La France se dirige vers sa mort selon Francois Billot
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La France se dirige vers sa mort selon Francois Billot
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Un autre intélectuel qui pense que la France se dirige vers sa mort.Apres Eric Zemmour(Le suicide francais),Francois Billot croit que la France va tres mal(euphémisme)et que si rien n'est fait autour de 2017,la France va s'éfondrer.Il pense a une guerre civile entre musulmans et chrétiens(pas nécessairement pratiquant).Ca fait plusieurs auteurs et personnalités publiques qui convergent vers la meme conclusion.La France va tres mal(trop) et si rien n'est fait,elle risque l'autodestruction.Si nous ajoutons a cela les prophéties sérieuses qui annoncent une guerre civile majeure dans la pays de st Louis,ca commence a faire du monde(il est fort possible qu'un grand nombre de francais pensent la meme chose).
Heureusement,les révélations(plus que 50) annoncent qu'apres cette guerre civile,qui déboucherait sur la 3e guerre mondiale,et de graves tribulations de toutes sortes,un héritier de la branche du lis regnerait et la foi catholique deviendrait la religion universelle.
Mais face a ces mauvais présages qui se dessinent,il faut se préparer matériellement ,psychologiquement et surtout spirituellement.Les souffrances a venir accepter et offertes peuvent convertir bcp de personnes ,et augmenter votre gloire céleste.....
François Billot de Lochner : « Il faudra énormément de qualités à ceux qui nous dirigeront à partir de 2017 pour que l’on échappe à la mort. » Posté par admin activée24 mai 2015 Share on Facebook Tweet on Twitter Share on Google Billot-Lochner-presente-livreC’est en voisin que François Billot de Lochner est venu nous présenter son dernier livre consacré aux 30 mesures qu’il défend pour – c’est son titre choc – «échapper à la mort de la France». François Billot de Lochner, qui exerce son activité professionnelle dans le secteur financier, préside la Fondation de Service politique, la revue Liberté politique et le collectif France Audace. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont «Le Choix du déclin», «12 mesures pour 2012», «La Répression pour tous» et «Municipales 2014 : 18 mesures». François Billot de Lochner, qui anime de nombreux cercles de réflexion, a eu une démarche originale en adressant ce livre à 40 000 élus (députés, sénateurs et maires) afin de défendre ces «mesures de la dernière chance, simples, aisées à mettre en oeuvre, axées sur le seul bien commun». Mais il lance aussi un avertissement : «Si les candidats aux élections les refusent, la société civile, qui se met en ordre de marche, appellera à voter contre eux et suscitera le cas échéant une candidature du monde civil». François Billot de Lochner est catégorique : «Si les nouveaux élus ne prennent pas immédiatement les nécessaires mesures de redressement, le suicide français deviendra réalité». Il répond à nos questions. «Echapper à la mort de la France» de François Billot de Lochner est publié aux Éditions François-Xavier de Guibert. Audio Player 00:00 00:00 Use Up/Down Arrow keys to increase or decrease volume. Extraits de l’entretien Kernews : Avant l’élection présidentielle de 2012, vous aviez publié «12 mesures pour 2012». Votre dernier livre, «Échapper à la mort de la France», est-il le prolongement de ces réflexions sur la situation de notre pays ? François Billot de Lochner : Nous avons l’ambition d’intervenir vraiment dans le jeu politique. Nous l’avions fait en 2012 et nous allons le faire encore plus vigoureusement en 2017. L’idée n’est pas d’écrire un livre, de le jeter à la mer et de voir ce que cela donne : nous essayons vraiment d’influencer la classe politique. Pour 2017, nous voulons vraiment faire émerger la société civile, parce que nous pensons que la classe politique ne fait pas le travail et que la société civile doit se prendre en main. Sinon, nous risquons effectivement de ne pas échapper à la mort de la France. Vous dressez le constat de l’affaissement politique, des élites politiques mortifères et du peuple qui est ignoré et méprisé… Vous revenez sur la débâcle économique que connaît notre pays, avec cet intitulé : «Nation suicidaire». Avez-vous été inspiré par Éric Zemmour ? Non, j’ai repris un terme que j’avais employé il y a dix ans dans un livre intitulé «Le choix du déclin». Donc, c’est plutôt Zemmour qui m’a copié ! Déjà, il y a dix ans, je parlais du suicide de la France. La grosse différence entre Zemmour, que j’aime beaucoup, et moi, c’est qu’il pense que la France est finie. Pour lui, le suicide est là, c’est terminé et il faut passer à autre chose… Personnellement, je suis d’accord avec son constat, mais je pense vraiment que la France n’est pas finie et que l’on peut encore échapper à la mort. Mais, pour échapper à un danger, il faut à la fois du courage, de l’astuce et de l’ingéniosité. Il faudra énormément de qualités à ceux qui nous dirigeront à partir de 2017, pour que l’on échappe à la mort. On est tellement parti sur ce train du suicide qu’il y aura un gros boulot. Parmi vos propositions, il y a des mesures techniques, économiques et sociales, mais aussi morales et culturelles. Sur tout ce qui est économique et social, on retrouve un certain nombre de propositions assez proches de celles de l’UMP. En revanche, on ne l’entend pas s’exprimer sur l’aspect moral et culturel… La première des mesures, avant de parler de l’aspect moral et culturel, c’est l’établissement du référendum d’initiative populaire. Je pense vraiment que le système est tellement verrouillé que si l’on ne passe pas par l’institution d’un référendum d’initiative populaire, qui donne vraiment le pouvoir aux Français de décider des lois, on n’y arrivera pas. Sur le plan moral et culturel, il y a dans l’ensemble des partis politiques, de la gauche extrême au Front national, une espèce de consensus pour considérer que le problème moral et culturel n’est pas véritablement fondamental. Finalement, si l’on règle les problèmes régaliens, comme la justice, la défense ou la police, et si l’on règle les problèmes économiques, tout est réglé… Or, quand on raisonne comme cela, on occulte la moitié de ce qu’est une personne. Une personne a évidemment besoin de pouvoir se déplacer librement dans la rue sans être agressée, elle a évidemment besoin d’avoir un emploi, mais l’autre moitié de la personne, c’est tout ce qui est l’esprit et l’intelligence, et cela passe par le côté intellectuel et moral qui est fondamental. Si l’on ne redresse pas cet énorme chantier qui a été laissé complètement en déshérence depuis cinquante ans – on voit ce que cela donne aujourd’hui – on aura beaucoup de mal à échapper à la mort. N’y a-t-il pas une contradiction en voulant redonner la parole au peuple, à travers le référendum, tout en faisant le constat d’une déshérence intellectuelle et morale ? Si l’on part du principe que le peuple a été manipulé et enfermé dans une culture parallèle qui n’est pas le monde réel, il faudra bien une à deux générations pour remettre les choses à l’endroit… Vous avez tout-à-fait raison. Mais je crois que s’il y a quelque chose qui peut se redresser assez vite, avec un peu de volonté, c’est l’Éducation nationale. Il y a quelques mesures à prendre qui sont extrêmement simples. Par exemple, libéraliser complètement le système de l’Éducation nationale à travers le chèque éducation. Un parent pourra choisir de mettre librement son enfant, sans aucun coût supplémentaire, dans un lycée public ou dans un lycée authentiquement privé, avec une véritable liberté. Je peux vous garantir que si une telle mesure était prise, en deux ou trois ans, l’Éducation nationale serait obligée de changer de registre ! Sinon, plus personne ne voudrait y aller… Aujourd’hui, on met son enfant à l’école publique parce que l’on n’a pas le choix. La réglementation est faite de telle façon que l’on est obligé de passer par l’Éducation nationale, à l’exception de 20% des élèves qui sont dans des enseignements privés sous contrat ou hors contrat. Mais si on libère complètement le système, ce sera 50 ou 60% ! À ce moment-là, les professeurs de l’Éducation nationale seront obligés de se remettre en cause et de se dire : «Louis XIV a existé, on ne peut pas l’occulter !» Beaucoup de professeurs, dans l’enseignement public, sont malheureux de cette situation… Il y a des gens très bien dans le secteur public. D’ailleurs, regardez la révolte sur le sujet des langues anciennes, le grec et le latin, avec des professeurs de l’Éducation nationale qui commencent à tempêter sérieusement… Le ministère de l’Éducation nationale est parti dans ce délire car ce sont des gens qui n’y connaissent absolument rien. La ministre actuelle de l’Éducation nationale n’a aucune compétence dans son domaine. Un bon professeur de lycée ou de collège de province est bien plus compétent qu’elle pour prendre le poste ! Mais nous sommes dans l’idéologie… Pour être ministre, aucune compétence n’est nécessaire, il suffit d’aimer la France et d’avoir du bon sens… Mais le bon sens, c’est une compétence ! Regardez Gilles de Robien, que l’on a un peu oublié : il a été ministre de l’Education nationale et il n’avait qu’une seule idée en tête, c’est que les enfants sortent du primaire en sachant lire et compter. Rappelez-vous, il a été mis en cause d’une manière incroyable. Quand Nicolas Sarkozy est arrivé au pouvoir en 2007, la première chose qu’il a dite à l’Éducation nationale, c’est : «On oublie Robien et on revient aux fondamentaux soixante-huitards…» La droite a été absolument catastrophique sur ce registre. Gilles de Robien a été l’étoile dans un ciel noir. Sur les trente dernières années, il a été le seul à s’être dit qu’il faut simplement que les enfants sachent lire et compter. Il était centriste, mais c’était un homme rempli de bon sens… Il y a un chapitre économique dans votre ouvrage : vous dénoncez l’écart de richesse entre la France d’en haut et celle d’en bas… La France d’en bas est riche de potentialités et, pourtant, on la tire de plus en plus vers le bas. La France moyenne, qui est une France essentielle pour l’équilibre de la société, on la tire aussi complètement vers le bas. Enfin, la France d’en haut, c’est une France qui est minuscule en nombre d’hommes, mais qui accapare tous les pouvoirs et toute la richesse. Il est difficile de qualifier la France moyenne. Quel niveau de revenus incarne, selon vous, la France moyenne ? Ce que l’on appelle aujourd’hui la classe moyenne a un revenu par individu compris entre 2 000 et 2 500 euros par mois. C’est ce que les statistiques disent. Mais dans la réalité de survie quotidienne, quelqu’un qui gagne 2 000 euros par mois se situe dans la France d’en bas… Absolument. On tire complètement cette frange de la population vers le bas. En revanche, là où je ne suis pas d’accord avec le système libéral, qui devient libertaire, c’est cet excédent de richesse complètement insensé que s’accordent les plus riches. De quel droit des patrons de banques ou des patrons de groupes industriels ont-ils un écart 1 à 300 par rapport aux plus bas salaires ? Ce sont ceux-là que j’évoque ! On n’est plus dans du bon sens, mais dans du délire. On est dans une France qui s’appauvrit à toute allure, alors que l’on assiste à un enrichissement insensé de quelques-uns. Je raisonnerais totalement différemment si l’on était dans un système où toute la France tirerait vers le haut et où des générations entières sortiraient de la pauvreté. Mais aujourd’hui, on est dans la situation inverse. Tout cela est lié au système mis en place par la droite et la gauche réunies. Vous classez dans la France d’en haut ceux qui gagnent 300 fois plus que le SMIC, alors que, politiquement et fiscalement, on situe dans la France d’en haut des gens qui gagnent beaucoup moins… Franchement, pour quelqu’un qui gagne 5 000 ou 7 000 euros, qui travaille comme une brute et qui contribue à créer de la richesse, il n’y a pas de débat. Aujourd’hui, c’est simplement le haut de la classe moyenne. Mais c’est cette catégorie que l’on est en train de tirer vers le bas, à toute allure, notamment par la fiscalité. Donc, on est en train de décourager une classe moyenne très laborieuse, qui fait un très bon travail, mais qui est écrasée par les charges et le système qui ne fonctionne plus. Vous consacrez aussi un chapitre à la réintroduction du franc. C’est la première fois que vous vous prononcez pour la sortie de l’euro… J’ai toujours pensé le plus grand mal de l’euro et j’ai voté contre Maastricht. L’euro est une véritable catastrophe. L’euro devait nous apporter la croissance : or, on connaît une stagnation économique depuis quinze ans… L’euro devait résoudre la question du chômage : or, on n’a jamais eu autant de chômeurs… Je pense que l’on ne peut plus s’en sortir avec l’euro. Oui, il y a quelques éléments positifs. Le dollar baisse, mais c’est totalement conjoncturel. Mais l’euro est un outil et cet outil fonctionnerait si nous avions une fiscalité unique au niveau européen, avec un niveau de charges unique… Comme on ne sait pas se servir de cet outil, cela ne marche pas… Vous posez une question de fond et votre question amène la réponse. L’euro fonctionnerait admirablement si les presque trente pays de la zone étaient unifiés sur tous les plans. Je viens de rencontrer un conseiller du nouveau gouvernement grec. La Grèce ne peut pas s’en sortir et l’économiste que j’ai rencontré m’a expliqué qu’il était impossible que la Grèce reste dans l’euro. C’est une certitude sur le plan économique. On a créé un système où l’on a voulu considérer que Paris était égal à Athènes et à Berlin. Le sud de l’Italie, je suis désolé mais ce n’est pas la Ruhr ! Je présente 30 mesures et j’ai envoyé mon livre à 40 000 élus. J’ai reçu énormément de réponses et j’ai trouvé intéressantes les réactions de la classe politique. Des réactions négatives ou positives ? J’ai seulement reçu deux réponses désagréables. La première, c’est la mairie communiste de Bezons. J’ai éclaté de rire, parce que le maire communiste de Bezons m’a écrit une lettre incendiaire en me disant que j’étais liberticide ! J’ai répondu que j’étais vraiment content que les communistes s’occupent aujourd’hui de la liberté parce que, s’ils s’en étaient occupés au XXème siècle, il y aurait eu 100 millions de morts en moins… L’autre, c’est une commune rurale, avec une lettre d’insultes pleine de fautes d’orthographe ! Maintenant, le plus important, ce sont des centaines de lettres incroyablement positives. J’ai reçu une lettre de quelqu’un de très proche de Nicolas Sarkozy, qui est dans son entourage immédiat, et qui m’a écrit : «Je vais faire tourner votre livre dans tout l’état-major de l’UMP, il nous servira pour 2017…» J’ai reçu une lettre d’un président socialiste de conseil régional, sa lettre est extrêmement bien tournée. Il me dit : «Vous comprendrez bien que je ne suis pas forcément d’accord avec toutes vos mesures… Cela dit, vous posez un certain nombre de constats sur lesquels je suis en total accord avec vous. Les mesures, on peut toujours les discuter, mais merci pour votre travail parce que vous alimentez notre réflexion». Le maire d’une très grande ville de France m’a écrit : «Votre livre est un éclairage formidable pour 2017, pouvez-vous nous en envoyer 12, à quel ordre doit libeller le chèque ?» Donc, j’ai gagné mon pari ! Enfin, vous voulez fédérer la société civile. Pourquoi ne pas suivre les politiques ? Aujourd’hui, on ne connaît pas encore les programmes officiels des partis. Si l’on s’aperçoit que l’année prochaine, les partis politiques ne correspondent pas dans leurs programmes avec les mesures que je préconise, je ferai tout pour susciter un candidat de la société civile. Ce n’est pas un rêve. Il y a aujourd’hui des candidats de la société civile qui se préparent. Il y a énormément de mouvements qui s’organisent. Aujourd’hui, le ras-le-bol des Français atteint un niveau absolument incroyable. Tous ceux qui essaient de s’organiser sont des gens de bonne qualité qui ne demandent qu’une chose : se rassembler à un moment donné. Il est encore trop tôt, il peut y avoir quelqu’un qui va émerger, qui va apparaître comme un leader assez naturel et qui connaît bien tous les dossiers avec un vrai bon sens. On ne demande pas à quelqu’un de la société civile d’être élu, mais d’obtenir 5 ou 8% des voix : avec ce résultat, il fera peser véritablement les bonnes idées. a écrit:
Un autre intélectuel qui pense que la France se dirige vers sa mort.Apres Eric Zemmour(Le suicide francais),Francois Billot croit que la France va tres mal(euphémisme)et que si rien n'est fait autour de 2017,la France va s'éfondrer.Il pense a une guerre civile entre musulmans et chrétiens(pas nécessairement pratiquant).Ca fait plusieurs auteurs et personnalités publiques qui convergent vers la meme conclusion.La France va tres mal(trop) et si rien n'est fait,elle risque l'autodestruction.Si nous ajoutons a cela les prophéties sérieuses qui annoncent une guerre civile majeure dans la pays de st Louis,ca commence a faire du monde(il est fort possible qu'un grand nombre de francais pensent la meme chose).
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Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: La France se dirige vers sa mort selon Francois Billot
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