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ROYALISME ET RATTACHISME

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Message par Hervé J. VOLTO Sam 27 Oct 2018 - 14:26

ROYALISME ET RATTACHISME



Rémi m'a demendé un article sur le Rattachisme.

Le ROYALISME EN FRANCE est avant tout UNE ATTITUDE CULTURELLE CATHOLIQUE : celle de la Tradition. En politique, il participe du PRINCIPE DE'XPENSION-EVANGELISATION dont Léon XIII reprendra l’idée: tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme islamisant! C’est aussi UN NATIONALISME FRANCAIS ET CHRETIEN : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le salut de la société Française déstabilisée par les idées révolutionnaires. C’est enfin, face à la masse, L'AFFIRMATION DE LA PERSONNE, VOULUE CHRETIENNE.

-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français; je dirai même que JE SUIS ROYALISTE PARCE QUE JE SUIS CATHOLIQUE ET FRANCAIS (Maurice d'Andigné) !

Si notre Royalisme inspire en France le Légitimisme, qui part du principe que LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMANANT DE DIEU, dit PRINCIPE ROYAL, et ces Néo-Légitimismes que sont le Survivantisme, le parmisme et le Providentialisme, notre Royalisme Français inspire à l'étranger le carlisme espagnol, latino-américain et parmensan, le Néo-Bourbonisme napolitain, le Miguélisme portugais et brésilien, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme des Pays de Visegarde (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque, Pologne), le Hiérosolymitisme de Terre Sainte et des pays de l'ex-Empire Latin de Constantinople et le Rattachisme wallon, québéquois, Valdostin,. et andorain.

LE RATTACHISME ou Réunionisme est un courant irrédentiste au sein du Mouvement Wallon prônant la réunion de la Wallonnie à la France. Il existe une mouvement similaire au Québec : la célèbre phrase du Général De Gaulle " Vive le québec libre ! " , dite en 1967, est devenue la devise du mouvement Rattachiste Québéquois. Il existe également un mouvement rattachiste au sein du Canton suisse du Jura et de la région italienne du Val d'Aoste, mais il ne sont pas virullants comme en Belgique ou au Canada. Enfin, au sein de la Principauté d'Andorre, dont le chef d'Etat Français est Co-Prince, il existe un petit mouvement de Royalistes Providentialistes attendant le retour du Roi...

Lorsque l'on vit à l'étranger, on s'apperçoit que la France, même si elle n'est pas une super-puissance du niveau des Etats-Unis ou de la Russie, demeure cependant très influente et très admirée. Les élans de solidarité après les tragédies de Charlie Hebdo et du Bataclan en sont la démonstration. Certains peuples, anciennement Français et devenus indépendants ou sous la domination d'un Etat étranger, voudraient redevenir Français : C'EST LA L'ESSENCE DU RATTACHISME. A l'époque des Croisades, on appellait FRANCS tous les peuples se rendant aux Croisades : Français, Inpériaux, Espagnols, anglo-saxons ENCORE CATHOLIQUES A L'EPOQUE. LA FRANCE, FILLLE AINEE DE L'EGLISE, était devenue sous les Rois Capétiens, EDUCATRICE DES PEUPLES : si on doit aux Capétiens directs la construction des cathédrales et le premier code civil Chrétien -le fameux code Saint Louis- on doit aux capétiens valois le Protecatorat Franòais sur les Leiux saints (abandonné seulement en 1926) et aux Bourbons, l'organisations des Misssions, ces edrnieres PARTICIPANT DE LA POLITIQUE RELIGIEUSE DU ROI DE FRANCE...

On comprendra que certains peuples anciennement Français désirassent le redevenir. D'où les mouvements rattachistes. mais commençons par le commencement...

A la mort dans les années 90 de Rolland Bugulin, Président du Rassemblement Jurassien, fondateur et premier Président du Canton du Jura (26°), n'a pas mis fin au rève des jurassiens suisses arrachés de force à la France en 1814 de rejoindre la mère Patrie. Les derniers résultats électoraux di Bloc Québéquois reportent 70 % des sièges dans la belle province du québec et parviennent même à constituer au niveau fédéral, la première force d'opposition parlementaire. Les Québéquois et les Wallons sont vibrant de la Francité qui se vivifie quand elle affronte dos au mur l'arrogance germanique des Bernois qui étoufe les belges Francophones tout comme l'impérialisme anglo-saxon dont le Quèbec souffre depuis plus de siècles.

L'oppullance suisse n'autorise la plupart du temps qu'une affirmation linguistique et sentimentale à l'appartenance Jurassienne Suisse à la communauté des pauples Français. ELLE EN OUBLIE L'ASPECT CATHOLIQUE. Le cas valsotin est divers, le Val d'Aoste n'étant devenu Français que sous Napoléon I°, qui a porté l'ordre et le Code Civil dans cette région un peu abandonnée à elle-même après la chute de l'Empire au dire de ses habitants qui portent des noms de famille Français, et des intérets économiques entrent en jeux, tout comme Andorre où le Président le République est Co-Prince avec l'Evêque d'Urgel, mais qui menace périodiquement d'abandonner sa charge, au grand dam des Andorains qui détestent les espagnols. L'irrédentisme est par contre beaucoups plus résolu au Québec et en Wallonnie où l'expression politique de la volonté de retour à la France existe à travers le mouvement rattachiste, très actif en Belgique.

1. E RATTACHISME WALLON.

Après les grandes invasions du IV° siècle, la Belgique devient le cœur du premier Royaume Franc, dont la capitale est Tournais sous Childéric I°. Vers 496, Clovis (466-511), Roi des Francs, reçoit le Baptême à Reims, et abandonne Tournai pour Paris. Lorsque Mamdame Sainte-Marie envoie l'archange Saint-Michel porter par l'intremédiaire d'un hermite à la Reine Sainte-Clotide l'Ecu fleurdelysé devant représenter les Armes de France, Elle fait dire au Roi Clovis qu'il lui est donné comme royaume une terre ayant pour frontières le Rhin, les Alpes, la Méditérannée, les Pyrénnées, l'Altlantique et la Manche : CELA CORRESPOND A LA FRANCE ACTUELLE ET AU BENELUX. La Christianisation massive de Royaume débute en 630, avec le soutien des moines. Sous l'impulsion de l'empereur Charlemagne, qui agrandit son Empire, la vallée de la Meuse devient le centre politique et économique deu SAINT EMPIRE ROMAIN ET FRANC des Carolingiens. Charlemagne déplacera son palais de Paris à Aix-la-Chapelle (796) pour le centraliser dans ses territoires.

Depuis le baptême de Clovis en l’An 496, le Roi de France a pour mission de DEFENDRE LE BIEN COMMUN ET LA FOI CATHOLIQUE. Le Royaume de France est un Royaume Très Chrétien. Il accompli LA GESTE DE DIEU PAR LES FRANCS. Avec Charlemagne, c’est tout l’Empire Romain reconstitué qui se doit d’être Très Chrétien : on le nomme pour cela SAINT-EMPIRE. Le but du Saint-Empire est ainsi l’extension de la Chrétienté : tel est le noyau de l’ORDINATIO IMPERII, constitution du Saint-Empire formée A PARTIR DES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE.

LE SAINT-EMPIRE CAROLINGIEN est UNE EXTENSION DU SIANT-ROYAUME DE FRANCE et de sa vocation Catholique.

Dans le Capitulare Aquense, il est dit :

–Que chacun veuille se conserver dans le service de Dieu. Le seigneur Empereur est établi pour être, après Dieu et les Saints, leur gardien et leur défenseur.

Après son élévation à la dignité Impériale, Charlemagne se fit prêter par ses sujets un nouveau serment et il le motiva ainsi :

–Primum et anusquisque et personna propria se in sancto Dei seruitio secundum Dei præceptum et secundum sponsionem suam plentter conservare studeat. Afin que, tout d’abord, chacun, de sa propre personne, s’applique à se maintenir pleinement dans le Saint service de Dieu.

Lui-même prêcha d’exemple en redoublant de zèle et d’activité pour le bien public envisagé Chrétiennement. Ainsi, depuis Saint-Denis puis Aix-la-Chapelle, l’Empereur à la barbe fleurie a l’habitude de gouverner avec l’Aide et le Conseil de 12 Preux (du bas-latin prodis signifiant « utile ») : six Preux Ecclésiastiques et 6 Preux Laïcs. Les premiers sont les Archevêques de Reims, Noyon, Lyon, Cologne, Trèves et Mayence, et les seconds sont les « neveux » de Charlemagne, à savoir, Roland de Ronceveaux, Olivier le Sage, Ogier le Danois, Huon de Toulouse, Guillaume Courtenez, Didier de Bordeaux.

À Charlemagne succédera son fils LOUIS LE PIEUX. Son règne sera marqué d'abord par la coninuation de laPOLITIQUE TRES CHRETIENNE de son père puis à partir de 829 par les querelles entre le souverain et ses fils, Lothaire, Pépin, Louis le Germanique et Charle Chauve. Louis le Pieux meurt en 840 et les luttes entre ses trois fils survivants reprendront de plus belle. Pépin y laissera la vie.

En aout 843 est enfin conclu le Traité de Verdun, qui divise l'Empire entre les trois petits-fils restant de Charlemagne. Le Royaume Franc de Lothaire, qui s'étend de la Méditerranée, par l'Italie, la Provence, la Bourgogne, l'Alsace, jusqu'à la Mer du Nord, est borné à l'ouest par l'Escaut et à l'est par le Rhin. L'ACTUELLE BELGIQUE, LES PAYS-BAS ET LE LUXEMBOURG Y SONT INCLUES. Les terres à l'ouest de l'Escaut (le futur Marquisat de Flandre) revient à Charles le Chauve, premier Roi de La Francie Occidebntale, qui deviendra la France. Louis le Germanique est quand à lui Roi de la Francie Orientale ou Franconnie, avant de devenir Germanie.

Lothaire mourut le 29 Septembre 855 ; il avait divisé son Royaume entre ses trois fils. Quand le dernier Roi de Lotharingie mourut le 8 août 869, Charles et Louis, ses deux oncles, se disputent ses États. Tout le Royaume de Lothaire II et, par conséquent la Belgique du Rhin à l'Escaut, se trouvera rattaché à la Francia Orientalis. Le Traité de Ribemont (février 880) confirma les arrangements de l'année précédent. A partir d'ici, la Belgique, qui de 496 à 855, était Française deviendra un des provinces du Saint Empire Romain Germanique.

Les Rois Capétiens n'auront de cese de reconquérir les terres Franques de la Lotharingie. À partir de la fin du XIII° siècle, plusieurs batailles ont lieu entre le Roi de France et les communes de Flandre, les Comtes étant tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Jusqu'en 1795, le territoire actuel de la Belgique sera principalement divisé en deux pays distincts : les Pays-Bas du Sud et la Principauté de Liège. À l'issue de la Guerre de Cent Ans, les territoires (à l'exception de la Principauté de Liège) et les Pays-Bas actuels (dont les limites remontent au XIX° siècle) sont aux mains des Duc de Bourgogne, Princes Français vassaux des Rois de France dont ils sont les cousins, la Maison de Bourgogne étant une brache cadette de la Maison Royale de France. Sous ceux-ci, Philippe le Bon puis son fils Charles le Téméraire, la Belgique connaît une expansion économique dont profitent les villes et, notamment Bruxelles, qui accueille le pouvoir dans le palais des anciens Ducs de Brabant. La Blegique redevient Française.

Mais la politique ambitieuse de Charles le Téméraire qui veut relier ses possessions de Bourgogne à celle des Pays-Bas entraîne un conflit avec la France de Louis XI. À la mort du Téméraire au combat, en 1477, les Pays-bas Bourguignons -la Flandre, l'Artois, le Brabant, le Limbourg, le Hainaut, le Namurois, la Hollande, la Zélande et les autres territoires néerlandais, et enfin la Bourgogne et la Franche Comté- échoient aux Habsbourg. La Belgique devient partie des Pays-Bas Espagnols. Au cours du XVII° siècle, les guerres opposant la France à l'Espagne aux Provinces Unis dessinent à peuprès les frontières actuelles entre France et Belgique. À la suite d'opérations militaires comme la Bataille de la Peene à Noordpeene en 1677, le Traité de Nimègue en 1678 vient entériner notamment le rattachement à la France des Pays-Bas Espagnols. Lors de ce même traité, la couronne d'Espagne passe aux Capétiens, avec Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV. Mai Louis XV perdra ces conquètes. Si la Belgique cesse officellement d'être Française, il n'en reste pas moins que les Wallons sont descendants de Français restés emprisonné en Belgique.

Les Pays-Bas du Sud, à ce moment tenus par des garnisons de mercenaires hollandais, passent des Habsbourg d'Espagne aux Habsbourg d'Autriche et deviennent les Pays-Bas autrichiens ou Belgique. Ce sentiment d'appartenir à un État-Nation distinct des Pays Bas dit hollandais conduira notamment à l'émergence d'un nationalisme Belge. Le bémol : lors de la séprartion entre Pays-Bas du Sud, ou Belgique, et Pays-Bas du Nord, ou pays Hollando-Néérlandais, certains Flamands, qui sont hollandais et protestants, furent aggrégés AUX WALLON, D'ORIGINE FRANCAISE ET CATHOLIQUE.

La Révolution liégeoise (en Wallon Revolucion lidjwesse ou Binamêye revolucion) est la période qui va de 1789 à 1795, et qui entraînera la disparition de la Principauté de Liège après huit siècles d'existence. Les contradictions contenues dans les réformes provoquent un double courant de protestations, l'un conservateur, attaché aux coutumes et traditions Franco-Catholiques dans leur ensemble, l'autre libéral favorable aux principes protestantisants du siècle des lumières, mais hostile au despotisme Autro-Catholique autant qu'aux principes Contreévolutinnaires Franco-Français. Le premier courant a pour chef de file l'avocat Henri van der Noot, le deuxième est groupé derrière l'avocat Lambertus Christoffel Vonk. La rupture entre Wallon et Flamands se consomme dès lors.

Mai tout commence en 1792, quand les anciens Pays-bas autrichiens et la Principauté de Liège, antiques terres Fançaises de l'époque Mérovigiennes et Caroligiennes (d'avant le patage de Verdun de l'An 815), sont réunis à la France. C'est la première occupation Française durant laquelle un plébicite au suffrage universel est organisé au terme duquel la population est réputée avoir voté en faveur de la réunion du pays, y compris du Pays de Liège, à la France. Au début de 1793, les autorités Françaises décident de réunir le Comté du Hainaut et le Tounaisis en un nouveau déparetment Français : le Département de Jemmapes.

En 1814-1815, alors que le Congrès de Viennes discute du sort de la Belgique, le « parti Français » se fait entendre. En vain : les grandes puissances conservatrices décideront de rassembler la Belgique et la Hollande dans le Royaume des Pays-Bas. Au moment de la Révolution Belge (1830), les partisans du rattachement à la France se feront à nouveau entendre. Ce courant étant largement minoritaire et principalement le fait de la bourgeoisie marchande et industrielle des régions économiquement tournées vers la France, Verviers, Liège et le Hainaut, les Wallons sont incorporés de force dans le nouvel Etat Belge.

Rapidement, le torchon brule entre les Wallons MAJORITAIREMENT CATHOLIQUES, intelligents, travailleurs et organisés et les Flamands ruraux, majoritairement protestants, superstitieux et puritains. Celà dure encore aujourd'hui. Ce que nous apellons en France les "Histoires Belges" sont en fait les histoires que racontent les Wallons sur les Flamands. Au début de 1831, quatre journaux défendent des positions réunionistes : Le Jourbnal de Verviers (Verviers), Le Journal de la Province de Liège (Liège), L'Industrie (Liège) et L'Eclaireur (Mons). À Verviers, les réunionistes étaient majoritaires. En effet, l'industrie drapière de cette ville aurait grandement profité de l'accès au marché français. À Liège, ils se limitaient à une fraction de la bourgeoisie industrielle, qui comprenait également des patrons exploiteurs partisans des orangistes protestants. À Mons, le courant réunioniste était également minoritaire (une pétition en faveur de la réunion à la France ne recueillit que deux à trois cents signatures pour une population de 23 000 habitants), le mouvement ouvier ne comprenant pas que son intèret est de soutenir le Rattachisme. En Hainaut, les réunionistes étaient principalement des industriels et des commerçants, en particulier des patrons charbonniers. Le réunionisme aurait également reçu quelques sympathies au Luxembourg, aujourd'hui gouverné par des Princes d'origine Française.

La seconde solution de repli pour les rattachistes est de soutenir la candidature du Duc de Nemours, fils de Louis-Philippe I°, au trône de Belgique. Le Congrès national se rallie finalement à cette option et élit le 3 Févier 1831 le Duc de Nemours Roi des Belges. Mais Louis-Philippe, craignant une guerre européenne dans laquelle la France serait isolée, refuse la couronne pour son fils. Ce refus décevra fortement les Rattachistes. En juin 1831, ils tentent de prendre le pouvoir à Liège, mais échouent. L'avènement en juillet 1831de Léopold I°, qui épouse cependant la soeur du Duc de Nemour, ruine les espoirs d'un rapprochement avec la France. Le mouvement rattachiste va se cristalliser.

Si la Maison Royale de Belgique montre de grandes qualitès de gestion et arrive contre vents et marées à maintenri Wallons et Flammands unis, l'occupation allemande attisa la thèse réunioniste dans une minorité d'intellectuels. C'est ainsi que l'éditeur liégeois Georges Thone n'hésita pas, en pleine guerre, à se rendre auprès du gouvernement Laval de Vichy pour proposer à celui-ci un marchandage qui entérinait la perte définitive de l'Alsace et la Lorraine, mais avec la compensation de l'annexion de la Wallonie. En pleine guerre, le réunionisme ou rattachisme, dans cette perspective, était nettement d'extrême droite et même maurrasssienne. Il ne sortit rien de cette tentative qui n'avait aucun soutien avéré en France, trops attachèe à l'Alasace-Lorraine.

Mais le Rattachisme revient en force durant la question Royale lorsque le Congrès national Wallon des 20 et 21 Octobre1945 votera en faveur de la réunion de la Wallonie à la France : le maintient de la Wallonnie ausein de la fédération Blege sera fera de manière forcée! En 1999, en réaction au vote par le Parlment Flammand des cinq résolutions préconisant l’adoption d’un systèmer confédéral en Belgique, un nouveau parti militant pour la réunion de la Wallonie et de Bruxelles à la France est créé, le Rassemblement Wallonie France, dont la section bruxelloise se nomme le « Rassemblement Bruxelles-France » (RBF). Son président est Paul-henri Gendebien, un descendant d’Alexandre Gendebien.

Le Rattachisme propose une réunion progressive de la Wallonnie et de Bruxelles à la France, en gardant à ces régions leur identité FRANCO-CATHOLIQUE et leur territoire, visant soit à une intégration comme région Française classique, soit à une intégration avec des dispositions spéciales comme pour la Corse ou l'Alsace-Moselle, soit encore à une intégration avec un statut d'autonomie comme ce fut le cas pour les Territoires d'Outre-Mer avant 2003.

Le Rattachisme Wallon plonge donc ses racines dans le syndicalisme ouvrier et les émeutes meurtrières qui marquèrent le retour du Roi Léopold -promoteur de l'impérialisme germano-hollandais- et qui se rèpète depuis la mort du Saint Roi Baudoint et la chute de Belgique dans des scandales politico-financiers et pédo-sexuels. la mauvaise plaisenterie de journalistes bleges en 2007 fut une nouvelle sonnette d'alarme et le trochon brulait tellement entre Wallons et Flamands que le Roi Albert eu la sagesse d'abdiquer en faveur de son fils Philippe, Catholique pratiquant comme son oncle. ON NE PEUT COMPRENDRE PLAINEMENT LA VOLONTE RATTACHISTE DES WALLONS SI L'ON NE COMPREND PAS LA VOLONTE DE CES DERNIERS DE DEMEURER CATHOLIQUES.

Des personnalités comme Jean-Luv Mélanchon, Michel Jobert, Jean-Pierre Chevènement, Jacques Myard, Nicolas Dupont-Aignan, Alexandre Adler, Marien Le Pen et Eric Zémour s'étaient exprimés sur le sujet, ne refusant pas la possibilité d'un tel rattachement à la France si les Flandres demandaient la fin de la Monarchie -ce qu'ils ont fait entretemps, sans l'obtenir à ce jour- et le détachement de la Wallonnie : selon un sondage IFOP réalisé auprès de 1 006 personnes, interrogées du 5 au 7 juin 2010, deux Français sur trois (66 %) sont pour le rattachement des provinces wallonnes à la France si les élections du dimanche 13 juin 2010 débouchaient sur l'éclatement de la Belgique et c'est pour éviter cet éclatement que le Roi Albert a laissé la place à son fils Philippe, dont l'épouse Mathilde est Flamande.

Selon Alain Peyrefitte, le Général De Gaulle avait des idées favorables au Rattachisme, tout en estimant que les Wallons devaient prendre l'initiative de la demande de rattachement :

-La Wallonie existe, mais il n'y a pas une nation wallonne, les Wallons n'ont jamais cherché à devenir un État. Ils demandent à être intégrés au sein de la République Française, dont ils ont déjà fait partie. C'est tout autre chose que, pour les Québéquois, de s'émanciper de la domination anglo-saxonne. Beaucoup de Wallons pensent qu'ils seraient mieux traités par la France que par la Flandre. C'est probable. Ils retrouveraient au sein de la France la fierté d'appartenir à une grande nation, la fierté de leur langue et de leur culture, le goût de participer aux grandes affaires du monde et de se battre pour de grandes causes humaines. Toutes choses qu'ils ont perdues dans leur association contre nature, imposée par les Anglais, avec les Flamands qui ne les aiment pas et qu'ils n'aiment pas. Pour les besoins de l'unité de la Belgique, on a raboté ce qu'ils avaient de différent. Ils en sont frustrés.

LE PRINCE SIXTE-HENRI DE BOURBON-PARME A MILITE UN TEMPS POUR LA REUNION DE LA WALLONNIE A LA FRANCE, APPUYANT SUR LE FAIT QUE LA REPUBLIQUE FRANCAISE, LAIQUE POUR NE PAS DIRE PRESQUE ATHEE, N'EST PAS PRESSE DE RATTACHER LA WALLONIE , ALORS QUE LA MONARCHIE CAPETIENNE, AYANT POUR VOCATION DE DEFENDRE LA FOI CATHOLIQUE, SERAIT PLUS A MEM DE RATTACHER DES PEUPLADES AUTAHYENTIQMENT CHRETIENNE A UNE FRANCE AYANT POUR VOCATION DE REDEVENIR LA FILLE AINEE DE L'AGLISE ET L'EDUCATRICE DES PEUPLES.
 
Ce n'est donc pas l'existance de la Monarchie Belge dont il serait véritablement question à propos d'un éventuel soutient Français à la Wallonnie, mais plutôt un naturel acquièsement Français à l'inévitable recentrage belge autour de fait Flamand majoritaire : la France n'a aucun intéret à dépecer une nation voisine et amie tant que le secesssionisme flamand n'entre pas en vigeur ! Que ce recentrage soit illustrée par le fait que la Reine Matilde est Flamande et que le furure Reine des Belges Elisabeth, a du Sang Flamand par sa mère, et que la Couronne Belge est aujourd'hui trops forte pour ne pas se maintenir l'union entre Wallon et Flamands et couvrir un jour la tête d'Elisabeth de Saxe-Cobourg-et-Gotha, de confession catholique, que nous saluons ici avec respect, ne change rien au principe.

Mais que les Flamands se le disent : si un jour, ils voudraient déclancher la révolution en Blegique et se séparer des Wallons, le rattachisme Wallon demeure UN PROJET SERIEUX.

2. LE RATTACHISME QUEBEQUOIS.

Le Canada réfère à l'origine à un peuplement Français situé sur le territoire de la ville actuelle de Québec et, en tant que colonnie Française, il constitura une des provinces de LA NOUVELLE FRANCE. La colonie est fondée le long des berges du fleuve Saint Laurent en 1534 lors de la découverte du Québec par Jacques Cartier -Il y plante une croix et prend possession de la terre au nom du roi de France, François I°- et du développement de relations diplomatiques avec les Amérindiens de la région, puis il faut attendre Tadoussac en 1600 pour y réussir le premier établissement d'un fort Français permanent, origine du village actuel du même nom à l'embouchure de la rivière Saguenay. Les colons Français qui peupleront le Canada proviennent principalement des anciennes provinces de France que sont à l'époque la Bretagne, la Normandie, le Poitou et la Saintonge, PEUPLADES HAUTEMENT IMPREGNEES D'UNE AUTENTIQUE FOI CATHOLIQUE, alors que quelques dignitaires arriveront directement d'Ile-de-France et de l'Orléannais.

ENTRE 1598 et 1665, Henri IV, Louis XIII et Louis XIV n'auront de cesse d'organiser le pueplement de la Belle Province et de protèger les Missiions en Nouvelle France.

La compétition pour les territoires, les bases navales, la fourure et la pêche devenant de plus en plus féroce, maintes guerres éclatent impliquant les Français du Canada, CATHOLIQUES, et les Anglo-Hollandais portestants des Etats-Unis. Ces guerres inter-coloniales SONT ESSENTIELLEMENT INTRE-RELIGIEUSES et se perpétreront environ au même moment que les quatre guerres franco-britanniques en Europe entre 1689 et 1763. Lorsque la Guerre de Sept Ans éclatera en 1756 entre la France et la Grande-Bretagne en Europe, la guerre fera donc déjà rage en Amérique. Pendant trois ans, la Nouvelle-France est dominée par un régime militaire anglo-protestant, puis à la suite de la victoire britannique à la Guerre de Sept Ans, la Grande-Bretagne s'approprie définitivement l'Acadie, le Canada et la partie orientale de la Louisiane (entre le Mississippi et les Appalaches) au Traité de Paris en 1763.

Pendant le règne de Louis XV, la formation de la France est achevée, Les Antilles, la Lorraine et la Corse sont réunies à la France. Mais il perd le Canada et l'Inde. Saint-Pierre et Miquelon sont les dernières iles Québéquoises appartenant encore à la France...

Après la conquête, l'autorité britannique veut prendre le contrôle total de la colonie et assimiler de force les colons Franco-Catholiques. La Proclamation Royale de Georges III d'Angleterre de 1763, qui forme la colonie britannique de la Province of Québec, met en place les conditions législatives et réglementaires pour atteindre ces objectifs. La Rebellion de Pontiac en 1763 obligera le gouvernement à avancer la proclamation, la frontière avec la réserve Indienne est dessinée dans l'urgence, et certains colons se retrouveront du jour au lendemain sur le territoire de la réserve.

De plus, le nouveau gouverneur Murray reçoit l’instruction de n’admettre aucune ingérence de l’Église de Rome dans la province. La raison est bien simple. Puisque les catholiques d’ici n’ont plus d’évêque (il est mort en 1760), on ne peut donc plus procéder à l’ordination de nouveaux prêtres. Cela signifie qu’avec le temps, le clergé Catholique s’éteindra de lui-même. Toujours sur le plan religieux, on avise le gouverneur qu’il devra exiger le Serment du Test à tous ceux qui voudraient obtenir une charge civile. Cela visait à exclure les Francophones en pratiquant, à leur endroit, une politique discriminatoire.

La rupture entre canadiens Franco-Catholiques du Québec et canadiens anglo-protestant du reste du Canada est totale. Ni l'Acte de Québec d'avril 1774, qui est une réponse à l'insurrection qui commence, ni la concession aux Canadiens-Français du Code Civil Français mais qui excluae les Catholiques des postes de député, de juge et de fonctionnaire, ni l'Acte constitutionnel de 1791, n'empècheront la Rebellions des Patriotes. Cette rébellion est réprimée violemment par l'armée britannique. Ce qui n'empèchera pas d'autre soulèvements au québec, soulèmvements qui porteront à l'Acte d'Union de 1840, qui ne règlera aucunement le problème. Il faudra attendre l'Acte de l'Amérique du Nord britannique de 1867, qui scinde le Canada en deux provinces où les anglophones et les Francophones sont majoritaires dans leur province respective (l'Ontarion et le Québec) pour que tout le monde trouve une certaine satisfaction dans cet arrangement. Dès lors, l'identité Québéquoise commence à être reconnue.

Le Mouvement Souverainiste du Québec est un mouvement politique dont l'objectif est de réaliser la souveraineté du Québec, province du Canada depuis 1867, en toutes matières auxquelles se rapporte toute disposition d'ordre public qui est applicable sur son territoire. Les Souverainistes, bientôt réunis au sein d'une Ligue des Droits du Français, proposent au peuple québécois de faire usage de son droit à l'autodétermination —principe qui comporte la possibilité de choisir entre l'intégration à un État tiers, l'association politique avec un autre État ou l'indépendance— afin qu'il se donne collectivement, par des moyens démocatriques, son premier État à cosntitution indépendante.

L'ACTION NATIONALE QUEBEQUOISE, dite ACTION NATIONALE tout court, est une revue d'ACTION FRANCAISE mensuelle québéquoise fondée en 1917 par les membres de la LIGUE DES DROITS DU FRANCAIS. L'Action Française est éditée à Montréal et elle paraît de 1917 à 1927 (vol. 1, no 1, janvier 1917 - vol. 18, no 6, décembre 1927). Le premier directeur de la revue est Omer Héroux, il sera suivi par le Chanoine Lionel Groulx auquel le nom de la revue restera attaché. Mrg Lionel Groulx qui est le théoricien : défense de la Catholicité dans un Canada à 70% protestant, de la langue Française, de la famille, de la ruralité, laissant à l'image de l'abbé Georges de nantes humblement le choix du roix à la Divine Providence. La ligue défend l'idée d'un État pour les Canadiens Français, protecteur contre les menaces de la modernité urbaine. Certains amis de Mrg Groulx auront des contacts personnels avec des dirigeants de l'Action Française et retindront de la pensée maurrasienne l'hostilité à la démocratie et au parlementarisme, la distinction entre pays légal et réel et les conceptions esthétiques (génie latin, classicisme Français). Suite à la condamnation de l'Action Française en 1926, le mouvement changera de nom et deviendra l'ACTION CANADIENNE FRANCAISE.

En janvier 1933, la revue change à nouveau de nom pour L'Action Nationale Québéquoise, qui deviendra l'Action Nationale. Esdras Minville, son nouveau directeur, entend poursuivre l'activité nationaliste de Mrg Groulx en faisant sienne sa devise : « Québec d'abord ! ». Depuis 1917, plus de 17 000 auteurs ont signé des articles pour L'Action Nationale. Ses pages ont accueilli les textes d'intellectuels québécois tels André Laurendeau, Pierre Vadeboncoeur, Pierre Elliott Trudeau -homme politique canadien, Premier Minisitre canadien à deux reprises : du 20 Avril 1968 au 3 Juin 1979, puis du 3 mars 1980 au 30 Juin 1984 (à ce titre, il bénéficie du titre honorifique de Très Honorable)- Marcel Rioux, Richard Arès et Fernand Dumont.

Depuis 1999, Robert Laplante est le directeur de la revue. La pensée maurrassienne a été adoptée par des groupes d'intellectuels canadiens sensibles à cette référence prestigieuse pour intervenir dans des débats culturels, identitaires et politiques. RAPPELLONS QUE CHARLES MAURRAS SE CONVERTIT A LA FOIN DE SA VIE ET QU'IL MOURRU EN ODEUR DE SAINTETE AU CARMEL DE LISIEUX où il écrivit de belles pharses sur la france et sur une Arche-Franco Catholique à remmttre à flot. Le prince Sixte-henri de Bourbon-parme et ses fidèles Parmistes possèdaient dans les annèes 90 une ASSOCIATION BOURBON-QUEBEC implanté dans la Belle Province.

Lorsque vous vous promenez dans la ville de Québec, chef lieu de la province du même nom, si vous tombez sur cette petite place agréable nommée COURT DU GENERAL MONTCALM, vous pouvez appercevoir une statue du général de Gaulle. Cette statut fut inaugurée à Québec en juillet 1997 à l’occasion du trentième anniversaire de son voyage au Québec. On peut lire sur son socle :

-Charles de Gaulle (1890-1970) Président de la République Française de 1958 à 1969 « On assiste ici à l’avènement d’un peuple qui dans tous les domaines veut disposer de lui-même et prendre en main ses destinées » . Charles de Gaulle, Québec, le 23 juillet 1967.

Les Québécois sont-ils Royalistes?

Sur le drapeau Québécois, adopté par décret par M. Duplessis en 1948, on trouve : une Croix Catholique blanche sur fond bleu, couleur Mariale préférée de l'Union Nationale Québéquoise; quatre fleurs de Lys Royales qui avaient disparues de France avec l'arrivée de la République et la sortie de la Royauté. CE DRAPEAU FLEURDELYSE A POUR BUT DE RAPPELLER QUE LE QUEBEC FUT UNE PROVINCE FRANCAISE, LA BELLE PROVINCE CHANTE PAR NOS POETES. La Société Saint-Jean-Baptiste avait suggéré la feuille d'érable comme symbole sur le drapeau Québéquois dès 1903, mais M. Duplessis a choisi un drapeau Chrétien de sa couleur préférée avec fleurs de Lys, représentant la vieille France CATHOLIQUE ET ROYALE disparue, celle qui avait perdu le Québec en 1763.

Redécouvrons les principes du nationalisme intégral : l’union de la langue et de la foi, le respect de la tradition, l’autonomie économique et politique, l’ordre latin et l’esprit français, la primauté du collectif sur l’individuel, et, surtout, le culte de l’histoire, de « notre maître le passé ». Une nation peut se relever de tout, sauf de la perte des principes et de la mémoire. Si nous ne pouvons restaurer présentement le Canada Français idéal dans la société, commençons par le restaurer en France, en nous-mêmes, comme Jules de Lantagnac, le héros du roman identitaire de Lionel Groulx, L’APPEL DE LA RACE (1922), rappellant que LA FRANCE, C'EST AVANT TOUT LA NATION DES FRANCS QUI A DIEU POUR FONDATEUR.

Les trois LYS DE LA FRANCE et les quatre LYS DU QUÉBEC : tout ce passe comme si le destin de la France et le destin du Québec devaient être étroitement reliés pour qu'en sorte LA GRANDE RÉVÉLATION du Grand Monarque, où l'on dit que le ROI caché HENRI V DE LA CROIX uarait des attaches et des fidèles. La Terre québécoise... ce n'est pas pour rien que le pape Jean-paul II l'avait dit aussi:

-VOUS ÊTES SUR UNE TERRE SACRÉE (Il avait aussi parlé de "SACERDOCE ROYAL").

Il y a une descendance Royale. Cette descendance de LA LIGNÉE DAVIDIQUE ininterrompue fut aussi celle de JÉSUS. Elle réapparaîtra dans un Prince Français et Catholique. Nostradamus nous assure qu'il prendra le début de SA MISSION chez les "Gaulois de l'Hespérie", soit ici même au Québec. Le Grand Prince, qui sera bientôt Grand Monarque, serait déjà parmi nous, tel u-LYS-se déguisé en mandiant, et il serait effectivement en contact avec des Royalistes Québécois :

-BLACK STINGRAY 1965, POUR ECHANGE SEULEMENT...

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et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Jésus fut annoncé par Jean-Baptiste qui est le patron des Québécois. Je crois alors que le Grand Monarque sera aussi annoncé par les fidèles de Jean-Baptiste, c'est à dire les Québécois. Les colons Français du Québec ont toujours vécu sous la Monarchie Française, où LE ROI était PAR LA GRACE DE DIEU ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE, DU SAINT SIEG LE BIENFAITEUR HEREDITAIRE, DE L'EGLISE DE ROME LE PROTECETEUR PERPETUEL, DE LA LIBERTE DES LEIUX SAINTS LE SOUVERAIN DEFENSEUR DU DROIT. Juste avant la révolution Française et l'instauration de la première république, les Québécois furent placé sous la protection de la Couronne anglaise, protestante. La république fut pour la France source de tout mal. Après la Révolution Française, les Monarchiste anglais qui ont fuit les États-unis ont décidé de conquérir le Canada des Français ou Québec, alors que ceux du Canada anglo-protestantleur on volé leur identité Franco-catholique et essayer de les assimiler. Alors les vrais Canadiens ont décidé de se forger une nouvelle identité, OU PLUTO RETOURVRE L'IDENTITE FRANCO-CATHOLIQUE DE LEURS ANCETRES, qui est celle des Québéquois. De plus, tous les historiens du Québec sont d'accord pour dire que C'EST GRACE A LA RELIGION QUE LES QUEBEQUOIS (Français d'autrefois) ONT PU PRESERVER LEUR LANGUE ET LEUR CULTURE.

Une prophétie dit qu le Grand Monarque se rendra au Québec et sauvera les Québéquois...

3. RATTACHISME ET ROYALISME.

L'union Européenne et son administration tentaculaire, qui se trouvent d'ailleurs à Bruxelles, est un obstacle à la Grande France -projet géopolitique de rappel du Royaume de Louyis XIV qui contenait à l'époque la France actuelle et tout le Bénélux- que le retour soudain de la grande Allemagne sur nos cartes géopoliques rend indispensable pour l'équilibre européen. Le Royaliste qui n'obéit qu'à l'exigence Française doit ouvrir les yeux : JURASSIENS SUISSES CATHOLIQUES ANECRCLES DE SUISSES PROTSTANTS, QUEBEQUOIS CATHOLIQUES ECRASES PAR UN CANADA ANGLO-SAXON ET PROTESTANT, WALLONS TOUT AUSSI CATHOLIQUES QUI SE SENTENT ETTOUFFES PAR DES FLAMANDS PROTESTANTS, Andorains qui tremblent de passer sous la coupe espagnole, dont la Monarchie est Isabelliste alors que seules les Carlistes défendent DIEU, PATRIE, FOYERS ET ROI LEGITIME ,Valdontins qui se sentent beaucoups plus " Fromage qui pue " que " spaghettis " ET PLUS TRADIS, tous ces peuples sont Français et Catholiques ET VEULENT LE RESTER.

Oui, ouvrons les yeux.

Face au péril d'un hégémonie allemande en Europe, face au nouvel Empire germano-protestant (mais pas Saint!) qui se dessine, la France ne peut se soustraire à l'obligation de soutenir les peuples d'Outre-Alpes et d'Outre-Atlantique arrachés à la France mais qui se veulent exclusivment CATHOLIQUES. Et face à la violence sournoise qui sìexerce partout, contre lâme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre Pays, contre son Histoire, contre la sécurité et l'honneur de la France, nous, Royalistes, nous devons opposer SANS RELACHE nos valeurs Chrétiennes, familiales et patritotiques. Les Royalistes de nombreux pays attendent que la France retrouve sa Mission Divine.

La Grande France aurait alors tout autant besoin que le Mouvement Pan-Européen fondé par Otto de Habsbourg d'un DSECENDANT Capétien pour exprimer et même incarner l'enraciment d'un tel projet géo-politique CATHOLIQUE ET ROYAL. C'est pourquoi nous proposons d'ouvrir le débat chez les Royalistes, trops souvant ignorants des enjeux politiques attachés à la défense de la Catholicité, de la Francophonie ou plus exactement de la Francité, CE TOUT EN LAISSANT HUMBLEMENT A DIEU LE CHOIX DU ROI AVENIR.

Nous souhaiterions donc amener les vrais Royalistes Français à mieux connaître ce Rattachisme qui, par son importance politico-religieuse, ne peut être négligé par ceux qui ont justement vocation à retrouver le resort de notre énergie nationale. Car le Rattachisme participe de la Mission Divine de la France qui est d'être la Fille Aînée de l'Eglise et l'Educatrice des Peuples. Francité = Francophonie + Catholicité. LA FRANCITE POURRAIT ALORS SERVIR DE MODEL POUR UNE FUTURE EUROPE MONARCHIQUE ET CHRETIENNE.

La vieille idée du Rattachisme hante d'ailleurs les personnages les plus surprenants etnous ne citerons que le passage d'une lettre d'Henri Gausen (le photographe "marcheur des Pyrénnées") à son ami Arsène Fabre qui, comme lui, adorait le pays Andorain :

-Aurait-il raison, ce vieil homme que j'avais croisé voici quelques années sur le sentier du Val d'Inclès, et qui affirmait, en pointant du doigt le col de Fontargente, que le Roi de France reviendrait par là en haut sur un cheval blanc et qu'on le conduirait ensuite à la Maison des Vallées pour ceindre la Couronne des Comte de Foix ? ...


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Message par Rémi Sam 27 Oct 2018 - 19:35

Merci Hervé, La France aujourd'hui, prostituée de tout son état aux valeurs maçonniques n'est pas des plus attirantes pour vouloir en être rattaché mais un jour la mère patrie retrouvera sa vocation après être descendue aux enfers, c'est cette France catholique qui nous attire, celle d'aujourd'hui est hideuse et repoussante comme l'est aussi le Québec dominé lui aussi par les valeurs démoniaque de la maçonnerie.



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Message par Hervé J. VOLTO Sam 27 Oct 2018 - 20:24

Merci, Rémy, d'avoir lu mon article. Il est nécessaire, je crois de retourner aux fondamentaux. Je tenterai de poser des articles moins longs, reprenant toute la tradition de la France pré-révolutionnaire, Catholique et Royale. Confiant en la Divine Providence, nous pourrons ensuite dégager des principes d'action Royaliste, laissant humblement à Dieu le choix du Roi à venir qui sauvera l'a France et l'Eglise.

Merci de votre confiance...

Hervé J. VOLTO

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