13 OCTOBRE : FETE DE SAINT EDOUARD LE CONFESSEUR DE SAINT GERAUD D'AURILLAC ET DE N.D. DE FATIMA
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13 OCTOBRE : FETE DE SAINT EDOUARD LE CONFESSEUR DE SAINT GERAUD D'AURILLAC ET DE N.D. DE FATIMA
13 octobre : fête de Saint Édouard, Roi et confesseur
Dernier Roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant. Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire.
Édouard le Confesseur, né entre 1003 et 1005, mort le 5 janvier 1066, est Roi d'Angleterre de 1042 à sa mort en 1066.
Fils du roi Æthelred le Malavisé et de sa deuxième femme Emma de Normandie, il passe sa jeunesse en exil en Normandie à la suite de la conquête de l'Angleterre par Knut le Grand, en 1016. Il est rappelé en Angleterre en 1041 par le fils de Knut, Hardeknut, qui meurt l'année suivante sans descendance, ce qui permet à Édouard de monter sur le trône.
Le règne d'Édouard est marqué par ses relations avec le Comte Godwin de Wessex, qui est le plus puissant des nobles d'Angleterre à son arrivée au pouvoir, puis ses enfants. En 1045, le roi épouse Édith, la fille du Comte. La famille de Godwin est contrainte à l'exil en 1051, mais elle est rétablie dans ses domaines et prérogatives dès l'année suivante. À la mort du comte, en 1053, c'est son fils Harold qui devient le chef de la famille et le principal Comte du Royaume.
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire. Les Danois avec le Roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark. Edmond "Côte de Fer" Prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie. Edouard, son demi-frère, revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible. Les expéditions danoises échouèrent. Le Royaume connut une période moins troublée ous le règen de saint Edouard. Son épouse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite. Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Ecosse, ce qui n'empêcha pas Saint Edouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres. Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa cathédrale. Saint Édouard le Confesseur, qui fut très aimé de son peuple à cause de sa remarquable charité, assura la paix à son royaume et maintint avec soin la communion avec le Saint Siège romain.
Les dernières années d'Édouard sont marquées par la question de sa succession. À sa mort, plusieurs candidats au trône s'affrontent, parmi lesquels Harold, qui est sacré roi dès le lendemain, et le duc de Normandie Guillaume, qui s'empare du pouvoir après sa victoire sur Harold à la bataille d'Hastings.
Édouard est canonisé en 1161. Il est fêté le 5 janvier par l'Église catholique. En Angleterre, il est davantage commémoré le 13 octobre, jour anniversaire de la translation de ses reliques.
13 octobre : fête de Saint Géraud d’Aurillac
En Auvergne, l’an 909, Saint Géraud était comte d’Aurillac. Par l'oeuvre d'Eudes de Cluny, on sait que Saint-Géraud d'Aurillac (855-909) eut un fils hors mariage, qu'il initia au métier des armes, qu'il était un Comte imprégné d'une grande foi Chréytienne, quidepuis le décèsde la mère de son fils vit comme un moine et n'utlise ses troupes que pour secourir les pauvres et les déshérité de son Comté et leur assurer la justice, appliquant à la pefection la véritable religion pure et sans tache deavant Dieu : secour les veuves et les orphelins, et se garder de toute souillure du monde (Jean 1:26). Lorsque son fils est en âge de porter les armes et de lui succéder, il se retire dans un véritable couvent.
Géraud ou Gérault était un enfant de faible constitution et de ce fait, il fut destiné à l’Eglise par son père. Géraud apprit alors la grammaire et le plain-chant. Quand il fut guéri, son père le destina au métier des armes. Il fut alors parfaitement à même de lui succéder comme seigneur d’Aurillac. Mais, à l’inverse, Géraud résolut de suivre en tout l’Evangile, après une tentative de mariage qui échoua. Il voulait rester constamment en présence de Dieu et faisait régner la justice sur ses terres. Il affranchit de nombreux serfs, rendait la justice à jeun pour que le vin n’influe pas sur ses jugements. Il savait pardonner.
L’on raconte cet épisode : ayant appris que son bailli avait condamné à mort deux malfaiteurs, il les envoya chercher des lianes dans la forêt et les rapporter pour se faire pendre. Ils ne revinrent jamais car il n’y avait pas de lianes dans la forêt et Saint Géraud le savait. Attentif aux indigents qu’il invitait à sa table et qu’il servait lui-même, habile guerrier, qui sut faire des vaincus ses amis, saint Géraud vécut dans le monde une véritable consécration religieuse et accepta généreusement la cécité qui le frappa à la fin de sa vie.
On donne aux Chevaliers l'exemple de Saint-Géraud d'Aurillac. L'idéal Chevaleresque est sensiblement le même que proposé au Roi de France : combattre pour le droit et la justice, protéger les clercs, les femmes, les faibles, les pauvres, l'Eglise et le Saint Royaume de France. On ne peut comprendre le recul de la brutalité féodale que par l'action Royale continue car héréditaire, qui oppose une Chevalerie dévouée à des soudards à cheval.
13 octobre 1917 : dernière apparition de Notre-Dame à Fatima et " miracle du soleil "
Le phénomène du « miracle du soleil » survient dans le cadre des apparitions mariales de Fátima en 1917. Trois jeunes bergers (de sept à dix ans), Lucie dos Santos, Francisco Marto et Jacinthe Marto, disent avoir vu « une dame toute vêtue de blanc » le 13 mai 1917. La nouvelle se répand rapidement et « cette dame » est très vite associée à la Vierge Marie. Si de nombreuses personnes se montrent sceptiques, très vite des curieux viennent assister aux « apparitions » qui se répètent tous les mois, même si personne « ne voit rien », et que seuls les enfants disent « voir la dame ». Lors de la 3e apparition (le 13 juillet 1917), Lucia demande à « la dame » « un miracle » pour que les gens croient à ces apparitions. La « dame » promet un miracle pour le mois d'octobre et demande de revenir chaque mois, le 13 du mois, sur ce même lieu.
Lors de la 5e apparition (le 13 septembre), 10 000 personnes accompagnent déjà les « voyants ». La « dame » promet à nouveau un « miracle » pour la prochaine rencontre le 13 octobre.
Le matin du 13 octobre 1917, Avelino de Almeida, rédacteur en chef du journal O Século, publie un article ironique sur les apparitions de Fátima où il ne voit que superstition et supercherie. Il se rend néanmoins sur place pour assister au miracle annoncé. Au petit matin, une foule très importante se dirige vers la Cova da Iria, le lieu des apparitions. Les estimations du nombre de spectateurs varient de 40 000 à 50 000 pour Avelino de Almeida, jusqu'à 70 000 pour le Dr Joseph Garrett, ancien professeur de mathématiques à l'Université de CoimbraN 10, également présent ce jour-là.
Dans la foule, avec les « citoyens ordinaires » se trouvent aussi des nobles, des ingénieurs, des médecins, des notaires ainsi que des journalistes et un photographe. Le ciel est complètement couvert par les nuages et il tombe une pluie incessante. La pluie a transformé le lieu en un vaste bourbier et les pèlerins ou curieux sont trempés jusqu’aux os et transis de froid. Les enfants arrivent avec leur famille et commencent à réciter le chapelet. À midi, bien que la pluie continue toujours de tomber, Lucie demande de fermer les parapluies, retirer les chapeaux, et s’agenouiller sur le sol. La foule lui obéit, malgré la pluie qui se poursuit. Peu de temps après, les enfants voient « la dame » leur apparaître. L'apparition se présente alors à Lucie comme étant Notre-Dame du Rosaire et lui demande de faire bâtir une chapelle en son honneur ; elle demande également la conversion des pécheurs. Elle annonce la fin de la guerre pour le jour même du miracle, c'est-à-dire pour le 13 octobre 1917, erreur dont elle se justifiera dans ses mémoire, expliquant que « C’est peut-être parce que j’étais préoccupée de me rappeler les innombrables grâces que j’avais à demander à Notre Dame, que j’ai fait l’erreur de comprendre que la guerre finissait le jour même du 13 ».
Célébrons la puissance maternelle de Notre-Dame
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2017/10/13/qui-donc-apres-votre-fils-prend-soin-comme-vous-du-genre-humain/
La “ dame ” donne son nom : " Je suis Notre-Dame du Rosaire ".
13 octobre : fête du Bienheureux Pierre-Adrien Toulorge, chanoine régulier de Prémontré, martyr de la révolution
Lire ou relire sa biographie
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2021/10/13/2021-52-le-13-octobre-nous-fetons-le-bienheureux-pierre-adrien-toulorge-chanoine-regulier-de-premontre-victime-de-la-terreur-martyr-de-la-verite/
Dernier Roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant. Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire.
Édouard le Confesseur, né entre 1003 et 1005, mort le 5 janvier 1066, est Roi d'Angleterre de 1042 à sa mort en 1066.
Fils du roi Æthelred le Malavisé et de sa deuxième femme Emma de Normandie, il passe sa jeunesse en exil en Normandie à la suite de la conquête de l'Angleterre par Knut le Grand, en 1016. Il est rappelé en Angleterre en 1041 par le fils de Knut, Hardeknut, qui meurt l'année suivante sans descendance, ce qui permet à Édouard de monter sur le trône.
Le règne d'Édouard est marqué par ses relations avec le Comte Godwin de Wessex, qui est le plus puissant des nobles d'Angleterre à son arrivée au pouvoir, puis ses enfants. En 1045, le roi épouse Édith, la fille du Comte. La famille de Godwin est contrainte à l'exil en 1051, mais elle est rétablie dans ses domaines et prérogatives dès l'année suivante. À la mort du comte, en 1053, c'est son fils Harold qui devient le chef de la famille et le principal Comte du Royaume.
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire. Les Danois avec le Roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark. Edmond "Côte de Fer" Prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie. Edouard, son demi-frère, revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible. Les expéditions danoises échouèrent. Le Royaume connut une période moins troublée ous le règen de saint Edouard. Son épouse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite. Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Ecosse, ce qui n'empêcha pas Saint Edouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres. Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa cathédrale. Saint Édouard le Confesseur, qui fut très aimé de son peuple à cause de sa remarquable charité, assura la paix à son royaume et maintint avec soin la communion avec le Saint Siège romain.
Les dernières années d'Édouard sont marquées par la question de sa succession. À sa mort, plusieurs candidats au trône s'affrontent, parmi lesquels Harold, qui est sacré roi dès le lendemain, et le duc de Normandie Guillaume, qui s'empare du pouvoir après sa victoire sur Harold à la bataille d'Hastings.
Édouard est canonisé en 1161. Il est fêté le 5 janvier par l'Église catholique. En Angleterre, il est davantage commémoré le 13 octobre, jour anniversaire de la translation de ses reliques.
13 octobre : fête de Saint Géraud d’Aurillac
En Auvergne, l’an 909, Saint Géraud était comte d’Aurillac. Par l'oeuvre d'Eudes de Cluny, on sait que Saint-Géraud d'Aurillac (855-909) eut un fils hors mariage, qu'il initia au métier des armes, qu'il était un Comte imprégné d'une grande foi Chréytienne, quidepuis le décèsde la mère de son fils vit comme un moine et n'utlise ses troupes que pour secourir les pauvres et les déshérité de son Comté et leur assurer la justice, appliquant à la pefection la véritable religion pure et sans tache deavant Dieu : secour les veuves et les orphelins, et se garder de toute souillure du monde (Jean 1:26). Lorsque son fils est en âge de porter les armes et de lui succéder, il se retire dans un véritable couvent.
Géraud ou Gérault était un enfant de faible constitution et de ce fait, il fut destiné à l’Eglise par son père. Géraud apprit alors la grammaire et le plain-chant. Quand il fut guéri, son père le destina au métier des armes. Il fut alors parfaitement à même de lui succéder comme seigneur d’Aurillac. Mais, à l’inverse, Géraud résolut de suivre en tout l’Evangile, après une tentative de mariage qui échoua. Il voulait rester constamment en présence de Dieu et faisait régner la justice sur ses terres. Il affranchit de nombreux serfs, rendait la justice à jeun pour que le vin n’influe pas sur ses jugements. Il savait pardonner.
L’on raconte cet épisode : ayant appris que son bailli avait condamné à mort deux malfaiteurs, il les envoya chercher des lianes dans la forêt et les rapporter pour se faire pendre. Ils ne revinrent jamais car il n’y avait pas de lianes dans la forêt et Saint Géraud le savait. Attentif aux indigents qu’il invitait à sa table et qu’il servait lui-même, habile guerrier, qui sut faire des vaincus ses amis, saint Géraud vécut dans le monde une véritable consécration religieuse et accepta généreusement la cécité qui le frappa à la fin de sa vie.
On donne aux Chevaliers l'exemple de Saint-Géraud d'Aurillac. L'idéal Chevaleresque est sensiblement le même que proposé au Roi de France : combattre pour le droit et la justice, protéger les clercs, les femmes, les faibles, les pauvres, l'Eglise et le Saint Royaume de France. On ne peut comprendre le recul de la brutalité féodale que par l'action Royale continue car héréditaire, qui oppose une Chevalerie dévouée à des soudards à cheval.
13 octobre 1917 : dernière apparition de Notre-Dame à Fatima et " miracle du soleil "
Le phénomène du « miracle du soleil » survient dans le cadre des apparitions mariales de Fátima en 1917. Trois jeunes bergers (de sept à dix ans), Lucie dos Santos, Francisco Marto et Jacinthe Marto, disent avoir vu « une dame toute vêtue de blanc » le 13 mai 1917. La nouvelle se répand rapidement et « cette dame » est très vite associée à la Vierge Marie. Si de nombreuses personnes se montrent sceptiques, très vite des curieux viennent assister aux « apparitions » qui se répètent tous les mois, même si personne « ne voit rien », et que seuls les enfants disent « voir la dame ». Lors de la 3e apparition (le 13 juillet 1917), Lucia demande à « la dame » « un miracle » pour que les gens croient à ces apparitions. La « dame » promet un miracle pour le mois d'octobre et demande de revenir chaque mois, le 13 du mois, sur ce même lieu.
Lors de la 5e apparition (le 13 septembre), 10 000 personnes accompagnent déjà les « voyants ». La « dame » promet à nouveau un « miracle » pour la prochaine rencontre le 13 octobre.
Le matin du 13 octobre 1917, Avelino de Almeida, rédacteur en chef du journal O Século, publie un article ironique sur les apparitions de Fátima où il ne voit que superstition et supercherie. Il se rend néanmoins sur place pour assister au miracle annoncé. Au petit matin, une foule très importante se dirige vers la Cova da Iria, le lieu des apparitions. Les estimations du nombre de spectateurs varient de 40 000 à 50 000 pour Avelino de Almeida, jusqu'à 70 000 pour le Dr Joseph Garrett, ancien professeur de mathématiques à l'Université de CoimbraN 10, également présent ce jour-là.
Dans la foule, avec les « citoyens ordinaires » se trouvent aussi des nobles, des ingénieurs, des médecins, des notaires ainsi que des journalistes et un photographe. Le ciel est complètement couvert par les nuages et il tombe une pluie incessante. La pluie a transformé le lieu en un vaste bourbier et les pèlerins ou curieux sont trempés jusqu’aux os et transis de froid. Les enfants arrivent avec leur famille et commencent à réciter le chapelet. À midi, bien que la pluie continue toujours de tomber, Lucie demande de fermer les parapluies, retirer les chapeaux, et s’agenouiller sur le sol. La foule lui obéit, malgré la pluie qui se poursuit. Peu de temps après, les enfants voient « la dame » leur apparaître. L'apparition se présente alors à Lucie comme étant Notre-Dame du Rosaire et lui demande de faire bâtir une chapelle en son honneur ; elle demande également la conversion des pécheurs. Elle annonce la fin de la guerre pour le jour même du miracle, c'est-à-dire pour le 13 octobre 1917, erreur dont elle se justifiera dans ses mémoire, expliquant que « C’est peut-être parce que j’étais préoccupée de me rappeler les innombrables grâces que j’avais à demander à Notre Dame, que j’ai fait l’erreur de comprendre que la guerre finissait le jour même du 13 ».
Célébrons la puissance maternelle de Notre-Dame
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2017/10/13/qui-donc-apres-votre-fils-prend-soin-comme-vous-du-genre-humain/
La “ dame ” donne son nom : " Je suis Notre-Dame du Rosaire ".
13 octobre : fête du Bienheureux Pierre-Adrien Toulorge, chanoine régulier de Prémontré, martyr de la révolution
Lire ou relire sa biographie
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2021/10/13/2021-52-le-13-octobre-nous-fetons-le-bienheureux-pierre-adrien-toulorge-chanoine-regulier-de-premontre-victime-de-la-terreur-martyr-de-la-verite/
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: 13 OCTOBRE : FETE DE SAINT EDOUARD LE CONFESSEUR DE SAINT GERAUD D'AURILLAC ET DE N.D. DE FATIMA
13 octobre : Mémoire du Bienheureux Gérard Sasso, moine, fondateur de l'Ordre Souverain de malte
Le fondateur et premier Grand Maître de l’Ordre est né vers 1040 à Scala, à quelques kilomètres d’Amalfi en Italie du sud. Dans la seconde moitié du XIème siècle il se rend à Jérusalem où il commence à travailler à l’hôpital lié à l’église de Santa Maria Latina, précédemment construite par les marchands d’Amalfi pour accueillir les pèlerins et soigner les malades.
Selon la légende, en 1099 pendant le siège de Jérusalem par les chrétiens, Frère Gérard leur jetait du pain depuis les murailles, mais quand il fut découvert le pain se transforma en pierres.
Pour renforcer l’institution qu’il dirigeait, Frère Gérard la transforma en un ordre religieux dédié à Saint Jean-Baptiste. Le 15 février 1113, le Pape Pascal II reconnaît officiellement la communauté monastique des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Le document du Pape donne une indication du rôle et de l’importance du fondateur de l’Ordre et met en évidence l’importance du service offert aux pèlerins et aux pauvres dans l’hôpital de Jérusalem. Il fournit également une liste des hôpitaux et centres de soins en France et en Italie, qui démontre comment l’Ordre constitué par Frère Gérard – quelques décennies après sa fondation – ne se limite pas au seul royaume latin de Jérusalem, mais il a déjà une dimension européenne.
Frère Gérard meurt à Jérusalem le 3 septembre 1120. Ses orientations et son exemple ont constitué la base de la première règle écrite de l’Ordre, émanant de Frère Raymond de Puy –deuxième Grand Maître– entre 1145 et 1153.
L’Eglise catholique le vénère comme Bienheureux et célèbre sa fête le 13 octobre.
Le fondateur et premier Grand Maître de l’Ordre est né vers 1040 à Scala, à quelques kilomètres d’Amalfi en Italie du sud. Dans la seconde moitié du XIème siècle il se rend à Jérusalem où il commence à travailler à l’hôpital lié à l’église de Santa Maria Latina, précédemment construite par les marchands d’Amalfi pour accueillir les pèlerins et soigner les malades.
Selon la légende, en 1099 pendant le siège de Jérusalem par les chrétiens, Frère Gérard leur jetait du pain depuis les murailles, mais quand il fut découvert le pain se transforma en pierres.
Pour renforcer l’institution qu’il dirigeait, Frère Gérard la transforma en un ordre religieux dédié à Saint Jean-Baptiste. Le 15 février 1113, le Pape Pascal II reconnaît officiellement la communauté monastique des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Le document du Pape donne une indication du rôle et de l’importance du fondateur de l’Ordre et met en évidence l’importance du service offert aux pèlerins et aux pauvres dans l’hôpital de Jérusalem. Il fournit également une liste des hôpitaux et centres de soins en France et en Italie, qui démontre comment l’Ordre constitué par Frère Gérard – quelques décennies après sa fondation – ne se limite pas au seul royaume latin de Jérusalem, mais il a déjà une dimension européenne.
Frère Gérard meurt à Jérusalem le 3 septembre 1120. Ses orientations et son exemple ont constitué la base de la première règle écrite de l’Ordre, émanant de Frère Raymond de Puy –deuxième Grand Maître– entre 1145 et 1153.
L’Eglise catholique le vénère comme Bienheureux et célèbre sa fête le 13 octobre.
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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