16 OCTOBRE : FETE DE SAINTE EDWIGE ET FETE DE LA MONTE AU CIEL DE MARIE ANTOINETTE
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16 OCTOBRE : FETE DE SAINTE EDWIGE ET FETE DE LA MONTE AU CIEL DE MARIE ANTOINETTE
16 octobre : fête de Sainte Edwige veuve
Sainte Edwige de Silésie (en polonais : Jadwiga Śląska), née en 1174 à Andechs en Bavière sous le nom d’Edwige d’Andechs (en allemand : Hedwig von Andechs) et morte le 15 octobre 1243 à Trzebnica en Silésie, est duchesse de Silésie et reine de Pologne par son mariage avec Henri Ier le Barbu. Elle est vénérée parmi les saints de l'Église catholique, et fêtée le 16 octobre.
Hedwige, illustre par sa naissance qui l’alliait aux plus grandes familles de l’Europe, a été plus distinguée encore par la sainteté de sa vie. Fille du duc de Carinthie, elle eut quatre frères et trois sœurs, dont l’aînée fut mariée à Philippe-Auguste, roi de France; la seconde épousa André, roi de Hongrie, et fut mère de sainte Élisabeth; et la troisième fut abbesse de Litzing en Franconie.
Mariée à douze ans à Henri, duc de Pologne, elle lui garda religieusement la foi conjugale, gagna son cœur pour le porter à à Dieu, et en fit un des plus vertueux princes de l'Europe. Persuadée que c’est un des devoirs d’une mère, elle se proposa de chercher la sainteté dans la bonne éducation de ses enfants. Elle eut trois fils et trois filles. S'étant chargée du soin d'élever elle-même ses enfants dans les sentiments les plus purs de la religion et de la vertu, elle eut la consolation de les voir tous aussi distingués par leur piété que par leurs talents.
Vers 1186, Edwige épouse Henri Ier, dit le barbu. Ils eurent 7 enfants :
Agnès (1190 – avant 11 mai 1214) ;
Boleslas (1191 – 10 septembre 1206/08) ;
Henri II le Pieux (1196 – 9 avril 1241), duc de Silésie et princeps de Pologne, tué à la bataille de Legnica ;
Conrad le Frisé (vers 1191/1198 – 4 septembre 1213) ;
Sophie (1200 – avant le 23 mars 1214) ;
Gertrude (1200 – 6/30 décembre 1268), fiancée avec le comte palatin Othon VIII de Wittelsbach († 1209), puis abbesse de Trzebnica ;
Ladislas (avant le 25 décembre 1208 – 1214/17).
Tout dans sa maison se ressentait de sa piété et de sa charité. Aidée de ses demoiselles d'honneur, elle consolait les malades et leur rendait les services les plus répugnants, comme si elle eût été leur mère. «Courage! disait-elle à ses jeunes collaboratrices; car, quelle assurance pensez-vous que nous aurons, quand Jésus jugeant l’univers dira: J'ai été malade, et vous M'avez visité. – Oui, certes, lui répondrai-je, à telles enseignes que mes filles en ont souvent eu mal au cœur, et qu'elles ont tâché de m'en détourner.»
Bien que relativement encore jeune, elle persuada à son mari de vivre jusqu à la mort en continence; et ce fut entre les mains de leur évêque qu’ils déposèrent le vœu secret qu’ils en firent à Dieu. Ensemble, ils fondèrent le monastère de Trebnitz, où ils établirent des religieuses de Cîteaux, et où, après la mort de son mari, la duchesse vint se consacrer à Dieu, s’abaissant à y remplir les offices les plus humbles. «C'est à moi à faire ce qu’il y a de plus bas, disait-elle: vous êtes les épouses de Jésus-Christ; moi, je ne suis qu’une de Ses servantes. Elle s'était interdit l'usage de la viande et du lait tous les jours, sauf les dimanches et les jours de grande fête.
Nulle vertu sans souffrances. En s’opposant à l’envahissement de la Pologne, le duc Henri fut battu par Conrad, duc de Kirn, et fait prisonnier. Toutes les démarches pour arriver à un accommodement furent repoussées. Hedwige alla alors trouver le redoutable vainqueur, pour discuter la libération de son époux: sa démarche eut un plein succès. Malheureusement Henri survécut peu au recouvrement de sa liberté. Trois ans plus tard, il fut suivi dans la tombe par son fils aîné, Henri le Pieux, tué en combattant les Tartares.
En toutes ces circonstances, la pieuse princesse fit éclater la grandeur de sa force d'âme et sa soumission aux décrets de la Providence.
16 octobre 1793 : l'assassinat de S.M. la Reine Marie-Antoine de Habsbourg-Lorraine et fête de sa monté au ciel
Marie-Antoinette Josèphe Jeanne de Habsbourg-Lorraine, née le 2 novembre 1755 à Vienne en Autriche et morte guillotinée le 16 octobre 1793 sur la place de la Révolution à Paris, est reine de France et de Navarre de 1774 à 1791, puis reine des Français de 1791 à 1792. Elle est la dernière reine de l’Ancien Régime.
Archiduchesse d’Autriche, princesse impériale et princesse royale de Hongrie et de Bohême, elle est l'avant-dernière enfant et la plus jeune fille de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche et de François Ier, empereur du Saint-Empire.
Elle devient dauphine de France en 1770, à quatorze ans, par son mariage avec le futur roi Louis XVI, puis reine de France en 1774, lorsque son époux monte sur le trône. Après huit ans de mariage, elle donne naissance à Marie-Thérèse, première de ses quatre enfants. Elle perd en popularité en raison d’accusations de sympathies avec les ennemis de la France, en particulier avec son Autriche natale, et de l’affaire du collier, où elle se trouve être en réalité victime d'une escroquerie. Des surnoms dévalorisants, comme « l’Autrichienne » ou « Madame Déficit », circulent alors. Tout comme son mari, elle n'apprécie guère les contraintes de la cour et aime se consacrer du temps, notamment au hameau de la Reine.
Aux débuts de la Révolution française, elle est placée en résidence surveillée au palais des Tuileries, avec la famille royale. La tentative de fuite de 1791 à Varennes et son rôle dans la guerre de la Première Coalition continuent de dégrader son image. En 1792, la famille royale est emprisonnée à la prison du Temple et la monarchie abolie. Alors que Louis XVI est exécuté le 21 janvier 1793, le procès de la reine devant le Tribunal révolutionnaire s'ouvre le 14 octobre suivant ; deux jours plus tard, elle est condamnée pour haute trahison et exécutée au moyen d'une guillotine.
La postérité en a fait une icône mondiale à la fois glamour et tragique.
Nou fêtons cette annèe le 230° anniverasire de sa monté au ciel.
Le Requiem de Charles-Henri Plantade exécuté pour le trentième anniversaire de la mort de Sa Majesté la Reine Marie-Antoinette (16 octobre 1823)
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2022/10/15/2022-106-du-requiem-en-re-mineur-de-charles-henri-plantade-a-la-pieuse-memoire-de-sa-majeste-la-reine-marie-antoinette/
Quelques perles du blog du mesnil :
1) Une première évocation de l'assassinat de la Reine, les dernières lignes qu'elle a écrites et la prière du missel pour le repos de son âme
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2007/10/16/29-du-16-octobre/
2) La dernière lettre de Sa Majesté à Madame Elisabeth, dite “ Testament ”
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2012/10/15/2012-64-derniere-lettre-de-sa-majeste-la-reine-marie-antoinette/
3) Une magnifique oraison funèbre de 1814
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/10/15/2013-76-%c2%ab-le-caractere-ferme-et-resolu-dont-cette-princesse-etait-eminemment-douee-ne-lui-permit-jamais-de-plier-aux-circonstances-meme-les-plus-difficiles-%c2%bb/
4) Un extrait du remarquable ouvrage du Rd Père Jean Charles-Roux
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2015/10/15/2015-88-la-couronne-de-france-en-son-incarnation-quittant-apres-treize-siecles-declat-la-scene-de-ce-monde-avec-toute-la-majeste-crepusculaire-du-soleil-lors-de-ses-couchers-du-debut-d/
5) Encore quelques pages sublimes de feu le Révérend Père Jean-Charles Roux, en son style si particulier, au sujet du martyre de la Reine
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/10/15/2023-126-en-constante-communion-de-pensee-avec-le-coeur-sacre-de-jesus-et-le-coeur-immacule-de-marie/
6) " La dernière prison de Marie-Antoinette ", souvenirs de Rosalie Lamorlière, dernière servante de la Reine
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/10/15/2024-232-nous-avons-lu-et-nous-avons-aime-la-derniere-prison-de-marie-antoinette-de-rosalie-lamorliere/
7) Et ici retrouvez les liens vers tous les textes de notre blogue relatifs à la Reine et à son martyre
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/10/15/2024-233-recapitulatif-de-toutes-nos-publications-concernant-sa-majeste-la-reine-marie-antoinette-de-habsbourg-loraine/
16 ocotbre : fête de Sainte Marguerite-Marie Alacoque
Née en Bourgogne en 1647, Marguerite entre chez les Visitandines à 24 ans. Elle reçoit très tôt les apparitions de Marie et de Jésus, qui l’exhorte à adorer Son Cœur Sacré, d’où l’institution de la fête homonyme.
Marguerite-Marie Alacoque est née en Bourgogne, et c’est dans cette province française qu’elle passera sa vie. Elle devient orpheline alors qu’elle a douze ans et ses tantes qui gèrent la famille font d’elle un véritable souffre-douleur. À 24 ans, elle peut enfin réaliser sa vocation : répondre à l’amour intense de Dieu. Les grâces mystiques qui accompagnent ses épreuves culminent en 1673 dans plusieurs visions du Christ : « Voici le cœur qui a tant aimé les hommes jusqu’à s’épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ». Et c’est ainsi que, guidée par le bienheureux père jésuite Claude La Colombière, elle parviendra à promouvoir le culte du Sacré-Cœur d’abord dans son monastère de la Visitation, puis dans toute l’Église catholique latine.
16 octobre : fête de l'apparition de Saint Michel au Mont Tombe
En l’an 708, Aubert, alors évêque d’Avranches, reçoit la visite de l’archange Michel au cours d’un songe. Ce dernier lui ordonne de faire édifier un sanctuaire à l’image du Mont Gargano en Italie. En l’an 709, Aubert choisit le Mont-Tombe pour y ériger la première chapelle qu’il dédie à Saint-Michel, puis, il y installe une communauté d’une dizaine de moines pour perpétuer le culte de Saint Michel. L’appellation du Mont-Tombe se transforme et devient le « Mont Saint-Michel au péril de la mer ». De nombreux pèlerins Chrétiens commencent à affluer de toute l’Europe et participent ainsi à sa renommée grandissante. Le Roi Louis XI, sur une idée de son père Charles VII voulant remercier le Chef des Milices Célestes de lui avoir envoyé Sainte Jeanne d’Arc mais décédé avant d’avoir pu réaliser son souhait, veut accomplir le Voeux de son père et y fonde l’Ordre et Aimable Compagnie de Monsieur Saint-Michel a pour but de rassembler une Sainte Chevalerie autour du Roi de France. L’Ordre est mis sous le patronage de Saint Michel Archange, Procteur de la France, qui avait suscité l’héroïne de la Patrie pour aider le Roi de France à recevoir son digne Sacre et bouter les anglais hors de France. Louis XI n’avait que 11 ans quand son père reçut Sainte Jeanne d'Arc au Château de Chinon, mais il s’en rappellait encore. Le premier Chapitre de l'Ordre a lieu au Mont Saint-Michel.
Saint Michel et le Royaume des Lys
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2022/09/19/2022-96-pour-bien-commencer-la-neuvaine-preparatoire-a-la-fete-de-saint-michel-archange/
Consécration de la France à Saint Michel
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2012/09/28/saint-michel-protecteur-de-la-france-intercedez-pour-elle/
Saint Michel au péril de la mer
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2007/10/16/30-saint-michel-au-peril-de-la-mer/
L'insigne relique du crâne de Saint Aubert
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/10/15/2023-125-de-linsigne-relique-du-crane-de-monseigneur-saint-aubert/
Et toutes nos autres publications au sujet de Saint Michel
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/09/28/2024-217-recapitulatif-de-toutes-les-publications-de-ce-blogue-concernant-saint-michel/
Litanies de Saint Michel protecteur de la France
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/10/14/litanies-de-saint-michel-protecteur-de-la-france/
16 octobre 1917 : fondation de la Milice de l'Immaculée par Saint Maximilien-Marie Kolbe
Saint Maximilien-Marie Kolbe a inspiré pour fonder cette œuvre afin de contrer la Franc-Maçonnerie qui célébrait avec un anticatholicisme virulent le deuxième centenaire de sa fondation. “ Depuis le concile ”, en France particulièrement, la Milice de l'Immaculée a pour le moins atténué (c'est un euphémisme) son caractère antimaçonnique. Retour sur un siècle d'histoire
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2017/10/16/2017-84-centenaire-de-la-fondation-de-la-militia-immaculatae-par-saint-maximilien-marie-kolbe/
Sainte Edwige de Silésie (en polonais : Jadwiga Śląska), née en 1174 à Andechs en Bavière sous le nom d’Edwige d’Andechs (en allemand : Hedwig von Andechs) et morte le 15 octobre 1243 à Trzebnica en Silésie, est duchesse de Silésie et reine de Pologne par son mariage avec Henri Ier le Barbu. Elle est vénérée parmi les saints de l'Église catholique, et fêtée le 16 octobre.
Hedwige, illustre par sa naissance qui l’alliait aux plus grandes familles de l’Europe, a été plus distinguée encore par la sainteté de sa vie. Fille du duc de Carinthie, elle eut quatre frères et trois sœurs, dont l’aînée fut mariée à Philippe-Auguste, roi de France; la seconde épousa André, roi de Hongrie, et fut mère de sainte Élisabeth; et la troisième fut abbesse de Litzing en Franconie.
Mariée à douze ans à Henri, duc de Pologne, elle lui garda religieusement la foi conjugale, gagna son cœur pour le porter à à Dieu, et en fit un des plus vertueux princes de l'Europe. Persuadée que c’est un des devoirs d’une mère, elle se proposa de chercher la sainteté dans la bonne éducation de ses enfants. Elle eut trois fils et trois filles. S'étant chargée du soin d'élever elle-même ses enfants dans les sentiments les plus purs de la religion et de la vertu, elle eut la consolation de les voir tous aussi distingués par leur piété que par leurs talents.
Vers 1186, Edwige épouse Henri Ier, dit le barbu. Ils eurent 7 enfants :
Agnès (1190 – avant 11 mai 1214) ;
Boleslas (1191 – 10 septembre 1206/08) ;
Henri II le Pieux (1196 – 9 avril 1241), duc de Silésie et princeps de Pologne, tué à la bataille de Legnica ;
Conrad le Frisé (vers 1191/1198 – 4 septembre 1213) ;
Sophie (1200 – avant le 23 mars 1214) ;
Gertrude (1200 – 6/30 décembre 1268), fiancée avec le comte palatin Othon VIII de Wittelsbach († 1209), puis abbesse de Trzebnica ;
Ladislas (avant le 25 décembre 1208 – 1214/17).
Tout dans sa maison se ressentait de sa piété et de sa charité. Aidée de ses demoiselles d'honneur, elle consolait les malades et leur rendait les services les plus répugnants, comme si elle eût été leur mère. «Courage! disait-elle à ses jeunes collaboratrices; car, quelle assurance pensez-vous que nous aurons, quand Jésus jugeant l’univers dira: J'ai été malade, et vous M'avez visité. – Oui, certes, lui répondrai-je, à telles enseignes que mes filles en ont souvent eu mal au cœur, et qu'elles ont tâché de m'en détourner.»
Bien que relativement encore jeune, elle persuada à son mari de vivre jusqu à la mort en continence; et ce fut entre les mains de leur évêque qu’ils déposèrent le vœu secret qu’ils en firent à Dieu. Ensemble, ils fondèrent le monastère de Trebnitz, où ils établirent des religieuses de Cîteaux, et où, après la mort de son mari, la duchesse vint se consacrer à Dieu, s’abaissant à y remplir les offices les plus humbles. «C'est à moi à faire ce qu’il y a de plus bas, disait-elle: vous êtes les épouses de Jésus-Christ; moi, je ne suis qu’une de Ses servantes. Elle s'était interdit l'usage de la viande et du lait tous les jours, sauf les dimanches et les jours de grande fête.
Nulle vertu sans souffrances. En s’opposant à l’envahissement de la Pologne, le duc Henri fut battu par Conrad, duc de Kirn, et fait prisonnier. Toutes les démarches pour arriver à un accommodement furent repoussées. Hedwige alla alors trouver le redoutable vainqueur, pour discuter la libération de son époux: sa démarche eut un plein succès. Malheureusement Henri survécut peu au recouvrement de sa liberté. Trois ans plus tard, il fut suivi dans la tombe par son fils aîné, Henri le Pieux, tué en combattant les Tartares.
En toutes ces circonstances, la pieuse princesse fit éclater la grandeur de sa force d'âme et sa soumission aux décrets de la Providence.
16 octobre 1793 : l'assassinat de S.M. la Reine Marie-Antoine de Habsbourg-Lorraine et fête de sa monté au ciel
Marie-Antoinette Josèphe Jeanne de Habsbourg-Lorraine, née le 2 novembre 1755 à Vienne en Autriche et morte guillotinée le 16 octobre 1793 sur la place de la Révolution à Paris, est reine de France et de Navarre de 1774 à 1791, puis reine des Français de 1791 à 1792. Elle est la dernière reine de l’Ancien Régime.
Archiduchesse d’Autriche, princesse impériale et princesse royale de Hongrie et de Bohême, elle est l'avant-dernière enfant et la plus jeune fille de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche et de François Ier, empereur du Saint-Empire.
Elle devient dauphine de France en 1770, à quatorze ans, par son mariage avec le futur roi Louis XVI, puis reine de France en 1774, lorsque son époux monte sur le trône. Après huit ans de mariage, elle donne naissance à Marie-Thérèse, première de ses quatre enfants. Elle perd en popularité en raison d’accusations de sympathies avec les ennemis de la France, en particulier avec son Autriche natale, et de l’affaire du collier, où elle se trouve être en réalité victime d'une escroquerie. Des surnoms dévalorisants, comme « l’Autrichienne » ou « Madame Déficit », circulent alors. Tout comme son mari, elle n'apprécie guère les contraintes de la cour et aime se consacrer du temps, notamment au hameau de la Reine.
Aux débuts de la Révolution française, elle est placée en résidence surveillée au palais des Tuileries, avec la famille royale. La tentative de fuite de 1791 à Varennes et son rôle dans la guerre de la Première Coalition continuent de dégrader son image. En 1792, la famille royale est emprisonnée à la prison du Temple et la monarchie abolie. Alors que Louis XVI est exécuté le 21 janvier 1793, le procès de la reine devant le Tribunal révolutionnaire s'ouvre le 14 octobre suivant ; deux jours plus tard, elle est condamnée pour haute trahison et exécutée au moyen d'une guillotine.
La postérité en a fait une icône mondiale à la fois glamour et tragique.
Nou fêtons cette annèe le 230° anniverasire de sa monté au ciel.
Le Requiem de Charles-Henri Plantade exécuté pour le trentième anniversaire de la mort de Sa Majesté la Reine Marie-Antoinette (16 octobre 1823)
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Quelques perles du blog du mesnil :
1) Une première évocation de l'assassinat de la Reine, les dernières lignes qu'elle a écrites et la prière du missel pour le repos de son âme
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2) La dernière lettre de Sa Majesté à Madame Elisabeth, dite “ Testament ”
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3) Une magnifique oraison funèbre de 1814
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4) Un extrait du remarquable ouvrage du Rd Père Jean Charles-Roux
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5) Encore quelques pages sublimes de feu le Révérend Père Jean-Charles Roux, en son style si particulier, au sujet du martyre de la Reine
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6) " La dernière prison de Marie-Antoinette ", souvenirs de Rosalie Lamorlière, dernière servante de la Reine
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7) Et ici retrouvez les liens vers tous les textes de notre blogue relatifs à la Reine et à son martyre
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/10/15/2024-233-recapitulatif-de-toutes-nos-publications-concernant-sa-majeste-la-reine-marie-antoinette-de-habsbourg-loraine/
16 ocotbre : fête de Sainte Marguerite-Marie Alacoque
Née en Bourgogne en 1647, Marguerite entre chez les Visitandines à 24 ans. Elle reçoit très tôt les apparitions de Marie et de Jésus, qui l’exhorte à adorer Son Cœur Sacré, d’où l’institution de la fête homonyme.
Marguerite-Marie Alacoque est née en Bourgogne, et c’est dans cette province française qu’elle passera sa vie. Elle devient orpheline alors qu’elle a douze ans et ses tantes qui gèrent la famille font d’elle un véritable souffre-douleur. À 24 ans, elle peut enfin réaliser sa vocation : répondre à l’amour intense de Dieu. Les grâces mystiques qui accompagnent ses épreuves culminent en 1673 dans plusieurs visions du Christ : « Voici le cœur qui a tant aimé les hommes jusqu’à s’épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour ». Et c’est ainsi que, guidée par le bienheureux père jésuite Claude La Colombière, elle parviendra à promouvoir le culte du Sacré-Cœur d’abord dans son monastère de la Visitation, puis dans toute l’Église catholique latine.
16 octobre : fête de l'apparition de Saint Michel au Mont Tombe
En l’an 708, Aubert, alors évêque d’Avranches, reçoit la visite de l’archange Michel au cours d’un songe. Ce dernier lui ordonne de faire édifier un sanctuaire à l’image du Mont Gargano en Italie. En l’an 709, Aubert choisit le Mont-Tombe pour y ériger la première chapelle qu’il dédie à Saint-Michel, puis, il y installe une communauté d’une dizaine de moines pour perpétuer le culte de Saint Michel. L’appellation du Mont-Tombe se transforme et devient le « Mont Saint-Michel au péril de la mer ». De nombreux pèlerins Chrétiens commencent à affluer de toute l’Europe et participent ainsi à sa renommée grandissante. Le Roi Louis XI, sur une idée de son père Charles VII voulant remercier le Chef des Milices Célestes de lui avoir envoyé Sainte Jeanne d’Arc mais décédé avant d’avoir pu réaliser son souhait, veut accomplir le Voeux de son père et y fonde l’Ordre et Aimable Compagnie de Monsieur Saint-Michel a pour but de rassembler une Sainte Chevalerie autour du Roi de France. L’Ordre est mis sous le patronage de Saint Michel Archange, Procteur de la France, qui avait suscité l’héroïne de la Patrie pour aider le Roi de France à recevoir son digne Sacre et bouter les anglais hors de France. Louis XI n’avait que 11 ans quand son père reçut Sainte Jeanne d'Arc au Château de Chinon, mais il s’en rappellait encore. Le premier Chapitre de l'Ordre a lieu au Mont Saint-Michel.
Saint Michel et le Royaume des Lys
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2022/09/19/2022-96-pour-bien-commencer-la-neuvaine-preparatoire-a-la-fete-de-saint-michel-archange/
Consécration de la France à Saint Michel
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Saint Michel au péril de la mer
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L'insigne relique du crâne de Saint Aubert
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Et toutes nos autres publications au sujet de Saint Michel
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2024/09/28/2024-217-recapitulatif-de-toutes-les-publications-de-ce-blogue-concernant-saint-michel/
Litanies de Saint Michel protecteur de la France
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16 octobre 1917 : fondation de la Milice de l'Immaculée par Saint Maximilien-Marie Kolbe
Saint Maximilien-Marie Kolbe a inspiré pour fonder cette œuvre afin de contrer la Franc-Maçonnerie qui célébrait avec un anticatholicisme virulent le deuxième centenaire de sa fondation. “ Depuis le concile ”, en France particulièrement, la Milice de l'Immaculée a pour le moins atténué (c'est un euphémisme) son caractère antimaçonnique. Retour sur un siècle d'histoire
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2017/10/16/2017-84-centenaire-de-la-fondation-de-la-militia-immaculatae-par-saint-maximilien-marie-kolbe/
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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