rien et que tout semblera perdu, Dieu Lui-même interviendra et réorganisera le monde en un clin d'oeil.




Une époque très douloureuse doit venir. Les choses arriveront au comble ; et quand tout semblera perdu, et que la main de l'homme n'y pourra plus rien, c’est alors que Dieu y mettra la sienne, et arrangera toutes choses en un clin d’œil, comme du matin au soir. Chacun en éprouvera une telle joie dans son cœur qu’il lui semblera goûter les délices du paradis ; et les impies eux-mêmes ne pourront s’empêcher de confesser que tout cela s'est fait par la main de Dieu.




Il viendra un grand fléau ; il sera terrible et dirigé uniquement contre les impies. Ce sera un fléau tout nouveau, et tel qu’il n’y en a point eu jusqu’ici dans le monde. Le Ciel et la terre s’uniront et de grands pécheurs se convertiront, parce qu’alors ils connaîtront Dieu. Ce fléau se fera sentir dans le monde entier et il sera si terrible que ceux qui y survivront s'imagineront être les seuls qu’il ait épargnés. Tous seront bons et repentants. Ce fléau sera instantané, mais terrible.




Ces châtiments seraient suivis d’une réorganisation générale et d’un grand triomphe pour l’Eglise.




Bien heureux ceux qui vivront en ces jours fortunés, parce que ce sera vraiment le règne de la fraternelle charité.




Chez ceux qui verront cela, la joie sera si grande, qu’ils en oublieront toutes les peines du passé.




Mais, avant que ces choses n’arrivent, le mal aura fait de tels progrès dans le monde qu’il semblera que les démons soient sortis de l’enfer, tant sera grande la persécution des méchants contre les justes, qui auront à souffrir un véritable martyre»




Souvent et presque en toutes occasions où il parlait de cela, il me disait


«Prenez bien garde de croire ceux qui vous diront de quelle sorte sera le fléau, parce que ce sera une chose tout à fait nouvelle, et qui ne s’est jamais vue dans le monde, et Dieu ne l’a pas révélé à personne ; il le tient réservé en lui.»



Il ajoutait que ceux qui resteraient libres (des atteintes du fléau) seraient en petit nombre, et qu’ils seraient tous bons et vraiment convertis.

Pour ceux qui seront demeurés, il leur paraîtra qu’ils seront les seuls dans le monde, à cause de la grandeur terrible du fléau (la terribilità).




Il me disait clairement qu’il ne se trouverait pas en ce temps, mais que je m’y trouverais, et qu’après cela j’aurais tant de joie que j’en oublierais la souffrance.

Ensuite viendrait le grand triomphe de l’Eglise ;


et il disait
«Heureux ceux qui vivront en ces temps de bonheur, où l’on vivra dans une vraie charité fraternelle !.»

1. Canonisé.

2. Béatifiée.

3. Témoignage de la Mère Marguerite Laudi, religieuse du monastère de Saint-Philippe de Néri à Rome.



Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS - Page 11 Empty Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS

Message par Francesco Jeu 9 Sep 2010 - 1:34

Prophétie de ste Hildegarde:
TRIBULATIONS




Un peu plus haut, sainte Hildegarde caractérise parfaitement encore notre temps, en ces termes :


«Lorsque la crainte de Dieu sera tout à fait mise de côté, des guerres atroces et cruelles surgiront à l'envi, une foule de personnes y seront immolées, et bien des cités se changeront en un monceau de ruines. Autant l'homme efface par sa force a faiblesse de la femme et autant le lion l'emporte sur les autres animaux, autant quelques hommes, d'une férocité non pareille, suscités par la justice divine, se joueront du repos de leurs semblables. Ainsi en a-t-il été depuis le commencement du monde ; le Seigneur remettra à nos ennemis la verge de fer destinée à le venger cruellement de nos iniquités. Mais quand la société aura été enfin complètement purifiée par ces tribulations, les hommes, fatigués de tant d'horreurs, reviendront pleinement à la pratique de la justice et se rangeront fidèlement sous les lois de l'Église, qui nous rendent si agréables à Dieu, avec la crainte du Seigneur.


La consolation remplacera alors la désolation ; de même que la loi nouvelle a succédé à l'ancienne loi, ainsi les jours de la guérison feront oublier par leur prospérité les angoisses de la ruine : autrement, si l'inconstance et les scandales du monde devaient impunément se prolonger, la vérité serait tellement obscurcie, que les tours de la céleste Jérusalem en seraient ébranlées, et que les institutions de l'Église seraient foulées aux pieds, comme si Dieu n'existait plus pour les hommes.»








CONVERSIONS ET RETABLISSEMENT DE L'EGLISE





À ce moment de rénovation la justice et la paix seront rétablies par des décrets si nouveaux et si peu attendus, que les peuples ravis d'admiration, confesseront hautement que rien de semblable ne s'était vu jusque-là. Cette paix du monde avant les derniers temps, figurée par celle qui précéda le premier avènement du Fils du Dieu, sera néanmoins contenue : l'approche du dernier jour empêchera les hommes de se livrer pleinement à la joie, mais ils s'empresseront de demander au Dieu tout-puissant qu'il les comble de toute justice dans la foi catholique. Les juifs se joindront alors aux chrétiens et reconnaîtront avec allégresse l'arrivée de Celui qu'ils niaient jusque-là être venu en ce monde. Cette paix arrivera au comble et portera à la perfection la paix figurative qui régna au premier avénement du Fils de Dieu : alors surgiront, en effet, des saints admirablement revêtus du don de prophétie, et l'on verra une surabondante floraison de tout germe de justice dans les fils et les filles des hommes, comme il a été annoncé au nom du Très-Haut par le Prophète, son serviteur, disant :


«En ces jours-là, le germe du Seigneur s'épanouira dans toute sa magnificence et sa gloire; la terre verra se produire une sublime perfection, et l'allégresse régnera parmi les enfants d'Israël en possession de leur Sauveur.» (Is. iv, 2).


«Dans ces jours de bénédiction du sein d'une atmosphère très-suave, s'épancheront sur la terre les plus douces nuées ; elles la couvriront de verdure et de fruits, parce que les nommes s'adonneront alors à. toutes les oeuvres de justice, tandis que dans les jours précédents, si désolés par les moeurs efféminées du monde, les éléments, violentés par les péchés des hommes, auront été réduits à l'impuissance de rien produire de bon. Les princes rivaliseront de zèle avec leurs peuples pour faire régner partout la loi de Dieu. Ils interdiront l'usage des armes de guerre, le fer ne sera plus employé à, d'autres usages qu'à cultiver la terre et à pourvoir aux, nécessités de la vie. Ceux qui s'en serviront autrement, seront punis par le fer et mis au ban des «nations.


Comme les nuées féconderont alors la terre par leur douce rosée, ainsi l'Esprit-Saint répandra avec abondance sur les peuples, par la rosée de sa grâce, la science, la sagesse et la sainteté : tous seront ainsi transformés en des hommes nouveaux. On verra alors comme un été spirituel répondre à l'influence de la vertu d'En-Haut : toutes choses seront rétablies dans la vérité ; les prêtres et les religieux, les vierges et les âmes uniquement vouées à Dieu, les différents ordres de la société persévéreront dans la voie droite de la justice et du bien, sans plus se soucier de l'abondance et de la surperfluité des richesses, parce que, par la grâce de Dieu, la vie spirituelle montera à la hauteur de l'abondance dès biens de la terre. La vérité apparaîtra sans ombres, la sagesse manifestera ses trésors d'allégresse et de vertus héroïques ; tous les fidëles s'y considéreront comme dans un miroir de salut. En même temps les saints anges que L'infection des iniquités du monde n'éloigne que trop souvent delà société des hommes, viendront se joindre familièrement à eux, charmés qu'ils seront de ce renouvellement et de la sainteté de leur vie. Cette joie des justes arrivés comme en vue de la terre promise et soutenus de l'espérance des récompenses éternelles, ne sera point cependant parfaite, parce qu'ils verront clairement que le jour du jugement sera proche.


Les juifs et les hérétiques ne mettront pas de bornes à leurs transports :


«Enfin, s'écrieront-ils, l'heure de notre propre justification est venue, les liens de l'erreur sont tombés sous nos pieds, nous avons rejeté loin de nous le fardeau si lourd et si attardant de la prévarication.»


La foule des fidèles sera notablement accrue par des flots de païens, entraînés par tant de splendeur et d'abondance. Après leur baptême, ceux-ci se joindront aux croyants pour annoncer le Christ comme au temps des Apôtres. S'adressant aux juifs et aux hérétiques encore endurcis : Ce que vous appelez votre gloire, leur diront-ils, va devenir votre mort éternelle, et celui que vous honorez comme votre chef, va périr sous vos yeux, au sein de l'horreur la plus épouvantable et la plus périlleuse pour vous. En ce jour, vous vous rendrez à notre appel, sous les rayons de Marie, l'étoile de la mer.


Cependant, en ces jours même, ajoute sainte Hildegarde, la justice et la piété auront parfois encore leurs moments de fatigue et de langueur, mais pour reprendre bientôt leur force première ; l'iniquité lèvera parfois la tête, mais sera de nouveau terrassée ; la guerre, la famine, la peste, le fléau de la mort exerceront encore leurs ravages, mais s'évanouiront ensuite, sans peser longtemps sur le monde, apparaissant ça et là aujourd'hui, disparaissant demain.


La fidélité à la loi de Dieu, on vient de l'entendre, nous conduira seule à ces jours d'incomparable félicité que l'univers entier appelle de tous ses désirs, mais que trop de passions effrénées ne cessent de refouler loin de nous. Portons la guerre sur le terrain des passions, et toute paix est à nous.








PERSECUTIONS DE L'ANTECHRIST



Terminons ces citations par l'extrait suivant du Semas, au sujet des différents âges du monde et de la persécution de l'Antéchrist :


«Dieu a mis six jours, dit la Sainte, à faire ses oeuvres, et il s'est reposé le septième jour. Ces six jours représentent les six premiers âges du monde. Dieu a montré au monde de nouveaux prodiges dans le sixième âge, de même qu'il a couronné ses oeuvres dans le sixième jour de la création.


Maintenant, le monde se trouve au septième âge, qui sera suivi des derniers jours. Les prophètes ont parlé, me dit le Seigneur, et leurs oracles ont eu leur accomplissement. Mon Mis a exécuté mes volontés dans le monde, et l'Évangile a été prêché à. tous les hommes. À présent, la foi des peuples s'affaiblit, les hommes pratiquent mal l'Évangile. On s'ennuie de la lecture des grands ouvrages, fruits de longs travaux des plus saints docteurs, et on a du dégoût pour la nourriture vivifiante des Saintes Écritures.


«Elevez-vous avec énergie, ô mes élus ; faites en sorte de ne pas vous laisser tomber dans les pièges de la mort. Levez haut l'étendard victorieux de mes enseignements. Suivez, les traces de celui qui vous a montré les voies de la vérité ; qui, après s'être fait homme, s'est manifesté au monde dans une grande humilité.


La tête ne doit pas être sans corps et sans membres. La tête de l'Église, c'est le Fils de Dieu. Le corps et les membres, c'est l'Église et ses enfants.


L'Église n'est pas encore, quant à ses enfants, arrivée au dernier degré de sa plénitude. Elle y parviendra quand le nombre des élus sera complet, ce qui aura lieu aux derniers jours.


Ce n'est qu'après les cinq premiers âges du monde que j'ai fait voir aux hommes des prodiges célestes ; de même que, dans les cinq premiers jours de la création, j'ai fait toutes les créatures soumises à l'homme, avant l'homme que j'ai créé le sixième jour.


Mon Fils est venu au monde, quand le jour de la durée des temps se trouvait au moment correspondant au temps qui s'écoule depuis l'heure de none jusqu'à celle de vêpres (depuis trois heures du soir jusqu'à six heures), c'est-à-dire lorsqu'à la chaleur du jour, commence à succéder la fraîcheur de la nuit. En un mot, mon Fils a paru dans le monde après les cinq premiers âges, et lorsque le monde était déjà presque vers son déclin.


Le fils de perdition (l'Antéchrist), qui régnera très-peu de temps, viendra à la fin du jour de la « durée du monde, au temps correspondant à ce moment où le soleil a déjà disparu de l'horizon, c'est-à-dire qu'il viendra dans les derniers jours.


Cette révélation, ô mes fidèles serviteurs, mérite votre attention. Vos intérêts vous font un devoir de chercher à la bien comprendre, afin que le grand séducteur ne vous entraîne pas dans la perdition, pour ainsi dire, sans que vous le sachiez. Armez-vous à l'avance, et préparez-vous au plus redoutable de tous les combats.


Après avoir passé une jeunesse licencieuse au milieu d'hommes très pervers, et dans un désert où elle aura été'conduite par un démon déguisé en ange de lumière, la mère du fils de perdition le concevra et l'enfantera sans en connaître le père. D'un autre côté, elle fera croire aux hommes que son enfantement a quelque chose de miraculeux, vu qu'elle n'a point d'époux, et qu'elle ignore, dira-t-elle, comment l'enfant qu'elle a mis au monde a été formé dans son sein, et le peuple la regardera comme une sainte et la qualifiera de ce titre.


Le fils de perdition est cette bête très-méchante (comme saint Jean l'appelle dans l'Apocalyse) qui fera mourir ceux qui refuseront de croire en lui ; qui s'associera les rois, les princes, les grands et les riches; qui méprisera l'humilité et n'estimera que l'orgueil; qui enfin subjuguera l'univers entier par des moyens diaboliques.


Il paraîtra agiter l'air, faire descendre le feu du ciel, produire les éclairs, le tonnerre et la grêle, renverser les montagnes, dessécher les fleuves, dépouil1er la verdure des arbres, des forêts, et la leur rendre ensuite.


Il paraîtra aussi rendre les hommes malades, guérir les infirmes, chasser les démons, et quelque-fois ressusciter les morts, faisant qu'un cadavre remue comme s'il était en vie. Cependant cette espèce de résurrection, ne durera jamais au delà d'une petite heure, pour que la gloire de Dieu n'en souffre pas.


Il gagnera beaucoup de peuples en leur disant :


«Vous pouvez faire tout ce qu'il vous plaira ; renoncez aux jeûnes; il suffit que vous m'aimiez, moi qui suis votre Dieus.


Il leur montrera des trésors et des richesses, et il leur permettra de se livrer à toute sorte de festins, comme ils le voudront. Il les obligera de pratiquer la circoncision et plusieurs observations judaïques, et leur dira : Celui qui croit en moi; recevra le pardon de ses péchés et vivra avec moi éternellement.


Il rejettera le baptême et l'Évangile, et il tournera en dérision tous les préceptes que l'Église a donnés aux hommes de ma part.


Ensuite il dira à ses partisans : Frappez-moi avec un glaive, et placez mon corps dans un linceul sans tache, jusqu'au jour de ma résurrection.On croira lui avoir réellement donné la mort, et de son côté il fera semblant de ressusciter. Après quoi, se composant un certain chiffre, qu'il dira être un gage de salut, il le donnera à tous ses serviteurs comme signe de leur foi en lui, et il leur commandera de l'adorer. Quant à ceux qui, par amour pour mon nom, refuseront de rendre cette adoration sacrilège au fils de perdition, il les fera mourir au milieu des plus cruels tourments.


Mais j'enverrai mes deux témoins, Enoch et Elie, que j'ai réservés pour ce temps-là. Leur mission sera de combattre cet homme du mal et de ramener dans la voie de la vérité ceux qu'il aura séduits. Ils auront la vertu d'opérer les miracles les plus éclatants, dans tous les lieux où le fils de perdition aura répandu ses mauvaises doctrines. Cependant je permettrai que ce méchant les fasse mourir ; mais je leur donnerai dans le ciel la récompense de leurs travaux.


Quand le fils de perdition aura accompli tous ses desseins, il rassemblera ses croyants et leur dira qu'il veut monter au ciel. Au moment même decette ascension, un coup de foudre le terrassera et le fera mourir. D'un autre côté, la montagne où il se sera établi pour opérer son ascension, sera à l'instant couverte d'une nuée qui répandra une odeur de corruption insupportable et vraiment infernale ; ce qui, à la vue de son cadavre, couvert de pourriture, ouvrira les yeux à un grand nombre de personnes et leur fera avouer leur misérable erreur.


Après la triste défaite du fils de perdition, l'Épouse de mon Fils, qui est l'Église, brillera d'une gloire sans égale, et les victimes de l'erreur s'empresseront de rentrer dans le bercail.


Quant à savoir en quel jour, après la chute de l'Antéchrist, le monde devra finir, l'homme ne doit pas chercher à le connaître, il ne pourrait y parvenir. Le Père s'en est réservé le secret.


0 hommes, préparez-vous au jugement !»








L'ANTECHRIST (détail)




14. Mon Fils est venu au monde après les cinq premiers âges, et lorsque le monde était déjà presque vers son déclin.

15. Le fils de perdition, qui règnera très peu de temps, viendra dans les derniers jours.

16. Après avoir passé une jeunesse licencieuse au milieu d'hommes très pervers et dans un désert où elle aura été conduite un démon déguisé en ange de lumière, la mère du fils de perdition le concevra et l'enfantera.

17. Le fils de perdition est cette bête très méchante qui fera mourir ceux qui refuseront de croire en lui, qui s'associera les rois, les princes, les grands et les riches, qui méprisera l'humanité et n'estimera que l'orgueil, qui enfin subjuguera l'univers entier par des moyens diaboliques.

18. Il paraîtra agiter l'air, faire descendre le feu du ciel, produire des éclairs, le tonnerre et la grêle, renverser les montagnes, dessécher les fleuves, dépouiller la verdure des arbres des forêts et la leur rendre ensuite.

19. Il paraîtra aussi rendre les hommes malades, guérir les infirmes, chasser les démons et quelquefois ressusciter les morts faisant qu'un cadavre remue comm s'il était en vie.

Cependant cette espèce de résurrection ne durera jamais au delà d'une petite heure pour que la gloire de Dieu n'en souffre pas.

20. Il gagnera beaucoup de peuples, en leur disant : «Vous pouvez faire tout ce qui vous plaira ; renoncez aux jeûnes, ils suffit que vous m'aimiez, moi qui suis votre Dieu»

21. Il leur montera des trésors et des richesses, et il leur permettra de se livrer à toutes sortes de festins, comme ils le voudront. il les obligera à pratiquer la circoncision et plusieurs observances judaïques, et leur dira :
«celui qui croira en moi recevra le pardon de ses péchés et vivra avec moi éternellement»
22. Il rejettera le baptème et l'évangile et il tournera en dérision tous les préceptes que l'Eglise a donnés aux hommes de ma part.
23. Ensuite il dira à ses partisans :
«Frappez-moi avec un glaive et placez mon corps dans un linceul sans tache jusqu'au jour de ma résurrection»

On croira réellement lui avoir donné la mort, et de son côté il fera semblant de ressusciter. Après quoi il commandera à ses serviteurs de l'adorer.
24. Quand à ceux qui, par amour pour mon nom, refuseront de rendre cette adoration sacrilège au fils de perdition, il les fera mourir au milieu des plus grands tourments.
25. Mais j'enverrai mes deux témoins, Hénoch et Elie, que j'ai réservés pour ce temps-là.

Leur mission sera de combattre cet homme du mal et de ramener dans la voie de la vérité ceux qu'il aura séduits. Il auront la vertu d'opérer les miracles les plus éclatants dans tous les lieux où le fils de perdition aura répandu ses mauvaises doctrines.
26. Cependant je permettrai que ce méchant les fasse mourir, mais je leur donnerai dans le ciel la récompense de leurs travaux.
27. Quand le fils de perdition aura accompli tous ses desseins, il rassemblera ses croyants et leur dira qu'il veut monter au ciel. Au moment même de cette ascension, un coup de foudre le terrassera et le fera mourir.
28. D'un autre côté, la montagne où il sera établi pour opérer son ascension sera à l'instant couverte d'une nuée qui répandra une corruption insupportable et vraiment infernale.

Ce qui, à la vue de son cadavre couvert de pourriture, ouvrira les yeux à un grand nombre de personnes et leur fera avouer leur misérable erreur.
29. Après la triste défaite du fils de perdition, l'épouse de mon Fils, qui est l'Eglise, brillera d'une gloire sans égale et les victimes de l'erreur s'empresseront de rentrer dans le bercail.
30. Quant à savoir quel jour après la chute de l'Antéchrist le monde devra finir, l'homme ne doit pas chercher à le connaître, il ne pourrait y parvenir. Le Père s'en est réservé le secret. O hommes, préparez-vous au jugement ! a donnés aux hommes de ma part.

«Quand la société aura été enfin complètement purifiée par tribulations, les hommes… se rangeront sous les lois de l’Eglise.

A ce moment de rénovation, la Justice et la Paix seront rétablies par des décrets si nouveaux et si peu attendus que les peuples ravis d’admiration, confesseront hautement que rien de semblable ne s’était vu jusque là»


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Message par Francesco Ven 17 Sep 2010 - 2:19

Prophétie de st Francois d'Assise:
PROPHETIES




saint François d’Assise, fit en 1226 une prophétie très importante, jamais traduite en français. On y retrouve le mot exterminateur déjà utilisé. par le

VENERABLE BARTHELEMY HOLZHAUSER pour définir Luther qui «se glorifiait lui-même de ce nom» [1].





[1] «Comme Lucifer, le roi des ténèbres trouva dans Luther un instrument utile pour l'exécution de ses plans, il le choisit pour chef dans la guerre d'extermination qu'il allait déclarer à l'Eglise latine. Lucifer donna à ce moine, pour le diriger, un docteur d'une malice et d'une astuce consommée, que saint Jean appelle avec raison l'ange de l'abîme et le docteur de tous les hérésiarques, comme on l'a vu plus haut, et dont le nom en latin signifie Exterminateur. Or, on sait que Luther se glorifiait souvent lui-même de ce nom qui lui convient en effet»








UN GRAND SCHISME DANS L'EGLISE ET UNE FUTURE TRIBULATION






«Magnum in Ecclesia schisma et tribulationem futuram.



Paulo ante mortem convocatis fratribus, de tribulationibus futuris eos admonuit, dicens : «Viriliter agite, fratres, confortemini, et sustinete Dominum. Magna tribulationis et afflictionis adesse festinant tempora, in quibus temporaliter et spiritualiter perplexitates et discrimina inundabunt, caritas multorum refrigescet, et superabundabit malorum iniquitas. Dæmonum potestas plus solito solvetur, nostræ Religionis et aliarum puritas immaculata deformabitur, in tantum quod vero Summo Pontifici et Ecclesiæ Romanæ paucissimi ex Christianis vero corde et caritate perfecta obedient : Aliquis non cononice electus, in articulo tribulationis illius ad Papatum assumptus, multis mortem sui erroris sagacitate propinare molietur. Tunc multipli-cabuntur scandala, nostra dividetur Religio, plures ex aliis omnino frangetur, eo quod non contradicent, sed consentient errori. Erunt opiniones et schismata tot et tanta in populo, et in religiosis, et in clerico, quod nisi abbreviarentur dies illi juxta verbum Evangelicum ( si fieri posset ) in errorem inducerentur etiam electi, nisi in tanto turbine ex immensa misericordia Dei regerentur. Regula et vita nostra tunc a quibusdam acerrime impugnabitur. Supervenient tentationes immensæ. Qui tunc fuerint probati, accipient coronam vitæ. Væ autem illis, qui de sola spe religionis confisi tepescent, non resistent constanter tentationibus, ad probationem electorum permissis. Qui vero spiritu ferventes ex caritate et zelo veritatis adhæredunt pietati, tanquam inobedientes et schismatici persecutiones et injurias sustinebunt. Nam persequentes eos a malignis spiritibus agitati, magnum esse obsequium Dei dicent, tam pestilentes homines interficere et delere de terra. Erit autem tunc refugium afflictis Dominus, et salvabit eos, quia speraverunt in eo. Et ut suo capiti conformentur, fiducialiter agent, et per mortem, vitam mercantes æternam, obedire Deo magis quam hominibus eligent ; et mortem, nolentes consentire falsitati et perfidiæ, nullatenus formidabunt. Veritas tunc a quibusdam prædicatoribus operietur silentio, ab aliis conculcata negabitur. Vitæ sanctitas a suis professoribus habebitur in derisum, quare dignum non pastorem, sed exterminatorem mittet illis Dominus Jesus Christus»












UN GRAND SCHISME DANS L'EGLISE ET UNE FUTURE TRIBULATION






«Ayant convoqué ses frères peu de temps avant de mourir (1226) il les a avertis des tribulations futures , disant: “Mes frères agissez avec force, ayez de la fermeté et soyez dans l’attente du Seigneur. Une grande époque de tribulations et d’affliction dans laquelle de grands périls et des embarras (1) temporels et spirituels pleuvront, la charité d’un grand nombre se refroidira et l’iniquité des méchants surabondera. Le pouvoir des démons sera plus grand que d’ordinaire, la pureté immaculée de notre congrégation religieuse et des autres sera flétrie, au point que très peu parmi les chrétiens voudront obéir au vrai Souverain Pontife (2) et à l’Eglise Romaine avec un cœur sincère et une charité parfaite.
Au moment décisif de cette crise, un personnage non canoniquement élu, élevé à la Papauté, s’efforcera avec adresse de communiquer à beaucoup le poison mortel de son erreur. Alors les scandales se multiplieront, notre congrégation religieuse sera divisée, plusieurs parmi les autres seront complètement détruites, parce que leurs membres ne s’opposeront pas mais consentiront à l’erreur. Il y aura tant et de telles opinions et divisions dans le peuple, et chez les religieux et chez les clercs que si ces jours mauvais n’étaient abrégés, comme l’annonce l’Evangile, même les élus tomberaient dans l’erreur (si cela se pouvait), si dans un tel ouragan ils n’étaient pas protégés par l’immense miséricorde de Dieu. Alors notre Règle et notre manière de vivre seront attaquées très violemment par certains.
D’effroyables tentations surviendront. Ceux qui auront été très éprouvés en bien recevront la couronne de vie. Malheur éternel à ceux qui s’attiédiront en mettant leur seule espérance dans leur vie de religion, qui ne résisteront pas fermement aux tentations permises pour l’épreuve des élus.
Ceux qui dans la ferveur de l’esprit s’attacheront à la piété avec charité et le zèle de la vérité, recevront des persécutions et des injures comme désobéissants et schismatiques. Car leurs persécuteurs, aiguillonnés par les esprits mauvais diront que c’est faire un grand hommage à Dieu de tuer et de faire disparaître de la terre des hommes si mauvais.
Alors le Seigneur sera le refuge des affligés et il les sauvera parce qu’ils auront espéré en lui. Et alors pour se conformer à leur Chef, ils agiront selon la Foi et ils choisiront d’obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes, gagnant par la mort la vie éternelle. Ne voulant pas consentir à l’erreur et à la perfidie, ils ne craindront absolument pas la mort.
Alors la vérité sera tenue dans le silence par certains prédicateurs alors que d’autres la foulant aux pieds la nieront. La sainteté de vie sera tenue en dérision par ceux qui la professent extérieurement, c’est pourquoi Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un digne pasteur, mais un exterminateur (3)».






(1) Embarras : état de perplexité où l’on se trouve lorsqu’on ne sait quel parti prendre, ni par quelle voie se tirer d’une position difficile. Gêne, malaise où l’on se trouve, quand on ne sait que dire ni que faire.

(2) Donc : beaucoup parmi les chrétiens voudront obéir à un faux souverain pontife

(3) Exterminer : anéantir.



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Message par Francesco Ven 17 Sep 2010 - 2:28

Prophéties liées aux apparitions de la Vierge Marie a Amsterdam(apparition reconnue):
PROPHETIES D'AMSTERDAM "NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES"
ESSAGES DE


NOTRE DAME DE

TOUS LES PEUPLES


(1945/1959)



SITE OFFICEL





Un lieu d'apparition et 56 messages (1945-1959) extraordinaires de la VIERGE MARIE, appelée NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES, confiés à Ida Peerdeman 1905/1996. Il est regrettable qu'une fausse mystique quebecoise se soit approprié ces message et ait donné à sa communauté (aujourd'hui excommuniés) le même nom, semant la confusion et jetant le discrédit sur des apparitions, reconnues officiellement depuis 2002.

IDA PEEDERMAN (1905-1996)






LA TOTALITE ICI DES MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES







MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 1
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 2
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 3
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 4
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 5




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Libellés : AMSTERDAM, NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES, PROPHETIES
PROPHETIES D'AMSTERDAM "NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES"


MESSAGES DE


NOTRE DAME DE TOUS LES


PEUPLES


(2)



MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 1
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 2
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 3
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 4
MESSAGES DE NOTRE DAME DE TOUS LES PEUPLES – 5









16ème MESSAGE (7 MAI 1949)
Il me faut lever deux doigts ; je vois alors un évêque revêtu de ses ornements sacerdotaux. Je vois ensuite un brancard de pierre sur lequel gît un haut prélat, lui aussi en pierre. Au bout du brancard, il y a une épée et une couronne et, entre la tête de l’évêque et ces deux objets, un chapeau de cardinal. L’épée est un peu en biais par rapport au chapeau ; étant donné que le brancard est incliné, elle pointe vers le bas.
L’OBSCURITE DES TEMPS
Je me trouve alors placée devant une grande porte ; elle s’ouvre et il me faut entrer. Quelqu’un se tient à l’entrée, debout dans un long vêtement. L’idée de faire un pas en avant pour franchir le seuil me soulève le cœur. Je m’aperçois subitement que c’est la Dame. Elle dit : «Fais-le, ce pas.» Nous arrivons alors dans un grand espace circulaire. C’est un espace qui ouvre sur un abîme et une obscurité sans fin. La Dame dit : «C’est une tache obscure. Il faut t’y enfoncer. C’est l’abîme et l’obscurité des temps.»





LES PLUS PETITS D'ENTRE LES MIENS
Soudain, je vois la Dame assise ; elle porte des vêtements de deuil et un crêpe blanc sur la tête. Son visage est marqué par la vieillesse ; elle est toute courbée. Elle dit : «Nous sommes ici dans l’obscurité : c’est la corruption dans l’humanité.»
Puis je vois une croix. Le Christ en croix glisse par terre de sorte qu’il n’y a plus rien sur la croix. La Dame dit avec beaucoup de tristesse :

«Le martyre recommence»

Je vois de profondes rides et de grosses larmes sur le visage de la Dame. Puis je la suis toujours plus loin dans l’obscurité. Nous continuons à avancer et je ne vois rien que du noir. Je lui demande : «Eh ! Qu’est-ce que c’est ?»
Nous arrivons dans une grotte. La Dame m’en fait pour ainsi dire toucher la paroi. C’est de la roche. Tout à coup, il y a là un peu de paille sur laquelle on pose un enfant. Plein de gens se regroupent dans ce lieu, des gens très simples.
La Dame dit : «Des gens simples. Les plus petits d’entre les miens. On n’a plus de place pour eux, des foules entières.» La Dame ne cesse de répéter : «Les plus petits d’entre les miens.» Voilà que sous mes yeux, la grotte se transforme en église. Juste après, je vois une rangée d’églises qui s’étend à perte de vue et, de nouveau, cette même église.
Comme dans la grotte, il y a de la paille sur laquelle on pose un enfant. Cette fois aussi, ce n’est pas un enfant comme les autres, mais un enfant qui a un rayonnement céleste, un enfant tout spiritualisé.





La Dame me fait alors passer par toutes ces églises. Elle me montre, d’un geste, tous les bancs vides, et dit : «Vois-tu l’erreur ? Du vide.»
Apparaissent alors sur les bancs plein de petites plaques blanches semblables à celles sur lesquelles on inscrit le nom des gens. La Dame répète : «Vois-tu l’erreur ?» Elle promène ensuite la main sur toutes ces rangées de bancs ; je vois alors qu’il n’y a plus rien sur les bancs, que toutes les plaques nominatives ont été enlevées. «Les plus petits d’entre les miens », reprend la voix. J’ai alors l’impression que la Dame souhaite que des gens viennent remplir les bancs. Puis je vois un évêque. La Dame dit : « Dis-le ! Dis-le !» Et d’un geste, elle montre les églises.
Elle dit ensuite : «Le monde doit se détacher de tout, et surtout l’Église.»
COMBAT
Je vois ensuite la basilique Saint-Pierre. Je vois le pape assis, la tête penchée, entouré de sa garde. Tout ceci est placé également dans la grotte. La Dame écrit alors un grand P traversé par un X.

Elle dépose cela aux pieds du pape, et devant les lettres, elle place la croix dont la poutre la plus longue est à l’envers, le bas est en haut. La Dame dit : «Où sont vos soldats ?»
Le pape est assis, les doigts levés ; au-dessus de sa tête est écrit : «Combat». Je vois de plus en plus de combats. Tout d’un coup, derrière le pape, je vois des soldats portant de grands bonnets. Ils lèvent deux doigts.
DUEL ET CORRUPTION
La Dame dit : «Un grand duel va alors survenir dans le monde.» Et je vois deux puissances qui s’opposent. Soudain, je vois un champ de blé dont les épis ondulent, vont et viennent lentement. J’entends alors la Dame dire à deux reprises : «Corruption.»





Elle ajoute : «Tout ce que fera la Russie, ce ne sera qu’apparence. On va assister à une entière révolution»
Je vois alors la terre ; on dirait qu’elle fait une demi-révolution autour de son axe. La Dame ajoute : «La nature change elle aussi.»
J’entends : «Le Christ n’est plus.» Je cherche partout autour de moi et j’entends : «Réalisme, un esprit de réalisme.» Et je vois pour ainsi dire cet esprit.
L’ESPRIT QU'ILS N'ONT PAS COMPRIS
Il m’est alors donné de voir une très belle image. Nous retournons dans la grotte et je vois qu’on y dépose pour ainsi dire tous les fruits et toutes les richesses de la terre. La Dame n’a plus le même visage : elle paraît toute réjouie ; elle me dit :
«On va partager.» Mais elle prend soudain un air grave et dit : «Tel a été l’esprit qu’ils n’ont pas compris.» Entre-temps, tout se passe comme si elle faisait la distribution. À présent, la Dame me montre la croix nue ; elle la dépose à plat sur le sol de la grotte.
FORCES NATURELLES
Je me trouve subitement au-dessus de la terre. Le globe terrestre est en dessous de nous. Je vois alors quelque chose de très curieux, qu’on n’a encore jamais vu. Il y a, au milieu, une surface toute bleue d’une profondeur sans fin. Tout autour se forment des anneaux, des cercles aux couleurs splendides qui se fondent les uns dans les autres. Des couleurs qu’on n’a encore jamais vues. Tandis que je plane ainsi dans l’espace, je me trouve subitement attirée vers le bas comme par un aimant. La Dame dit :

«Ce sont des forces naturelles, tu en entendras parler.» On dirait que c’est pour plus tard.
Nous progressons et arrivons au-dessus de ces anneaux ou de ces cercles, dans une lumière infinie, une lumière très étrange et curieuse. Nous parvenons ensuite au-dessus d’un autre cercle qui, pour moi, est très lourd. Je perds toute sensation tant dans les mains que dans tout le corps. J’ai l’impression de flotter, de monter et de descendre. Je suis prise ensuite par une sorte de douleur, une douleur affreuse. En quoi est-elle liée au reste ? je l’ignore. L’image disparaît et je vois à présent la Dame qui me montre quelque chose. Elle dit : «C’est le cercle lumineux.»
L’ÉGLISE ENCLAVEE
Et maintenant, revoilà tout d’un coup la basilique Saint-Pierre et, à côté, l’église d’Angleterre puis celle d’Arménie et celle de Russie. Une fois encore, c’est ce qu’il m’est donné de comprendre. Une corde vient délimiter tout ça. Je vois alors le pape, assis sur le devant, qui tient les deux bouts de la corde. Derrière, derrière le pape et les églises, j’entends très vaguement la parole : «Athées.» Ceux-ci forment un demi-cercle autour de tout cela. Un autre arc apparaît alors. L’Église est pour ainsi dire enclavée. J’entends la Dame qui dit avec beaucoup de tristesse et en appuyant sur les mots : «On n’y arrivera pas ainsi»
Après cela, je vois un âne avec des gens en fuite. Il est monté par une femme avec un enfant. Tous deux sont des êtres lumineux. C’est une scène orientale.

UN MONDE DIVISE
Je vois ensuite, devant moi, l’Europe et, à côté, l’Amérique.

Je me vois comme en train de prendre une poignée de quelque chose dans le centre de l’Amérique du Nord et de le répandre sur l’Europe.
J’ignore ce que c’est.
Je vois ensuite dans le lointain plein de peuples d’Orient. «Eux, il va les réveiller», dit la Dame. Cette scène, je la vois de très loin.
Apparaît alors une tête de mort et j’entends la Dame qui dit : «Une grande calamité va survenir. Ils seront abasourdis de l’apprendre.

Les mers de l’Est débordent; ça ne se voit pas.»
Il me faut à présent tracer une ligne allant du Nord à l’Ouest, une ligne inclinée vers le bas. Je ne sais pas ce que cela signifie. La Dame dit ensuite: «Ils recherchent la paix, mais on ne saurait la trouver.» Et sur ces mots, la Dame disparaît.






17ème MESSAGE (1er OCTOBRE 1949)
LE CHRIST PERSECUTE
Je vois la Dame. Elle dit: « Mon enfant, je vais t’aider. Aie confiance, même dans les moments difficiles. » Elle pose une croix dans ma main ; elle est si lourde ! La Dame dit : « Mon enfant, la croix, tu vas la porter de place en place. » Je vois à présent écrit devant moi : « 1950 » puis « 1951-1953 ». Je vois ensuite la basilique Saint-Pierre devant moi. Il tombe des gouttes sur elle : des larmes ou de la pluie. La Dame dit alors : « Préviens-les que ce n’est pas bien comme ça ! On persécute de nouveau mon Fils. Prends la croix et plante-la donc au milieu. C’est alors seulement que viendra la paix. »
COMBAT DANS LES BALKANS. L'ANGLETERRE.
Soudain, je vois les Balkans. Il y a une bataille ; une nouvelle fois, ils se combattent. La Dame dit: « Mon enfant, un combat acharné va s’engager. Nous ne sommes pas encore au bout de ce combat. Des calamités de nature économique vont se produire.L’Empire d’Angleterre chancelle. » Je vois maintenant la couronne d’Angleterre ; une corde y est attachée. On tire de tous côtés sur la couronne pour la maintenir en équilibre au-dessus de ce pays. Je vois ensuite le pape et un patriarche.
LA RUSSIE
La Dame dit ensuite: «Viens avec moi en Russie.» Je vois à présent la Russie.

La Dame m’emmène dans des immeubles de verre, également dans des sous-sols où travaillent toutes sortes de gens. On dirait des Allemands, des Français et des Polonais mais d’autres aussi. Je les entends parler en différentes langues. Il me semble que c’est au fond de la Russie, quelque part dans une vaste étendue inhabitée du nord. La Dame dit : «Des substances chimiques, voilà ce qu’ils sont en train de produire.
Amérique, tu es prévenue ! Interviens donc ! Interviens donc !
Ce ne sont pas seulement des vies humaines qui sont en jeu, mais de plus hautes puissances. Ramenez donc la foi dans le monde. Mais les croyants…»
Et la Dame secoue la tête de droite à gauche : «Conformez-vous donc à elle : la Charité. L’Amour, n’est-ce pas le premier commandement ? La Justice vient juste après.»
LES PAYS DU DANUBE
À présent, j’ai pour ainsi dire l’impression de descendre le Danube avec la Dame. Elle porte mon attention sur ce qui nous entoure et dit : «Il faut œuvrer ici, il faut œuvrer là.» Elle fait un geste du bras de gauche à droite. «Il doit retourner à Dieu. Le peuple est mûr pour cela. Les dirigeants ne le veulent cependant pas.» Et soudain, la Dame a disparu.






18ème MESSAGE (19 NOVEMBRE 1949)
L’ITALIE ET L'ALLEMAGNE
Revoilà la Dame. Elle me montre l’Italie et dit : «Là, il faut qu’on œuvre en haut lieu.

Les paroles seules ne donnent aucun résultat. Des actes !» C’est alors comme si la basilique Saint-Pierre vacillait.
La Dame dit : «En Italie, il faut œuvrer davantage contre le communisme. Mettez donc en garde contre l’Allemagne et l’Italie. On peut encore retourner la situation. Je le dis ici afin que tu le transmettes, afin qu’ils œuvrent contre la corruption de l’Allemagne. Les personnes sont bonnes mais les circonstances les induisent en erreur. Nous devons y ramener la croix et la planter au milieu. Il leur faut commencer par réveiller la foi et la ramener au sein de la jeunesse. Si on n’œuvre pas fortement en Italie, elle périra. Il faut réveiller les plus petits d’entre les miens.»
PRIER
Puis la Dame paraît rassembler, en un certain point, une grande foule de gens. En regardant, je vois la Dame pousser des gens vers un autel sur lequel se dresse une grande croix. Elle dit alors : «C’est l’œuvre des grands de la terre, mais…» La Dame fait alors aller et venir son doigt et elle fait continuellement non de la tête. «C’est pourquoi il faut qu’ils coopèrent tous. Transmets cela !», dit la Dame. «Ils doivent prier davantage. Priez à cause de la corruption. Le monde entier va se détruire s’ils ne le font pas. C’est pourquoi je t’ai fait voir cela.» Et soudain, la Dame a disparu.






19ème MESSAGE (3 décembre 1949)
L’ALLEMAGNE. LE PAGANISME MODERNE
Je vois la Dame debout. Elle dit : «Mon enfant, je t’apporte de nouveau un message pour l’Allemagne. Il faut la sauver.» La Dame m’entraîne alors au-dessus de l’Allemagne. En voyant l’Allemagne, je ressens la situation qui règne là : une terrible régression du pays, du peuple, de la jeunesse et une grande apostasie. La Dame dit : «Que les évêques agissent ! Qu’ils commandent à leurs prêtres d’agir, surtout parmi la jeunesse, contre l’humanisme, le paganisme moderne.» Je vois un grand nombre de croix dressées devant moi. La Dame me montre qu’on place ces croix en différents endroits. Je vois alors, à Berlin, une grande place où se trouve le Reichstag. On dirait que la Dame y plante une grande croix. Elle me dit : «C’est là qu’il faut amener les gens. Il faut tenir la jeunesse à l’écart du paganisme moderne. Qu’ils s’y donnent à fond !»
ROME
Puis, je vois une fois encore Rome. La Dame fait passer son doigt au-dessus de Rome en signe d’avertissement et dit : «Ah ! Ah ! Pourquoi donc ne pas commencer par là ? Il faut tout transformer.» C’est comme si, de ses mains, elle entourait le Vatican et se mettait à creuser le sol par en dessous et à tout chambouler.
LES PAYS-BAS
Je vois ensuite les Pays-Bas. La Dame dit : «Les Pays-Bas aussi arrivent sur une pente glissante.» Je vois la jeunesse des Pays-Bas, des jeunes et des enfants au bord d’une pente. La Dame dit : «Ils sont près d’une pente !»
LE GOUFFRE
Puis, j’ai l’impression que la Dame m’emmène quelque part. Je vois deux très hautes montagnes. Entre les deux, il y a un gouffre, un précipice noir, très profond. Soudain, je me retrouve autant dire transportée sur l’une des montagnes. La Dame dit : «Regarde» Et je vois un gouffre au milieu du monde. Tout d’un coup, on dirait que la Dame rapproche les deux montagnes l’une de l’autre. Elle dit : «Il faut refermer le gouffre.»
CHANGER LES LOIS
Je vois ensuite la basilique Saint-Pierre. La Dame dit : «Mon enfant, tu vois le pape dans ses ornements pontificaux, les deux doigts levés. Écoute bien ! La doctrine est juste, mais le pape est en droit de changer les lois. Qu’il persévère !» Je continue à voir le pape assis, les deux doigts levés. Je le vois ensuite dans une grande salle de réunion. La Dame me dit : «Mon enfant, les lois peuvent être changées. On peut, on doit les changer. Il faut que les classes sociales se rapprochent. Qu’ils persévèrent à Rome et donnent l’exemple au monde entier ! Pense à ça et dis-le – et je te le répète – : en effet, l’amour est le premier commandement, viennent ensuite la vérité et la justice qui lui sont liées comme par un arc.»
LA DOCTRINE DU CHRIST
La Dame reprend : «Mon enfant, regarde.» Je vois alors un «50» entre la Dame et le pape. La Dame dit : «Il va falloir travailler dur en cette année qui vient et… pas seulement en paroles. La doctrine du Christ est juste. Pourquoi ne l’observe-t-on pas de façon juste et en détail ?» Je vois à présent, tout autour de moi, de petits points et, au milieu, un grand point rouge. De la main, la Dame appuie fortement sur le rouge et dit : «C’est ça le plus important. On ne l’observe pas bien. Un retournement complet est nécessaire. S’ils ne donnent pas suite aux avertissements, ils périront et en arriveront là.» Je vois alors de nouveau les montagnes et le gouffre. Puis, une fois encore, je vois le pape. La Dame dit : «Il lui suffit de donner les ordres et cela se fera. » Je vois ensuite l’Italie et de hauts prélats étrangers ; je vois le pape assis avec des cardinaux et des évêques autour de lui ; ils sont dans une salle de réunion au Vatican. La Dame me dit qu’il promulgue un décret. Je vois alors un pont jeté entre les classes supérieures et les classes inférieures. La Dame dit : «C’est vers ça qu’il faut aller. Pense à l’amour et à la justice. Que tous ceux qui croient, coopèrent à faire le bien.»
CELA SE VERIFIERA AVEC LES ANNES
Je demande alors : «Mais êtes-vous bien la Dame ?» 23 . Elle me regarde avec un sourire et dit : «Ton directeur spirituel doit te croire. Il a suffisamment de preuves. Dis-lui ceci : il a de bonnes intentions et il porte en lui l’amour, y compris pour son travail. Pour le reste…» La Dame fait alors un gentil mouvement de la tête et des mains, à la manière d’une bonne maman et elle ajoute : «Pour le reste, qu’il ne se fasse pas de souci. Sa vie, telle quelle, est menée. La preuve a été donnée pour vous. Je ne peux pas en dire plus pour l’instant. Cela se vérifiera avec les années. Dis-le lui.» J’ai très peur en entendant ces derniers mots et je me dis : avec les années ? Mais combien de temps cela va-t-il durer ? Puis la Dame disparaît.



23 C’est sur la demande de son directeur spirituel, le Père Frehe, que la voyante pose la question de savoir si c’est bien Marie et qu’elle demande le sens qu’il convient de donner à «la Dame»





20ème MESSAGE (16 DECEMBRE 1949)
PAUVRE ALLEMAGNE
J’entends la Dame qui dit, tout en lançant un regard très sévère et en faisant aller et venir son doigt en signe d’avertissement : «Pauvre, pauvre Allemagne. Prends donc les croix et plante-les au milieu ! Réveille donc les hommes d’Église ! Commence par en bas. Il faut ramener le petit peuple à Lui. Sache que ça fonctionne ainsi !» Et la Dame ferme le poing et me le montre. Elle le fait avec force ; elle brandit même le bras et le poing vers moi !
DE LOURDS NUAGES AU-DESSUS DE LA BASILIQUE SAINT-PIERRE
Je vois ensuite la basilique Saint-Pierre. La Dame tient la main au-dessus et dit :

«Il faut à tout prix la protéger. L’autre esprit s’infiltre incroyablement.»
J’ai alors, sous les yeux, plein de nuages, des blancs et des rouges, qui passent pêle-mêle. On dirait qu’ils se frôlent et se traversent à toute vitesse.
Je vois en dessous les silhouettes de toutes sortes de coupoles et de clochers qui s’entremêlent et se frôlent. La Dame porte mon attention sur cette image ; puis, on dirait que, des mains, elle écarte les nuages.
Je vois alors une surface bleue très profonde et, au milieu de cette surface bleue, une lumière crue, comme une étoile toute brillante qui scintille sous mes yeux. De son index, la Dame tapote sur cette lumière, très délicatement, et pourtant avec une telle force que j’entends, pour ainsi dire, les coups comme si elle frappait avec un marteau. Elle dit alors :
«C’est là qu’il leur faut aller.» Je vois alors en dessous de lourds nuages très noirs, et la coupole de la basilique Saint-Pierre. J’entends la voix qui dit : «Un combat va s’engager. C’est violent, ça va s’embraser. Nous sommes encore loin d’être au bout.»
ŒUVRER PAR DES ACTE

Je vois ensuite le pape assis devant moi. La Dame a l’air grave ; elle tourne la tête de côté et dit :

«Stimuler les sujets ! Pas seulement les stimuler, mais ils doivent œuvrer dans le vrai esprit chrétien. Vous pensez que tout cela est bien, mais c’est par des actes qu’il convient d’œuvrer. Je suis suffisamment claire. Insister davantage sur les droits sociaux, l’équité et la charité. Cependant… agir, non en paroles, mais en actes ! Ce sont les actes qui pourront les conduire à la lumière que je vous ai montrée.»

Puis, je vois l’Europe. La Dame dit : «Europe, sois avertie ! Unissez-vous dans le bien. Il ne s’agit pas d’une simple lutte économique, c’est l’esprit que l’on cherche à corrompre. Lutte politico-chrétienne. Il faut que ça vienne d’en haut ; ils doivent donner des exemples.

Mais malheureusement, le clergé aussi, ils doivent descendre au niveau des plus petits d’entre les miens.»

CHARITE, EQUITE
Au-dessus du pape et de la basilique Saint-Pierre, je vois alors les mots : Charité, Équité». C’est écrit en grosses lettres.
La Dame dit : «C’est là, la grande erreur de ces temps. Si on ne les met pas en pratique, ça ne va cesser d’empirer et le monde va s’enfoncer, s’enfoncer. Chacun doit veiller personnellement à mettre cela en pratique»

C’est alors comme si la Dame me mettait une croix dans la main et, tout en se désignant elle-même de la main, elle dit : « Pas moi, mais la Croix !»
PERIODE DE COMBATS ET DE CALAMITES
Elle me fait ensuite lire un tableau sur lequel est écrit : «50 - 51 - 53» et elle dit : «Cette période verra un combat et des catastrophes.» Elle étend alors une main protectrice au-dessus de la coupole et met l’autre devant ses yeux. Je ressens une affreuse douleur qui me brûle la main. Je dis : «C’est insupportable !» La Dame dit alors avec autorité :

«Cet esprit va continuellement essayer de s’infiltrer sous plein de formes, lentement, subtilement. Cela va s’infiltrer si subtilement que les peuples ne les reconnaîtront pas. Une nouvelle fois, je t’avertis de transmettre cela»




P. LOMBARDI
Puis, je vois l’Italie. J’y vois un homme simple, sobre, un membre du clergé. On dirait qu’il est en train de parler au milieu d’un grand nombre de gens. La Dame sourit et porte mon attention sur cette scène. Tandis que j’observe, elle dit : «Ce Lombardi, il s’y prend bien. Il œuvre dans le sens que Nous voulons.» 24 Je vois ensuite, devant moi, deux rangées d’églises différentes.

On dirait que la Dame se dirige vers le premier rang et qu’elle fait passer très légèrement la main sur cette rangée. Je vois les églises tomber toutes ensemble et disparaître.
LE CENTRE
La Dame reprend alors : «Mon enfant» et elle trace un genre de losange devant moi, «mon enfant, c’est le centre.» Je vois maintenant une coupole entourée d’un mur ayant la forme qu’elle vient de tracer. Je m’aperçois soudain que c’est la coupole de la basilique Saint-Pierre. Tout autour, un mince ruisseau coule, délimité par une mince bande noire. La Dame porte mon attention sur tout ça et reprend : «C’est le centre.» Elle fait alors aller et venir son doigt très lentement et avec insistance puis elle reprend : «Veillez à ce que cela reste le centre ! Les esprits du monde sont en train de détruire ce centre. Je vous aiderai.»

Maintenant, je vois que la Dame tient de nouveau la main au-dessus du pape et de la basilique Saint-Pierre. Voilà que tout à coup, sur ma gauche, j’aperçois une grande patte noire aux longues griffes acérées. On dirait que cette patte fouille tout dans la basilique Saint-Pierre. Ça me fait très mal. Tout devient rose et rouge sous mes yeux. La patte se met alors à planer au-dessus de tout cela et, au même instant, je vois voler un aigle noir. Il vole à grands coups d’aile vers la gauche.
L’ALLEMAGNE ET L'ITALIE
Je vois, à ma droite, l’Allemagne. J’entends alors la Dame qui dit : «Allemagne, tu es avertie !» Je vois maintenant un triangle tracé au-dessus de l’Allemagne. La Dame dit : «L’esprit du triangle essaie de s’infiltrer sous une autre forme. Les personnes sont bonnes, mais elles sont tiraillées de tous côtés et ne voient plus d’issue. Pauvre Allemagne ! Elles vont être et elles sont victimes de l’autre grand.»
Tout à coup, je vois devant moi un évêque allemand dans ses ornements sacerdotaux, un homme âgé, imposant. À ma droite, un laïc prend place, lui aussi un homme imposant. J’entends : «L’évêque en son domaine, et là quelqu’un vient dans l’autre domaine. Mais c’est pour plus tard. L’Allemagne va tenter de s’en sortir, l’Italie de même.»
Je vois alors de nouveau ce simple ecclésiastique avec des gens tout autour de lui. La Dame dit : «Il essaie d’apporter le vrai parmi les gens.» Elle me dit ensuite : «Tu dois diffuser cela, n’hésite pas à le dire !» Et la Dame, tout d’un coup, a disparu.



24 Le Père Ricardo Lombardi s.j. commença en 1948 sa croisade de bonté. Il prêcha l’Évangile pendant de nombreuses années en termes simples et avec un zèle inlassable en centrant continuellement sa prédication sur l’amour de Dieu. Il ne se contentait pas d’appeler à une conversion individuelle, mais il cherchait aussi à traduire dans la communauté humaine les idéaux chrétiens, ce qui fit forte impression et toucha le cœur d’un grand nombre.





21ème MESSAGE (14 FEVRIER 1950)
LES JEUNES
Je vois la Dame debout. Elle me dit : «Mon enfant, je viens ici pour te dire quel est mon message. Il faut œuvrer, et même très dur !» La Dame fait alors un mouvement des mains comme pour inviter différentes personnes à approcher. Je vois ensuite plein de jeunes, jeunes filles et jeunes hommes.
Cette image s’efface soudain et revoilà la Dame. On dirait qu’elle fait signe aux jeunes de venir se placer devant elle. Elle dit : «Je ne les vois pas encore, les légions de jeunes hommes et de jeunes filles. Pourquoi ne pas commencer par là, pourquoi néglige-t-on cela ?» Et on dirait qu’elle cherche autour d’elle, du regard, où ils sont. Elle dit ensuite : «C’est pourquoi je viens ici pour attirer votre attention là-dessus. Ceci est également destiné à l’Allemagne.»
LA SIMPLE CROIX
Puis, la Dame continue : «Il y a dans le monde un grand courant qui tend au bien. Voilà justement pourquoi l’autre esprit est à l’œuvre. Cet esprit est en train d’influencer le monde et de le corrompre. Les hommes ne sont pas mauvais en soi, mais faibles.» La Dame tient alors, de nouveau, une croix dans la main. J’ai l’impression qu’elle la place sur une hauteur. Puis elle dit : «Est-ce que tu vois cette croix ? C’est à elle qu’il va falloir ramener l’humanité. Je le leur demande instamment : qu’ils n’oublient pas, dans ce monde moderne à la technique moderne, cette simple croix.»
AGIR AVEC LES MOYENS MODERNES
Je vois ensuite le pape et tout le Vatican autour de lui. Tout d’un coup, j’ai l’impression que la Dame se tient au-dessus de tout cela. Je vois ensuite de grosses gouttes qui tombent sur le Vatican ; les gouttes viennent de la Dame. Sur un ton d’avertissement, elle dit : «Cette Église a encore une chance, mais je n’en dis pas plus à ce sujet. Je viens de parler du monde moderne. Pourquoi Rome ne recourt pas davantage aux moyens modernes, pourquoi n’œuvrent-ils pas davantage dans l’esprit moderne ? Qu’ils saisissent ces moyens pour gagner à leur cause l’esprit de ce monde ! D’autres prendront soin du corps. C’est à l’Église de façonner l’esprit. Une chance sans pareille leur est offerte, étant donné que l’humanité est en quête. Ce n’est plus contre les nations, mais contre l’esprit.»



L’AMERIQUE ET LA RUSSIE. LE JAPON. L’INDONESIE 25
La Dame poursuit : «Il va y avoir là un grand combat : l’Amérique et la Russie ; ça s’approche.» Je ressens d’affreuses douleurs dans les mains. La Dame dit alors : «Le Japon va se convertir.» Je ne sais pas quoi en penser. Je sens venir ensuite une affreuse douleur sur l’Indonésie ; la Dame me la fait ressentir dans la main.
IL Y A ENCORE UNE CHANCE
La Dame dit ensuite : «Si Rome est prête à agir comme il faut, de nouvelles impulsions viendront de tous côtés.» Je vois alors le Vatican. De nouveau, la Dame se tient pour ainsi dire au-dessus. Elle fait un mouvement des mains comme si elle plaçait différentes églises tout autour du Vatican. La Dame dit ensuite comme si elle se parlait à elle-même : «Il y a encore une chance. Ce pape doit prendre conscience de la grande œuvre qu’il lui faut accomplir en ce temps.»
L’ALLEMAGNE
Elle me montre ensuite l’Allemagne et dit : «Demande donc que le pape envoie des lettres apostoliques. L’Allemagne a en effet tellement besoin du bon esprit. Cet esprit, ils peuvent l’apporter.»
Je vois un archevêque en Allemagne, un homme imposant. J’entends la Dame dire : «Il va mener un combat.» La Dame écarte ensuite l’index et le majeur et, de ces deux doigts, elle décrit une ligne en zigzag au-dessus du centre de l’Allemagne et dit : «Agissez sur la jeunesse d’Allemagne, vous tous qui en avez la charge ! Je ne vous le dis pas pour rien.» Et puis, la Dame disparaît.



25 En néerlandais, Ida parle de « Indië » qui autrefois, dans le langage courant des Pays-Bas, était la contraction de « Nederlands-Indië », pour désigner ce que nous appelons aujourd’hui l’Indonésie. (NdT)





22ème MESSAGE (27 MAI 1950)
DU TEMPS POUR LE SPIRITUEL
Je vois la Dame debout. Elle me dit en regardant la paume de ses mains : «Mon enfant, je vois des mains encore et toujours vides. Je te demande de rapporter que c’est vraiment ma ferme intention de former, justement parmi ce noyau de gens, un groupe qui veuille le bien et fasse le bien. Écoute bien ! On consacre beaucoup de temps aux choses matérielles. Qu’ils consacrent du temps aussi aux choses spirituelles. C’est si urgent ! J’aimerais que ce cercle de gens finisse par en prendre conscience. Je te le répète : ces catholiques doivent travailler dur. Un grand danger menace. Une sorte de duel attend l’Italie.»

La Dame me fait voir de nouveau la basilique Saint-Pierre et dit :
«Il y en a d’autres qui s’activent à former quelque chose de même dimension, mais dans d’autres directions.»
L’ALLEMAGNE

«En Allemagne, il faut travailler dur. Heureusement, on a entrepris certaines choses pour œuvrer de nouveau plus et mieux parmi les croyants. Mais c’est loin de suffire. L’Allemagne, surtout, doit être vigilante. On joue par là un rôle malhonnête, avec l’Allemagne.»







LES JEUNES
Je vois à présent un très grand groupe de jeunes gens rassemblés autour de la Dame. Elle les regarde et les désigne d’un geste. Puis elle dit : «Mon enfant, qu’ils entreprennent…» – de nouveau, elle désigne de la main le groupe autour d’elle – «… de ramener les jeunes à la forme de religion qu’il faut. C’est difficile et dur pour ceux qui veulent s’engager à faire ça. Mais je n’insisterai jamais assez dans ce sens. Il est grand temps de s’y mettre.»
LE PREMIER ET PRINCIPAL COMMANDEMENT
De la main, la Dame décrit à présent une sorte d’arc de cercle et dit : «C’est pour plus tard.» Je ne sais pas ce que cela veut dire.
La Dame dit ensuite : «Tu verras qu’après bien des malheurs et des calamités, on replantera la croix. Que chacun y mette du sien, selon ce qu’il peut. Et je porte de nouveau votre attention sur le premier et principal commandement : l’Amour, l’Amour du prochain.» Et la Dame disparaît d’un coup.








23ème MESSAGE - 15 AOÛT 1950 (ASSOMPTION)



L’ORIENT
Je vois un personnage de type oriental portant un long vêtement et un turban. Il s’incline à trois reprises, les bras croisés et la paume des mains tournée vers le bas. Ensuite, les bras écartés, il s’incline de la même façon, cette fois la paume des mains tournée vers le haut.

Puis, je vois plein de signes étranges : petites courbes, petits traits, points, une sorte de lettre semblable à notre J et différents signes encore, détachés les uns des autres. Cela me fait penser à une sorte de langage. Je vois ensuite un mur. Le mur décrit des courbes le long d’une pente comme s’il descendait d’une montagne. J’en ressens une affreuse douleur.
FORMOSE
Voici, tout à coup, un animal. C’est un animal symbolique que nous ne connaissons pas. Je vois ensuite des crabes et de grandes étoiles de mer. Puis, je vois une île devant moi. Le nom m’est donné : c’est l’île de Formose.
Il y a au sud, une île plus petite. Il me faut alors m’écarter un peu de la gauche et faire, au-dessus de l’île, comme si je descendais. Et j’entends dire : «Amérique, tu te vois mise en garde ici !» Je sens que quelque chose doit venir sur cette île.

Lutte politico-chrétienne Il me faut ensuite joindre les mains et lever les yeux vers la gauche. Je vois la Dame. Je l’entends dire : «C’est l’époque de la lutte politico-chrétienne. Cela, je l’ai déjà dit à plusieurs reprises. De grands évènements vont à présent s’intensifier. Le chaos dont j’ai parlé est en cours. Les calamités sont arrivées, les gouvernements ont démissionné, et c’est loin d’être tout. Fais bien attention, mon enfant, le combat va s’engager. Je te montre ces quatre doigts et décris un cercle autour d’eux.

Un prince va régner, un règne très bref et puissant. Tu ne t’en apercevras pas dans ton cercle restreint.»
UN ESPRIT NOUVEAU

La Dame dit ensuite : «Regarde.» Alors que je me tiens près d’elle, je vois soudain des animaux qui se placent devant elle. «Regarde», répète la Dame ; je vois alors devant elle, sur sa gauche, un loup. Juste devant elle, un autre loup ou un chien arrive, tenant un flambeau dans la gueule. Une lionne se met à côté de lui. Devant la Dame, bien sur sa droite, un grand aigle arrive. «Regarde», répète encore la Dame.
Elle fait à présent un signe vers le haut et je vois une colombe blanche. La Dame dit : «Ceci est un esprit nouveau qui va venir.» Je vois alors des rayons qui partent de la colombe ; ils se dirigent vers le bas : deux rayons au centre, deux rayons à droite et deux rayons à gauche. La Dame dit : «Tu en comprendras le sens plus tard.» Ensuite, je revois la Dame avec ces animaux et la colombe. De nombreuses étoiles apparaissent alors tout autour.
L’EST ET L’OUEST
La Dame semble ensuite descendre une marche. Elle dit : «Viens.» On dirait que nous arrivons maintenant sur un grand plateau. Nous nous arrêtons au milieu. La Dame dit alors : «Tu vois ça ?» Elle fait un geste allant de l’Est à l’Ouest. Puis elle étend les bras en grand ; j’ai l’impression qu’elle place, sur ce plateau, deux murs l’un en face de l’autre. Elle prolonge les murs sur une longue distance. Soudain, la Dame se trouve autant dire au-dessus. Elle me dit : «Ce n’est rien.» Et elle montre d’un geste l’Est et l’Ouest. Elle étend alors les mains et ferme le poing, d’abord le droit puis le gauche. Elle dit ensuite : «Écoute bien le nombre de fois que je frappe ; tu vas le faire toi aussi.» Je serre les poings avec elle, et la Dame compte à voix haute pendant que nous faisons s’entrechoquer nos poings l’un contre l’autre. «Trois fois», dit la Dame. «La moitié d’entre eux, c’est l’Est.»
Je vois alors les Balkans et la Grèce entourés d’une grande chaîne, de même que l’Allemagne de l’Est. On dirait que la Dame attache ces pays en serrant fort sur la chaîne. Je vois qu’une partie est restée libre.


À l’arrière-plan, je vois quelqu’un qui est assis, la tête appuyée sur la main. La voix me dit : «Les travailleurs et les penseurs de la destruction du monde.»
LA VICTOIRE EST A NOUS
Puis une scène orientale m’apparaît. Nous refaisons l’escalade de la même montagne, en haut de laquelle se trouve de nouveau un plateau. Nous nous arrêtons là. La Dame porte mon attention sur quelque chose qui est par terre. «Viens», dit-elle et elle montre le sol. Je vois une lourde poutre et il me faut la repousser. Je vois alors brusquement s’ajouter une traverse. Le tout forme une croix.
Je regarde de nouveau la Dame et dis : «Comment dois-je Vous appeler ?» Mon directeur spirituel m’a demandé de reposer cette question à la Dame. Elle sourit et fait un geste comme pour dire : ils le demandent encore ? Elle me répond : «Dis-leur simplement : la Dame.»

La Dame continue comme si de rien n’était. Elle me montre la poutre qui a été écartée et dit : «La chrétienté.» Elle fait à présent un mouvement des mains et des doigts comme si tout éclatait en morceaux et se mettait à tourbillonner. C’est pour représenter symboliquement la chrétienté. La Dame dit : «Tu diras ceci : chrétienté, tu ne connais pas le grand danger qui te menace. Il y a un esprit qui vise à te saper. Mais…» – de la main, elle fait un signe de bénédiction – «… la victoire est à Nous !»
ANGLETERRE
La Dame poursuit : «Je t’emmène et je vais te montrer.» Je vois alors l’Angleterre. Et j’ai l’impression que la Dame pose le pied sur l’Angleterre. Tout en faisant aller et venir le doigt en signe d’avertissement, elle dit : «Pourquoi être si rigide en tout ? Ne peux-tu pas revenir à la simplicité ?» Elle semble faire alors une grande couronne au-dessus de l’Angleterre et dit : «On va tirer là-dessus aussi.» On dirait alors que la Dame perce la couronne de petits trous sur sa circonférence et qu’elle y fait passer des rubans qu’elle attache tous à l’Angleterre. Elle enlève alors son pied de l’Angleterre et dit : «Non, Angleterre, ce n’est pas votre bonne politique.» Tout d’un coup, le roi d’Angleterre apparaît devant moi. On dirait qu’il effectue un brusque demi-tour. Après lui, je vois aussi, sur le côté, Churchill, au-dessus de l’Angleterre, mais je ne vois que sa tête.
La Dame porte alors mon attention sur quelqu’un et je vois soudain un évêque, mais pas un évêque de notre Église. Je comprends intérieurement : c’est l’évêque de Canterbury. La Dame le regarde et fait aller et venir le doigt en signe d’avertissement. Par derrière apparaissent alors un grand nombre de flèches de clocher. Tout en me les montrant du doigt, la Dame dit : «Là, il va y avoir du changement.» Mais j’ai l’impression que ce sera pour plus tard.
Puis, je vois le pape sur notre gauche, les deux doigts levés. De l’autre côté, en face de lui, se tient l’évêque de Canterbury. Un autre ecclésiastique apparaît soudain à ses côtés ; il porte une perruque blanche faite de faux cheveux raides ondulés ou bouclés, et un long vêtement au jabot blanc. 26 La Dame se tient debout, au-dessus de leurs têtes et dit : «Regarde !» En partant du côté du clergé anglais, elle passe un doigt au-dessus de la tête des ecclésiastiques anglais avant de le passer entre les deux doigts écartés du pape.






LA COREE
Cette image s’efface à son tour et je vois écrit : «51 53». La Dame me fait voir cela. Je reçois tout d’un coup quelque chose dans la main. C’est comme si je devais l’attraper en l’air. Ça arrive de très haut. J’entends la voix qui dit : «Des météores. Prêtes-y attention»
Puis, la Dame dit: «Viens !» Nous continuons. La Dame dit : «Le combat en Corée est trompeur et le début de grands malheurs.» Je vois ensuite qu’on établit, par intervalles, des délimitations.
Puis, je vois quelqu’un, assis, la tête appuyée sur la main, plongé dans ses pensées. Je comprends intérieurement que c’est un chef d’État russe. Staline ou Lénine me semble-t-il. J’entends subitement une voix près de moi : «Je vous ai mis en garde contre ce danger.»
Je vois ensuite l’hémisphère du globe et je dois regarder par-delà. Tout en en tenant dans la main pour ainsi dire le coin gauche, il me faut dire : «Là, je vois très loin et je le tiens bien.» Il me faut alors descendre de l’hémisphère en obliquant vers la droite et tracer plus loin une ligne droite. Une terrible angoisse s’empare alors de moi.
ENCYCLIQUES
«Nous continuons», dit la Dame. Je vois alors la partie supérieure de l’Italie et je dois la saisir de la main. Je vois ensuite l’Italie du Sud et c’est pour ainsi dire comme si je retenais le talon de l’Italie de mon pouce tout en mettant les quatre autres doigts sur l’Italie du Sud. C’est ce que je dois faire. J’entends alors la Dame qui dit : «Non, ce n’est pas du tout comme il faut. Où sont les Encycliques ?» Il me faut faire alors un mouvement et croiser les mains l’une sur l’autre, en les tenant levées.
Je vois des mains vides et encore des mains vides. Je vois ensuite la basilique Saint-Pierre et j’entends la Dame qui dit : «Connaissez-vous bien votre pouvoir ? Mais connaissez-vous votre doctrine ?»
Elle écrit alors «Encycliques» et dit : «C’est bien, appliquez-les donc ! Inondez-en la droite et la gauche, le haut et le bas ! Êtes-vous bien conscients…» – elle ferme le poing – «…que ce pouvoir a un tel pouvoir ?» Elle me montre ensuite un «1», un «2» et un «3». Après cela, je vois un livre et une main qu’on pose dessus.
La Dame dit : «Regardez vos lois.» On dirait que la Dame étire quelque chose qui se fait de plus en plus long et large. Tout en faisant cela, la Dame dit : «Sachez bien que votre temps est là !»
CHAOS
Elle m’emmène ensuite sur un pente et dit : «Urbi et Orbi. 27» Du haut de la pente, elle regarde alors avec moi la basilique Saint-Pierre et dit : «Pourquoi se cramponner comme ça ? Ayez donc plus de largesse d’esprit !»
Elle m’emmène maintenant dans un espace vide et dit : «C’est vers ça qu’il faut aller.» Je perçois alors une sorte d’angoisse et j’entends une voix : «De tout ce chaos sortira d’abord un combat et seulement après viendra un essor.» Une grande mélancolie m’envahit soudain. En partant, la Dame dit : «Je reviendrai te porter des messages.»



26 La voyante a reconnu cette image quand elle a vu à la télévision la rencontre historique du pape Paul VI et de l’archevêque de Canterbury, A.M. Ramsey, qui a eu lieu en 1966 à la chapelle Sixtine du Vatican. 27 Expression latine en usage dans la bénédiction papale pour signifier : «Pour la ville et pour le monde.»





24ème MESSAGE 28 (16 NOVEMBRE 1950)








LA DAME SUR LE GLOBE.
La Dame de tous les Peuples Je vois la Dame debout sur le globe. Elle me montre le globe et me dit : «Mon enfant, je me tiens sur ce globe parce que je veux qu’on m’appelle la Dame de tous les Peuples.» Les mots «de tous les Peuples» s’inscrivent en demi-cercle au-dessus de sa tête.
LES PIEDS POSES SUR SUR L'ANGLETERRE ET L'ALLEMAGNE
La Dame continue : «Je t’ai dit : être missionnaire en son propre pays. Et à présent, je veux te montrer quelque chose.» De nouveau, la Dame me montre le globe et, les pieds bien serrés, elle se tient debout sur l’Allemagne. La Dame fait alors un mouvement comme si elle posait le pied sur l’Angleterre et elle dit : «Voilà, j’ai au moins un pied dessus.» Puis elle repose le même pied sur l’Allemagne et serre les pieds comme avant. Les mains une nouvelle fois tendues, elle pose un regard affligé sur l’Allemagne. La Dame dit alors : «Mon enfant, j’ai posé les deux pieds sur elle. Il faut que l’Allemagne soit sauvée. Le Fils t’a conduite justement ici 29 pour que tu le comprennes mieux.
J’ai fait guérir beaucoup de malades.»
Elle me fait voir une carte et y montre un endroit ; je reconnais clairement Lourdes. Elle me montre ensuite d’autres endroits ; mais je ne sais lesquels. La Dame dit : «Comprends-tu enfin ce que je veux ici ? Il y a tant d’âmes malades ici ; il faut les sauver. Pourquoi tant de membres du clergé partent d’ici, l’Allemagne, pour les missions ? Qu’ils restent donc ici ! Il y a tant de travail à faire.»
APPEL A L'ACTION EN ALLEMAGNE
Ensuite la Dame me montre quelque chose ; je vois le Vatican tandis qu’elle dit : «Que le pape envoie donc des moyens et exhorte le clergé, sinon l’Allemagne va se perdre. On assiste à une apostasie de grande, très grande ampleur. Les gens ne veulent faire aucune offrande pour de nouvelles églises et de nouveaux bâtiments. Il faut pousser le clergé à changer ça. C’est un travail difficile. Je ne fais que prévenir. Les autres s’activent à détacher le peuple allemand de Rome.»
Je vois brusquement, devant moi, une tête de mort et, devant elle, deux os entrecroisés. La Dame prend la tête de mort et les deux os et elle les dépose à ses pieds, sur l’Allemagne. Elle dit ensuite : «Le Fils veut accorder sa protection particulière et Il m’a envoyée pour aider l’Allemagne. Mais il faut les pousser à faire ce que je dis.»
PARTIR DE LA BASE
Je vois ensuite de nombreux petits enfants se regrouper autour d’elle. Ils la regardent d’un air émerveillé. La Dame désigne les enfants ; à ma gauche, à une grande distance de la Dame et des enfants, je vois alors des hommes et des femmes. La Dame rapproche les mains et dit : «L’Allemagne doit commencer à ramener l’unité, chacun chez soi dans sa propre maison. Les enfants doivent de nouveau ne faire qu’un avec leur père et leur mère. Qu’ils s’agenouillent ensemble et prient le chapelet !» La Dame semble alors disperser les enfants et dit : «Il faut que cela parte de la base et s’étende ensuite au monde. Puis il faut se remettre à beaucoup pratiquer la charité. Il faut qu’on en vienne à une grande action parmi les catholiques. On peut le faire en diffusant cela, en prêchant davantage là-dessus dans les églises. Dans l’ensemble, plus d’action !» Entre-temps, j’ai l’impression que la Dame pousse les gens. «Il est de la plus haute importance que cela se fasse. Il y en a d’autres qui s’emploient à détruire l’Allemagne. Le peuple est prêt à présent. Dis-le leur, dis-le leur !» La Dame fait alors du doigt un mouvement en signe d’avertissement : «Qu’ils travaillent dur !»
LA GRANDE CHANCE DE ROME
Puis, je vois une nouvelle fois le pape. La Dame dit : «Le pape y satisfera si on le lui demande.» La Dame étend alors les mains sur l’Allemagne en les croisant l’une sur l’autre.
Elle quitte ensuite l’Allemagne et je vois tourner le globe sous ses pieds. La voici une nouvelle fois debout sur le globe. Elle me montre Rome. Elle fait aller et venir le doigt en signe d’avertissement et dit : «Que le pape continue toujours dans ce sens ! Rome a une grande chance à saisir.»
Je vois différentes églises. D’un geste de la main, la Dame fait tomber, pour ainsi dire, les églises par terre. À l’arrière-plan, je vois alors la grande coupole du Vatican. La Dame dit : «C’est maintenant la grande chance, à condition que le pape fasse ce qu’il a l’intention de faire.» D’un geste de protection, la Dame étend alors la main au-dessus du pape.
TROUBLES SUR LE MONDE
Puis, elle dit :

«De grands troubles viennent sur le monde. Les Russes n’en restent pas là.
C’est pourquoi je dis : je suis la Dame de tous les Peuples.» En disant cela, elle met très fortement l’accent sur «tous».



28 Le 1er novembre 1950, le pape Pie XII proclame le dogme de l’Assomption de la Sainte Vierge. C’est un moment marquant dans le corpus des messages et ça en constitue un des tournants. C’est en effet juste après cette proclamation dogmatique que la Vierge Marie se nomme pour la première fois « la Dame de tous les Peuples ». Dans les messages suivants, elle va donner sa prière et porter notre attention sur l’image. Pour la première fois aussi, elle parle du dernier et du plus grand dogme marial de Marie Corédemptrice, Médiatrice et Avocate.
29 La voyante reçoit ce message alors qu’elle se trouve en Allemagne.



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Message par Francesco Ven 17 Sep 2010 - 4:44

Révélation de la Vierge Marie a Amsterdam(apparition reconnue):
ARMES BIOLOGIQUES


Le passage suivant, extrait des messages d’Amsterdam en date du 26 décembre 1947, évoque le grand danger imminent d’un attentat terroriste contre l’Amérique et l’Europe avec des armes chimiques et biologiques. La voyante Ida Peerdeman raconte :
« Je vois côte à côte, l’Amérique et l’Europe. Je vois alors écrit : “Guerre Économique, Boycott, Devises, Calamités”.
Une image très curieuse se présente alors à moi. Une force me pousse à regarder le ciel ; c’est comme si on tirait quelque chose en l’air. Ça me frôle en passant à une telle vitesse que j’arrive à peine à voir ce que c’est. Ça a la forme d’un cigare ou d’une torpille et la couleur de l’aluminium. Tout à coup, je vois quelque chose qui s’en détache par l’arrière.
Je tâte de la main devant moi et différentes sensations horribles m’envahissent. D’abord un engourdissement total ; je vis et, en même temps, je ne vis pas. Je vois alors devant moi d’épouvantables images d’êtres humains. Je vois des visages, de larges visages recouverts d’ulcères affreux, une sorte de lèpre. J’éprouve ensuite de terribles maladies mortelles : le choléra, la lèpre, tout ce que ces gens ont à subir.
Alors que tout ça a disparu, je vois flotter de minuscules choses noires autour de moi. J’essaie de sentir ce que c’est, mais je n’y parviens pas ; cela me semble une matière très fine. Mes yeux ne distinguent pas ce que c’est. C’est comme si je devais regarder à travers quelque chose et, en contrebas, je vois à présent de magnifiques champs blancs. Sur ces champs, je vois ces mêmes petites choses noires, mais grossies et comme vivantes. Je ne sais comment l’expliquer. Je demande à la Dame : “Est-ce que ce sont des bacilles ?” Avec beaucoup de gravité, elle répond : “C’est diabolique.” Je sens alors mon visage enfler ainsi que tout mon corps. J’ai l’impression que mon visage grossit énormément, que tout se raidit et est boursouflé. Je ne peux pas bouger. J’entends la Dame dire : “Et c’est ce qu’ils sont en train d’inventer”, puis, tout doucement : “le Russe, mais les autres aussi.” Elle ajoute énergiquement : “Peuples, vous êtes prévenus !” »

Il ne fait aucun doute que ce message qui a été donné en 1947, prend aujourd’hui un sens tout nouveau qu’il n’a encore jamais eu.


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Message par Francesco Ven 17 Sep 2010 - 4:46

Amsterdam:
Dans un autre message, Notre Dame de tous les peuples dit :

Citation:
Peuples chrétiens, unissez-vous
La Dame porte à présent son regard autour d’elle puis sur le globe. Je vois alors venir, çà et là, de profondes taches noires. La Dame me dit :
« C’est ce qui va s’abattre sur le monde, des choses de nature économique et matérielle. J’ai dit : des calamités vont se produire, des catastrophes naturelles vont se produire. Je te dis à présent : toutes ces taches noires que tu vois là, sont les calamités qui se produiront. Et je ne parle pas seulement de catastrophes naturelles. Une fois de plus, je lance un appel aux peuples chrétiens : il est grand temps de s’unir !
Et toi, mon enfant, tu dois transmettre cela. Tu dois dire au monde que c’est la Dame de tous les Peuples qui te dit cela. »


(36ème message du 20 septembre 1951)
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Message par Francesco Lun 20 Sep 2010 - 5:28

Prophétie de Pie IX:«Depuis que le monde entier est contre Dieu et son Église, il est évident qu'il lui a réservé(a son église) la victoire sur ses ennemis . Ce sera plus évident lorsque l'on considèrera que la racine de tous les maux de notre monde se trouvera dans le fait que ceux qui ont les talents , le pouvoir se complaiseront dans les plaisirs terrestres et qu'ils désavoueront Dieu completement. Ainsi, il apparaîtra qu'ils ne pouront pas être ramenés vers Dieu de toute autre manière que par un acte qui ne peut être attribuée à un organisme secondaire mais a un acte surnaturel ... Il viendra une grande merveille, qui remplira le monde d' étonnement et de stupeur. Cette merveille sera précédée par le triomphe d'une révolution. L'église souffrira excessivement. Ses serviteurs et ses chef seront moqués, flagellés, et le martyrisés. "


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Message par Francesco Lun 20 Sep 2010 - 5:31

Prophétie de la Vierge Marie en Ukraine:
la Vierge qui lui dit :

«Ma fille, ma fille, ma fille, tu vois quelle abondance de grâces, Je possède. Mais je n'ai personne à qui donner mes grâces, car il y a beaucoup de filles et de fils qui se détournent de moi et nul ne me demande rien dans cette année jubilaire. Je voulais obtenir un grand pardon pour les pêcheurs.

Le désastre est sur vous comme au temps de NOE. La destruction ne viendra pas sur vous par l'eau mais par le feu. Un immense flot de feu détruira les nations pêcheresses devant Dieu.

Depuis le commencement du monde, il n'y a jmais eu une telle chute comme aujourd'hui. C'est le règne de Satan.

Je demeurerai sur cette colline où je vois l'univers entier et les pêcheurs, et je distribuerai mes grâces à partir de là. Quiconque viendra se repentir de ses péchés et recevoir de cette eau avec foi, je le guérirai dans son âme et dans son corps».

Et la Vierge aurait ajouté :



«Rome est en danger d'être détruite, le Pape d'être tué. Rome doit être rnouvelée et relevée à travers la collne de SERENE. La foi cathoique doit se répandre à travers le monde entier. Le monde pêcheur et sa population de pêcheurs éprouvent un besoin désespéré de renouveau»

Et la Vierge conclut en posant deux questions :

«Comment ce renouveau arrivera-t-il ? Travers qui et quand ?»

Cette première apparition n'est pas sans poser des problèmes de critique historique. La place éminente dévolue à la colline de SEREDNE ne peut valoir pour l'ensemble du monde. Ici, une étude détaillée des témoignages et des écrits proche de l'évènement (s'il y en reste) serait nécessaire pour dégager un noyau central de véracité des interprétations et extrapolations qui l'entourent.




Cette apparition de DECEMBRE 1953, a suscité un pélerinage sur la colline. Là, d'autres personnes ont également vu la Vierge. Au total 20 apparitions.




LE 22 DECEMBRE 1954, selon J. TERELYA, elle délivra un message de compassion pour la nation toute entière :



«Ma fille, ma fille UKRAINE, je suis venue vers toi, tu es la plus réduite en esclavage, tu es celle qui a le plus souffert pour la foi au Christ. Je suis venue vers toi !»




LE 26 AVRIL 1987, à 9 heures du matin, une fillette de 10 ans, MARIA KYZIN, qui habitait tout près du sanctuaire interdit, alors qu'elle se rendait à la messe dans le village voisin, vit distinctement une silhouette aller et venir sur le balcon de la chapelle en bois, au-dessus d'une porte. Elle a rapporté qu'elle vit la Vierge «à peu près chaque jour à heure fixe» . Les apparitions ont duré jusqu'à aujourd'hui. La description qu'elle donne de cette Vierge est peu fréquente, même chez les catholiques orientaux «un vêtement noir. Un jour elle avait un foulard blanc».




Plus «classiques» sont les «fruits» de ces apparitions : «J'ai meilleur caractère. Je suis plus pieuse. Je vais à la messe chaque dimanche» .




Ensuite, près de cinq cent mille personnes assistent à l'apparition de la Vierge qui apparait quotidiennement entre le 26 avril au 25 août. De nombreuses personnes entendent la voix de la Vierge. La Vierge dit :



«Je suis venue pour remercier le peuple ukrainien, car vous êtes parmi ceux de l'église du Christ, qui ont le plus souffert au cours des derniers soixante-dix ans. Je suis venue vous réconforter et vous dire que votre souffrance prendra bientôt fin . L'Ukraine deviendra un État indépendant».








APPARITION DE LA VIERGE




Le 13 Mai 1987, jour anniversaire des apparitions de Fatima, la télévision locale diffuse une émission critique concernant le phénomène de Grushew, dans le but de décourager les pèlerins, mais au cours de l'émission, La Vierge est apparue au coeur de la lumière et a flotté au-dessus de l'église tenant l'Enfant Jésus dans ses bras, que tous les téléspectateurs de la région ont pu observer. Une lumière vive l'a précédée, recouvrant l'église et ses environs. Cette même lumière a été filmée dans une émission de télévision.










PERSECUTION COMMUNISTE/TCHERNOBYL





Le régime communiste fit tout pour obliger les visionnaires de se taire et pour décourager les pèlerinages, élevant des barricades, creusant des tranchées le long de toutes les routes d'accès au village et cloturant les limites de cette zone interdite aux pèlerins. Mais tout cela n'a pas empêché l'afflux des fidèles : une source gouvernementale a parlé de la présence de 45.000 personnes par jour, qui sont venus de loin attirant même les orthodoxes sur les lieux du miracle.

Cette série d'apparitions en terre ukrainienne suscita un pélerinage «sauvage» , illégal aux yeux des aurorités communistes. Ce qui entraina des arrestations pour «activité ukrainienne catholique» . Le clergé catholique, réduit à la clandestinité ou rallié à l'orthodoxie, ne put mener l'enquête canonique nécessaire pour authentifier les faits. A ce jour, aucun jugement n'a donc été rendu. Mais le pélerinage n'a pas cessé.

Le 26 avril 1986, la nation ukrainienne est frappée de plein fouet et traumatisée par l'accident nucléaire de TCHERNOBYL. On estime à 4 mllions de personnes, le nombre total de soviétiques exposés aux radiations. Plusieurs millliers de personnes en sont mortes et les effets s'en font encore sentir.

C'est un an jour pour jour, après cette catastrophe de TCHERNOBYL, que commencèrent d'autres apparitions de la Vierge à HRUSHIV. Le sanctuaire de la Sainte Trinité (appelé plus communément «PUITS NOTRE DAME» à cause de la source réputée miraculeuse qu'il renfermait) était abandonné depuis longtemps.

Après la disparition de l'Eglise gréco-catholique, les autorités communistes l'avaient cédée à l'Egise orthodoxe, puis, finalement, l'avaient fermée en 1959 et en avaient interdit l'accès aux fidèles.








PROPHETIES




A propos de la catastrophe de Tchernobyl, elle dit :



«N'oubliez pas ceux qui ont péri dans la catastrophe de Tchernobyl. Tchernobyl est une mise en garde et un signe pour le monde entier» .

«Pardonnez à vos ennemis. Grâce à vous et le sang des martyrs, la Russie se convertira. Repentez-vous et aimez-vous les uns les autres. Les temps qui viennent sont ceux qui ont été annoncé comme étant ceux de la fin des temps. Voyez la désolation qui entoure le monde : .. le péché, la paresse, le génocide. Priez pour la Russie. L'oppression et les guerres continuent d'occuper les esprits et les cœurs de beaucoup de gens. La Russie, malgré tout, continue de refuser mon Fils. La Russie rejette la vie réelle et continue de vivre dans l'obscurité .... Si la Russie ne redevient pas chrétienne, il y aura une troisième guerre mondiale et le monde entier devra faire face à la ruine» .

«Apprenez aux enfants à prier. Apprenez-leur à vivre dans la vérité et vivez vous-mêmes dans la vérité. Récitez le Rosaire. Il est l'arme contre Satan. Il craint le Rosaire. Rassemblez-vous pour récitez le Rosaire» .

«Je suis venue vous réconforter et vous dire que votre souffrance prendra bientôt fin. Je vais vous protéger, pour la gloire et l'avenir du Royaume de Dieu sur la terre, qui durera mille ans. Le Royaume des Cieux sur Terre est proche et à portée de main. Il ne viendra que par la pénitence et le repentir» .

«Ce monde méchant fête la dépravation et l'impureté. Beaucoup de mensonges sont proclamés comme la vérité. Les innocents sont condamnés. Beaucoup qui se présentent, sont de faux messies et de faux prophètes. Soyez diligents. Soyez sur vos gardes» .

«Heureux ceux dont la vie est droite et qui marchent dans la crainte du Seigneur»

«Mes enfants, chacun d'entre vous est cher à mon coeur. Je ne fais aucune distinction de race ou de religion. Vous ici en Ukraine, avez connu la seule vraie Eglise apostolique. Vous avez choisi la porte du Ciel. Vous devez suivre cette voie, même si ça doit être douloureux» .

«Le Père vous appelle. C'est pourquoi j'ai été envoyée vers vous. Vous, en Ukraine, avez été le premier peupe qui m'a été confié. Tout au long de votre longue persécution que vous n'avez pas perdu la foi, l'espérance et l'amour. J'ai toujours prié pour vous, mes chers enfants, où que vous soyez» .











La Vierge Marie serait apparue dans onze autres sanctuaires de la région.




Parmi les milliers de témoins présents, les évêques :

Yulian Voronovskyi,

Pavlo Vasylyk,

Filymon Kurchaba,

Yaroslav Pryriz et les frères Simkaylo ainsi que le père.

Yaroslav Lesiw et les militants catholiques persécutés de Ukrainian Helsinki Group,

Yosyf Terelya. Yaroslav Lesiw et les militants catholiques persécutés du Groupe d'Helsinki de l'Ukraine,

Yosyf Terelya.




Compte tenu de la difficile situation actuelle en Ukraine, le message de 1987 est encore d'actualité. Monseigneur Yulian Voronovskyi a adressé un vibrant appel à l'aide aux bienfaiteurs de l'Église en détresse et à tous les croyants de bonne volonté, pour intercéder pour l'unité des chrétiens.




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Message par Francesco Mar 28 Sep 2010 - 23:52

PROPHETIES DE PAPES
ROPHETIES DE PAPES










PROPHETIES DE LEON XIII (1810/1903)




























BIOGRAPHIE



Avec Léon XIII, 256ème Pape de l'histoire, qui succède à Pie IX le 20 février 1878, l'Eglise bénéficie d'une indépendance nouvelle par rapport à l'Etat.





LE PAPE «LIBERAL»




Cet ancien archevêque de Pérouse, cardinal puis camerlingue, adopte une attitude libérale et conciliante envers tous les catholiques d'Europe, excepté les Italiens auxquels il interdit de participer à la vie politique, parce qu'il n'accepte pas la perte de Rome et du pouvoir temporel. En revanche, il obtient en Allemagne la fin du «Kulturkampf» en 1886 - le combat dit pour la civilisation que le chancelier Bismark mène contre l'influence du catholicisme en Allemagne - et autorise les catholiques français à se rallier à la République. Son libéralisme extrême pousse à penser, dans les milieux royalistes et en Vendée, qu'on lui a substitué un sosie ! L'épisode sera repris dans les Caves du Vatican de Gide. Léon XIII encourage enfin le rapprochement entre anglicans et catholiques. En 1900, il renonce aux Etats pontificaux.





LE PAPE DE LA «DOCTRINE SOCIALE»






Léon XIII œuvre beaucoup dans le domaine intellectuel et doctrinal et laisse de nombreuses encycliques. son apport se mesure surtout dans celle de 1891 : «RERUM NOVARUM» - «les choses nouvelles». Par cette encyclique, il se saisit de la question sociale et dénonce «la concentration entre les mains de quelques-uns de l'industrie et du commerce, devenus le partage d'un petit nombre d'hommes opulents et de ploutocrates, qui imposent ainsi un joug presque servile à l'infinie multitude des prolétaires»








PROPHETIES




Le 13 octobre 1884, après que le Pape Léon XIII eut terminé de célébrer la Messe dans la chapelle vaticane entouré par quelques cardinaux et membres du Vatican, il s'arrêta soudainement au pied de l'autel. Il se tint là environ dix minutes, comme en extase, son visage blanc de lumière. Puis, partant immédiatement de la chapelle à son bureau, il composa la prière à saint Michel avec instructions pour qu'elle soit dite partout après chaque Messe basse.

Lorsqu'on lui demanda ce qui était arrivé, il expliqua qu'au moment où il s'apprêtait à quitter le pied de l'autel, il entendit soudainement des voix : deux voix, une douce et bonne, l'autre gutturale et dure ; il semblait qu'elles venaient d'à-côté du tabernacle. Comme il écoutait, il entendit la conversation suivante :
La voix gutturale, la voix de Satan dans son orgueil, criant au Seigneur :




«Je peux détruire ton Eglise».

La voix douce du Seigneur :




«Tu peux ? Alors, fais le donc».

Satan :




«Pour cela, j'ai besoin de plus de temps et de pouvoir».

Notre Seigneur :




«Combien de temps ? Combien de pouvoir ?»

Satan :




«75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service».

Notre Seigneur :




«Tu as le temps, tu auras le pouvoir. Fais avec cela ce que tu veux».








PROPHETIES DE SAINT PIE X (1835/1914)




Mort le 20 août 1914 à Rome, pape du 4 août 1903 à sa mort. Béatifié le 3 juin 1951. Canonisé le 29 mai 1954.



























BIOGRAPHIE







Le père de saint Pie X, Jean-Baptiste Sarto, exerçait le métier de facteur rural. Il avait épousé Margherita Sanson, un nom bien digne d'être honoré. L'aîné de ses dix enfants, Joseph, devenu saint Pie X, a proclamé bien haut tout ce qu'il devait à sa sainte mère. Cet enfant de prédilection grandit dans l'humble village de Riese. Le jour de sa première communion, il promit à Dieu de rester chaste et de se préparer à la prêtrise. Malgré l'obstacle de la pauvreté qui sévissait au foyer, l'enfant était prêt à tous les sacrifices pour réaliser cet idéal.
Ses études terminées au grand Séminaire de Padoue, la prêtrise lui fut conférée et il fut envoyé comme vicaire à Tombolo, puis curé à Salzano, en Vénétie. Là, le choléra ayant éclaté, l'abbé Sarto soigne ses paroissiens jour et nuit, les administre, les ensevelit.




Nommé évêque de Mantoue en 1884, il s'objecte d'abord à cette élévation à l'épiscopat, mais devant l'insistance des supérieurs, il se soumet à la décision des autorités ecclésiastiques. Mgr Sarto se propose d'être tout à tous: «Mon peuple me trouvera toujours ferme à mon poste, toujours doux et plein de charité.» Né pauvre, Mgr Sarto resta toujours pauvre et au service des pauvres. Vivant modèle du troupeau, il donne l'exemple d'une vie sainte et sacrifiée sans se démentir jamais.




Les degrés hiérarchiques qu'il ne cessa de gravir sont marqués par son entière soumission à la volonté de Dieu et une rare facilité d'adaptation. Il ne s'occupait pas du passé, de ses aspirations personnelles, de sa liberté, mais abandonnait tout à la divine Providence. En 1903, le souverain pontife Léon XIII expire et le cardinal Sarto est choisi pour le remplacer. Devant ce choix inattendu, celui qui avait toujours désiré demeurer simple curé de campagne, ne sut que balbutier la prière de l'agonie : «Que ce calice s'éloigne de moi... Que la volonté de Dieu soit faite...» Il dut prononcer à haute voix : «J'accepte.» Il termina plus bas : «In crucem,» c'est-à-dire: «jusqu'à la croix.»

La confusion régnait au sein de l'Église et de la société, la franc-maçonnerie lançait ses attaques sournoises et déguisées, les hérésies modernes élevaient prétentieusement la tête. On accusa saint Pie X d'opposer une barrière désuète au progrès. Mais rien n'ébranla le courage et les convictions du chef de la chrétienté qui condamna fermement toutes les erreurs qui tentaient de détruire subtilement la foi: «Nous réprouvons ces doctrines qui n'ont de la vraie philosophie que le nom et conduisent au scepticisme universel et à l'irréligion.» Possédant à un haut degré le don du discernement des esprits, saint Pie X s'est constamment signalé comme défenseur de l'intégrité de la foi en condamnant entre autres l'hérésie moderniste qu'il a qualifiée de «carrefour de toutes les hérésies.»

En 1914, ce saint pape écrivit à l'empereur d'Autriche pour le conjurer d'empêcher la déclaration de la guerre. Devant l'inutilité de ses efforts, il s'offre généreusement à Dieu en victime d'expiation pour le peuple chrétien et l'humanité toute entière. Le soir du 19 août 1914, le bourdon de Saint-Pierre sonnait le glas... «Un Saint est mort» proclamait le peuple. En 1954, Pie XII canonisait celui dont on avait dit: «L'histoire en fera un grand pape, l'Église en fera un grand Saint.» Saint Pie X a été surnommé le pape de l'Eucharistie, car c'est sous son heureux pontificat que les petits enfants furent appelés à communier dès l'âge de raison.


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PROPHETIES SUR LA FRANCE




Que vous dirai-je, à vous, chers fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ?




Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se convertira et retournera à sa première vocation. Sans doute, les fautes ne demeurent pas impunies; mais la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes ne périra jamais.




Un jour viendra, et il ne tardera guère, où la France, comme autrefois Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée de lumière céleste et où elle entendra une voix qui lui répétera :




«Ma fille, ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?»
Et sur sa réponse:

«Qui êtes-vous, Seigneur ?»
La Voix répliquera :

«Je suis Jésus de Nazareth que tu persécutes; il t'est dur de regimber contre l'aiguillon, parce que, dans ton obstination tu te ruines toi-même».
Et elle, frémissante et étonnée, dira :

«Seigneur, Seigneur, que voulez-vous que je fasse ?»
Et Lui :

«Lève-toi, lave-toi des souillures qui t'ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre Alliance et va, fille aînée de l'Eglise, nation prédestinée, vase d'élection, va porter, comme par le passé, mon nom devant tous les peuples et rois de la terre».






Au cours d'un Chapitre Général des Franciscains :





«Ce que j'ai vu est horrible», dit-il au sortir d'une extase, j'ai vu le Pape fuir du Vatican en marchant sur les cadavres de ses prêtres !»






peu de temps avant sa mort avait angoissé, murmuré :





«Je vois les russes à Gênes».



«J’ai vu l’un de mes successeurs du même nom qui s’enfuyait par-dessus les corps de ses frères. Il ira quelque part, et après un bref répit, il mourra de mort cruelle»








PROPHETIES DE PIE XII (1876/1958)



Réponse que Pie XII a faite à son médecin personnel entre 1954 et 1958, notée dans le livre que le médecin a écrit :
















AVANT-PROPOS





Bien entendu, les citations que Je vais faire sont extraites de longues conversations.

Que l'on me pardonne d'en avoir souvent oublié le contexte. Je me suis en effet contenté, à l'époque, de prendre note au jour le jour des temps forts et des phrases les plus importantes de ces entretiens.

D'autre part, ces paroles ont été prononcées en italien, et je les ai traduites moi-même.

Je ne suis pas agrégé d'italien, ni de français d'ailleurs.

J'ai pu, en les transcrivant, m'éloigner de la forme initiale, du style plein de majesté de Pie XII. Mais je suis resté au plus près du fond de la pensée du Saint-Père. Jamais je ne l'ai interprété ou trahi.

Les commentaires qui accompagnent nombre de citations n'engagent certes que moi.
Néanmoins, je les juge nécessaires pour restituer dans quel esprit ces paroles ont été formulées, et pour bien comprendre ce que Pie XII voulait nous signifier.

A chacun de juger, à part soi, s'il s'agit là de prévisions, de prédictions ou de prophéties. Avec presque trois décennies de recul, l'on s'apercevra qu'elles se sont déjà, en partie du moins, accomplies ou vérifiées, sauf peut-être une erreur de date.

On pourrait, bien sûr, m'accuser d'avoir « arrangé », ou «embelli» ces citations pour les rendre plus crédibles. Je n'en ai rien fait, je n'ai rien inventé et, de toute façon, c'est ce qui concerne notre avenir à tous qui importe aujourd'hui.

Cet avenir, j'en suis convaincu, nous donnera raison aux yeux des incrédules.

En ce qui me regarde, un soir, à Castel Gandolfo, ayant entenJu le Saint-Père prédire des jours sombres au professeur Galeazzi-Lisi, je m'enhardis à lui demander ce qu'il conjecturait de mon propre sort.

Voici ce qu'il me répondit :

« Attendez-vous à être jalousé, critiqué, poursuivi et condamné, car vous dérangez et vous dérangerez trop d'intérêts, et de surcroît vous êtes téméraire. Mais aIIez en paix, vous triompherez de la méchanceté et de la bêtise, car vous croyez sincèrement ... »



CITATIONS ET PREDICTIONS D'ORDRE GENERAL




2007





«En l'an 2007, les fruits, si l'on peut dire, du palier 1986-1990 seront mûrs, et l'humanité abordera une période agitée, dangereuse, très dangereuse, dominée par la menace cataclysmique mondiale»








LE TERRORISME





«Les terrorismes intellectuels, d'où qu'ils viennent, sont aussi mortels que les terrorismes physiques; ils ne servent, les uns comme les autres, que de sordides intérêts particuliers, jamais l'intérêt général»



Dans le même esprit, du moins me parut-il, le souverain pontife ajouta plus tard :



«Viendra le temps des crimes légitimés, des crimes sans assassin, des effets sans cause.»










LA JUSTICE





«Ne pouvant que rarement s'élever au-dessus des passions, sensible qu'elle est aux pressions de l'opinion et des puissants du moment, la justice humaine ne peut être qu'imparfaite, voire injuste maintes fois.»




«Jésus est venu nous enseigner le pardon. Nous ne saurions prêcher une autre loi»

«D'aucuns, lucides mais partiaux, suivis de beaucoup d'autres, moutonniers ou mercenaires, oublieront que la vengeance attire la vengeance, et prépareront immanquablement les drames futurs»







LE SIDA





«La licence des mœurs atteindra son apogée dans les années 1980. De nouvelles maladies vénériennes, terribles, apparaîtront»







L'APOCALYPSE





«La première apocalypse sera le feu nucléaire si l'humanité n'y prend garde»







LA DÉMOGRAPHIE





«En matière de démographie, l'histoire se répète. D'abord, par nécessité, les peuples travaillent, grandissent, prospèrent ; puis, à partir d'un certain degré d'aisance, ils se laissent aller, régressent, goûtent les délices de Capoue.




L'intérêt particulier l'emportant alors sur l'intérêt général, ils meurent, phagocytés par des peuples moins avancés, frustes et affamés. La rapidité de leur disparition est proportionnelle à leur densité démographique résiduelle, à leur richesse, les peuples s'amollissant en fonction de leur degré de fortune»







UNE PROPAGANDE INSIDIEUSE





«Une propagande insidieuse, minant les valeurs les plus sûres et les plus sacrées de l'humanité, défera les nations»







DES ERREMENTS POLITIQUES





«Les errements politiques sont tels que les vérités et les valeurs les plus fondamentales changent avec les régimes»






L'ÉNERGIE





«Avec l'atome, l'homme joue à l'apprenti sorcier. Il y risque son propre devenir, car jamais il n'aura la maîtrise parfaite de cette énergie fondamentale.




En revanche, il maltrlsera l'énergie solaire, par voie spatiale, au XXIe siècle»







LA LIBERTÉ





«L'homme a des droits et des devoirs. Le juste équilibre entre les uns et les autres définit et donne la vraie liberté»







L'ÉDUCATION





«Une fraction de la jeunesse sera corrompue par les facilités mêmes que lui accorde si largement l'éducation dite moderne»







LES MANIPULATIONS GÉNÉTIQUES





«Il est licite, souhaitable même que la science tente de percer les secrets de la Vie dans le but d'améliorer la santé humaine, mais que le biologiste se garde de prétendre se substituer au Créateur pour modifier aveuglément les lois de la génétique, les conséquences en seraient effrayantes»







L'EGLISE





«L'Eglise vivra des temps difficiles, subissant les effets néfastes de l'ambiance décadente de cette fin d'époque, de l'aggiornamento qui s'annonce, nécessaire, mais sera mal compris.




Le clergé s'appauvrira sur tous les plans et sera troublé.
Profitant de ce climat malsain et de ces incertitudes, les sectes prospèreront.

Mais cette involution mourra avec le siècle. le XXIe siècle malgré la présence du premier Antéchrist, malgré l'affaiblissement de l'Occident, tant matériellement que moralement, verra se produire une véritable résurrection de la Foi et de l'Eglise rénovée.

Le matérialisme le cèdera au spirituel. Les valeurs morales, tant dénigrées, retrouveront leur place première. L'humanité reprendra alors sa marche bien longue et malaisée vers la lumière»








LES PROPHETIES PAYS PAR PAYS



LA FRANCE





«Après une période de dix années de prospérité et de prestige retrouvé, la France, que nous aimons paternellement, retournera à ses jeux politiques favoris, à ses obsessions destructrices. Une succession de gouvernements faibles, laxistes, démagogues, laisseront se désagréger le sentiment national et les valeurs élémentaires. Une réaction brutale des forces vives et populaires du pays mettra fin à cette déliquescence voulue par certains, tolérée par d'autres. Pour ne pas sombrer, la France changera de régime sans douceur»



A l'évidence, les dix années de prestige et de prospérité qu'évoque le Saint-Père correspondent à l'avènement du gaullisme et de la Ve République.



Pour ce qui concerne «le brutal changement de régime» que Pie XII prévoit, il se produirait dans les années 1997 -1998 et prendrait la forme d'une Révolution à l'envers, en ce sens qu'il rétablirait rétablirait une sorte de monarchie éclairée et moderne mais néanmoins musclée.







LES ETATS-UNIS





«Ce grand peuple, fondamentalement religieux malgré les excès et déviations que nous connaissons, n'a pas toujours les dirigeants qu'il mérite. Les lobbies ou groupes de pression gouvernement, en fait le pays, tenant le Président et les Assemblées sous leur coupe, ce qui explique d'ailleurs, les maladresses trop fréquentes de la politique étrangère de cette démocratie première, l'un des piliers de l'équilibre mondial. Ce rôle primordial exigera pour s'affirmer, une doctrine autre que celle du dollar. Le mercantilisme à lui seul, et à long terme, ne saurait régenter le monde. Mais la nation américaine réagira à temps, corrigera partiellement les concepts politico-économiques bornés et les U.S.. aborderont finalement le troisième millénaire dans des conditions favorables, confortés par leurs avancées spaciales -quoique talonnés par les soviétiques dans ce domaine-, et malgré de graves problèmes raciaux et financiers».







L'U.R.S.S.




«Rien ne se produira de notable, en URSS, avant la fin de la gérontocratie, c'est-à-dire avant le début de l'année 1985. Les relativements jeunes dirigeants de la nouvelle vague, nourriront véritablement des intentions libérales ; ils penseront même à rendre une relative liberté, un partiel droit à disposer d'eux-mêmes (moyennant une neutralité strictement controlée et des relations privilégiées à leurs satellites dont l'orbite est fortement perturbée par l'asservissement au suzerain russe. Mais ce ne seront là, dans un premier temps, que velléités, car le système soviétique est si fragile qu'il risque l'écroulement au moindre signe de faiblesse. Pourtant, cette libéralisation sera en marche, le levain de la liberté fermentera, et une aube nouvelle se lèvera à l'Est. Du nouveau à l'Est puisque, à la fin de ce siècle, la réunification des deux Allemagnes sera en bonne voie, toujours sous condition de neutralité, ce qui n'ira d'ailleurs pas sans conséquence pour toute l'Europe. La première décennie du XXIe siècle verra s'amorcer, en URSS, de profonds changements de structure, l'empire se trouvant menacé de fractures par les pressions conjuguées de ses multiples composantes. Le communisme doctrinal le cèdera dès lors, peu à peu, à un réformisme pragmatique».







LA CHINE





Le peuple chinois ne sera jamais vraiment marxiste. Après vingt années d'errements, de folie, la Chine reviendra progressivement à sa sagesse millénaire. Son alliance avec le Japon, à la in du siècle, changera véritablement la face du monde, dont le pôle économique et politique basculera de l'Atlantique vers le Pacifique, et marquera la prédominance des races jaunes sur les autres.







L'AFRIQUE




A l'instar de l'Amérique du Sud, l'Afrique recherchera longtemps son équilibre.




Dans un premier temps, la décolonisation en marche ne lui apportera ni la liberté, ni la prospérité attendues, mais au contraire une régression due à des régimes inexpérimentés, parfois sanguinaires, avec pour corollaire une extension de la famine et de la maladie. Les pays développés seront bien inspirés en leur apportant des techniques et du savoir faire plutôt que de simples dons ou secours, salvateurs dans l'immédiat mais démobilisateurs à terme. Car le plus grand danger qui menace ce continent, c'est l'explosion démographique sans compensation alimentaire.







LE MOYEN-ORIENT




Par l'affrontement israélo-arabe, le Moyen-Orient connaitra l'enfer. Massacres, destructions, souffrances sans nom, tribulations de tout un peuple. Cet état de guerre permanent nous vaudra de surcroit le réveil exacerbé d'un islamisme redoutable pour les valeurs occidentales. Et la force, malgré les sacrifices consentis et es sommes colossales englouties, ne résoudra pas le problème. Pour sortir de l'impasse, la seule chance, le seul espoir, avant qu'il ne soit trop tard, seront les réelles possibilités de négociations qui se présenteront durant les années 1986/1990 aux responsables des deux parties en lutte, aussi motivées l'une que l'autre.




Toutefois, le Saint-Père ne croyait pas qu'un accord fût possible. Du moins nous semble-t-il, car il déclara par la suite :




«Les combats s'arrêteront faute de combattants de part et d'autre ...»







L'ISLAM




Réveillé, fanatisé par le différent israélo-arabe, disposant de moyens matériels considérables, de la puissance du Coran, d'une démographie galopante, l'islamisme reprendra son expansion. L'Occident, pour préserver l'essentiel de ses valeurs, ainsi que son identité, sera soumis à rude épreuve.







L'ITALIE




La pénétration marxiste, en Italie, ne sera que superficielle. Les bases très saines du peuple italien tiendront malgré la vague de criminalité subversive qui culminera au cours des années 1980, et malgré la licence des moeurs. La politique de ce pays restera terne, stagnante, mais nous voyons une bonne fin de siècle pour nos compatriotes.







L'ESPAGNE




L'Espage, pays de foi profonde, changera de régime en douceur pour la première fois de son histoire, mais devra se méfier de ses démons extrémistes. Sa ituation politique sera critique, mais non pas désespérée, au début du troisième millénaire. Toutefois, la monarchie perdurera.







LE PORTUGAL




Après une longue période de stabilité, ce pays pauvre mais courageux et fidèle à nos croyances, traversera de graves troubles politiques et des jours sombres. L'embellie économique tardera à se produire ; elle ne sera obtenue qu'au prix de nouveaux changements politiques, lesquels n'interviendront pas avant la fin de ce siècle.







L'AMERIQUE DU SUD




Une mosaïque de peuples chers à notre coeur et de culture essentiellement latine. Mis aussi une chaudière toujours sous pression et prête à exploser. Elle cherchera passionnément, souvent désespérément et violemment son équilibre spirituel et économique. Cet équilibre très lent à se manifester, ne sera pas trouvé avant la première décennie u XXIe siècle ; il sera d'ailleurs chèrement payé en souffrances de toutes sortes. Les USA ont et auront une lourde responsabilité à assumer dans cette évolution bénéfique, car leur propre avenir en dépendra : les Etats-Unis y veilleront.







LE QUEBEC





La foi solide des Quebécois qui les soutient depuis trois cent cinquante ans, ne sera pas épargnée par la dépression religieuse de cette fin de siècle ; mais elle retrouvera toute sa vigueur avec le XXIe et refleurira sur les rives du Saint Laurent.







L'ALLEMAGNE





L'Allemagne (de l'Ouest) prospérera sur le plan économique tant que dureront les cadres anciens qui en forment l'ossature. Elle déclinera ensuite rapidement, malgré sa réunification, c'est-à-dire à partir des années 1995, pour se reprendre quinze ans plus tard. Ce déclin de la fin du siècle sera la conséquence de profonds désordres et de la dépopulation.

















PROPHETIES DE
JEAN-PAUL II (1920/2005)



































BIOGRAPHIE





Karol Józef Wojtyła, est né le 18 mai 1920 à Wadowice, Près de Cracovie, en Pologne. Il est le second des enfants de Karol Wojtyła et d'Emilie Kaczorowska. Sa mère mourut en 1929. Son frère aîné Edmund, qui fut médecin, est décédé en 1932, leur père, ancien Sous-officier, en 1941. Il fit sa Première Communion à 9 ans et reçut la Confirmation à 18 ans. Séminariste, il étudie aussi le théâtre.




Il conclue ses études secondaires près l'Ecole Marcin Wadowita de Wadowice, il s'inscrit en 1938 à l'Université Jagellon de Cracovie. L'université ayant été fermée en 1939 par l'occupant nazi, le jeune Karol dut travailler sur un chantier de l'usine chimique Solvay afin de gagner sa vie et d'échapper à la déportation en Allemagne. A compter de 1942, ressentant sa vocation au sacerdoce, il suivit les cours de formation du Séminaire clandestin de Cracovie, dirigé par l'Archevêque, le Cardinal Adam Stefan Sapieha. Il fut à la même époque l'un des promoteurs du Théâtre Rapsodique, lui aussi clandestin.




En 1946, l'ordination et le départ pour Rome, afin d'y poursuivre un doctorat




Après la Seconde Guerre Mondiale, il poursuivit ses études au Grand Séminaire de Cracovie à peine rouvert, mais aussi à la Faculté de théologie de l'Université Jagellon, jusqu'à son ordination sacerdotale à Cracovie le 1er novembre 1946. Durant son séjour romain, il occupa son temps libre pour exercer son ministère pastoral auprès des émigrés polonais de France, de Belgique et des Pays-Bas.




Il rentra en 1948 en Pologne pour être vicaire en diverses paroisses de Cracovie et Aumônier des étudiants jusqu'en 1951 lorsqu'il reprit ses études philosophiques et théologiques. En 1953, il soutint près l'Université catholique de Lublin une thèse intitulée "Mise en valeur de la possibilité de fonder une éthique catholique sur la base du système éthique de Max Scheler". Il accéda ensuite à l'enseignement professoral de la théologie morale et d'éthique sociale au Grand Séminaire de Cracovie et à la Faculté de Philosophie chrétienne de Lublin.




L'élévation à l'épiscopat en 1958, puis au cardinalat en 1967




Le 4 juillet 1958, Pie XII le nomma Evêque auxiliaire de Cracovie et, le 28 septembre suivant, il reçut la consécration épiscopale des mains de l'Archevêque Baziak, en la cathédrale du Wawel (Cracovie). Le 13 janvier 1964, il fut nommé Archevêque de Cracovie par Paul VI qui, le 26 juin 1967, l'éleva au cardinalat. Après avoir participé au Concile Vatican II (1962-1965), où il offrit notamment une importante contribution à l'élaboration de la Constitution Gaudium et spes, le Cardinal Wojtyła prit part à toutes les assemblées du Synode des Evêques.




Karol Józef Wojtyła, devient Jean-Paul II à son élection au Siège apostolique en octobre 1978. Il choisit pour devise de pontificat "totus tuus", devise qui indique sa consécration à la Vierge Marie dans l'esprit de saint Louis Marie Grignion de Montfort.




Entre le début de son pontificat, le 16 octobre 1978, et son retour au Père, le 2 avril 2005, le Pape Jean-Paul II a accompli 104 voyages apostoliques hors d'Italie et 146 visites pastorales en Italie. Comme Evêque de Rome, il a visité 317 des 333 paroisses actuellement existant dans ce diocèse.




On compte 14 encycliques, 15 exhortations apostoliques, 11 constitutions apostoliques et 45 lettres apostoliques. Il a aussi publié de nombreux livres.




Le Saint-Père a procédé à 147 cérémonies de béatification (1338 Bienheureux) et à 51 de canonisation (482 Saints). Il a tenu 9 consistoires au cours desquels il a créé 231 (+ 1 in pectore) cardinaux et a présidé 6 assemblées plénières du Collège cardinalice.




De 1978 à 2005, le Saint-Père a présidé 15 Synodes des Evêques : 6 Assemblées ordinaires (1980, 1983, 1987, 1990, 1994 et 2001), 1 générale extraordinaire (1985), 8 spéciales (1980, 1991, 1994, 1995, 1997, 1998 [2] et 1999).




Aucun Pape n’a rencontré autant de personnes que Jean-Paul II : aux audiences générales du mercredi (plus de 1160) ont participé jusqu’à présent plus de 17.600.000 de pèlerins, sans compter toutes les autres audiences spéciales et les cérémonies religieuses [plus de 8 millions de pèlerins seulement au cours du Grand Jubilé de l’An 2000]; outre les millions de fidèles qu’il a rencontrés au cours de ses visites pastorales en Italie et dans le monde.




Nombreuses sont les personnalités gouvernementales reçues en audience : il suffit de rappeler les 38 visites officielles et les 738 audiences ou rencontres de chefs d’Etat, ainsi que les 246 audiences et rencontres de premiers ministres.






Lorsque Karol Wojtyla, consacré à Marie, est devenu le premier Pape slave de l’Histoire, le 16 octobre 1978, les évêques polonais lui ont immédiatement transmis le «poème prophétique» écrit dans la première moitié du XIXème siècle par Julius Slowacki (1809-1849) :





Celui-là ne fuira pas devant l'épée, comme cet italien.

Celui-là, hardi comme Dieu, affrontera en face l'épée !

C'est le monde qui est poussière.

Les foules s'enfleront et le suivront vers la Lumière que Dieu habite.

Il débarrassera les plaies du monde de leur sanie et de toute leur vermine.

Il nettoiera les sanctuaires des églises et en balaiera le seuil.

Il révèlera Dieu aussi clair que le jour…»

Julius Slowacki (1809-1849)




Ce poème avait marqué les foules polonaises et l’espérance d’un Pape slave était née à ce moment-là. On pourrait croire que Jean-Paul II s’est appliqué à suivre le "programme" tracé par ce célèbre poète de Pologne qui était enseveli près de chez lui, à Wawel Krakow …




Le 22 octobre 1978, Le Pape Jean-Paul II, proclamait le thème de son pontificat :





«N’ayez pas peur !

Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ !

A Sa puissance salvatrice, ouvrez les frontières des états,

Les systèmes économiques et politiques ;

Les immenses domaines de la culture, de la civilisation, du développement !

N’ayez pas peur !

Le Christ sait ce qu’il y a dans l’homme ! Et Lui seul le sait !»







PROPHETIES



Le Pape Jean-Paul II, manifestant à Istanbul, le 30 Novembre 1979, "son impatience pour l’unité", terminait :





«…certain que notre espérance ne peut être trompée»




Espérance disait-il que cela se réalise dans ce second millénaire. Faisant référence aussi à cette pleine communion, il affirmait la veille :





«J’ose espérer que ce jour est proche !»






Lors de sa 1ère visite en France, à la messe célébrée au Bourget, le 1er juin 1980, Jean-Paul II, après un développement saisissant sur l’alliance de l’homme avec la Sagesse, qui est la source de la culture, et sur l’effondrement de cette alliance, Jean-Paul II conclut par cette adjuration pathétique, en rappelant le divin Pacte de Reims :





«Aujourd'hui dans la capitale de l'histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l'Eglise. (…) Il n'existe qu'un seul problème, celui de notre fidélité à l'Alliance avec la Sagesse éternelle, qui est source d'une vraie culture, c'est-à-dire de la croissance de l'homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Alors permettez-moi de vous interroger : France, fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander : France, fille aînée de l'Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l'homme, à l'Alliance avec la Sagesse éternelle ? Pardonnez-moi cette question. Je l'ai posée comme le fait le ministre au moment du Baptême. Je l'ai posée par sollicitude pour l'Eglise dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l'homme dont la grandeur définitive est en Dieu, Père, Fils et Esprit.»




La pluie tombait sur le Bourget, le vent s’était levé. La mitre ôtée, la calotte enlevée, Jean-Paul II, tel un bûcheron, la mâchoire en avant, la mèche sur le front, martelait ses mots en soulevant son texte, seul, en avant du podium, comme un capitaine à la proue du navire, bravant les éléments déchaînés.




En 1981, à Fulda en Allemagne, à des jeunes qui lui demandaient pourquoi le Troisième Secret n’avait pas encore été révélé, Jean-Paul II annonça :





«À cause de la gravité de son contenu, de façon à ne pas encourager la puissance mondiale du communisme à perpétrer certains attentats, mes Prédécesseurs dans la Chaire de Pierre ont préféré diplomatiquement retarder son dévoilement.




D’un autre côté, il devrait être suffisant pour tous les Chrétiens de retenir ceci fermement : s’il y a un message dans lequel il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre ; que, d’un moment à l’autre des millions de personnes périront… il n’y a plus nécessité aucune à désirer vraiment publier ce message secret.




Plusieurs désirent connaître seulement par curiosité, ou à cause de leur goût pour le sensationnalisme, mais ils oublient que "savoir" implique pour eux une responsabilité. Il est dangereux de vouloir simplement satisfaire sa curiosité si on est convaincu que nous ne pouvons rien contre une catastrophe qui a été prédite».






À ce moment, le Saint Père montra son Rosaire et dit :





«Voici le remède contre le démon ! Priez, priez et ne demandez rien d’autre. Mettez tout dans les mains de la Mère de Dieu !»






Jean-Paul II a continué :




«Nous devons être prêts à subir de grandes épreuves dans un avenir pas trop éloigné ; des épreuves qui requerront de nous de donner peut-être même nos vies, et un don total de soi au Christ et pour le Christ.




Par vos prières et les miennes, il est possible d’alléger cette tribulation, mais il n’est plus possible de l’éviter parce que ce n’est que de cette façon que l’Église peut effectivement être renouvelée. Combien de fois en effet le renouvellement de l’Église n’a-t-il pas été effectué dans le sang ? Cette fois encore, il n’en sera pas.autrement.




Nous devons être forts, nous devons nous préparer, nous devons nous confier au Christ et à Sa Sainte Mère, et nous devons être attentifs, très attentifs, à la prière du Rosaire»






Le 14 août 1983, à Lourdes, Jean-Paul II fit cette prière à Notre Dame :





«Ici, sur cette terre de France, je confie, au Mère de Dieu, à ton amour maternel, les fils et les filles de ce peuple. Ils n’ont pas cessé de t’honorer, dans leurs traditions, dans l’art de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans la piété populaire comme dans la dévotion des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du Christ en te contemplant, en t’écoutant, en te priant.




Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris des rois, comme l’a fait Louis XIII au nom de son peuple.




O Marie, obtiens pour ces frères et sœurs de France les dons de l’Esprit-Saint, afin de donner une nouvelle jeunesse, la jeunesse de la Foi, à ces chrétiens et à leurs communautés, que je confie à ton Cœur Immaculé, à ton amour maternel»




Le vendredi Saint 28 mars 1997, Jean-Paul II offrit au Seigneur cette prière :






«Seigneur, Un faisceau de lumière s’échappe de Ta Croix. Dans ta mort, notre mort est vaincue et l’Espérance de la Résurrection nous est offerte. Agrippés à Ta Croix, nous demeurons dans l’attente de ton retour dans la gloire !»




Peut-être est-ce de la période ouverte par le pontificat du Pape Jean-Paul II, «Karol», dont parlait la prophétie attribuée à Saint Anselme, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle), extraite du manuscrit d’Argœuves qui date du XVIème siècle :





«Malheur à toi, la ville aux sept collines, lorsque la lettre "K" sera acclamée à l’intérieur de tes murailles, alors ta chute sera proche. Tes gouvernants seront détruits. Par tes crimes et tes blasphèmes, tu as irrité le Très-Haut ; tu périras dans la déroute et le sang.




…qui a une faucille à la main et qui est la faux de la dévastation.»

Saint Anselme, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)






Est-il besoin de traduire en clair ? Rome sera dévastée lorsque «K» y sera glorifié. Peut-être lors de la canonisation du Pape Jean-Paul II ? Epoque à laquelle, un prédateur malfaisant, dont Marie-Julie Jahenny prédit qu’il se nommera Archel de La Torre, celui qui maniera la faucille (et le marteau ?), celui qui détruira tout avec sa faux et qui dévastera Rome et l’Italie.

Et voici un dernier extrait du manuscrit d’Argœuves, pris à la même page :





«Prends garde à toi ! car tu seras extrêmement blâmé comme ayant machiné la mort du Pontife dont le nom est Io. Obi»




Saint Anselme, évêque de Sunium en Grèce (XIIIème siècle)




(John Paul is the only Pope that adopted two names. Bis is two in Latin)



Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Francesco Ven 15 Oct 2010 - 2:06

PROPHETIES DE SAINT LOUIS MARIE GRIGNON DE MONTFORT
PROPHETIES DE



SAINT LOUIS MARIE


RIGNON DE MONTFORT


(1673-1716)















LIRE ICI LES OEUVRES DE SAINT LOUIS-MARIE GRIGNON DE MONTFORT




«Totus tuus», expression de Saint Louis Marie Grignon de Montfort, désormais rendue célèbre par Jean-Paul II qui en avait fait sa devise. Dans son testament ce dernier écrivait de la Vierge :
«Je ressens encore plus profondément que je suis totalement entre les mains de Dieu - et je reste constamment à la disposition de mon Seigneur, me confiant à Lui dans Sa Mère Immaculée (Totus Tuus)».
































BIOGRAPHIE





A 20 ans Saint Louis Marie Grignon de Montfort quitte famille et amis et part à pied pour Paris, ayant le désir d’entrer au séminaire. En chemin, il donne aux pauvres qu’il rencontre, le peu de biens qu’il avait avec lui. Et c’est en haillons mais en se sentant libre et heureux qu’il arrive dans la capitale. Il entre au séminaire pour garçons pauvres. La nuit il veille les morts pour pouvoir payer sa pension. Chargé de la bibliothèque au séminaire, il dévore tout ce qui est écrit sur la sainte Vierge. Il est ordonné prêtre et le 5 juin 1700, il célèbre sa première messe à l’église Saint Sulpice.


Après avoir exercé son ministère à Nantes, il est repris par son désir de servir les pauvres. Il rejoint l'hôpital général de Poitiers où il est nommé aumônier. En 1703, il fonde avec Marie-Louise Trichet, l'institut des sœurs de la Sagesse Divine. Mais ses actions créent des oppositions et des jalousies. L’évêque lui demande de prendre le large.

Il décide de se rendre à pied à Rome et de confier son avenir au Pape. Le 6 juin 1706, il est reçu par le pape Clément XI. Le Pape le nomme «missionnaire apostolique» :
«Vous avez, Monsieur, un assez grand champ en France, pour exercer votre zèle ; n’allez point ailleurs, et travaillez toujours avec une parfaite soumission aux évêques dans les diocèses desquels vous serez appelé : Dieu par ce moyen en donnera bénédiction à vos travaux»

C’est le début de toutes les grandes missions (retraites) que Louis Grignon de Montfort ne cessera plus de donner jusqu’à sa mort. Il invite les croyants à réaffirmer les promesses faites au baptême, et à aller à Jésus par Marie. Car Louis-Marie a découvert que pour lui-même, ce chemin marial avait été un excellent chemin. Personne n'a mieux connu Jésus, personne ne l’a mieux aimé que Marie. Elle a participé à ses joies et à sa douleur. Elle était là à Cana. Elle était là quand son fils mourait sur une croix. Elle est là près de lui dans la gloire, première à rendre grâce, première à implorer pour notre salut à tous.


Les prêches du Père Grignon de Montfort, parfois, dérangent clergé local. Alors il part pour la paroisse ou le diocèse proches. Il reste fidèle à la demande du Pape d’obéir aux Evêques. Il trouvera en Etienne de Champflour, Evêque de la Rochelle, un protecteur efficace.

Il utilise pour sa catéchèse des cantiques populaires qu’il compose, fait ériger des calvaires, constitue des confréries mariales, crée des écoles pour enfants pauvres.

C’est en mission à Saint Laurent sur Sèvres en 1716, qu’il meurt épuisé. Il sera béatifié en 1888 et canonisé par Pie XII en 1947.


































PROPHETIES




TRAITE DE LA VRAIE DEVOTION A LA SAINTE VIERGE




PREMIERE PARTIE




De la dévotion générale à la sainte Verge
Article I. Excellence et nécessité de cette dévotion.


Dieu le Père (42) se veut faire des enfants par Marie jusqu'à la consommation du monde, et il lui dit ces paroles : In Jacob inhabita ! «Demeurez en Jacob,» c'est-à-dire, faites votre demeure et résidence dans mes enfants et prédestinés, figurés par Jacob, et non point dans les enfants du diable et les réprouvés, figurés par Ésaü (43).


Comme dans la génération naturelle et corporelle, il y a un père et une mère ; de même, dans la génération surnaturelle et spirituelle, il y a un père qui est Dieu, et une mère qui est Marie. Tous les vrais enfants de Dieu et prédestinés ont Dieu pour père et Marie pour mère, et qui n'a pas Marie pour mère n'a pas Dieu pour père ; c'est pourquoi les réprouvés, comme les hérétiques, schismatiques, etc., qui haïssent ou regardent avec mépris ou indifférence la très sainte Vierge, n'ont point Dieu pour père, quoiqu'ils s'en glorifient, parce qu'ils n'ont point Marie pour mère ; car s'ils l'avaient pour mère, ils l'aimeraient et l'honoreraient comme un vrai et bon enfant aime naturellement et honore sa mère qui lui a donné la vie


Le signe le plus infaillible et le plus indubitable pour distinguer un hérétique, un homme de mauvaise doctrine, un réprouvé, d'avec un prédestiné, c'est que l'hérétique et le réprouvé n'ont que du mépris ou de l'indifférence pour la très sainte Vierge, tâchant, par leurs paroles et exemples, d'en diminuer le culte et l'amour ouvertement ou en cachette, quelquefois sous de beaux prétextes. Hélas ! Dieu le Père n'a point dit a Marie de faire sa demeure en eux, parce qu'ils sont des Ésaü (44).


Dieu le Fils veut se former et pour ainsi dire s'incarner tous les jours par sa chère Mère dans ses membres, et il lui dit :
In Israël haereditare ..... «Ayez Israël pour héritage ». C'est comme s'il disait : Dieu mon Père m'a donné pour héritage toutes les nations de la terre, tous les hommes bons et mauvais, prédestinés et réprouvés ; je conduirai les uns par la verge d'or et les autres par la verge de fer; je serai le père et l'avocat des uns, le juste vengeur des autres et le juge de tous; mais pour vous, ma chère Mère, vous n'aurez pour votre héritage et possession que les prédestinés figurés par Israël ; et comme leur bonne mère, vous les enfanterez, élèverez ; et comme leur souveraine, vous les conduirez, gouvernerez et défendrez (45).
«Un homme et un homme est né en elle», dit le Saint-Esprit : Homo et konio natus est in ea. Selon l'explication de quelques Pères, le premier homme qui est né en Marie est l'Homme-Dieu, Jésus-Christ ; le second est un homme pur, enfant de Dieu et de Marie par adoption. Si Jésus-Christ, le chef des hommes(46), est né en elle, les prédestinés, qui sont les membres de ce chef, doivent aussi naître en elle par une suite nécessaire : une même mère ne met pas au monde la tête et le chef sans les membres, ni les membres sans la tête, autrement ce serait un monstre de nature ; de même, dans l'ordre de la grâce, le chef et les membres naissent d'une même mère ; et si un membre du corps mystique de Jésus-Christ, c'est-à-dire un prédestiné (47), naissait d'une autre mère que Marie qui a produit le chef, ce ne serait pas un prédestiné ni un membre de Jésus-Christ, mais un monstre dans l'ordre de la grâce.

De plus, Jésus étant à présent autant que jamais le fruit de Marie, comme le ciel et la terre le lui répètent mille et mille fois tous les jours : «Et jésus le fruit de vos entrailles est béni», il est certain que Jésus-Christ est pour chaque homme en particulier qui le possède, aussi véritablement le fruit de l'oeuvre de Marie, que pour tout le monde en général; en sorte que, si quelque fidèle à Jésus-Christ formé dans son coeur, il peut dire hardiment : «Grand merci à Marie ; ce que je possède est son effet et son fruit, et sans elle je ne l'aurais pas» et on peut lui appliquer plus véritablement que saint Paul ne se les applique, ces paroles :
Quos iterum, parturio donec formetur Christus in vobis... «J'enfante tous les jours les enfants de Dieu, jusqu'à ce que Jésus-Christ mon Fils soit formé en eux dans la plénitude de son âge». 48
Saint Augustin, se surpassant soi-même et tout ce que je viens de dire, affirme que tous les prédestinés, pour être conformes à l'image du Fils de Dieu, sont en ce monde cachés dans le sein de la très sainte Vierge où ils sont gardés, nourris, entretenus et agrandis par cette bonne mère, jusqu'à ce qu'elle les enfante à la gloire, après la mort qui est proprement le jour de leur naissance, comme l'Église appelle la mort des justes. Oh ! mystère de grâce inconnu aux réprouvés, et peu connu aux prédestinés !
Dieu le Saint-Esprit veut se former en elle et par elle des élus, et il lui dit :
In eleclis meis mitte radices.. «jetez, ma bien-aimée et mon épouse, les racines de toutes vos vertus dans mes élus»,
afin qu'ils croissent de vertus en vertus et de grâce en grâce. J'ai pris tant de complaisance en vous, lorsque vous viviez sur la terre dans la pratique des plus sublimes vertus, que je désire encore vous trouver sur la terre sans cesser 49 d'être dans le ciel. Reproduisez-vous pour cet effet dans mes élus; que je voie en eux avec complaisance les racines de votre foi invincible, de votre humilité profonde, de votre mortification universelle, de votre oraison sublime, de votre charité ardente, de votre espérance ferme et de toutes vos vertus. Vous êtes toujours mon épouse aussi fidèle, aussi pure et aussi féconde que jamais : que votre foi me donne des fidèles, que votre pureté me donne des vierges, que votre fécondité me donne des élus et des temples.
Quand Marie a jeté ses racines dans une âme, elle y produit des merveilles de grâce qu'elle seule peut produire, parce qu'elle est seule la Vierge féconde qui n'a jamais eu ni n'aura jamais sa semblable en pureté et en fécondité.
Marie a produit, avec le Saint-Esprit, la plus grande chose qui ait été et sera jamais, qui est un Dieu-Homme ; et elle produira conséquemment les plus grandes choses qui seront dans les derniers temps. la formation et l'éducation des grands saints qui seront sur la fin du monde lui est réservée ; car il n'y a que cette Vierge singulière et miraculeuse qui peut produire, en union du Saint-Esprit, les choses singulières et extraordinaires.
Quand le Saint-Esprit, son époux, l'a trouvée dans une âme, il y vole, il y entre pleinement, il se communique à cette âme abondamment et autant qu'elle donne place a son épouse 50 ; et une des grandes raisons pourquoi le Saint-Esprit ne fait pas maintenant des merveilles éclatantes dans nos âmes, c'est qu'il n'y trouve pas une assez grande union avec sa fidèle et indissoluble épouse. je dis : indissoluble épouse ; car depuis que cet Amour substantiel du Père et du Fils a épousé Marie pour produire Jésus-Christ, le chef des élus, et Jésus-Christ dans les élus, il ne l'a jamais répudiée parce qu'elle a toujours été féconde et fidèle.
On doit conclure évidemment de ce que je viens de dire :
1° - que Marie a reçu de Dieu une grande domination dans les âmes des élus ; car elle ne peut pas faire en eux sa résidence, comme Dieu le Père le lui a ordonné, les former en Jésus-Christ et Jésus-Christ en eux, jeter dans leurs coeurs les racines de ses vertus, et être la compagne indissoluble du Saint-Esprit pour tous ses ouvrages de grâce ; elle ne peut pas, dis-je, faire toutes ces choses, qu'elle n'ait droit et domination dans leurs âmes par une grâce singulière du Très-Haut, qui, lui ayant donné puissance sur son Fils unique et naturel, la lui a aussi donnée sur ses enfants adoptifs, non seulement quant au corps, ce qui serait peu de chose, mais aussi quant à l'âme. Marie est la reine du ciel et de la terre par grâce, comme Jésus en est le roi par nature et par conquête : or, comme le royaume de Jésus-Christ consiste principalement dans le coeur et l'intérieur de l'homme, selon cette parole : Le royaume de Dieu est au dedans de vous, de même le royaume de la très sainte Vierge est principalement dans l'intérieur de l'homme, c'est-à-dire son âme, et c'est principalement dans les âmes qu'elle est plus glorifiée avec son Fils que dans toutes les créatures visibles, et nous pouvons l'appeler avec les saints la Reine des coeurs.
2° - Il faut conclure que la très sainte Vierge étant nécessaire à Dieu, d'une nécessité qu'on appelle hypothétique (51), en conséquence de sa volonté, elle est bien plus nécessaire aux hommes pour arriver à leur dernière fin ; il ne faut donc pas mêler la dévotion à la très sainte Vierge avec les dévotions aux autres saints, comme si elle n'était pas plus nécessaire, et que de surérogation (52)
Le docte et pieux Suarez, de la Compagnie de Jésus, le savant et dévot Juste Lipse, docteur de Louvain, et plusieurs autres, ont prouvé invinciblement, en conséquence des sentiments des Pères. entre autres de saint Augustin, de saint Éphrem diacre d'Édesse, de saint Cyrille de Jérusalem, de saint Germain de Constantinople, de saint jean de Damas, de saint Anselme, saint Bernard, saint Bernardin, saint Thomas et saint Bonaventure, que la dévotion à la très sainte Vierge est nécessaire au salut, et que c'est une marque infaillible de réprobation, au sentiment même d'Oecolampade et de quelques autres hérétiques, de n'avoir pas de l'estime et de l'amour pour la sainte Vierge; et qu'au contraire c'est une marque infaillible de prédestination de lui être entièrement et véritablement dévoué ou dévot. 53
Les figures et les paroles de l'Ancien et du Nouveau Testament le prouvent; les sentiments et les exemples des saints le confirment; la raison et l'expérience l'apprennent et le démontrent ; le diable même et ses suppôts, pressés par la force de la vérité, ont été souvent obligés de l'avouer malgré eux. De tous les passages des saints Pères et des Docteurs, dont j'ai fait un ample recueil pour prouver cette vérité, je n'en rapporte qu'un, afin de n'être pas trop long :





Tibi devotum esse, est arma quaedam salutis quae Deus his dat quos vult salvos fieri... «Vous être dévot, ô sainte Vierge ! dit saint Jean Damascène, est une arme de salut que Dieu donne à ceux qu'il veut sauver»




Et je pourrais ici rapporter plusieurs histoires qui prouvent la même chose ; entre autres celle qui est rapportée dans les chroniques de saint Dominique, lorsque quinze mille démons possédant l'âme d'un malheureux hérétique, près de Carcassonne où saint Dominique prêchait le Rosaire, furent obligés, à leur confusion, par le commandement que leur en fit la sainte Vierge, d'avouer plusieurs grandes et consolantes vérités touchant la dévotion à la sainte Vierge, avec tant de force et de clarté, qu'on ne peut pas lire cette histoire authentique et le panégyrique que le diable fit malgré lui de la dévotion à la très sainte Vierge, sans verser des larmes de joie, pour peu qu'on soit dévot à la très sainte Vierge.
Si la dévotion à la très sainte Vierge est nécessaire à tous les hommes pour faire simplement leur salut, elle l'est encore beaucoup plus à ceux qui sont appelés à une perfection particulière ; et je ne crois pas qu'une personne puisse acquérir une union intime avec Notre Seigneur et une parfaite fidélité au Saint-Esprit, sans une très grande union avec la très sainte Vierge et une grande dépendance de son secours.
C'est Marie seule qui a trouvé grâce devant Dieu, sans aide d'aucune autre pure créature 54 : ce n'est que par elle que tous ceux qui ont trouvé grâce devant Dieu l'ont trouvée, et ce n'est que par elle que tous ceux qui viendront ci-après la trouveront. 55 Elle était pleine de grâce quand elle fut saluée par l'archange Gabriel, et elle fut surabondamment remplie de grâce par le Saint-Esprit quand il la couvrit de son ombre ineffable; et elle a tellement augmenté de jour en jour et de moment en moment cette plénitude double, qu'elle est arrivée à un point de grâce immense et inconcevable ; en sorte que le Très-Haut l'a faite l'unique trésorière de ses trésors; et l'unique dispensatrice de ses grâces, pour anoblir, élever et enrichir qui elle veut, pour faire entrer qui elle veut dans la voie étroite du ciel, pour faire passer, malgré tout, qui elle veut par la porte étroite de la vie, et pour donner le trône, le sceptre et la couronne de roi à qui elle veut. Jésus est partout et toujours le fruit et le fils de Marie, et Marie est partout l'arbre véritable qui porte le fruit de la vie, et la vraie mère qui le produit.
C'est Marie seule à qui Dieu a donné les clefs des celliers du divin amour, et le pouvoir d'entrer dans les voies les plus sublimes et les plus secrètes de la perfection, et d'y faire entrer les autres. C'est Marie seule qui donne l'entrée dans le paradis terrestre aux misérables enfants d'Ève l'infidèle, pour s'y promener agréablement avec Dieu, s'y cacher sûrement contre ses ennemis ; et pour s'y nourrir délicieusement, et sans plus craindre la mort, du fruit des arbres de vie et de science du bien et du mal; et pour y boire à longs traits les eaux célestes de cette belle fontaine qui y rejaillit avec abondance. Ou plutôt elle est elle-même ce paradis terrestre ou cette terre vierge et bénie dont Adam et Ève les pécheurs ont été chassés : elle ne donne entrée chez elle qu'à ceux et celles qu'il lui plaît pour les faire devenir saints. 56
Tous les riches du peuple, pour me servir de l'expression du Saint-Esprit, selon l'explication de saint Bernard, tous les riches du peuple supplieront votre visage de siècle en siècle, et particulièrement à la fin du monde ; c'est-à-dire que les plus grands saints, les âmes les plus riches en grâces et en vertus, seront les plus assidus à prier la très sainte Vierge, et l'avoir toujours présente, comme leur parfait modèle pour l'imiter, et leur aide puissante pour les secourir.


Tous les riches du peuple, pour me servir de l'expression du Saint-Esprit, selon l'explication de saint Bernard, tous les riches du peuple supplieront votre visage de siècle en siècle, et particulièrement à la fin du monde ; c'est-à-dire que les plus grands saints, les âmes les plus riches en grâces et en vertus, seront les plus assidus à prier la très sainte Vierge, et l'avoir toujours présente, comme leur parfait modèle pour l'imiter, et leur aide puissante pour les secourir.

J'ai dit que cela arriverait particulièrement à la fin du monde, et bientôt (57), parce que le Très-Haut avec sa sainte mère doivent se former de grands saints qui surpasseront autant en sainteté ]a plupart des autres saints, que les cèdres du Liban surpassent les petits arbrisseaux, comme il a été révélé à une sainte âme dont la vie a été écrite par un grand serviteur de Dieu (58).

Ces grandes âmes, pleines de grâce et de zèle, seront choisies pour s'opposer aux ennemis de Dieu qui frémiront de tous côtés; et elles seront singulièrement dévotes à la très sainte Vierge, éclairées par sa lumière, nourries de son lait, conduites par son esprit, soutenues par son bras et gardées sous sa protection ; en sorte qu'elles combattront d'une main et édifieront de l'autre : d'une main, elles combattront, renverseront, écraseront les hérétiques avec leurs hérésies, les schismatiques avec leurs schismes, les idolâtres avec leurs idolâtries, et les pécheurs avec leurs impiétés; et de l'autre main, elles édifieront le temple du vrai Salomon et la mystique cité de Dieu, c'est-à-dire la très sainte Vierge, appelée par les saints Pères le temple de Salomon et la cité de Dieu. Ils porteront tout le monde, par leurs paroles et leurs exemples, à sa véritable dévotion ; ce qui leur attirera beaucoup d'ennemis, mais aussi beaucoup de victoires et de gloire pour Dieu seul. C'est ce que Dieu a révélé à saint Vincent Ferrier, grand apôtre de son siècle, comme il a suffisamment marqué dans un de ses ouvrages.

C'est que le Saint-Esprit semble avoir prédit dans le Psaume 58e, dont voici les paroles : Et scient quia Dominus dominabitur Jacob et finium terrae ; convertentur ad vesperam, et famem patientur ut canes, et circuibunt civitatem... «Le Seigneur régnera dans Jacob et dans toute la terre ; ils se convertiront sur le soir, et ils souffriront la faim comme des chiens, et ils iront autour de la ville pour trouver de quoi manger.»


Cette ville, que les hommes trouveront à la fin du monde pour se convertir et pour rassasier la faim qu'ils auront de la justice, est la très sainte Vierge qui est appelée par le Saint-Esprit ville et cité de Dieu.


C'est par Marie que le salut du monde a commencé, et c'est par Marie qu'il doit être consommé. Marie n'a presque point paru dans le premier avènement de Jésus-Christ, afin que les hommes, encore peu instruits et éclairés sur la personne de son Fils, ne s'éloignassent pas de la personne de son Fils, en s'attachant trop fortement et trop grossièrement à elle; ce qui apparemment serait arrivé si elle avait été connue, à cause des charmes admirables que le Très-Haut avait mis même en son extérieur : ce qui est si vrai que saint Denys l'Aréopagite nous a laissé par écrit que, quand il la vit, il l'aurait prise pour une divinité, à cause de ses charmes secrets et de sa beauté incomparable, si la foi, dans laquelle il était bien confirmé, ne lui avait appris le contraire; mais, dans le second avènement de Jésus-Christ (59), Marie doit être connue et révélée par le Saint-Esprit, afin de faire par elle connaître, aimer et servir Jésus-Christ. Les raisons qui ont porté le Saint-Esprit à cacher son épouse pendant sa vie, et à ne la révéler que bien peu depuis la prédication de l'Évangile, ne subsistent plus.


Dieu veut donc révéler et découvrir Marie, le chef-d'oeuvre de ses mains, dans ces derniers temps :
1° parce qu'elle s'est cachée dans ce monde et s'est mise plus bas que la poussière par sa profonde humilité, ayant obtenu de Dieu, de ses apôtres et évangélistes, qu'elle ne fût point manifestée ;
2° parce qu'étant le chef-d'oeuvre des mains de Dieu, aussi bien ici-bas par la grâce que dans le ciel par la gloire, il veut en être glorifié et loué sur la terre par les vivants ;
3° comme elle est l'aurore qui précède et découvre le Soleil de justice, qui est Jésus-Christ, elle doit être reconnue et aperçue, afin que Jésus-Christ le soit ;
4° étant la voie par laquelle Jésus-Christ est venu à nous la première fois, elle le sera encore lorsqu'il viendra la seconde, quoique non pas (60)de la même manière ;
5° étant le moyen sûr et la voie droite et immaculée pour aller à Jésus-Christ et le trouver parfaitement, c'est par elle que les saintes âmes, qui doivent éclater en sainteté, doivent le trouver; celui qui trouvera Marie trouvera la vie, c'est-à-dire Jésus-Christ qui est la voie, la vérité et la vie; mais on ne peut trouver Marie qu'on ne la cherche; on ne peut la chercher qu'on ne la connaisse, car on ne cherche ni on ne désire un objet inconnu : il faut donc que Marie soit plus connue que jamais, à la plus grande connaissance et gloire (61)de la très sainte Trinité ;
6° Marie doit éclater, plus que jamais, en miséricorde, en force et en grâce, dans ces derniers temps : en miséricorde, pour ramener et recevoir amoureusement les pauvres pécheurs et dévoyés qui se convertiront et reviendront à l'Église catholique; en force, contre les ennemis de Dieu, les idolâtres, schismatiques, mahométans, juifs et impies endurcis, qui se révolteront terriblement pour séduire et faire tomber, par promesses et menaces, tous ceux qui leur seront contraires; et enfin elle doit éclater en grâce, pour animer et soutenir les vaillants soldats et fidèles serviteurs de Jésus-Christ, qui combattront pour ses intérêts ;
7° enfin, Marie doit être terrible au diable et à ses suppôts comme une armée rangée en bataille, principalement dans ces derniers temps, parce que le diable, sachant bien qu'il a peu de temps, et moins que jamais, pour perdre les âmes, redoublera tous les jours ses efforts et ses combats ; Il suscitera bientôt de nouvelles persécutions, et mettra de terribles embûches aux serviteurs fidèles et aux vrais enfants de Marie, qu'il a plus de peine que les autres à surmonter (62).


C'est principalement de ces dernières et cruelles persécutions du diable (63), qui augmenteront tous les jours jusqu'au règne de l'Antéchrist, qu'on doit entendre cette première et célèbre prédiction et malédiction de Dieu, portée dans le paradis terrestre contre le serpent. Il est à propos de l'expliquer ici, pour la gloire de la très sainte Vierge, le salut de ses enfants et la confusion du diable.

Inimicitias ponam inter le et mulierem, et semen tuum et semen illius ; ipsa conteret caput tuum, et tu insidiaberis calcaneo ejus. (Genes. III, 15) «je mettrai des inimitiés entre toi et la femme, et ta race et la sienne ; elle-même t'écrasera la tête et tu mettras des embûches à son talon.»
Jamais Dieu n'a fait et formé qu'une inimitié, mais irréconciliable, qui durera et augmentera même jusqu'à la fin : c'est entre Marie sa digne mère, et le diable; entre les enfants et serviteurs de la sainte Vierge, et les enfants et suppôts de Lucifer; en sorte que la plus terrible des ennemies que Dieu ait faites contre le diable est Marie sa sainte Mère; il lui a même donné, dès le paradis terrestre, quoiqu'elle ne fût encore que dans son idée, tant de haine contre ce maudit ennemi de Dieu, tant l'industrie pour découvrir la malice de cet ancien serpent, tant de force pour vaincre, terrasser et écraser cet orgueilleux impie, qu'il l'appréhende plus, non seulement que tous les anges et les hommes, mais, en un sens, que Dieu même. Ce n'est pas que l'ire (64), la haine et la puissance de Dieu ne soient infiniment plus grandes que celles de la sainte Vierge, puisque les perfections de Marie sont limitées ; mais c'est
1° parce que Satan, étant orgueilleux, souffre infiniment plus d'être vaincu et puni par une petite et humble servante de Dieu; et son humilité l'humilie plus que le pouvoir divin ;
2° parce que Dieu a donné à Marie un si grand pouvoir contre les diables, qu'ils craignent plus, comme ils ont été souvent obligés de l'avouer malgré eux par la bouche des possédés, un seul de ses soupirs pour quelque âme, que les prières de tous les saints, et une seule de ses menaces contre eux, que tous les autres tourments.


Ce que Lucifer a perdu par orgueil, Marie l'a gagné par humilité ; ce qu'Ève a damné et perdu par désobéissance, Marie l'a sauvé par obéissance. Ève, en obéissant au serpent, a perdu tous ses enfants avec elle, et les lui a livrés ; Marie, s'étant rendue parfaitement fidèle à Dieu, a sauvé tous ses enfants et serviteurs avec elle, et les a consacrés à sa majesté (65).


Non seulement Dieu a mis une inimitié, mais des inimitiés, non seulement entre Marie et le démon, mais entre la race de la sainte Vierge et la race du démon ; c'est-à-dire que Dieu a mis des inimitiés, des antipathies et haines secrètes entre les vrais enfants et serviteurs de Marie et les enfants et esclaves du diable ; ils ne s'aiment point mutuellement, ils n'ont point de correspondance intérieure (66)les uns avec les autres. Les enfants de Bélial (67), les esclaves de Satan, les amis du monde, (car c'est la même chose), ont toujours persécuté jusqu'ici et persécuteront plus que jamais ceux et celles qui appartiennent à la très sainte Vierge; comme autrefois Caïn persécuta son frère Abel, et Ésaü son frère Jacob, qui sont les figures des réprouvés et des prédestinés; mais l'humble Marie aura toujours la victoire sur cet orgueilleux, et si grande, qu'elle ira jusqu'à lui écraser la tête où réside son orgueil. Elle découvrira toujours sa malice de serpent, elle éventera ses mines infernales et dissipera ses conseils diaboliques, et garantira jusqu'à la fin des temps ses fidèles serviteurs de sa patte cruelle ; mais le pouvoir de Marie sur tous les diables éclatera particulièrement dans les derniers temps où Satan mettra des embûches à son talon, c'est-à-dire à ses humbles esclaves (68) et à ses pauvres enfants qu'elle suscitera pour lui faire la guerre. Ils seront petits et pauvres selon le monde, et abaissés devant tous comme le talon, foulés et persécutés comme le talon l'est à l'égard des autres membres du corps ; mais en échange ils seront riches en grâce de Dieu, que Marie leur distribuera abondamment ; grands et relevés en sainteté devant Dieu ; supérieurs à toute créature par leur zèle animé ; et si fortement appuyés du secours divin, qu'avec l'humilité de leur talon, en union de Marie, ils écraseront la tête du diable et feront triompher Jésus-Christ.


Enfin Dieu veut que sa sainte mère soit à présent plus connue, plus aimée, plus honorée que jamais elle n'a été ; ce qui arrivera sans doute si les prédestinés entrent, avec la grâce et la lumière du Saint-Esprit, dans la pratique intérieure et parfaite que je leur découvrirai dans la suite : pour lors, ils verront clairement, autant que la foi le permet, cette belle étoile de la mer ; et ils arriveront à bon port, malgré les tempêtes et les pirates, en suivant sa conduite ; ils connaîtront les grandeurs de cette souveraine, et ils se consacreront entièrement à son service, comme ses sujets et ses esclaves d'amour ; ils éprouveront ses douceurs et ses bontés maternelles, et ils l'aimeront tendrement comme ses enfants bien-aimés ; ils connaîtront les miséricordes dont elle est pleine, et les besoins où ils sont de son secours, et ils auront recours à elle en toutes choses comme à leur chère avocate et médiatrice auprès de Jésus-Christ ; ils sauront qu'elle est le moyen le plus assuré, le plus aisé, le plus court et le plus parfait pour aller à Jésus-Christ, et ils se livreront à elle, corps et âme, sans partage, pour être à Jésus-Christ de même.


Mais qui seront ces serviteurs, esclaves et enfants de Marie ? Ce seront un feu brûlant des ministres du Seigneur qui mettront le feu de l'amour divin partout ; ce seront sicut sagittae in manu potentis, «des flèches aiguës dans la main de la puissante Marie,» pour percer ses ennemis.

Ce seront des enfants de Lévi, bien purifiés par le feu de grande tribulation, et bien collés à Dieu (69), qui porteront l'or de l'amour dans le coeur, l'encens de l'oraison dans l'esprit, et la myrrhe de la mortification dans le corps ; et qui seront partout la bonne odeur de Jésus-Christ aux pauvres et aux petits, tandis qu'ils seront une odeur de mort aux grands, aux riches et aux orgueilleux mondains.

Ce seront des nuées tonnantes et volantes par les airs au moindre souffle du Saint-Esprit, qui, sans s'attacher à rien, ni s'étonner de rien, ni se mettre en peine de rien, répandront la pluie de la parole de Dieu et de la vie éternelle ; ils tonneront contre le péché, ils gronderont contre le monde, ils frapperont le diable et ses suppôts ; et ils perceront d'outre en outre, pour la vie ou pour la mort, avec leur glaive A deux tranchants de la parole de Dieu, tous ceux auxquels ils seront envoyés de la part du Très-Haut.

Ce seront des apôtres véritables des derniers temps, à qui le Seigneur des vertus donnera la parole et la force pour opérer des merveilles et remporter des dépouilles glorieuses sur ses ennemis ; ils dormiront sans or ni argent, et qui plus est, sans soin (70), «au milieu des autres prêtres, ecclésiastiques et clercs», inter medios cleros, et cependant auront les ailes argentées de la colombe pour aller, avec la pure intention de la gloire de Dieu et du salut des âmes, où le Saint-Esprit les appellera; et ils ne laisseront après eux, dans les lieux où ils auront prêché, que l'or de la charité qui est l'accomplissement de toute la loi(71).

Enfin nous savons que ce seront de vrais disciples de Jésus-Christ, qui, marchant sur les traces de sa pauvreté, humilité, mépris du monde et charité, enseigneront la voie étroite de Dieu dans la pure vérité, selon le saint évangile et non selon les maximes du monde, sans se mettre en peine ni faire acception de personne, sans épargner, écouter ni craindre aucun mortel, quelque puissant qu'il soit.
Ils auront dans leur bouche le glaive à deux tranchants de la parole de Dieu ; ils porteront sur leurs épaules l'étendard ensanglanté de la Croix, le Crucifix dans la main droite, le chapelet dans la gauche, les sacrés noms de Jésus et de Marie sur leur coeur, et la modestie et mortification de Jésus-Christ dans toute leur conduite.

Voilà de grands hommes qui viendront : mais Marie sera là par ordre du Très-Haut, pour étendre son empire sur celui des impies, idolâtres et mahométans. Mais quand et comment cela sera-t-il ?... Dieu seul le sait ; c'est à nous de nous taire, de prier, de soupirer et d'attendre

Exspectans exspectavi (72).







(21) Dieu ayant disposé les choses comme il les a disposées.
(22) Son Fils unique.
(23) Et encore ces mérites, ces prières, ces vertus de Marie, n'eurent-ils d'efficacité que par la miséricorde de Dieu, et en conséquence de son dessein de sauver le monde par l'incarnation de son Fils.
(24) Quand l'archange Gabriel fut envoyé à Marie.
(25) La mère de Jésus est aussi la mère adoptive de tous les disciples de Jésus, des membres de l'Église qui est le corps mystique ou moral de Jésus.
(26) Pour ne les révéler complètement.
(27) Marie, en vertu de son droit maternel sur Jésus, a été invitée par Dieu à consentir à ce qu'il fût sacrifié pour notre salut.
(28) Les choses précieuses se gardent, en effet, dans le secret d'un trésor.
(29) Les humiliations du Rédempteur montrent mieux la grandeur de Dieu son père, devant qui il s'abaisse, que les actions éclatantes et pour ainsi dire triomphales qu'il aurait pu faire.
(30)Miracle de grâce, c'est-à-dire, dans l'ordre invisible de la sanctification des âmes ; miracle de nature, c'est-à-dire, dans l'ordre des phénomènes physiques et sensibles.
(31) Marie les sollicite de son Fils et Jésus nous les accorde à sa demande.
(32) D'une façon spirituelle et mystique, par la suréminente sanctification de Marie qui l'associe et l'unit très intimement à l'adorable Trinité.
(33) La production de l'humanité sainte du Sauveur, son union à la personne éternelle du Verbe, la production de la grâce et par conséquent de la ressemblance et présence de Jésus-Christ en nous, sont des oeuvres réellement communes à toute la divine Trinité ; mais elles sont ordinairement et spécialement attribuées, appropriées à l'Esprit-Saint, Esprit d'amour et de perfection.
(34) Il est fort important d'établir ce qu'on doit entendre par la présence de Jésus et de Marie dans les âmes, car notre bienheureux y revient fréquemment comme à l'une des idées fondamentales de son traité. 1° Il ne s'agit pas de la présence eucharistique de Jésus en nous ; cette présence est très réelle, mais seulement passagère, selon la durée des Saintes espèces dans notre poitrine. 2° Il ne s'agit pas d'une présence réelle de son humanité, de son âme, de son corps, dans toutes les personnes qui lui appartiennent par la grâce sanctifiante ; cette sorte de présence, non seulement n'a aucun fondement dans la doctrine catholique, mais pourrait conduire à de graves erreurs. 3° Il ne s'agit donc pas non plus d'une présence réelle de l'âme ou du corps de Marie dans l'âme et le corps des fidèles ; les mêmes raisons s'y opposent et avec plus de force encore. Mais il s'agit simplement : 1° de la présence morale de Jésus en nous et de nous en lui, par notre mutuelle connaissance et par notre mutuel amour ; par la sanctification que sa grâce nous procure et par la ressemblance qu'elle nous donne avec lui ; par son action divine constante sur nous, et par son intercession perpétuelle pour nous ; enfin par l'action que parfois son humanité sainte peut elle-même exercer en notre faveur, soit directement, soit indirectement par la répression de nos ennemis. Il s'agit simplement : 2° de la présence morale de Marie en nous ; et de nous en elle, par notre mutuelle connaissance et notre mutuel amour, par la grâce qui en nous unissant et nous assimilant à son Fils nous unit et nous assimile à elle ; par son intercession continuelle en notre faveur ; enfin par l'action surnaturelle que Dieu veut qu'elle exerce çà et là sur nous ou contre nos ennemis. - Toute autre explication forcerait et fausserait la pensée du bienheureux. On voudra bien s'en souvenir constamment dans la lecture de son ouvrage.
(35) Se rappeler qu'il ne peut être question ici que d'une oeuvre appropriée ou attribuée et non propre au Saint-Esprit. Inconnue aux chrétiens du temps où écrivait Montfort, cette doctrine, dans son sens vrai, est bien connue des théologiens de toute époque. Elle se résume en ceci : 1° Marie est l'instrument dont Dieu s'est servi pour donner an monde un rédempteur et un Sanctificateur. 2° Le Saint-Esprit qui n'est et ne peut être le principe d'aucune personne divine, est principe avec le Père et le Fils, principe unique et indivisible, de l'Incarnation du Verbe et de la divine Maternité de Marie. C'est ainsi que la fécondité, la capacité de produire, qu'il possède par le fait qu'il a la nature divine, se trouve merveilleusement réduite à l'acte, comme dit Montfort, c'est-à-dire, effectivement féconde, effectivement productrice de l'oeuvre la plus sublime qui se puisse imaginer après la génération du Verbe et la procession du Saint-Esprit lui-même.
(36) En latin les mers se disent maria, ce qui ressemble an nom latin de la Sainte Vierge : Maria. Notre ingénieux auteur fait allusion a cette analogie.
(37) Même son propre Fils.
(38) C'est la toute-puissance suppliante dont parlent les saints Docteurs. D'ailleurs la volonté de Marie est en tout et toujours parfaitement soumise à celle de Dieu, suivant l'inspiration et les desseins duquel, nous l'allons voir, elle exerce sa fonction d'intervention.
(39) Ouvrage excellent où Montfort puisait habituellement ses textes et ses considérations sur la Sainte Vierge.
(40) Qui s'appesantissait sur les Israélites.
(41) L'association de Marie à l'oeuvre rédemptrice et réparatrice de Jésus permet de tenir ce langage qui ne diminue en rien l'unique rôle du Sauveur, du rédempteur.
(42) Père de Notre Seigneur selon la nature et la personnalité, divines ; père des justes, père de nos âmes, selon la grâce que Marie implore pour nous afin que nous devenions les enfants adoptifs de Dieu.
(43) Esaü vendit son droit d'aînesse et fut privé de la bénédiction réservée au premier-né. C'est pourquoi il représente les réprouvés quoique, d'ailleurs, rien ne démontre qu'il ait été damné.
(44) Il ne faudrait pas conclure de là que la présence de Marie dans les âmes, entendue comme nous l'avons expliquée précédemment, soit une marque infaillible de salut. Il en va de cette présence comme de la grâce sanctifiante : on peut la perdre et se damner, on peut la recouvrer et se sauver.
(45) Notre auteur ne veut pas dire qu'en cette vie les réprouvés n'aient pas le moyen de se sauver, ni les prédestinés la possibilité de se perdre : ce serait faux. Mais il veut dire qu'avec Marie on est prédestiné, et sans elle, damné.
(46) Pour comprendre ce raisonnement, observer que le mot chef signifie premièrement tête.
(47) Afin d'être scrupuleusement exact, disons que ce ne sont pas les seuls prédestinés qui sont ici-bas membres du corps mystique de Jésus-Christ ; mais tous les justes, parmi lesquels, hélas ! il y aura des réprouvés à cause de leur inconstance dans le bien. Le bienheureux n'a pas pensé différemment.
(48) Cette production ou enfantement des justes par Marie, n'est pas autre chose que leur rédemption et sanctification par Jésus, fils de Marie, avec le concours que cette admirable Vierge a prêté à l'incarnation du Verbe et prêté encore au salut du monde, par sa maternité, ses mérites, ses souffrances, son intercession et son action protectrice. Il ne faut pas chercher autre chose dans ce concours que Montfort écrit si affectueusement, si pieusement, si éloquemment.
(49) Sans que vous cessiez.
(50) Et dans la mesure où cette âme est unie à Marie. On a vu précédemment en quoi consiste cette union, en quoi aussi consiste le mariage mystique du Saint-Esprit, amour personnel et substantiel du Père et du Fils, avec la très sainte Vierge.
(51) Conditionnelle. La condition dont il s'agit est le décret, librement porté par Dieu, de l'incarnation du Verbe dans le sein de Marie. Ce décret une fois porté, Marie devient nécessaire à Dieu, « en conséquence de sa volonté. »
(52) Comme si elle n'était que de surérogation.
(53) Ne pas estimer et ne pas aimer Marie, c'est nier explicitement ou implicitement qu'elle soit la Mère du Dieu rédempteur, et sa coopératrice dans l'oeuvre de notre salut. Or, une telle négation est incompatible avec la foi et avec la grâce. - Au contraire, un dévouement, une dévotion, (ces mots ont la même origine), véritables, sincères et entiers à l'égard de Marie, impliquant la reconnaissance pratique des droits de son divin Fils sur nous, supposent la fidélité la plus complète envers lui, et par conséquent sont « une marque infaillible de prédestination » ; marque toutefois sans valeur si la fidélité envers Jésus et Marie venait à se changer en trahison. Toutefois, dans ce cas-là même, on pourrait encore espérer, pour le pécheur, et en raison de la protection maternelle de Marie, des grâces spéciales de conversion auxquelles malheureusement il aurait toujours aussi le triste pouvoir de se soustraire.
(54) Mais non sans l'aide indispensable de la grâce divine.
(55) Sans elle, en effet, nous n'aurions pas eu Jésus le rédempteur.
(56) Ce qu'il lui plaît de faire, c'est ce qui plaît à Dieu: il plaît à Dieu que tous puissent être sauvé, et que beaucoup aient des grâces privilégiées, même des grâces de haute sainteté. Ni lui ni Marie ne ferment à personne la porte du salut : c'est le seul péché qui la ferme.
(57) C'était donc la pensée de notre bienheureux, comme d'un grand nombre de pieux personnages, que la fin du monde ne tardera guère. Dieu seul le sait.
(58) Une publication faite à Rome, sans doute d'après le manuscrit original soumis A la S. Congrégation des Rites, porte : par M. de Renty, au lieu de : par un grand serviteur de Dieu. Mais il semble bien que la mention de M. de Renty soit une erreur : ce pieux personnage n'ayant, que l'on sache, écrit aucune biographie de ce genre. Nous soupçonnons qu'il pourrait s'agir de la vénérable Mère Agnès de Jésus dont la vie a été écrite par M. de Lantages sur des notes de M. Olier et autres documents.
(59) Qui, d'après l'auteur, est prochain, et dont la préparation commence.
(60) Quoiqu'elle ne doive pas l'être etc.
(61) Pour la plus grande connaissance et la plus grande gloire.
(62) Qu'il surmonte moins facilement qu'il ne surmonte les autres.
(63) On doit convenir que le siècle de révolutions qui s'achève ressemble fort au tableau si vigoureusement dessiné par le saint missionnaire.
(64) La colère.
(65)A la majesté de Dieu.
(66) L'harmonie spirituelle.
(67) Bélial, c'est-à-dire le pervers, le révolté, est un nom donné dans la Bible au démon.
(68) Voici la première rencontre de ces esclaves de Marie dont il sera si souvent question dans ce traité. On en trouvera plus loin l'explication dans le texte de notre bienheureux, et dans nos propres notes.
(69) Bien attachés à sa volonté. C'est ainsi que notre bienheureux entend l'et colabiteos biblique.
(70) Sans sollicitudes terrestres.
(71) La charité ne va pas sans l'accomplissement de la loi divine tout entière, et celle-ci trouve à son tour sa perfection, son accomplissement, dans l'exercice de la charité.
(72) J'ai attendu, j'ai attendu ! » - Cette attente, pleine de désir et de patience, doit être la nôtre comme celle de notre bienheureux, jusqu'à ce qu'il plaise à Dieu de susciter dans son Église cette phalange de grands saints qui prépareront la fin des temps par d'éclatants triomphes de la foi, soutenant ainsi les chrétiens contre de terribles épreuves, et préludant, par les victoires terrestres de la grâce, au règne triomphal de Jésus, de Marie et des saints dans la gloire des cieux. Montfort n'a pas voulu dire autre chose.


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS - Page 11 Empty Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS

Message par Francesco Ven 15 Oct 2010 - 22:42

PROPHETIES DU PERE LAMY
ENERABLE



PERE




JEAN-EDOUARD LAMY



(1853/1931)




SITE OFFICIEL DES SERVITEURS DE JESUS ET DE MARIE
LIRE : LA VIE DU PERE LAMY



BIOGRAPHIE




JEAN-EDOUARD LAMY naquit le 23 Juin 1853 au Pailly, près de Langres. Dès sa plus tendre jeunesse, il se fit remarquer par sa grande dévotion à Marie: on le surnomma dans son village l'Enfant au Chapelet. Après son service militaire, les Oblats de Saint François de Sales lui confièrent une œuvre créée à Troyes en faveur des jeunes gens pauvres et délaissés, dont il s'occupa treize ans.


En 1886, après avoir surmonté beaucoup d'obstacles, il fut ordonné prêtre, et, en cette qualité, il continua de diriger le grand patronage de Troyes, jusqu'en 1892. De cette date à 1900, il fut vicaire à Saint-Ouen, dans le diocèse de Pais, puis curé de la Courneuve jusqu'en 1923, où des infirmités croissantes l'obligèrent à quitter le ministère.
Il consacra ses dernières années au pèlerinage de N.-D. des Bois, près de Chalindrey, dans la Haute-Marne, et fonda la Congrégation des Serviteurs de Jésus et de Marie. Il mourut le 1er décembre 1931.


L'abbé Lamy vivait en union continuelle avec la Très Sainte Vierge. Les traits dominants de sa physionomie semblent avoir été l'humilité, l'esprit de prière et son zèle en faveur des malheureux. On lui attribue de nombreux prodiges.








PROPHETIES




Les rares indications d'ordre général données par le P. Lamy ont été les suivantes :



«Elle a bien voulu lever pour moi un petit coin du voile qui nous cache l'avenir, mais j'aime ne pas regarder les événements futurs. Confions-nous tout à fait en Sa miséricordieuse protection.»




«Le saint archange Gabriel m'a dit, en parlant de Lucifer :



«Il joue son va-tout ; il croit la partie gagnée»,



en quoi il se trompe. Satan joue son va-tout. Il faut prier avec espérance, malgré son tapage. Je vous confie ces choses-là : ce sont des miettes. On sentira encore davantage quelle est la délicatesse de bonté de la Très Sainte Vierge, Mater Amabilis, Mater Admirabilis ! On la pressent dans la Très Sainte Vierge. Je lui dis souvent :



«Bonne Mère, ne quittez pas le sein du Père, mais écoutez nos prières.»




«La paix sera rendue au monde, mais je ne verrai pas cela, et il se passera d'autres choses, dont je ne verrai pas personnellement la fin. Quand la paix aura été rétablie dans le monde, que de choses seront changées ! La grosse industrie, c'est la guerre. La fabrication des avions, l'exploitation des mines, le travail du fer, tout cela diminuera. Il n'y aura plus de ces grandes usines où la moralité dégénère et disparaît. Les ouvriers seront bien obligés de se rejeter sur la terre. Le travail de la terre reprendra une grande extension. La terre redeviendra très chère. Quand la paix sera rendue au monde, l'industrie se ramènera à des proportions moindres et y restera. Tout s'amoindrira. Ils vont devant l'inévitable ; ils y arriveront tout de même. Ici, la terre a perdu beaucoup de sa valeur et il n'y a plus de bras pour la culture. Nous avions une jolie vigne : ma sœur a voulu absolument vendre sa part pour s'en débarrasser. Elle l'a vendue 100 francs ! Treize ares pour 100 francs ! Aux Archots, j'ai eu l'exemple de 12 ares vendus pour 13 francs ; une autre fois, 13 ares vendus 35 francs. Quand la paix sera rendue au monde, les terres acquerront plus de valeur qu'elles n'ont. Que les vieux ouvriers s'entêtent à mourir dans les villes, cela arrivera.»




«Dieu voulait purifier la foi de son peuple en lui faisant faire un long séjour dans le désert. Les Israélites sont restés toute une génération dans les sables. J'ai souvent médité sur cette rude épreuve. De même, quand Dieu rendra la paix au monde, il faudra le réévangéliser, et cela sera l'œuvre de toute une génération.»




«Il y aura un grand effort à donner pour la conversion des hommes après la paix rendue à la terre. Il y aura bien des difficultés. Saint Paul n'en a-t-il pas rencontré ? L'état d'âme des premiers chrétiens reviendra, d'ailleurs, mais il y aura alors si peu d'hommes sur terre ! Et il y aura à nouveau une floraison magnifique des ordres et des congrégations.»



Quelque concentrée que parût l'action du P. Lamy sur des objectifs immédiats, qui semblaient l'absorber tout entier, sa pensée restait libre de tout lien et d'une compréhension réellement catholique, c'est-à-dire universelle. Il priait, en particulier, très souvent pour les Anglicans :



«Parmi les Anglicans, disait-il, il y en a beaucoup qui sont moins coupables que nous. Ils sont dévots à la Très Sainte Vierge, au Saint-Sacrement. Leur erreur, ce n'est pas à eux-mêmes qu'il faut l'imputer, mais à leurs aînés. Même si le Saint-Sacrement n'est pas là, ils le prient réellement. De ces dévotions, il ne peut leur en revenir que du bien. La réconciliation avec Rome, aussi bien en Angleterre que dans leurs colonies et que dans les missions protestantes, ce serait un bien énorme. Et pour les églises schismatiques, quel exemple ! Leur principal appui disparaîtrait.»




«Les Juifs, eux-mêmes, sont dans tous les pays, mais ne sont pas abandonnés. Dieu n'abandonne jamais les siens.»




«Notre-Seigneur m'a dit que la guerre avait eu trois causes : les blasphèmes, le travail du dimanche et la prostitution de la chair dans le mariage. Un jeune homme et une jeune fille qui succombent, ce n'est rien à côté. C'est un péché grave ; mais, enfin, il est dû à la faiblesse humaine».




«Après le Credo, Elle a parlé de la guerre sur un ton très douloureux :



«Elle sera lente à s'allumer, elle embrasera toute l'Europe, elle embrasera l'univers. Il y aura environ cinq millions de tués, mais – se tournant vers Lucifer – j'en sauverai beaucoup malgré vous.»



Le démon Lui disait :



«Ils passeront par la trouée des Vosges».



La Sainte Vierge :



«Non, ils passeront par la Belgique».



Satan a dit :



«Ils sont aussi coupables d'un côté que de l'autre».



Satan connaît très bien les culpabilités. La Très Sainte Vierge s'est tournée à moitié vers moi, et le fond de l'église a été rempli par un nuage blanc, qui s'est ouvert. Le mur a disparu, et c'est là que j'ai vu une ville avec un immense fleuve.



Je crois que c'est Belgrade. J'ai vu les tableaux de la guerre. J'ai eu une sensation curieuse : je me sentais bien dans l'église, mais j'étais aussi transporté loin de l'église ; je ne peux pas me rendre compte exactement de la chose. Je me suis parfaitement rendu compte de la grâce que me faisait la Sainte Vierge, de me montrer ces pays. Elle m'a fait parcourir un pays immense. Je vous donne là des explications très incomplètes : je ne trouve pas de termes appropriés à ces choses.



J'ai vu des navires de guerre avec des cheminées énormes. J'ai vu les paysages ; mais, plus tard, je me suis donné un mal énorme pour les situer et cela n'a pas été possible pour tout. On voit des fleuves, des monts, la mer : comment les situer sur des cartes ? Tout n'est pas fini. Il y a des scènes que je n'ai pas vu se dérouler. Le meilleur, maintenant, est de se taire pour moi.»







RECOMMANDATIONS




LE VENERABLE PERE LAMY :



Il ne faut jamais bâtir son existence sur des visions, et surtout sur, celles des autres. Dans les choses matérielles, il ne faut connaître que le bon sens. Et dans les choses spirituelles, il faut encore du bon sens ; mais, là, nous ne saurions nous tromper, ayant les règles infaillibles, que Dieu nous a tracées. Il faut se défendre de la mystique. Le démon est derrière la Mère de Dieu (allusion au 9 septembre 1909) : si on laisse passer Celle-ci, on trouve le démon.






Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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