U.E. - Jancovici, de l’invention du bilan carbone au plan mondialiste de dépopulation
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U.E. - Jancovici, de l’invention du bilan carbone au plan mondialiste de dépopulation
Jancovici, de l’invention du bilan carbone au plan mondialiste de dépopulation
Médias-Presse Info — 24 juillet 2023
Le Forum économique mondial de Davos travaille avec méthode à l’adoption du passe carbone.
C’est Jean-Marc Jancovici qui a inventé la notion de “bilan carbone” pour le compte de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) et est devenu un représentant de commerce du catastrophisme climatique servant les intérêts des mondialistes. Pourtant, il l’admet lui-même :
Je n’ai pas publié d’article dans des revues scientifiques. Je ne suis pas un scientifique.
Le 14 novembre 2022, BFMTV consacrait une soirée spéciale au passe carbone. L’une des “expertes” à qui on doit le docu-fiction 2050, Ouvrons les yeux diffusé par BFM TV s’appelle Emma Stoking, « porte-parole du plan de transformation de l’économie française pour The Shift Project », le think tank dirigé par Jancovici.
L’axe central du discours de Jancovici, c’est la décarbonation. Son cabinet Carbone 4 – il recommande l’objectif de diviser les émissions de CO2 par 4 – « accompagne la transformation des organisations vers la décarbonation et l’adaptation au changement climatique ». Il est membre du Haut Conseil pour le Climat, que le WWF ( Forum Économique de Davos) souhaite doter de pouvoirs décisionnels renforcés. Tout cela en parfaite harmonie avec l’Agenda 2030 de l’ONU, le Great Reset de Klaus Schwab et le Pacte vert pour l’Europe de la Commission européenne.
Un plan de dépopulation
Jean-Marc Jancovici rejoint le rapport Limits to Growth – dit rapport Meadows – commandé par les néo-malthusiens du Club de Rome et présenté au Sommet de Stockholm (1972) sous l’égide de Maurice Strong. Jancovici en publia une synthèse commentée sur son site en février 2003.
Jean-Marc Jancovici est un partisan affirmé d’une réduction mondiale de la population par régulation imposée des naissances. En mai 2022, il déclarait au micro de France Info :
Ou bien on régule nous-mêmes, ou bien ça se fera par des pandémies, des famines ou des conflits.
Le prétexte écologique de ce plan de dépopulation est la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’impact prétendu sur le dérèglement climatique.
Précédemment, en juillet 2019, Jancovici déclarait à Socialter :
Le premier point est de limiter dès que nous pouvons la croissance démographique. Dans l’aide au développement, tout ce qui permet aux pays de maîtriser leur démographie est une bonne idée, car cela amortit les efforts à fournir sur tous les autres plans. Trois leviers : l’éducation des femmes, l’accès aux moyens de contraception, et les systèmes de retraite. Dans les pays occidentaux, il y a un premier moyen de réguler la population de façon raisonnablement indolore : ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades, à l’image du système anglais qui ne pratique, par exemple, plus de greffe d’organes pour des personnes de plus de 65 ou 70 ans.
Jancovici rejoint le plan de dépopulation de Population Matters, du Good Club mortifère des milliardaires Bill Gates, Warren Buffett, Ted Turner et George Soros. Dans la même veine, on retrouve Jane Goodall (qui avait préconisé à la réunion du Forum économique mondial de 2020 de réduire la population à environ 500 millions de personnes) et James Lovelock (auteur de Hypothèse Gaïa et co-dirigeant de Population Matters, il considère qu’il faut réduire la population mondiale à un milliard d’individus).
Mondialisme totalitaire
Jancovici est clairement un adepte du totalitarisme mondialiste. En mai 2019, il était cité par L’Express :
On ne répondra pas au changement climatique sans l’usage de la contrainte. Un système de type chinois est-il un bon compromis ? Il n’est pas exclu que la réponse soit oui.
Jancovici est une créature du Nouvel Ordre Mondial, passé par les Young Global Leaders (promotion 2002) de la French-American Foundation. On retrouve également Jancovici au Club Le Siècle.
Faits & Documents avait révélé que Jancovici avait planché sur « Climat – énergie : la fin de l’âge d’or ? » devant la loge Akademos du Grand Orient de France (GODF) le 30 janvier 2012, et sur « Environnement : le désastre est-il certain ? » le 6 août 2020, toujours au GODF. En décembre 2020, la loge Triple Union du GODF a publié un texte soutenant The Shift Project, le think tank de Jancovici fondé en 2010 et financé par de nombreux acteurs privés et publics – dont le ministère de la Transition écologique et solidaire et celui des Armées.
Geneviève Férone-Creuzet, vice-présidente de The Shift Project, est aussi vice-présidente de la Fondation Nicolas Hulot et ancienne directrice développement durable pour la branche Environnement de Veolia.
Alain Grandjean, membre du Comité des Experts de The Shift Project, cofondateur et associé du cabinet Carbone 4 de Jancovici, avait été « nommé en 2018 parmi les 13 membres du Haut Conseil pour l’action climatique, créé auprès du Premier Ministre. Il est le président de la Fondation Nicolas Hulot depuis 2020 ».
The Shift Project a publié Decarbonize Europe (Manifeste pour décarboner l’Europe), signé notamment par Elisabeth Borne, alors présidente de la RATP, Michel Jarraud, ancien secrétaire général (de 2005 à 2015) de l’Organisation météorologique mondiale, Jean Jouzel du GIEC, Daniel Lebègue, ancien président du chapitre français de Transparency International (financée par Soros).
Autant savoir.
Médias-Presse Info — 24 juillet 2023
Le Forum économique mondial de Davos travaille avec méthode à l’adoption du passe carbone.
C’est Jean-Marc Jancovici qui a inventé la notion de “bilan carbone” pour le compte de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) et est devenu un représentant de commerce du catastrophisme climatique servant les intérêts des mondialistes. Pourtant, il l’admet lui-même :
Je n’ai pas publié d’article dans des revues scientifiques. Je ne suis pas un scientifique.
Le 14 novembre 2022, BFMTV consacrait une soirée spéciale au passe carbone. L’une des “expertes” à qui on doit le docu-fiction 2050, Ouvrons les yeux diffusé par BFM TV s’appelle Emma Stoking, « porte-parole du plan de transformation de l’économie française pour The Shift Project », le think tank dirigé par Jancovici.
L’axe central du discours de Jancovici, c’est la décarbonation. Son cabinet Carbone 4 – il recommande l’objectif de diviser les émissions de CO2 par 4 – « accompagne la transformation des organisations vers la décarbonation et l’adaptation au changement climatique ». Il est membre du Haut Conseil pour le Climat, que le WWF ( Forum Économique de Davos) souhaite doter de pouvoirs décisionnels renforcés. Tout cela en parfaite harmonie avec l’Agenda 2030 de l’ONU, le Great Reset de Klaus Schwab et le Pacte vert pour l’Europe de la Commission européenne.
Un plan de dépopulation
Jean-Marc Jancovici rejoint le rapport Limits to Growth – dit rapport Meadows – commandé par les néo-malthusiens du Club de Rome et présenté au Sommet de Stockholm (1972) sous l’égide de Maurice Strong. Jancovici en publia une synthèse commentée sur son site en février 2003.
Jean-Marc Jancovici est un partisan affirmé d’une réduction mondiale de la population par régulation imposée des naissances. En mai 2022, il déclarait au micro de France Info :
Ou bien on régule nous-mêmes, ou bien ça se fera par des pandémies, des famines ou des conflits.
Le prétexte écologique de ce plan de dépopulation est la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’impact prétendu sur le dérèglement climatique.
Précédemment, en juillet 2019, Jancovici déclarait à Socialter :
Le premier point est de limiter dès que nous pouvons la croissance démographique. Dans l’aide au développement, tout ce qui permet aux pays de maîtriser leur démographie est une bonne idée, car cela amortit les efforts à fournir sur tous les autres plans. Trois leviers : l’éducation des femmes, l’accès aux moyens de contraception, et les systèmes de retraite. Dans les pays occidentaux, il y a un premier moyen de réguler la population de façon raisonnablement indolore : ne pas mettre tout en œuvre pour faire survivre les personnes âgées malades, à l’image du système anglais qui ne pratique, par exemple, plus de greffe d’organes pour des personnes de plus de 65 ou 70 ans.
Jancovici rejoint le plan de dépopulation de Population Matters, du Good Club mortifère des milliardaires Bill Gates, Warren Buffett, Ted Turner et George Soros. Dans la même veine, on retrouve Jane Goodall (qui avait préconisé à la réunion du Forum économique mondial de 2020 de réduire la population à environ 500 millions de personnes) et James Lovelock (auteur de Hypothèse Gaïa et co-dirigeant de Population Matters, il considère qu’il faut réduire la population mondiale à un milliard d’individus).
Mondialisme totalitaire
Jancovici est clairement un adepte du totalitarisme mondialiste. En mai 2019, il était cité par L’Express :
On ne répondra pas au changement climatique sans l’usage de la contrainte. Un système de type chinois est-il un bon compromis ? Il n’est pas exclu que la réponse soit oui.
Jancovici est une créature du Nouvel Ordre Mondial, passé par les Young Global Leaders (promotion 2002) de la French-American Foundation. On retrouve également Jancovici au Club Le Siècle.
Faits & Documents avait révélé que Jancovici avait planché sur « Climat – énergie : la fin de l’âge d’or ? » devant la loge Akademos du Grand Orient de France (GODF) le 30 janvier 2012, et sur « Environnement : le désastre est-il certain ? » le 6 août 2020, toujours au GODF. En décembre 2020, la loge Triple Union du GODF a publié un texte soutenant The Shift Project, le think tank de Jancovici fondé en 2010 et financé par de nombreux acteurs privés et publics – dont le ministère de la Transition écologique et solidaire et celui des Armées.
Geneviève Férone-Creuzet, vice-présidente de The Shift Project, est aussi vice-présidente de la Fondation Nicolas Hulot et ancienne directrice développement durable pour la branche Environnement de Veolia.
Alain Grandjean, membre du Comité des Experts de The Shift Project, cofondateur et associé du cabinet Carbone 4 de Jancovici, avait été « nommé en 2018 parmi les 13 membres du Haut Conseil pour l’action climatique, créé auprès du Premier Ministre. Il est le président de la Fondation Nicolas Hulot depuis 2020 ».
The Shift Project a publié Decarbonize Europe (Manifeste pour décarboner l’Europe), signé notamment par Elisabeth Borne, alors présidente de la RATP, Michel Jarraud, ancien secrétaire général (de 2005 à 2015) de l’Organisation météorologique mondiale, Jean Jouzel du GIEC, Daniel Lebègue, ancien président du chapitre français de Transparency International (financée par Soros).
Autant savoir.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: U.E. - Jancovici, de l’invention du bilan carbone au plan mondialiste de dépopulation
ANALYSE
Comment la réponse du Forum économique mondial au «changement climatique» est pratiquement la même que son approche COVID
L'objectif final dans les deux cas est de développer la base technologique pour suivre et tracer chaque personne et objet sur la planète afin d'inciter, de contraindre ou de manipuler le comportement humain individuel.
How the World Economic Forum response to ‘climate change’ is virtually the same as their COVID approach
13 juillet 2023 - (The Sociable et LifeSite News) - L'approche de la carotte ou du bâton du Forum économique mondial (WEF) en matière de politiques climatiques est pratiquement la même que pour COVID. De la recherche des contacts COVID et des passeports vaccinaux au suivi et à la mesure de l'empreinte carbone, l'objectif final est pratiquement identique - développer la base technologique pour suivre et tracer chaque personne et objet sur la planète afin d'inciter, de contraindre ou de manipuler le comportement humain individuel .
Prenez la dernière réunion annuelle des nouveaux champions du WEF (Forum Économique de Davos), alias "Summer Davos", qui a eu lieu en Chine le mois dernier ( Note – encore une preuve que les mondialistes travaillent avec les communistes – En Chine – c`est l`État communiste qui impose le système au peuple – en occident les mondialistes comptent sur les compagnies multinationales et les banques pour imposer lentement le système...) comme le dernier exemple de mondialistes non élus essayant d'inciter les gens à changer leur comportement en suivant l'empreinte carbone des produits qu'ils utilisent. S'exprimant lors d'une session intitulée "Comment rester dans les limites planétaires - carotte ou bâton?" Ma Jun, le directeur de l'ONG chinoise Institute of Public and Environmental Affairs, a déclaré que les Chinois étaient conscients de choses tangibles comme la pollution de l'air et de l'eau qu'ils pouvaient ressentir avec leurs propres sens, mais étaient moins conscients des problèmes climatiques (c'est-à-dire leur carbone), moins tangibles, mais que la mesure des empreintes carbone pourrait être la solution.
En Chine, la prise de conscience des gens du côté écologique et du côté du contrôle de la pollution est beaucoup plus élevée que du côté climatique », a déclaré Jun, ajoutant : « Du côté du climat, ce n'est toujours pas tout à fait là. Nous sommes toujours à la traîne, disons, par rapport à des régions comme l'Europe, qui peuvent avoir un tel niveau de sensibilisation du public, qui peuvent soutenir une politique publique très, très dure en matière de climat. [Je souligne.] La Chine a eu l'une des réponses les plus dures et les plus orwelliennes au COVID tout en rassemblant simultanément sa population ouïghoure pour l'internement dans des «camps de rééducation», mais cet homme dit que le Parti communiste chinois (PCC) ne peut pas soutenir des politiques dures sur le climat ?
Quoi qu'il en soit, Jun a poursuivi en expliquant : « En Chine, le gouvernement a créé cet engagement 30-60, mais les gens n'ont pas vraiment lié leur vie quotidienne à cela, alors comment créons-nous ces liens ? «Ce n'est pas comme le smog; ce n'est pas aussi palpable que la pollution de l'eau et la pollution de l'air, nous devons donc créer ces [liens]. Pour approfondir son propos, Jun a brandi une tasse d'eau pour expliquer comment son empreinte carbone pouvait être suivie et tracée du berceau à la porte et jusqu'à la tombe. Il a déclaré qu'avec la technologie émergente, les gens pouvaient prendre une photo d'une tasse et trouver toutes sortes d'informations sur l'ensemble de son cycle de vie tout en mesurant son empreinte carbone.
Le fondateur du WEF (Forum Économique Mondial), Klaus Schwab, l'avait prédit dans son livre de 2017 "La quatrième révolution industrielle". Schwab a écrit: «Tout colis, palette ou conteneur peut désormais être équipé d'un capteur, d'un émetteur ou d'une étiquette d'identification par radiofréquence (RFID) qui permet à une entreprise de suivre où il se trouve tout au long de la chaîne d'approvisionnement - comment il fonctionne , comment il est utilisé, etc. "Dans un avenir proche, des systèmes de surveillance similaires seront également appliqués aux déplacements et au suivi des personnes", a-t-il ajouté. [Je souligne.] Les paroles de Schwab deviendraient prophétiques pendant la pandémie.
Ce qui a commencé avec la recherche et la surveillance numériques des contacts en 2020 s'est rapidement transformé en passeports vaccinaux, qui ont ouvert le cadre technologique pour faire avancer les schémas d'identité numérique au moyen d'un cheval de Troie au début de 2021 - qui ont tous été défendus par le WEF et ses partenaires. Les passeports vaccinaux, selon le WEF, "servent de forme d'identité numérique" tandis qu'une "identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder - ou, inversement, ce qui nous est fermé". Alors que Schwab a mentionné les puces RFID comme une technologie permettant de suivre et de tracer les personnes et les biens, Jun a déclaré que le suivi de l'empreinte carbone pourrait être effectué avec les smartphones, l'IA (Intelligence Artificielle), les mégadonnées et les appareils Internet des objets (Internet of Things).
"Nous devons créer un catalogue consultable et convivial et le lier à de nouveaux outils, comme prendre une photo pour comprendre le carbone intégré, donc la prochaine fois, il ne s'agira pas seulement du type d'empreinte carbone de cette tasse, mais très, très spécifique - cette marque spécifique, même le lot spécifique de celle-ci », a déclaré Jun lors du Summer Davos de cette année.
"Si nous lions cela avec la technologie de l'IA (Intelligence Artificielle), puis le big data, et en particulier l'Internet des objets, il existe des moyens pour nous de proposer une mesure et un rapport instantanés de l'empreinte carbone. "J'espère que grâce à cela, nous pourrons aider les gens à faire des choix vraiment différents", a-t-il ajouté. Mais quand la carotte ne fonctionne pas, le bâton tombera lourdement. Épargnez la tige, gâtez l'enfant - seulement cette fois, l'enfant, c'est vous et moi, et la tige est un système de crédit social lié à votre identifiant numérique et à la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) qui peut être programmé et désactivé avec un interrupteur virtuel .
Actuellement, les banques et les plateformes de commerce électronique comme Alibaba commencent à mettre en œuvre des trackers d'empreinte carbone comme moyen de mesurer simplement les empreintes carbone, mais un avenir où la mesure se transforme en punition n'est peut-être pas loin.
S'exprimant lors de la réunion annuelle du WEF en 2022, le président d'Alibaba, J. Michael Evans, a annoncé que la plateforme de commerce électronique multinationale chinoise lancerait bientôt des trackers d'empreinte carbone individuels dans le but de changer les comportements d'achat et de voyage des gens. Le suivi de l'empreinte carbone individuelle semble fonctionner de la même manière que le système de crédit social du Parti communiste chinois en récompensant les personnes qui « font la bonne chose » tout en punissant celles qui « font la mauvaise chose » - la carotte contre le bâton. « Chez un milliard de consommateurs, nous développons, grâce à la technologie, une capacité pour les consommateurs à mesurer leur propre empreinte carbone », a déclaré Evans aux mondialistes non élus à Davos 2022 lors de la session « Perspectives stratégiques : consommation responsable ». "Qu'est-ce que cela signifie?" il a poursuivi en disant. "C'est là où ils voyagent, comment ils voyagent, qu'est-ce qu'ils mangent, qu'est-ce qu'ils consomment sur la plateforme. "Alors, traqueur d'empreinte carbone individuel, restez à l'écoute ! Nous ne l'avons pas encore opérationnel, mais c'est quelque chose sur lequel nous travaillons. Un outil de suivi de l'empreinte carbone individuelle n'a pas besoin de faire partie d'un système de crédit social - il peut être utilisé par les acheteurs et les voyageurs simplement comme un moyen de savoir combien ils consomment pour leurs propres besoins, mais c'est une pente glissante pour devenir un outil de crédit social.
Mesurer l'empreinte carbone individuelle est une chose ; cependant, si les gouvernements imposent le traqueur comme une question de politique pour punir ou récompenser un comportement, il devient alors un autre outil pour faire appliquer un système de crédit social. Et si les CBDC programmables et les identifiants numériques devenaient largement acceptés, il serait très facile de transformer la mesure de l'empreinte carbone en application de l'empreinte carbone. Après tout, quel serait le but de mettre en place un système pour suivre l'empreinte carbone des gens s'il ne serait pas utilisé pour taxer ou autrement punir ceux qui font "la mauvaise chose?"
En Chine, les citoyens reçoivent une note de crédit basée sur leur comportement en ligne et hors ligne. C'est un système qui récompense les "bons" comportements comme passer du temps avec les personnes âgées tout en punissant les "mauvais" comportements comme protester contre le gouvernement ou passer trop de temps à jouer à des jeux vidéo. Lorsque la "confiance" est rompue dans un domaine, des restrictions sont imposées partout - ce qui signifie que les citoyens qui commettent même des infractions mineures peuvent être interdits de voyager, d'aller au restaurant, de louer une maison ou même d'avoir une assurance. Cela est arrivé à plus de 30 millions de citoyens, selon les médias d'État chinois. Les façons dont ce type d'application du crédit social peut être mis en œuvre sont vraiment dystopiques dans le cadre de la prise de contrôle technocratique actuelle de la société connue sous le nom de grande réinitialisation, comme on l'appelle dans sa manifestation actuelle. Dépassez votre limite de carbone et vous risquez au moins une amende, ou vous ne pourrez peut-être pas voyager, acheter de la viande, régler votre thermostat ou pire.
Comment la réponse du Forum économique mondial au «changement climatique» est pratiquement la même que son approche COVID
L'objectif final dans les deux cas est de développer la base technologique pour suivre et tracer chaque personne et objet sur la planète afin d'inciter, de contraindre ou de manipuler le comportement humain individuel.
How the World Economic Forum response to ‘climate change’ is virtually the same as their COVID approach
13 juillet 2023 - (The Sociable et LifeSite News) - L'approche de la carotte ou du bâton du Forum économique mondial (WEF) en matière de politiques climatiques est pratiquement la même que pour COVID. De la recherche des contacts COVID et des passeports vaccinaux au suivi et à la mesure de l'empreinte carbone, l'objectif final est pratiquement identique - développer la base technologique pour suivre et tracer chaque personne et objet sur la planète afin d'inciter, de contraindre ou de manipuler le comportement humain individuel .
Prenez la dernière réunion annuelle des nouveaux champions du WEF (Forum Économique de Davos), alias "Summer Davos", qui a eu lieu en Chine le mois dernier ( Note – encore une preuve que les mondialistes travaillent avec les communistes – En Chine – c`est l`État communiste qui impose le système au peuple – en occident les mondialistes comptent sur les compagnies multinationales et les banques pour imposer lentement le système...) comme le dernier exemple de mondialistes non élus essayant d'inciter les gens à changer leur comportement en suivant l'empreinte carbone des produits qu'ils utilisent. S'exprimant lors d'une session intitulée "Comment rester dans les limites planétaires - carotte ou bâton?" Ma Jun, le directeur de l'ONG chinoise Institute of Public and Environmental Affairs, a déclaré que les Chinois étaient conscients de choses tangibles comme la pollution de l'air et de l'eau qu'ils pouvaient ressentir avec leurs propres sens, mais étaient moins conscients des problèmes climatiques (c'est-à-dire leur carbone), moins tangibles, mais que la mesure des empreintes carbone pourrait être la solution.
En Chine, la prise de conscience des gens du côté écologique et du côté du contrôle de la pollution est beaucoup plus élevée que du côté climatique », a déclaré Jun, ajoutant : « Du côté du climat, ce n'est toujours pas tout à fait là. Nous sommes toujours à la traîne, disons, par rapport à des régions comme l'Europe, qui peuvent avoir un tel niveau de sensibilisation du public, qui peuvent soutenir une politique publique très, très dure en matière de climat. [Je souligne.] La Chine a eu l'une des réponses les plus dures et les plus orwelliennes au COVID tout en rassemblant simultanément sa population ouïghoure pour l'internement dans des «camps de rééducation», mais cet homme dit que le Parti communiste chinois (PCC) ne peut pas soutenir des politiques dures sur le climat ?
Quoi qu'il en soit, Jun a poursuivi en expliquant : « En Chine, le gouvernement a créé cet engagement 30-60, mais les gens n'ont pas vraiment lié leur vie quotidienne à cela, alors comment créons-nous ces liens ? «Ce n'est pas comme le smog; ce n'est pas aussi palpable que la pollution de l'eau et la pollution de l'air, nous devons donc créer ces [liens]. Pour approfondir son propos, Jun a brandi une tasse d'eau pour expliquer comment son empreinte carbone pouvait être suivie et tracée du berceau à la porte et jusqu'à la tombe. Il a déclaré qu'avec la technologie émergente, les gens pouvaient prendre une photo d'une tasse et trouver toutes sortes d'informations sur l'ensemble de son cycle de vie tout en mesurant son empreinte carbone.
Le fondateur du WEF (Forum Économique Mondial), Klaus Schwab, l'avait prédit dans son livre de 2017 "La quatrième révolution industrielle". Schwab a écrit: «Tout colis, palette ou conteneur peut désormais être équipé d'un capteur, d'un émetteur ou d'une étiquette d'identification par radiofréquence (RFID) qui permet à une entreprise de suivre où il se trouve tout au long de la chaîne d'approvisionnement - comment il fonctionne , comment il est utilisé, etc. "Dans un avenir proche, des systèmes de surveillance similaires seront également appliqués aux déplacements et au suivi des personnes", a-t-il ajouté. [Je souligne.] Les paroles de Schwab deviendraient prophétiques pendant la pandémie.
Ce qui a commencé avec la recherche et la surveillance numériques des contacts en 2020 s'est rapidement transformé en passeports vaccinaux, qui ont ouvert le cadre technologique pour faire avancer les schémas d'identité numérique au moyen d'un cheval de Troie au début de 2021 - qui ont tous été défendus par le WEF et ses partenaires. Les passeports vaccinaux, selon le WEF, "servent de forme d'identité numérique" tandis qu'une "identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder - ou, inversement, ce qui nous est fermé". Alors que Schwab a mentionné les puces RFID comme une technologie permettant de suivre et de tracer les personnes et les biens, Jun a déclaré que le suivi de l'empreinte carbone pourrait être effectué avec les smartphones, l'IA (Intelligence Artificielle), les mégadonnées et les appareils Internet des objets (Internet of Things).
"Nous devons créer un catalogue consultable et convivial et le lier à de nouveaux outils, comme prendre une photo pour comprendre le carbone intégré, donc la prochaine fois, il ne s'agira pas seulement du type d'empreinte carbone de cette tasse, mais très, très spécifique - cette marque spécifique, même le lot spécifique de celle-ci », a déclaré Jun lors du Summer Davos de cette année.
"Si nous lions cela avec la technologie de l'IA (Intelligence Artificielle), puis le big data, et en particulier l'Internet des objets, il existe des moyens pour nous de proposer une mesure et un rapport instantanés de l'empreinte carbone. "J'espère que grâce à cela, nous pourrons aider les gens à faire des choix vraiment différents", a-t-il ajouté. Mais quand la carotte ne fonctionne pas, le bâton tombera lourdement. Épargnez la tige, gâtez l'enfant - seulement cette fois, l'enfant, c'est vous et moi, et la tige est un système de crédit social lié à votre identifiant numérique et à la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) qui peut être programmé et désactivé avec un interrupteur virtuel .
Actuellement, les banques et les plateformes de commerce électronique comme Alibaba commencent à mettre en œuvre des trackers d'empreinte carbone comme moyen de mesurer simplement les empreintes carbone, mais un avenir où la mesure se transforme en punition n'est peut-être pas loin.
S'exprimant lors de la réunion annuelle du WEF en 2022, le président d'Alibaba, J. Michael Evans, a annoncé que la plateforme de commerce électronique multinationale chinoise lancerait bientôt des trackers d'empreinte carbone individuels dans le but de changer les comportements d'achat et de voyage des gens. Le suivi de l'empreinte carbone individuelle semble fonctionner de la même manière que le système de crédit social du Parti communiste chinois en récompensant les personnes qui « font la bonne chose » tout en punissant celles qui « font la mauvaise chose » - la carotte contre le bâton. « Chez un milliard de consommateurs, nous développons, grâce à la technologie, une capacité pour les consommateurs à mesurer leur propre empreinte carbone », a déclaré Evans aux mondialistes non élus à Davos 2022 lors de la session « Perspectives stratégiques : consommation responsable ». "Qu'est-ce que cela signifie?" il a poursuivi en disant. "C'est là où ils voyagent, comment ils voyagent, qu'est-ce qu'ils mangent, qu'est-ce qu'ils consomment sur la plateforme. "Alors, traqueur d'empreinte carbone individuel, restez à l'écoute ! Nous ne l'avons pas encore opérationnel, mais c'est quelque chose sur lequel nous travaillons. Un outil de suivi de l'empreinte carbone individuelle n'a pas besoin de faire partie d'un système de crédit social - il peut être utilisé par les acheteurs et les voyageurs simplement comme un moyen de savoir combien ils consomment pour leurs propres besoins, mais c'est une pente glissante pour devenir un outil de crédit social.
Mesurer l'empreinte carbone individuelle est une chose ; cependant, si les gouvernements imposent le traqueur comme une question de politique pour punir ou récompenser un comportement, il devient alors un autre outil pour faire appliquer un système de crédit social. Et si les CBDC programmables et les identifiants numériques devenaient largement acceptés, il serait très facile de transformer la mesure de l'empreinte carbone en application de l'empreinte carbone. Après tout, quel serait le but de mettre en place un système pour suivre l'empreinte carbone des gens s'il ne serait pas utilisé pour taxer ou autrement punir ceux qui font "la mauvaise chose?"
En Chine, les citoyens reçoivent une note de crédit basée sur leur comportement en ligne et hors ligne. C'est un système qui récompense les "bons" comportements comme passer du temps avec les personnes âgées tout en punissant les "mauvais" comportements comme protester contre le gouvernement ou passer trop de temps à jouer à des jeux vidéo. Lorsque la "confiance" est rompue dans un domaine, des restrictions sont imposées partout - ce qui signifie que les citoyens qui commettent même des infractions mineures peuvent être interdits de voyager, d'aller au restaurant, de louer une maison ou même d'avoir une assurance. Cela est arrivé à plus de 30 millions de citoyens, selon les médias d'État chinois. Les façons dont ce type d'application du crédit social peut être mis en œuvre sont vraiment dystopiques dans le cadre de la prise de contrôle technocratique actuelle de la société connue sous le nom de grande réinitialisation, comme on l'appelle dans sa manifestation actuelle. Dépassez votre limite de carbone et vous risquez au moins une amende, ou vous ne pourrez peut-être pas voyager, acheter de la viande, régler votre thermostat ou pire.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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