3 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE DE L'ENFANT JESUS
Page 1 sur 1
3 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE DE L'ENFANT JESUS
1° octobre : fête de Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus (+1897)
Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, plus connue sous les noms de sainte Thérèse de Lisieux et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, est une religieuse carmélite française née à Alençon, dans l'Orne, le 2 janvier 1873 et morte à l'âge de vingt-quatre ans à Lisieux, dans le Calvados, le 30 septembre 1897.
Dernière née de Louis et Zélie Martin, commerçants à Alençon, Thérèse Martin perd sa mère à l'âge de quatre ans. Sa famille s'installe alors à Lisieux, aux Buissonnets. Elle grandit dans un milieu très fervent, entourée de ses quatre sœurs aînées qui entreront toutes au couvent. Pauline est la première à entrer au carmel de Lisieux, suivie de Marie. Ayant elle aussi ressenti un appel à la vie religieuse, elle entre à son tour au carmel à l'âge de quinze ans, après être allée en pèlerinage à Rome pour demander au pape Léon XIII une dispense en raison de son jeune âge. Après neuf années de vie religieuse, elle meurt de tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de vingt-quatre ans.
Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d’une famille chrétienne où elle grandit « entourée d’amour ». Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et le quintette de ses filles s’installent alors à Lisieux pour se rapprocher d’une partie de sa famille.
Deuxième drame qui ébranle Thérèse : sa sœur Pauline puis sa sœur Marie entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance, dans « une course de géant », vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu’à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d’entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888.
Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa « petite voie » d’abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s’offre à l’amour miséricordieux de Dieu. Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie, pour le salut des pécheurs qui n’ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre « une pluie de roses » et de passer son ciel à faire du bien sur la terre.
Déclarée sainte et docteur de l'église par l'Église catholique, elle est une des plus grandes mystiques du xixe siècle. Inconnue de son vivant, sa renommée et sa dévotion se sont répandues dans le monde entier après la publication de ses écrits autobiographiques, sous le titre Histoire d'une âme.
Dans les deux dernières années de sa vie, Thérèse de l'Enfant-Jésus écrit à la demande de ses supérieures le récit de son parcours spirituel depuis son enfance. La publication posthume de ces manuscrits, sous le titre Histoire d'une âme, rencontre un immense succès en France et à l'étranger. Sa dévotion et sa réputation de sainteté se diffusent rapidement au début du xxe siècle, y compris parmi les poilus pendant la Première Guerre Mondiale.
Elle est béatifiée en 1923 et canonisée en 1925 par le pape Pie XI, qui la déclare sainte patronne des missions en 1927, consacrant son désir de vie missionnaire. Elle est proclamée sainte patronne secondaire de la France en 1944 par le pape Pie XII, au même titre que Jeanne d'Arc, qu'elle admirait. Lors du centenaire de sa mort en 1997, elle est proclamée 33e docteur de l'Église par le pape Jean-Paul II, devenant la troisième sainte élevée à ce rang après Thérèse d'Avila et Catherine de Sienne. Elle est fêtée dans l'Église catholique le 1er octobre.
Sa spiritualité de la « petite voie » ou de « l'enfance spirituelle » a inspiré de nombreux croyants dans le monde. Elle consiste à rechercher la sainteté dans les actes de la vie quotidienne, en reconnaissant avec humilité ses imperfections et en s'appuyant, comme un enfant, sur la confiance en la miséricorde divine. Dans ses écrits, elle met l'amour au centre de la vie chrétienne. Plusieurs thèmes de sa pensée spirituelle seront mis en avant par le Concile Vatican II.
La basilique Sainte-Thérèse de Lisieux, construite de 1929 à 1954, reçoit près d'un million de visiteurs par an, faisant de Lisieux le deuxième lieu de pèlerinage français après Lourdes. Les reliques de la sainte, conservées au carmel de Lisieux, ont voyagé dans une soixantaine de pays.
Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant, et de nombreux témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère. Proclamée patronne des missions de l’Église universelle, elle est docteur de l’Église en 1997.
-Je puis donc, malgré ma petitesse, aspirer à la sainteté. Me grandir, c’est impossible, mais je veux chercher le moyen d’aller au ciel par une petite voie bien droite, bien courte et toute nouvelle. Et j’ai lu : « Si quelqu’un est tout petit, qu’il vienne à moi ». Alors, je suis venue (Sainte Thérèse – Histoire d’une âme).
-La perfection consiste à faire la volonté de Dieu, à être ce qu’il veut que nous soyons. L’amour de Notre Seigneur se révèle aussi bien dans l’âme la plus simple qui ne résiste en rien à la grâce que dans l’âme la plus sublime (Sainte Thérèse – Histoire d’une âme).
Si le témoigane de votre serviteur peut servir : son nom de famille VOLTO signifiant " visage " ou " face " en italien
https://www.heraldrysinstitute.com/lang/it/cognomi/Volto/idc/876403/
il ne pouvait qu'être dévôt à la Sainte Face de N.S. Jésus-Christ
Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, plus connue sous les noms de sainte Thérèse de Lisieux et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, est une religieuse carmélite française née à Alençon, dans l'Orne, le 2 janvier 1873 et morte à l'âge de vingt-quatre ans à Lisieux, dans le Calvados, le 30 septembre 1897.
Dernière née de Louis et Zélie Martin, commerçants à Alençon, Thérèse Martin perd sa mère à l'âge de quatre ans. Sa famille s'installe alors à Lisieux, aux Buissonnets. Elle grandit dans un milieu très fervent, entourée de ses quatre sœurs aînées qui entreront toutes au couvent. Pauline est la première à entrer au carmel de Lisieux, suivie de Marie. Ayant elle aussi ressenti un appel à la vie religieuse, elle entre à son tour au carmel à l'âge de quinze ans, après être allée en pèlerinage à Rome pour demander au pape Léon XIII une dispense en raison de son jeune âge. Après neuf années de vie religieuse, elle meurt de tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de vingt-quatre ans.
Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d’une famille chrétienne où elle grandit « entourée d’amour ». Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et le quintette de ses filles s’installent alors à Lisieux pour se rapprocher d’une partie de sa famille.
Deuxième drame qui ébranle Thérèse : sa sœur Pauline puis sa sœur Marie entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance, dans « une course de géant », vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu’à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d’entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888.
Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa « petite voie » d’abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s’offre à l’amour miséricordieux de Dieu. Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie, pour le salut des pécheurs qui n’ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre « une pluie de roses » et de passer son ciel à faire du bien sur la terre.
Déclarée sainte et docteur de l'église par l'Église catholique, elle est une des plus grandes mystiques du xixe siècle. Inconnue de son vivant, sa renommée et sa dévotion se sont répandues dans le monde entier après la publication de ses écrits autobiographiques, sous le titre Histoire d'une âme.
Dans les deux dernières années de sa vie, Thérèse de l'Enfant-Jésus écrit à la demande de ses supérieures le récit de son parcours spirituel depuis son enfance. La publication posthume de ces manuscrits, sous le titre Histoire d'une âme, rencontre un immense succès en France et à l'étranger. Sa dévotion et sa réputation de sainteté se diffusent rapidement au début du xxe siècle, y compris parmi les poilus pendant la Première Guerre Mondiale.
Elle est béatifiée en 1923 et canonisée en 1925 par le pape Pie XI, qui la déclare sainte patronne des missions en 1927, consacrant son désir de vie missionnaire. Elle est proclamée sainte patronne secondaire de la France en 1944 par le pape Pie XII, au même titre que Jeanne d'Arc, qu'elle admirait. Lors du centenaire de sa mort en 1997, elle est proclamée 33e docteur de l'Église par le pape Jean-Paul II, devenant la troisième sainte élevée à ce rang après Thérèse d'Avila et Catherine de Sienne. Elle est fêtée dans l'Église catholique le 1er octobre.
Sa spiritualité de la « petite voie » ou de « l'enfance spirituelle » a inspiré de nombreux croyants dans le monde. Elle consiste à rechercher la sainteté dans les actes de la vie quotidienne, en reconnaissant avec humilité ses imperfections et en s'appuyant, comme un enfant, sur la confiance en la miséricorde divine. Dans ses écrits, elle met l'amour au centre de la vie chrétienne. Plusieurs thèmes de sa pensée spirituelle seront mis en avant par le Concile Vatican II.
La basilique Sainte-Thérèse de Lisieux, construite de 1929 à 1954, reçoit près d'un million de visiteurs par an, faisant de Lisieux le deuxième lieu de pèlerinage français après Lourdes. Les reliques de la sainte, conservées au carmel de Lisieux, ont voyagé dans une soixantaine de pays.
Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant, et de nombreux témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère. Proclamée patronne des missions de l’Église universelle, elle est docteur de l’Église en 1997.
-Je puis donc, malgré ma petitesse, aspirer à la sainteté. Me grandir, c’est impossible, mais je veux chercher le moyen d’aller au ciel par une petite voie bien droite, bien courte et toute nouvelle. Et j’ai lu : « Si quelqu’un est tout petit, qu’il vienne à moi ». Alors, je suis venue (Sainte Thérèse – Histoire d’une âme).
-La perfection consiste à faire la volonté de Dieu, à être ce qu’il veut que nous soyons. L’amour de Notre Seigneur se révèle aussi bien dans l’âme la plus simple qui ne résiste en rien à la grâce que dans l’âme la plus sublime (Sainte Thérèse – Histoire d’une âme).
Si le témoigane de votre serviteur peut servir : son nom de famille VOLTO signifiant " visage " ou " face " en italien
https://www.heraldrysinstitute.com/lang/it/cognomi/Volto/idc/876403/
il ne pouvait qu'être dévôt à la Sainte Face de N.S. Jésus-Christ
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Sujets similaires
» 1° OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE DE L'ENFANT JESUS
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
» 15 octobre fête de Sainte Thérèse d'Avila
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
» 15 octobre fête de Sainte Thérèse d'Avila
» 15 OCTOBRE : FETE DE SAINTE THERESE D'AVILA
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum