Condamnée à devenir paraplégique, elle guérit après une neuvaine à Chiara Luce
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Condamnée à devenir paraplégique, elle guérit après une neuvaine à Chiara Luce
Condamnée à devenir paraplégique, elle guérit après une neuvaine à Chiara Luce
Astrid, jeune fille de 22 ans, fut guérie d’une fracture à la colonne vertébrale qui devait la rendre paraplégique, à la suite d’une neuvaine à Chiara Luce. Le dernier jour de la neuvaine, elle sortait de l’hôpital. Elle était debout. Récit de Bénédicte Delelis.
Une neuvaine à Chiara Luce commence. On la dit de Suisse, de Belgique, de France ; en Asie, en Afrique,
des religieuses qui n’ont jamais vu Astrid s’agenouillent et supplient.
Astrid, jeune fille de 22 ans, fut guérie d’une fracture à la colonne vertébrale qui devait la rendre paraplégique, à la suite d’une neuvaine à Chiara Luce. Le dernier jour de la neuvaine, elle sortait de l’hôpital. Elle était debout. Récit de Bénédicte Delelis.
Une neuvaine à Chiara Luce commence. On la dit de Suisse, de Belgique, de France ; en Asie, en Afrique,
des religieuses qui n’ont jamais vu Astrid s’agenouillent et supplient.
Elle nous a fait une belle peur. C’était le joli hiver de neige, et Astrid était partie skier. L’aventurière eut dans l’idée de s’essayer aux sauts. L’affaire marchait bien. Le soleil triomphait, son corps était léger, la montagne dévalait gaiement sous ses pieds, ses cheveux lui caressaient le bout du nez ; elle était forte, invincible, elle avait 20 ans... « Encore un saut ? Allez encore un dernier avant le train, puis ce sera Paris, le boulot, et adieu la Suisse, les sommets étincelants qui ressemblent à de gigantesques crèmes glacées dans le ciel d’azur... Après, ce sera le train et au revoir liberté chérie. Il faudra replonger le nez dans les ordinateurs avec leurs mornes lueurs et la petite musique des touches grises, s’engouffrer dans des métros étouffants qui se traînent, trop lourds, dans le noir. »
Un dernier saut... Un dernier saut et tout bascule. Astrid s’effondre sur la terre dure et froide. Elle tressaille d’une effrayante douleur inconnue. « Qu’ai-je ? Plus rien ne semble répondre... ». Ne bouge surtout pas, la supplie-t-on, surtout pas. L’hélicoptère arrive. « L’hélicoptère ? Serait-ce si grave... ? Peut-être une entorse, je ne peux plus bouger... Pourvu que ce ne soit qu’une entorse...La vie m’attend, je suis pressée... et mon train... »
L’énergie d’une lionne
Ce n’était pas qu’une entorse. Une des vertèbres thoraciques était fracturée, la moelle épinière était touchée. Treize minutes plus tard, Astrid était aux urgences. Quelques heures après à peine, on l’opérait. Il fallait à tout prix éviter que la moelle soit déchirée... sinon... Astrid n’écoute aucun « sinon ». Elle se concentre. Pas de chansons de malheur dans cette petite tête vive et décidée aux yeux de lacs. Elle a la fougue de ses 20 ans et l’énergie d’une lionne. On lui a dit que la priorité absolue était de remuer les doigts de pied dans les plus brefs délais. Chaque heure qui passe est cruciale. Si elle ne retrouve pas de la mobilité dans les 48 heures... Pas de si. Tous les « si » avec leurs masques immobiles et menaçants sont congédiés et mis en demeure de rester derrière la porte. Pas de temps pour les « si » dans une bataille. Il faut gagner. « Je veux danser à mon mariage, et avoir des enfants », prie Astrid en silence.
La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Tous ceux qui aiment Astrid saisissent leur chapelet, courent aux tabernacles, prient, font prier... C’est le début du Carême. Sur mon téléphone, sa voix tellement faible me dit : « Offrez vos petits sacrifices pour que je remarche un jour. » Une neuvaine à Chiara Luce commence. On la dit de Suisse, de Belgique, de France ; en Asie, en Afrique, des religieuses qui n’ont jamais vu Astrid s’agenouillent et supplient.
Ses pieds bougent...
Au début, les nouvelles sont mauvaises. Une jambe est très faible, l’autre ne répond plus du tout. Le verdict tombe : paraplégique. « Peut-être retrouvera-t-elle 50 % de la marche, peut-être 75 %, au terme d’une longue rééducation, dit le chirurgien. Ce sera long et difficile... » Le lendemain soir, le test d’effort est décisif. Astrid s’est entraînée toute la journée. Mais rien. Sa jambe semble morte. On commence le test. Et soudain, ses pieds bougent... Elle ne sait comment ni pourquoi, mais ils bougent ! Le dernier jour de la neuvaine, elle sort de l’hôpital, complètement guérie. Sur son dossier médical, il est encore inscrit « paraplégique », mais elle marche, elle monte les escaliers, elle s’assoit, elle court...
Astrid, quand tu danseras à ton mariage, nous pleurerons de joie sûrement. Et tu seras plus que jamais une louange à la Miséricorde de Dieu qui se penche aujourd’hui encore sur la chair des hommes pour les guérir.
Bénédicte Delelis
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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