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Les Apparitions de Soufanieh Marie, Source de l'huile sainte Damas, Syrie

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Les Apparitions de Soufanieh  Marie, Source de l'huile sainte  Damas, Syrie Empty Les Apparitions de Soufanieh Marie, Source de l'huile sainte Damas, Syrie

Message par Lumen Mar 5 Juil 2022 - 17:53

Les Apparitions de Soufanieh

Marie, Source de l'huile sainte

Damas, Syrie



Les Apparitions de Soufanieh  Marie, Source de l'huile sainte  Damas, Syrie Notre-Dame-de-Soufanieh-en-Syrie

Le samedi 27 novembre 1982, en Syrie, dans un quartier populaire de Damas, une toute jeune femme de 18 ans, mariée tout récemment; Myrna Nazzour, voit ses mains se couvrir d'huile alors qu'avec sa famille elle prie pour sa sœur malade. Myrna enduit de cette huile l'endroit du corps de sa sœur qui s'en trouve bien. Dans la chambre de Myrna ce même jour, de l'huile exsude d'une petite icône de la Sainte Vierge, modeste image de papier collée sur du carton dans un cardre en plastique. L'écoulement d'huile sur l'icône et sur les mains de Myrna ne sont en effet que l'un des aspects de l'ensemble des faits qui se produisent à Soufanieh. La Vierge et le Christ ont parlé à plusieurs reprises. Dès le 15 décembre 1982, la Vierge apparaît à Myrna. Mais elle ne peut rien dire car la jeune femme épouvantée, s'enfuit. Trois jours plus tard, le 18 décembre , Myrna s'était préparée dans la prière, la Vierge lui apparaît de nouveau et lui adresse son premier message.

L'éducation maternelle de Marie

«  Mes enfants, souvenez-vous de Dieu; Dieu est avec nous », en sont les premiers mots. D'entrée de jeu, la Vierge ramène les regards vers Dieu, centre sur Lui. Elle accomplut ainsi son rôle maternel envers ceux à qui Elle s'adresse. « Mes enfants » Elle leur rappelle la nécéssité de tourner leur cœur vers Dieu, spécialement vers la louange. En effet, « se souvenir de Dieu », en arabe signifie avant tout le louer, reconnaître Sa Grandeur, Son Amour. On vit alors en Sa présence, on implore Sa Grâce, on se souvient de Lui. Et Marie nous redit que Dieu l'Emmanuel est avec nous. Au-delà de l'huile, c'est Dieu qui manifeste Son Amour et qui invite à revenir à Lui. Ainsi la Vierge Marie accomplit-Elle au fil des apparitions et des extases, un travail maternel d'éducation auprès de Myrna et de tous ceux qui, à travers Myrna accueillent son ouverture de Cœur, son Enseignement. Cette éducation , Marie qui connaît bien les craintes, les fragilités de ses enfants, la fonde sur la confiance : « J'ai une demande à vous faire. Un mot que vous graverez dans votre mémoire, que vous répèterez sans cesse : Dieu me sauve, Jésus m'éclaire, l'Esprit Saint est ma Vie, c'est pourquoi je ne crains rien. » (message du 21 février 1983). Cette invocation que la Vierge demande de graver dans la mémoire et reprendre sans cesse, à la manière de la prière de Jésus si familière aux Chrétiens d'Orient, cette invocation ancre dans la famille trinitaire celui qui la fait sienne ; elle lui fait percevoir de plus en plus concrètement la présence aimante et agissante des Trois Personnes Divines dans sa vie. Alors de quoi aurait-il peur ? Au long de leurs manifestations, la Vierge, puis le Christ, rediront à Myrna : « Ne crains pas », et à tous les fidèles : « N'ayez pas peur. »

« Qu'ils sont beaux mes enfants, à genoux, implorant »

Par ailleurs comme à chaque fois qu'Elle s'est manifestée, à Lourdes, à La Salette, à Pellevoisin, à Fatima, à Banneux… la Vierge Marieinsiste sur l'absolue nécéssité de la prière : « Je vous dis : priez, priez, priez. Qu'ils sont beaux à genoux mes enfants implorant » (message du 24 mars 1983). La triple répétion souligne l'urgence et la rpimauté de la prière. Mais Marie en femme pratique, indique aussi l'attitude profonde qui doit animer cette prière : « à genoux, implorant. » C'est l'attitude le la cananéenne, prsévérant humblement dans sa requête, et provoquant ainsi l'émerveillement de Jésus, comme ici celui de Marie. C'est la prière de l'humble, de celui qui sait se mettre à sa place devant Dieu. C'est le contraire de toute la civiliastion matérialiste et dure dans laquelle nous sommes plongés et où chacun croit devoir faire son chemin à la force du poignet, érigeant en dieu la réussite. « Dis à tous qu'ils multiplient la prière. Car ils ont besoin de la prière pour plaire à Dieu. » (Message du 18 août 1989). Seule la prière peut nous libérer de tous les faux-semblants, et nous faire entrer dans notre vérité d'enfants de Dieu. Mais cette attitude d'enfants, n'est évidemment pas une infantilisation. La Vierge précise à Myrna qui se demandait si elle devait ou non continuer sa vie conjugale : « Vis ta vie. Cependant que la vie ne t'empêche pas de continuer à prier. » (message du 7 septembre 1984).. Pour être vraiment l'instrument de l'annonce nouvelle entre les mains du Seigneur, Marie dit à Myrna d'assumer sa vie de femme mariée, de femme dans le monde. Mais sans cesser de prier. Ainsi, comme tout chrétien, grandira-t-elle dans la vie qui est la sienne, dans la vocation à laquelle le Seigneur l'appelle.

Sainteté du mariage

Car voici un autre aspect important du message de Soufanieh. Dans un temps où le mariage connaît une dévalorisation, une désagrégation encore jamais vues, il en rappelle avec force la sainteté : « Je ne suis pas venue séparer, dit la Vierge à Myrna . Ta vie conjugale restera ce qu'elle est. » (Message du 25 novembre 1983). Le moement venu Marie lui annoncera le cadeau de la petite Myriam, suivie, deux ans plus tard, de celle de Jean-Emmanuel. Le mari de Myrna, Nicolas, témoigne de la sainteté du mariage, par l 'étonnante manière dont il est aux côtés de sa jeune femme, au service de la Grâce.

Jésus nous confie Sa Mère

Jésus qui se manifeste à Myrna à partir du 31 mai, souligne, Lui aussi, l'importance de la prière. Comme Sa Mère, Il insiste et éduque : « Priez, priez, priez. Et quand vous priez, dites : ô Père, par les mérites des blessures de Ton Fils Bien-Aimé, sauve-nous. » (Message du 22 juillet 1987). Jésus tout tourné vers le Père, a fait de nous , par Sa Passion, les enfants du Père. Par l'esprit qu'Il nousa donné, nous pouvons dire « Abba ! Père ! » Mais toujours en passant par Ses blessures, c'est à dire par la Rédemption. En dehors de la Croix il n'y pas de Rédemption. Les Blessures de Jésus sont la porte du Salut, les portes de notre retour au Père. Cependant pour nous y aider , Jésus nous a donné aussi Sa Mère. Et dans un message bouleversant de tendresse filiale, Il fait ressortir l'éminante place qu'Il a voulu que Marie tienne dans l'histoire du Salut : « C'est Elle, Ma Mère, dont Je suis né. Qui L'honore, M'honore, qui La renie, Me renie. Qui Lui demande obtient parce qu'Elle est Ma Mère. » (message du 14 août 1987). Déjà au XIIe siècle, Saint Bernard de Calirvaux déclarait : « Vénérons donc Marie de toutes les fibres de' notre cœur, de toute notre pouvoir d'aimer…telle est la Volonté de Celui qui a voulu que nous ayons tout par Marie ». (L'Aqueduc, Sermont pour la Nativité de la Sainte Vierge, 7)Ainsi Jésus non seulement approuve mais encourage et même amplifie la ggrande tradition mariale de l'Eglise, celle qui incline le cœur de beaucoup de Chrétiens à s'adresser avec une totale confiance à Marie. La joie de Jésus est de voir Sa Mère et de la voir honorée. Il ne peut rien Lui refuser et Lui à confié le soin de ses enfants. A eux de recourir sans hésiter à Son inyercession toute puissante sur le Cœur de Son Fils. Cet appel à la prière et à la confiance dans l'intercessionde Marie a été spontanément perçu par les personnes présentes, dès la première minute des événements de Soufanieh. Le phénomène de l'exsudation de l'huile à tout de suite suscité dans la maison de Myrna et de son mari, une permanence de prière massive autour de l'icône ; outre leur famille de très nombreuses personnes sont venues du voisinage, puis de Damas, de toute la Syrie et maintenant du monde entier, prier dans la « Maison de la Sainte Vierge », dans une atmosphère de grande simplicité et de grande familiarité avec Dieu. Même dans les périodes de « désert », comme entre novembre 1985 et novembre 1986, où il n'y eut pas de manifestation, la prière s'est continuellement maintenue. Et elle a provoqué un courant de renouveau spirituel un peu partout en Syrie, surtout à Alep, parmi les gens de plus en plus nombreux dans le monde entier, amis toujours avec des moyens pauvres et dans la discrétion.

Une demande instante : l'Unité de l'Eglise

Cependant, lorsque, le cœur opuvert, on accueille les messages de Jésus et de Marie à Soufanieh, on prend conscience que leur pédagogie de prière, de pénitence, de confiance, est toute orientée vers ce grand désir de leurs Cœurs Unis qu'est l'Unité des Chrétiens. Leur appel à la conversion, au retour de Dieu, à l'intensification de la prière converge vers l'instante demande de l'Unité de l'Eglise. Le premier message qui en parle explicitement est donné 4 moi après le début des événements. Mais déjà, durant ces 4 mois, les Chrétiens venus prier à la « Maison de la Vierge » s'étaient demandé : « Que veut la Sainte Vierge ? » Et intuitivement, beaucoup se sont mis à dire : « La Sainte Vierge cherche peut-être à nous unifier ? » Ils partaient du fait que Myrna appartient à l'Eglise Grecque-Catholique, tandis que Nicolzd, son mari est de l'Eglise Grecque-Orthodoxe. Ils voyaient aussi que Catholiques et Orthodoxes se retrouvaient en prière ensemble, dans le même amour pour la Vierge, devant l'icône miraculeuse. La Syrie, pays de Naaman, le lépreux guéri par le Saint Prophète Elisée (voir en 2 Rois 5 et Luc 4, 27), est un pays biblique. C'es aussi l'un des cadres où s'est développée la chrétienté naissante : à Antioche, fut donnée pour la première fois le nom de Chrétiens aux disciples u Christ . ( voir en Actes des Apôtres 11, 26b)  Et la ville de Damas reste à tout jamais liée au souvenir de Saint Paul, l'Apôtres des Gentils, qui vit le Christ en s'y rendant et y débuta son ministère missionnaire et apostolique ( voir en Actes des Apôtres 9 , 1-26). Or ces racines anciennes marquent toujours l'actuelle communauté Chrétienne, non comme un concept intellectuel, mais à la manière d'un héritage de famille. Ce n'est probablement pas sans raison que le message essentiel de Soufanieh, celui qui dénonce et qui crie la souffrance du Christ devant la désunion de Son Eglise, voit le jour dans ce pays qui est un des berceaux de la Chrétienté , à l'époque où « toute petite », elle était une. N'est-ce pas un signe invitant tous les chrétiens à retrouver la grande grâce des origines, celle du temps où « la mutitude des croyants n'avait qu'un cœur et qu'une âme » Actes des Apôtres 4, 32)

Comment annoncer Jésus ?

Certes au Proche-Orient, l'Eglise est l'objet d'un morcellement spectaculaire et douloureux, fruit d'une longue histoire d'affrontements et de querelles entre chrétiens, d'abord au sein de l'Eglise d'Orient, puis ensuite entre les Orientaux et les Occidentaux. Ces affrontements ont abouti à l'émiettement des Chrétiens entre rites et obédiences divers : Grecs-Catholiques, Grecs-Orthodoxes, Syriaque Catholiques, Syriaques-Orthodoxes, Arméniens, Latins, Maronites, etc… Cette désunion ayant grandement favorisé l'implantation de l'Islam, commencée dès le VIIe siècle, les Chrétiens , encore largement majoritaire au XV e siècle , ne représentent plus de nos jours que 12 à 15 % de la population syrienne répartis entre au moins douze communautés , Catholiques er Orthodoxes, surtout préoccupées de survivre. Marie, dès son premier message, avait rappelé à ces communautés trop repliées sur elle-mêmes par un passé de souffrance, que le rôle des Chrétiens est d'évangéliser : « Annoncez Mon Fils l'Emmanuel. » Mais Elle sait bien qu'un obstacle presqu'insurmontable à cette évangélisation est la multiplicité des Eglises, qui plus est, souvent antagonistes et rivales. Comment annoncer Jésus dans un contexte de querelles entre les Chrétiens ? Comment faire découvrir Jésus et Son Message d'Amour à ceux qui ne Le connaissent pas, si l'on est incapable de vivre cet amour entre frères ? « L'Eglise est le Royaume de Dieu sur terre. » Mais parce qu'elle est divisée, elle ne peut témoigner comme elle le devrait. Aussi la Vierge insiste-t-Elle à plusieurs reprises : « Mes petits enfants, rassemblez-vous. Mon Cœur est blessé. Ne laissez pas Mon Cœur se diviser à cause de vos division. » Dit-Elle avec beaucoup de tristesse à Myrna le 1er mai 1985. Et la veille du 15 août, elle souligne : «  Ma fête c'est quand Je vous vois tous réunis ensemble… L'union de vos cœurs , c'est Ma Fête. » Les messages de Soufanieh ont profondément touché la population Chrétienne de Syrie, qui a pris conscience de la nécéssité de l'Union. Elle la désire maintenant de plus en plus ardemment. Mais les obstacles de la pesanteur des Institutions et de la raiseur des cœurs sont grands. Ils semblent même humainement insurmontables et les tentatives d'actions se heurent à l'échec.

La prière

Alors Jésus intervient : « Mes enfants est-ce que vous faites , vous le faites par amour pour Moi ? Ne dites pas : « Qu'est-ce que je fais ? » Ceci est Mon Œuvre . Vous devez , vous, jeûner et prier. » (message du 26 novembre 1988) A Soufanieh, le Seigneur promets de reconstruire Lui-même l'Unité de Son Eglise. Tout ce qu'Il demande à Ses enfants, c'est de Lui reter unis par la prière, dans la docilité à Sa Grâce. La prière nous unit au Seigneur et nous fait devenir pierres vivantes de Son Corps unifié. Car la véritable Eglise se construit dans le cœur des fidèles. C'est par l'union du cœur de tous les croyants unis à Celui de Jésus que pourra se réaliser cette œuvre qui transcende toute possibilité humaine, qu'est l'Unité de l'Eglise. « Mes enfants, Jésus à dit à Pierre : Tu es la pierre et sur elle, Je bâtirais Mon Eglise. Et Moi, Je vous dis maintenant : « Vous êtes le cœur dans lequel Jésus bâtira son unicité », dit la Sainte Vierge à Myrna, le 26 novembre 1989. La réalité profonde de l'Eglise est de l'ordre de l'Amour qui jaillit du Cœur Sacré de Jésus pour faire revivre le cœur des Chrétiens.

Il faut prendre au sérieux le désir du Seigneur

Cependant, Jésus demande la participation de ses enfants, notamment en creusant en eux le désir d'une manière très concrète . Dans ce Proche-Orient où les rites se cotoient l'utilisation de deux calendriers diffrénts : le Calendrier Grégorien pour les Catholiques et le Calendrier Julien pour les Orthodoxesentraîne la plupart du temps deux dates différentes pour toutes les grandes fêtes liturgiques. Notamment pour la fête de Pâques , somment de la vie chrétienne. De plus en plus de Chrétiens ressentent l'anomalie de cette fête de pâques célébrée à deux reprises à quelques jours de distance, dans les églises d'un même quartier. Jésus a Lui-même souligné l'importance qu'Il attache à l'unification de la fête de Pâques , en faisant vivre à Myrna les stigmates de la Passion chaque fois que la date de la fête de Pâques est la même chez les Catholqiues et chez les Orthodoxes, comme ce fut le cas en 1984 et 1987. De plus, en 1990, pour inciter les chrétiens à hâter l'unification de la fête de Pâques, et manifester clairement la souffrance que leur procure cette divion, Jésus et Sa Mère annoncent à Myrna qu'Ils ne se manifesteront plus à elle tant que rien n'aura été fait. C'est Jésus qui le Lui dit le premier : «  Ma fille, tu n'entendras ma voix, qu'une fois Ma Fête unifiée » . (Message du 14 avril 1990). Jésus n'abandonne pas ses enfants, à qui, dans le même message Il affirme : « Je suis avec vous. » Mais Il veut les inciter à prendre au sérieux le désir de Son Cœur Sacré. Le 26 novembre 1990, c'est au tour de Marie de dire à Myrna : « Ne crains pas ma fillesi Je te dis que c'est la dernière fois que tu Me vois jusqu'à ce que la Fête soit unifiée. » Seul restera le signe de l'huile, signature de l'action du Seigneur : « Où que tu ailles. » L'unification de l'Eglise, la nécéssité de la conversion ne sont pas réservés au seul Proche-Orient. Si le Seigneur a jugé nécéssaire d'y enraciner son message. Il n'en veur pas moins le faire déborder jusqu'aux extémités du monde : « Va à la terre où la corruption s'est généralisée, et sois dans la Paix de Dieu. » Dit-Il à Myrna, le 26 novembre 1985. Et encore plus explicitement : « Va et annonce dans le monde entier et dis-leur sans crainte : Qu'on travaille pour l'Unité. » (message du 26 novembre 1987) Les événements de Soufanieh constituent en paroles et en actes, un appel pressant de Jésus et de Marie, qui ne cachent pas leur tristesse devant l'entêtement des hommes à se détourner des Chemins de Vie. Ils soulignent combien l'Unité retrouvée des Eglises Chrétiennes est la condition indispensable à la conversion et au salut de l'humanité. Dans notre univers déboussolé par les idéologies athées et matérialistes, seule UNE Eglise rayonnate de charité, de simplicité , d'ardeur apostolique peut attirer les cœurs à Celui dont elle reflète le Visage. A travers Myrna , ce sont tous les chrétiens de bonne volonté qui sont invités à porter dans leur cœur la blessure de la division, le désir de retrouvailles fraternelles , le souci d'entrer , selon la vocation donné par Dieu à chacun, toujours davantage dans une authentique dimension d'unité d'amour de l'Eglise .

Marie-Aimée

Texte extrait d'un numéro de «Feu et Lumière » des années 90


L'interruption momentanée des événements de Soufanieh fut miraculeusement dans le temps de courte durée. 11 ans près les apparitions et les messages de Jésus à Myrna, en 2001, tout à repris, signé évident que les désirs de Jésus et de Marie sont pris au sérieux, ainsi que nous allons le voir maintenant…


A suivre
Lumen
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