DIEU EST-IL FRANCAIS ?

Le Marquis de La Franquerie, dans son livre CARACTERE SACRE ET DIVIN DE LA ROYAUTE EN FRANCE (Editions de Chiré), dans un chapitre intitutlé DOM MABILLON, DEFENSEUR DES PRIVILEGES MIRACULEUX DES ROIS DE FRANCE, a a rappellé qu'un epsagnol, Chifflet, membre du Corps Diplomatique espagnol et sujet des Habsbourg d'Espagne, furieux des victoires remportées par la France des Bourbons, "entreprit de ruiner toutes les taditions sur laquelle elle (la France) fondait son droit de primauté européenne et mondiale".


- Dieu est-il Français? s'interrogea-t-il un jour avec arrogance lorsqu'un diplomate vénitien lui rappellait que les Rois de France étaient Sacrés avec une huile Sainte venue du Ciel, ce qu'un décret de la République de Venise dantant 1558 reconnaissait officellement.


Le fait est que Dieu éteindra la dynastie des Habsbourg d'Espagne, leur dernière représentante, Marie-Thérèse d'Autriche ayant été donné en mariage à Louis XIV à qui elle donnera un fils, ancètre des actuels Bourbons de France (Survivance de Louis XVII), d'Espagne, de Naples et de Parme.


Votre serviteur le sait : avec cet article, il ne se fera pas que des amis. Certains diront que votre serviteur fait le jeu d'un parti politique ou d'un nationalisme intransigeant, étroit et condamnable. Il s'y refuse et se situe sur un plan infiniment supérieur à toutes ces contingences humaines, sur le seul plan solide, celui de la volonté de Dieu tant de fois affirmée. Car la seule réalité qui importe et compte, la seule qui doive dicter tous les actes des États comme des individus est cette volonté Divine devant laquelle, tôt ou tard, de gré ou de force, il faudra bien s'incliner.


- Chaque Nation, comme chaque individu, a reçu une mission qu'elle doit accomplir , a dit Joseph de Maistre. Celle de la France est de faire triompher l'Eglise et la Royauté du Christ .


Sans vouloir amoindrir ni le mythe du Grand Monarque, ni la crédibilité des prophéties, il est quand même un moment où il convient de vouloir reprendre " la raison par le petit bout de la lorgnette ", pour autant que celà soit possible, notre raison pouvant confirmer notre Foi. On ne saurait se contanter du simple constat de l'intéret suscité par la tradition du Roi Perdu à travers les siècles, avant comme après la Révolution. Notre devoir est de compendre POURQUOI ET COMMENT le mythe du Roi Perdu a connu tant de susccès et sous les divers formes qui le promènenent en allamagne, en Irlande, en Russie et en France. Il s'agit de décrypter le myhte par trois voies :


-Le mythe du Grand Monarque avenir, sauveur de la France et de la Chrétienté

-L'histoire, qui permet de constaceter l'écolsion du principe de supériorité de la civilisation Française et ses conséquences.

-La psycanalyse qui justifie les poussées de fièvre du mytrhe.



1. Le mythe du Grand Monarque, sauveur de la France et de la Chrétienté.



La Mision Divine de la France a été affirmée au baptème de Clovis, Mission définie dans le Tetament de Saint-Rémy et confirmé par les Miracles de l'Apôtre des Francs, de Sainte-Clotide, de Saint-Louis et de Sainte-Jeanne d'Arc, Apôtre et Martyre de la Royauté Universelle du Christ et du caractère Sacvré et Divin du Roi de France Son Lieutenant et Parent: les fausse lumières qui ont assis la République ont détourné la France de sa Mission Sacrée: Les Français sont déchirés, l'Eglise est divisée, l'Occident est menacé, et comme si celà ne suffisait pas, notre Etat est bradée, notre armée est déclassée, nos villes sont souillées, nos églises sont vidées, notre jeunesse gachée, livrée, abandonnée... Mais la France peut retrouver sa Mission Divine: elle le peut en retrouvant son manteau de Royauté que le république lui a arraché, car il ne peut y avoir de Mission Divine de la France sans continuité Royale !


Cette continuité fut interrompue en 1830.


C'est pour çà qu' en France, le Royalisme est avant tout une attitude culturelle Catholique , celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d' expansion-évangélisation dont Léon XIII reprendra l’idée: tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme islamisant ! C’est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le salut de la société Française déstabilisée par les idées révolutionnaires. C’est enfin, face à la masse, l’affirmation de la personne ... voulue Chrétienne !


Notons que notre Royalisme inspire aujourd'hui le Carlisme espagnol, le Miguélisme portugais, le Néo-Bourbonisme napolitain comme parmesan, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme des Pays de Visegrad et le Hiérosolimitisme de Terre Sainte et des pays de lk'ex-Empire latin de Contantinople...


Le Grand Monarque est un personnage prophétique issu de croyances populaires eschatologiques basées principalement sur des révélations privées Catholiques et sur des prophéties plus précoces comme celle de Saint-Rémy. Bien qu'il ne soit pas reconnu dans l'escathologie Chrétienne, l'Eglise Catholique ne s'est jamais opposée à la publication d'ouvrages vulgarisant l'espérance dans le Grand Monarque. Certains ecclésiastiques l'ont même encouragé. Le Grand Monarque serait un héritier des Rois de France qui se manifesterait au cours de la période apocalyptique de la fin des temps pour ramener la paix dans un monde déchiré par la guerre, restaurer l'Eglise Catholique persécutée et réduite presque à néant, et enfin rétablir une Monarchie Catholique dans une Chrétienté réunie et étendue au monde entier à partir de la France http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Monarque .


Après une présence très importante dans la littérature prophétique populaire comme le Mirabilis Liber , la croyance dans le Grand Monarque a pris son essor dans les révélations privées, d'une part après le traumatisme de la défaite de 1870, mais surtout après la mort du Comte de Chambord sans descendance en 1883. Elle s'appuie, à partir de cette époque, à la fois sur des prophéties non reconnues par l'Eglise Catholique -les extases de Marie-Julie Jahenny, mystique bretonne, les messages de Kérizinen- et sur des interprétations de prophéties ou de messages donnés lors d'apparitions mariales reconnues par le Saint-Siège (secrets de La Salette par exemple, ou encore le message à Louis XIV de Sainte Marguerite Marie Alacoque).


L'ensemble de ces croyances a été compilé par le Marquis de La Franquerie dans son livre LE SAINT PONTIFE ET LE GRAND MONARQUE SELON LES PROPHETIES (Editions de Chiré). Il ne fait aucun doute que le mythe du Grand Monarque soit à la fois religieux et politique, et qu'il accorde une position privilégièe à la France, même si l'espérence Providentialiste est une espérence mondiale : les Russses attendent un certain DIMITRI, les portugais un certain SEBASTIEN, les Allemamnd un certain FREDERIC et le irlandais un certains HENRY. Dans le contexte de la tradition européenne, LE GRAND MONARQUE le dernier des Bourbons directs -" le dernier de sa race " a dit marie-Julie Jahenny- un Prince Français qui commence sa geste par la reconquète de la France. C'est un Roi de Droit divin qui assure la primauté Française en Europe avec l'aide du Roi d'Espagne, l'autre Bourbon régnant. La prétention est redoutable.


L'Ascendance davidique des Rois de France explique le caractère Sacré et Divin du Roi de France...



2. La civilisation Française .



- La France , écrit Enerts-Robert Cursius, a toujhours ressentit le besoin d'imposer à son Histoire nationale la forme et le contour d'une idée. Elle est en quète d'une image, d'une fromule, d'un mot qui la reflète. la France manifeste, à tervers les siècles, le besoin cosntant de se donner à elle même une image idéale de sa propre figure... la France vit dans la conscience Française sous les trais d'une femme héroïque et charmante... la France a su créer le myhte d'elle-même. C'est là le secret d'une puissance inégalée qu'elle a toujours exercé sur les masses à touttes les époques des de son Histoire.


Cette personnification vit d'un princpie en acte qui lui donne accès d'amblèe à ce qui fait sa supériorité. Initalement, ce principe étant mystique : Gesta Dei per Francos ! La France, Fille Aînée de l'Eglise, était conduite par des Rois Très Chrétiens appartenent à la même Race Royale, Divine en l'un de ses membres.


- L'idée de civilisation , ajoute E.R. Custius, est pour la France la fromule suprême et définitive par laquelle le génie national cherhe à se'xprimetr. elle ne parle jamais de "civilisation Française" mais de civilisation tout court, parce que la nauture humaine est au fond partout identique ...


L'idée de civilisation est d'ailleurs inséperable des princiopes d' universalité et de continuité . C'est ce qui fera dire à Charles Maurras:


-La civilisation est d'abord un capital; elle est en suite un capital transmis.


Et c'est Saint Pie X qui a dit:


-La civilisation n’est plus à inventer… Il ne s’agit que de l’instaurer et la restaurer sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété : " Omnia instaurare in Christo ".


Et Curtius de conclure:


- Alors, ce mot de civilisation se gonfle d'une résonnance, d'une grandeur Sacvrée, que nous ne lui soupçonnions pas !


Un autre allemand nous a clairement expliqué les effets de cette conception historique, aussi bien ches le Français que chez les non-Français : il s'agit de Friedricht Sieburg. Pour lui:


- Etre Français, ce n'est pas appartenir à une race que distingue une même structure de crâne, les mêmes instintcs; c'est avoir en commun une certaine conception de l'esprit national, c'est se sentir l'héritier, l'adminstrateur le continuatuer du monde latin ...


- Et cette idée de hiérarchie est la cause de tous nos nalheurs , dit Sieburg. Elle constitue un puissant obstacle à de meilleurs relations internationales .


" De meilleurs relations internationales " signifiait pour l'allemand une France ayant renoncé à sa primauté, une France corrompue, avilie, en un mot une France couchée. La Révolution dite Française hôtant à la France sa vocation Catholique, lui a en fait enlevé ce qui faisait sa primauté: être la Fille Aînée de l'Eglise et l'Educatrice des peuples!


Et Giraudoux certifira la Mission Divine de la France dans les termes suivants :


- La destinée de la France est d'être l'embèteuse du monde. Elle a été créé, elle s'est créée, pour déjouer, dans le monde, le complot des rôles établis, des systèmes éternels. Elle est la justice, mais dans la mesure où la justice consiste à empécher d'avoir raison ceux qui ont raison depuis trops longtemps. Elle est le bon sens , mais au jour où le bons sens est le dénonciateur, le redresseur de trot, le vengeur. Tant qu'il y aura une France digne de ce nom, la partie de l'univers ne sera pas jouée, les nations parvenues ne sernt pas tranquiles, qu'welles aient leur rang par le travail, la froce ou le chantage. Il y a dans l'ordre, dabns le calme, dans la richesse, un élément d'insulte à l'humanité et à la liberté que la France est là pour relever et punir. Dans l'application de la justice intégrale, elle vient immédiatement après Dieu et chronoligiqument avant Lui . Son rôle n'est pas de choisir prudamment entre le mal et le bien, entre le possible et l'impossible. Alors elle est fichue. Son originalité n'est pas dans la balance, qui est la justice, mais dans les poids dont elle se sert pour arriver à l'équité, et qui peuvent être l'injustice... la Mission de la France est remplie si le soir, en se couchant, tout bourgeois consolidé, tout pateur propère, tout tyran accepté, se dit en ramenant son drap : " Tout n'irait pas trops mal, mais il y a cette Sacrée France ! "...


Et l'on ne comprend la fin de l'Empire Austro-Hongrois le 8 mai 1918 que si l'on lit un livre d'Otto de Habsbourg, MEMPOIRE D'EUROPE (Critérion) où l'on découvre son projet hallucinant de dépecer la France ! Mais penser que le porpre fils du Saint Empereur Charles I° s'est vendu aux loges et a renoncé au Trône Royal et Impérial d'Autriche-Hongrie -ne croyant pas à des " droist abstraits ", alors que c'est les euls qui lui retaient encore!- celà nous fait comprendre que celà libère pour le Roi de France à venir UNE VOCATION IMPERIALE que LE SACRE de Reims lui donne déjà implicitement, òLE BUT DE L'EMPIRE ETANT D'ETENDRE LA CHRETIENTE...



2. Les réticences .



En deux citations magistrales, Sieburg situe le mutations de l'impérialisme spirituel des Français :


- Ceux qui font la guerre au Saint Royaume de France font la guerre au Roi Jésus ! dit Sainte-Jeanne d'Arc, repremant les paroles du pape Grégoire IX à notre Roi Saint-Louis IX.


et

- Dieu avait besoin de la France ! ajoutera en 1917 l'Evêque de Versailles.


Quand on va au fond de ces formules, on ne peut que leur trouver une signification très désagréable pour des non-Français. L'italien Dante Alliguieri et l'anglais Hillaire Belloc sont d'accord la-dessus: la France a détourné à son seul profit l'héritage européen et elle en a profité pour saper toute forme d'unité européenne où elle n'aurait pu figurer en tête des nations. Dante, qui a pourtant théorisé la necessité de la Momarchie dans son ouvrage mémorable DE MONARCHIA, dénonce dans les Capétiens " l'arbre funeste qui obscurcit de son ombre toute terre Chrétienne " car c'est par eux que la papauté et le Saint Empire ont été frustré de l'héritage Romain. Belloc, quand à lui, impute à la Monarchie des Bourbons le désatreux morcellement impérial et la rupture de l'Europe central entre protestants et Catholiques.


DOIT-ON S'EXCUSER, NOUS FRANCAIS, SI DIEU A VOULU FAIRE DE LA FRANCE L'INSTRUMENT DE SES DIVINES VOLONTES ET DONNER A SES ROIS DES GRACES JAMAIS DONNEES A UNE AUTRE MAISON ROYALE, NI MEME AU SOUVERAIN PONTIFE ? !


Quelle que soit la valeur des jugements étrangers sur le comportement Français, il n'en reste pas moins vrai que, jusqu'à nos joirs, les exigences du mythe du Grand Monarque, Roi de France restauré et appellé à régner sur toute l'Europe, ont été soutenus, sinon justifés par le principe de la suprématie spirituelle entre tenue par la France sous tous les régimes. Cette symbiose, plus ou moins consciente, était d'autant plus facile à rélaiser, qu'en France, il y a toujours eu complicité wentre littérature et politique. Dans une certaine manière. chez nous, la liottérature, c'est la civilisation. Ce phénomène devait être particulièrement sensible chez un écrvian d'une origilnalité et d'une puissance singulières : Léon Bloy. Maurrassien converti au Providentialisme, il allait se faire le hérault des liens qui unissent l'Impérialsme spirituelle de la France et l'Empereur Bourbon promis pour l'Europe.


Léon Bloy , né le 11 Juillet 1846 à Notre-Dame-de-Sanilhac et mort le 3 Novembre 1917 à Bourg-la-Reine, est un romancier et essayiste Français. Il est connu pour son roman Le Désespéré , largement inspiré de sa relation tourmentée avec Anne-Marie Roulé . Il est aussi un polémiste célèbre. En Décembre 1868, il fait la rencontre de Jules de Barbay d'Aurevilly , qui habite en face de chez lui, rue Rousselet. C'est l'occasion pour cet anarchiste invétéré de Léon Bloy d'une profonde conversion intellectuelle, qui le ramène à la religion Catholique, et le rapproche des courants Royalistes. C'est Barbey d'Aurevilly qui le familiarise avec la pensée du philosophe Antoine Blanc de Saint-Bonnet , « une des majestés intellectuelles de ce siècle », dira Bloy plus tard. Par la suite, Ernets Hello eut également une très forte influence sur lui ; il semble même que ce soit lui qui l'ait incité à écrire.


Blasphémateur par amour, cet enragé de Dieu, ce pèlerin de la colère va partir du principe de supériorité spirituelle de la France pour aboutir en plein mythe du GRAND MONARQUE, après s'être un moment penché sur la tourmante révolutionnaire, sur la République comme le pire des châtiments, puis sur le mystère de La Salette. Pour lui, la chose set simple : la démocratie, fille de la Révolution qui s'est rendue insuportable par le martyre de la Famille Royale, est la seule cause de tous les maux qui déferlent sur la France et sur le monde. Il faut à la France un homme Providentiel pour restaurer la Monarchie, seul régime politique reconnu et accrédité par Dieu. Car est Légitime autant un régime qui assure le Bien Commun des Français qu'il reconnait Dieu comme toute source d'autorité.


Ce qu'il osera écrire dépassera de beaucoups Sainte Jeanne d'Arc et l'Evêque de Versailles. Pour lui :


-l'Histore de France est quelque chose comme le Nouveau Testament continué, comme une parabole immense omise par les quatre Evangélistes qui auraient à peine osé y faire allusion, et LE ROI DE FRANCE A VENIR, qui ne peut être qu'UN BOURBON et QUI SAUVERA LA FRANCE ET LA CHRETIENTE en établisant miraculeusement L'EMPIRE DU SAINT-ESPRIT, est devenue le seul et ultime moyen pour les Chrétiens de communiquer avec le Divin, ce malgrès le pape, les prètres et les prophètes !


Il rejoindra les positions de Zacharie, le prophète oublié du I° Empire.


De son œuvre, on retient surtout la violence polémique -" Le Catholicisme ou le pétard !", écrira-t-il, prévoyant le 6 Février 1934 qu'il ne verra pas- polémique qui explique en grande partie son insuccès, mais qui donne à son style un éclat, une force et une authenticité uniques. Pour autant, l'inspiration de Bloy est avant tout religieuse, marquée par la recherche d'un absolu caché au-delà des apparences historiques. Tout, selon Bloy, est symbole : reprenant le mot de Saint-Paul, il ne cesse d'affirmer que « nous voyons toutes choses dans un miroir », et que c'est précisément la mission de l'écrivain que d'interroger ce « grand miroir aux énigmes ». Certains voient en Bloy un anarchiste de droite ou « le modèle des pamphlétaires de droite », une certaine « récupération » dénoncée par Michèle Touret. D'autres voient en lui un des plus authentiques Providentialistes.


Mais ajoutons à celà que la position de Léon Bloy fut telle qu'elle susicta au sein du Catholicisme silloniste des réactions de " bourgeois bien pensants ". On a été jusqu'à instruire son cas devant le Saint-Office... mais le Saint Office n'a pas condamné Léon Bloy.







Hervé J. VOLTO, CJA



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A lire : Marquis de la Franquerie, CARACTERE SACRE ET DIVIN DE LA ROYAUTE EN FRANCE (Ed. de Chiré).