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Allemagne: Un théologien allemand critique Jean-Paul II et Benoît XVI pour avoir arrêté la révolution théologique

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Allemagne:  Un théologien allemand critique Jean-Paul II et Benoît XVI pour avoir arrêté la révolution théologique Empty Allemagne: Un théologien allemand critique Jean-Paul II et Benoît XVI pour avoir arrêté la révolution théologique

Message par MichelT Lun 20 Mar 2023 - 19:53

« L’Église devrait retrouver l’état des années 70. » Un théologien allemand critique Jean-Paul II et Benoît XVI pour avoir arrêté la révolution théologique.

14 MARS 2023

Note : Les erreurs du modernisme allemand – L`Allemagne est un très beau pays – une très belle culture - mais nous ne devons pas imiter les erreurs religieuses actuelles de ce pays.

„Kościół znów osiąga stan lat 70-tych”. Niemiecka teolog znieważa Jana Pawła II i Benedykta XVI za wstrzymanie teologicznej rewolucji

Source : PCH 24 – Pologne – Polonia Christiana - blog catholique polonais – traduction automatique

La plupart des catholiques associent les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI à un caractère résolument positif. Pour les théologiens hétérodoxes allemands, les prédécesseurs de François, contestant les courants intellectuels modernes, sont un souvenir amer... Une théologienne, qui enseigne à l’Université d’Erfurt, a assimilé la défense du credo catholique à « l’exacerbation du centralisme, de l’homophobie, de l’hostilité envers les femmes et du cléricalisme ». L’érudit est heureux que François accorde à l’Allemagne plus de liberté pour rejeter les vérités fondamentales de la foi, et de l’Église... et selon elle, revient aux tendances révolutionnaires des années 70.

« Compte tenu de toute cette régression dans l’Église, nous devrions être heureux si, en 2023, l’Église retrouve l’état des années 70 », a résumé la théologienne dans un entretien avec Kölner Stadt-Anzeiger sur les résultats des dernières délibérations du Chemin synodal allemand. La réunion de l’organisme réformant l’Église allemande dans la pratique, s’est terminée le 12 mars. Dans le même temps, le théologien peu orthodoxe a souligné que même si l’Église revient sur la voie d’une révolution sans entraves dans l’enseignement, elle doit aller beaucoup plus loin que ne l’imaginent les « réformateurs » révolutionnaires de la seconde moitié du XXe siècle. Selon elle, il y a encore un énorme « déficit de développement » et et un « fossé » dans la communauté des croyants par rapport au « monde ».

Selon le progressisme allemand, la réalisation de cet objectif sera facilitée par le « renversement » des relations hiérarchiques jusqu’ici voulues par Dieu dans l’Église, auxquelles le Chemin synodal a conduit en Allemagne. Comme l’a souligné l`universitaire, lors des sessions plénières, les évêques ont renoncé à leurs prérogatives antérieures dans la pratique et n’ont pas utilisé leur autorité pour résoudre des questions litigieuses – au lieu de cela, ils ont « écouté » les demandes de réformes, ont dû discuter et entrer dans des polémiques.
La théologienne n’accepte pas pleinement les résultats du Chemin synodal. Elle a critiqué l’adoucissement du sens révolutionnaire de certains documents afin qu’ils puissent obtenir l’approbation des 2/3 des évêques votants et l’adoption de principes insuffisamment révolutionnaires, malgré le fait que les résolutions sur la bénédiction des unions homosexuelles scandalisaient le monde entier. Le « dogmatique » voudrait que les documents finaux incluent en principe une renonciation complète par l’épiscopat à ses compétences traditionnelles en faveur de la pleine démocratisation de l’Église.

Source : de.catholicnewsagency.com

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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