Le Grand Monarque
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Le Grand Monarque
1ère partie :
Prophétie de Jean de Vatiguerro, dite de Saint-Césaire, archevêque d’Arles, en 468. Extrait du Liber Mirabilis de 1524, déposé à la BNF et dont l’édition remonte aux premiers temps de l’imprimerie :
« Le Lis (Louis XVII) sera privé de sa noble couronne ; on l’en dépouillera et on la donnera à un autre (Louis XVIII), à qui elle n’appartient pas, et il sera humilié jusqu’à la confusion (Louis XVII traqué par tous les gouvernements et dépouillé même de son nom.) »
Prophétie de St Catalde, évêque de Tarente (Elle est très ancienne ; David Pareus la cite dans son commentaire de l'Apocalypse imprimé à Heidelberg en 1618) :
« … Un roi sortira de l’extraction et tige du lys très illustre, ayant le front élevé, les sourcils hauts, les yeux longs et le nez aquilin… »
Prophétie du Père Calliste, religieux de Cluny (XVIIème siècle)
Cette prophétie date du 3 décembre 1750, trois jours avant la mort du Père Calliste. Elle a été annoncée, au milieu du plus profond silence, à la fin de la messe, dans l'étonnement et la consternation de tous les assistants. Le texte de la prophétie du Père Calixte est conservé grâce à la lettre, datée du 3 décembre 1751, adressée par un religieux de Cluny, Dom Madrigas, au Prieur de l'Abbaye de Moutier-Saint-Jean-en-Auxois en Bourgogne.
Après une peinture rapide de la Terreur, le prophète tient ce langage d’une précision qui terrifie :
« Trois fleurs de Lys de la couronne royale tomberont dans le sang (Louis XVI, Marie-Antoinette, Madame Elisabeth) ; une autre tombera dans la fange (le duc d’Orléans), une cinquième sera éclipsé (Louis XVII)… »[28]
Le Père Nectou, au XVIIIe siècle, mort bien avant la Révolution, avait annoncé que l’Enfant du Temple ne périrait pas et que sa postérité assurerait le triomphe de l’Eglise « tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable ».[29]
Voici les évènements prédits par M. le curé de Maumusson, l’abbé Mathurin Souffrand en 1817 :
« La venue du grand Monarque sera très proche, lorsque le nombre des légitimistes restés fidèles sera tellement petit, qu’à vrai dire on les comptera.
Ce grand Monarque est de la branche aînée des Bourbons. Je suis portée à croire que c’est Louis XVII, parce que je vois un rameau d’une branche coupée. Avant ce grand Monarque, des heurs terribles devront fondre sur la France… »
Sa conviction profonde de la survivance du Dauphin évadé du Temple lui fit écrire deux lettres, l’une à Napoléon Ier, et l’autre à Louis XVIII, pour leur reprocher leur usurpation. De là les colères et les gendarmes.
Il écrit également, le 25 février 1820 :
« Le Grand Monarque sera un Bourbon. On croira la race du grand Louis XVI entièrement éteinte. Point du tout !... Un duc ! (Le duc de Normandie ou l’un de ses héritiers) … Il faut garder ici le silence. L’évènement prouvera la vérité. »[30]
Prophétie de la religieuse trappistine Notre-Dame des Gardes, en Anjou, morte vers 1828 :
Le dimanche de la Toussaint, 1816 : « Dans ce moment, je vis un jeune homme qui me parut avoir environ 33 ans. (le dauphin actuel Hugues Charles Guy de Bourbon vient de fêter ses 34 ans !) Il était d’une beauté ravissante et d’un port qui annonçait quelque chose de grand et de majestueux. En même temps, la voix me dit : « Voilà celui que je garde de tous les périls pour le bonheur de la France. » J’entendis qu’il portait les deux noms de Louis-Charles. Il fut sauvé de la Tour du Temple et conduit en Espagne, et de là en Sicile où il fut enseigné par les Jésuites (sécularisés). En 1801, il rentra en France où il fut arrêté et mis en prison. Il s’en échappa, parce que Dieu le protège et le conserve pour notre bonheur. Il ne rentrera en France qu’après le grand combat. »
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux, servante de Lyon (1773-1843).
C’est de 1811 à 1832 qu’elle fut favorisée de nombreuses visions prophétiques. Poursuivie par la police à la suite de la révolution de 1830, l’humble servante dut se cacher.
La petite Marie des Terreaux, au moment où elle était poursuivie par la police de Louis-Philippe, après la révolution de 1830, eut la vision d’un drapeau blanc, sur lequel se trouvaient, vers le milieu, 6 fleurs de lys, et, dans un coin, une autre plus petite et isolée. Elle demanda ce que signifiait cette petite fleur de lys toute seule. Il lui fut répondu : c’est le duc de normandie. _ Mais je ne sais pas ce que c’est, répliqua-t-elle. _ Eh bien, on te l’apprendra, ajoute la voix céleste ; et la vision disparut.[31]
Prophétie de la bergère Marianne Galtier de Saint-Affrique (1830) :
« Un prince connu de Dieu seul, et faisant pénitence au désert, arrivera comme par miracle. Il sera du sang de la vieille cap. Il s’appellera Louis-Charles.
Il ne régnera qu’un an, et il cédera la couronne à un prince qui n’a pas de descendant. »
Mlle Lenormand (Née à Alençon en 1772. Morte le 25 juin 1843). En 1842, elle écrivit un certain nombre de prédiction :
« O Lis qu’on a brisé, mais qu’on n’a pu arracher, tes blanches fleurs de nouveau vont éclore. Les suaves parfums de tes symboliques corolles arrivent jusqu’à moi. Autour de ta tige veillent des amis fidèles et dévoués. Ils attendent un cri que doit pousser ton peuple, et alors tu remonteras sur le trône de tes aïeux. »
Prophétie du Père Eugène Pegghi, moine cistercien mort à Rome au monastère de Sainte-Croix en 1855 :« … Il y aura une grande stupeur quand on apprendra qu’il y a dans Paris un roi inconnu, et qui demeure au milieu du peuple. Et qu’on verra placé sur le trône un premier janvier le dernier de cette époque… »[
Joséphine Reverdy, de Bouilleret
Apparition du 8 septembre 1883[38] :
« La Sainte Vierge fit voir un personnage à Joséphine, dont elle remarqua bien les traits. Elle dit tout haut en répétant les paroles de la Sainte Vierge : « Dieu est tout-puissant ; il vient frapper la France par la mort du Comte de Chambord : mais la France ne sera pas perdue pour cela : il viendra un sauveur qui le remplacera. » Aussitôt un spectacle merveilleux se déroule aux regards de la voyante. Elle voit un Pape, qui n’était pas Léon XIII, la tiare en tête, et revêtu de ses ornements pontificaux, s’approcher du personnage qu’elle avait remarqué et le sacrer roi. Auprès de ce nouveau monarque était une splendide corbeille de lis blancs, très hauts et un drapeau blanc fleurdelisé. En même temps, la Sainte Vierge dit à la voyante ces paroles, qu’elle lui fait répéter tout haut devant tous les assistants : « Voilà le digne successeur d’Henri V, c’est celui-là qui sauvera la France, il est héritier des sentiments de Jésus-Christ. »
Apparition du 8 décembre 1883 :
« Après l’apparition du 8 septembre, une dame venue de Paris, désirant connaître l’identité du personnage que Joséphine, dans son extase, avait vu sacrer roi par un nouveau Pape, lui présenta la photographie du Prince Louis-Charles de Bourbon, fils aîné de Louis XVII.
Joséphine fut frappée de la ressemblance de cette photographie avec le personnage qui lui avait été montré en vision. Néanmoins, elle n’osait encore se prononcer formellement sur son identité. Mais la Sainte Vierge se plut à lever tout doute dans son apparition du 8 décembre. Ici laissons la parole à un témoin oculaire des faits et dont nous taisons le nom pour le moment :
« Le jour de la fête de l’Immaculée-Conception, à 1h30 du soir, beaucoup de personnes sont venues prier et réciter le chapelet de Notre-Dame des Septs-Douleurs, dans la chambre de Joséphine. Elles étaient au nombre de 27. Parmi elles se trouvait cette dame de Paris qui avait présenté à Joséphine la photographie du fils aînée de Louis XVII. […] A ce moment, la voyante aperçoit un tableau merveilleux. D’un côté était Notre-Seigneur-Jésus-Christ se tenant debout devant la Croix ; sa figure était empreinte de tristesse ; Il était couronné d’épines et avait sur sa poitrine son Sacré-Cœur ouvert. De l’autre côté se trouvait le roi qui lui avait été montré en vision, le 8 septembre ; derrière le roi était une belle corbeille de lis qu’ombrageait un drapeau blanc fleurdelisé.
La Sainte Vierge alors adresse à la voyante quelques paroles qu’elle ne répète pas. Mais aussitôt les assistants la voient prendre dans sa poche la photographie du prince Louis-Charles de Bourbon, fils aîné de Louis XVII, connu sous le faux nom de Naundorff, photographie que la dame parisienne lui avait glissée dans la poche, à son insu.
Joséphine, fixant la personne du roi que la Sainte Vierge lui faisait voir et puis la photographie qu’elle tenait dans ses mains, se met à dire tout haut, en souriant : « Oui, ma bonne Mère, c’est bien lui ! » Elle regarde une deuxième fois le roi et sa photographie, et répète d’une voix encore plus forte et en souriant toujours : « Oui, ma bonne Mère, c’est bien lui ! »
La Sainte Vierge adresse encore à Joséphine des paroles qu’elle seule entend, et répond : « Mon confesseur me défend de parler. » Aussitôt, sur l’ordre que lui en donne la Sainte Vierge, Joséphine présente la photographie à toute l’assistance et dit d’une voix très forte : « Voilà celui qui doit monter sur le trône. Il est le digne successeur d’Henri V, et héritier des sentiments de Jésus-Christ ; et bientôt on ne dira plus : à bas les ministres de Jésus-Christ ! – C’est celui-là qui sauvera la France. »
C’était la Sainte Vierge elle-même qui prononçait ces paroles, et la voyante les répétait après elle. »
Une voyante de la fin du XIXe siècle.
Extrait du livre de Michel de Savigny : La perspective des grands événements[41], au chapitre concernant le Grand Monarque, pages 309-310 :
« Une prophétie attribuée à une voyante, qui fut un moment célèbre à Paris, à la fin du XIXe siècle, va jusqu’à affirmer que les droits du véritable prétendant seront reconnus officiellement.
Elle dit :
Un papier est resté,
Il est à l’étranger,
Il vous sera montré
Comme preuve d’identité.
Certains affirment que des documents officiels, reconnaissant la légitimité de Naundorff, se trouveraient en Allemagne et seraient produits au moment de l’avènement de l’Elu de Dieu ! C’est ce que suggérait d’ailleurs la voyante dans son texte. Par ailleurs, elle termine en disant :
Je vois la France accepter,
Quand elle aura peiné,
Celui qui est l’héritier.
Jules de Vuyst (1933-1952)
« Cette femme a fui avec l’enfant (Louis XVII), elle est entourée d’anges et elle est éclairée par la divine Providence. Cet enfant était un enfant de roi qui était perdu et qui a été plusieurs fois sauvé dans sa vie par cette femme. Plus tard, de la descendance de cet enfant sortira un grand Roi qui viendra apporter le bonheur en France. Il vivra saintement et s’appellera lui-même le roi du Sacré-Cœur. »[46]
Il faut apparemment rajouter à cette liste d’autres personnes.
Le Marquis de La Franquerie, qui affirme qu’il a « relevé seize prophéties sérieuses, contemporaines, qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII », nous parle de Mère Saint Dominique à Paris[47], d’une certaine Marie-Françoise Decotterd en suisse et « d’une religieuse de Lyon et trois âmes contemporaines dont on ne peut présentement encore citer les noms. »[48] Je vous conseille de lire "Le Saint Pape et le Grand Monarque" du Marquis de la Franquerie.
Rajoutons enfin que le Padre Pio , dont les capacités psychiques étaient très développées, a vu, en état de bilocation, le testament de la duchesse d’Angoulême, détenue au Vatican, document « d’une importance capitale pour la France, l’Europe et le monde. »
PROPHETIES SUR LE GRAND MONARQUE
Prophétie de Jean de Vatiguerro, dite de Saint-Césaire, archevêque d’Arles, en 468. Extrait du Liber Mirabilis de 1524, déposé à la BNF et dont l’édition remonte aux premiers temps de l’imprimerie :
« Le Lis (Louis XVII) sera privé de sa noble couronne ; on l’en dépouillera et on la donnera à un autre (Louis XVIII), à qui elle n’appartient pas, et il sera humilié jusqu’à la confusion (Louis XVII traqué par tous les gouvernements et dépouillé même de son nom.) »
Prophétie de St Catalde, évêque de Tarente (Elle est très ancienne ; David Pareus la cite dans son commentaire de l'Apocalypse imprimé à Heidelberg en 1618) :
« … Un roi sortira de l’extraction et tige du lys très illustre, ayant le front élevé, les sourcils hauts, les yeux longs et le nez aquilin… »
Prophétie du Père Calliste, religieux de Cluny (XVIIème siècle)
Cette prophétie date du 3 décembre 1750, trois jours avant la mort du Père Calliste. Elle a été annoncée, au milieu du plus profond silence, à la fin de la messe, dans l'étonnement et la consternation de tous les assistants. Le texte de la prophétie du Père Calixte est conservé grâce à la lettre, datée du 3 décembre 1751, adressée par un religieux de Cluny, Dom Madrigas, au Prieur de l'Abbaye de Moutier-Saint-Jean-en-Auxois en Bourgogne.
Après une peinture rapide de la Terreur, le prophète tient ce langage d’une précision qui terrifie :
« Trois fleurs de Lys de la couronne royale tomberont dans le sang (Louis XVI, Marie-Antoinette, Madame Elisabeth) ; une autre tombera dans la fange (le duc d’Orléans), une cinquième sera éclipsé (Louis XVII)… »[28]
Le Père Nectou, au XVIIIe siècle, mort bien avant la Révolution, avait annoncé que l’Enfant du Temple ne périrait pas et que sa postérité assurerait le triomphe de l’Eglise « tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable ».[29]
Voici les évènements prédits par M. le curé de Maumusson, l’abbé Mathurin Souffrand en 1817 :
« La venue du grand Monarque sera très proche, lorsque le nombre des légitimistes restés fidèles sera tellement petit, qu’à vrai dire on les comptera.
Ce grand Monarque est de la branche aînée des Bourbons. Je suis portée à croire que c’est Louis XVII, parce que je vois un rameau d’une branche coupée. Avant ce grand Monarque, des heurs terribles devront fondre sur la France… »
Sa conviction profonde de la survivance du Dauphin évadé du Temple lui fit écrire deux lettres, l’une à Napoléon Ier, et l’autre à Louis XVIII, pour leur reprocher leur usurpation. De là les colères et les gendarmes.
Il écrit également, le 25 février 1820 :
« Le Grand Monarque sera un Bourbon. On croira la race du grand Louis XVI entièrement éteinte. Point du tout !... Un duc ! (Le duc de Normandie ou l’un de ses héritiers) … Il faut garder ici le silence. L’évènement prouvera la vérité. »[30]
Prophétie de la religieuse trappistine Notre-Dame des Gardes, en Anjou, morte vers 1828 :
Le dimanche de la Toussaint, 1816 : « Dans ce moment, je vis un jeune homme qui me parut avoir environ 33 ans. (le dauphin actuel Hugues Charles Guy de Bourbon vient de fêter ses 34 ans !) Il était d’une beauté ravissante et d’un port qui annonçait quelque chose de grand et de majestueux. En même temps, la voix me dit : « Voilà celui que je garde de tous les périls pour le bonheur de la France. » J’entendis qu’il portait les deux noms de Louis-Charles. Il fut sauvé de la Tour du Temple et conduit en Espagne, et de là en Sicile où il fut enseigné par les Jésuites (sécularisés). En 1801, il rentra en France où il fut arrêté et mis en prison. Il s’en échappa, parce que Dieu le protège et le conserve pour notre bonheur. Il ne rentrera en France qu’après le grand combat. »
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux, servante de Lyon (1773-1843).
C’est de 1811 à 1832 qu’elle fut favorisée de nombreuses visions prophétiques. Poursuivie par la police à la suite de la révolution de 1830, l’humble servante dut se cacher.
La petite Marie des Terreaux, au moment où elle était poursuivie par la police de Louis-Philippe, après la révolution de 1830, eut la vision d’un drapeau blanc, sur lequel se trouvaient, vers le milieu, 6 fleurs de lys, et, dans un coin, une autre plus petite et isolée. Elle demanda ce que signifiait cette petite fleur de lys toute seule. Il lui fut répondu : c’est le duc de normandie. _ Mais je ne sais pas ce que c’est, répliqua-t-elle. _ Eh bien, on te l’apprendra, ajoute la voix céleste ; et la vision disparut.[31]
Prophétie de la bergère Marianne Galtier de Saint-Affrique (1830) :
« Un prince connu de Dieu seul, et faisant pénitence au désert, arrivera comme par miracle. Il sera du sang de la vieille cap. Il s’appellera Louis-Charles.
Il ne régnera qu’un an, et il cédera la couronne à un prince qui n’a pas de descendant. »
Mlle Lenormand (Née à Alençon en 1772. Morte le 25 juin 1843). En 1842, elle écrivit un certain nombre de prédiction :
« O Lis qu’on a brisé, mais qu’on n’a pu arracher, tes blanches fleurs de nouveau vont éclore. Les suaves parfums de tes symboliques corolles arrivent jusqu’à moi. Autour de ta tige veillent des amis fidèles et dévoués. Ils attendent un cri que doit pousser ton peuple, et alors tu remonteras sur le trône de tes aïeux. »
Prophétie du Père Eugène Pegghi, moine cistercien mort à Rome au monastère de Sainte-Croix en 1855 :« … Il y aura une grande stupeur quand on apprendra qu’il y a dans Paris un roi inconnu, et qui demeure au milieu du peuple. Et qu’on verra placé sur le trône un premier janvier le dernier de cette époque… »[
Joséphine Reverdy, de Bouilleret
Apparition du 8 septembre 1883[38] :
« La Sainte Vierge fit voir un personnage à Joséphine, dont elle remarqua bien les traits. Elle dit tout haut en répétant les paroles de la Sainte Vierge : « Dieu est tout-puissant ; il vient frapper la France par la mort du Comte de Chambord : mais la France ne sera pas perdue pour cela : il viendra un sauveur qui le remplacera. » Aussitôt un spectacle merveilleux se déroule aux regards de la voyante. Elle voit un Pape, qui n’était pas Léon XIII, la tiare en tête, et revêtu de ses ornements pontificaux, s’approcher du personnage qu’elle avait remarqué et le sacrer roi. Auprès de ce nouveau monarque était une splendide corbeille de lis blancs, très hauts et un drapeau blanc fleurdelisé. En même temps, la Sainte Vierge dit à la voyante ces paroles, qu’elle lui fait répéter tout haut devant tous les assistants : « Voilà le digne successeur d’Henri V, c’est celui-là qui sauvera la France, il est héritier des sentiments de Jésus-Christ. »
Apparition du 8 décembre 1883 :
« Après l’apparition du 8 septembre, une dame venue de Paris, désirant connaître l’identité du personnage que Joséphine, dans son extase, avait vu sacrer roi par un nouveau Pape, lui présenta la photographie du Prince Louis-Charles de Bourbon, fils aîné de Louis XVII.
Joséphine fut frappée de la ressemblance de cette photographie avec le personnage qui lui avait été montré en vision. Néanmoins, elle n’osait encore se prononcer formellement sur son identité. Mais la Sainte Vierge se plut à lever tout doute dans son apparition du 8 décembre. Ici laissons la parole à un témoin oculaire des faits et dont nous taisons le nom pour le moment :
« Le jour de la fête de l’Immaculée-Conception, à 1h30 du soir, beaucoup de personnes sont venues prier et réciter le chapelet de Notre-Dame des Septs-Douleurs, dans la chambre de Joséphine. Elles étaient au nombre de 27. Parmi elles se trouvait cette dame de Paris qui avait présenté à Joséphine la photographie du fils aînée de Louis XVII. […] A ce moment, la voyante aperçoit un tableau merveilleux. D’un côté était Notre-Seigneur-Jésus-Christ se tenant debout devant la Croix ; sa figure était empreinte de tristesse ; Il était couronné d’épines et avait sur sa poitrine son Sacré-Cœur ouvert. De l’autre côté se trouvait le roi qui lui avait été montré en vision, le 8 septembre ; derrière le roi était une belle corbeille de lis qu’ombrageait un drapeau blanc fleurdelisé.
La Sainte Vierge alors adresse à la voyante quelques paroles qu’elle ne répète pas. Mais aussitôt les assistants la voient prendre dans sa poche la photographie du prince Louis-Charles de Bourbon, fils aîné de Louis XVII, connu sous le faux nom de Naundorff, photographie que la dame parisienne lui avait glissée dans la poche, à son insu.
Joséphine, fixant la personne du roi que la Sainte Vierge lui faisait voir et puis la photographie qu’elle tenait dans ses mains, se met à dire tout haut, en souriant : « Oui, ma bonne Mère, c’est bien lui ! » Elle regarde une deuxième fois le roi et sa photographie, et répète d’une voix encore plus forte et en souriant toujours : « Oui, ma bonne Mère, c’est bien lui ! »
La Sainte Vierge adresse encore à Joséphine des paroles qu’elle seule entend, et répond : « Mon confesseur me défend de parler. » Aussitôt, sur l’ordre que lui en donne la Sainte Vierge, Joséphine présente la photographie à toute l’assistance et dit d’une voix très forte : « Voilà celui qui doit monter sur le trône. Il est le digne successeur d’Henri V, et héritier des sentiments de Jésus-Christ ; et bientôt on ne dira plus : à bas les ministres de Jésus-Christ ! – C’est celui-là qui sauvera la France. »
C’était la Sainte Vierge elle-même qui prononçait ces paroles, et la voyante les répétait après elle. »
Une voyante de la fin du XIXe siècle.
Extrait du livre de Michel de Savigny : La perspective des grands événements[41], au chapitre concernant le Grand Monarque, pages 309-310 :
« Une prophétie attribuée à une voyante, qui fut un moment célèbre à Paris, à la fin du XIXe siècle, va jusqu’à affirmer que les droits du véritable prétendant seront reconnus officiellement.
Elle dit :
Un papier est resté,
Il est à l’étranger,
Il vous sera montré
Comme preuve d’identité.
Certains affirment que des documents officiels, reconnaissant la légitimité de Naundorff, se trouveraient en Allemagne et seraient produits au moment de l’avènement de l’Elu de Dieu ! C’est ce que suggérait d’ailleurs la voyante dans son texte. Par ailleurs, elle termine en disant :
Je vois la France accepter,
Quand elle aura peiné,
Celui qui est l’héritier.
Jules de Vuyst (1933-1952)
« Cette femme a fui avec l’enfant (Louis XVII), elle est entourée d’anges et elle est éclairée par la divine Providence. Cet enfant était un enfant de roi qui était perdu et qui a été plusieurs fois sauvé dans sa vie par cette femme. Plus tard, de la descendance de cet enfant sortira un grand Roi qui viendra apporter le bonheur en France. Il vivra saintement et s’appellera lui-même le roi du Sacré-Cœur. »[46]
Il faut apparemment rajouter à cette liste d’autres personnes.
Le Marquis de La Franquerie, qui affirme qu’il a « relevé seize prophéties sérieuses, contemporaines, qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII », nous parle de Mère Saint Dominique à Paris[47], d’une certaine Marie-Françoise Decotterd en suisse et « d’une religieuse de Lyon et trois âmes contemporaines dont on ne peut présentement encore citer les noms. »[48] Je vous conseille de lire "Le Saint Pape et le Grand Monarque" du Marquis de la Franquerie.
Rajoutons enfin que le Padre Pio , dont les capacités psychiques étaient très développées, a vu, en état de bilocation, le testament de la duchesse d’Angoulême, détenue au Vatican, document « d’une importance capitale pour la France, l’Europe et le monde. »
Invité- Invité
Re: Le Grand Monarque
Maximin Giraud, le Berger de la Salette avait reçu ordre de la Sainte Vierge de révéler la Survivance de Louis XVII et de sa descendance au Comte de Chambord.
En avril 1865, il se rendit donc à Frohsdorf, grâce à la Marquise de Pignerolles.[103]
A ce moment, le secrétaire du Prince était le Comte de Vanssay qui a rédigé pour sa famille – dont le Marquis de La Franquerie tiens la copie du document – le compte rendu de l’entretien :
« Je vis que le Comte de Chambord était ému et parla longuement et avec beaucoup de bonté au jeune voyant. Quand Maximin quitta la pièce, tout ému, le Prince se tourna vers moi : Maintenant j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est lui seul qui se réserve de rétablir la royauté. »
Et le comte de Vanssay ajoute pour ses neveux et petits-neveux :
« Surtout qu’ils gardent l’espérance qu’un jour Dieu ramènera sur le Trône de France le descendant du lys à la tête coupée et que notre chère Patrie redevenue la Fille Aînée de l’Eglise retrouvera sa grandeur et sa gloire. »
En 1873, Maximin rencontre pour la deuxième fois le Comte de Chambord à Frohsdorf : « Je suis venu vous dire qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir roi de France, que cela ne se peut pas et vous savez pourquoi. » Cette entrevue est attestée par le Général de Cornulier-Lucinière, MM. Gabaudan et Canet et les R.P. Brisseau et Perrin.
Cette entrevue est confirmée par le témoignage de M. De Montbel. Voici ce qu’écrit Mgr Rigaud, dans les Annales des Croisés de Marie, dont il est le directeur :
« Peu de temps avant sa mort, Maximin partit pour Goritz, où il eut une longue conversation, en présence de M. de Montbel, avec le Comte de Chambord, qui fut profondément troublé de cette entrevue.
M. de Montbel a répété ensuite à Adrien Péladan tous les détails de l’entrevue, en ajoutant : « Si certains, qui ont partagé les idées de Martin en 1817, savaient ceci, ils diraient que Maximin avait reçu pour Henri V la mission dont le laboureur de Gallardon fut chargé pour Louis XVIII, et m’est avis qu’ils auraient raison. »
Voici ce témoignage personnel, publié par de P. de Valamont (pseudonyme de M. de Montbel) :
« Je déclare sur la foi du serment, que le confident du Comte de Chambord m’a dit un jour ce que je répète. Il ajouta : « Si certaines personnes, qui ont partagé les idées de Martin, en 1817, savaient ceci, ils diraient que Maximin avait reçu pour Henri V la mission dont le laboureur Gallardon fut chargé pour Louis XVIII. »
Peu de temps après cet évènement, Henri V, de son exil, fit ériger un riche autel de marbre dans la basilique de la Salette. »
Certains affirment que Maximin est resté jusqu’à sa mort partisan du Comte de Chambord, trompé qu’il fut sans doute par le nom d’Henry le Boiteux ?
Non, en fait, il ne se trompait pas.
En raison de l’engouement des royalistes pour le Comte de Chambord[107] ; en raison aussi de l’honnêteté et de la piété du Comte de Chambord, Léon XIII comptait sur lui, pour placer sur le trône la branche aînée ; quitte à se laisser lui-même, mettre en possession d’abord, afin que, une fois le pouvoir en main, et plus que jamais tenant réunis tous les vouloirs des royalistes, il ait, de suite, comme premier acte de justice, déclaré la vérité, la vérité toute entière, en désignant le fils de Louis XVII comme représentant le droit divin au trône… dont lui, Henri V, se serait hâter de descendre. En un mot, le Comte de Chambord devait prendre le trône, mais seulement comme lieutenant de son cousin, devant lequel les royalistes se seraient inclinés, du moment que l’ordre leur en eût été donné par celui en qui ils croyaient aveuglément !
Maximin disait au Comte de Chambord d’accepter le trône de France, puisqu’on le reconnaissait, mais à condition expresse de faire connaître le véritable héritier et de le placer lui-même sur le trône.
Maximin Giraud est mort sans avoir publié son secret. Mais un jour, le cardinal Antonelli en remit une copie à la duchesse de Clermont-Tonnerre. Elle a été publiée par A. Péladan dans les Annales du Surnaturel en 1888. Mais cette copie est incomplète. Le cardinal Antonelli a jugé bon, pour des raisons à lui connues, d’en supprimer deux passages.[109]
L’analyse du secret a été faite d’une façon très complète par Mgr Rigaud, directeur des Annales des Croisés de Marie. Extrait :
« Avant de mourir, Maximin confia à sa mère adoptive, Mme Jourdain, que son secret concernait un descendant du Roi-Martyr. [...]
Il y a une soixantaine d’année, M. J. P…, consulteur de l’Index, écrivait à Mme Amélie, fille aînée de Louis XVII :
« Madame, le secret de Maximin concerne très réellement votre famille. »
Mgr Rigaud publia cette lettre dans ses Annales de juin 1889, et ne fut pas démenti par Rome. »
Voici également une lettre de Mgr de Brandt à l’abbé E. Rigaud :
« D’après mes renseignements puisés en haut lieu à Rome, on n’en fait plus mystère : le Secret de Maximin concerne le descendance de Louis XVI. »
Mgr Fava, évêque de Grenoble, a lu et connaît le secret de Maximin in extenso. Or, Mgr Fava a été en correspondance avec le Prince naundorffiste Adelberth. Connaître « in extenso » le Secret de Maximin, et correspondre avec les petits-fils méconnus du Roi-Martyr, pour un évêque de Grenoble, c’est de toute force !Mgr Fava eut, avec plusieurs membres de la Survivance, des relations personnelles pleine de déférence et de sympathie. Il reçu à sa table la princesse Amélie.
Bref, tout nous confirme dans la conviction que dans son secret à Maximin, la Reine des Prophètes a très réellement annoncée la réhabilitation de la descendance méconnue, repoussée et proscrite de notre Roi-Martyr.
Certains pourraient peut-être nous dire : Comment expliquer que Mélanie Calvat soit Naundorffiste, et Maximin Giraud juste survivantiste, sans s’être prononcé pour ou contre Naundorff ?
Tout simplement parce que les deux voyants avaient chacun deux missions différentes.
Maximin n’a pas eu toutes les faveurs qu’a eu Mélanie.
De même que Mélanie, elle, a vu le visage de la Vierge et rencontré son regard ; lui, il n’a pu apercevoir, entre le corps et la coiffure, qu’une clarté qui l’éblouissait.
Pour terminer, petit signe de la Providence, Madame Prud’homme, abonnée à la Légitimité, est décédée à Grenoble le 21 juin 1921. Elle était la cousine de Maximin Giraud, le petit berger de la Salette et eut l’honneur de recevoir le prince naundorffiste Jean de Bourbon à l’un de ses pèlerinages au céleste sanctuaire.
En avril 1865, il se rendit donc à Frohsdorf, grâce à la Marquise de Pignerolles.[103]
A ce moment, le secrétaire du Prince était le Comte de Vanssay qui a rédigé pour sa famille – dont le Marquis de La Franquerie tiens la copie du document – le compte rendu de l’entretien :
« Je vis que le Comte de Chambord était ému et parla longuement et avec beaucoup de bonté au jeune voyant. Quand Maximin quitta la pièce, tout ému, le Prince se tourna vers moi : Maintenant j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est lui seul qui se réserve de rétablir la royauté. »
Et le comte de Vanssay ajoute pour ses neveux et petits-neveux :
« Surtout qu’ils gardent l’espérance qu’un jour Dieu ramènera sur le Trône de France le descendant du lys à la tête coupée et que notre chère Patrie redevenue la Fille Aînée de l’Eglise retrouvera sa grandeur et sa gloire. »
En 1873, Maximin rencontre pour la deuxième fois le Comte de Chambord à Frohsdorf : « Je suis venu vous dire qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir roi de France, que cela ne se peut pas et vous savez pourquoi. » Cette entrevue est attestée par le Général de Cornulier-Lucinière, MM. Gabaudan et Canet et les R.P. Brisseau et Perrin.
Cette entrevue est confirmée par le témoignage de M. De Montbel. Voici ce qu’écrit Mgr Rigaud, dans les Annales des Croisés de Marie, dont il est le directeur :
« Peu de temps avant sa mort, Maximin partit pour Goritz, où il eut une longue conversation, en présence de M. de Montbel, avec le Comte de Chambord, qui fut profondément troublé de cette entrevue.
M. de Montbel a répété ensuite à Adrien Péladan tous les détails de l’entrevue, en ajoutant : « Si certains, qui ont partagé les idées de Martin en 1817, savaient ceci, ils diraient que Maximin avait reçu pour Henri V la mission dont le laboureur de Gallardon fut chargé pour Louis XVIII, et m’est avis qu’ils auraient raison. »
Voici ce témoignage personnel, publié par de P. de Valamont (pseudonyme de M. de Montbel) :
« Je déclare sur la foi du serment, que le confident du Comte de Chambord m’a dit un jour ce que je répète. Il ajouta : « Si certaines personnes, qui ont partagé les idées de Martin, en 1817, savaient ceci, ils diraient que Maximin avait reçu pour Henri V la mission dont le laboureur Gallardon fut chargé pour Louis XVIII. »
Peu de temps après cet évènement, Henri V, de son exil, fit ériger un riche autel de marbre dans la basilique de la Salette. »
Certains affirment que Maximin est resté jusqu’à sa mort partisan du Comte de Chambord, trompé qu’il fut sans doute par le nom d’Henry le Boiteux ?
Non, en fait, il ne se trompait pas.
En raison de l’engouement des royalistes pour le Comte de Chambord[107] ; en raison aussi de l’honnêteté et de la piété du Comte de Chambord, Léon XIII comptait sur lui, pour placer sur le trône la branche aînée ; quitte à se laisser lui-même, mettre en possession d’abord, afin que, une fois le pouvoir en main, et plus que jamais tenant réunis tous les vouloirs des royalistes, il ait, de suite, comme premier acte de justice, déclaré la vérité, la vérité toute entière, en désignant le fils de Louis XVII comme représentant le droit divin au trône… dont lui, Henri V, se serait hâter de descendre. En un mot, le Comte de Chambord devait prendre le trône, mais seulement comme lieutenant de son cousin, devant lequel les royalistes se seraient inclinés, du moment que l’ordre leur en eût été donné par celui en qui ils croyaient aveuglément !
Maximin disait au Comte de Chambord d’accepter le trône de France, puisqu’on le reconnaissait, mais à condition expresse de faire connaître le véritable héritier et de le placer lui-même sur le trône.
Maximin Giraud est mort sans avoir publié son secret. Mais un jour, le cardinal Antonelli en remit une copie à la duchesse de Clermont-Tonnerre. Elle a été publiée par A. Péladan dans les Annales du Surnaturel en 1888. Mais cette copie est incomplète. Le cardinal Antonelli a jugé bon, pour des raisons à lui connues, d’en supprimer deux passages.[109]
L’analyse du secret a été faite d’une façon très complète par Mgr Rigaud, directeur des Annales des Croisés de Marie. Extrait :
« Avant de mourir, Maximin confia à sa mère adoptive, Mme Jourdain, que son secret concernait un descendant du Roi-Martyr. [...]
Il y a une soixantaine d’année, M. J. P…, consulteur de l’Index, écrivait à Mme Amélie, fille aînée de Louis XVII :
« Madame, le secret de Maximin concerne très réellement votre famille. »
Mgr Rigaud publia cette lettre dans ses Annales de juin 1889, et ne fut pas démenti par Rome. »
Voici également une lettre de Mgr de Brandt à l’abbé E. Rigaud :
« D’après mes renseignements puisés en haut lieu à Rome, on n’en fait plus mystère : le Secret de Maximin concerne le descendance de Louis XVI. »
Mgr Fava, évêque de Grenoble, a lu et connaît le secret de Maximin in extenso. Or, Mgr Fava a été en correspondance avec le Prince naundorffiste Adelberth. Connaître « in extenso » le Secret de Maximin, et correspondre avec les petits-fils méconnus du Roi-Martyr, pour un évêque de Grenoble, c’est de toute force !Mgr Fava eut, avec plusieurs membres de la Survivance, des relations personnelles pleine de déférence et de sympathie. Il reçu à sa table la princesse Amélie.
Bref, tout nous confirme dans la conviction que dans son secret à Maximin, la Reine des Prophètes a très réellement annoncée la réhabilitation de la descendance méconnue, repoussée et proscrite de notre Roi-Martyr.
Certains pourraient peut-être nous dire : Comment expliquer que Mélanie Calvat soit Naundorffiste, et Maximin Giraud juste survivantiste, sans s’être prononcé pour ou contre Naundorff ?
Tout simplement parce que les deux voyants avaient chacun deux missions différentes.
Maximin n’a pas eu toutes les faveurs qu’a eu Mélanie.
De même que Mélanie, elle, a vu le visage de la Vierge et rencontré son regard ; lui, il n’a pu apercevoir, entre le corps et la coiffure, qu’une clarté qui l’éblouissait.
Pour terminer, petit signe de la Providence, Madame Prud’homme, abonnée à la Légitimité, est décédée à Grenoble le 21 juin 1921. Elle était la cousine de Maximin Giraud, le petit berger de la Salette et eut l’honneur de recevoir le prince naundorffiste Jean de Bourbon à l’un de ses pèlerinages au céleste sanctuaire.
Invité- Invité
Re: Le Grand Monarque
Marie-Julie Jahenny :
Le Grand Monarque
…. Puis elle annonça le triomphe de l’Église et de la France. D’abord paraîtra celui que l’on prendra pour un sauveur mais qui n’est pas l’envoyé de Dieu, puis viendra le grand Monarque.
" Quel est son nom ? ", répéta plusieurs fois l’Abbé Lehausteler.
" Dieu vous fera connaître ", répondit Marie-Julie. Sur de nouvelles instances, elle ajouta
" Il est DES LIS, mon Père. "
3 janvier 1900 : la Sainte Vierge tendait les bras à la France en lui disant : " Souviens-toi des bienfaits de Mon Coeur et des prodiges de Mon Divin Fils. Tu t’es endormie dans l’iniquité sous le frein des lois où l’on veut chasser Mon Divin Fils et les belles vertus de Sa Sainte Mère.., O France, Ma Fille ! Je la réveillerai de son pénible sommeil et doucement Je la ressusciterai avec les prières, les souffrances, la foi et la confiance de Mes chers enfants. Avant le grand événement, elle semblera à jamais morte à tout sentiment Ce sera là, la lutte du ciel et de la terre. Elle sera courte, mais terrible et lugubre, et après, Mon bon peuple se réveillera et le Sauveur caché jus qu’ici sortira du Sacré Coeur, avec Sa fleur de lis et Son noble Coeur de Saint-Louis. En même temps, Je relèverai tous mes chers enfants élus pour le salut et le triomphe de la France. Priez, priez, priez Mes enfants, ne vous découragez pas. Parmi la colère, il y aura de belles merveilles. "
19 septembre 1901 : " Quand la terre aura été purifiée, de beaux jours reviendront et le Sauveur choisi par Nous, inconnu de Mes enfants jusqu’ici, viendra. C’est une âme bien belle, c’est une fleur spéciale de vertu, et le Coeur adorable de Mon Fils commence à lui préparer ses nobles dignités. Il viendra au nom du Sacré-Coeur, avec la poitrine décorée de l’adorable Coeur de Jésus. Mes enfants, à bientôt La grâce du ciel sera avec lui et toutes les ruines seront relevées. "
17 août 1905 : " Ce sera dans cette troisième crise que viendra le salut. Là, sortira du centre de son Sacré-Coeur, le salut ou, pour mieux dire, celui qui est destiné à apporter la paix. Avec son couronnement tous les maux finiront. Mes enfants, il descend de la branche de Saint-Louis mais cette Sodome coupable ne le possède pas. " (il est donc bien à l'étranger !)
Quel sera donc ce grand Roi. ?
Marie-Julie a toujours assuré que Notre Seigneur et la Très Sainte Vierge lui avaient souvent affirmé que les d’Orléans ne régneraient jamais, le droit et la justice s’opposant à ce qu’on hérite de celui qu’on a assassiné. Elle n’a jamais cessé de dire qu’il descendrait du Roi et de la Reine Martyrs, donc de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Le Ciel lui a toujours parlé du Roi caché, car Dieu ne veut pas qu’on le connaisse afin que certains prétendants ne puissent tenter de l’assassiner. Laissons donc à Dieu le soin de nous désigner son Élu....
Cette petite phrase m'interpelle car elle confirme un sentiment que je ressens face aux affirmations des descendants directs actuels :
Je vous confirme que parmi les descendants Bourbon, en lignée directe (!), le trône est très convoité, quitte à récuser l'existence d'une branche aînée... Le pouvoir fait des jaloux !
Lau
Le Grand Monarque
…. Puis elle annonça le triomphe de l’Église et de la France. D’abord paraîtra celui que l’on prendra pour un sauveur mais qui n’est pas l’envoyé de Dieu, puis viendra le grand Monarque.
" Quel est son nom ? ", répéta plusieurs fois l’Abbé Lehausteler.
" Dieu vous fera connaître ", répondit Marie-Julie. Sur de nouvelles instances, elle ajouta
" Il est DES LIS, mon Père. "
3 janvier 1900 : la Sainte Vierge tendait les bras à la France en lui disant : " Souviens-toi des bienfaits de Mon Coeur et des prodiges de Mon Divin Fils. Tu t’es endormie dans l’iniquité sous le frein des lois où l’on veut chasser Mon Divin Fils et les belles vertus de Sa Sainte Mère.., O France, Ma Fille ! Je la réveillerai de son pénible sommeil et doucement Je la ressusciterai avec les prières, les souffrances, la foi et la confiance de Mes chers enfants. Avant le grand événement, elle semblera à jamais morte à tout sentiment Ce sera là, la lutte du ciel et de la terre. Elle sera courte, mais terrible et lugubre, et après, Mon bon peuple se réveillera et le Sauveur caché jus qu’ici sortira du Sacré Coeur, avec Sa fleur de lis et Son noble Coeur de Saint-Louis. En même temps, Je relèverai tous mes chers enfants élus pour le salut et le triomphe de la France. Priez, priez, priez Mes enfants, ne vous découragez pas. Parmi la colère, il y aura de belles merveilles. "
19 septembre 1901 : " Quand la terre aura été purifiée, de beaux jours reviendront et le Sauveur choisi par Nous, inconnu de Mes enfants jusqu’ici, viendra. C’est une âme bien belle, c’est une fleur spéciale de vertu, et le Coeur adorable de Mon Fils commence à lui préparer ses nobles dignités. Il viendra au nom du Sacré-Coeur, avec la poitrine décorée de l’adorable Coeur de Jésus. Mes enfants, à bientôt La grâce du ciel sera avec lui et toutes les ruines seront relevées. "
17 août 1905 : " Ce sera dans cette troisième crise que viendra le salut. Là, sortira du centre de son Sacré-Coeur, le salut ou, pour mieux dire, celui qui est destiné à apporter la paix. Avec son couronnement tous les maux finiront. Mes enfants, il descend de la branche de Saint-Louis mais cette Sodome coupable ne le possède pas. " (il est donc bien à l'étranger !)
Quel sera donc ce grand Roi. ?
Marie-Julie a toujours assuré que Notre Seigneur et la Très Sainte Vierge lui avaient souvent affirmé que les d’Orléans ne régneraient jamais, le droit et la justice s’opposant à ce qu’on hérite de celui qu’on a assassiné. Elle n’a jamais cessé de dire qu’il descendrait du Roi et de la Reine Martyrs, donc de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Le Ciel lui a toujours parlé du Roi caché, car Dieu ne veut pas qu’on le connaisse afin que certains prétendants ne puissent tenter de l’assassiner. Laissons donc à Dieu le soin de nous désigner son Élu....
Cette petite phrase m'interpelle car elle confirme un sentiment que je ressens face aux affirmations des descendants directs actuels :
Le Ciel lui a toujours parlé du Roi caché, car Dieu ne veut pas qu’on le connaisse afin que certains prétendants ne puissent tenter de l’assassiner.
Je vous confirme que parmi les descendants Bourbon, en lignée directe (!), le trône est très convoité, quitte à récuser l'existence d'une branche aînée... Le pouvoir fait des jaloux !
Lau
Invité- Invité
Re: Le Grand Monarque
Est ce que la race des Bourbons peut se trouver dans plusieurs familles ? Je ne suis pas tres famillier avec la question de la royauté en France(ou en Europe).« Le Grand Monarque sera un Bourbon. On croira la race du grand Louis XVI entièrement éteinte. Point du tout !... Un duc ! (Le duc de Normandie ou l’un de ses héritiers) … Il faut garder ici le silence. L’évènement prouvera la vérité. »[30]
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Le Grand Monarque
Le Marquis de La Franquerie, qui affirme qu’il a « relevé seize prophéties sérieuses, contemporaines, qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII »,
Plusieurs prophéties annoncent que le St Pape sera nommé par st Pierre lui meme(revenu sur terre apres les grandes Tribulations) et que ce saint pape nommera alors celui connu comme étant le Grand Monarque.....mais,a ce moment,l'état de notre monde ,et sa populatin auront bcp changés...
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Le Grand Monarque
Francesco a écrit:Est ce que la race des Bourbons peut se trouver dans plusieurs familles ? Je ne suis pas tres famillier avec la question de la royauté en France(ou en Europe).« Le Grand Monarque sera un Bourbon. On croira la race du grand Louis XVI entièrement éteinte. Point du tout !... Un duc ! (Le duc de Normandie ou l’un de ses héritiers) … Il faut garder ici le silence. L’évènement prouvera la vérité. »[30]
Il y a plusieurs branches qui descendent de Louis XVI et donc plusieurs Bourbon en France et à l'étranger.
Mais la lignée directe qui descend de Louis XVI et de son fils "Louis XVII/Duc de Normandie/Naundorff/Louis Capet" existe bien :
la branche aînée est à l'étranger (Louis XVII s'est marié au Portugal et a eu plusieurs fils) ; puis veuf, il s'est marié en Allemagne (naissance d'une fille), puis aux Pays Bas.
Sachant qu'il faut tenir compte de la loi salique (seul accède au trône le fils aîné), aujourd'hui, la branche aînée est toujours à l'étranger (Portugal, Espagne ?), la branche cadette en France (Hugues de Bourbon) et la branche benjamine au Canada.
Mais les deux derniers descendants (cadet et benjamin) refusent d'entendre qu'ils ont un aîné, sous différents prétextes...
Dieu seul connaît le Grand Monarque et il restera caché jusqu'au moment que Dieu aura choisi pour l'élever sur le trône de France.
Lau
Invité- Invité
Re: Le Grand Monarque
Je le crois aussi....Dieu seul connaît le Grand Monarque et il restera caché jusqu'au moment que Dieu aura choisi pour l'élever sur le trône de France.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Le Grand Monarque
... déjà les candidatures au poste ne manquent pas.... si ! si !
Il faudra être prudent et ne pas croire le premier "monarque" venu !
Un petit rappel historique.... Hitler pour asseoir sa position en France voulut rappeler un "pressenti" descendant des Bourbon. Il envoya des émissaires chercher Naundorff (Louis XVII) qui refusa de travailler aux ordres d'Hitler et dut se cacher pour échapper au "barbare"... mais...... une autre famille proposa sa candidature..... la famille d'Orléans !.... l'histoire fit qu'ils n'eurent pas accès au Trône de France comme ils ne l'auront jamais d'ailleurs ! Dieu veille sur la Fille aînée de l'Eglise...
En attendant prions pour la venue de ce Grand Monarque que Dieu a choisi....
Il faudra être prudent et ne pas croire le premier "monarque" venu !
Un petit rappel historique.... Hitler pour asseoir sa position en France voulut rappeler un "pressenti" descendant des Bourbon. Il envoya des émissaires chercher Naundorff (Louis XVII) qui refusa de travailler aux ordres d'Hitler et dut se cacher pour échapper au "barbare"... mais...... une autre famille proposa sa candidature..... la famille d'Orléans !.... l'histoire fit qu'ils n'eurent pas accès au Trône de France comme ils ne l'auront jamais d'ailleurs ! Dieu veille sur la Fille aînée de l'Eglise...
En attendant prions pour la venue de ce Grand Monarque que Dieu a choisi....
Invité- Invité
Re: Le Grand Monarque
Chaque nation a un chef naturel suscité par Dieu (Eccl. 17:14). Même les gitans ont un Roi! Le Roi est un point de rencontre, un “axe du monde” reliant le ciel et la Terre: Lieutenant de Dieu sur Terre, il fait descendre les Grâces du Ciel sur son peuple et, chef naturel de sa nation, il fait remonter les prières de son peuple vers le Ciel.
La Royauté étant une oeuvre Divine, et Dieu ne laissant pas ses ouevres inachevèes -et la Royauté en France ayant été interrompue défintivement en 1830 !- Il veut nous redonner un Roi. D'où les prophéties du Grand Monarque...
La Royauté étant une oeuvre Divine, et Dieu ne laissant pas ses ouevres inachevèes -et la Royauté en France ayant été interrompue défintivement en 1830 !- Il veut nous redonner un Roi. D'où les prophéties du Grand Monarque...
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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