25 AVRIL : FETE DE SAINT MARC
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25 AVRIL : FETE DE SAINT MARC
25 avril 2023 . Saint Marc, un des quatre évangélistes (Ier siècle)
Saint Marc l'évangéliste, second dans l'ordre des évangiles synoptiques, serait-il l'inventeur du genre évangélique ? C'est possible puisque son livre, en mauvais grec, semé de sémitismes, fut composé très tôt à Rome, selon les données orales de Saint Pierre. Sans doute au plus tard en 70. L'auteur en serait le Marc, chez qui la première communauté Chrétienne de Jérusalem se réunissait pour prier (Actes 12. 12). Il accompagne Paul et Barnabé dans leur mission à Chypre. Peu après, il refuse de suivre Paul, en partance pour l'Asie Mineure. Il préfère rentrer à Jérusalem. Saint Paul lui en voudra, un moment, de ce lâchage : il préféra se séparer de Barnabé plutôt que de reprendre Marc (Acte 15. 39). Mais Marc se racheta et deviendra le visiteur du vieux prisonnier à Rome. Dans le même temps, Saint Pierre le traite comme un fils (1ère lettre de Pierre 5. 13). Certains considèrent que Saint Marc aurait été l'évangélisateur de l'Egypte. Ce n'est pas invraisemblable. D'autres affirment que son corps serait désormais à Venise, dont il est le Saint Patron. Après tout, pourquoi pas ? En tous cas, il fut un fidèle secrétaire pour Saint Pierre dont il rédigea les "Mémoires", qui sont l'évangile selon saint Marc, à l'intention des Romains.
De Jérusalem, il suivit d'abord Saint Paul dans ses voyages missionnaires, puis s'attacha aux pas de Saint Pierre, qui l'appelait son fils et dont, selon la tradition, il recueillit dans son Évangile la catéchèse aux Romains. Il aurait enfin fondé l'Église d'Alexandrie.
Une lettre du Rd. Père Jean-François Thomas s.j.
à lire et à méditer
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/04/24/2023-59-gouverner-et-se-gouverner-lettre-aux-membres-et-amis-de-la-confrerie-royale-pour-le-25-avril-2023/
Dans la continuité des graves messages sur le Grand Monarque, et de ce que je vous écrivais ces derniers jours, je voudrais –en quelque sorte en complément– vous rappeler le texte de cet ancien cantique traditionnel, composé dans le contexte de la spoliation des Etats de l’Eglise et de la très humiliante défaite de 1870.
Nous savons, parce que c’est une chose affirmée de manière péremptoire par les Souverains Pontifes et les saints depuis quinze siècles, et parce que cela a été confirmé par de multiples événements tout au long de notre histoire, que les sorts de la Sainte Eglise romaine et de la France sont liés.
Ce pourquoi il n’est pas anodin de reprendre les paroles originelles du cantique du Vœu national, et de chanter « Sauvez Rome et la France au nom du Sacré-Cœur », plutôt que seulement : « Sauvez, sauvez la France… ».
Le salut et le redressement de la France passent obligatoirement par un retour à la foi Catholique et à l’observance de la morale et de la discipline de l’Eglise Catholique, et la sortie de crise pour l’Eglise romaine passera également par la restauration de la Monarchie Capétienne traditionnelle -héréditaite, catholique et Sacrée- et le secours que lui apportera le Roi Très Chrétien, « évêque du dehors », « Fils aîné de l’Eglise » et son « porte-glaive ».
Il y a en ce moment un mouvement demandant à Nos Seigneurs les cardinaux, archevêques et évêques de France, le renouvellement de la consécration de notre Patrie aux Cœurs de Jésus et Marie.
Quelques évêques semblent soutenir ou encourager cette démarche, tandis qu’une majorité de nos hiérarques semble faire la sourde oreille ou traite par l’indifférence, voire le mépris, cet élan spirituel.
Il est bien évident que le relèvement et que le passage d’une « Religio depopulata » (Chrétienté dévastée) à une « Religio renascens » (Chrétienté renaissante), tout comme le relèvement de la France, ne se pourront qu’avec le puissant secours de grâces divines qu’il faut solliciter avec insistance et obtenir par la prière et par le sacrifice.
Il faut en effet bien avoir conscience qu’une « consécration » n’est pas un acte magique qui opérerait des miracles de manière quasi automatique, sans qu’il y ait au moins l’amorce d’un mouvement de conversion profonde et générale, une conversion à laquelle il faut travailler inlassablement tous les jours et qui ne sera jamais vraiment achevée ici-bas.
Ce pourquoi il est indispensable de prier beaucoup, de supplier le Ciel -et tout spécialement N.D. du Sacré-Coeur, patronne des acuses difficile et despérée- avec insistance et ardeur, et d’accompagner nos prières de pénitences volontaires généreuses : la fin du carême ne marque en aucune manière la fin de nos efforts contre le mal, contre le péché, et ne marque pas davantage la fin des sacrifices, des mortifications et du jeûne !
C’est à ce prix seulement que l’on peut espérer une vraie et durable conversion, une vraie et durable guérison, une vraie et durable restauration de la santé spirituelle de la Chrétienté, de la Sainte Eglise et de notre France !
Saint Marc l'évangéliste, second dans l'ordre des évangiles synoptiques, serait-il l'inventeur du genre évangélique ? C'est possible puisque son livre, en mauvais grec, semé de sémitismes, fut composé très tôt à Rome, selon les données orales de Saint Pierre. Sans doute au plus tard en 70. L'auteur en serait le Marc, chez qui la première communauté Chrétienne de Jérusalem se réunissait pour prier (Actes 12. 12). Il accompagne Paul et Barnabé dans leur mission à Chypre. Peu après, il refuse de suivre Paul, en partance pour l'Asie Mineure. Il préfère rentrer à Jérusalem. Saint Paul lui en voudra, un moment, de ce lâchage : il préféra se séparer de Barnabé plutôt que de reprendre Marc (Acte 15. 39). Mais Marc se racheta et deviendra le visiteur du vieux prisonnier à Rome. Dans le même temps, Saint Pierre le traite comme un fils (1ère lettre de Pierre 5. 13). Certains considèrent que Saint Marc aurait été l'évangélisateur de l'Egypte. Ce n'est pas invraisemblable. D'autres affirment que son corps serait désormais à Venise, dont il est le Saint Patron. Après tout, pourquoi pas ? En tous cas, il fut un fidèle secrétaire pour Saint Pierre dont il rédigea les "Mémoires", qui sont l'évangile selon saint Marc, à l'intention des Romains.
De Jérusalem, il suivit d'abord Saint Paul dans ses voyages missionnaires, puis s'attacha aux pas de Saint Pierre, qui l'appelait son fils et dont, selon la tradition, il recueillit dans son Évangile la catéchèse aux Romains. Il aurait enfin fondé l'Église d'Alexandrie.
Une lettre du Rd. Père Jean-François Thomas s.j.
à lire et à méditer
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/04/24/2023-59-gouverner-et-se-gouverner-lettre-aux-membres-et-amis-de-la-confrerie-royale-pour-le-25-avril-2023/
Dans la continuité des graves messages sur le Grand Monarque, et de ce que je vous écrivais ces derniers jours, je voudrais –en quelque sorte en complément– vous rappeler le texte de cet ancien cantique traditionnel, composé dans le contexte de la spoliation des Etats de l’Eglise et de la très humiliante défaite de 1870.
Nous savons, parce que c’est une chose affirmée de manière péremptoire par les Souverains Pontifes et les saints depuis quinze siècles, et parce que cela a été confirmé par de multiples événements tout au long de notre histoire, que les sorts de la Sainte Eglise romaine et de la France sont liés.
Ce pourquoi il n’est pas anodin de reprendre les paroles originelles du cantique du Vœu national, et de chanter « Sauvez Rome et la France au nom du Sacré-Cœur », plutôt que seulement : « Sauvez, sauvez la France… ».
Le salut et le redressement de la France passent obligatoirement par un retour à la foi Catholique et à l’observance de la morale et de la discipline de l’Eglise Catholique, et la sortie de crise pour l’Eglise romaine passera également par la restauration de la Monarchie Capétienne traditionnelle -héréditaite, catholique et Sacrée- et le secours que lui apportera le Roi Très Chrétien, « évêque du dehors », « Fils aîné de l’Eglise » et son « porte-glaive ».
Il y a en ce moment un mouvement demandant à Nos Seigneurs les cardinaux, archevêques et évêques de France, le renouvellement de la consécration de notre Patrie aux Cœurs de Jésus et Marie.
Quelques évêques semblent soutenir ou encourager cette démarche, tandis qu’une majorité de nos hiérarques semble faire la sourde oreille ou traite par l’indifférence, voire le mépris, cet élan spirituel.
Il est bien évident que le relèvement et que le passage d’une « Religio depopulata » (Chrétienté dévastée) à une « Religio renascens » (Chrétienté renaissante), tout comme le relèvement de la France, ne se pourront qu’avec le puissant secours de grâces divines qu’il faut solliciter avec insistance et obtenir par la prière et par le sacrifice.
Il faut en effet bien avoir conscience qu’une « consécration » n’est pas un acte magique qui opérerait des miracles de manière quasi automatique, sans qu’il y ait au moins l’amorce d’un mouvement de conversion profonde et générale, une conversion à laquelle il faut travailler inlassablement tous les jours et qui ne sera jamais vraiment achevée ici-bas.
Ce pourquoi il est indispensable de prier beaucoup, de supplier le Ciel -et tout spécialement N.D. du Sacré-Coeur, patronne des acuses difficile et despérée- avec insistance et ardeur, et d’accompagner nos prières de pénitences volontaires généreuses : la fin du carême ne marque en aucune manière la fin de nos efforts contre le mal, contre le péché, et ne marque pas davantage la fin des sacrifices, des mortifications et du jeûne !
C’est à ce prix seulement que l’on peut espérer une vraie et durable conversion, une vraie et durable guérison, une vraie et durable restauration de la santé spirituelle de la Chrétienté, de la Sainte Eglise et de notre France !
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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