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Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Deuxième jour : Jésus notre appui et notre espérance
par Lumen Ven 9 Juin 2023 - 15:50
Jésus notre appui et notre espérance
Deuxième jour
Bonjour dans le Royaume d’Amour du Cœur Sacré de Jésus ! Que nous sommes bénis de pouvoir faire ensemble cette neuvaine et d’avoir cette permission d’entrer dans le cœur de Jésus pour découvrir encore et beaucoup plus ce qu’est le véritable Amour !
Aujourd’hui, nous allons contempler le cœur de Jésus et son Amour de miséricorde. Tu te souviens que le Pape nous dit tout le temps : « La miséricorde, ce n’est pas le fait que Dieu nous pardonne, mais c’est la manière dont Il nous pardonne. » Nous allons le voir.
Jésus disait, en fait, saint Jean nous dit dans l’Évangile : « Dieu a tant aimé le monde qu’Il nous a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui, ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » Nous sommes appelés à un bonheur éternel qui ne finira jamais parce que tel est l’Amour du Père pour toi et pour moi. Et Jésus disait à sainte Marguerite-Marie Alacoque : « Mon cœur est passionné d’Amour pour tous les hommes et pour toi en particulier. » Tu vas peut-être dire qu’Il l’a dit à Marguerite-Marie. Il l’a dit à Marguerite-Marie sachant qu’elle était pour te le répéter. Alors, prends-le pour toi : « Mon cœur est passionné d’Amour pour les hommes et pour toi en particulier. » Je te souhaite la grâce d’y croire vraiment que Dieu est passionné pour toi !
Tu as des faiblesses, très bien ! Aucun problème pour cela, nous en avons tous ! Écoute bien, Claude La Colombière qui était l’accompagnateur de Marguerite-Marie et qui s’appelle maintenant saint Claude La Colombière et qui est, en passant, un père jésuite. Il disait que Dieu se penche sans cesse sur notre misère bien que nous soyons des abîmes d’indignité et écoute ce qu’il dit : « Je sais ce que peuvent les tentations les plus fortes contre les âmes les plus affermies. J’ai vu tomber des saints, n’aie pas peur, j’aurais beau perdre la grâce par le péché, jamais je ne perdrai mon espérance. Je dirais à Dieu avec confiance (ce que nous avons demandé hier) je vous ai grièvement offensé ô mon aimable Rédempteur, mais ce serait pire encore, si je Vous faisais cet horrible outrage de penser que Vous n’êtes pas assez bon pour me pardonner. »
Dieu est toujours content de nous pardonner, c’est nous qui nous fatiguons d’aller Le voir ! Sœur Jeanne nous dit dans le même esprit, une parole que je trouve révolutionnaire que je t’offre aujourd’hui. Elle dit : « Tes pauvretés, remercie le bon Dieu pour tes pauvretés, tes faiblesses, remercie le bon Dieu pour tes faiblesses parce que là est ta grande richesse. C’est pour toi une richesse d’intimité avec le bon Dieu. C’est pour toi une richesse de fécondité ! » Et moi, je vous dis : « Une richesse d’intimité, combien de fois je l’ai expérimentée ! Je l’ai expérimentée ! Je tombe dans ma faiblesse. » Je tombe comme dirait saint Paul : « Mon écharde dans ma chair. » Et quand je reviens en pleurant devant le Bon Dieu et quand je reviens à mon oraison le matin, je dis : « Jésus, je suis encore tombée là-dedans. Jésus, j’ai encore faibli. » Alors Jésus m’encourage, Il me dit : « Allons, reprends-toi et regarde telle affaire et c’est à cause de telle chose et si tu t’y prenais de telle manière. » Il suggère toutes sortes d’idées puis alors j’ai un élan pour recommencer mon histoire d’amour avec Lui et avec les autres. C’est extraordinaire ! S’il y a quelqu’un sur qui je pourrai toujours compter, qui sera toujours là pour m’aider, c’est Jésus !
Mais comment est-ce que je l’ai appris ? Par ma tête ? Non, par mes faiblesses, c’est comme cela que j’ai appris que je pouvais compter sur Jésus. Et plus encore, j’ai appris, à travers cela, avec Jésus, comment mes pauvretés, je peux les offrir sur la croix de Jésus. Je peux les unir à la croix rédemptrice de Jésus. Je peux les mettre sur une patène d’une messe qui se célèbre pour qu’elles soient transformées en bénédictions pour mes frères. Exemple : je m’impatiente. Il y a certainement beaucoup de papas et de mamans dans le monde qui s’impatientent avec leurs adolescents. Donc, chaque fois que je m’impatiente, je pense à eux et j‘offre mon impatience au Père. J’offre la patience de Jésus, et j’offre tout cela au Seigneur en bénédictions pour tous les parents qui s’impatientent : donne-leur la grâce de la patience ! C’est merveilleux, j’exerce ma mission de suppléance et je deviens une intime de Jésus. C’est révolutionnaire ! C’est seulement le bon Dieu qui pouvait penser comme cela. Saint Paul l’a expérimenté quand il disait : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort parce que repose sur moi, la puissance de Dieu, la puissance de sa miséricorde. » Cela me fait entrer dans l’intimité, me fait entrer dans ma mission de suppléance. Lui aussi, il avait une écharde dans sa chair. Il a demandé par trois fois au bon Dieu de lui enlever, et chaque fois le Seigneur lui a dit : « Paul, ma grâce te suffit ». Incroyable ! C’est incroyable !
Je te raconte une petite histoire qui est vraiment arrivée dans ma vie avec Sœur Jeanne. Un jour, j’avais lu quelque chose de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Sainte Thérèse, un soir, avait mangé trop de dessert, elle avait donc mal au ventre et elle avait dit : « Seigneur, je t’offre mon mal de ventre pour la conversion des pécheurs. » C’était dans mes premières années où j’étais avec la communauté, et j’avais dit à Sœur Jeanne : « Tu ne penses pas que cette offrande est vraiment imparfaite ? Tu ne penses pas qu’offrir quelque chose pour la conversion des pécheurs ça va, mais offrir ton mal de ventre parce que tu as trop mangé, ce n’est pas jouer à l’autruche ? » Sœur Jeanne m’a regardée avec un beau grand sourire et m’a dit : « Penses-tu qu’un jour, toi, que tu vas pouvoir offrir quelque chose de pur et de parfait au Seigneur ? » « Tu n’es pas l’Immaculée Conception, m’avait-elle dit et ajouté en riant. Ce que tu peux offrir au Seigneur, c’est beaucoup plus tes faiblesses, tes pauvretés, mais tu les mets dans le cœur de Jésus et c’est Jésus qui est l’offrande parfaite. »
Alors ça nous ramène à la Parole : « Heureux les pauvres, heureux ceux qui savent qu’ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes et qui trouvent refuge dans le cœur de Jésus, tout en pensant à leurs frères qui ont la même misère que Lui et qui les amènent avec eux. » Je te redis cela : « Heureux ceux qui savent qu’ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes, qui ont besoin de l’offrande de Jésus pour leur salut. » Mais non seulement ils veulent être sauvés eux-mêmes, dans l’offrande de Jésus, mais ils amènent leurs frères. Amener, cela veut dire prendre par la main. Alors, je prends la main de tous mes frères qui ont été impatients, orgueilleux, tout ce que tu veux et je mets ça dans le cœur brûlant et miséricordieux de Jésus et je recommence simplement mon histoire d’amour avec Lui. N’est-ce pas merveilleux ? Merveille sous nos yeux ! Alors, allons remercier le Seigneur, peut-être avons-nous déjà des choses à Lui remettre, allons L’adorer et Le remercier de tant nous aimer.
Aujourd’hui, nous allons contempler le cœur de Jésus et son Amour de miséricorde. Tu te souviens que le Pape nous dit tout le temps : « La miséricorde, ce n’est pas le fait que Dieu nous pardonne, mais c’est la manière dont Il nous pardonne. » Nous allons le voir.
Jésus disait, en fait, saint Jean nous dit dans l’Évangile : « Dieu a tant aimé le monde qu’Il nous a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui, ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » Nous sommes appelés à un bonheur éternel qui ne finira jamais parce que tel est l’Amour du Père pour toi et pour moi. Et Jésus disait à sainte Marguerite-Marie Alacoque : « Mon cœur est passionné d’Amour pour tous les hommes et pour toi en particulier. » Tu vas peut-être dire qu’Il l’a dit à Marguerite-Marie. Il l’a dit à Marguerite-Marie sachant qu’elle était pour te le répéter. Alors, prends-le pour toi : « Mon cœur est passionné d’Amour pour les hommes et pour toi en particulier. » Je te souhaite la grâce d’y croire vraiment que Dieu est passionné pour toi !
Tu as des faiblesses, très bien ! Aucun problème pour cela, nous en avons tous ! Écoute bien, Claude La Colombière qui était l’accompagnateur de Marguerite-Marie et qui s’appelle maintenant saint Claude La Colombière et qui est, en passant, un père jésuite. Il disait que Dieu se penche sans cesse sur notre misère bien que nous soyons des abîmes d’indignité et écoute ce qu’il dit : « Je sais ce que peuvent les tentations les plus fortes contre les âmes les plus affermies. J’ai vu tomber des saints, n’aie pas peur, j’aurais beau perdre la grâce par le péché, jamais je ne perdrai mon espérance. Je dirais à Dieu avec confiance (ce que nous avons demandé hier) je vous ai grièvement offensé ô mon aimable Rédempteur, mais ce serait pire encore, si je Vous faisais cet horrible outrage de penser que Vous n’êtes pas assez bon pour me pardonner. »
Dieu est toujours content de nous pardonner, c’est nous qui nous fatiguons d’aller Le voir ! Sœur Jeanne nous dit dans le même esprit, une parole que je trouve révolutionnaire que je t’offre aujourd’hui. Elle dit : « Tes pauvretés, remercie le bon Dieu pour tes pauvretés, tes faiblesses, remercie le bon Dieu pour tes faiblesses parce que là est ta grande richesse. C’est pour toi une richesse d’intimité avec le bon Dieu. C’est pour toi une richesse de fécondité ! » Et moi, je vous dis : « Une richesse d’intimité, combien de fois je l’ai expérimentée ! Je l’ai expérimentée ! Je tombe dans ma faiblesse. » Je tombe comme dirait saint Paul : « Mon écharde dans ma chair. » Et quand je reviens en pleurant devant le Bon Dieu et quand je reviens à mon oraison le matin, je dis : « Jésus, je suis encore tombée là-dedans. Jésus, j’ai encore faibli. » Alors Jésus m’encourage, Il me dit : « Allons, reprends-toi et regarde telle affaire et c’est à cause de telle chose et si tu t’y prenais de telle manière. » Il suggère toutes sortes d’idées puis alors j’ai un élan pour recommencer mon histoire d’amour avec Lui et avec les autres. C’est extraordinaire ! S’il y a quelqu’un sur qui je pourrai toujours compter, qui sera toujours là pour m’aider, c’est Jésus !
Mais comment est-ce que je l’ai appris ? Par ma tête ? Non, par mes faiblesses, c’est comme cela que j’ai appris que je pouvais compter sur Jésus. Et plus encore, j’ai appris, à travers cela, avec Jésus, comment mes pauvretés, je peux les offrir sur la croix de Jésus. Je peux les unir à la croix rédemptrice de Jésus. Je peux les mettre sur une patène d’une messe qui se célèbre pour qu’elles soient transformées en bénédictions pour mes frères. Exemple : je m’impatiente. Il y a certainement beaucoup de papas et de mamans dans le monde qui s’impatientent avec leurs adolescents. Donc, chaque fois que je m’impatiente, je pense à eux et j‘offre mon impatience au Père. J’offre la patience de Jésus, et j’offre tout cela au Seigneur en bénédictions pour tous les parents qui s’impatientent : donne-leur la grâce de la patience ! C’est merveilleux, j’exerce ma mission de suppléance et je deviens une intime de Jésus. C’est révolutionnaire ! C’est seulement le bon Dieu qui pouvait penser comme cela. Saint Paul l’a expérimenté quand il disait : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort parce que repose sur moi, la puissance de Dieu, la puissance de sa miséricorde. » Cela me fait entrer dans l’intimité, me fait entrer dans ma mission de suppléance. Lui aussi, il avait une écharde dans sa chair. Il a demandé par trois fois au bon Dieu de lui enlever, et chaque fois le Seigneur lui a dit : « Paul, ma grâce te suffit ». Incroyable ! C’est incroyable !
Je te raconte une petite histoire qui est vraiment arrivée dans ma vie avec Sœur Jeanne. Un jour, j’avais lu quelque chose de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Sainte Thérèse, un soir, avait mangé trop de dessert, elle avait donc mal au ventre et elle avait dit : « Seigneur, je t’offre mon mal de ventre pour la conversion des pécheurs. » C’était dans mes premières années où j’étais avec la communauté, et j’avais dit à Sœur Jeanne : « Tu ne penses pas que cette offrande est vraiment imparfaite ? Tu ne penses pas qu’offrir quelque chose pour la conversion des pécheurs ça va, mais offrir ton mal de ventre parce que tu as trop mangé, ce n’est pas jouer à l’autruche ? » Sœur Jeanne m’a regardée avec un beau grand sourire et m’a dit : « Penses-tu qu’un jour, toi, que tu vas pouvoir offrir quelque chose de pur et de parfait au Seigneur ? » « Tu n’es pas l’Immaculée Conception, m’avait-elle dit et ajouté en riant. Ce que tu peux offrir au Seigneur, c’est beaucoup plus tes faiblesses, tes pauvretés, mais tu les mets dans le cœur de Jésus et c’est Jésus qui est l’offrande parfaite. »
Alors ça nous ramène à la Parole : « Heureux les pauvres, heureux ceux qui savent qu’ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes et qui trouvent refuge dans le cœur de Jésus, tout en pensant à leurs frères qui ont la même misère que Lui et qui les amènent avec eux. » Je te redis cela : « Heureux ceux qui savent qu’ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes, qui ont besoin de l’offrande de Jésus pour leur salut. » Mais non seulement ils veulent être sauvés eux-mêmes, dans l’offrande de Jésus, mais ils amènent leurs frères. Amener, cela veut dire prendre par la main. Alors, je prends la main de tous mes frères qui ont été impatients, orgueilleux, tout ce que tu veux et je mets ça dans le cœur brûlant et miséricordieux de Jésus et je recommence simplement mon histoire d’amour avec Lui. N’est-ce pas merveilleux ? Merveille sous nos yeux ! Alors, allons remercier le Seigneur, peut-être avons-nous déjà des choses à Lui remettre, allons L’adorer et Le remercier de tant nous aimer.
Merci à vous, Famille Myriam !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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