USA: Hillary Clinton candidate préférée des Mondialistes
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USA: Hillary Clinton candidate préférée des Mondialistes
USA: Hillary Clinton candidate préférée des mondialistes
25 juillet 2016 par Joslain Evelyne
Il y a encore des gens qui croient au mensonge médiatique de rigueur sur Hillary, « brillante » avocate qui se serait faite toute seule, pasionaria des minorités, ministre qui aurait réalisé de grandes choses…
Les médias ont ainsi réussi à étouffer ce que nous savions depuis 1998 pour avoir lu la regrettée Barbara Olson d’abord, puis bien d’autres auteurs, jusqu’à, dernièrement, le précieux « Hillary’s Cash » de Peter Schweizer, seul livre défavorable à Hillary à avoir été traduit en France…
Hillary Clinton traine 40 ans de scandales, petits, moyens et très gros derrière elle.
Hillary en a fait une carrière, commencée dès 1974 avec son renvoi du Comité d’enquête sur le Watergate par son supérieur, le démocrate Jerry Zeifman, pour « mensonges, conduite non-éthique indigne d’une avocate et violations aux règles de confidentialité du comité ».
Malgré ses personnalités successives, Hillary n’a pas changé. On recense ses scandales propres comme Première Dame de l’Arkansas, puis des États-Unis, et tous ceux qu’elle partage avec Bill Clinton, durant sa présidence et depuis.
De 2000 à 2008, elle se refait une virginité politique en adoptant un profil bas au Sénat fédéral, où elle a pratiquement été « nommée » plutôt qu’élue, grâce aux relations de Bill, et dans sa maison de Chappaqua achetée tout exprès pour pouvoir se présenter à New York.
Le sénat n’est qu’un tremplin pour briguer la présidence en 2008.
Le parti démocrate lui ayant préféré Barack Hussein Obama, elle compense, dans l’Administration d’Obama de 2008 à 2012, en retournant à ses vieilles habitudes.
Comme il va de soi, pour elle et pour le monde entier, que ce sera son tour en 2016, elle utilise son poste de ministre des Affaires étrangères pour encaisser des dizaines de millions de dollars, en échange de faveurs présidentielles futures qu’elle accordera aux Saoudiens (20 % de son argent de campagne) et à ces « grands amis des femmes, des gays et des immigrés» (son électorat) que sont les autres pays arabes qui financent, eux aussi, les réseaux terroristes en Occident (Petra News Agency) en même temps que les « démocrates » américains.
Hillary ne vend pas son influence qu’aux gouvernements étrangers : elle fait aussi, presqu’aussi bien que Bill, des « discours » aux banques, aux grosses sociétés et aux lobbies. Discours tenus secrets, mais sûrement transcendants, puisque le couple a ainsi accumulé 153 millions de dollars pour la Fondation Clinton – qui ne donne que 10 % de ses « revenus » aux œuvres caritatives.
Pire que les tares fondamentales de caractère, la cupidité et l’hypocrisie, il y a les faits incontournables.
Avec Obama, Hillary est responsable du chaos au Moyen-Orient, de l’État islamique, de la débâcle sanglante de Benghazi en 2012, et des mensonges bâtis pour travestir la sinistre vérité en atout électoral le tout aggravé par les 33 000 courriels, dont 8 classés top secret, qu’elle a effacés.
N’importe quel fonctionnaire, pour un centième de cela, serait arrêté, jugé et dûment sanctionné.
Que le directeur du FBI, à la 8e enquête, aboutisse à la conclusion qu’il n’y a « pas matière à poursuites » est révoltant et soulève bien des questions sur les motivations des élites à défendre l’indéfendable.
Pour le syndicat du crime qu’est la gauche au pouvoir, les Clinton sont « too big to jail » (trop gros pour êtres enfermés) !
source: les 4 vérités
Hillary Clinton : il faut changer les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement et aux « droits reproductifs »
27 avril 2015
La prétendante à la candidature démocrate aux prochaines élections américaines en 2016, Hillary Clinton, n’a pas craint de s’en prendre directement à la foi – et notamment à celle des catholiques américains – en affirmant lors d’une conférence à New York qu’il « faut changer » les « croyances religieuses » qui condamnent les « droits reproductifs », des mots qui renvoient dans le vocabulaire de leurs promoteurs à l’avortement et à la contraception. Il s’agit bien de redéfinir les dogmes traditionnels.
Hillary Clinton s’exprimait lors du sommet de l’ONG féministe Women in the World, jeudi dernier. « Oui, nous avons divisé le taux de mortalité maternelle par deux, mais bien trop de femmes se voient refuser l’accès – essentiel – à la santé reproductive », a-t-elle déclaré. Il y a un an, le président de la National Organization for Women américaine, Terry O’Neill, publiait une tribune dans le même sens, qualifiant l’avortement de « mesure essentielle pour prévenir le crève-cœur de la mortalité infantile » (sic).
Hillary Clinton veut changer les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement par la contrainte
C’est par la contrainte que Hillary Clinton veut voir les gouvernements agir en vue de redéfinir les dogmes religieux traditionnels, sous couvert de promouvoir une politique féministe : « C’est le grand chantier inachevé du XXIe siècle », dit-elle. Venant de la part d’une candidate à la présidence des Etats-Unis, ce n’est pas une déclaration à prendre à la légère.
« Les droits doivent exister dans la pratique, et pas seulement sur le papier. Les lois doivent être soutenues par des ressources et par une volonté politique. Il fait changer les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les préjugés structurels », a-t-elle déclaré, sous les applaudissements enthousiastes.
Pour mieux marquer sa détermination, Hillary Clinton a dénoncé l’objection de conscience à l’égard de l’Obamacare qui rembourse la contraception, du financement du Planning familial et des politiques faites au nom des homosexuels et des « transgenres » : ce sont des obstacles que le gouvernement doit faire tomber, selon la candidate à la présidence. Elle a notamment dénoncé le jugement de la Cour suprême obtenu par la société Hobby Lobby lui permettant de ne pas financer la contraception pour ses employées : c’est aux femmes de choisir si elles veulent utiliser des pilules abortives et contraceptives, si elles veulent se faire stériliser, et les employeurs ne doivent pas obtenir le droit de ne pas financer ces choix, a-t-elle précisé.
Les « droits reproductifs », moteur de la lutte dialectique contre les dogmes religieux traditionnels
Hillary Clinton s’exprime en tant que candidate de gauche, mais son discours n’est ni original, ni non-conformiste par les temps qui courent : le Fonds des Nations unies pour la population, FNUAP, affirmait dans son rapport 2012 que les objections religieuses contre la pilule du lendemain et la stérilisation doivent être vaincues, rappelle LifeSiteNews. En 2014, le Comité de l’ONU pour les droits de l’enfant affirmait que l’Eglise catholique devait changer le droit canon en ce qui concerne l’avortement pour « identifier les circonstances » où celui-ci est « acceptable ».
Avec un programme aussi ouvertement anticatholique, Hillary Clinton montre que les promoteurs de la culture de mort et du démantèlement de la loi naturelle ne se cachent plus. Derrière la promotion de l’avortement, il y a une volonté de détruire la religion, et spécialement la seule religion qui reste fidèle au respect intégral de la morale naturelle.
Anne Dolhein
Réinfo TV
25 juillet 2016 par Joslain Evelyne
Il y a encore des gens qui croient au mensonge médiatique de rigueur sur Hillary, « brillante » avocate qui se serait faite toute seule, pasionaria des minorités, ministre qui aurait réalisé de grandes choses…
Les médias ont ainsi réussi à étouffer ce que nous savions depuis 1998 pour avoir lu la regrettée Barbara Olson d’abord, puis bien d’autres auteurs, jusqu’à, dernièrement, le précieux « Hillary’s Cash » de Peter Schweizer, seul livre défavorable à Hillary à avoir été traduit en France…
Hillary Clinton traine 40 ans de scandales, petits, moyens et très gros derrière elle.
Hillary en a fait une carrière, commencée dès 1974 avec son renvoi du Comité d’enquête sur le Watergate par son supérieur, le démocrate Jerry Zeifman, pour « mensonges, conduite non-éthique indigne d’une avocate et violations aux règles de confidentialité du comité ».
Malgré ses personnalités successives, Hillary n’a pas changé. On recense ses scandales propres comme Première Dame de l’Arkansas, puis des États-Unis, et tous ceux qu’elle partage avec Bill Clinton, durant sa présidence et depuis.
De 2000 à 2008, elle se refait une virginité politique en adoptant un profil bas au Sénat fédéral, où elle a pratiquement été « nommée » plutôt qu’élue, grâce aux relations de Bill, et dans sa maison de Chappaqua achetée tout exprès pour pouvoir se présenter à New York.
Le sénat n’est qu’un tremplin pour briguer la présidence en 2008.
Le parti démocrate lui ayant préféré Barack Hussein Obama, elle compense, dans l’Administration d’Obama de 2008 à 2012, en retournant à ses vieilles habitudes.
Comme il va de soi, pour elle et pour le monde entier, que ce sera son tour en 2016, elle utilise son poste de ministre des Affaires étrangères pour encaisser des dizaines de millions de dollars, en échange de faveurs présidentielles futures qu’elle accordera aux Saoudiens (20 % de son argent de campagne) et à ces « grands amis des femmes, des gays et des immigrés» (son électorat) que sont les autres pays arabes qui financent, eux aussi, les réseaux terroristes en Occident (Petra News Agency) en même temps que les « démocrates » américains.
Hillary ne vend pas son influence qu’aux gouvernements étrangers : elle fait aussi, presqu’aussi bien que Bill, des « discours » aux banques, aux grosses sociétés et aux lobbies. Discours tenus secrets, mais sûrement transcendants, puisque le couple a ainsi accumulé 153 millions de dollars pour la Fondation Clinton – qui ne donne que 10 % de ses « revenus » aux œuvres caritatives.
Pire que les tares fondamentales de caractère, la cupidité et l’hypocrisie, il y a les faits incontournables.
Avec Obama, Hillary est responsable du chaos au Moyen-Orient, de l’État islamique, de la débâcle sanglante de Benghazi en 2012, et des mensonges bâtis pour travestir la sinistre vérité en atout électoral le tout aggravé par les 33 000 courriels, dont 8 classés top secret, qu’elle a effacés.
N’importe quel fonctionnaire, pour un centième de cela, serait arrêté, jugé et dûment sanctionné.
Que le directeur du FBI, à la 8e enquête, aboutisse à la conclusion qu’il n’y a « pas matière à poursuites » est révoltant et soulève bien des questions sur les motivations des élites à défendre l’indéfendable.
Pour le syndicat du crime qu’est la gauche au pouvoir, les Clinton sont « too big to jail » (trop gros pour êtres enfermés) !
source: les 4 vérités
Hillary Clinton : il faut changer les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement et aux « droits reproductifs »
27 avril 2015
La prétendante à la candidature démocrate aux prochaines élections américaines en 2016, Hillary Clinton, n’a pas craint de s’en prendre directement à la foi – et notamment à celle des catholiques américains – en affirmant lors d’une conférence à New York qu’il « faut changer » les « croyances religieuses » qui condamnent les « droits reproductifs », des mots qui renvoient dans le vocabulaire de leurs promoteurs à l’avortement et à la contraception. Il s’agit bien de redéfinir les dogmes traditionnels.
Hillary Clinton s’exprimait lors du sommet de l’ONG féministe Women in the World, jeudi dernier. « Oui, nous avons divisé le taux de mortalité maternelle par deux, mais bien trop de femmes se voient refuser l’accès – essentiel – à la santé reproductive », a-t-elle déclaré. Il y a un an, le président de la National Organization for Women américaine, Terry O’Neill, publiait une tribune dans le même sens, qualifiant l’avortement de « mesure essentielle pour prévenir le crève-cœur de la mortalité infantile » (sic).
Hillary Clinton veut changer les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement par la contrainte
C’est par la contrainte que Hillary Clinton veut voir les gouvernements agir en vue de redéfinir les dogmes religieux traditionnels, sous couvert de promouvoir une politique féministe : « C’est le grand chantier inachevé du XXIe siècle », dit-elle. Venant de la part d’une candidate à la présidence des Etats-Unis, ce n’est pas une déclaration à prendre à la légère.
« Les droits doivent exister dans la pratique, et pas seulement sur le papier. Les lois doivent être soutenues par des ressources et par une volonté politique. Il fait changer les codes culturels profondément enracinés, les croyances religieuses et les préjugés structurels », a-t-elle déclaré, sous les applaudissements enthousiastes.
Pour mieux marquer sa détermination, Hillary Clinton a dénoncé l’objection de conscience à l’égard de l’Obamacare qui rembourse la contraception, du financement du Planning familial et des politiques faites au nom des homosexuels et des « transgenres » : ce sont des obstacles que le gouvernement doit faire tomber, selon la candidate à la présidence. Elle a notamment dénoncé le jugement de la Cour suprême obtenu par la société Hobby Lobby lui permettant de ne pas financer la contraception pour ses employées : c’est aux femmes de choisir si elles veulent utiliser des pilules abortives et contraceptives, si elles veulent se faire stériliser, et les employeurs ne doivent pas obtenir le droit de ne pas financer ces choix, a-t-elle précisé.
Les « droits reproductifs », moteur de la lutte dialectique contre les dogmes religieux traditionnels
Hillary Clinton s’exprime en tant que candidate de gauche, mais son discours n’est ni original, ni non-conformiste par les temps qui courent : le Fonds des Nations unies pour la population, FNUAP, affirmait dans son rapport 2012 que les objections religieuses contre la pilule du lendemain et la stérilisation doivent être vaincues, rappelle LifeSiteNews. En 2014, le Comité de l’ONU pour les droits de l’enfant affirmait que l’Eglise catholique devait changer le droit canon en ce qui concerne l’avortement pour « identifier les circonstances » où celui-ci est « acceptable ».
Avec un programme aussi ouvertement anticatholique, Hillary Clinton montre que les promoteurs de la culture de mort et du démantèlement de la loi naturelle ne se cachent plus. Derrière la promotion de l’avortement, il y a une volonté de détruire la religion, et spécialement la seule religion qui reste fidèle au respect intégral de la morale naturelle.
Anne Dolhein
Réinfo TV
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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