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les racines juives de la messe

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Message par Titi Ven 19 Juin 2015 - 15:38

Ce livre a reçu le Nihil obstat et l'Imprimatur. il est une étude par un prêtre catholique sur les origines de la messe et les liens entre la liturgie chrétienne et le judaïsme. Il est préfacé par Haim Korsia, Grand Rabbin de France.

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Dernière édition par Titi le Dim 18 Oct 2015 - 11:14, édité 1 fois
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Message par Titi Ven 24 Juil 2015 - 10:31

Date de parution : 15/07/2015

Ce petit livre est né d'une rencontre de l'auteur, prêtre spécialiste de la liturgie, avec la communauté et la synagogue de Tours. Il y montre l'influence de la liturgie juive du Temple sur les rites de la messe catholique. Il nous aide ainsi à comprendre et à vivre la messe en héritiers de nos frères aînés dans la foi.

L'ouvrage du Père Jean-Baptiste Nadler nous rappelle ce que certains auraient malheureusement tendance à oublier, à savoir que tous les premiers Chrétiens étaient juifs, juifs pratiquants. Cette proximité explique cette autre vérité historique : la prenté entre les rites juifs et les rites chrétiens.

Ce "si grand patrimoine commun aux Chrétiens et aux Juifs" n'empêche pas la différenciation entre les deux religions. C'est le propre de l'histoire humaine que chacun trouve son chemin propre. Mais c'est aussi la grandeur de l'homme de savoir trouver les points de convergence et de dépasser les différences afin de trouver l'espérance toujours partagée, comme le rameau sait trouver son ressourcement dans la sève de "l'arbre dont il est l'une des ramifications".
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Message par Titi Dim 18 Oct 2015 - 11:16

Dans un contexte français de grande décadence liturgique, manifestée tant par les pitreries qui sont trop souvent monnaie courante aux heures de la messe dominicale que par la profonde ignorance des fidèles de la réalité du sacrement auquel ils assistent et sont censés participer, l’ouvrage de l’abbé Jean-Baptiste Nadler intitulé Les racines juives de la messe, publié cette année par les Éditions Emmanuel retient notre attention, ne serait-ce que par l’intention exprimée dans son titre. L’abbé Nadler est prêtre de la communauté de l’Emmanuel dans une paroisse du diocèse de Tours, et dans la brève présentation lisible sur la quatrième de couverture du livre, est présenté comme un visiteur assidu de la communauté juive et de sa synagogue à Tours.

On comprend d’entrée de jeu le rôle qu’a pu avoir cette fréquentation dans la réalisation de cet ouvrage. L’auteur fait montre d’une connaissance très précise et très riche des rites du judaïsme, de leur histoire et de leur évolution à la faveur des évènements qui ont affecté le peuple juif. Ainsi de la synagogue, qui nait lorsque les Juifs, déportés à Babylone, loin de Jérusalem où le temple de Salomon a de toute façon été détruit par les troupes de Nabuchodonosor, cherchent à continuer de célébrer le culte de l’Éternel malgré les conditions de de l’exil. La synagogue, comme le démontre l’abbé Nadler, sans remplacer le temple, devient le nouveau lieu d’une prière qui se réfère au temple, notamment en remplaçant les sacrifices sanglants par le « sacrifice de louange ». C’est de ce genre d’informations, déjà passionnantes en soi, que regorge l’ouvrage.

Grâce à ces connaissances, qui ne sont présentées que de manière simplifiée pour ne pas divertir le lecteur du but principal de l’œuvre, l’auteur aborde, dans sa deuxième partie, le sujet qui lui importe le plus : l’héritage manifeste de ce passé hébraïque dans les rites liturgiques de l’Église. C’est tout d’abord de manière logique que se présente cette filiation : les rites chrétiens, nés dans la communauté des apôtres, qui venaient de voir monter aux cieux le Christ qui avait achevé de leur révéler qu’Il était le Messie annoncé par les prophètes, ne se sont pas développés à partir de rien. D’ailleurs, le dernier verset de l’évangile selon saint Luc nous apprend que les apôtres, immédiatement après l’Ascension de Notre Seigneur, étaient « toujours dans le temple » ; de même, les Actes des Apôtres montrent à bien des reprises que les synagogues sont des étapes naturelles des disciples qui y prient et participent au culte, parfois en y prenant la parole (Act. 17, 2). C’est donc à partir des rites juifs, du temple, de la synagogue et du foyer, que la liturgie chrétienne prend forme.

Ainsi de certains rites de préparation à la liturgie comme l’habillement du prêtre, où l’amict est identifié par l’auteur au talith juif, vêtement porté sur la tête pour la prière. Ainsi de la menorah, chandelier à sept branches, figuré dans le rite romain par les six cierges qui trônent au-dessus de l’autel, et dans le rite byzantin par un chandelier posé à même l’autel. Ainsi, aussi, du rideau du temple, dont la scission au moment de la mort selon la chair du Christ fait beaucoup jaser, qui se retrouve dans la séparation entre sanctuaire et nef dans l’architecture chrétienne [1]. Toutes ces démonstrations, bien documentées et solidement avancées, sont utiles pour comprendre que la messe n’est pas un ensemble de gestes arbitrairement décidés par une communauté locale, mais une somme de symboles qui manifestent la nature divine du Christ à travers Son identité avec le Messie annoncé par tout l’Ancien Testament.

Mais le point le plus important, et qui occupe la majeure partie du propos, c’est le lien infrangible qui relie la messe et le sacrement qui en est le cœur aux sacrifices rituels accomplis par les Juifs au temple et dans le foyer au moment de la Pâque. C’est justement cet agneau, offert lors de la Pessah au Seigneur pour recevoir le prix de vie (on se souvient que ce rite prend naissance lors de l’Exode, où le Seigneur, envoyant Son ange frapper de mort tous les premiers-nés d’Égypte, protège de la malédiction Son peuple en lui faisant enduire ses portes du sang d’un agneau : le sang de l’innocent protège de la mort), qui manque dans le récit de la Cène du Christ, qui ne bénit que du pain et une coupe de vin. La raison en est simple : le Christ est, lors de ce repas, Lui-même l’Agneau, l’innocent dont le sang viendra bientôt retomber sur Son peuple pour le protéger de la mort. Par Ses gestes de bénédiction, mais surtout de fraction, le Christ annonce les douleurs et l’agonie qui seront infligées à Son Saint Corps le lendemain. Si le rite romain fait chanter l’Agnus Dei au peuple au moment de la fraction de l’Hostie par le célébrant, c’est parce qu’à ce moment, c’est le Christ qui est cloué à la Croix, qui reçoit le coup de lance à Son côté. C’est là le vrai sens du nom de « Saint Sacrifice » donné à la messe.

L’abbé Nadler montre que le sang, dans la culture religieuse juive, est perçu comme le signe de la vie, ce qui interdit que l’homme y touche : la vie n’appartient qu’à Dieu, tout contact de l’homme avec du sang versé est un contact avec la mort et éloigne de Dieu. Lorsque les prêtres du temple enduisent l’autel des sacrifices du sang des offrandes apportées par le peuple, ils manifestent la déférence des fidèles qui rendent au Seigneur la vie qu’Il leur a donnée et permettent le renouvellement de l’alliance vivifiante faite par Dieu avec les membres d’Israël. De même, le Christ, devenu l’Agneau, sacrifié dans les mains du prêtre, verse à chaque messe Son Précieux Sang pour unir l’homme à Dieu en lui donnant la vie éternelle. La victime a changé, mais le sacrifice propitiatoire reste : c’est le fond même de la dichotomie entre l’Ancien et le Nouveau Testament, l’un étant le don de la vie humaine à la race choisie, l’autre le don de la vie divine à l’humanité, qui est le vrai peuple de Dieu, choisi de toute éternité pour vivre avec Lui.

C’est ce constat de suprême importance que refait l’abbé Nadler dans son livre. C’est une excellente manière d’aborder la question centrale qui sous-tend la manière actuelle de vivre la liturgie dans le catholicisme français : la messe est-elle une réunion sympathique de croyants autour de bonnes expériences communes, ou la réitération de l’événement le plus terrible de toute l’histoire de l’humanité ? La réalité, explicitement exposée par cet ouvrage, de ce que l’on appelle le Saint Sacrement, si elle était bien connue de tous les fidèles amènerait certainement à un renouvellement de la conscience chrétienne. C’est à cet égard-là que ce livre est extrêmement profitable, et à mettre dans toutes les mains de professeurs de catéchisme : il serait un outil formidable pour éveiller la jeunesse à toute la profondeur de la foi chrétienne manifestée dans ce que Benoît XVI tenait à appeler « sa source et son sommet » (Conc. Vat. II, Lumen Gentium 11), la liturgie ; un outil pour susciter un vrai goût pour la célébration des mystères et une attitude correcte dans la participation qui doit s’y faire.

C’est donc, nous semble-t-il, à cet auditoire « périphérique » que s’adresse en majorité l’œuvre de l’abbé Nadler, un auditoire, qui, nous le savons, ne trouve pas actuellement dans la sensibilité liturgique actuelle, héritée de l’après-Concile, de nourriture suffisante pour appréhender toute la beauté d’une foi qui doit être le moteur de toute la vie du chrétien. C’est certainement la raison pour laquelle l’auteur, à qui la messe traditionnelle de saint Pie V est loin d’être inconnue, évite de se répandre dans une comparaison trop longue entre les deux « formes » du rite, comme on veut les appeler. Il est surprenant, pour un lecteur un tant soit peu connaisseur du sujet, de trouver les rites de la messe de Paul VI présentés seuls comme définissant ce qu’est la liturgie romaine, alors que dans bien des cas ils ont remplacé des gestes bien plus anciens et plus puissants, et de voir si peu de références aux gestes de la messe traditionnelle, ayant disparu de son avatar moderne, qui manifestent aussi, et bien mieux, le caractère sacrificiel de la messe. Ce d’autant plus que les références qui y sont faites, justement, indiquent souvent discrètement qu’il y a des manques assez dérangeants à cet égard-là dans le nouveau rite. On est même assez choqué de trouver, p.86, l’usage de « prier la tête découverte » présenté comme universel dans le christianisme, alors que la pratique de se couvrir la tête pour les femmes fut non seulement retenue dans l’Église romaine en Occident jusqu’à un récent changement d’attitude en aucun cas dicté par le Magistère, qu’elle l’est toujours dans d’autres parties du monde moins affectées par la décadence liturgique, qu’elle est unanimement conservée parmi les fidèles d’autres traditions liturgiques, et, surtout, qu’elle trouve sa justification dans les propos de saint Paul lui-même (1 Cor. 11, 5).

Ces quelques réserves, nous l’avons dit, n’entachent pas, sinon l’exhaustivité de l’ouvrage, la grande utilité de son dessein premier, qui est de rappeler ce qu’est vraiment la messe, et la raison pour laquelle elle est célébrée. Il ne faudrait pas voir, donc, dans cet ouvrage, de volonté syncrétiste, qu’aurait pu faire craindre le fait que la préface de l’ouvrage ait été rédigée par le grand rabbin de France Haïm Korsia. Même si l’on sent que l’auteur entretient une affection personnelle très forte à l’égard de la communauté juive [2], il n’est jamais affirmé, pas plus d’ailleurs que dans la préface elle-même, que christianisme et judaïsme sont une seule et même chose. Tout au plus l’abbé Nadler et son préfacier semblent-ils vouloir insister sur un aspect plutôt politique, à savoir dénoncer une hypothétique inimitié envers la communauté juive ; mais l’on échappe heureusement à une tentative de brouillage des frontières entre la filiation historique entre judaïsme et christianisme et l’amitié naturelle que peuvent éprouver mutuellement les hommes, en dehors de toute considération religieuse. La lecture de l’ouvrage, très agréable et rapide, grâce à une écriture claire et directe, permet d’écarter ce soupçon qui avait initialement pesé ; elle est, encore une fois, à recommander à tous ceux qui ont pour charge d’éduquer à la foi chrétienne : elle sera profitable à la refondation d’une vie liturgique digne en France, et d’une vie chrétienne plus complète et cohérente.

[1] A cet égard, il eût été encore plus profitable que l’abbé Nadler précisât que ce même rideau, remplacé ensuite par le jubé, a fait partie intégrante du rite romain durant des siècles, et que l’abandon de sa fonction première, la disjonction des deux espaces visuels, fut pour le moins hasardeuse.

[2] Est-ce ce qui lui fait, dans sa conclusion, p.117, dire que « l’Église, peuple de Dieu, ne se substitue pas à Israël », ce qui est, dans une perspective sotériologique, entièrement faux, puisqu’une fois la rédemption opérée, Dieu peut de nouveau s’unir pleinement au genre humain, et le fait au moyen de Son Église, vers laquelle l’ancienne alliance avec Israël n’a été qu’un moyen ?

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Message par Titi Dim 14 Fév 2016 - 21:15

Interview du Père Jean-Baptiste Nadler

- Jean-Baptiste Nadler, vous êtes prêtre de l’Emmanuel (diocèse de Rennes), ami de la communauté israélite de Tours. Votre dernier livre s’intitule “Les racines juives de la messe” (Editions Emmanuel / Transmettre). Il est préfacé par le grand-rabbin de France Haïm Korsia. Comment est né ce livre?

J.-B.-N.: Ce livre est issu de la rencontre de deux convictions que je porte. La première, c'est que la liturgie doit être la source de la vie spirituelle et mystique des chrétiens. La prière n'est pas un à-côté dans la vie de l'Eglise, elle en est le cœur. Et la messe est le sommet de la prière chrétienne. Ma seconde conviction est que les chrétiens et les juifs ont tout à gagner à se connaître, se reconnaître et à s'apprécier mutuellement. Il y a quelques années, j'étais venu rendre visite à la communauté juive de Rennes et j'ai été bouleversé par l'accueil chaleureux que j'y ai reçu. Lorsque j'ai été nommé à Tours, j'ai tout naturellement voulu me rendre à la synagogue ; et là encore, l'accueil fut plus que cordial : fraternel. C'est Paul Lévy, président de la communauté israélite de Touraine, qui a proposé que mon livre soit préfacé par le grand rabbin de France Haïm Korsia. Quel magnifique cadeau de sa part !

- Les rites chrétiens ont-ils tous des origines juives?

J.-B.-N.: Tous les premiers chrétiens étaient juifs ; leur foi dans le messie Jésus ne les sortait pas de la vie d'Israël et de la pratique des commandements. Bien au contraire ! De la même manière, les nouveautés rituelles chrétiennes se sont développées à partir des rites juifs du Temple de Jérusalem, de la synagogue et de la liturgie domestique. Dans la Bible chrétienne, nous voyons les premiers chrétiens célébrer la messe, tout en continuant à se rendre au Temple ou dans les synagogues. Et même, des cohanim et des lévites devenaient chrétiens. Voilà pourquoi nous retrouvons jusqu'à aujourd'hui de nombreux rites inspirés du Temple ou de la synagogue dans le déroulement de la messe chrétienne. Cependant, à partir de la fin des persécutions par l'Empire romain au début du IVème siècle, la liturgie chrétienne a pu se déployer publiquement et a alors emprunté quelques éléments au décorum impérial. Mais, dans l'ensemble, l'immense majorité des rites chrétiens a des racines juives.

- Quels rites juifs retrouve-t-on dans la célébration de la messe?

J.-B.-N.: Je citerai seulement quelques exemples. Au niveau de l'architecture et du mobilier, tout d'abord. Nous retrouvons différents éléments propres au Temple ou à la synagogue : le parvis, le sanctuaire séparé de la nef, un autel, six chandeliers encadrant une croix centrale (ce qui est directement inspiré de la menorah), le tabernacle, son voile et sa lampe perpétuelle semblables à l'aron ha-qodesh, son rideau et son ner tamid, etc. Dans les gestes de la messe, nous avons le lavement des mains du prêtre, comme un rappel de la netilat yadayim, mais aussi l'usage abondant de l'encens sur et autour de l'autel. Enfin, la messe est célébrée avec du pain azyme, comme la matsa, et avec une coupe de vin dont nous précisons qu'elle est la coupe de la fin du repas de Pessah.

- Est-il indispensable que les chrétiens prennent conscience de tout cela?

J.-B.-N.: Sans la connaissance de ses racines juives, un chrétien ne pourra pas véritablement entrer dans la conscience de sa propre identité. "Chrétien" signifie "disciple du Christ", c'est-à-dire disciple du messie d'Israël. Le chrétien qui ignore, ou pire, qui rejette ses racines juives risque fort de retomber un jour dans le paganisme. Nous adorons le Dieu qui s'est révélé à Abraham, Isaac et Jacob, qui a fait sortir son peuple d'Egypte grâce à son serviteur Moïse, qui nous a sauvé du péché et de la mort par Jésus-Christ. C'est Lui que nous célébrons dans nos rites, Lui que nous écoutons et que nous aimons. Il n'y en a pas d'autre.

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Message par Amazone Lun 15 Fév 2016 - 10:47


Avec tout ce qu'on voit ces derniers temps un peu partout, à force de vouloir mélanger toutes les religions, "ils" en arriveront à la grande et unique religion mondiale (comme le nouvel ordre mondial...), si cher à l'absence de coeur de l'antéchrist...

C'est le but du diable, et récolter encore plus d'âmes pour l'enfer.



Et Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. (Luc 18:16)   
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Message par Titi Lun 15 Fév 2016 - 11:25

Ce livre a reçu l'approbation de l'église. Ça vaut tout discours.
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Message par Titi Lun 15 Fév 2016 - 11:55

L'auteur explique que la liturgie catholique puise ses sources dans la liturgie juive, mais qu'elle n'y est pas collée : Elle l'accomplit, c'est à dire qu'elle la dépasse. C'est un très bon livre liturgique pour comprendre tout ce qui fait la prière non verbale de la messe.
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Message par Pinocchio Lun 15 Fév 2016 - 13:02

Amazone a écrit:
Avec tout ce qu'on voit ces derniers temps un peu partout, à force de vouloir mélanger toutes les religions, "ils" en arriveront à la grande et unique religion mondiale (comme le nouvel ordre mondial...), si cher à l'absence de coeur de l'antéchrist...

C'est le but du diable, et récolter encore plus d'âmes pour l'enfer.

Oui mais, il ne faut surtout pas confondre le "nouvel ordre mondial" avec le judaïsme authentique qui trouve justement son accomplissement dans le christianisme!

Le but du nouvel ordre mondial est de monter les religions les unes contre les autres en vue d'établir  une nouvelle religion mondiale (principe satanique qui consiste  à  diviser pour mieux régner), alors que le christianime, au contraire est  de faire l'unité entre tous les hommes de bonne volonté  quelle que soit  leur appartenance religieuse afin que vienne le Règne de Dieu.
Être chrétien, c'est de croire que nous appartenons tous au Christ, et non pas de croire que le Christ nous appartient!

Pinocchio

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