Des gens ne connaissent rien de Dieu, mais vivent une grande charité : sans le savoir.
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Des gens ne connaissent rien de Dieu, mais vivent une grande charité : sans le savoir.
Quelle richesse que la Parole de Dieu !
En lisant les textes de la liturgie de ce jour, j'entendais Dieu notre Père nous dire toute sa tendresse !
REVIENS SEULEMENT À TON SEIGNEUR...
TU T'ES TROMPÉ ET JE LE SAIS,
MAIS REVIENS ET RECONNAIS TA FAUTE...
MOI, JE TE GUÉRIRAI...
ET JE TE RENDRAI CAPABLE D'AIMER !
TU T'ES TROMPÉ ET JE LE SAIS,
MAIS REVIENS ET RECONNAIS TA FAUTE...
MOI, JE TE GUÉRIRAI...
ET JE TE RENDRAI CAPABLE D'AIMER !
Dans l'Évangile, Jésus nous rappelle le grand commandement de la Charité : aimer Dieu et aimer son prochain. Puis, Jésus dit à son interlocuteur : « Tu as compris, tu n'es pas loin du Royaume de Dieu. »
C'est une chose de comprendre, et une autre de le mettre en pratique : c'est comme connaître la recette d'un succulent gâteau au chocolat, et ne jamais la faire ! Par contre, il y a des gens qui ne connaissent rien de Dieu, mais qui vivent une grande charité : eux sont dans le Royaume sans le savoir, je crois.
VIVONS LA CHARITÉ, ET DIEU NOUS BÉNIRA !
NEUVAINE À SAINT JOSEPH
Huitième jour : saint Joseph, un bon ouvrier
Au début du monde, dans les plans du Créateur, le travail était beau et bon. L'homme s'est éloigné de Dieu, et le travail est maintenant source de difficultés, de fatigues et de peines. Saint Joseph, vous vous êtes soumis à cette dure loi du travail, parce que vous saviez qu'il peut redevenir noble et beau en accord avec le Créateur. Tel fut le secret de votre vie de travailleur.
Lorsque Dieu voulut un père adoptif pour son Fils, il choisit un ouvrier, marquant par là son estime pour le travail. Vous ne l'avez pas déçu. Vous avez travaillé avec cœur, et votre métier devenait une expression d'amour, comme la prière ou la fidélité au Seigneur.
Nous imaginons facilement aujourd'hui votre figure trempée par la sueur, coupée d'un sourire vaillant, alors que vous avanciez sur le chemin de Nazareth, votre sac d'outils sur l'épaule. Vous étiez un charpentier. Vous vous penchiez sur les pièces de bois pour travailler, scier et clouer. Vous posiez tous les gestes familiers à ceux du métier. Votre travail, en tout semblable à celui des autres, s'en distinguait pourtant en ce qu'il était fait dans un climat de présence à Dieu. Vous n'étiez pas seulement un homme en état de punition : vous viviez d'un amour véritable. Par votre travail, c'est Dieu lui-même que vous avez su rejoindre.
Saint Joseph, enseignez-nous l'amour de notre métier, faites qu'il devienne pour nous une source de vitalité et de bonheur. Que nous l'accomplissions avec justice et honnêteté, que nous sachions pénétrer d'une vive charité notre sens du travail bien fait ! Et qu'à votre exemple, nous sachions accueillir votre Fils au sein de nos usines, de nos chantiers et de nos bureaux !
Amen.
Huitième jour : saint Joseph, un bon ouvrier
Au début du monde, dans les plans du Créateur, le travail était beau et bon. L'homme s'est éloigné de Dieu, et le travail est maintenant source de difficultés, de fatigues et de peines. Saint Joseph, vous vous êtes soumis à cette dure loi du travail, parce que vous saviez qu'il peut redevenir noble et beau en accord avec le Créateur. Tel fut le secret de votre vie de travailleur.
Lorsque Dieu voulut un père adoptif pour son Fils, il choisit un ouvrier, marquant par là son estime pour le travail. Vous ne l'avez pas déçu. Vous avez travaillé avec cœur, et votre métier devenait une expression d'amour, comme la prière ou la fidélité au Seigneur.
Nous imaginons facilement aujourd'hui votre figure trempée par la sueur, coupée d'un sourire vaillant, alors que vous avanciez sur le chemin de Nazareth, votre sac d'outils sur l'épaule. Vous étiez un charpentier. Vous vous penchiez sur les pièces de bois pour travailler, scier et clouer. Vous posiez tous les gestes familiers à ceux du métier. Votre travail, en tout semblable à celui des autres, s'en distinguait pourtant en ce qu'il était fait dans un climat de présence à Dieu. Vous n'étiez pas seulement un homme en état de punition : vous viviez d'un amour véritable. Par votre travail, c'est Dieu lui-même que vous avez su rejoindre.
Saint Joseph, enseignez-nous l'amour de notre métier, faites qu'il devienne pour nous une source de vitalité et de bonheur. Que nous l'accomplissions avec justice et honnêteté, que nous sachions pénétrer d'une vive charité notre sens du travail bien fait ! Et qu'à votre exemple, nous sachions accueillir votre Fils au sein de nos usines, de nos chantiers et de nos bureaux !
Amen.
SAINT JOSEPH, 8ième JOUR DE LA NEUVAINE
Merci à vous, Famille Myriam !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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