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L`Oligarchie politico-financière – la profession médicale et l`eugénisme – obsession pour le contrôle de la démographie

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Message par MichelT Jeu 7 Juil 2022 - 14:36

L`Oligarchie politico-financière – la profession médicale et l`eugénisme – obsession pour le contrôle de la démographie - et l`avortement – une petite histoire. ( Une partie de l`oligarchie - pas tous)

Au début du 20 ème siècle, le monopole pétrolier des Rockefeller – la Standard Oil était réformé avec la fusion anticipée de deux géants du pétrole : Exxon et Mobil. Le méga contrat de 75 milliards de dollars était appelé «la revanche des Rockefellers». Au moment de la mort de John D. Rockefeller en 1937, son fils John D. Rockefeller Junior héritait d`un formidable empire du pétrole, du Rockefeller Institute for Medical Research (1901), du  General Education Board (1903), de l`Université de Chicago (1889), la Rockefeller Foundation (1913), la Lincoln School ou les enfants de la famille étudiaient (1917), la Rockefeller University de la ville de New-York.

Les Rockefellers étaient très intéressés par le mouvement eugéniste, un programme scientifique de sélection génétique pour maintenir ou améliorer le caractère humain et aussi par la natalité, la démographie et le contrôle des naissances. Ces idées venaient en partie des livres du scientifique anglais de l`époque victorienne sir Francis Galton, qui avaient dit dans ses recherches que les membres éminents de la société britannique étaient ainsi a cause de la lignée de leurs parents et les théories de Galton prenaient le concept de la survie du plus adapté de Darwin (Théorie de l`évolution de Darwin) avec la question de qui est votre père  (importance de la lignée familiale). A la fin du 19 ème siecle les USA et 14 autres pays passaient des lois eugénistes. Trente états américains avaient des lois pour la stérilisation des malades mentaux. Près de 60,000 malades mentaux furent stérilisés aux USA.

En 1910, un Eugenic Record Office était établit comme une branche du Galton National Laboratory de Londres en Angleterre avec les fonds de l`oligarque américain du rail Edward Harriman. Après l`année 1900, les Harrimans – (la famille qui donna un poste important et un départ a Prescott Bush le futur sénateur américain et le père de Georges Bush président des USA ) - avec l`aide des Rockefellers donnent 11 millions de dollars pour la création d`un laboratoire de recherche sur l`eugénisme a Cold Spring Harbor – état de New-York – et de chaires d`études sur l`eugénisme a l`université de Harvard – de Columbia et de Cornell.

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Eugenic Record Office - 1910

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Laboratoire de recherche sur l`eugénisme - Cold Spring Harbor - État de New-York - fondé en 1890

Le premier congrès international sur l`eugénisme se tient a Londres en 1912 avec Winston Churchill comme directeur. En 1932, un congrès international eugéniste se tient a New-York et c`est la Hamburg-Amerika Shipping Line de Prescott Bush qui transporte des scientifiques allemands. Il y avait le Dr Ernst Rudin de l`Institut Kaiser Wilhelm pour la Généalogie et la Démographie de Berlin. Rudin a été élu comme le président de la Fédération des Sociétés Eugénistes pour ses travaux pour la Société Allemande pour l`Hygiène Raciale – un précurseur des Instituts nazis sur la race de Adolph Hitler.

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Congrès International Eugéniste de New-York en 1932

Les travaux eugénistes ont continué après la seconde guerre mondiale sous des noms nouveaux. Le Général américain William H. Draper avait participé au congrès eugéniste de 1932 et avait des liens avec les familles Harriman et Bush. Il a été nommé chef de la division économique de la Commission Américaine de Contrôle de l`Allemagne occupée à la fin de la deuxième guerre mondiale. Le général Draper fondera plus tard le Population Control Committee et le Draper Fund en coopération avec les Rockefeller et la famille oligarchique Du Pont pour faire la promotion de l`eugénisme et du contrôle des naissances.

Le Général Draper était le modèle du président George Bush sur la question du contrôle de la démographie dans les années 1990, et un héritier de la famille, William H. Draper III travaillait aussi pour le contrôle de la démographie aux Nations-Unies.  La question de l`avortement a été poussée par obsession eugéniste et démographique des grandes familles oligarchiques et de leur croyance que une certaine forme de contrôle démographique doit avoir lieu dans une société bien gouvernée. Le Projet sur le Génome Humain a encore augmenté la crainte des manipulations ou du contrôle de l`ADN.

Des Organisations comme Planned Parenthood Federation of America sont une corporation exempte d`impot avec 860 centres aux USA pour l`avortement et sont subventionnés par l`oligarchie, a travers des fondations et des think tanks. En 2006, un tiers des subventions venaient de compagnies ou de fondations.  Source : Rule by Secrecy – Jim Marrs – page 47 –  – Rise of the fourth reich – même auteur – page 285 -

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Planned Parenthood of America et l`avortement

Les amis de la dépopulation

En 1957, le président Eisenhower demanda a un groupe de scientifiques de faire une étude sur le contrôle de la démographie. Les scientifiques arrivèrent a trois options possibles : soit l`utilisation d`une arme biologique, ou encore la guerre permanente. La question d`une arme biologique allait bien avec les intérêts pharmaceutiques des Rockefellers. Selon Nexus les Rockefeller qui contrôlent la moitié de l`industrie pharmaceutique des USA récolteraient énormément d`argent en vendant les médicaments nécessaires pour combattre le virus qui serait libéré.

En 1969, le Church Senate Committee découvre que le département de la défense des USA avait demandé un budget de 10 millions de dollars pour développer de nouveaux virus qui ciblerait le système immunitaire humain. Il planifiait de développer un agent synthétique biologique non naturel pour lequel aucune immunité naturelle ne pourrait être acquise. Les recherches ont eu lieu a Fort Detrick au Maryland.

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Fort Detrick - Maryland - USA - Centre de recherche sur la guerre biologique des USA

En 1968, une étude du Club de Rome ( mondialiste et lié au Bilderberg  et situé sur une propriété des Rockefellers en Italie) proposait une limitation des naissances et une augmentation des taux de mortalité. Un des fondateur du Club de Rome – le Dr Aurelio Peccei était membre du groupe de Bilderberg  aurait aussi participé au rapport Global 2000 )

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Rapport du Club de Rome sur les limites de la croissance économique

Un mois après la formation du Club de Rome en 1968 – Paul Ehrlich  publie – The population bomb ( la bombe démographique). On retrouve plusieurs fanatiques du contrôle de la démographie au Club Bilderberg – au Club de Rome – Au département d`État des USA – a l`ONU et dans l`oligarchie politico- financière mondialiste. ( Source : Big Oil and their Bankers in the Persian Gulf – Dean Henderson – page 245 – The Depopulation Crowd)

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The Population Bomb - 1968 - Université Stanford, Californie - USA.


Le premier ministre de Grande-Bretagne Boris Johnson

En 2009, Boris Johnson – actuel Premier-Ministre de Grande-Bretagne publiait un article dans le Telegraph sur l`explosion démographique mondiale. Son père – Stanley Johnson a publié plusieurs livres et papiers pour les Nations-Unies sur la question de la surpopulation. Il a aussi publié des livres sur le réchauffement climatique et les pandémies globales ( livres : The Virus – The Warming – The population problem 1974, ect) –

On trouve beaucoup de personnes favorable a une réduction de la population mondiale dans l`oligarchie politico-financière et dans le cartel politico-financier mondialiste des Rothschilds-Rockefellers.

Boris Johnson article from 2007: Global Population Control

From the Prime Minster himself. His Father and all the his friends think the same.

Global over-population is the real issue

It is a tragic measure of how far the world has changed – and the infinite capacity of modern man for taking offence – that there are no two subjects that can get you more swiftly into political trouble than motherhood and apple pie. The last time I tentatively suggested that there was something to be said in favour of apple pie, I caused a frenzy of hatred in the healthy-eating lobby. It reached such a pitch that journalists were actually pelting me with pies, and demanding a retraction, and an apology, and a formal denunciation of the role of apple pie in causing obesity. As for motherhood – the fertility of the human race – we are getting to the point where you simply can’t discuss it, and we are thereby refusing to say anything sensible about the biggest single challenge facing the Earth; and no, whatever it may now be conventional to say, that single biggest challenge is not global warming. That is a secondary challenge. The primary challenge facing our species is the reproduction of our species itself. Depending on how fast you read, the population of the planet is growing with every word that skitters beneath your eyeball. There are more than 211,000 people being added every day, and a population the size of Germany every year. As someone who has now been travelling around the world for decades, I see this change, and I feel it. You can smell it in the traffic jams of the Middle East. You can see it as you fly over Africa at night, and you see mile after mile of fires burning red in the dark, as the scrub is removed to make way for human beings.


You can see it in the satellite pictures of nocturnal Europe, with the whole place lit up like a fairground. You can see it in the crazy dentition of the Shanghai skyline, where new skyscrapers are going up round the clock. You can see it as you fly over Mexico City, a vast checkerboard of smog-bound, low-rise dwellings stretching from one horizon to the other; and when you look down on what we are doing to the planet, you have a horrifying vision of habitations multiplying and replicating like bacilli in a Petri dish. The world’s population is now 6.7 billion, roughly double what it was when I was born. If I live to be in my mid-eighties, then it will have trebled in my lifetime. The UN last year revised its forecasts upwards, predicting that there will be 9.2 billion people by 2050, and I simply cannot understand why no one discusses this impending calamity, and why no world statesmen have the guts to treat the issue with the seriousness it deserves.How the hell can we witter on about tackling global warming, and reducing consumption, when we are continuing to add so relentlessly to the number of consumers? The answer is politics, and political cowardice. There was a time, in the 1960s and 1970s, when people such as my father, Stanley, were becoming interested in demography, and the UN would hold giant conferences on the subject, and it was perfectly respectable to talk about saving the planet by reducing the growth in the number of human beings. But over the years, the argument changed, and certain words became taboo, and certain concepts became forbidden, and we have reached the stage where the very discussion of overall human fertility – global motherhood – has become more or less banned. We seem to have given up on population control, and all sorts of explanations are offered for the surrender. Some say Indira Gandhi gave it all a bad name, by her demented plan to sterilise Indian men with the lure of a transistor radio. Some attribute our complacency to the Green Revolution, which seemed to prove Malthus wrong. It became the received wisdom that the world’s population could rise to umpteen billions, as mankind learnt to make several ears of corn grow where one had grown before. And then, in recent years, the idea of global population control has been more or less stifled by a pincer movement from the Right and the Left. American Right-wingers disapprove of anything that sounds like birth control, and so George W. Bush withholds the tiny contribution America makes to the UN Fund for Population Activities, regardless of the impact on the health of women in developing countries.

As for the Left, they dislike suggestions of population control because they seem to smack of colonialism and imperialism and telling the Third World what to do; and so we have reached the absurd position in which humanity bleats about the destruction of the environment, and yet there is not a peep in any communiqué from any summit of the EU, G8 or UN about the population growth that is causing that destruction. The debate is surely now unavoidable. Look at food prices, driven ever higher by population growth in India and China. Look at the insatiable Chinese desire for meat, which has pushed the cost of feed so high that Vladimir Putin has been obliged to institute price controls in the doomed fashion of Diocletian or Edward Heath. Even in Britain, chicken farmers are finding that the cost of chickenfeed is no longer exactly chickenfeed, and, though the food crisis may once again be solved by the wit of man, the damage to the environment may be irreversible. It is time we had a grown-up discussion about the optimum quantity of human beings in this country and on this planet. Do we want the south-east of Britain, already the most densely populated major country in Europe, to resemble a giant suburbia? This is not, repeat not, an argument about immigration per se, since in a sense it does not matter where people come from, and with their skill and their industry, immigrants add hugely to the economy. This is a straightforward question of population, and the eventual size of the human race. All the evidence shows that we can help reduce population growth, and world poverty, by promoting literacy and female emancipation and access to birth control. Isn’t it time politicians stopped being so timid, and started talking about the real number.

Traduction automatique de l`article de Boris Johnson de 2007 sur la démographie globale du journal anglais Telegraph - Il est le Premier Ministre de Grande-Bretagne.


La surpopulation mondiale est le vrai problème

C'est une mesure tragique de la mesure dans laquelle le monde a changé - et de la capacité infinie de l'homme moderne à s'offusquer - qu'il n'y a pas deux sujets qui peuvent vous causer plus rapidement des problèmes politiques que la maternité et la tarte aux pommes. La dernière fois que j'ai suggéré provisoirement qu'il y avait quelque chose à dire en faveur de la tarte aux pommes, j'ai provoqué une frénésie de haine dans le lobby de la saine alimentation. Cela a atteint un tel point que les journalistes me bombardaient de tartes et exigeaient une rétractation, des excuses et une dénonciation formelle du rôle de la tarte aux pommes dans l'obésité. Quant à la maternité - la fertilité de la race humaine - nous arrivons au point où vous ne pouvez tout simplement pas en discuter, et nous refusons ainsi de dire quoi que ce soit de sensé sur le plus grand défi auquel la Terre est confrontée ; et non, quoi qu'il soit maintenant conventionnel de dire, ce plus grand défi n'est pas le réchauffement climatique. C'est un défi secondaire. Le principal défi auquel est confrontée notre espèce est la reproduction de notre espèce elle-même. Selon la vitesse à laquelle vous lisez, la population de la planète augmente à chaque mot qui défile sous votre globe oculaire. Il y a plus de 211 000 personnes ajoutées chaque jour et une population de la taille de l'Allemagne chaque année. En tant que personne qui voyage maintenant à travers le monde depuis des décennies, je vois ce changement et je le sens. Vous pouvez le sentir dans les embouteillages du Moyen-Orient. Vous pouvez le voir pendant que vous survolez l'Afrique la nuit, et vous voyez des kilomètres d'incendies rougeoyer dans le noir, alors que les broussailles sont enlevées pour faire place aux êtres humains.

Vous pouvez le voir sur les images satellites de l'Europe nocturne, avec tout l'endroit illuminé comme une fête foraine. Vous pouvez le voir dans la dentition folle de la ligne d'horizon de Shanghai, où de nouveaux gratte-ciel s'élèvent 24 heures sur 24. Vous pouvez le voir lorsque vous survolez la ville de Mexico, un vaste damier d'habitations de faible hauteur et de smog s'étendant d'un horizon à l'autre; et quand vous regardez de haut ce que nous faisons à la planète, vous avez une vision horrifiante d'habitations se multipliant et se reproduisant comme des bacilles dans une boîte de Pétri. La population mondiale est maintenant de 6,7 milliards, soit à peu près le double de ce qu'elle était à ma naissance. Si je vis jusqu'à 80 ans, cela aura triplé au cours de ma vie. L'année dernière, l'ONU a révisé ses prévisions à la hausse, prédisant qu'il y aura 9,2 milliards de personnes d'ici 2050, et je ne peux tout simplement pas comprendre pourquoi personne ne discute de cette calamité imminente, et pourquoi aucun homme d'État mondial n'a le courage de traiter la question avec le sérieux qu'elle mérite .Comment diable pouvons-nous parler de la lutte contre le réchauffement climatique et de la réduction de la consommation, alors que nous continuons à augmenter sans cesse le nombre de consommateurs ? La réponse est la politique et la lâcheté politique. Il fut un temps, dans les années 1960 et 1970, où des gens comme mon père Stanley s'intéressaient à la démographie, et l'ONU organisait des conférences géantes sur le sujet, et il était tout à fait respectable de parler de sauver la planète en réduisant la croissance du nombre d'êtres humains. Mais au fil des années, l'argument a changé, et certains mots sont devenus tabous, et certains concepts sont devenus interdits, et nous avons atteint le stade où la discussion même sur la fertilité humaine globale - la maternité mondiale - est devenue plus ou moins interdite. Nous semblons avoir abandonné le contrôle de la population, et toutes sortes d'explications sont avancées pour la reddition. Certains disent qu'Indira Gandhi a donné une mauvaise réputation à tout cela, par son plan dément de stériliser les hommes indiens avec l'attrait d'une radio à transistors. Certains attribuent notre complaisance à la Révolution verte, qui semblait donner tort à Malthus. C'est devenu une idée reçue que la population mondiale pourrait atteindre des millions de milliards, alors que l'humanité a appris à faire pousser plusieurs épis de maïs là où l'on avait poussé auparavant. Et puis, ces dernières années, l'idée d'un contrôle global de la population a été plus ou moins étouffée par un mouvement en tenaille de la droite et de la gauche. La droite américaine désapprouve tout ce qui ressemble à du contrôle des naissances, et George W. Bush retient donc la minuscule contribution que l'Amérique apporte au Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population, quel que soit l'impact sur la santé des femmes dans les pays en développement.

Quant à la gauche, ils n'aiment pas les suggestions de contrôle de la population parce qu'ils semblent sentir le colonialisme et l'impérialisme et dire au tiers-monde quoi faire ; et ainsi nous avons atteint la position absurde dans laquelle l'humanité bêle au sujet de la destruction de l'environnement, et pourtant il n'y a aucun mot dans aucun communiqué d'un sommet de l'UE, du G8 ou de l'ONU sur la croissance démographique qui cause cette destruction. Le débat est sûrement désormais incontournable. Regardez les prix des denrées alimentaires, poussés de plus en plus par la croissance démographique en Inde et en Chine. Regardez le désir insatiable des Chinois pour la viande, qui a poussé le coût de l'alimentation si élevé que Vladimir Poutine a été obligé d'instituer des contrôles des prix à la manière condamnée de Dioclétien ou d'Edward Heath. Même en Grande-Bretagne, les éleveurs de poulets constatent que le coût des aliments pour poulets n'est plus exactement celui des aliments pour poulets et, bien que la crise alimentaire puisse à nouveau être résolue par l'esprit de l'homme, les dommages causés à l'environnement peuvent être irréversibles. Il est temps que nous ayons une discussion adulte sur la quantité optimale d'êtres humains dans ce pays et sur cette planète. Voulons-nous que le sud-est de la Grande-Bretagne, déjà le grand pays le plus densément peuplé d'Europe, ressemble à une banlieue géante ? Ce n'est pas, ne le répétons pas, un argument sur l'immigration en soi, car dans un sens, peu importe d'où viennent les gens, et avec leurs compétences et leur industrie, les immigrants ajoutent énormément à l'économie. C'est une simple question de population et de la taille éventuelle de la race humaine. Toutes les preuves montrent que nous pouvons contribuer à réduire la croissance démographique et la pauvreté dans le monde, en favorisant l'alphabétisation, l'émancipation des femmes et l'accès au contrôle des naissances. N'est-il pas temps que les politiciens cessent d'être si timides et commencent à parler du vrai nombre.


Dernière édition par MichelT le Mar 24 Oct 2023 - 14:12, édité 1 fois

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par MichelT Mar 24 Oct 2023 - 14:07

Pourquoi les élites mondialistes tentent-elles d’éliminer leurs semblables ?

OPINION

Why are globalist elites trying to eliminate their fellow man?

20 octobre 2023 -


(LifeSiteNews) — Qui est le plus grand bailleur de fonds des programmes de contrôle de la population dans le monde ?

Si vous répondiez « Le gouvernement américain », vous auriez tort. Un petit groupe d’individus les plus riches du monde et leurs fondations consacrent collectivement plus d’argent à l’avortement, à la stérilisation et à la contraception de la race humaine que Washington. Ces hommes ont tous des milliards en tête, et pas seulement sur leurs comptes bancaires. Ils estiment que la surpopulation constitue la plus grande menace pour la planète, le problème le plus important auquel l’humanité est confrontée aujourd’hui. Et ils joignent le geste à la parole lorsqu’il s’agit de l’avortement, de la stérilisation et de la contraception de la race humaine.

Warren Buffett : Aucun projet trop controversé

En tête de liste se trouve Warren Buffett, qui pourrait être le plus grand bailleur de fonds de l’avortement dans l’histoire de l’humanité. Rien que cette année, Buffett a distribué un total d’environ 4,6 milliards de dollars, dont une part substantielle finira dans les coffres de l’industrie de l’avortement.

Les réalisations commerciales de Warren Buffett sont assez impressionnantes. En commençant par une usine textile désuète de la Nouvelle-Angleterre, le nonagénaire milliardaire a fait de Berkshire-Hathaway, Inc. un monolithe coté en bourse qui est l'actionnaire majoritaire de Coca-Cola, de Dairy Queen et de nombreuses autres sociétés allant des journaux aux bonbons.

Et Buffett, à la fois président du conseil d’administration et actionnaire majoritaire de Berkshire-Hathaway, a pris soin de conserver un contrôle absolu alors que son véhicule d’investissement prenait de la vitesse. Il n’est pas étonnant que « l’Oracle d’Omaha » soit idolâtré par Wall Street comme un génie financier.

Bien que Warren Buffett ait été notoirement avare pendant des décennies – il a un jour refusé un prêt à sa propre fille – il jette son argent comme des confettis dans la poursuite d’un contrôle démographique strict, voire fanatique. Et il le fait depuis très, très longtemps.

La plupart des gens ne savent pas que c’est Warren Buffett, en 1994, qui a fourni le financement de démarrage pour développer le médicament abortif mortel, le RU-486. L’argent a été versé au Population Council, le principal promoteur américain du médicament, et a été utilisé pour financer les essais cliniques du RU-486 qui ont conduit à sa légalisation ultérieure par la Food and Drug Administration (FDA).

Une autre subvention très précoce de 2 millions de dollars a été versée à l’association Family Health International (FHI) de Caroline du Nord pour un médicament tout aussi discutable. Family Health International (FHI) a lancé des tests sur la quinacrine comme agent de stérilisation dès 1976. Mais son utilisation n’a jamais été approuvée par la FDA aux États-Unis. Cela n’a pas empêché Buffett de financer son utilisation dans d’autres pays.
Une autre organisation caritative préférée de Buffett est l’International Projects Assistance Services (IPAS). IPAS est le principal fabricant et distributeur d'aspirateurs manuels, ou MVA, utilisés par le Fonds des Nations Unies pour la population et d'autres groupes. Cet appareil mortel est en réalité une pompe aspirante à commande manuelle utilisée dans le monde entier pour avorter de très petits bébés.

Le plaidoyer de l’IPAS en faveur de l’avortement n’est pas non plus une anomalie. Une liste des contributions caritatives de Buffett se lit comme une véritable galerie de promoteurs et de prestataires d’avortement. Des groupes tels que la National Abortion Rights Action League (NARAL) – désormais déguisée en « Liberté reproductive pour tous » –, le Centre pour les droits reproductifs et Pathfinder International figurent en bonne place. Et, chose particulièrement désagréable, son financement en faveur de Planned Parenthood est spécifiquement destiné à permettre à certaines cliniques du pays de pratiquer des avortements.

Ces dernières années, déterminé à donner sa fortune avant sa mort, son financement du contrôle démographique s’est accéléré. Qu’est-ce qui pousserait un homme d’une intelligence évidente et d’une richesse incalculable à dépenser des milliards de dollars pour financer des programmes agressifs de stérilisation et d’avortement ? Pour le dire encore plus crûment, pourquoi Warren Buffett est-il obsédé par l’idée de débarrasser le monde des bébés humains « excédentaires » ?

Son biographe, Roger Lowenstein, rapporte que Buffett a « une crainte malthusienne que la surpopulation (va) aggraver les problèmes dans tous les autres domaines – comme la nourriture, le logement, et même la survie humaine ». Et Buffett a non seulement rejeté le christianisme de ses parents, mais a développé une forte antipathie à son égard.

Ainsi, Buffett se prélasse dans son bureau d'Omaha, sirotant des Coca-Cola aux cerises et élaborant des stratégies d'investissement d'un milliard de dollars, tandis que des milliers de femmes pauvres à travers le monde font aspirer leurs bébés hors de leur ventre par des aspirateurs manuels qu'il a contribué à fournir.

Il est triste que ce personnage à la Midas, si doté de biens matériels, ait une vision si misanthrope des gens avec qui il partage la planète et dont il profite de l’existence. Même s’il ne reconnaît pas les Africains ou les Indiens comme des créatures de Dieu, il sait sûrement qu’ils sont d’énormes consommateurs de Coca.

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par MichelT Jeu 9 Nov 2023 - 14:32

Comment le darwinisme athée a conduit l'Occident à l'âge sombre de l'eugénisme

Les récits de ce chapitre sombre de l'histoire occidentale sont souvent ignorés, et ce n'est pas surprenant. Elles témoignent du danger du darwinisme et de la brutalité inévitable des grands gouvernements.

How atheistic Darwinism led the West into a dark age of eugenics


L`Oligarchie politico-financière – la profession médicale et l`eugénisme – obsession pour le contrôle de la démographie Untitled-1
Francis Galton, à gauche, et Charles Darwin

Nov 6, 2023

Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.

(LifeSiteNews) - En août, la National Post's et Tristin Hopper a publié un essai d'information intitulé "L'époque où l'élite canadienne voulait stériliser les "fous" et les handicapésune mise en garde contre la tentation de suivre les modes du moment. L'histoire de l'eugénisme, que j'ai décrite en détail dans mon livre de 2016 intitulé La guerre culturelle, l'avortement et l'euthanasie sont des chapitres largement oubliés de l'histoire de l'Occident, mais ils méritent à nouveau qu'on s'y intéresse de plus près.

Même si les humanistes aimeraient protester contre ce fait, c'est l'essor de la théorie évolutionniste de la sélection naturelle, propagée par Charles Darwin et ses acolytes, qui a commencé à éroder la croyance fondamentale selon laquelle toute vie humaine avait une valeur intrinsèque. Après tout, si Dieu n'existait pas, personne n'aurait été créé à son image. S'il n'y avait pas de Dieu, alors certaines personnes étaient par définition, des accidents évolutifs défectueux. S'il n'y a pas de Dieu, il n'y a aucune raison de supposer que tous les êtres humains ont de la valeur. En fait, la théorie même de la sélection naturelle évolutive exclu l'idée d'égalité. Dans la vision darwinienne de la race humaine, l'égalité ne peut être autre chose qu'une faible construction sociale.

Charles Darwin n'a pas reculé devant ce fait ni évité ses conclusions. Dans son ouvrage de 1882 La descendance de l'homme et la sélection en fonction du sexe, Il a fait remarquer qu'il n'y avait pas d'autre solution que de faire appel à des experts :  

Chez les sauvages, les faibles de corps ou d'esprit sont rapidement éliminés, et ceux qui survivent présentent généralement un état de santé vigoureux. Nous, hommes civilisés, faisons tout notre possible pour freiner le processus d'élimination ; nous construisons des asiles pour les imbéciles, les estropiés et les malades ; nous instituons des lois sur les pauvres ; et notre médecine, qui est une médecine qui prolonge la vie. Les hommes font preuve de la plus grande habileté pour sauver la vie de chacun jusqu'au dernier moment. Il y a lieu de croire que la vaccination a préservé des milliers de personnes qui, en raison de leur faible constitution, auraient autrefois succombé à la variole. C'est ainsi que les membres faibles des sociétés civilisées propagent leur espèce. Quiconque s'est occupé de l'élevage des animaux domestiques ne doute pas qu'il ne soit très préjudiciable à la race humaine. Il est surprenant de voir avec quelle rapidité le manque de soins, ou des soins mal dirigés, conduisent à la dégénérescence d'une race domestique ; mais, sauf dans le cas de l'homme lui-même, presque personne n'est assez ignorant pour permettre à ses pires animaux de se reproduire.

Ce que Darwin a décrit avec précision, c'est une société chrétienne qui se consacre à la prise en charge des membres les plus faibles de la société. Ce qu'il décriait, en termes peu subtils, c'était le fait que le résultat de la charité chrétienne lui semblait être une race humaine contenant un nombre important d'êtres humains défectueux et sans valeur.

La distinction entre les "hommes civilisés" et les "sauvages" est vite devenue difficile à établir. Les théories de Darwin sur la sélection naturelle fournissant la preuve soi-disant définitive que les êtres humains n'étaient pas fondamentalement égaux et ne devaient donc pas être traités comme tels, l'eugénisme a fait fureur. Dieu n'a pas commis d'erreur en créant les êtres humains, mais la sélection naturelle peut certainement le faire. Cela signifie que les malades mentaux, les handicapés et les personnes faibles sur le plan constitutionnel n'ont pas été créés à l'image de Dieu. Ils étaient pour Darwin des accidents défectueux de la nature.

Le cousin de Darwin, le scientifique Francis Galton, s'est consacré à l'application de la théorie de la sélection naturelle de Darwin à la politique sociale. L'histoire du christianisme de Ted Byfield, Jusqu'aux confins de la terre, décrit le mouvement sombre et cruel qui s'est développé :

Avec la publication du livre de Galton, Hereditary Genius, en 1869, la science de l'"eugénisme" (littéralement, "bonne naissance") est née et a été nommée. En l'espace de deux décennies, c'est aussi un "mouvement" qui promulgue dans le monde occidental des plans de reproduction sélective. Parmi les Blancs, les moins méritants ne devaient pas être autorisés à procréer, ni même à s'associer à des personnes de race supérieure. Confinés dans des "camps de travail", ils doivent être traités avec bienveillance, mais toute violation du code eugénique entraîne une accusation de trahison. Bien que la plupart des gens estiment, sans surprise, que Galton est allé trop loin, ses défenseurs décrivent tous les détracteurs comme des obstructeurs du progrès scientifique, tout comme ils avaient essayé d'obstruer Galilée, déclarent-ils. Cependant, son cousin Charles s'est montré très favorable à l'idée. Je ne pense pas avoir jamais lu quelque chose de plus intéressant et de plus original de toute ma vie", écrit-il.

L'eugénisme n'a jamais été pleinement adopté en Grande-Bretagne, bien que ce pays ait été le berceau de ces idées. Trop d'hommes politiques s'y sont opposés, souvent pour des raisons religieuses. Mais le mouvement eugénique a connu un grand succès aux États-Unis et au Canada. Le zoologiste de Harvard Charles Benedict Davenport, par exemple, a promu l'eugénisme comme moyen de réduire le taux de criminalité et de créer une société morale. Son camarade eugéniste Harry Hamilton Laughlin, surintendant de l'Eugenics Record Office à New York de 1910 jusqu'à sa fermeture en 1939, était si fanatique qu'il a même condamné de nombreuses organisations caritatives. Il était prêt à admettre qu'elles faisaient beaucoup pour les personnes souffrantes, mais cela constituait, selon lui, un obstacle au progrès scientifique. Sa vision de ce qu'est réellement le progrès fait froid dans le dos :

Davenport et Laughlin fondent et développent le Eugenics Record Office à Long Island, New York, qui, au cours des trente années suivantes, va employer des centaines de jeunes femmes pour compiler des dossiers détaillés sur 534 625 Américains qu'ils jugent "défectueux". Soixante mille d'entre eux risquent la stérilisation, dont beaucoup d'hommes par castration obligatoire. Mais pour les eugénistes, ce n'est qu'un début. Leur objectif initial était de stériliser quatorze millions de personnes aux États-Unis et des millions d'autres dans le monde, remplaçant ainsi le "dixième inférieur" de la race humaine.

Davenport et Laughlin n'étaient pas les seuls. Des dizaines de scientifiques et d'érudits ont pris le train de l'eugénisme grotesque, de l'inventeur du téléphone, Alexander Graham Bell, au chirurgien Alexis Carrel, lauréat du prix Nobel. Attirés par les connotations moralisatrices de l'idée de débarrasser la société des criminels et des dégénérés, et séduits par les prétendus fondements scientifiques, les membres du clergé libéral ont bientôt commencé à soutenir le mouvement à leur tour. Les récits de ce chapitre sombre de l'histoire occidentale sont souvent ignorés, et ce n'est pas surprenant. Elles témoignent du danger du darwinisme et de la brutalité inévitable des grands gouvernements. La Cour suprême des États-Unis, par exemple, a confirmé les politiques de stérilisation forcée des États, même face aux protestations de l'opinion publique :

Le soutien de l'opinion publique à l'eugénisme n'a jamais été très fort, surtout après que les journaux de Hearst ont lancé une campagne contre l'eugénisme en 1915, en publiant des histoires d'horreur les unes après les autres. Certaines de ces histoires provenaient de la lointaine Grande-Bretagne, où un garçon de huit ans aurait été castré, et un autre de quinze ans parce qu'il s'était prétendument "frotté" contre une femme. Après que trente-huit enfants d'une institution du Kansas eurent été chirurgicalement stérilisés, une enquête a révélé que le directeur avait violé la loi en l'ordonnant, bien qu'il n'ait été ni inculpé ni renvoyé. Il y a eu des histoires déchirantes de familles agricoles pauvres du Sud qui ont coopéré de manière hospitalière avec la "gentille dame" venue s'enquérir de leur famille et qui ont ensuite reçu l'ordre d'être stérilisées par le conseil local de la santé. Mais leur fils et leur belle-fille venaient tout juste de se marier, ont-ils plaidé. Naturellement, ils voulaient avoir des enfants. C'est dommage. Le progrès, c'est le progrès.

Au Canada aussi, l'eugénisme se répand. La loi sur la stérilisation sexuelle adoptée par la province de l'Alberta en 1928 visait à réduire le nombre d'êtres humains indésirables et prévoyait la création d'un conseil de l'eugénisme (Eugenics Board) chargé de contribuer à cet effort. En 1933, la Colombie-Britannique adopte une loi similaire. Ces commissions disposent d'un pouvoir effroyable et sont même autorisées à subordonner la stérilisation à la sortie d'un établissement psychiatrique.

Près de 3 000 stérilisations ont été effectuées et l'Alberta Eugenics Board est resté en place jusqu'à ce que le gouvernement progressiste-conservateur de Peter Lougheed l'abolisse en 1972. La législation de la Colombie-Britannique a été abrogée en 1973. Un post-scriptum à l'enchevêtrement du Canada avec le darwinisme social est intervenu en 1996, lorsqu'un tribunal de l'Alberta a accordé à Leilani Muir près d'un million de dollars pour "stérilisation injustifiée". Elle avait été stérilisée contre son gré en 1959.

Ironiquement, c'est la Seconde Guerre mondiale qui a en grande partie mis un terme au mouvement eugénique. Les nazis ont adopté l'eugénisme sans réserve et étaient déterminés à accélérer le processus pour créer une race de surhommes. Ils allaient au-delà de la stérilisation  - à l'extermination. Dans un premier temps, les eugénistes occidentaux ont été enthousiasmés par les idées nazies. Charles Davenport, par exemple, a dû être contraint de calmer son enthousiasme par les bailleurs de fonds de la Fondation Carnegie, qui ont trouvé ses écrits dans Nouvelles de l'eugénisme. Le soutien apporté par les États-Unis aux politiques eugéniques des nazis est plutôt embarrassant. En 1937, un eugéniste américain s'est même rendu en Allemagne pour les aider dans leurs efforts :

À Buchenwald, près de Weimar, un camp de prisonniers offrira au Dr Edwin Katzen-Ellenbogen, eugéniste d'origine polonaise formé aux États-Unis, des installations de recherche et autres. Membre fondateur de l'American Eugenics Research Association, Katzen-Ellenbogen avait été eugéniste en chef de l'État du New Jersey sous l'autorité de son ancien gouverneur, Woodrow Wilson. À Buchenwald, il a procédé à l'infection de certains prisonniers par le typhus afin de tester de nouveaux médicaments. À d'autres, il fait implanter des glandes avec des hormones synthétiques pour en observer les effets physiques. Le programme du camp a été généreusement financé par la Fondation Rockefeller, et ses dossiers ont été gérés par un système développé par IBM.

Le Dr Katzen-Ellenbogen a finalement été condamné à la prison à vie lors du procès de Nuremberg pour ses efforts. C'est à Nuremberg que les détails sordides de l'obsession nazie pour l'eugénisme ont commencé à être révélés dans leur intégralité. En fait, l'année même où le Bureau des registres eugéniques a fermé ses portes à Long Island, dans l'État de New York, Adolf Hitler a lancé le programme secret d'euthanasie T4 en Allemagne. Les nazis n'avaient pas l'intention d'attendre que les handicapés et les malades mentaux soient éliminés par l'élevage. Avec de nombreuses personnes âgées, ils se consacrent à l'abattage de ceux qui ont une "vie indigne. Le médecin personnel d'Hitler, le docteur Karl Brandt, a été chargé de ce processus.

Séduite par l'eugénisme, science de pacotille, et nourrie par la ferveur idéologique, la quasi-totalité de la communauté psychiatrique allemande a collaboré à la pratique de l'euthanasie des patients qu'elle jugeait inaptes à la vie. Les personnes qui étaient censées aider les malades mentaux et les handicapés étaient celles-là mêmes qui signaient les arrêts de mort. Nombre d'entre eux considéraient l'idéologie nazie comme de la "biologie appliquée" et voyaient les morts qu'ils assistaient ou qu'ils commettaient comme des "exécutions par compassion".

Les victimes sélectionnées pour être exécutées étaient affamées, soumises à des injections létales ou empoisonnées. Après avoir testé la méthode consistant à gazer les patients dans des chambres déguisées en douches, six chambres à gaz ont été mises en place en Allemagne et en Autriche, car il s'agissait du moyen le plus efficace d'expédier les personnes sélectionnées pour la mort. Les tristement célèbres SS ont été chargés du transport des victimes, et les familles des personnes assassinées ont été consciencieusement informées du décès de leur proche par un certificat de décès officiel et les cendres de l'être cher dans une urne. Beaucoup ignoraient que leur proche n'était pas mort de causes naturelles, mais qu'il avait été tué par des médecins désignés par l'État pour éliminer le cheptel humain. En deux ans seulement, plus de 70 000 personnes ont été tuées par des médecins.

Le programme d'euthanasie T4 a été officiellement interrompu le 24 août 1941, en partie en réponse aux protestations croissantes de la communauté chrétienne. Mais il s'agissait d'une ruse. Le massacre des personnes jugées trop faibles pour être dignes de vivre dans la race des surhommes nazis s'est poursuivi sans relâche, certains historiens estimant que près de 200 000 personnes ont en fait été assassinées en secret.

Il est difficile de connaître le chiffre exact, car à ce moment-là, les nazis tuaient des millions de personnes, massacrant des hommes, des femmes, des enfants et des familles, y compris des Juifs, des Tziganes, des Slaves et d'innombrables autres groupes de personnes qui ne remplissaient pas les conditions requises pour faire partie de la société en raison de leur manque de "bonne naissance". Au lieu de cela, les nazis leur réservaient une mort terrifiante.

Les crimes des nazis ont stupéfié le monde, et les voix de nombreux eugénistes se sont tues lorsqu'ils ont pris conscience que l'eugénisme ne commence pas et ne s'arrête pas à la stérilisation. Il peut commencer par là, oui. Mais lorsque les théories sont appliquées intégralement et avec enthousiasme, elles aboutissent naturellement aux fosses des camps de concentration nazis, d'une humanité mise au rebut.

Jonathon Van Maren est conférencier, écrivain et militant pro-vie.


Le Globe and Mail demande au gouvernement canadien de ne pas étendre l'euthanasie aux malades mentaux


L'éditorial cite le Dr K. Sonu Gaind, chef du service de psychiatrie au Sunnybrook Health Sciences Centre de Toronto, qui affirme qu'il n'y a "absolument aucun consensus" sur ce qui constitue un état pathologique irrémédiable dans le cadre d'une maladie mentale.

Nov 7, 2023 -

Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.

(Coalition pour la prévention de l'euthanasie) — The Globe and Mai - lL'éditorial du 4 novembre demande instamment au gouvernement fédéral de renoncer à étendre l'euthanasie aux maladies mentales au Canada.

L'éditorial commente d'abord le rapport sur l'euthanasie publié par Santé Canada en 2022, qui indique que 13 241 personnes seraient mortes par euthanasie au Canada, le Québec affichant le taux d'euthanasie le plus élevé au monde. L'éditorial cite des responsables québécois qui s'inquiètent du fait que l'euthanasie n'est plus un "dernier recours".

L'éditorial cite le Dr K. Sonu Gaind, chef du service de psychiatrie au Sunnybrook Health Sciences Centre de Toronto, qui affirme régulièrement qu'il n'y a "absolument aucun consensus" sur ce qui constitue une condition médicale irrémédiable lorsqu'il s'agit de patients souffrant de maladies mentales. Ce point est important car la loi exige qu'une personne ne soit approuvée pour l'euthanasie que si elle souffre d'une condition médicale irrémédiable.

L'éditorial précise ensuite :

Toutefois, le cadre canadien d'approbation d'une mort médicalement assistée pour une personne souffrant d'une maladie mentale n'exige pas qu'un psychiatre qualifié procède à une évaluation. Au lieu de cela, on attend des médecins (ayant une certaine expertise) qu'ils prennent une décision au cas par cas, même lorsque ceux qui ont des dizaines d'années d'expérience sont déconcertés.

Un délai jusqu'en mars n'est pas suffisant ; Ottawa doit retirer ses amendements qui incluent la maladie mentale dans la loi sur la MAiD. Il y a trop d'incertitudes, en particulier l'incapacité de déterminer qui souffre d'une maladie mentale vraiment irrémédiable et qui se rétablira si l'on dispose de suffisamment de temps, de traitement et d'espoir.

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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