DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE BIEN COMMUN : LA PAIX
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE BIEN COMMUN : LA PAIX
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LE BIEN COMMUN - LA PAIX
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 78.
Point 78. Le bien commun : la paix.
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Connaître et respecter l’ordre naturel ne suffit pas, encore faut-il que la nation soit protégée contre ses ennemis. La survie quotidienne de la nation et la paix est le second bien commun.
Comparons avec la science médicale. Celle-ci ne peut se contenter de spéculer sur les normes idéales de la santé humaine. Il faut ensuite aller sur le terrain, visiter les malades, appliquer la théorie à chaque cas. De même en science politique : il faut chaque jour prendre des décisions, conduire la vie de la nation, la faire prospérer et la défendre. En un mot, il faut gouverner.
Le réflexe moderne est de prétendre que tous aient participation à la décision. Mais l’incompétence de la foule, son irrésolution, ses contradictions, l’irresponsabilité des personnes sont trop contraires aux exigences immédiates de tout acte de gouvernement, qui doit être secret, sûr, prompt et fort.
L’idéal du pouvoir est donc un pouvoir personnel qui doit, sans cesse, chercher la conjecture à adopter, décider de l’orientation à donner à la vie du pays, surveiller ses ennemis et en protéger la nation. Une fois prises, ses décisions ne doivent souffrir aucune discussion.
Objection : si, malgré tout, le malheur s’abat sur la nation, si le chef de l’État se trompe –et l’histoire nous présente de nombreux exemples de décisions souveraines contestables en soi– ne faut-il pas lui désobéir ?
Il faut répondre résolument par la négative. En effet, l’ordre et la paix étant constitutifs du bien commun, le chef de l’État étant ordinairement le moyen de préserver l’ordre et la paix, sa contestation est un mal plus grand que l’erreur occasionnelle qu’il peut commettre, un désordre plus irrémédiable que son éventuelle faute.
Le phalangiste aimera donc l’ordre et respectera l’autorité politique souveraine comme un bien divin, parce que dans l’incommensurable absurdité des hommes, c’est lui, l’ordre, plus encore que la vertu et bien plus que l’intelligence, qui sauve ce qui peut être sauvé tandis que toute anarchie, dissidence, révolte ajoute son mal volontaire aux maux forcés qu’elle prétend guérir, et compromet l’avenir par le poids de son impiété.
Encore faut-il pour cela que cette autorité politique exerce son pouvoir de façon légitime.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il doit travailler à bâtir une doctrine de renaissance politique s’arc-boutant sur la foi Catholique.
la République, c'est le règne de l'étranger, l'esprit républicain destabilise notre défense antionale et favorise des influences religieuses directement hostiles au Catholicisme traditionnel. Il faut rendre à la France un régime qui soit Français. La continuité Royale, assurée par l'hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la pérénité de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner Chrétiennement “pour le Bien Commun et le salut de l'Etat (Edit de juillet 1717)”, protégeant la Foi et la Patrie !
Le Soldat de la Croix, bon phalangiste, aimera donc l’ordre et respectera l’autorité politique souveraine comme un bien Divin, Légitime parce que dans l’incommensurable absurdité des hommes, c’est lui, l’ordre, plus encore que la vertu et bien plus que l’intelligence, qui sauve ce qui peut être sauvé tandis que toute anarchie, dissidence, révolte ajoute son mal volontaire aux maux forcés qu’elle prétend guérir, et compromet l’avenir par le poids de son impiété.
Et donc le Soldat de la Croix, Royaliste parce que Catholique et Français, annoncera, voire préparera, le retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 78.
Point 78. Le bien commun : la paix.
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Connaître et respecter l’ordre naturel ne suffit pas, encore faut-il que la nation soit protégée contre ses ennemis. La survie quotidienne de la nation et la paix est le second bien commun.
Comparons avec la science médicale. Celle-ci ne peut se contenter de spéculer sur les normes idéales de la santé humaine. Il faut ensuite aller sur le terrain, visiter les malades, appliquer la théorie à chaque cas. De même en science politique : il faut chaque jour prendre des décisions, conduire la vie de la nation, la faire prospérer et la défendre. En un mot, il faut gouverner.
Le réflexe moderne est de prétendre que tous aient participation à la décision. Mais l’incompétence de la foule, son irrésolution, ses contradictions, l’irresponsabilité des personnes sont trop contraires aux exigences immédiates de tout acte de gouvernement, qui doit être secret, sûr, prompt et fort.
L’idéal du pouvoir est donc un pouvoir personnel qui doit, sans cesse, chercher la conjecture à adopter, décider de l’orientation à donner à la vie du pays, surveiller ses ennemis et en protéger la nation. Une fois prises, ses décisions ne doivent souffrir aucune discussion.
Objection : si, malgré tout, le malheur s’abat sur la nation, si le chef de l’État se trompe –et l’histoire nous présente de nombreux exemples de décisions souveraines contestables en soi– ne faut-il pas lui désobéir ?
Il faut répondre résolument par la négative. En effet, l’ordre et la paix étant constitutifs du bien commun, le chef de l’État étant ordinairement le moyen de préserver l’ordre et la paix, sa contestation est un mal plus grand que l’erreur occasionnelle qu’il peut commettre, un désordre plus irrémédiable que son éventuelle faute.
Le phalangiste aimera donc l’ordre et respectera l’autorité politique souveraine comme un bien divin, parce que dans l’incommensurable absurdité des hommes, c’est lui, l’ordre, plus encore que la vertu et bien plus que l’intelligence, qui sauve ce qui peut être sauvé tandis que toute anarchie, dissidence, révolte ajoute son mal volontaire aux maux forcés qu’elle prétend guérir, et compromet l’avenir par le poids de son impiété.
Encore faut-il pour cela que cette autorité politique exerce son pouvoir de façon légitime.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il doit travailler à bâtir une doctrine de renaissance politique s’arc-boutant sur la foi Catholique.
la République, c'est le règne de l'étranger, l'esprit républicain destabilise notre défense antionale et favorise des influences religieuses directement hostiles au Catholicisme traditionnel. Il faut rendre à la France un régime qui soit Français. La continuité Royale, assurée par l'hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la pérénité de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner Chrétiennement “pour le Bien Commun et le salut de l'Etat (Edit de juillet 1717)”, protégeant la Foi et la Patrie !
Le Soldat de la Croix, bon phalangiste, aimera donc l’ordre et respectera l’autorité politique souveraine comme un bien Divin, Légitime parce que dans l’incommensurable absurdité des hommes, c’est lui, l’ordre, plus encore que la vertu et bien plus que l’intelligence, qui sauve ce qui peut être sauvé tandis que toute anarchie, dissidence, révolte ajoute son mal volontaire aux maux forcés qu’elle prétend guérir, et compromet l’avenir par le poids de son impiété.
Et donc le Soldat de la Croix, Royaliste parce que Catholique et Français, annoncera, voire préparera, le retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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