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Rome sweet Home:de la foi de l'Uther a la foi de Pierre.

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Message par Francesco Lun 20 Sep 2010 - 3:52

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Scott Hahn

« Rome Sweet Home » de la foi de Luther à la foi de Pierre
dimanche 29 octobre 2006

La vie est pleine de surprises inattendues, et c’est une joie et une surprise pour moi que de partager comment je suis arrivé à comprendre que l’Église Catholique est la famille de Dieu à laquelle Il souhaite que tous ses enfants participent.

Sommaire
Conversion à Jésus à l’adolesc
Les années universitaires
Les années de séminaires
Pasteur dans une église (...)
Professeur d’un séminaire (...)
Assistant administratif (...)
Aller-simple pour le catholici
Voyage au Vatican
Fulton Sheen a dit un jour, je cite, qu’il n’y avait pas 100 personnes aux États-Unis qui détestent l’Église Catholique, bien qu’il puisse y avoir des millions de personnes qui détestent ce qu’ils croient à tord être l’Église Catholique et son enseignement. Et, avec soulagement, j’ai découvert que je faisais partie de la deuxième catégorie. Car pendant des années je me suis opposé à l’Église Catholique et j’ai travaillé dur à ce que des catholiques quittent l’Église. Mais j’en suis arrivé à constater à travers de nombreuses études et prières, que l’Église Catholique s’appuie sur les Écritures.

Conversion à Jésus à l’adolescence
Tout commence avec une expérience de conversion que j’ai vécu au collège. Je n’ai pas grandi dans une famille fortement croyante. Nous n’allions pas au culte très souvent, et donc je n’étais pas très religieux. Le Seigneur a utilisé dans ma vie une organisation du nom de « Young Life » qui avait pour objet de rejoindre les jeunes scolarisés qui ne fréquentaient pas l’église. Il a aussi utilisé un homme en particulier, du nom de Jack, qui s’est pris d’amitié pour moi et qui m’a partagé l’Évangile de Jésus-Christ. Cela fit une différence importante dans ma vie.

Très tôt durant mes années collégiales, j’ai pris un engagement et j’ai demandé à recevoir Jésus-Christ dans mon cœur ; je lui ai demandé d’être mon sauveur et mon Seigneur. Je lui ai remis mes péchés et j’ai reçu le don du pardon et du salut. Cela fit tout un changement pour moi et cela m’a coûté beaucoup d’amis, mais le Seigneur a, dans un sens, plus que compensé cela en me donnant de vrais amis, des amis en Christ.

Jack, qui m’a enseigné l’amour du Seigneur, m’a aussi enseigné à lire la Bible et pas seulement à la lire mais aussi à l’étudier, et pas seulement à l’étudier mais aussi à la pénétrer - à la lire et à la relire du début à la fin. Au moment où je terminais le collège, j’avais parcouru 2 à 3 fois la Bible, entièrement. Et j’étais tombé amoureux de l’Écriture Sainte. En conséquence, je fus convaincu d’un certain nombre de choses.

Tout d’abord, en complément de la lecture de la Bible, Jack m’avait prêté de sa bibliothèque personnelle, les écrits de Martin Luther, les écrits de Jean Calvin, et je devins un chrétien protestant convaincu, non pas simplement un chrétien fondamentaliste, mais quelqu’un qui était convaincu que jusque dans les années 1,500, l’Évangile avait été pratiquement englouti par toutes les superstitions médiévales et toutes les pratiques païennes adoptées par l’Église Catholique. Et donc ma première conviction était d’aider mes amis catholiques à voir seulement l’Évangile de Jésus-Christ, à leur montrer la Bible, et que dans la Bible il faut simplement accepter Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur, et que c’est tout ce que cela prend. Aucune de ces bêtises : pas de Marie, de saint, de purgatoire, de dévotion... seulement demander à Jésus d’être Seigneur et Sauveur.

À peu près à la même période, je fréquentais une jeune fille qui était catholique, et notre relation devenait plus sérieuse. Mais je savais qu’elle n’aurait aucun futur si cette jeune fille demeurait Catholique. Alors je lui ai donné un gros volume, un livre de Lorraine Boettner, intitulé « Roman Catholicism » (catholicisme romain). C’est un ouvrage connu comme étant la bible de l’anti-catholicisme. Il y a 400 pages et plus, remplies de toutes sortes de déformations et de mensonges au sujet de l’Église Catholique. Mais je ne le savais pas à l’époque, donc je le lui ai donné en toute bonne foi. Elle le lut d’une couverture à l’autre, puis elle m’écrivit cet été-là en disant : « merci pour le livre, je n’irai jamais plus à la messe ».

Et je rapporte cela avec une certaine honte et de la tristesse, mais je le dis tout de même afin d’illustrer la sincérité que partage beaucoup de chrétiens fondamentalistes quand il s’agit de s’opposer à l’Église Catholique. Je pensais alors que si le bout de pain qu’ils adoraient sur l’autel n’était pas Dieu, alors ils étaient idolâtres, ils étaient païens, ils étaient à plaindre et à dénoncer. Si le Pape à Rome n’est pas le représentant infaillible du Christ qui peut relier des centaines de millions de catholiques dans leurs croyances et leurs pratiques, alors c’est un tyran. C’est un dictateur spirituel, purement et simplement. Et comme je ne croyais pas qu’il était le vicaire infaillible du Christ, je pensais qu’il était tout à fait correct pour moi d’aider les catholiques à voir la même chose afin d’obtenir à ce qu’ils quittent l’Église.

La seule personne catholique dans ma famille, des deux côtés, c’était ma bien-aimée grand-mère. Elle était très calme, très humble, et très sainte, je dois admettre. Et elle était aussi une pieuse catholique. Quand elle est morte, mes parents m’ont donné ses objets religieux. J’ai parcouru son livre de prière et son missel, et j’ai aussi trouvé son chapelet de perles. Toutes ces choses me rendaient malade. Je savais que ma grand-mère avait une foi vive en Jésus, mais je me demandais ce que tout ceci pouvait signifier. Alors j’ai brisé son chapelet de perles, et j’ai jeté le tout à la poubelle. Je voyais ce chapelet comme une chaîne dont, enfin, elle était libérée. C’était le second aspect de ma perception à l’époque : ces gens devaient avoir la foi mais elle était entourée de mensonges, et donc ils avaient besoin de chrétiens fondamentalistes affectueux pour s’en sortir.

Après avoir terminé avec succès mes années de secondaire, je décidais non seulement de poursuivre dans le ministère mais aussi d’étudier la théologie. Cette décision était un résultat de l’étude que j’avais rédigée pour ma dernière année de secondaire. J’avais écrit un texte intitulé « Sola Fide ». C’est une expression en latin qui signifie : « la foi seule » ou « par la foi seulement ». C’est en fait l’expression que Martin Luther a utilisé pour lancer la réforme protestante. Il disait que nous sommes justifiés, nous sommes justes devant Dieu par la foi seulement, et non par quelconque oeuvre que nous aurions pu faire. Et pour lui, c’était l’article sur lequel l’Église devait s’appuyer et sur lequel elle avait chuté. Et à cause de cela l’Église Catholique était tombée et l’Église Protestante s’était élevée. J’ai écrit cette étude en étant pleinement convaincu après beaucoup de recherches que si ce point était faux, tous les autres l’étaient aussi. Si on dit « la foi et autre chose », on pollue l’évidente vérité de l’Évangile. Et c’est avec cette forte conviction que j’ai commencé mes études universitaires.

Les années universitaires
Mes 4 années d’université ont été utilisées à obtenir un diplôme en Philosophie, en Théologie des Écritures et en Économie, mais aussi à oeuvrer au sein de « Young Life ». Je voulais témoigner à Dieu ma gratitude sur le fait qu’Il avait utilisé « Young Life » pour me faire connaître le Christ. Donc pendant ces 4 années, je me suis dévoué à rejoindre les jeunes qui ne connaissaient pas le Christ, et je reconnais que les jeunes catholiques, dans les écoles secondaires où je travaillais, en faisaient partie, parce je les voyais comme de pauvres âmes enténébrées qui ne connaissaient pas vraiment Jésus-Christ.

Je découvrais après plusieurs études bibliques que non seulement ces jeunes ne connaissaient pas Jésus-Christ, mais que pratiquement tous les élèves catholiques du secondaire que je rencontrais, ne savaient même pas ce qu’enseignait l’Église Catholique. Si un ou deux d’entre eux savaient ce que l’Église enseignait, ils ne savaient pas pourquoi. Ils n’avaient aucune raison de rafraîchir leurs croyances en tant que catholiques. Donc les amener à comprendre la Bible, l’Évangile, comme je la comprenais grâce à Martin Luther, dans une perspective anti-catholique, c’était comme qui dirait « un jeu d’enfant ». Ils n’étaient pas prêts, ils n’étaient pas équipés, ils étaient sans défense.

Je ne sais pas exactement ce qui s’est passé dans les 15, 20, 25 dernières années, mais en pensant à ces jeunes, je me demande s’ils n’étaient pas considérés comme des cobayes pour une espèce d’expérimentation catéchétique, et que les gens pensaient que nous pouvions nous abstenir de les instruire des doctrines qu’ils avaient besoin de connaître et des raisons de ces doctrines. En tout cas, ils en étaient là. J’ai vu plusieurs d’entre eux quitter l’Église et d’une certaine façon je me suis opposé à eux dans une sincère « bonne foi », mais je me suis aussi opposé à eux parce que j’étais moi-même mal informé.

Pour ma troisième année de ministère au sein de « Young Life », j’ai demandé à une jeune dame, la plus belle fille du campus, si elle voulait se joindre à moi dans ce travail auprès des jeunes. Kimberly me répondit « oui ». Nous travaillâmes ensemble pendant 2 ans et nous eûmes un coup de foudre. Quelquefois nous nous disputions comme frère et soeur au sujet des différents chemins et des différents moyens de rejoindre ces jeunes. Mais nous avons vraiment grandi dans un respect réciproque, et à la fin de ces 4 années universitaires, je lui demandai si elle voulait m’épouser. Et je crois que le mot le plus simple mais aussi le plus grand qu’elle est jamais dit fût « oui ». Nous nous mariâmes aussitôt la fin de nos études terminées. Nous avions tous deux une même perception. Nous voulions évangéliser ensemble, nous voulions partager la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, nous voulions ouvrir la Bible et la rendre à la vie pour les gens.

Les années de séminaires
Nous avons commencé le séminaire une semaine ou deux après notre mariage. Quelle expérience ce fût d’étudier la théologie ensemble. J’avais pris un cours de 3 ans au séminaire Gordon-Conwell à Boston, elle avait pris un cours de 2 ans. Nous obtînmes tous deux notre diplôme. Je terminais ces 3 années parmi les premiers de la classe. Je ne dis pas cela par fierté, mais pour montrer comment je poursuivais ces études avec force. Les gens qui me connaissaient au séminaire, me connaissaient pour être plutôt acharné. Je passais presque toutes mes heures libres à lire et à étudier les Écritures ou des livres au sujet des Écritures qui en faisaient davantage ressortir la signification. Si je ne lisais ou n’étudiais pas, je magasinais les boutiques de livres usagés pour trouver des ressources. Ces 3 années furent pour Kimberley et moi-même une grande aventure. Mais quelques événements eurent lieu en cours de route, et il me faut les relater car en regardant en arrière je les vois comme des événements décisifs.

Il y eut tout d’abord un cours que Kimberley suivait la première année, un cours que j’avais suivi l’année précédente et qui s’intitulait « Morale Chrétienne ». Le Professeur, Mr Davis, avait réparti tous les étudiants en petits groupes afin que chaque groupe puisse s’atteler à un seul sujet. Il y avait un petit groupe sur l’avortement, un autre sur la guerre nucléaire, un sur la peine capitale. Un jour, au dîner, Kimberley m’annonça qu’elle était dans le groupe consacré à l’étude de la contraception. Je me souviens avoir pensé à l’époque : « pourquoi la contraception ? »

Lorsque je suivais ce cours, l’année précédente, personne ne s’était inscrit pour ce sujet, et je le lui dis. Elle répondit : « et bien, 3 autres se sont inscrits et nous avons eu notre première rencontre aujourd’hui. Un certain se désigna lui-même comme président de l’assemblée et il annonça les résultats de notre étude avant même qu’elle ne commence. Il dit : bien, nous savons tous en tant que Protestants, comme « chrétiens de la Bible » que la contraception est correcte aussi longtemps que nous n’utilisons pas de contraceptifs abortifs comme l’IUD et autres. Il déclara plus tard, que les seules personnes qui se disent chrétiennes et qui s’opposent au contrôle artificiel des naissances, ce sont les catholiques, et ajouta-t-il : « la raison en est bien sûr qu’ils sont gouvernés par un pape célibataire et dirigés par des prêtres célibataires qui n’ont pas à élever des enfants mais qui veulent que les parents catholiques en élèvent beaucoup ainsi ils pourront en tirer tout plein de prêtres et de religieuses ».

Ce genre d’argument n’impressionna pas vraiment Kimberley. Elle lui répondit : « es-tu sûr que ce sont les meilleurs arguments qu’ils offrent ? » Et je devine qu’il a dû ironiser et dire : « et bien, veux-tu le vérifier par toi-même ? » Il ne faut pas poser ce genre de question à Kimberley ! Elle a répondu : « oui », et elle s’est intéressée à vérifier cela par elle-même. Une semaine passa et Terry m’arrêta dans un couloir pour me dire : « tu devrais parler à ta femme ; elle a déniché quelques informations intéressantes au sujet de la contraception ». Des informations intéressantes au sujet de la contraception ? Qu’est-ce qui est intéressant au sujet de la contraception ? « Et bien, tu sais, c’est ta femme, tu devrais voir ce qu’il en est ». « Ok, Terry, je vais le faire ».

Donc ce soir-là, au souper, je lui demandai : « à quoi Terry fait-il référence ? » Et elle me répondit : « j’ai découvert que jusqu’en 1930, toutes les dénominations protestantes sans exception, s’opposaient à la contraception sur des bases bibliques ». Alors je lui dis : « allons bon ! Peut-être qu’il nous a fallu quelques siècles pour se débarrasser des derniers vestiges des résidus catholiques.. ? Elle me répondit : « et bien, je vais étudier cela ».

Puis une semaine plus tard, Terry m’arrêta de nouveau et me dit : « ses arguments ont du sens ». Je répondis : « les arguments contre la contraception sur la base des Écritures ? » Il dit : « tu devrais lui parler ». « Ok, je vais lui parler ». Vous savez, étant donné le sujet, je pensais que je ferais mieux de lui parler !

Alors j’ai abordé le problème et en guise de réponse, elle me tendit un livre de John Kippley. Il s’intitulait : « le contrôle des naissances et l’alliance maritale » . Je lus ce titre avec intérêt parce que dans mes études personnelles, après avoir lu la Bible à plusieurs reprises, j’étais arrivé à cette forte conviction que si on voulait connaître Dieu il fallait comprendre l’Alliance, car l’Alliance est l’idée centrale de toute l’Écriture. Donc, quand j’ai pris ce livre je fus intéressé en voyant le mot « alliance » dans son titre. Je l’ouvris et je commençais à le lire, et je dis : « attends un seconde, Kimberley, ce type est catholique ! Tu t’attends à ce que je lise un catholique ? » Et immédiatement une pensée s’imposant en moi à ce moment : qu’est-ce qu’un catholique peut bien faire à mettre le mot « alliance » dans le titre de son livre ? Depuis quand les catholiques s’emparent de mon concept favori ?

Donc, je commençais à lire le livre. Après 2 ou 3 chapitres, constatant que cela prenait sens, je jetais promptement le livre en travers de mon bureau. Sincèrement, je ne voulais pas que ce livre soit sensé. Mais je le repris tout de même et poursuivis ma lecture. Ses arguments étaient plus que sensés. S’appuyant sur la Bible, sur l’Alliance, il montrait que l’acte conjugal n’est pas seulement un acte physique ; c’est un acte spirituel que Dieu a conçu et par lequel l’alliance maritale se renouvelle. Et dans toutes les alliances, nous avons la possibilité de renouveler l’engagement, et l’acte de renouvellement de l’alliance est un acte ou un moment de grâce.

La suite sur le site...


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Message par Rémi Lun 20 Sep 2010 - 15:17

J'ai déjà lu ce livre, il est très intéressant pour savoir quoi répondre au protestant quand ils contredisent notre foi catholique.


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Message par Francesco Jeu 23 Sep 2010 - 23:52

Oui ce Scott Hahn est un théologien fort intéressant et son cheminement nous fait découvrir de facon plus importante les beautés de notre foi.Il publit des livres régulierement(qui sont souvent traduit en francais).


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