La Fin du monde est a nos portes
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La Fin du monde est a nos portes
La fin du monde est à nos portes...
Alors que la plupart des Américains n'en ont que pour la future progéniture du couple Pitt-Jolie, les journalistes sont de plus en plus nombreux aux États-Unis à dire qu'il y a péril en la planète.
Photo Martin Chamberland, archives La Presse
François Cardinal
La Presse
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Si les apôtres de la fin du monde étaient encore rares il y a quelques années, les dernières semaines ont prouvé qu'ils étaient de plus en plus nombreux, tant dans la communauté scientifique que médiatique. La question, semble-t-il, n'est plus de savoir si le climat se dérègle, mais bien à quelle vitesse. Et surtout, s'il est trop tard pour contrer la menace...
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Depuis le mois de janvier dernier tout particulièrement, les observations et prévisions des experts vont en effet dans le sens d'un réchauffement planétaire s'accélérant à un rythme jusqu'alors sous-estimé. Si nous n'agissons pas d'ici sept ans, a même soutenu hier le premier ministre britannique, Tony Blair, il risque d'être trop tard pour l'humanité.
Parmi tous ces récents rapports, un en particulier a fait le tour du monde et a frappé l'imaginaire, celui du Goddard Institute for Space Studies de la NASA. La conclusion: 2005 partage avec 1998 le titre d'année la plus chaude depuis plus d'un siècle. Et comme si ce n'était pas assez, on précise que depuis 1900, les années où la température a été la plus élevée sont 1998, 2002, 2003, 2004 et 2005...
Inquiétant, vous dites! D'autant plus que El Niño explique la présence dans cette courte liste de l'année 1998. Lorsque cette dernière est exclue, le palmarès des années les plus chaudes se concentre donc entièrement après 2000.
Alarme
Fait rarissime, les deux plus grands journaux des États-Unis, le Washington Post et le New York Times, ont tour à tour sonné l'alarme au cours des derniers jours dans la foulée du rapport de la NASA. Alors que la plupart des Américains n'en ont que pour la future progéniture du couple Pitt-Jolie, les deux quotidiens affirment qu'il y a péril en la demeure.
«Maintenant que la communauté scientifique s'entend pour dire que l'activité humaine est la cause du réchauffement de la planète, la question est de savoir si les changements climatiques évoluent si vite que, d'ici quelques décennies, l'homme sera incapable de ralentir ou de renverser cette tendance», pouvait-on lire dans le Washington Post.
Le grand quotidien de New York, pour sa part, se concentrait sur la censure imposée à la NASA par l'administration Bush. On déplorait ainsi que le président des États-Unis tente par tous les moyens de cacher le fait que le monde court à sa perte.
Si tout cela n'est pas suffisant, le scientifique James Lovelock vient tout juste de publier un livre apocalyptique à Londres. Connu mondialement pour «l'hypothèse Gaïa» qu'il a créée dans les années 70 - la Terre est un vaste système qui s'autorégule seul -, Lovelock écrit, dans The Revenge of Gaïa, que le point de non-retour est imminent.
Si, comme il est prévu, la planète se réchauffe de trois degrés au cours des 50 prochaines années, cela provoquera une série de conséquences dramatiques, croit-il. Il prévoit la disparition de la forêt tropicale, ce qui entraînera l'évacuation d'une vaste quantité de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. La fonte du Groenland provoquera l'inondation de nombreuses villes dans le monde. Les réfugiés écologiques se compteront par millions. Etc.
Pour Lovelock, les discours optimistes comme celui du gourou du design Bruce Mau sont tout simplement irresponsables face à ce qu'il qualifie de plus importante menace qu'a connue l'humanité.
Hum,passablement inquiétant.Ces prognostics sont étroitement en lien avec ce qu'annoncent les prophéties et la Vierge Marie ds ses apparitions reconues par l'église.personnlement,je pense de plus en plus que nous verrons de notre vivant le fameux jour de Yahwey ........D'ou l'importance de se convertir et d'tre plus unis a Dieu .En effet,il ne faut pas tant s'inquieter de ces prévisions car en bout de ligne,ce qui est vraiment important ,c,est notre salut éternel et celui de la plus grande majorité des humains....Francesco
Suite et fin
Épargnez-moi s.v.p. le discours alarmiste et fataliste des gourous de l'environnement. La fin du monde est proche, nous le savons. Voilà pour le côté théâtral de nos petits amis. Il s'agit de religion non de science. Maintenant est-il possible de discuter sérieusement et mettre toutes les cartes sur la table de façon objective?
Contrairement à la croyance populaire, il n'existe pas de consensus sur les changements climatiques.Il y a, de par le monde, des scientifiques qui n’adhèrent pas au credo écolo-onusien.
D'ailleurs en ce moment même une polémique se développe sur la manière dont le rapport du GIEC s'apprête à rendre compte des perspectives de hausse du niveau des mers. Lunanimité de façade sera de plus en plus difficile à préserver. Toute médaille a son revers: le GIEC est en train de payer la course en avant alarmiste mise en branle voici presque vingt ans. Tant pis pour eux.
À force d’écouter la litanie carbonique du GIEC (CO2) et des perroquets médiatiques, on en vient à penser que les gaz à effet de serre ont toujours dirigé le climat terrestre, notamment les températures.
Jan Veizer professeur de géochimie à Ottawa montre que le rayonnement solaire et cosmique est le principal moteur des variations thermiques sur Terre depuis 500 millions d'années, le dioxyde de carbone n'intervenant que comme amplificateur secondaire de ces variations séculières et millénaires.
D'autres études récentes?
B.M. Vinther (Institut Niels Bohr, Université de Copenhague) et son équipe viennent de publier une nouvelle reconstruction des températures du Groënland (Vinther 2006). Les auteurs ont repris l'ensemble des données disponibles sur les stations météorologiques du XXe siècle, et ont ajouté des séries de mesures plus anciennes remontant parfois jusqu'en 1784. Un travail salué pour sa qualité et son sérieux. Conclusion : les températures récentes n'ont rien d'exceptionnel par rapport aux 100 dernières années. les modèles ne prévoient pas un réchauffement massif de la région dans les 100 ans à venir, mais au contraire le réchauffement le plus faible des zones terrestres de l'Hémisphère Nord.
Une nouvelle étude des données satellites depuis trente ans par l’équipe de K.Y. Winnikov tempère quelque peu le catastrophisme ambiant. Elle montre que la banquise gagne du terrain en Antarctique, en perd en Arctique. Et suggère dans ce dernier cas que l’on reste dans un schéma de variabilité naturelle.
Une étude récente montre qu’au cours des trois dernières années (2003-2005), les couches supérieures (0-750 m) des océans mondiaux se sont refroidies. Une découverte inattendue et pour le moment inexpliquée, qui pose d’intéressantes questions sur le comportement océanique à long terme et ses conséquences sur le réchauffement climatique. Selon Les chercheurs (John M. Lyman, Josh K. Willis et Gregory C. Johnson. Au total, le réchauffement de l'océan supérieur au cours des 13 dernières années ne représente plus que 0,33W/m2 (rapporté à toute la surface terrestre). En comparant avec le schéma de Levitus et al. plus haut, on constate que le phénomène est déjà survenu dans le passé : au début des années 1960 (moindre perte) et au début des années 1980 (plus forte perte, alors estimée à 1,2W/m2 par Levitus et al.). Il conviendra donc de vérifier sur la perte 2003-2005 enregistrée par l’équipe de Lyman se poursuit pour atteindre cette ampleur. En tout état de cause, elle semble refléter une variabilité naturelle des océans.
Deux études récentes montrent que la hausse du niveau des mers soit n’a pas connu d’accélération au cours du XXe siècle, soit en a connu une en 134 ans : 13 millièmes de millimètre par an ! S. Jevrejeva et son équipe ont analysé l'évolution du niveau de la mer depuis 150 ans, sur la base d'un réseau permanent de marégraphes aux données homogénéisées (Permanent Service for Mean Sea Level) et sur 12 océans. Conclusion des chercheurs : la hausse récente (1993-2000 : 2,4 ±1.0 mm/an) reste pour le moment inférieure à la hausse 1920-45 (2,5 ±1.0 mm/an). On constate que la hausse la plus importante semble être survenue entre 1850 et 1900 (sous réserve de la qualité des mesures), à une époque où le réchauffement anthropique n'était pas d'actualité.
Le point important est bien sûr que ce schéma ne laisse pas entrevoir d'accélération particulière de cette hausse au cours du XXe siècle. John Church et Neil J. White, dans une étude également parue cette année, ont abouti par d’autres méthodes à une conclusion semblable.
Comme nous sommes sérieux,nous mettons des infos pour mieux cerner ou se trouve la vérité bien que notre foi est claire.Une fin du monde viendra et l'antéchrist aussi....Francesco
Hum
D'ailleurs,les prophéties des saints et les messages de Marie,dans ses apparitions reconnues ,sont tres clairs.Une période de tribulations importantes serait proches mais qui ne sera pas la fin du monde mais des temps ou d'un temps.Puis ,l'ere de paix prophétisé a Fatima et dont tant de prophéties parlent.Puis,beaucoup plus tard viendra l'antéchrist alors......Mais ce qui approche demeure majeur et,nous devons nous tourner vers Dieu et Marie qui est l'Arche annoncé en Argentine(apparition récente reconnue mais dont j'ai bcp de difficulté a trouver les infos sur le net....).Francesco
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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