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4 AOUT : FETE DE SAINT DOMNIQUE ET DE SAINT JEAN-MARIE VIANNEY

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4 AOUT : FETE DE SAINT DOMNIQUE ET DE SAINT JEAN-MARIE VIANNEY Empty 4 AOUT : FETE DE SAINT DOMNIQUE ET DE SAINT JEAN-MARIE VIANNEY

Message par Hervé J. VOLTO Dim 4 Aoû 2024 - 13:37

4 aout : fête de Saint Dominique Confesseur

Dominique Nuñez de Guzman (en espagnol : Domingo Núñez de Guzmán), né vers 1170 à Caleruega en Espagne et mort le 6 août 1221 à Bologne en Italie, est un religieux catholique, prêtre, fondateur de l'ordre des frères prêcheurs appelés couramment « dominicains ».

Canonisé par l'Église en 1234, il est célèbre sous le nom de saint Dominique. Comme sa « naissance au ciel » fut le 6 août, fête de la Transfiguration, sa mémoire liturgique fut déplacée à plusieurs reprises et est désormais célébrée le 8 août, el 4 chaez les Catholiques de tradition.

La vie de Saint Dominique est connue principalement par des Vitæ, Légendes et miracles, textes hagiographiques au fort pouvoir apologétique écrits entre 1221 et la fin du xiiie siècle, et dont l'historicité des récits est interrogée par la critique historique. Selon une légende analogue à celles de plusieurs naissances de saints (saint Isidore, Jean Chrysostome), après avoir été en pèlerinage à l'abbaye Saint-Dominique de Silos, la mère de Dominique (Dominicus en latin, ce qui signifie « celui qui appartient au Seigneur ») aurait vu en songe, pendant sa grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint dont le prénom a été choisi en référence à l'abbé Dominique de Silos vénéré par sa mère, avec de plus un calembour en latin sur les futurs dominicains, dominicanes, assimilés à des chiens du Seigneur10. L'hagiographe Jourdain utilise dans ses récits édifiants de nombreux autres topoï hagiographiques : sa mère aurait vu une lune sur le front du petit, des abeilles se seraient posées sur les lèvres du nouveau-né.

Traversant ce qu'on appelle aujourd'hui l'Occitanie, Dominique y rencontre l'hérésie des « bons hommes » ou « bons chrétiens » ou « cathares ». Certains des éléments qui serviront de justification à la Réforme protestante sont déjà présents à cette époque. La richesse de l'Église, en particulier, fait scandale parmi des chrétiens qui finissent par se laisser séduire par les idées des vaudois et des « pûrs ».

Jusqu'à la fin du xiie siècle, les papes avaient tenté, en vain, d'enrayer le phénomène sur deux plans : des campagnes militaires menées par des évêques dont les victoires sanglantes restaient sans lendemain et des prêches menés avec faste par les cisterciens avec saint Bernard à leur tête, comme ce fut le cas à Albi en 1145. L'Église ne parvient pas davantage, à cette époque, à contrer l'hérésie adoptée par une partie du peuple, tandis que les théologiens hérétiques allient à leur culture religieuse un style de prêche qui touche les petites gens. L'hérésie est finalement condamnée en 1184, les deux mouvements, pourtant distincts, étant confondus.

À son retour du Danemark, après un deuxième voyage en 1205, Dominique passe par Rome et Cîteaux, puis s'arrête en Languedoc, apparemment résolu à combattre l'hérésie à la demande du pape Innocent III. Alors qu'il voulait avec son évêque Diego de Acebo évangéliser les Coumans d'Ukraine, il aurait reçu l'ordre du pape d'assister les cisterciens qui tentaient en vain de rechristianiser les Albigeois. L'assassinat du légat du pape, le cistercien Pierre de Castelnau, imputé à Raymond VI de Toulouse, déclenche en 1209 la croisade des albigeois Et en 1206, en Languedoc, Saint-Dominique, pour défendre l’Eglise contre les attaques des hérétiques Albigeois, demanda l’assistance du Roi de France, Philippe II Auguste. Saint-Dominique va essayer de convertir les cathares avec pour seule arme l’Évangile. Son modèle est la prédication itinérante de Jésus. Le Roi de France Philippe II Auguste lui donne une escorte : c’est l’Ordre du Saint-Empire de la Croix et de la Foi de Jésus-Christ, appellé parfois Ordre de la Croix de Jésus-Christ, ou Ordre de la Croix, ou en fin Ordre de la Foi !!!
https://forumarchedemarie.forumperso.com/t17132-la-foi-catholique-en-action-l-ordre-des-chevaliers-de-la-croix

L’emblême de l’Ordre est une Croix fleurdelysée écartelée noir et blanche
https://conseildansesperanceduroi.files.wordpress.com/2021/05/unnamed.png
qui rappelle la Croix dominicaine, emblême des Frères Précheurs né à Toulouse sous l’impulsion de Dominique de Guzmàn, plus connut sous le nom de Saint Dominique en 1215
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Pr%C3%AAcheurs

Le blanc représente la bannière du Christ, le noir indique que les Chrétiens sont engagés dans l’action terrestre. L’affrontement d’ombre et de lumière qu’il impose au Chevalier est une épreuve de Dieu et qui convie l’homme à remporter la victoire. Appel d’avant-garde du Croisé, humble parce qu’il n’est pas fait que de lumière mais efficace parce qu’il porte la Croix, et le caractère fleurdelysé de la Croix rappelle son oririgine Royale.

Philippe Auguste va jusqu’à déléguer son propre fils, le Prince Louis, futur Louis VIII le Lion, père de Saint-Louis. On est alors en plein Croisade des Albigeois (1206-1229), une Croisade -redisons-le- proclamée par l’Eglise Catholique contre l’hérésie Cathare et dans une faible mesure le valdéisme qui en est issu. Dès le XII° siècle et le Concile de Lombers, les textes de l’époque parlent d’« hérésie albigeoise » .

Les permiers membres de l'Ordre des Chevaliers de la Croix sont Louis le Lion, Foulquet de Marselha, l'Eveque de Toulouse, Capelian de l'Ordre, Simon de Montfort, V° Comte de Leicester , et Saint-Dominique, fondateur des Frères Prêcheurs.

En juin 1221 , L'Ordre de la Croix semble avoir été approuvé par le pape Honorius III, qui lui a donné la permission d' observer les ordonnances de l'Ordre du Temple. En juillet, le pape semble avoir transféré toute autorité sur la fondation de l'ordre (et donc sa survie) au Légat papal Conrad d'Urach.

L'Ordre de la Croix a été décrit comme une confrérie pénitentielle en plus d'être un Ordre militaire à part entière, mais Ordre Militaire, Hospitalier et religieux, il doit combattre le catarisme spirituellement autant que militairement. Les Chevaliers de la Croix récitent le Rosaire lorsqu'ils sont à cheval. Les croisés suivent Saint-Dominique dans les places conquises où il cherche à obtenir des conversions. Les Chevaliers sont très préparés spirituellement à leur mission :

-Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus-Christ. Il n’est pas de soldat qui s’embarrasse des affaires de la vie, s’il veut plaire à celui qui l’a enrôlé (2 Timothée 2:3-4).

L'intégralité de la foi Catholique devrait nous pousser VERS UN COMBAT DE DEFENSE DE LA FOI.

-Ne nous endormons pas, comme font les autres, mais restons éveillés et sobres... Revêtons la cuirasse de la foi et de la charité, avec le casque de l'espérance du salut (I Thimotée 5:6-8).

Par le rite de l'Adoubement, le Chevalier reçoit officiellement la mission de combattre les ennemis de Dieu et de l'homme, et "d'élargir ici-bas les frontières du Royaume de Dieu", avec la grâce nécessaire pour l'accomplir.

-Tenez-vous donc debout, avec la Vérité pour ceinture, la Justice pour cuirasse, et pour chaussures le Zèle à propager l'Evangile de la paix ; ayez toujours en main le bouclier de la Foi, grâce auquel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Mauvais ; enfin recevez le casque du Salut et le glaive de l'Esprit, c'est-à-dire la Parole de Dieu (Eph. 6:14-17) !

Pour un Chevalier, le combat doit parfois descendre dans le plan matériel :

-Ce n'est pas pour une bonne action, c'est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l'autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation. Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal (Romains 13:3-4).

Pour concurrencer une institution cathare, Dominique établit à Fanjeaux (à l'époque Prouilhe) dès 1206 le premier monastère de femmes (noyau des futures dominicaines), en utilisant l'ancienne église et quelques dépendances, dont la majeure partie est donnée par Guillaume et Raymonde Claret. En 1207 Dominique participe au colloque de Pamiers, appelé aussi « colloque de Montréal » qui est le dernier débat contradictoire entre les cathares et l'Église. Le légat Arnaud Amaury lui fixe une « diète17 », territoire à évangéliser autour de Prouilhe, avec notamment les places fortes cathares de Fanjeaux et Montréal18. Une légende19 dont la source semble être le Rosarium (long poème marial composé par un dominicain au milieu du xive siècle) ; il attribue à Dominique l'apparition de la Vierge en 1208 à Prouilhe, elle se serait montrée à lui sous le vocable de Notre-Dame du Rosaire. Le dominicain Alain de La Roche propage au xve siècle le Rosaire, méthode de méditation sur la vie du Christ.

Le 25 avril 1215 il s'établit à Toulouse, avec quelques proches, dans des bâtiments donnés par Pierre Seila ou Pierre Seilhan, visibles aujourd'hui au no 7, place du Parlement. L'installation dans une ville a pour premier but l'étude, Dominique bénéficiant des leçons d'un maître. Son ordre accompagne la création de l'université de Toulouse. Foulques, évêque de Toulouse, collaborateur de Dominique depuis 1206, l'autorise à prêcher dans tout le territoire de Toulouse. Au mois de novembre, Dominique et Foulques se rendent à Rome, au IVe concile du Latran : là, avec le pape Innocent III, ils projettent l'établissement d'un ordre des Prêcheurs, moines qui s'engagent à la pauvreté et la prédication, mais après avoir reçu une solide formation doctrinale pour mieux réfuter les hérésies.

À la même époque, Simon de Montfort, à la tête d'une armée de croisés, extermine les albigeois par le fer et par le feu (1205-1215). Dominique opère un grand nombre de conversions par la seule persuasion ; il ne prend aucune part à la guerre, ne voulant d'autres armes que la prédication, la prière et les bons exemples. Quand Simon de Montfort exagèrera dans les massacres de civils dèsarmés, le pape l'excomuniquera. Il commencera par perdre ses batailles et mourra au combat. C'est Louis le Lion, fisl de Philippe le Bel et père du futur Saint Louis, qui contunera la Croisade, ordonnant aux Chevaliers de la Croix de ne lever la main que sur des hommes armés.

Ainsi, et peut-être inspiré par le tout récent ordre mendiant de François d'Assise, Dominique fonde en 1216 l'ordre des Prêcheurs, mieux connu aujourd'hui sous le nom de dominicains qui seront, à l'inverse des franciscains, invités à s'instruire sans relâche. Un an avant la constitution officielle de l'ordre, Innocent III demande à Dominique de s'inscrire dans une tradition existante. Une règle inspirée de celle de saint Augustin est alors choisie, et c'est le pape suivant Honorius III, qui autorise l'établissement de l'ordre en décembre 1216 ou, selon certains, en janvier 1217. Tous les Chevaliers de la Croix en deviendront Tiers Ordre Dominicain.

Le 15 août 1217, Dominique disperse ses seize premiers frères qui se fixent dans les villes universitaires (Bologne, Paris, Toulouse, Oxford, Cologne) où la qualité de leur enseignement leur permet de briguer rapidement les chaires de faculté. Il répond ainsi à la recommandation du quatrième concile du Latran qui invite les évêques à doter leurs diocèses de prédicateurs instruits. Au chapitre de Bologne (1220), Dominique donne ses premières structures à l’ordre des frères prêcheurs, dans une première règle datée de 1220, la Regula prima, modifiée parce que jugée comme trop sévère par le souverain pontife, puis officiellement confirmée par le pape Honorius III le 29 novembre 1223 dans la bulle Solet annuere, ou Regula bullata. À sa tête est placé un maître, auquel sont soumis tous les prêcheurs. Un chapitre général est réuni tous les ans, élaborant les règlements de l’ordre et disposant du pouvoir judiciaire. La règle de l’Ordre est celle des chanoines de saint Augustin. Elle accorde une large place à la prière liturgique et à la méditation. L’Ordre ne doit avoir ni revenus ni propriétés, et doit pratiquer la mendicité conventuelle. Seule est admise la possession du couvent par la communauté et de livres par chacun des frères. Chaque couvent se transforme en maison d’étude (studium) et chaque province dispose de centres d’études biblique et théologique.

Il emploie ses dernières années à répandre son institut, qui bientôt compte de nombreux couvents en France, en Italie, en Espagne.

Le 6 août 1221, Dominique meurt à Bologne après une longue maladie. Il est canonisé le 3 juillet 1234 par Grégoire IX, qui fixe sa fête au 5 août (un an avant que l'ordre fondé par Dominique ne soit impliqué par le pape dans une nouvelle méthode de lutte contre l'hérésie : l'Inquisition), pour éviter la concurrence avec la mémoire du pape Sixte II, fêté le 6 août. A partir de 1559, la fête de Notre Dame des neiges, fêtée le 5 août, décalera de nouveau la fête de saint Dominique qui sera célébrée le 4 août. Aujourd'hui, Saint Dominique est fêté le 8 août, le 4 août étant devenu la fête de saint Jean-Marie Vianney : nous reviendrons sur Saint Dominique le 8 aout.

Son sépulcre (arca di San Domenico en italien) se trouve dans la basilique qui porte son nom dans la ville de Bologne, plus précisément dans une chapelle qui lui est dédiée.

Quand à l'ordre de la Croix, encouragée au cours des siècles par de nombreux Papes, il traversa les siècles en tant qu’Ordre de Chevalerie, sous diverses appellations. Ces Chevaliers seront les “Bons Chevaliers de Joinville” qui partageront sous le nom de Gendarmes de Jésus-Christ la captivité de Saint-Louis avant de l’ider à réformer le Royaume Saint de Jérusalem. En Espagne, un Ordre de la Croix de Saint Dominique ou Ordre de la Milice de Saint-Dominique prend part à la Reconquista. En Italie, un Ordre de Saint-Dominique et Saint-Pierre Martyre combat les pirates barbaresques qui infestent les côtes des Etats de l’Eglise et devient le bras armé de l’Eglise lors de la Contre-Réforme Catholique. Il est absorbé par une Milice de Jésus-Christ (italien : Milizia di Gesù Cristo, ancien ordre militaire en Lombardie au Haut Moyen Âge), fondée à Parme par Barthélemy, évêque de Vicence, dominicain, en 1233 et approuvée par le pape Grégoire IX, qui lui donna une règle en 1234, et la plaça sous la juridiction des dominicains.

L'Ordre susbsiste aujourd'hui en Italie où il se développe sous le nom d’Ordre de la Milice de Jésus-Christ comme une institution Chevaleresque dont les membres, laïcs courageux et fidèles, se mettent au service de l’Église pour la défense de la Foi. En 1870, l’Ordre chevaleresque de la Militia Christi se réorganise à Rome autour d’un cercle d’officiers pontificaux qui, assistés du Maître Général des dominicains et encouragés par Pie IX, relancent l’esprit de la vieille institution en orientant ses membres vers la construction du Royaume de Dieu dans la société. En 1887 paru la CONSTITUTION DE L’ ORDRE DE LA MILICE DE JESUS-CHRIST : l'Ordre de la Milice de Jésus-Christ est organisée en trois départements (Hospitalité, Rosaire et Vie spirituelle, Vérité). Elle demande à ses membres (au nombre d’environ 400) de se mettre – individuellement ou collectivement – au service de leur diocèse et paroisse, ou d’apporter leur collaboration à des associations de bienfaisance présentes à proximité. Par le biais des « Œuvres Militia Christi », elle soutient financièrement des projets concrets, tandis que l’association civile « Militia Christi Éducation » s’occupe de rassembler des livres de théologie et de philosophie pour des institutions catholiques.

La Constitution de l'Ordre développe la Milice de Jésus-Christ comme une institution Chevaleresque dont les membres, laïcs courageux et fidèles tiers Ordre Dominicains, se mettent au service de l’Église pour la défense de la Foi.




4 aout : fête de Saint-Jean- Marie Vianney, curé d'Ars

Mémoire de saint Jean-Marie Vianney, prêtre. Curé de la paroisse d'Ars, au diocèse de Belley, pendant plus de quarante ans, jusqu'à sa mort en 1859, il accomplit son ministère d'une manière admirable par sa prédication, sa prière continue et son exemple de pénitence. Chaque jour, il catéchisait enfants et adultes, réconciliait les pénitents, et une telle charité, puisée dans la sainte Eucharistie comme à sa source, resplendissait en lui qu'on venait de loin rechercher ses conseils, et qu'il conduisit à Dieu, avec sagesse, un grand nombre de personnes.

Jean-Marie Vianney a grandi en pleine période de troubles révolutionnaires, c'est à dire aussi de persécution religieuse. Ainsi, Jean-Marie recevra sa première communion dans la clandestinité. Le jeune campagnard, qui n'a jamais fréquenté l'école, voudrait devenir prêtre mais son père est réticent. A vingt ans, il commence ses premières études, mais il est si peu doué pour les études que le séminaire de Lyon, où il a fini par entrer, décide de le renvoyer. Il parvient quand même à se présenter à l'ordination sacerdotale à Grenoble(*). Après un premier ministère à Ecully, il est nommé curé dans une petite paroisse de 230 habitants: Ars, à 40 km de Lyon. Il y restera jusqu'à sa mort. Sa bonté, la joie dont il rayonne, ses longues heures de prière devant le Saint-Sacrement, impressionnent peu à peu ses paroissiens. Pour écouter, réconforter et apaiser chacun, il reste jusqu'à seize ou dix huit heures par jour au confessionnal. Saint Jean-Marie VianneyPendant les dernières années de sa vie, jusqu'à 100.000 pèlerins viendront chaque année pour entendre une parole de réconfort et de paix de la part de ce curé ignorant de tout, mais non pas du cœur des hommes ni de celui de Dieu. Complètement donné à sa tâche pastorale, épuisé, il aura ce mot vers la fin de sa vie: «Qu'il fait bon de mourir quand on a vécu sur la croix». Il est exaucé le 4 août 1859 quand il meurt à l'âge de 74 ans.
___

(*) En 1815, la chapelle du Grand séminaire, à deux pas de la cathédrale, accueille l'ordination du curé d'Ars, fait patron de tous les curés du monde par Pie X en 1905 (diocèse de Grenoble).

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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4 AOUT : FETE DE SAINT DOMNIQUE ET DE SAINT JEAN-MARIE VIANNEY Empty Re: 4 AOUT : FETE DE SAINT DOMNIQUE ET DE SAINT JEAN-MARIE VIANNEY

Message par Hervé J. VOLTO Dim 4 Aoû 2024 - 13:40

4 août : fête de Saint Jean-Marie Vianney, céleste patron de tous les prêtres de France, et de tous les curés de l'univers

Litanies de Saint Jean-Marie Vianney
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2022/08/08/litanies-de-saint-jean-marie-vianney/

On trouve aussi dans le blogue du Mesnil Marie d'autres perles relatives à Saint Jean-Marie Vianney comme par exemple ce discours de feu le Pape Benoît XVI à l'adresse des prêtres et des évêques dans lequel Sa Sainteté insistait sur le fait que le Saint Curé reste leur modèle
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2009/04/15/178/

et ces sermons ou extraits de sermon du Saint Curé :

- sur la Présence Réelle >>>
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2016/05/25/2016-39-il-est-la-dans-le-sacrement-de-son-amour/
- sur l'attitude qu'il convient d'adopter à l'église >>>
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2022/06/22/2022-74-du-respect-que-lon-doit-avoir-dans-les-eglises/
- ou encore ce sermon sur les grandeurs de Marie >>>
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2017/08/22/2017-69-le-triomphe-de-la-sainte-vierge-dans-le-ciel-est-la-consommation-de-tous-les-merites-de-cette-auguste-reine-du-ciel-et-de-la-terre/

Et, à l'occasion de la fête de Saint Jean-Marie Vianney, ces réflexions de feu le Maître-Chat Lully au sujet de la "pauvreté" dans les édifices et objets du culte
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2014/08/08/2014-80-la-pauvrete-sarrete-au-pied-de-lautel/

Hervé J. VOLTO

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