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* THEODOM * : « le mal » - 9. La guerre « juste » - 10. Contre la mal, fatalité ou liberté ?

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Message par Lumen Lun 31 Jan 2022 - 19:36

Que devons-nous faire face au mal ?


Bonjour à tous(tes),

Au plan international, le recours à la violence est malheureusement parfois nécessaire. L'enjeu, alors, consiste à prendre des moyens proportionnés pour répondre à une agression. Ces choix ont pu justifier l'idée qu'il pourrait y avoir des « guerres justes ».

Le pape François, dans son discours à Hiroshima en novembre 2019, a rappelé que « l'une des plus profondes aspirations du cœur humain, c’est le désir de paix et de stabilité ».

La question de la « guerre juste » demeure : dans la vie réelle, les menaces de violence sont toujours bien présentes. Une position qui refuserait les conflits est-elle vraiment raisonnable ?

Avant de devenir dominicain, frère Etienne d'Ardailhon  a travaillé dans l'industrie militaire. Dans cette vidéo, il nous aide à réfléchir.



* THEODOM * : « le mal » - 9. La guerre « juste » - 10. Contre la mal, fatalité ou liberté ? R13uh
frère Emmanuel Dumont
Responsable des formations en ligne ThéoDom





9. La guerre « juste »


#0066ff]Le Pape François dans son discours d’Hiroshima de 2019 a condamné la possession d’armes atomiques, qu’il juge immorale et criminelle. Mais vous me direz, qui est le pape pour condamner la guerre et ses pratiques ?[/size]


La guerre juste dans la Bible.

Dans la Bible, il n’y a pas grand’ chose au sujet de la guerre. Bien sûr, il y a des guerres affreuses dans l’Ancien Testament, mais elles ne sont jamais arbitraires. Il y a des règles de conduite à la guerre, et des critères d'engagement. Par exemple, le Deutéronome interdit de provoquer la famine (Deutéronome 20, 19).

Les prophètes décrivent l’accomplissement de la promesse de Dieu comme un règne de paix. (Michée 4, 3 et Isaïe 2, 4)

« Ils briseront leurs épées pour en faire des socs et leurs lances pour en faire des serpes. » (Isaïe 2,4)

Jésus se dit « artisan de paix » et il le montre quand il vit la Passion. Il invite ses disciples à ne pas faire usage de la violence (Luc 22, 50).

D’un côté, Jésus déclare dans son sermon sur la Montagne :

« Ne vous opposez pas à celui qui est méchant ; mais qui te gifle sur la joue droite, tourne aussi vers lui l’autre joue. » (Matthieu 5, 39)

Et de l’autre côté, on voit que Jésus utilise la force pour chasser les marchands du Temple (Jean 19, 45).

Ainsi, si on en reste à la Bible, il y a un refus de la violence, mais il n’est pas absolu. Il faut interpréter et distinguer.


La différence entre violence et force

La force, c’est un pouvoir d’agir, et la violence, c’est la force, utilisée pour contraindre.

La violence est condamnable car elle rabaisse l’homme, elle nie son altérité et sa liberté. C’est de ça dont parle le Décalogue avec le commandement : « Tu ne tueras pas » (Exode 20, 13).

Par contre Jésus montre sa force par la puissance de sa Parole et des Signes qu’il pose. Il ne fait violence qu’aux démons.


L’Église justifie l’entrée en guerre

L’Eglise a toujours cherché à encadrer le recours aux armes et la manière de faire la guerre.

Saint Augustin justifie le premier la guerre au nom de la charité. Il développe un courant de pensée dans lequel la paix est un idéal à atteindre, mais un chrétien doit agir en tenant compte de la réalité du péché qui travaille le monde.

Saint Thomas d’Aquin, à la question 40 de la Secunda Secundae de sa Somme théologique, pose 4 critères pour légitimer l’entrée en guerre, ce qu’il appelle en latin « jus ad bellum » :

1) Une autorité légitime le demande.

2) Toutes les autres options favorables à la paix ont été épuisées.

3) L’entrée en guerre vise à lutter contre une injustice réelle.

4) Il y a un espoir légitime de vaincre l’agresseur.

On y ajoute souvent l’idée d’ultima ratio, c’est-à-dire de dernier recours. On n’entre en guerre que si tous les moyens diplomatiques ont été épuisés et qu’on a une chance raisonnable de succès.

Ce qui est paradoxal, c’est que si on valide tous ces critères, on n’a normalement plus aucune raison valable d’entrer en guerre.


Comment se comporter durant une guerre ?

Encadrer le recours justifié aux armes ne suffit pas. Il faut encadrer la manière dont on s’en sert. Même dans une guerre pour une juste cause, on peut se comporter de manière injuste.

Pour saint Thomas, un comportement juste pendant la guerre, (c’est le jus in bello), devrait répondre à deux critères :

1) la distinction entre civils et combattants.

2) la proportionnalité à l'attaque ou à la menace subie.


L’Eglise essaye d’encadrer le recours à la force

Oui, au Moyen-Age, le pape Innocent III avait en effet interdit les arbalètes parce que cette arme permettait à une seule personne de tuer trop de monde. Elle était trop meurtrière. Mais cette prise de position a été reprochée à l'Église dès le départ. À cause de cette décision, l'Église a été tournée en dérision et l’interdit n’a jamais été respecté. De ce fait, l’Eglise n’a plus jamais tenté de limiter l’armement pendant 8 siècles.

Les changements de l’armement au XXe siècle changent la donne. La guerre totale émerge. Et les papes prennent position à nouveau pour condamner l’usage de certaines armes. Le Saint-Siège devient signataire de tous les traités de désarmement.


La difficulté de justifier la guerre aujourd'hui

Après l’effondrement du bloc soviétique, la guerre se complexifie et devient asymétrique. Les critères édictés ne suffisent plus pour encadrer le recours à la force.

L’arme nucléaire n’a pas mis fin à la guerre. Au contraire, des moyens toujours plus nombreux et variés de faire la guerre ont émergé :  terrorisme, guerre économique, armes NRBC, drones armés, guerre cyber, etc.

L’intention varie selon les auteurs : derrière des idées pieuses, des réalités affreuses. Par exemple, l’opération Enduring Freedom de 2003 marque l’invasion de l’Irak sur des fausses accusations de possession d’armes biologiques.


La position des papes au XXe siècle

Constatant ces changements dans la manière de faire la guerre, les papes ont pris position au nom de l’Eglise. Voici 3 exemples :

Benoît XV parle de la Première Guerre Mondiale comme de la tragédie de la folie humaine, d’une boucherie, même d’un suicide.

Le Concile Vatican II, dans Gaudium et Spes déclare :

« Il est donc clair que nous devons tendre à préparer de toutes nos forces ce moment où, de l’assentiment général des nations, toute guerre pourra être absolument interdite ». (Gaudium et Spes, 82)

Paul VI en 1965 dans son Discours à l’ONU lançant son appel : « Plus jamais la guerre ! ».


La déclaration du pape François

Dans ce contexte, le pape François a décidé d’apporter une parole prophétique sur la guerre dans son encyclique de 2020 Fratelli Tutti sur la fraternité. Je cite :

« Il est très difficile aujourd’hui de défendre les critères rationnels, mûris en d’autres temps, pour parler d’une possible “guerre juste”. » (Fratelli Tutti, 258)

La guerre est injuste car elle menace :

1) L’humanité entière et l’environnement, notamment du fait de l’arme nucléaire

2) Les plus fragiles, car ils sont les premières victimes en cas de conflit.

3) Les plus pauvres, parce que les budgets de l’armement pourraient être dépensés autrement.

Ainsi, le pape dénonce le danger d’interpréter abusivement les critères issus de la théorie de la « guerre juste » pour donner une légitimité à certains actes de guerre.

Néanmoins, on peut se poser la question de savoir s’il ne vaut pas mieux disposer de quelques critères pour éviter le pire dans une situation de conflit armé.

Vu les atteintes à la dignité humaine et l’entrave majeure à la réalisation d’un bien commun, la guerre est injustifiable. Cela ne doit pas empêcher chaque chrétien d'œuvrer en faveur de la paix et de la justice dans le monde.



Bibliographie :

CAVANAUGH, W., Comme un hôpital de campagne, Paris, Desclée de Brouwer, 2016.

COSTE, R., Théologie de la paix, Paris, Éd. du Cerf, « Cogitatio fidei » 203, 1997.

WALZER, M., Guerres justes et injustes, [1977], Paris, Éd. Gallimard, 1992².

Sur l’interdiction des arbalètes en 1139 : « 29. Nous défendons sous peine d’anathème que cet art meurtrier et haï de Dieu qui est celui des arbalétriers et des archers soit exercé à l’avenir contre des chrétiens et des catholiques. » in ALBERIGO G. (dir), Les conciles œcuméniques, Tome II-1, Les décrets : Nicée I à Latran V, Paris, Ed. du Cerf, 1994, p 445 ; en notes du Chap. 1, Décrétales, V, 15, sous le nom du pape Innocent III (Fr. 2, 805).




frère Etienne d'Ardailhon
En 2021, frère Etienne est frère étudiant au couvent de Lyon. Avant d'entrer dans l'Ordre des Dominicains, il travaillait comme analyste marketing dans l'industrie de la défense.




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Lumen
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Message par Lumen Mer 2 Fév 2022 - 16:39

Que devons-nous faire face au mal ?


Bonjour à tous(tes),

Souvent, à la messe, quand nous écoutons les lectures, la vie de Jésus nous apparaît remplie de contradictions !

Dans le Temple de Jérusalem, il chasse les marchands avec des fouets et des cordes; à l'inverse, il se laisse faire lors de son arrestation, demandant à Pierre de ranger son épée. Le Christ a envoyé ses disciples libérer avec puissance les possédés mais c'est par sa faiblesse qu'il nous sauve sur la croix.

Quels exemples de la vie du Christ devons-nous imiter ? Comment pouvons-nous essayer de traduire la vie du Sauveur dans notre vie personnelle ?

Dans cette vidéo, les frères Matthew Jarvis et Filip-Maria Ekman échangent leurs arguments : une discussion passionnante ! .



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10. Contre la mal, fatalité ou liberté ?


#0066ff]Frère Matthew : Le mal est partout dans le monde, mais qu’est-ce que j’y peux ? Je ne peux pas faire advenir la paix dans le monde ou soigner toutes les maladies ! Je ne peux pas grand- chose. Au fond, je dois peut-être accepter mon impuissance et faire confiance à Dieu et à sa Providence ? C’est lui qui est aux manettes !

Frère Filip-Maria : Là, tu donnes raison à Nietzsche, qui disait que le Christianisme est une religion d’esclave ! Il ne faut pas rester soumis au mal dans le monde. Il vaut mieux écouter Edmund Burke, l'écrivain anglais, qui disait que le meilleur moyen pour le mal de triompher, c’est que les hommes bons ne fassent rien. Alors, ne laissons pas le mal gagner, on doit se battre !
[/size]


Père, que ta volonté soit faite

Frère Matthew : Je comprends leurs critiques, mais c’est une vérité biblique. Pierre dit aux esclaves de se soumettre à leurs maîtres même s’ils sont injustes.

« Esclaves, soyez soumis avec une profonde crainte à vos maîtres, non seulement aux bons et aux doux, mais aussi aux mauvais. » (1 Pierre 2, 18)

Ainsi, les esclaves suivent l’exemple du Christ qui s’est soumis aux autorités comme un agneau qu’on mène à l'abattoir.

« Mais si, après avoir fait le bien, vous souffrez avec patience, c'est là une grâce aux yeux de Dieu.  Or, c'est à cela que vous avez été appelés, car le Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple afin que vous suiviez ses traces. » (1 Pierre 2, 20-21)

C’est bien ça, les chrétiens doivent accepter les souffrances de la vie. Si c’est vrai que c’était la volonté de Dieu que son Fils souffre sur la croix, alors c’est d’autant plus vrai pour nous.


Une bataille cosmique

Frère Filip-Maria : Ce que tu dis est masochiste ! On devrait juste être passifs, comme des paillassons. On devrait juste accepter tout ce qui arrive comme si tout était la volonté de Dieu.

Mais non, nous sommes au cœur d’une bataille cosmique entre le bien et le mal. Le Démon est le prince de ce monde, et Dieu veut que nous le combattions. On est du côté du bien. On n’est pas des esclaves mais des combattants du Christ.

C’est tout autant biblique : c’est ce que saint Paul dit.

« Car ce n'est pas contre des adversaires de sang et de chair que nous avons à lutter, mais contre les Principautés, contre les Puissances, contre les Régisseurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les espaces célestes. » (Éphésiens 6, 12)

Frère Matthew : Attention, je ne suis pas naïf. Il faut discerner : tout ce qui arrive ne relève pas de la volonté de Dieu. Sinon, on tomberait dans la caricature.

Il faut distinguer entre ce que Dieu veut directement, et ce qu’il permet. Dieu veut le bien, de manière active, mais il permet le mal, aussi. On doit avoir confiance en Dieu et croire que d’une manière ou d’une autre, par sa Providence, il fera émerger le bien, y compris à partir du mal.

C’est comme ça que je comprends ce verset de la lettre aux Romains :

« Et nous savons qu'avec ceux qui l'aiment, Dieu collabore en tout pour leur bien. » (Romains 8, 28)

Je te l’accorde, il y a un combat entre le bien et le mal. Mais ce que je n’aime pas dans ta manière d’en parler, c’est que tu exagères le pouvoir du Mal. Tu en fais le rival de Dieu, un peu comme les manichéens qui voyaient le bien et le mal comme deux principes égaux qui régissent le monde.

Or au fond, le Malin n’est qu’une créature, et le Christ a dit, quand les disciples étaient partis en mission pour prêcher et guérir les malades, qu’il a vu Satan tomber comme l’éclair (Luc 10.18). La victoire a déjà été gagnée par le Christ !


La Victoire, déjà là et pas encore.

Frère Filip-Maria : Dieu me préserve d'être manichéen ! Bien sûr que la victoire a été gagnée par le Christ ! Mais on est toujours dans un “entre deux”. Et comme le dit la lettre aux Romains :

« La création tout entière gémit maintenant encore dans les douleurs de l'enfantement. » (Romains 8, 22)

C’est bien pour ça que le Christ veut que nous l’imitions en participant à sa victoire par nos combats contre le mal qui persiste.

Regarde les martyrs : ce sont les plus grands exemples qui nous montrent comment combattre les puissances du mal à l'œuvre dans le monde. Ils se sont dressés pour le bien, même au prix de leur vie.


L’abandon à la volonté de Dieu

Frère Matthew : Mais justement, les martyrs nous montrent comment se soumettre au mal et non comment le combattre. A Gethsémani, au moment de son arrestation, le Christ aurait pu se défendre, et il refuse :

« Rengaine ton glaive ; car tous ceux qui prennent le glaive périront par le glaive. Penses-tu donc que je ne puisse faire appel à mon Père, qui me fournirait sur-le-champ plus de douze légions d'anges ? » (Matthieu 26, 52-53)

Le Chrétien est appelé à s’abandonner à la volonté de Dieu dans le monde. C’est ce que le Christ dit, quand il déclare : « Que ta volonté soit faite » (Matthieu 26, 42) et « Entre tes mains, je mets mon esprit » (Luc 23, 46).

Frère Filip-Maria : Il faut faire attention avec l’idée d’abandon. J’ai bien aimé la distinction que tu as faite,  il y a à l’instant entre ce que Dieu veut activement et le mal qu’il permet.

Quand Dieu permet un mal (pour des raisons qui nous dépassent), il n’intervient pas directement par un miracle, pour l’arrêter. Mais peut-être qu’il veut que ce soit moi qui me lève et le combatte !


Le mal est trop profond

Frère Matthew : C’est juste, les injustices du monde doivent nous révolter, comme le Christ lorsqu’il renverse les tables des changeurs dans le Temple (Marc 11.15).

Mais nous savons aussi que la justice humaine ne se réalisera jamais vraiment en ce monde. Sinon, nous risquons d’être vite déçus par des projets utopiques. Le mal ne peut pas être réglé par des efforts humains. C’est trop profond. C’est parce que le mal nous dépasse, qu’on prie Dieu avec insistance dans le Psaume.

« Réveille-toi ! Pourquoi dors-tu, Seigneur ? Lève-toi ! Ne nous rejette pas pour toujours. » (Psaume 43(44), 24)

En nous soumettant au mal que l’on ne peut éviter, on conserve notre espérance chrétienne dans la transformation quand le Royaume de Dieu va venir.

Frère Filip-Maria : Oui, le combat chrétien ne vise pas une utopie. C’est un acte prophétique qui indique le Royaume de Dieu que nous espérons, alors même que le monde souffre.


C’est l’amour qui compte

Frère Matthew : Alors oui, les chrétiens ne sont pas masochistes quand ils disent que nous avons besoin de souffrir du mal dans ce monde. Nous ne souffrons pas pour souffrir. Nous souffrons pour le Royaume de Dieu, pour l’amour. On souffre de l’amour mais on n’aime pas souffrir ! C’est l’amour qui compte.

Frère Filip-Maria : Oui, tant que ce qui compte, ce n’est pas de souffrir mais de suivre le Christ et d’aimer en chrétien.




frère Filip-Maria Ekman
Frère Filip-Maria est, en 2021, frère étudiant au couvent de Lyon. Il est suédois et a étudié la théolgie en Suède et aux Etats-Unis avant d'entrer dans l'Ordre.


frère Matthew Jarvis
En 2021, frère Matthew Jarvis étudie les Pères de l’Eglise au couvent du Saint-Nom-de-Jésus, à Lyon. Il nous vient d’Angleterre. Il a étudié la théologie à Oxford et exercé comme aumônier d’étudiant au couvent de Holy-Cross de Leicester.




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