Le patriarche de Géorgie Élie II : « J’ai dit ce que je devais dire, et si je m’étais tu, cela eût été étonnant »
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Le patriarche de Géorgie Élie II : « J’ai dit ce que je devais dire, et si je m’étais tu, cela eût été étonnant »
Le patriarche de Géorgie Élie II : « J’ai dit ce que je devais dire, et si je m’étais tu, cela eût été étonnant »
on 1 April 2016
Dans sa prédication après l’office en la cathédrale de Svétitskhovéli, à Mtskheta, l’ancienne capitale de la Géorgie, le patriarche Élie II s’est exprimé sur la loi anti-discrimination adoptée en Géorgie en 2014, et les « mariages » de même sexe, répondant ainsi aux accusations à son endroit formulées par la « Commission européenne contre le racisme et l’intolérance » (ECRI). Il a déclaré notamment : « Aujourd’hui, nous devons encore penser et plus approfondir ces problèmes et questions qui se posent à notre pays et à notre Église. Aujourd’hui, l’homme considère comme des phénomènes naturels ce qui sont des péchés. Il est étonnant qu’aujourd’hui, certaines personnes veulent légaliser un péché tel que les « mariages » de même sexe. C’est un péché si grand que l’on ne doit même pas en parler dans une église. Il ne faut même pas prononcer le nom de ce grand péché. Dieu merci, notre peuple ressent cela et ne soutient pas cela. Le processus de globalisation qui se produit dans le monde entier est inévitable et nous ne pouvons l’arrêter. Cependant, nous ne devons choisir, dans ce processus, que ce qui est utile à l’âme et nécessaire pour notre peuple. Ces choses qui sont opposées à l’Orthodoxie, le peuple géorgien ne pourra jamais les accepter. Et il ne les acceptera pas », a déclaré le patriarche Élie. « Je voudrais dire quelques mots au sujet de la loi anti-discrimination. La Géorgie est un pays qui n’a jamais opprimé personne. La Géorgie est un pays où chacun s’est toujours senti libre, mais il y a des choses que l’on ne peut permettre. Comment légaliser l’iniquité ? Cela est un grand péché. C’est précisément ce dont j’ai parlé précédemment. J’ai dit ce que je devais dire, et si je m’étais tu, cela eût été étonnant. Je me dois de parler de cela. Aucun croyant ne peut accepter la loi soi-disant anti-discrimination. Je veux dire également que le temps passera et nous nous demanderons comment nous avons pu permettre cela et adopter une telle loi ».
on 1 April 2016
Dans sa prédication après l’office en la cathédrale de Svétitskhovéli, à Mtskheta, l’ancienne capitale de la Géorgie, le patriarche Élie II s’est exprimé sur la loi anti-discrimination adoptée en Géorgie en 2014, et les « mariages » de même sexe, répondant ainsi aux accusations à son endroit formulées par la « Commission européenne contre le racisme et l’intolérance » (ECRI). Il a déclaré notamment : « Aujourd’hui, nous devons encore penser et plus approfondir ces problèmes et questions qui se posent à notre pays et à notre Église. Aujourd’hui, l’homme considère comme des phénomènes naturels ce qui sont des péchés. Il est étonnant qu’aujourd’hui, certaines personnes veulent légaliser un péché tel que les « mariages » de même sexe. C’est un péché si grand que l’on ne doit même pas en parler dans une église. Il ne faut même pas prononcer le nom de ce grand péché. Dieu merci, notre peuple ressent cela et ne soutient pas cela. Le processus de globalisation qui se produit dans le monde entier est inévitable et nous ne pouvons l’arrêter. Cependant, nous ne devons choisir, dans ce processus, que ce qui est utile à l’âme et nécessaire pour notre peuple. Ces choses qui sont opposées à l’Orthodoxie, le peuple géorgien ne pourra jamais les accepter. Et il ne les acceptera pas », a déclaré le patriarche Élie. « Je voudrais dire quelques mots au sujet de la loi anti-discrimination. La Géorgie est un pays qui n’a jamais opprimé personne. La Géorgie est un pays où chacun s’est toujours senti libre, mais il y a des choses que l’on ne peut permettre. Comment légaliser l’iniquité ? Cela est un grand péché. C’est précisément ce dont j’ai parlé précédemment. J’ai dit ce que je devais dire, et si je m’étais tu, cela eût été étonnant. Je me dois de parler de cela. Aucun croyant ne peut accepter la loi soi-disant anti-discrimination. Je veux dire également que le temps passera et nous nous demanderons comment nous avons pu permettre cela et adopter une telle loi ».
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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