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Le gender dénoncé par le père Daniel Ange

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Le gender dénoncé par le père Daniel Ange Empty Le gender dénoncé par le père Daniel Ange

Message par Rémi Mar 28 Oct 2014 - 13:46

Voici le genre d'idiotie qu'ils enseigneront bientôt à vos enfants à l'école et d'ailleurs cela est déjà commencé. Ce sont des fous qui veulent nous rendre fou.

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Message par jaimedieu Mar 28 Oct 2014 - 15:56

Pays-Bas....une association pédophile

Le parquet néerlandais cherche à interdire cette association prônant l'acceptation des relations entre adultes et enfants...

Le tribunal civil d'Assen, dans le nord des Pays-Bas, s'est penché ce mercredi à la demande du parquet sur la dissolution et l'interdiction d'une association baptisée Martijn, qui lutte pour l'acceptation de la pédophilie.

Sur son site Web, l'association se décrit comme «une plate-forme de discussion sur la pédophilie» qui «se bat pour l'acceptation sociale et sociétale des relations adulte-enfant», et estime que «dans les relations consenties entre enfants et adultes, la possibilité d'une intimité physique ne devrait pas poser problème». Fondée en 1982, elle compte aujourd'hui une soixantaine de membres et édite un magazine publié à quelques centaines d'exemplaires, en plus de ses activités sur Internet.

Glorification contraire à la protection de l'enfant

Mais après trente ans d'activité, le parquet néerlandais souhaite voir interdite cette association quasi-unique en son genre. Après avoir essayé de l'attaquer au pénal - sans succès, car aucun lien ne pouvait être prouvé entre le discours de l'association et des faits de nature criminelle- c'est à un tribunal civil que, fin 2011, le parquet a demandé de statuer sur la dissolution de Martijn. L'accusation estime que les jeunes et leurs parents doivent être protégés contre les activités de l'association, et que cette protection est plus importante que la liberté d'association ou d'expression. Le parquet reproche aussi à Martijn d'offrir un lieu d'échange et de rencontre aux pédophiles.

Contactée par 20 Minutes mercredi, L'Ange bleu, une association française de prévention et d'information concernant la pédophilie, a évidemment validé ces arguments. Latifa Bennari, la présidente de L'Ange bleu, rappelle ainsi que «toute relation, même consentie, entre un adulte et un enfant est condamnable, car elle entraîne des risques significatifs sur leur vie d'adulte. Imaginer une telle association en France, c'est de la science-fiction. Une association pareille ne pourrait pas y exister du tout.»

Ce mercredi, lors de l'audience à Assen, l'avocat de l'association a rappelé que l'accusation n'avait jamais pu prouver que des crimes avaient été commis au nom de Martijn, et que l'association n'encourageait pas la perpétration d'infractions sexuelles. Le procureur, lui, a insisté : les relations sexuelles entre adultes et enfants sont glorifiées par l'association, ce qui est contraire aux valeurs du parquet et à la politique de protection des enfants menée aux Pays-Bas et à l'étranger.

(Source: Sott.net)

Faut-il défendre les pédophiles?


Aux États-Unis, un important groupe de défense des droits de la personne a volé au secours d’une association de pédophiles, sous prétexte que les gens ont le droit de fantasmer à voix haute. Chez nous, c’est le contraire: la Cour suprême vient d’imposer des limites sévères aux écrits fictifs et aux dessins mettant en scène des enfants. Qui a raison?
Liens suggérés

Normalement, cet article aurait dû commencer avec la description de Jules (un pseudonyme), bon père de famille, professionnel dans l’import-export qui paie ses impôts et recycle ses cannes de pois. Au moment où vous auriez commencé à trouver Jules sympathique, je vous aurais raconté qu’il cache un secret qui, révélé, pourrait lui faire perdre sa famille, son travail et sa liberté. Jules a un secret si horrible qu’il ne peut même pas se confier à un psychologue ou à un thérapeute, de peur que celui-ci ne le dénonce à la police. Un secret si monstrueux que les pensées et les images qui habitent sa tête pourraient devenir illégales, en vertu du code criminel, oserait-il les mettre sur papier.

Jules n’est pas un criminel. Pour des raisons morales et un peu par peur de la société, Jules a volontairement décidé qu’il y aurait une partie de lui-même qui ne s’épanouirait jamais pleinement. Mais, en tant qu’homme honnête et éthique, Jules accepte et assume cette partie de lui-même: "Je ne suis pas un animal. Je suis un pédophile", aurait-il déclaré.

L’intro parfaite pour un reportage-choc, mais juste, sur le Collectif Ganymède de Montréal, un groupe d’entraide pour les pédophiles qui cherchent à vivre en paix avec leur orientation sexuelle qu’ils disent "comme les autres", dans une société qui les considère comme des monstres ou même des "erreurs de Dieu".

Sauf qu’il n’y a pas de Jules.

Les membres du Collectif Ganymède refusent de m’aider à faire du human interest, car ils savent fort bien qu’il n’ont pas la présomption d’humanité. Ils savent que pour la plupart des gens, seuls des démons s’attaquent aux anges…

Des esprits libres?
Si Jules n’existe pas, le Collectif Ganymède de Montréal, lui, existe bel et bien. Il a son site Internet, son adresse électronique, et ses membres se rencontrent sur une base régulière. Mais aucun membre du Collectif n’est prêt à témoigner de son vécu, même sous le couvert d’un pseudonyme.

Le Collectif Ganymède de Montréal fait partie du réseau Internet Free Spirits, un serveur qui héberge une trentaine de sites de boylovers, le terme qu’utilisent les pédophiles pour se décrire eux-mêmes. Free Spirits héberge des pages personnelles, les sites de groupes comme le Christian BoyLove Forum ou Boylovers Against Child Abuse, et des forums de discussion en anglais, en français, en allemand et en hollandais. C’est "un forum où les boylovers peuvent explorer les enjeux de leur sexualité et se donner de l’appui mutuel – histoire d’apprendre à vivre des vies productives de façon à aider les enfants, plutôt que de leur causer du tort", écrit-on en introduction.

Les utilisateurs sont mis en garde contre l’utilisation du site pour l’échange de matériel pornographique et la description d’actes sexuels qui pourraient être illégaux.

"Nous parlons surtout d’ordinateurs, m’explique un membre du Collectif. Il faut se rappeler que nous sommes d’abord une communauté virtuelle et que nos liens ont été branchés au tout début de la vague. Pour le reste, nos conversations ressemblent en tous points à ce qu’un groupe de gars se diraient dans un stag party, les remarques grossières à l’égard des femmes en moins. Notre vie quotidienne ne se distingue en rien de celle de monsieur Tout-le-monde. C’est métro-boulot-dodo. Nous sommes vos voisins, vos confrères de travail, vos fournisseurs et vos clients."

La lecture d’un sondage spontané et pas du tout scientifique sur La Garçonnière (le forum français de Free Spirits) permet d’apprendre que les participants sont attirés par les garçons de 8 à 16 ans, que la moitié admettent avoir déjà eu une relation sexuelle avec un enfant ou un ado, et que les deux tiers ne prendraient pas une pilule magique qui les transformerait en hétérosexuels. Il est aussi absurde de vouloir traiter un pédophile que de vouloir guérir un homosexuel, m’explique le Collectif.

"Notre seul but est de permettre la communication entre gens qui voient leur orientation sexuelle (car oui, c’en est une) considérée comme la peste des temps modernes."

Actuellement, plusieurs centaines de pédophiles communiquent entre eux sur les forums de discussion de Free Spirits. Profitant de l’anonymat d’Internet, ils se décrivent comme des "esprits libres" victimes des "lois du Canada qui ne distinguent pas un pédophile d’un agresseur".

Les membres du Collectif Ganymède de Montréal ne veulent pas témoigner personnellement et me disent bien peu de chose collectivement. Ils sont nos amis et nos voisins, mais pas question de se "outer" ni de réclamer le droit d’exister. "Le CGM n’entretient de position sur rien. Chacun pense ce qu’il veut. Nous ne sommes pas un groupe de revendication."

"Des limites acceptables"
Un groupe de revendication, il en existe un aux États-Unis: la North American Man/Boy Love Association (NAMBLA). Le groupe américain revendique, en gros, l’abolition des lois relatives à l’âge de consentement qu’il considère comme arbitraires et injustes.

Il y a quelques mois, Charles Jaynes, un membre de NAMBLA, a été condamné à la prison à perpétuité pour le viol et le meurtre d’un jeune garçon de dix ans au Massachusetts. L’avocat Lawrence Frisoli et les parents du jeune ont entrepris une poursuite de 200 millions de dollars contre NAMBLA dans l’espoir d’asphyxier financièrement l’organisation.

Les membres de l’American Civil Liberties Union, des intégristes de la liberté d’expression qui défendent même les nazis américains, y ont vu une menace suffisante à ladite liberté d’expression pour prendre la défense de NAMBLA.

Le Collectif Ganymède de Montréal réfute violemment toute association avec NAMBLA. "Ce serait comme comparer les Quakers à l’Esbola", disent-ils.

Le Collectif craint-il d’être victime d’une tentative de censure semblable au Canada? Absolument pas. "Notre aviseur légal nous indique que les Chartes des droits et libertés canadienne et québécoise sont un bouclier suffisant pour nous protéger des dérapages fascisants vécus chez nos voisins du sud", répondent-ils.

Alors que je poursuivais ma discussion avec le Collectif Ganymède, la Cour suprême a rendu son jugement sur la possession de pornographie infantile. Dans ce contexte, j’ai demandé à Marc-André Blanchard, avocat spécialisé en liberté d’expression, de jouer à l’avocat du diable et de visiter les sites de Ganymède et Free Spirits. Il en est revenu avec un malaise certain, mais sans avoir vu quoi que ce soit d’illégal.

La Cour suprême a maintenu l’interdiction de posséder des photos ou des vidéos mettant en scène des enfants dans des situations sexuellement explicites. Tout le monde a applaudi.

Mais la Cour a aussi imposé des limites sévères aux écrits fictifs et aux dessins mettant en scène des enfants. Du matériel qui provient directement de la tête malade du pédophile et qui peut être produit, présumément, sans que des enfants soient mis en danger.

Par exemple, la Cour a décriminalisé les écrits qui "observent et analysent" des actes sexuels avec des enfants, sans les préconiser ou les encourager. Une nuance qui régularise le cas de Lolita, de Nabokov, tout en maintenant l’illégalité de Sam Paloc’s Boyabuse: A Collection of Kiddiekink Classics, l’oeuvre de fiction de John Robin Sharpe à l’origine du jugement.

Qui décide de ce qui est une analyse et de ce qui constitue un encouragement? Qui va juger de la valeur artistique d’une fiction? La police.

Une belle recette pour l’abus, reconnaît Me Blanchard. "Tout le monde n’est pas Nabokov, mais tout le monde a le droit d’essayer de devenir Nabokov. Sur ce, la Cour suprême n’est pas nécessairement rassurante."

Cette notion de "préconiser ou d’encourager" la pédophilie pourrait aussi être utilisée pour empêcher les pédophiles canadiens de se rassembler et de créer un groupe de revendication comme NAMBLA.

"C’est une limite au droit de revendiquer, admet Me Blanchard. Mais l’opinion majoritaire dit que ce genre de discours n’a pas de valeur intrinsèque; que les études en sciences humaines affirment que c’est nocif, et que le législateur a raison de légiférer."

Pourquoi les pédophiles auraient le droit de préconiser ou de justifier un acte illégal aussi universellement dénoncé dans la société que la pédophilie? Pour les mêmes raisons que Boris St-Maurice et le Bloc Pot ont le droit de prôner la légalisation de la marijuana, diront certains. Pour la même raison que les homosexuels ont eu le droit de dénoncer les lois qui, jusqu’à tout récemment, interdisaient l’homosexualité, diront d’autres.

Me Blanchard y voit bien un double standard, mais croit que c’est un double standard avec lequel la société est prête à vivre. "Avec la marijuana, on n’est pas dans la même ligue que la pédophilie. Socialement, la pédophilie est dans le top 3, sinon le top 1 des choses qu’on veut décourager dans notre société." L’objectif: la protection des enfants, justifie que la liberté d’expression des pédophiles soit limitée, croit-il. "Ce n’est pas une grande victoire pour la liberté d’expression, mais ce n’est pas une grande défaite non plus."

La loi du silence
Je me suis rendu directement sur La Garçonnière pour voir ce que les boylovers pensaient du jugement. Toujours à la recherche d’un "Jules" pour donner de la couleur à mon texte, j’ai posté un message dans lequel j’invitais les boylovers prêts à témoigner à me contacter. La Cour suprême venait de déclarer que les pédophiles n’avaient pas droit à la même liberté d’expression que les autres Canadiens. Il devait bien y avoir quelqu’un prêt à prendre la parole au nom de ceux qui allaient se retrouver en prison pour avoir écrit des textes fictifs ou pour avoir défendu un comportement qu’ils considéraient normal et humain, non?

Peut-être que les "esprits libres" préparaient une lecture publique de l’oeuvre de monsieur Sharpe? Peut-être que Margaret Atwood et Michael Ondaatje pourraient venir donner leur appui?

"Nous en sommes là où en était le Mattachine Society dans les années 50", m’avait expliqué le Collectif en faisant référence à l’un des premiers regroupements homosexuels. À quand un Stonewall pédophile?

Finalement, j’ai reçu une dissertation sur le terme "pédophilie", une grande gueule sur les motards criminalisés qui vendent de la drogue aux enfants, et une lettre d’insultes.

Puis le "comité" de Free Spirits a finalement fait paraître un message:

"Je demande à tous ceux qui désirent répondre beaucoup de circonspection pour que vous ne mettiez pas en danger votre anonymat. À ce titre, le comité a retiré et retirera TOUTE adresse e-mail de G. Boulanger. Ceci est une mise en garde officielle!!! Signé: BlueBeard (Barbe bleue), pour le comité de Free Spirits."

Les "esprits libres" ont respecté la consigne. Aucun "homme libre" ne s’est levé pour prendre la défense de ses frères, et pour clamer haut et fort, comme les Noirs, les homos, les femmes et les autres "minorités culturelles opprimées" du passé: "Je suis un humain."

Mais justement: est-ce qu’un humain s’attaquerait aux anges?

(Source: l'hebdomadaire "Voir")
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Message par Francesco Lun 3 Nov 2014 - 4:04

Avec l'avortement , le Gender(encouragé par les Nations Unies) m'apparait comme une des valeurs les plus morbides(lire du démon)dans l'histoire de l'humanité.Les conséquences de l'implantation de cette valeur aura des conséquences a faire frémir......Viens Seigneur Jésus.


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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