Des termes non genrés pour Dieu ? L'Église d'Angleterre les considère
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Des termes non genrés pour Dieu ? L'Église d'Angleterre les considère
De grosses préoccupations… Sont-ils des serviteurs du mondialisme et de ses idéologies?… Église Catholique préservez-nous de ces stupidités!
Des termes non genrés (non-sexistes) pour Dieu ? L'Église d'Angleterre les considère
Kathryn Mannie • Global News – 9 février 2023 – traduction automatique
Gender-neutral terms for God? The Church of England is considering them
L'Église d'Angleterre lance une commission au printemps pour déterminer si elle devrait cesser de se référer à Dieu comme "Il" dans ses services et commencer à utiliser un terme non sexiste. Les chrétiens ont reconnu depuis l'Antiquité que Dieu n'est ni homme ni femme", a déclaré mercredi un porte-parole de l’Église. "Pourtant, la variété des façons d'aborder et de décrire Dieu trouvée dans les Écritures n'a pas toujours été reflétée dans notre culte.
Bien qu'il n'y ait aucun plan pour abolir ou réviser substantiellement les services religieux actuels, toute modification potentielle marquerait un rare écart par rapport aux enseignements traditionnels remontant à des millénaires. Un porte-parole de l'Église a déclaré que tout changement nécessiterait une "législation étendue" et l'approbation du Synode général, l'organe directeur de l'Église. Le problème reflète la prise de conscience mondiale croissante de l'utilisation des pronoms et de la façon dont les pronoms et l'identité de genre ne correspondent pas toujours au genre attribué à la naissance. L'évêque Michael Ipgrave, vice-président de la commission liturgique de l'Église, a déclaré que l'Église "explorait l'utilisation d'un langage genré par rapport à Dieu depuis plusieurs années", depuis que l'Église a commencé à offrir des services dans une langue contemporaine il y a plus de 20 ans.
Après un dialogue entre les deux commissions dans ce domaine, un nouveau projet conjoint sur le langage genré débutera ce printemps », a-t-il déclaré. nécessitent un processus synodique complet pour approbation." Les commentaires faisaient suite à un échange au Synode général où un prêtre a posé des questions sur le développement d'un langage plus inclusif dans les formes de culte autorisées et a recherché des options pour ceux qui souhaitent parler de Dieu d'une "manière non genrée".
On ne sait pas si la commission cherchera à changer le terme "Notre Père" dans la prière du Seigneur, un pilier chrétien central. La commission Foi et Constitution de l'Église - qui donne des conseils sur la théologie - travaillera avec la commission liturgique pour examiner les questions relatives aux termes de genre, a déclaré le porte-parole. Actuellement, l'Église d'Angleterre donne à son clergé une certaine latitude pour interpréter les textes religieux et certains ont déjà commencé à intégrer le langage de genre dans leurs services, rapporte le Washington Post.
Selon certains experts, il existe un précédent biblique pour se référer à Dieu en termes non sexistes. Assigner un genre à Dieu a toujours été une question de métaphore, puisque nous sommes incapables de dire quoi que ce soit qui encapsule efficacement la divinité dans le langage humain", a déclaré le révérend Diarmaid MacCulloch, professeur émérite d'histoire de l'Église à l'Université d'Oxford. Il est donc naturel que nous explorions davantage la façon dont nous pourrions parler de Dieu dans la liturgie, étant donné les vastes changements dans la compréhension du genre et de la sexualité qui progressent dans la société", a-t-il ajouté. En 2018, l'archevêque de Cantorbéry, l'évêque le plus ancien de l'Église d'Angleterre, a déclaré que les descriptions de Dieu doivent être "dans une certaine mesure métaphoriques", car "Dieu n'est ni homme ni femme. Dieu n'est pas définissable".
D'autres ont été moins enthousiastes à propos des changements potentiels, notamment Nigel Farage, un diffuseur britannique et ancien homme politique qui a aidé à diriger le Brexit en tant que chef du Parti de l'indépendance du Royaume-Uni et chef du Parti du Brexit. Dans une vidéo publiée sur Twitter, Farage a déclaré: «S'ils continuent sur cette voie ridiculement Woke, nous pouvons tout aussi bien fermer l'Église d'Angleterre.» Reste à savoir ce que l'Église décidera finalement. — Avec des fichiers de Reuters
Voici des commentaire de lecteurs sur cet article – traduit en français
Ce qui est étonnant pour moi, c'est la façon dont une minorité incroyablement minuscule crie assez fort pour changer la vision de la réalité du monde entier !
Aucune autre religion ne se laisse mettre en position d'être ridiculisée
Que diriez-vous d'une liste plus longue de 'Conditions'... nous ne voudrions pas discriminer ou offenser ! Le wokisme est finalement allé plus loin dans ce cas... et a sombré dans la folie totale !
Donc ils vont réécrire la bible ? Comment conciliez-vous la fabrication de l'homme et de la femme dans la Bible?
La folie n'a pas de frontière.
La Bible est assez claire sur les différences entre l'homme et la femme.
Eh bien, cela me convient, vous ne me verrez jamais dans une église Woke.
En tant que chef de l'église, Charles a dû prendre cette décision stupide.
Jésus a pleuré.
J'ai grandi anglican mais je n'y retournerai jamais. Ect..
Des termes non genrés (non-sexistes) pour Dieu ? L'Église d'Angleterre les considère
Kathryn Mannie • Global News – 9 février 2023 – traduction automatique
Gender-neutral terms for God? The Church of England is considering them
L'Église d'Angleterre lance une commission au printemps pour déterminer si elle devrait cesser de se référer à Dieu comme "Il" dans ses services et commencer à utiliser un terme non sexiste. Les chrétiens ont reconnu depuis l'Antiquité que Dieu n'est ni homme ni femme", a déclaré mercredi un porte-parole de l’Église. "Pourtant, la variété des façons d'aborder et de décrire Dieu trouvée dans les Écritures n'a pas toujours été reflétée dans notre culte.
Bien qu'il n'y ait aucun plan pour abolir ou réviser substantiellement les services religieux actuels, toute modification potentielle marquerait un rare écart par rapport aux enseignements traditionnels remontant à des millénaires. Un porte-parole de l'Église a déclaré que tout changement nécessiterait une "législation étendue" et l'approbation du Synode général, l'organe directeur de l'Église. Le problème reflète la prise de conscience mondiale croissante de l'utilisation des pronoms et de la façon dont les pronoms et l'identité de genre ne correspondent pas toujours au genre attribué à la naissance. L'évêque Michael Ipgrave, vice-président de la commission liturgique de l'Église, a déclaré que l'Église "explorait l'utilisation d'un langage genré par rapport à Dieu depuis plusieurs années", depuis que l'Église a commencé à offrir des services dans une langue contemporaine il y a plus de 20 ans.
Après un dialogue entre les deux commissions dans ce domaine, un nouveau projet conjoint sur le langage genré débutera ce printemps », a-t-il déclaré. nécessitent un processus synodique complet pour approbation." Les commentaires faisaient suite à un échange au Synode général où un prêtre a posé des questions sur le développement d'un langage plus inclusif dans les formes de culte autorisées et a recherché des options pour ceux qui souhaitent parler de Dieu d'une "manière non genrée".
On ne sait pas si la commission cherchera à changer le terme "Notre Père" dans la prière du Seigneur, un pilier chrétien central. La commission Foi et Constitution de l'Église - qui donne des conseils sur la théologie - travaillera avec la commission liturgique pour examiner les questions relatives aux termes de genre, a déclaré le porte-parole. Actuellement, l'Église d'Angleterre donne à son clergé une certaine latitude pour interpréter les textes religieux et certains ont déjà commencé à intégrer le langage de genre dans leurs services, rapporte le Washington Post.
Selon certains experts, il existe un précédent biblique pour se référer à Dieu en termes non sexistes. Assigner un genre à Dieu a toujours été une question de métaphore, puisque nous sommes incapables de dire quoi que ce soit qui encapsule efficacement la divinité dans le langage humain", a déclaré le révérend Diarmaid MacCulloch, professeur émérite d'histoire de l'Église à l'Université d'Oxford. Il est donc naturel que nous explorions davantage la façon dont nous pourrions parler de Dieu dans la liturgie, étant donné les vastes changements dans la compréhension du genre et de la sexualité qui progressent dans la société", a-t-il ajouté. En 2018, l'archevêque de Cantorbéry, l'évêque le plus ancien de l'Église d'Angleterre, a déclaré que les descriptions de Dieu doivent être "dans une certaine mesure métaphoriques", car "Dieu n'est ni homme ni femme. Dieu n'est pas définissable".
D'autres ont été moins enthousiastes à propos des changements potentiels, notamment Nigel Farage, un diffuseur britannique et ancien homme politique qui a aidé à diriger le Brexit en tant que chef du Parti de l'indépendance du Royaume-Uni et chef du Parti du Brexit. Dans une vidéo publiée sur Twitter, Farage a déclaré: «S'ils continuent sur cette voie ridiculement Woke, nous pouvons tout aussi bien fermer l'Église d'Angleterre.» Reste à savoir ce que l'Église décidera finalement. — Avec des fichiers de Reuters
Voici des commentaire de lecteurs sur cet article – traduit en français
Ce qui est étonnant pour moi, c'est la façon dont une minorité incroyablement minuscule crie assez fort pour changer la vision de la réalité du monde entier !
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MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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