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Un membre du Parti communiste britannique supervisera les « informations comportementales » pour l’O.M.S.

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Message par MichelT Lun 1 Aoû - 10:50

Un membre du Parti communiste britannique supervisera les « informations comportementales » pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

Note : Sur la présence de nombreux communistes dans les organisations mondialistes - Le directeur de l`Organisation Mondiale de la Santé (OMS) -  Tedros Adhanom était en effet ministre des affaires étrangères en Éthiopie (2012-2016). Il était un politicien marxiste et le personnage est néanmoins très controversé en Éthiopie même. Il a été élu avec le soutien de la Chine communiste.

Médias Presse Info – 27 Juillet 2022

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a nommé le professeur Susan Michie, psychologue britannique et membre de longue date du Parti communiste britannique, à la présidence du groupe consultatif technique (TAG) de l’organisation pour les connaissances comportementales et la science pour la santé, a rapporté The Telegraph.
Susan Michie a précédemment occupé le poste de directeur du Centre pour le changement de comportement à l’University College de Londres et a conseillé la politique du gouvernement britannique en matière de coronavirus en tant que membre du groupe consultatif scientifique du gouvernement pour les urgences (SAGE).

Pendant qu’elle conseillait le gouvernement britannique, Michie avait appelé à des restrictions COVID plus sévères et avait haussé les sourcils en suggérant que certains éléments du «comportement» de sécurité COVID, y compris la distanciation sociale et le port du masque, devraient être en place « pour toujours ». En juillet 2021, Michie a déclaré à Channel 5 que de nouveaux comportements sociaux, y compris la «distanciation sociale» et le port de masque, devraient se poursuivre «à long terme» pour lutter contre le COVID et «réduire d’autres maladies».

Lorsqu’on lui a demandé combien de temps elle pensait que les pratiques devraient continuer, Michie a répondu: « Je pense pour toujours, dans une certaine mesure. » Dans une interview distincte de juillet 2021 avec Good Morning Britain d’ITV, dans laquelle l’animateur Richard Madeley a parlé à Michie de la levée potentielle des restrictions COVID en Grande-Bretagne, Madeley a noté que Michie était « membre du parti communiste depuis environ 40 ans maintenant, » et était « toujours membre ». L’écrivain socialiste Thomas Scripps, écrivant pour le site d’information ouvertement communiste World Socialist Web Site, a fait remarquer l’année dernière que «Michie est un membre de longue date du Parti communiste stalinien de Grande-Bretagne, un fait que ni elle ni les médias n’ont considéré comme un obstacle à son implication avec le gouvernement jusqu’à présent. Michie a également fait l’éloge du « système socialiste et collectiviste » de la Chine contrôlée par les communistes.

Le soi-disant groupe consultatif technique que Michie présidera est composé de « 22 experts externes de 16 pays, avec une expertise dans des domaines tels que la psychologie, l’anthropologie, la promotion de la santé, les neurosciences, l’économie comportementale, le marketing social et plus encore », selon l’OMS . Annonçant le lancement du groupe en 2020, le directeur général de l’OMS a noté que «les gens prennent des décisions en fonction d’un large éventail de facteurs liés à leur culture, leurs croyances, leurs valeurs, leur situation économique, etc.», et que la «science comportementale» peut être utilisée pour « nous aider à comprendre comment les gens prennent des décisions, afin que nous puissions les aider à prendre les meilleures décisions pour leur santé ». Le «TAG» est chargé d’aider l’OMS «à inclure systématiquement des preuves comportementales dans son travail et dans les politiques nationales de santé et la planification des programmes», selon le site Web de l’OMS


L’OMS au service de l’avortement

Source: LA NEF n°349 Juillet-Août 2022 - revue catholique

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L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a publié de nouvelles « lignes directrices » consolidées sur l’avortement au mois de mars 2022. Loin de s’en tenir à leur mission d’assistance et de conseil aux professionnels de la santé, le document promeut une libéralisation complète et sans précédent de l’avortement. Il recommande, entre autres, la légalisation de l’avortement à la demande et sans condition jusqu’au terme de la grossesse, la réduction de la liberté de conscience des professions médicales et de ne pas informer les parents en cas d’avortement pratiqué sur leur fille mineure.

Ce document n’a pas de valeur juridique contraignante : il n’a pas été adopté par les États, ni par le Secrétariat de l’OMS, mais par un groupe de travail. Il dispose toutefois d’une forte autorité politique et médicale et va servir de référence dans le monde entier. Ces lignes directrices reposent sur l’affirmation selon laquelle il est impératif de libéraliser l’avortement afin de protéger la santé et la vie des millions de femmes qui avortent chaque année illégalement, et donc dangereusement. Toute limite posée à l’accès à l’avortement serait une « barrière » mettant en danger la « personne enceinte » désireuse d’avorter, Cette affirmation est fallacieuse à plusieurs titres. D’une part, elle repose sur l’idée que l’avortement serait une fatalité impossible à prévenir, ce qui est démenti par l’expérience menée dans plusieurs pays ; la prévention de l’avortement étant d’ailleurs un engagement des États en droit international.

Elle repose ensuite sur l’idée que la mortalité maternelle serait plus forte dans les pays qui restreignent l’accès à l’avortement, ce qui est également faux, car à niveau de développement équivalent, il arrive que la mortalité maternelle soit moins élevée dans les pays qui limitent fortement l’avortement. C’est le cas par exemple de Malte et de l’Italie où le taux de mortalité maternelle est respectivement de 3 et 4 sur 100 000, alors qu’il est de 9 en France. Il est même de plus de 22 pour 100 000 aux États-Unis.
Elle repose encore sur l’idée que l’avortement serait une intervention médicale sûre, ce qui revient à ignorer les conséquences psychologiques, affectives et sociales de l’avortement tant pour la femme, que pour sa famille.

Les « lignes directrices » reposent enfin sur le mensonge selon lequel l’enfant conçu ne serait que du « tissu de grossesse » qu’il faut jeter avec le « matériel biologique », alors même que la science, les religions et le droit de nombreux pays reconnaissent à l’enfant la qualité d’être humain dès avant sa naissance. Pour expliquer cette prise de position extrême de l’OMS, il suffit de considérer les auteurs et le financement des « lignes directrices », ainsi que l’orientation historique de l’OMS, en matière d’avortement.
Les auteurs. – Pour élaborer ces « lignes directrices », l’OMS a consulté 121 experts extérieurs à l’organisation. Or, il apparaît que 81 de ces « experts » sont engagés en faveur de l’avortement, certains à titre professionnel (1).

Le financement. – Le département de l’OMS au sein duquel ont été élaborées ces « lignes directrices » – le Human Reproduction Program (HRP) – est financé exclusivement par des contributions volontaires en provenance principalement de quelques pays anglo-saxons connus pour leur engagement historique en faveur du contrôle démographique, mais aussi de la France, et par des fondations privées. Parmi celles-ci, la fondation du financier Warren Buffet se distingue : elle a versé 55 millions de dollars au HRP en 2020, soit la majorité de son budget. Warren Buffet est engagé en faveur de l’avortement et du contrôle démographique, au même titre que son ami Bill Gates qui finance aussi, et plus encore, l’OMS.

L’institution. – Le Human Reproduction Program (HRP) est une entité instituée en 1972 conjointement par l’OMS, la Banque Mondiale, le Fonds des Nations unies pour la Population (FNUAP) et le Programme des Nations unies pour le développement. Il est spécialisé en matière de « santé reproductive » et s’inscrit dans la politique globale des Nations Unies en matière de contrôle démographique. Dans la direction du HRP, une place prépondérante est assurée à ses principaux États donateurs ainsi qu’aux organes des Nations unies. Particularité : la Fédération Internationale du Planning Familial (IPPF) est membre permanent de son Conseil d’administration. Sans surprise, les cadres du HRP sont généralement choisis parmi ceux du lobby de l’avortement et du contrôle démographique.

Ainsi ces « lignes directrices » constituent un nouvel exemple de corruption des instances internationales, comme l’avait déjà exposé Mgr Michel Schooyans (2) dans La face cachée de l’ONU (Le Sarment, 2000), et à qui il convient de rendre hommage.

Grégor Puppinck

(1) Par exemple, onze de ces experts ont touché près de 1,8 million de dollars au cours de leur carrière en provenance de la Society of Family Planning & SFP Researcher Fund, tandis que douze ont travaillé pour l’IPAS, sept pour le Population Council et quatre pour le Center for Reproductive Rights (CRR), entre autres. Ces organisations sont les principaux lobbys de l’avortement.
(2) Mgr Michel Schooyans (1930-2022), décédé le 3 mai dernier, était un grand théologien belge spécialisé dans les questions éthiques des relations internationales (il a été consulteur du Conseil pontifical pour la Famille). Il était intervenu plusieurs fois dans La Nef dont il était un fidèle lecteur (ndlr).

© LA NEF n°349 Juillet-Août 2022

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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