Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
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Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu Oui je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu. Oui vraiment; honte de Dieu, le mot n'est pas trop fort, du moins une certaine partie de plus en plus dominante de notre Église; de tendance progressiste et moderniste qui semble avoir une telle honte de Dieu, qu'elle doit cacher une partie de ses très saintes Paroles; car elles ne leurs conviennent plus. Je constate bien qu'autour de moi, nous n'entendons plus que très rarement parler de certains enseignements de Jésus, des paroles qu'Il nous a pourtant données à entendre et à suivre; et que nous voulons oublier. Des paroles qui agacent nos oreilles, qui choquent notre conscience, si enlisée dans la boue de tous ces plaisirs déréglés; entrant en contradiction si flagrante avec les vertus chrétiennes et dont le monde raffole; et parmi eux, beaucoup de chrétiens. Nous qui nous disons catholiques, ainsi que bon nombres de prêtres, d'évêques et de cardinaux, de religieux et religieuses, qui ne voulons plus entendre parler de ces paroles de Jésus; qui pourtant nous relèveraient, nous réveilleraient et nous redonneraient la vue. On ne veut plus qu'entendre ««Moi non plus, je ne te condamne pas»»(Jean8.1,11) comme Jésus le disait, si amoureusement à la femme adultère près d'être lapidée, on omet volontairement le reste, qui nous demanderait beaucoup plus d'efforts de corrections et de remises en questions de nos mauvaises conduites. Oui on omet maintenant de dire et d'instruire; sur le reste de cet enseignement de Jésus; ««Va, désormais ne pèche plus»» Ce passage des paroles de Jésus est pourtant lu à la messe lors de l'Évangile, mais est-il vraiment enseigné par certains de nos pasteurs et de nos évêques? Est-il vraiment développé dans les homélies et dans les textes qui expliquent ces paroles de Jésus? Bien vite on semble glisser dessus et on passe de facto à une miséricorde débonnaire où; ""Dieu pardonne toujours malgré notre mauvaise conduite, sans se soucier de ce que nous nous corrigions ou non. ««Va, désormais ne pèche plus»» n'a plus de valeur, le péché n'est rien, il n'est plus besoin d'en parler; puisque Dieu semble-t-il. nous a sournoisement menti dans les enseignements de la Bible, le péché et l'enfer ce n'était que de l'humour noir, une farce que les chrétiens pendant 2000 ans ont cru dur comme fer, bande de sombres imbéciles ceux-là, nous maintenant; nous ne sommes pas idiot à ce point, enseigner cela est une perte de temps, Dieu ne condamne personne et ne le fera jamais"". En taisant tout cela et en niant ces vérités; on entre pleinement en contradiction, avec ce que Dieu le Père et Jésus son Fils; nous ont donné comme enseignements dans les textes sacrés et dont l'Église nous a bien instruit pendant 2000 ans. Dieu est miséricorde et juste; Il est miséricorde c'est certain et cela est enseigné encore heureusement; car c'est une pure vérité et que sans sa miséricorde aucune âme ne peut être sauvé; car nous sommes tous pécheurs et impurs; et que l'impureté ne peut côtoyer Dieu. Par contre il ne faut pas omettre d'enseigner toujours; que Dieu est juste et pour que justice soit pleinement effective, il doit y avoir un jugement et pour qu'il y ait un jugement, le péché grave et volontaire doit avoir une conséquence néfaste et éternelle, comme Jésus nous l'enseigne, et le bien; une récompense heureuse et éternelle, c'est une promesse pourtant si clairement enseignée par Dieu dans la Bible et Dieu n'a qu'une Parole. Donc; deux sentences possible et deux destinations subséquentes. Jésus parle clairement de deux lieux éternels dans ses enseignements, l'un de bonheur éternel, pour ceux qui veulent de Dieu, l'aiment et se corrigent du mal; et l'autre du feu éternel, pour ceux qui refusent d'aimer, de se rapprocher de Dieu et de se convertir. Refuser cela et ne pas l'enseigner, revient à dire; que l'enseignement de Dieu dans la Bible à ce sujet est des plus faux. C'est une hérésie pure et simple, que de faire croire; que Jésus nous a menti éhontément sur ces faits, d'une si extrême importance pour le salut de l'âme. Ces pasteurs modernistes ne disent pas ouvertement que Dieu est menteur, mais leurs agissements en niant l'enfer ou en le taisant de fait revient à cela. De l'extérieur certains peuvent dire alors; que la Bible est pleine de mensonges; puisque beaucoup de prêtres ne croient plus en certaines paroles de Jésus, ou que l'Église est hypocrite; car elle tait certaines choses pour attirer les gens vers elle; comme le font bien des sectes. En agissant ainsi, cela discrédite l'Église et lui cause un tort immense devant la face du monde, qui ne la prendra plus au sérieux. On en voit aujourd'hui l'effet à tous les jours; les églises, les séminaires et les monastères, tous plus vident les uns que les autres et de plus en plus. Pourquoi un grand nombre de ceux; qui ont charge de mener les hommes à Dieu, taisent-ils ses enseignements de Jésus qui semblent si durs à entendre pour certains? Pourquoi? Est-ce pour ne pas effrayer les gens et les faire fuir des églises qui sont déjà bien vides? Est-ce par souci de se faire aimer des autres et de ne pas être pointé d'un doigt injurieux ou moqueur? Fait-on vraiment la volonté de Dieu en taisant ses Paroles de vérité; qui ont de tous temps réveillé des morts et sauvé des âmes en perdition? N'est-ce pas une pure hypocrisie que de vouloir attirer vers nous des gens, tout en masquant; ce qui pourrait un premier temps les repousser; parce que personnes n'osent leur parler des conséquences grave du péché? Et n'est-ce pas aussi horriblement funeste; que d'enseigner en taisant les vérités du péché et de l'enfer, à ceux qui viennent régulièrement à l'église; pour ne pas les faire fuir? Comment peut-on croire, que de faire ainsi plait à Dieu? Ce n'est pas ainsi que les églises se rempliront au contraire, c'est ce qui cause la désertion. Donnez la Vérité aux enfants et ils viendront par soif à la Vérité même qui est Dieu. Cachez la Vérité aux enfants et ils resteront cachés et fuiront l'Église. Elle ne leur sera plus d'aucune utilité; car ils n'auront plus crainte du péché et de l'enfer, et surtout plus crainte d'offenser Dieu; car cela ne leur a pas été enseigné. Ainsi ils pourront vivre dans le péché sans remords et n'éprouverons plus le besoin des sacrements de l'Église, alors plus besoin du Corps et du Sang du Christ; qui les abreuverait; car on leur a enlevé la soif de la Vérité, en l'amputant de ce qui donne la connaissance de nos faiblesses; qui elle-même rend le cœur contrit, humble et assoiffé. Nous devons faire maintenant un constat; qui saura en choquer un grand nombre. Depuis que le péché et l'enfer, ne font plus vraiment partis du vocabulaire des enseignements et des croyances de certains diocèses, les églises, les monastères et les séminaires se sont vidés peu à peu jusqu'à fermer définitivement. Pourquoi tant de désert? Et bien; pourquoi Dieu voudrait-Il voir nos églises, nos monastères et nos séminaires se remplir à nouveau, pour que l'on enseigne une partie seulement de sa Parole et que l'autre partie, plus dure à entendre soit cachée; pour ne pas être mal vu du monde. Dieu n'a pas besoin de petits cachotiers, ou de gens qui doutent de la Vérité entière de Ses Paroles pour le servir, Il cherche des gens qui se donnent totalement à Lui et qui ont toute confiance en ses enseignements. Contrairement à ce que beaucoup prêchent aujourd'hui, en expliquant que les Églises sont vides et que l'on manque cruellement de prêtres; pour la simple raison; que cela est un signe grandiose de l'Esprit-Saint de Dieu, pour faire l'Église autrement qu'avant. Ce raisonnement des plus ridicule revient à dire; que notre grange de foin a brûlé; parce que Dieu voulait que nous nous en débarrassions, alors que la vraie raison étant que; nous avions oublié d'enseigner à nos enfants, de ne pas fumer près de la grange à foin pour ne pas les apeurer. Aujourd'hui, puisqu'il n'est plus vraiment enseigné les grands dangers du péché et du risque de l'enfer; pour ceux qui ne veulent pas se corriger, la grande majorité des catholiques en sont venus à croire les erreurs suivantes; puisque certains prêtres n'osent plus les corriger, ou croient eux-mêmes ses erreurs. Mais à quoi maintenant disent-ils; cela peut-il bien servir de se confesser à un prêtre de nos péchés et de promettre à Dieu de faire les effort pour s'en corriger; si tout le monde est sauvé. À quoi bon maintenant venir à l'église tous les dimanches; pour remercier Jésus de s'être sacrifié pour nous; car notre salut semble-t-il est assuré sans cela. Le péché ce n'est pas bien grave et Jésus a souffert pour si peu, tout le monde sera sauvé, l'enfer n'existe pas, profitons de la vie, restons couchés, la messe du dimanche ce n'est qu'un repas sans plus, les dix commandements et l'obligation de la messe dominicale; tout cela c'est bien démodé, moi je demande pardon directement à Dieu et je le prie chez-moi, c'est ce que bon nombre de prêtres nous disent maintenant; pourquoi faire plus que ce qui est nécessaire pour aller au paradis; aujourd'hui seul lieu possible de destination après la mort; pour bon nombre de croyants et de prêtres. Dieu veut que tous nous soyons sauvés, il ne faut pas en douter, c'est pourquoi; Il verse sur nous tous en abondance ses grâces. Malheureusement le péché en repousse tant, mais une confession bien accompli ,avec des regrets sincères, rend notre cœur beaucoup plus perméable aux bienfaits de ces grâces et communier après une telle confession, devient le summum pour un chrétien; afin de faire de lui un être qui court héroïquement vers Dieu. Quand cet enseignement, sera de nouveau pleinement mis en avant dans nos églises et dans les cours de catéchèse; avec ceux de l'amour de Dieu, de sa miséricorde, sans omettre sa justice, la notion d'état de grâce pour bien accueillir Dieu dans son coeur, ainsi que celles du péché, de l'enfer et de la conversion nécessaire. Alors de nouveau, Dieu fera croître les semences dont nous avons besoin; pour que l'Église rayonne devant la face du monde, des jeunes voudront devenir prêtre, d'autres religieux, les églises de nouveau se rempliront avec des fidèles; qui viendront premièrement; par amour pour Dieu, par crainte de lui faire tort en l'oubliant, pour Lui rendre hommage et le remercier pour le salut qu'Il nous offre, pour demander son aide; car nous sommes faibles et pécheurs, pour trouver sa miséricorde et par désir d'être sauvés. Ce n'est pas avoir honte de Dieu que de faire cela, que d'enseigner pleinement sa Parole, sans en omettre un iota; pour ne pas froisser les oreilles tendres du monde d'aujourd'hui. Je ne me suis attardé qu'à un passage plus particulièrement de l'Évangile; pour expliquer ce que je voulais d'écrire, mais Jésus a dit bien d'autres choses, un grand nombre de paroles d'amour et de miséricorde; formant la majorité de son enseignement, mais aussi un nombre bien important traitant du péché, des damnés de l'enfer éternel, de satan et des démons qui sont bien réels. Maintenant, pour ceux qui croient en Jésus Dieu notre Sauveur, Fils de Dieu le Père, deux autres paroles qu'Il a prononcé et qu'il faut toujours avoir à l'esprit, pour prendre conscience de toute la vérité de notre foi et pour bien la proclamer dans sa totalité, les voici, elles font bien réfléchir: Matthieu 10, 32-33 «Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes, moi aussi je me déclarerai pour lui devant mon Père qui est dans les cieux; mais celui qui m'aura renié devant les hommes, à mon tour je le renierai devant mon Père qui est dans les cieux.» Et aussi Marc 8. 38 «Car celui qui aura rougi de moi et de mes paroles dans cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aussi rougira de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père avec les saints anges.» Avoir honte de son enseignement; c'est aussi avoir honte de Lui. Rémi Dechamplain 1 novembre 2014 en la fête de la Toussaint. Autres Paroles de Jésus qui confirment ce que je décris et dont on ne veut plus parler: (Lisez ces textes mais de grâce par la suite, prenez donc le temps de lire le Nouveau-Testament en entier pour mieux comprendre l'enseignement de Dieu.) (Matthieu5.13,48)--(Mt.6.15,16)--(Mt.7.13,23)--(Mt.8.11,12)--(Mt.10.16,42)--(Mt.12.31,37)--(Mt.13.24,43)-- (Mt.13.47,52)--(Mt.17.17,21)--(Mt.24.1,51)--(Mt.25.31,46) (Marc8.34,38)--(Marc16.16)--(Marc10.3,12)--(Marc10.14,27) (Luc10.13,15)—(Luc11.17,26)--(Luc11.33,36)--(Luc13.25,30)--(Luc16.13,18)--(Luc17.20,37)--(Luc16.19,31) (Jean15.1,8)--(Jean15.18,27)--(Jean20.23) |
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Dernière édition par Rémi le Ven 21 Nov 2014 - 21:15, édité 1 fois
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Puisque l'Église est l'ensemble des croyants, j'ai tendance à penser de plus en plus que nous devons retourner aux enseignements de base des Évangiles et prendre connaissances des enseignements des Pères de l'Église.
En ces temps si nébuleux, où l'on travesti la Parole de Dieu, omettant beaucoup d'exhortations, de recommandations, d'avertissements contenus dans l'Évangile, nous devons nous instruire par nous-même et faire des prières de supplication pour que l'Esprit-Saint, l'Esprit de Vérité, touche le coeur des prêtres et des enseignants au séminaire et à la pastorale.
La défense de la Vérité passe par la connaissance de celle-ci. Je suis convaincue que si l'ensemble des croyants pratiquants prient sincèrement pour une véritable unité chrétienne telle que vécue par les premiers chrétiens (prières, charité, réception des très Saints-Sacrements de manière consciente et profondément comprise, visites et contacts réguliers entre nous) l'Esprit-Saint transformera chacun de nous et par conséquent l'Église toute entière.
Nous vivons dans des temps où curieusement, les laïcs semblent être appelés à rappeler aux prêtres les Vérités de base de l'Évangile et cela ne pourra se faire que par la prière et par l'exemple au quotidien de chacun de nous.
En ces temps si nébuleux, où l'on travesti la Parole de Dieu, omettant beaucoup d'exhortations, de recommandations, d'avertissements contenus dans l'Évangile, nous devons nous instruire par nous-même et faire des prières de supplication pour que l'Esprit-Saint, l'Esprit de Vérité, touche le coeur des prêtres et des enseignants au séminaire et à la pastorale.
La défense de la Vérité passe par la connaissance de celle-ci. Je suis convaincue que si l'ensemble des croyants pratiquants prient sincèrement pour une véritable unité chrétienne telle que vécue par les premiers chrétiens (prières, charité, réception des très Saints-Sacrements de manière consciente et profondément comprise, visites et contacts réguliers entre nous) l'Esprit-Saint transformera chacun de nous et par conséquent l'Église toute entière.
Nous vivons dans des temps où curieusement, les laïcs semblent être appelés à rappeler aux prêtres les Vérités de base de l'Évangile et cela ne pourra se faire que par la prière et par l'exemple au quotidien de chacun de nous.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
jaimedieu a écrit:Nous vivons dans des temps où curieusement, les laïcs semblent être appelés à rappeler aux prêtres les Vérités de base de l'Évangile et cela ne pourra se faire que par la prière et par l'exemple au quotidien de chacun de nous.
Oui jaimedieu et c'est d'ailleurs une prophétie que j'ai déjà lue quelque part mais je ne me souviens plus où, cette prophétie disait que dans les derniers temps le redressement de l'Église passerait par les fidèles et on le voit bien aujourd'hui qu'une partie de plus en plus grande du clergé ne veut plus enseigner la doctrine fidèlement et comme je le dis dans le texte, ils veulent être aimés à tout prix et ne plus sermonner personne et ainsi la foi devient tiède et le sel s'affadit. On nous enlève l'un des moteurs de la foi ardente qui est celle de la crainte de Dieu, la crainte de le décevoir et la crainte de l'enfer, moteur qui amène le repentir de ses fautes et d,ailleurs maintenant dans les sept dons du Saint-Esprit on ne dit plus la crainte de Dieu mais l'affection filiale qui n'as pas toutes les nuances de l'expression crainte de Dieu.
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Au Sanctuaire, un de membres d'un groupe de partage suis une formation sur les enseignements de Luisa Piccarreta, dont la cause a été porté devant la Congrégation pour la doctrine des saints (1994 je crois). Cette formation est offerte par un prêtre. Comme je ne suis pas tellement "fan" des révélations et des manifestations (je me méfie beaucoup) j'ai fait une recherche (peut-être connais-tu déjà les révélations de cette personne. Jusqu'à date, tout ce qui a été dit d'elle c'est que ses révélations ne recèle aucune erreur doctrinale.
Je place dans le post suivant ce que Jésus a dit à madame Piccarreta.
Je place dans le post suivant ce que Jésus a dit à madame Piccarreta.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Messages de Jésus à Luisa Piccarreta..*Jésus parle de son Église et ses prêtres*
27 Novembre 1917
LA SAINTETÉ DANS LA DIVINE VOLONTÉ EST EXEMPTE D’INTÉRÊTS PERSONNELS ET DE PERTES DE TEMPS.
«Les églises sont peu nombreuses et, cependant, beaucoup seront détruites. Souvent, je ne trouve pas de prêtres pour me consacrer sous la forme eucharistique.
Certains permettent que des âmes indignes me reçoivent. Certaines âmes ne se donnent pas la peine de me recevoir et d’autres ne le peuvent pas.
Ainsi, mon Amour est entravé. Voilà pourquoi je veux la sainteté dans ma Volonté. Pour les âmes qui la vivront, je n’aurai pas besoin de prêtres pour me consacrer, ni d’églises, ni de tabernacles, ni d’hosties, parce que ces âmes seront tout ensemble prêtres, tabernacles et hosties.
Mon amour sera plus libre. Quand je voudrai me consacrer, je pourrai le faire à tout moment, jour et nuit, et partout où ces âmes se trouveront. Oh ! comme mon Amour trouvera son complet déversement !»
«Ah ! ma fille, la génération présente mérite d’être complètement détruite ! Si je permets à quelques personnes de rester, ce sera pour former ces soleils de sainteté dans ma Volonté qui feront pour moi tout ce que les autres créatures, passées, présentes et futures, me doivent.
Alors, la terre me donnera une vraie gloire et mon «Fiat Voluntas tua» sur la terre comme au Ciel connaîtra son total accomplissement.»
30 Décembre 1917
LE CHAGRIN DE JÉSUS À CAUSE DE L’AFFECTION QU’ON LUI VOLE.
«Cela n’est aucunement pris en considération. Au contraire, il y a des gens qui vendent leur affection ; ils sont contents de trouver quelqu’un pour l’acheter ; ils me volent sans aucun scrupule. Il ont des scrupules s’ils volent une autre créature, mais me voler moi-même ne leur cause aucun scrupule.
Ah ! ma fille, j’ai tout donné aux créatures en leur disant : «Prenez tout ce que vous voulez, mais laissez-moi seulement votre cœur.» Non seulement elles me refusent leur cœur, mais elles me volent l’affection des autres. De plus, cela ne vient pas seulement des personnes séculières, mais aussi d’âmes pieuses, d’âmes consacrées.
Quel mal on me fait par une certaine direction spirituelle à l’eau de rose, par certaines condescendances, par tant de sentimentalité, par l’usage de séductions ! Au lieu de faire le bien aux âmes, on les plonge dans un labyrinthe».
«Quand je suis contraint d’entrer sous la forme sacramentelle dans ces cœurs complaisants, j’aimerais fuir, voyant que leur affection n’est pas pour moi, que leur cœur n’est pas mien.
Et cela, de la part de qui ? De ceux qui devraient conduire les âmes vers moi ! Plutôt, ils ont pris ma place.
Je ressens une telle nausée que je n’arrive pas à m’accommoder de rester dans leur cœur, même si je suis contraint de le faire jusqu’à ce que les accidents de l’hostie soient consumés».
«Quel massacre d’âmes ! Ce sont les vraies blessures de mon Église ! C’est pourquoi il y a tant de mes ministres retranchés de l’Église ! Malgré toutes les prières qu’ils me font, je ne les écoute pas ; pour eux, il n’y a pas de grâces et je leur dis avec mon Cœur chagriné : «Voleurs, partez, quittez mon sanctuaire parce que je ne peux plus vous tolérer !»
12 Février 1918
RAISONS POUR LESQUELLES LES ÉGLISES SONT DÉSERTES ET LES MINISTRES DISPERSÉS.
«Hélas ! ma fille, quand je permets que les églises soient désertes, les ministres dispersés et les messes en diminution, cela signifie que les sacrifices sont des offenses pour moi, les prières des insultes, les adorations des irrévérences, les confessions des passe-temps sans fruits.
Ne trouvant plus ma gloire mais plutôt des offenses en retour des bénédictions que je donne, j’arrête ces dernières. Ces départs de mes ministres indiquent aussi que les choses ont atteint leur point culminant. Les châtiments seront multipliés. Comme l’homme est dur, comme l’homme est dur !»
19 Mars 1918
LES DISSENSIONS ENTRE LES PRÊTRES DONNENT LA NAUSÉE À JÉSUS.
«Ma fille, quelle nausée je ressens à cause de la désunion chez les prêtres. Cela m’est intolérable. Leur vie désordonnée est la raison pour laquelle ma justice permettra que mes ennemis viennent sur eux pour les maltraiter.
Les méchants sont prêts à attaquer et l’ITALIE est sur le point de commettre le plus grand des péchés, celui de persécuter mon Église et de faire couler le sang innocent.»
19 Août 1918
JÉSUS DÉPLORE LES VILENIES DES PRÊTRES.
«De toute façon, je suis fatigué de la vilenie des prêtres. Je ne peux plus en prendre, je veux en finir avec cela. Oh ! que d’âmes dévastées, défigurées, que d’idolâtries ! Se servir des choses saintes pour m’offenser cause mon plus amer chagrin. C’est le péché le plus abominable, la marque de la ruine totale. Il attire les plus grandes malédictions et brise les communications entre le Ciel et la terre.
J’aimerais éradiquer ces êtres de la terre. Pour cette raison, les châtiments continueront et seront multipliés ; la mort dévastera les villes et beaucoup de foyers et de routes disparaîtront ; il n’y aura plus personne pour les habiter.
Le deuil et la désolation régneront partout !»
Je le priai beaucoup. Il resta avec moi une bonne partie de la nuit et il souffrait tant que je sentais mon cœur se briser de chagrin. J’espère que mon JÉSUS s’apaisera.
4 Septembre 1918
PLAINTES DE JÉSUS AU SUJET DES PRÊTRES.
«Ma fille, les créatures ne veulent pas céder, elles défient ma justice. En conséquence, ma justice se dresse contre elles. Les offenses proviennent de gens de toutes les classes, y compris de ceux qui s’appellent mes ministres ; peut-être même plus d’eux que de bien d’autres. Quel venin ils portent ! Ils empoisonnent ceux qui s’approchent d’eux !
Plutôt que de me déposer dans les âmes, ils s’y placent eux- mêmes. Ils cherchent à être entourés, à se faire connaître et ils me mettent de côté».
«Par leurs contacts empoisonnés, ils distraient les âmes plutôt que de les conduire vers moi. Ils les rendent dissipées plutôt que de les orienter vers les choses sérieuses. Ainsi, celles qui n’ont pas de contact avec eux s’en tirent mieux. Je ne puis me fier à eux.
Je suis contraint de permettre que les gens s’éloignent des églises et des sacrements afin que le contact avec ces ministres ne les éloignent pas davantage de moi.
Mon chagrin est grand. Les blessures de mon Cœur sont profondes. Prie et unis-toi aux bons qui restent. Compatis à mon chagrin.»
27 Novembre 1917
LA SAINTETÉ DANS LA DIVINE VOLONTÉ EST EXEMPTE D’INTÉRÊTS PERSONNELS ET DE PERTES DE TEMPS.
«Les églises sont peu nombreuses et, cependant, beaucoup seront détruites. Souvent, je ne trouve pas de prêtres pour me consacrer sous la forme eucharistique.
Certains permettent que des âmes indignes me reçoivent. Certaines âmes ne se donnent pas la peine de me recevoir et d’autres ne le peuvent pas.
Ainsi, mon Amour est entravé. Voilà pourquoi je veux la sainteté dans ma Volonté. Pour les âmes qui la vivront, je n’aurai pas besoin de prêtres pour me consacrer, ni d’églises, ni de tabernacles, ni d’hosties, parce que ces âmes seront tout ensemble prêtres, tabernacles et hosties.
Mon amour sera plus libre. Quand je voudrai me consacrer, je pourrai le faire à tout moment, jour et nuit, et partout où ces âmes se trouveront. Oh ! comme mon Amour trouvera son complet déversement !»
«Ah ! ma fille, la génération présente mérite d’être complètement détruite ! Si je permets à quelques personnes de rester, ce sera pour former ces soleils de sainteté dans ma Volonté qui feront pour moi tout ce que les autres créatures, passées, présentes et futures, me doivent.
Alors, la terre me donnera une vraie gloire et mon «Fiat Voluntas tua» sur la terre comme au Ciel connaîtra son total accomplissement.»
30 Décembre 1917
LE CHAGRIN DE JÉSUS À CAUSE DE L’AFFECTION QU’ON LUI VOLE.
«Cela n’est aucunement pris en considération. Au contraire, il y a des gens qui vendent leur affection ; ils sont contents de trouver quelqu’un pour l’acheter ; ils me volent sans aucun scrupule. Il ont des scrupules s’ils volent une autre créature, mais me voler moi-même ne leur cause aucun scrupule.
Ah ! ma fille, j’ai tout donné aux créatures en leur disant : «Prenez tout ce que vous voulez, mais laissez-moi seulement votre cœur.» Non seulement elles me refusent leur cœur, mais elles me volent l’affection des autres. De plus, cela ne vient pas seulement des personnes séculières, mais aussi d’âmes pieuses, d’âmes consacrées.
Quel mal on me fait par une certaine direction spirituelle à l’eau de rose, par certaines condescendances, par tant de sentimentalité, par l’usage de séductions ! Au lieu de faire le bien aux âmes, on les plonge dans un labyrinthe».
«Quand je suis contraint d’entrer sous la forme sacramentelle dans ces cœurs complaisants, j’aimerais fuir, voyant que leur affection n’est pas pour moi, que leur cœur n’est pas mien.
Et cela, de la part de qui ? De ceux qui devraient conduire les âmes vers moi ! Plutôt, ils ont pris ma place.
Je ressens une telle nausée que je n’arrive pas à m’accommoder de rester dans leur cœur, même si je suis contraint de le faire jusqu’à ce que les accidents de l’hostie soient consumés».
«Quel massacre d’âmes ! Ce sont les vraies blessures de mon Église ! C’est pourquoi il y a tant de mes ministres retranchés de l’Église ! Malgré toutes les prières qu’ils me font, je ne les écoute pas ; pour eux, il n’y a pas de grâces et je leur dis avec mon Cœur chagriné : «Voleurs, partez, quittez mon sanctuaire parce que je ne peux plus vous tolérer !»
12 Février 1918
RAISONS POUR LESQUELLES LES ÉGLISES SONT DÉSERTES ET LES MINISTRES DISPERSÉS.
«Hélas ! ma fille, quand je permets que les églises soient désertes, les ministres dispersés et les messes en diminution, cela signifie que les sacrifices sont des offenses pour moi, les prières des insultes, les adorations des irrévérences, les confessions des passe-temps sans fruits.
Ne trouvant plus ma gloire mais plutôt des offenses en retour des bénédictions que je donne, j’arrête ces dernières. Ces départs de mes ministres indiquent aussi que les choses ont atteint leur point culminant. Les châtiments seront multipliés. Comme l’homme est dur, comme l’homme est dur !»
19 Mars 1918
LES DISSENSIONS ENTRE LES PRÊTRES DONNENT LA NAUSÉE À JÉSUS.
«Ma fille, quelle nausée je ressens à cause de la désunion chez les prêtres. Cela m’est intolérable. Leur vie désordonnée est la raison pour laquelle ma justice permettra que mes ennemis viennent sur eux pour les maltraiter.
Les méchants sont prêts à attaquer et l’ITALIE est sur le point de commettre le plus grand des péchés, celui de persécuter mon Église et de faire couler le sang innocent.»
19 Août 1918
JÉSUS DÉPLORE LES VILENIES DES PRÊTRES.
«De toute façon, je suis fatigué de la vilenie des prêtres. Je ne peux plus en prendre, je veux en finir avec cela. Oh ! que d’âmes dévastées, défigurées, que d’idolâtries ! Se servir des choses saintes pour m’offenser cause mon plus amer chagrin. C’est le péché le plus abominable, la marque de la ruine totale. Il attire les plus grandes malédictions et brise les communications entre le Ciel et la terre.
J’aimerais éradiquer ces êtres de la terre. Pour cette raison, les châtiments continueront et seront multipliés ; la mort dévastera les villes et beaucoup de foyers et de routes disparaîtront ; il n’y aura plus personne pour les habiter.
Le deuil et la désolation régneront partout !»
Je le priai beaucoup. Il resta avec moi une bonne partie de la nuit et il souffrait tant que je sentais mon cœur se briser de chagrin. J’espère que mon JÉSUS s’apaisera.
4 Septembre 1918
PLAINTES DE JÉSUS AU SUJET DES PRÊTRES.
«Ma fille, les créatures ne veulent pas céder, elles défient ma justice. En conséquence, ma justice se dresse contre elles. Les offenses proviennent de gens de toutes les classes, y compris de ceux qui s’appellent mes ministres ; peut-être même plus d’eux que de bien d’autres. Quel venin ils portent ! Ils empoisonnent ceux qui s’approchent d’eux !
Plutôt que de me déposer dans les âmes, ils s’y placent eux- mêmes. Ils cherchent à être entourés, à se faire connaître et ils me mettent de côté».
«Par leurs contacts empoisonnés, ils distraient les âmes plutôt que de les conduire vers moi. Ils les rendent dissipées plutôt que de les orienter vers les choses sérieuses. Ainsi, celles qui n’ont pas de contact avec eux s’en tirent mieux. Je ne puis me fier à eux.
Je suis contraint de permettre que les gens s’éloignent des églises et des sacrements afin que le contact avec ces ministres ne les éloignent pas davantage de moi.
Mon chagrin est grand. Les blessures de mon Cœur sont profondes. Prie et unis-toi aux bons qui restent. Compatis à mon chagrin.»
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
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Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Très beau texte Rémi
Aujourd'hui les chrétiens ont honte de Dieu
Une amie qui habite loin m'a demandé d'aller sur la tombe de sa mère pour la Toussaint.
La mère était une dame catholique très pratiquante et la fille aussi
Je pensais glisser une petite rose sous le Christ
Mais arrivée sur les lieux stupeur ! Aucune croix sur la tombe.
Le soir j'ai téléphoné à sa fille demandant pourquoi il n'y avait pas ou plus de croix
Réponse : mon frère est athée et donc nous avons enlevé tout objet religieux de la maison et la croix de la tombe.
C'est impensable d'en arriver là ! La volonté du mort est remplacée par le dicta d'un membre de la famille
Voilà un bel exemple de cas de démission des chrétiens qui ont honte de Dieu
Un membre de ma famille serait bouddhiste et souhaiterait avoir un bouda sur sa tombe, je n'irais jamais exiger qu'il soit enlevé même si cela ne me convenait pas trop. C'est le mort qui décide. C'est sa tombe et c'est pas à la famille à imposer ses convictions.
Comme nous n'avons pas le droit d'imposer un Christ sur la tombe d'une personne qui ne voulait pas en entendre parler de son vivant, nous n'avons pas le droit de tolérer qu'il soit exigé la suppression des objets religieux sur les tombes chrétiennes
C'est déprimant de voir une telle démission
Aujourd'hui les chrétiens ont honte de Dieu
Une amie qui habite loin m'a demandé d'aller sur la tombe de sa mère pour la Toussaint.
La mère était une dame catholique très pratiquante et la fille aussi
Je pensais glisser une petite rose sous le Christ
Mais arrivée sur les lieux stupeur ! Aucune croix sur la tombe.
Le soir j'ai téléphoné à sa fille demandant pourquoi il n'y avait pas ou plus de croix
Réponse : mon frère est athée et donc nous avons enlevé tout objet religieux de la maison et la croix de la tombe.
C'est impensable d'en arriver là ! La volonté du mort est remplacée par le dicta d'un membre de la famille
Voilà un bel exemple de cas de démission des chrétiens qui ont honte de Dieu
Un membre de ma famille serait bouddhiste et souhaiterait avoir un bouda sur sa tombe, je n'irais jamais exiger qu'il soit enlevé même si cela ne me convenait pas trop. C'est le mort qui décide. C'est sa tombe et c'est pas à la famille à imposer ses convictions.
Comme nous n'avons pas le droit d'imposer un Christ sur la tombe d'une personne qui ne voulait pas en entendre parler de son vivant, nous n'avons pas le droit de tolérer qu'il soit exigé la suppression des objets religieux sur les tombes chrétiennes
C'est déprimant de voir une telle démission
edelweiss- Date d'inscription : 17/11/2009
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
jaimedieu a écrit:Messages de Jésus à Luisa Piccarreta..*Jésus parle de son Église et ses prêtres*
Ces messages dénoncent les prêtres égarés de 1918, imaginez ce que Jésus en dirait aujourd'hui au vu de l'état actuel des choses et de l'apostasie qui se généralise.
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Jésus avait averti soeur Faustine de la venue d'un évènement terrible qui servirait à la Justice de Dieu si le peuple de la Pologne ne revenait pas à Dieu, au début de l'expansion des idéologies communiste et nazie. Déjà, en 1936, alors que soeur Faustine priait pour la Russie, Jésus vint la voir et lui dit :"Je ne peux plus tolérer ce pays, ne me lie pas les mains ma fille". (p.309)
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Et maintenant la Russie revient à Dieu et l'occident s'en éloigne à vitesse grand V. Aujourd'hui le Seigneur doit dire cela plutôt de nous ; ««Je ne peux plus tolérer ces pays, ne me lie pas les mains ma fille»»
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Si vous avez lu mon texte, vous constaterez que nous devons sans cesse prier pour notre Église, le clergé et tous les baptisés, ce lien vous permettra de faire une prière à chaque jour sans reprendre la même pendant un an, allons à genoux et prions car les temps sont durs et c'est le devoir d'un fidèle catholique que de prier et de montrer son amour pour Dieu, pour son Église et pour nos frères et soeurs.
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Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Voici un texte de la congrégation de la doctrine de la foi et analysé par un prêtre pour éclairer sur la situation des divorcés-remariés civilement ou en concubinage.
[Abbé Claude Barthe - L'Homme Nouveau] Peut-on donner l’absolution à un divorcé remarié ?
Abbé Claude Barthe - L'Homme Nouveau - 12 novembre 2014
La question de la situation des catholiques divorcés et remariés civilement a été particulièrement débattue lors de l’assemblée extraordinaire du Synode sur le thème « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », qui s’est achevée le 18 octobre dernier.
Un texte de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, en réponse à une question posée par un prêtre, vient d’apporter sur un point précis de la pastorale vis-à-vis de ces personnes un élément important, particulièrement éclairant dans la confusion générale des esprits. Cette réponse a l’avantage de se placer en amont de la problématique sur la communion eucharistique des divorcés remariés. Elle règle en effet ce que doit être l’attitude des prêtres exerçant le ministère de la réconciliation pour ces mêmes divorcés remariés.
Nous publions donc ici le texte intégral en français, en respectant sa forme :
À la question d’un prêtre français : « Un confesseur peut-il donner l’absolution à un pénitent qui, ayant été marié religieusement, a contracté une seconde union après divorce?»
La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a répondu le 22 octobre 2014 :
« On ne peut exclure a priori les fidèles divorcés remariés d’une démarche pénitentielle qui déboucherait sur la réconciliation sacramentelle avec Dieu et donc aussi à la communion eucharistique. Le Pape Jean-Paul II dans l’Exhortation apostolique Familiaris consortio (n. 84) a envisagé une telle possibilité et en a précisé les conditions : “La réconciliation par le sacrement de pénitence – qui ouvrirait la voie au sacrement de l’Eucharistie – ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l’homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs – par exemple l’éducation des enfants –, remplir l’obligation de la séparation, ils prennent l’engagement de vivre en complète continence, c’est-à-dire en s’abstenant des actes réservés aux époux” (cf. aussi Benoît XVI, Sacramentum caritatis, n. 29).
La démarche pénitentielle à entreprendre devrait prendre en compte les éléments suivants:
1 – Vérifier la validité du mariage religieux dans le respect de la vérité, tout en évitant de donner l’impression d’une forme de “divorce catholique”.
2 – Voir éventuellement si les personnes, avec l’aide de la grâce, peuvent se séparer de leur nouveau partenaire et se réconcilier avec celles dont elles se sont séparées.
3 – Inviter les personnes divorcées remariées, qui pour de sérieux motifs (par exemple les enfants), ne peuvent se séparer de leur conjoint, à vivre comme “frère et sœur”.
En tout état de cause, l’absolution ne peut être accordée qu’à condition d’être assurée d’une véritable contrition, c’est-à-dire “de la douleur intérieure et de la détestation du péché que l’on a commis, avec la résolution ne peut plus pécher à l’avenir” (Concile de Trente, Doctrine sur le Sacrement de Pénitence, c. 4). Dans cette ligne, on ne peut absoudre validement un divorcé remarié qui ne prend pas la ferme résolution de ne plus “pécher à l’avenir” et donc de s’abstenir des actes propres aux conjoints, et en faisant dans ce sens tout ce qui est en son pouvoir ».
Luis F. Ladaria, sj, archevêque titulaire de Thibica, Secrétaire.
La Congrégation ne se contente pas de citer le n. 84 de Familiaris consortio. Elle détaille avec réalisme les pistes concrètes que doit explorer le ministre du sacrement de pénitence. Il importe de noter que la Congrégation n’entend pas se livrer, dans le cadre de la question qui lui est soumise, à un exposé sur les diverses possibilités d’exhortation morale et spirituelle qui s’offrent au prêtre pour parler de la sainteté du sacrement de mariage, sa pérennité malgré l’adultère qu’a figé une nouvelle union civile, la responsabilité que conservent l’un sur l’autre les époux séparés, le scandale donné, les grâces du sacrement qui continuent à être pour eux disponibles, etc. La Réponse ne règle que les interrogations rencontrées par le prêtre qui entend les aveux du pénitent pour savoir s’il peut concrètement absoudre au nom du Christ, en vertu de son ministère sacramentel et à quelles conditions.
Une grande bienveillance
Même si, dans le contexte de la diffusion et de la discussion publique de thèses hétérodoxes, la Réponse donnera l’impression d’être « rigide », elle opte, en réalité, pour la plus grande bienveillance possible à l’égard du pécheur, tenant compte avec réalisme de la situation peccamineuse créée par la constitution d’une nouvelle union après divorce, et cherchant à en retirer prudemment le pénitent « sans écraser la mèche qui fume encore ». On peut dire que la Congrégation se place, selon la tradition du Saint-Siège, dans le cadre de la théologie romaine, celle de saint Alphonse de Liguori que combattaient les rigoristes français.
La Réponse détaille donc les diverses pistes que le confesseur explorera rapidement au tribunal de la pénitence :
– L’éventuelle invalidité du mariage sacramentel, qui réglerait tout le problème. Dans certains cas, en effet, le soupçon d’invalidité apparaît avec évidence ou bien incite à procéder à un examen plus approfondi. La Congrégation précise tout de même que les questions à ce propos ne doivent pas scandaliser en faisant penser que l’Église dispose d’un « divorce catholique ».
– Surtout, le confesseur tentera de savoir si le pénitent estime qu’une réconciliation entre les deux époux est envisageable. Car, selon saint Augustin : « Dieu ne te commande pas de choses impossibles, mais en commandant Il t’invite à faire ce que tu peux et à demander ce que tu ne peux pas ». Le concile de Trente ajoutait, en glosant saint Paul : « Il t’aide à pouvoir » (Dz 1536). Ce que la Réponse traduit : « avec l’aide de la grâce ». Ajoutons qu’il peut exister des enfants de l’union sacramentelle, profondément blessés par la séparation de leurs parents.
– En toute hypothèse, seuls de sérieux motifs (la présence d’enfants de la seconde union, on pourrait ajouter l’âge avancé du couple et les risques de la rupture d’une cohabitation qui n’est plus que d’amitié) peuvent écarter l’obligation de rompre la cohabitation adultère fixée par la seconde union civile. Et dans ce cas, le pénitent devra s’engager à vivre avec son nouveau conjoint comme « frère et sœur ». Cela suppose vraisemblablement une réflexion de sa part sur la possibilité de mettre en œuvre cette situation, et donc sans doute le report de l’absolution sacramentelle à un autre entretien en confession. Cela suppose pour le pénitent et son second conjoint de prendre des mesures et résolutions pour vivre vertueusement malgré ce que les moralistes nomment « l’occasion de pécher ». L’expérience prouve que ce n’est pas impossible. Mais seul le motif proportionné (l’éducation des enfants) autorise de rester dans ce danger de pécher. Par ailleurs, la Congrégation va droit au but, sans préciser comment devront être réglées les dispositions pour éviter que la pratique des sacrements par des conjoints apparemment adultères ne cause du scandale.
Conclusion
La conclusion de la Réponse est particulièrement intéressante. Elle intègre en effet le règlement de ce cas particulier de l’absolution donnée à un divorcé qui a contracté une nouvelle union au principe général concernant l’intégrité du sacrement et par voie de conséquence la légitimité de l’absolution sacramentelle qu’accorde selon son prudent jugement le ministre du sacrement. Sont nécessaires « les actes du pénitent » (la contrition, l’aveu des péchés, et la satisfaction, c’est-à-dire « la pénitence »), spécialement en l’espèce la contrition requise d’institution divine pour la rémission des péchés. La Congrégation pour la Doctrine de la foi cite le concile de Trente (Dz 1676) : pour que son péché soit remis, le pénitent doit être animé, à propos du mal qu’il a commis, d’une douleur de l’âme et d’une détestation de ce péché avec la résolution de ne plus pécher à l’avenir.
Source [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Abbé Claude Barthe - L'Homme Nouveau] Peut-on donner l’absolution à un divorcé remarié ?
Abbé Claude Barthe - L'Homme Nouveau - 12 novembre 2014
La question de la situation des catholiques divorcés et remariés civilement a été particulièrement débattue lors de l’assemblée extraordinaire du Synode sur le thème « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », qui s’est achevée le 18 octobre dernier.
Un texte de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, en réponse à une question posée par un prêtre, vient d’apporter sur un point précis de la pastorale vis-à-vis de ces personnes un élément important, particulièrement éclairant dans la confusion générale des esprits. Cette réponse a l’avantage de se placer en amont de la problématique sur la communion eucharistique des divorcés remariés. Elle règle en effet ce que doit être l’attitude des prêtres exerçant le ministère de la réconciliation pour ces mêmes divorcés remariés.
Nous publions donc ici le texte intégral en français, en respectant sa forme :
À la question d’un prêtre français : « Un confesseur peut-il donner l’absolution à un pénitent qui, ayant été marié religieusement, a contracté une seconde union après divorce?»
La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a répondu le 22 octobre 2014 :
« On ne peut exclure a priori les fidèles divorcés remariés d’une démarche pénitentielle qui déboucherait sur la réconciliation sacramentelle avec Dieu et donc aussi à la communion eucharistique. Le Pape Jean-Paul II dans l’Exhortation apostolique Familiaris consortio (n. 84) a envisagé une telle possibilité et en a précisé les conditions : “La réconciliation par le sacrement de pénitence – qui ouvrirait la voie au sacrement de l’Eucharistie – ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l’homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs – par exemple l’éducation des enfants –, remplir l’obligation de la séparation, ils prennent l’engagement de vivre en complète continence, c’est-à-dire en s’abstenant des actes réservés aux époux” (cf. aussi Benoît XVI, Sacramentum caritatis, n. 29).
La démarche pénitentielle à entreprendre devrait prendre en compte les éléments suivants:
1 – Vérifier la validité du mariage religieux dans le respect de la vérité, tout en évitant de donner l’impression d’une forme de “divorce catholique”.
2 – Voir éventuellement si les personnes, avec l’aide de la grâce, peuvent se séparer de leur nouveau partenaire et se réconcilier avec celles dont elles se sont séparées.
3 – Inviter les personnes divorcées remariées, qui pour de sérieux motifs (par exemple les enfants), ne peuvent se séparer de leur conjoint, à vivre comme “frère et sœur”.
En tout état de cause, l’absolution ne peut être accordée qu’à condition d’être assurée d’une véritable contrition, c’est-à-dire “de la douleur intérieure et de la détestation du péché que l’on a commis, avec la résolution ne peut plus pécher à l’avenir” (Concile de Trente, Doctrine sur le Sacrement de Pénitence, c. 4). Dans cette ligne, on ne peut absoudre validement un divorcé remarié qui ne prend pas la ferme résolution de ne plus “pécher à l’avenir” et donc de s’abstenir des actes propres aux conjoints, et en faisant dans ce sens tout ce qui est en son pouvoir ».
Luis F. Ladaria, sj, archevêque titulaire de Thibica, Secrétaire.
La Congrégation ne se contente pas de citer le n. 84 de Familiaris consortio. Elle détaille avec réalisme les pistes concrètes que doit explorer le ministre du sacrement de pénitence. Il importe de noter que la Congrégation n’entend pas se livrer, dans le cadre de la question qui lui est soumise, à un exposé sur les diverses possibilités d’exhortation morale et spirituelle qui s’offrent au prêtre pour parler de la sainteté du sacrement de mariage, sa pérennité malgré l’adultère qu’a figé une nouvelle union civile, la responsabilité que conservent l’un sur l’autre les époux séparés, le scandale donné, les grâces du sacrement qui continuent à être pour eux disponibles, etc. La Réponse ne règle que les interrogations rencontrées par le prêtre qui entend les aveux du pénitent pour savoir s’il peut concrètement absoudre au nom du Christ, en vertu de son ministère sacramentel et à quelles conditions.
Une grande bienveillance
Même si, dans le contexte de la diffusion et de la discussion publique de thèses hétérodoxes, la Réponse donnera l’impression d’être « rigide », elle opte, en réalité, pour la plus grande bienveillance possible à l’égard du pécheur, tenant compte avec réalisme de la situation peccamineuse créée par la constitution d’une nouvelle union après divorce, et cherchant à en retirer prudemment le pénitent « sans écraser la mèche qui fume encore ». On peut dire que la Congrégation se place, selon la tradition du Saint-Siège, dans le cadre de la théologie romaine, celle de saint Alphonse de Liguori que combattaient les rigoristes français.
La Réponse détaille donc les diverses pistes que le confesseur explorera rapidement au tribunal de la pénitence :
– L’éventuelle invalidité du mariage sacramentel, qui réglerait tout le problème. Dans certains cas, en effet, le soupçon d’invalidité apparaît avec évidence ou bien incite à procéder à un examen plus approfondi. La Congrégation précise tout de même que les questions à ce propos ne doivent pas scandaliser en faisant penser que l’Église dispose d’un « divorce catholique ».
– Surtout, le confesseur tentera de savoir si le pénitent estime qu’une réconciliation entre les deux époux est envisageable. Car, selon saint Augustin : « Dieu ne te commande pas de choses impossibles, mais en commandant Il t’invite à faire ce que tu peux et à demander ce que tu ne peux pas ». Le concile de Trente ajoutait, en glosant saint Paul : « Il t’aide à pouvoir » (Dz 1536). Ce que la Réponse traduit : « avec l’aide de la grâce ». Ajoutons qu’il peut exister des enfants de l’union sacramentelle, profondément blessés par la séparation de leurs parents.
– En toute hypothèse, seuls de sérieux motifs (la présence d’enfants de la seconde union, on pourrait ajouter l’âge avancé du couple et les risques de la rupture d’une cohabitation qui n’est plus que d’amitié) peuvent écarter l’obligation de rompre la cohabitation adultère fixée par la seconde union civile. Et dans ce cas, le pénitent devra s’engager à vivre avec son nouveau conjoint comme « frère et sœur ». Cela suppose vraisemblablement une réflexion de sa part sur la possibilité de mettre en œuvre cette situation, et donc sans doute le report de l’absolution sacramentelle à un autre entretien en confession. Cela suppose pour le pénitent et son second conjoint de prendre des mesures et résolutions pour vivre vertueusement malgré ce que les moralistes nomment « l’occasion de pécher ». L’expérience prouve que ce n’est pas impossible. Mais seul le motif proportionné (l’éducation des enfants) autorise de rester dans ce danger de pécher. Par ailleurs, la Congrégation va droit au but, sans préciser comment devront être réglées les dispositions pour éviter que la pratique des sacrements par des conjoints apparemment adultères ne cause du scandale.
Conclusion
La conclusion de la Réponse est particulièrement intéressante. Elle intègre en effet le règlement de ce cas particulier de l’absolution donnée à un divorcé qui a contracté une nouvelle union au principe général concernant l’intégrité du sacrement et par voie de conséquence la légitimité de l’absolution sacramentelle qu’accorde selon son prudent jugement le ministre du sacrement. Sont nécessaires « les actes du pénitent » (la contrition, l’aveu des péchés, et la satisfaction, c’est-à-dire « la pénitence »), spécialement en l’espèce la contrition requise d’institution divine pour la rémission des péchés. La Congrégation pour la Doctrine de la foi cite le concile de Trente (Dz 1676) : pour que son péché soit remis, le pénitent doit être animé, à propos du mal qu’il a commis, d’une douleur de l’âme et d’une détestation de ce péché avec la résolution de ne plus pécher à l’avenir.
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Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
"le confesseur tentera de savoir si le pénitent estime qu’une réconciliation entre les deux époux est envisageable"
Je connais un cas où la réconciliation des deux époux s'est faite
Mais sincèrement je ne sais pas quoi en penser
Les deux époux qui n'avaient pas d'enfant se retrouvent pour vivre une vie heureuse à deux.
Parallèlement l'homme a abandonné sa deuxième femme et tous ses propres enfants dont il ne s'occupe plus pour ne pas revoir la deuxième femme qu'il aime encore un peu
Maintenant Monsieur est libéré de toute contrainte de famille et est en règle avec sa religion et la 2ème femme trime pour élever seule 3 enfants que le père a abandonné.
C'est au cas par cas qu'il faut traiter ce problème car il n'est pas plus moral d'abandonner sa première femme que d'abandonner ses propres enfants avec la 2ème femme
Je connais un cas où la réconciliation des deux époux s'est faite
Mais sincèrement je ne sais pas quoi en penser
Les deux époux qui n'avaient pas d'enfant se retrouvent pour vivre une vie heureuse à deux.
Parallèlement l'homme a abandonné sa deuxième femme et tous ses propres enfants dont il ne s'occupe plus pour ne pas revoir la deuxième femme qu'il aime encore un peu
Maintenant Monsieur est libéré de toute contrainte de famille et est en règle avec sa religion et la 2ème femme trime pour élever seule 3 enfants que le père a abandonné.
C'est au cas par cas qu'il faut traiter ce problème car il n'est pas plus moral d'abandonner sa première femme que d'abandonner ses propres enfants avec la 2ème femme
edelweiss- Date d'inscription : 17/11/2009
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Edelweiss ce n'est certainement pas l'Église qui exige que l'homme ne s'occupe plus de ses enfants, la femme qui revient avec cet homme est en règle avec Dieu et l'Église et l'homme est en règle par rapport à son mariage mais pas avec l'obligation de subvenir aux besoins de ses enfants de l'autre union, lui n'est pas tout-à-fait en règle avec Dieu, il a l'obligation morale de subvenir au moins financièrement aux besoin de ses enfants illégitimes à moins que la mère de ses enfants ne veut rien savoir de son aide, là il devient en règle avec Dieu et l'Église après bien sur s'être confessé ainsi que sa vraie femme si elle avait un conjoint illégitime.
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Je suis d'accord avec toi.
Mais le pire est que sa 1ère s'était remariée aussi donc son 2ème mari a été répudié et maintenant il est malade de sa situation
Franchement le divorce ne fait que des malheureux.
Mais le pire est que sa 1ère s'était remariée aussi donc son 2ème mari a été répudié et maintenant il est malade de sa situation
Franchement le divorce ne fait que des malheureux.
edelweiss- Date d'inscription : 17/11/2009
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
edelweiss a écrit:Je suis d'accord avec toi.
Mais le pire est que sa 1ère s'était remariée aussi donc son 2ème mari a été répudié et maintenant il est malade de sa situation
Franchement le divorce ne fait que des malheureux.
Non c'est le fait de ne pas avoir suivi les commandements de Dieu qui a rendu ces gens malheureux et rien d'autre, le reste n'est que la conséquence juste de la désobéissance à Dieu.
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
Le péché attire le malheur
edelweiss- Date d'inscription : 17/11/2009
Re: Je rêve d'une Église qui n'ait plus honte de Dieu
edelweiss a écrit:Le péché attire le malheur
Oui c'est certain mais pas toujours immédiatement après l'acte, des fois c'est quelques années plus tard et il faut donner de la place à Dieu dans son coeur pour en prendre conscience et faire le lien.
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