Prophétie de Joséphine Lamarine
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Prophétie de Joséphine Lamarine
Joséphine Lamarine
(1850)
Joséphine Lamarine (1787 - 1850), de Darney en Lorraine, étant malade, dictait ses visions à sa sœur qui la gardait. Dans ses nombreuses prédictions, certaines concernaient sa famille, d’autres des évènements extraordinaires dans sa paroisse : elles ont toutes été réalisées. C’est ce qui nous encourage à consigner dans ce recueil celles qui regardent l’avenir :
Elle a vu une guerre épouvantable : on se battait dans les maisons, le sang coulait à flots jusque dans les cuisines. La voix lui dit : « Les églises sont fermées… trente lunes. »
En 1828, elle avait connu qu’il allait arriver un grand bouleversement dans l’Etat ; elle priait pour la famille royale et pour d’autres personnes qui lui étaient bien chères. La voix lui dit : « Je les sauverai du carnage. » Elle dit encore : « En trente. »
Elle priait pour la religion qu’elle craignait de voir détruire par les méchants. La voix lui dit : « Non, ma fille, je retiendrais la fureur dans leur cœur : ils ne feront pas tout le mal qu’ils voudront. Je les frapperai, dit le Seigneur à coups redoublés.»
La voix lui disait d’un ton atterrant : « 27, 28, 29. »
Elle entendit un jour : « Le fils paiera pour le père. » - « Quel fils ? dit-elle » - « Le fils aîné. »
Voici quelques mots sur la révolution prochaine et la ruine de Paris :
La terreur des réprouvés… l’enfer est ouvert… le démon attend. Ne faite point d’esclandre ; la république en fait assez, il n’est pas besoin d’en faire davantage ; la république s’est tuée.
Elle a vu une voiture où il y avait de grandes planches : on les a déchargées. La voix dit : « C’est pour monter les échafauds. »
Du sang ! Du sang ! La république rouge ! La voilà donc arrivée, cette terrible révolution de sang. L’éternité s’avance avec le drapeau rouge, les loups sont dans le jardin… Il n’y a plus de propriétaires.
Pauvre Paris, te voilà donc détruit ! Elle a demandé : « Quand ? Mon Dieu ! » - La voix : « Bientôt. »
La terre est terrible ; ils tombent de tous côtés.
Voici la famine… et sans prêtres.
Elle aperçut des soldats qui emmenaient quelqu’un : « S’écria t-elle, c’est un prêtre. » Et la voix : « Deux fois il est repoussé, deux fois il est rentré. Pauvre ville, tu n’es donc plus ! » - « Quelle ville ? » - « La Cité. »
L’heure des ténèbres est arrivée ; les ténèbres sont arrivés. Elle a vu des inondations.
La religion renaîtra de ses cendres, elle se montrera dans toute sa sublimité pour quelques temps.
Un autre fois, elle entendit ces mots : « Un Roi à Rome. »
Et encore : « Le Saint Père est mort en rentrant dans ses états. »
En 1849, elle a dicté :
Il y a plusieurs années, elle avait vu une assemblée de prêtres dans une église ; ils étaient en aube, assis autour d’une grande table, et entouré d’arbres formant sur eux une charmille qui les couvrait.
La porte de l’église était ouverte. Il s’est élevé un orage affreux, un vent épouvantable, une pluie torrentielle. Les prêtres n’en étaient ni émus, ni incommodés. Derrière la charmille se voyaient des hommes en fureur qui auraient voulu la renverser sur l’assemblée.
Le 7 septembrte 1849.
Elle vit encore une assemblée de prêtres. Ils disaient des choses sublimes sur la religion. La voix a dit : « Les voilà en prison… » et l’instant d’après : « Les voilà sortis de prison ; ils parlent maintenant avec assurance… Ils sont ressuscités. »
Une autre fois, il lui fut dit :
L’an 190, l’Antéchrist est venu. Et à deux reprises, elle entendit : « 1931 ».
Elle demandait intérieurement d’où il serait : « De Jérusalem, d’un musulman. Il règnera à Rome et fera mourir le Saint Père. Les échafauds seront dressés sur tous les chemins : l’Antéchrist a jurer haine à mort à tous les chrétiens. »
(1850)
Joséphine Lamarine (1787 - 1850), de Darney en Lorraine, étant malade, dictait ses visions à sa sœur qui la gardait. Dans ses nombreuses prédictions, certaines concernaient sa famille, d’autres des évènements extraordinaires dans sa paroisse : elles ont toutes été réalisées. C’est ce qui nous encourage à consigner dans ce recueil celles qui regardent l’avenir :
Elle a vu une guerre épouvantable : on se battait dans les maisons, le sang coulait à flots jusque dans les cuisines. La voix lui dit : « Les églises sont fermées… trente lunes. »
En 1828, elle avait connu qu’il allait arriver un grand bouleversement dans l’Etat ; elle priait pour la famille royale et pour d’autres personnes qui lui étaient bien chères. La voix lui dit : « Je les sauverai du carnage. » Elle dit encore : « En trente. »
Elle priait pour la religion qu’elle craignait de voir détruire par les méchants. La voix lui dit : « Non, ma fille, je retiendrais la fureur dans leur cœur : ils ne feront pas tout le mal qu’ils voudront. Je les frapperai, dit le Seigneur à coups redoublés.»
La voix lui disait d’un ton atterrant : « 27, 28, 29. »
Elle entendit un jour : « Le fils paiera pour le père. » - « Quel fils ? dit-elle » - « Le fils aîné. »
Voici quelques mots sur la révolution prochaine et la ruine de Paris :
La terreur des réprouvés… l’enfer est ouvert… le démon attend. Ne faite point d’esclandre ; la république en fait assez, il n’est pas besoin d’en faire davantage ; la république s’est tuée.
Elle a vu une voiture où il y avait de grandes planches : on les a déchargées. La voix dit : « C’est pour monter les échafauds. »
Du sang ! Du sang ! La république rouge ! La voilà donc arrivée, cette terrible révolution de sang. L’éternité s’avance avec le drapeau rouge, les loups sont dans le jardin… Il n’y a plus de propriétaires.
Pauvre Paris, te voilà donc détruit ! Elle a demandé : « Quand ? Mon Dieu ! » - La voix : « Bientôt. »
La terre est terrible ; ils tombent de tous côtés.
Voici la famine… et sans prêtres.
Elle aperçut des soldats qui emmenaient quelqu’un : « S’écria t-elle, c’est un prêtre. » Et la voix : « Deux fois il est repoussé, deux fois il est rentré. Pauvre ville, tu n’es donc plus ! » - « Quelle ville ? » - « La Cité. »
L’heure des ténèbres est arrivée ; les ténèbres sont arrivés. Elle a vu des inondations.
La religion renaîtra de ses cendres, elle se montrera dans toute sa sublimité pour quelques temps.
Un autre fois, elle entendit ces mots : « Un Roi à Rome. »
Et encore : « Le Saint Père est mort en rentrant dans ses états. »
En 1849, elle a dicté :
Il y a plusieurs années, elle avait vu une assemblée de prêtres dans une église ; ils étaient en aube, assis autour d’une grande table, et entouré d’arbres formant sur eux une charmille qui les couvrait.
La porte de l’église était ouverte. Il s’est élevé un orage affreux, un vent épouvantable, une pluie torrentielle. Les prêtres n’en étaient ni émus, ni incommodés. Derrière la charmille se voyaient des hommes en fureur qui auraient voulu la renverser sur l’assemblée.
Le 7 septembrte 1849.
Elle vit encore une assemblée de prêtres. Ils disaient des choses sublimes sur la religion. La voix a dit : « Les voilà en prison… » et l’instant d’après : « Les voilà sortis de prison ; ils parlent maintenant avec assurance… Ils sont ressuscités. »
Une autre fois, il lui fut dit :
L’an 190, l’Antéchrist est venu. Et à deux reprises, elle entendit : « 1931 ».
Elle demandait intérieurement d’où il serait : « De Jérusalem, d’un musulman. Il règnera à Rome et fera mourir le Saint Père. Les échafauds seront dressés sur tous les chemins : l’Antéchrist a jurer haine à mort à tous les chrétiens. »
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