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Le Grand Miracle selon Garabandal?

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Le Grand Miracle selon Garabandal? Empty Le Grand Miracle selon Garabandal?

Message par Francesco Lun 3 Jan 2011 - 0:25


LE GRAND MIRACLE !

Le Grand Miracle aura lieu moins de 12 mois après l'Avertissement et sera annoncé par Conchita huit jours avant. Il doit se produire un jeudi soir, à 20h30, entre le 8 et le 16 du mois de mars, avril et mai. Lors d’une interview de Conchita sur une chaîne de télévision irlandaise à New York, le présentateur lui a demandé si elle pouvait révéler la date du Miracle, elle a répondu : «Qu’il aurait lieu entre le mois d’avril et juin (in between the month, entre les mois) et qu’elle en donnera la date exacte 8 jours avant.»

Comme le mois de juin n’avait jamais été évoqué par elle auparavant il est probable qu’il se produira en mai.

Il sera beau­coup plus important que celui du soleil à Fatima; il ne sera visible dans le ciel, que de Garabandal et des montagnes environnantes. Il se produira en la fête d'un jeune martyr de l'Eucharistie et durera environ un quart d'heure.

L’avertissement qui se sera produit avant aura purifié les cœurs de ceux qui auront bien voulu se convertir et Dieu nous donnera la force nécessaire pour en supporter la vision. Les malades présents seront guéris, les in­croyants présents croiront.

Après le Grand Miracle il restera aux Pins un signe visible de jour comme de nuit. On pourra le photographier mais pas le toucher. Probablement un signe similaire à celui qui se trouvait au-dessus le l’Arche d’Alliance.

Attention ! Certains font courir le bruit que le Miracle sera vu du monde entier et que partout les malades seront guéris et les incroyants convertis. Non, ce n’est pas ce la Vierge a dit. Déjà à Fatima la Vierge avait aussi dit : «Venez ici le 13 de chaque mois et le sixième mois Dieu fera un grand miracle.» Ce miracle ne s’est produit qu’à Fatima.

D’ailleurs à propos de Garabandal La Très Sainte Vierge a dit : «D'aussi loin et difficile que ce soit, vous arriverez à temps. Venez nombreux avec vos malades et vos amis : Les malades seront guéris et les incroyants convertis».

Qui sera guéri ? Lorsqu’on a demandé à Conchita, est-ce que tous les malades seront guéris? Elle à répondu : «La Vierge m’a dit, les malade seront guéris.»

Le jour du Grand Miracle il sera donc préférable de se trouver à Garabandal plutôt que dans un hypothétique lieu d’apparitions. Il faut faire la différence entre ce que l’on voudrait qui se fasse et ce qui se fera !

On pourrait penser qu’avec l’Avertissement, tout le monde se convertira; cela ne semble pas être le cas car si les bons se convertiront pour devenir meilleur, beaucoup se révolteront et se rallieront à l’antéchrist, aussi est-il possible que le jour du Grand Miracle il y aura moins de monde que prévu à Garabandal.


EN ATTENDANT LE GRAND MIRACLE

Des voix pontifiantes s’élèvent parfois pour nous rappeler que Conchita, une des quatre voyantes de Garabandal, est la seule à connaître la date du Grand Miracle et que le fait d’essayer de trouver cette date revenait à usurper son rôle.

Faux ! Il n’est pas question de ça ; Conchita nous donnera la date du Miracle huit jours avant qu’il ne se produise. Mais la Vierge Elle-même ne nous a-t-Elle pas donné des point de repères en ce qui concerne cet heureux évènement : Le Grand Miracle se produira entre le mois de mars, avril ou mai, un jeudi soir à 20h30, le soleil luira encore ; il coïncidera avec la fête d’un saint de l’eucharistie et un heureux évènement dans l’Eglise ; il sera, moins de douze mois, précédé de l’Avertissement.

Si La Très Sainte Vierge voulais nous empêcher de deviner la date du Miracle, Elle ne nous aurait pas donné toute ces indications ; Elle nous aurait simplement demandé de mettre en pratique Ses deux messages et de patienter. Essayer de trouver cette date est une sorte de sainte impatience en attendant cette rencontre avec le Ciel. Bien sûr, les malades y trouvent une grande espérance et si à la fin des apparitions en 1965 on avait su que le Miracle ne se produirait pas avant 2011, soit plus de 50 ans après la première apparition de Saint Michel, le 18 juin 1961 et celle de la Vierge, le 2 juillet 1961, beaucoup se seraient découragé.

Bien évidemment, ces précisions ont également été données pour que le jour où ces évènements arriveront, nous ne soyons pas surpris et que tout le monde sache qu’ils étaient prophétisés.

Le Miracle doit se produire le jour de la fête d’un martyr de l’Eucharistie.

Alors qu’est-ce qu’un martyr ? C’est quelqu’un qui est mort ou a enduré des tourments pour la religion chrétienne, des souffrances du corps et d’esprit, d’amour envers le Christ.

Et le fait de parler de « saint », au masculin ou féminin, est-ce vraiment déterminant? On ne fait pas de différence au niveau d’un titre ou d’un grade : docteur, lieutenant, capitaine colonel, etc.

Et soit-dit en passant, le 13 mai n’est pas une fête de la Vierge, comme le 15 août, fête de l’Assomption, ou de l’Immaculée Conception, par exemple, mais la commémoration de la première apparition de Fatima.

Alors examinons quelques saints qui sont souvent évoqués en relation avec le Miracle ; même si le Bon Dieu va peut-être nous en dévoiler un auquel nous n’avons pas pensé ! Plusieurs noms reviennent souvent, notamment ceux de Saint Tarcisius, Saint Hermenegild et Saint Pancrace, mais à part ce dernier, les dates ne concordent pas.

(Encore faut-il être sûr que la fête d’un Saint soit réellement le jour décrété par l’Eglise sur terre, ou selon le Ciel, le jour de sa mort et de son entrée au Ciel.)

Mais pour information, voyons quand même brièvement qui sont ces Saints et leur histoire.

Saint Tarcisius est fêté le 15 ou le 26 aout (?). Il est celui à qui on pense le plus car Conchita aurait évoqué quelqu’un qui lui correspond. Mais la date ne correspond pas du tout et donc il ne rentre pas ligne de compte pour la date du Miracle.

Saint Tarcisius, pour porter la sainte communion à un malade, protégeait sous son manteau les Saintes Espèces, le corps du Christ, et refusa de les donner à des enfants païens qui voulaient les profaner. Ils le lapidèrent et s'enfuirent. Vint à passer un soldat chrétien qui emporta le cadavre. Il fut enseveli dans les catacombes.

Le sarcophage de saint Tarcisius est utilisé comme autel de la basilique St-Tarcisius de Rome. L'église en a fait le patron des enfants de chœur et il fut donné en exemple à la jeunesse catholique jusqu'au XXe siècle.

Saint Hermenegilde fêté le 13 avril. Prochaine concordance avec le jeudi qui pourrait convenir : 13 avril 2017. (Très vraisemblablement trop tard !)

En l’an 586, à Tarragone en Espagne, le fils du roi arien des Visigoths Léovigild, fut converti à la foi catholique par l’évêque saint Léandre et ne se laissa fléchir ni par les faveurs ni par les menaces de son père, qui, irrité, le priva du règne et le fit enfermer dans une étroite prison. Au moment des fêtes pascales, ayant refusé de recevoir la communion des mains d’un évêque arien, il fut frappé à mort d’un coup de hache, sur l’ordre de son père. Trois ans après sa décapitation, la nation wisigothique revenait elle aussi à la foi de l'Eglise romaine.

Mais les deux candidats suivant, Saint Pancrace et la bienheureuse Imelda, dont nous parlerons plus bas, pourraient convenir si le Grand Miracle devait se produire en 2011.

La petite Imelda a été surnommée : la fleur de l'Eucharistie et elle est la patronne des premiers communiants. Alors que Saint Pancrace, à peine plus âgé qu’elle lors de son martyr, est patron des enfants !

Le 12 mai l’Eglise fête Saint Pancrace, un des nombreux martyrs de la persécution de l’empereur Dioclétien, qui gouverna l’empire romain de 284 à 305.

Mais est-ce un martyr de l’eucharistie ? Dans la mesure où l’on considère l’eucharistie comme le centre de la vie de tout catholique, on est en droit de répondre par l’affirmative.

Saint Pancrace de Rome est né en 289 AD et mort en 304 après Jésus-Christ. Dans l’Eglise antique Pancrace représenta un modèle d’adolescent qui donna sa vie par amour de son Seigneur, restant fidèle au baptême qu’il avait reçu depuis peu. Il était né en Phrygie (région historique de l’actuelle Turquie occidentale) de Cledionuse et Cerada, tous deux nobles, qui professaient la religion païenne, dans laquelle ils éduquèrent aussi leur fils. Pancrace, orphelin en jeune âge, fut confié aux soins de son oncle Denis, élu administrateur des biens patrimoniaux que la famille du neveu possédait en Phrygie et à Rome. Oncle et neveu se déplacèrent très tôt dans la ville impériale, où une communauté chrétienne vivait intensément la foi dans le Seigneur crucifié et ressuscité.

Denis et le jeune Pancrace entendirent parler de la nouvelle religion et demandèrent d’en faire partie. Ils se soumirent à une catéchèse absorbante et, dans une solennelle veillée pascale, ils furent admis dans la communauté chrétienne avec le baptême, qui leur fut administré très probablement par le pape de l’époque, St Marcelin. En ce temps-là sévissant, sur la jeune Eglise de Rome, la persécution de Dioclétien, la plus grave et la plus longue de toutes : une vraie bataille entre christianisme et paganisme. Pancrace, déjà animé par le désir du martyre, fut arrêté et conduit devant le juge, qui lui demanda qui il était. L’adolescent répondit fermement : «Je m’appelle Pancrace et je suis chrétien». Le juge essaya de toutes les façons de l’induire à un acte de culte vers l’empereur. Le jeune chrétien fut inflexible: il n’aurait jamais renoncé au Christ pour les faveurs d’un homme, fût-il l’empereur de Rome lui-même.

Alors le juge fut obligé d’appliquer la loi et ordonna que Pancrace fût décapité hors de la ville, sur la voie Aurélia. La pie matrone romaine Ottavilla prit le corps du martyr et le fit enterrer dans le cimetière de Calepodio. Les persécutions contre l’Eglise terminées, sur la tombe du jeune martyr fut érigée une basilique, où la communauté chrétienne de Rome se rendait le dimanche après Pâques pour présenter au Saint les nouveaux baptisés, qui déposaient sur son autel l’habit blanc adossé au baptême. Ils le priaient de pouvoir imiter son courage et sa foi dans le Seigneur ressuscité.

Le 12 ou le 13 mai, l’Eglise fête la bienheureuse Imelda.

Imelda est née à Bologne en 1322 et morte le 12 mai 1333 à l’âge de 11 ans. Le jour de sa fête est donnée, tantôt pour le 12 mai, jour de sa mort, tantôt pour le 13 mai, jour de sa fête. La confusion vient du fait qu’étant morte durant la vigile de l'Ascension, le jour de sa fête aurait été déplacée au lendemain du jour de sa mort, c’est à dire au 13 mai.

La bienheureuse Imelda descendait de la noble famille des Lambertini, était la fille du comte Egano Lambertini et de Castora Galuzzi, son épouse. Son nom de baptême était Madeleine. Dès le berceau elle manifesta une intelligence précoce qui s'ouvrait naturellement aux lumières de la foi.

On ne constata jamais en elle de difficulté à obéir, ni de ces caprices qui rendent pénible l'éducation des enfants. Au premier signe, Madeleine quittait le jeu le plus animé pour se mettre au travail. Elle s'était aménagé un petit oratoire qu'elle ornait de ses mains. Tout son bonheur consistait à s'y retirer pour prier.

La splendeur de la maison paternelle pesait à cette âme qui comprenait déjà le néant des choses créées. Suivant un usage très ancien dans l'Église, on recevait parfois les enfants dans les monastères. Ils portaient l'habit religieux, mais cela n'engageait en rien leur avenir et ces enfants n'étaient assujettis qu'à une partie de la Règle. A l'âge de dix ans, la petite Madeleine pria ses parents avec tant d'instance de lui octroyer cette grâce, qu'ils finirent par se rendre à ses désirs et l'emmenèrent chez les Dominicaines de Valdiprétra, près de Bologne.

La jeune enfant prit l'habit avec joie et échangea son nom pour celui d'Imelda, qui signifie : donnée au monde comme du miel, sans doute à cause de sa douceur et de son extrême amabilité. Novice, elle voulut observer la Règle tout entière bien qu'elle n'y fut pas obligée. Sa constance au service de Dieu ne se démentit pas un instant, aucune austérité ne l'effrayait, et elle s'appliquait en tout à ressembler à Jésus crucifié.

La sainte enfant passait des heures en adoration devant Jésus-Hostie, sans ressentir plus de lassitude que les anges devant Dieu. Durant le Saint Sacrifice de la messe, elle versait d'abondantes larmes, surtout lorsque les religieuses quittaient leurs stalles pour aller communier. Dans l'ingénuité de son amour, elle disait parfois: «Je vous en prie, expliquez-moi comment on peut recevoir Jésus dans son cœur sans mourir de joie.» Les religieuses étaient grandement édifiées de sa particulière dévotion envers le Saint Sacrement.

C'était l'usage du pays de donner la première communion aux enfants qu'à l'âge de quatorze ans. Sainte Imelda, consumée par l'ardeur de ses désirs, suppliait d'être enfin admise à la sainte Table, mais on ne croyait pas devoir faire exception pour la petite novice. Le jour de l'Ascension 1533, Imelda atteignit ses onze ans. De nouveau, elle conjura son confesseur de lui permettre de recevoir la sainte communion, mais ce dernier resta inflexible.

L'enfant s'en alla à la chapelle en pleurant, afin d'y entendre la messe. Le Seigneur Jésus, si vulnérable devant un tel amour, ne put résister davantage aux vœux de cette âme angélique. Au moment de la communion, une hostie s'échappa du ciboire, s'éleva dans les airs, franchit la grille du chœur et vint s'arrêter au-dessus de la tête de sainte Imelda. Aussitôt que les religieuses aperçurent l'hostie, elles avertirent le prêtre du prodige. Lorsque le ministre de Dieu s'approcha avec la patène, l'hostie immobile vint s'y poser. Ne doutant plus de la Volonté du Seigneur, le prêtre tremblant communia Imelda qui semblait un ange plutôt qu'une créature mortelle.

Les religieuses, saisies d'un étonnement inexprimable, restèrent longtemps à regarder cette enfant toute irradiée d'une joie surnaturelle, prosternée en adoration. Ressentant finalement une vague inquiétude, elles appelèrent Imelda, la prièrent de se relever, puis lui en donnèrent l'ordre. L'enfant toujours si prompte à obéir paraissait ne pas même les entendre. En allant la relever, les sœurs s'aperçurent avec stupéfaction qu'Imelda était morte: morte de joie et d'amour à l'heure de sa première communion.

Les restes de la bienheureuse Imelda Lambertini, se trouvent dans l'église Saint Sigismond à Bologne. Elle a été béatifiée en 1826 par le Pape Léon XII et a été déclarée Patronne des premiers communiants en 1910 par le Pape Pie X qui, cette année-là, décréta que les enfants pouvaient faire leur première communion à un âge plus précoce.

Padre Pio disait parfois : «qui fait coïncider les coïncidences ?» Alors examinons un peu ces coïncidences.

A Garabandal La Vierge est apparue à quatre petites filles de 11 et 12 ans. Imelda est morte à 11 ans !

Tout comme le Père Luis Andreu, mort de joie après avoir vu le Grand Miracle, Imelda est morte de joie en recevant la Sainte Communion. (Martyre d’Amour)

Dans son deuxième Message à Garabandal, la Vierge dit : «A l'Eucharistie, on donne sans cesse moins d'importance.» En 1910 le Pape Pie X déclara Imelda : Patronne des premiers communiants.

Avant le Miracle il y aura un événement qui fera que beaucoup ne croiront plus à Garabandal. Ce fait pourrait se produire lorsque certains lieux de fausses apparitions seront dévoilés au grand jour, ce qui pourrait inciter certains à faire un amalgame entre le vrai et le faux et de tout rejeter en bloc.

Les apparitions de Fatima ont commencé le 13 mai 1917 et après qu’elles se soient terminées, le 13 octobre 1917, La Très Sainte Vierge a dit à Lucie : «Au revoir et San Sebastian» (de Garabandal).
Beaucoup de lieux d’apparitions prétendent être la suite de Fatima. Non ! Garabandal est la suite de Fatima.

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Message par Dimitryet Mer 17 Juin 2020 - 1:14

Selon Saint Pierre apôtre pour Dieu une année comme 1000 ans. Et les premiers chrétiens avec des justes révélations s'attendaient à leur accomplissement bien avant. Comme aussi les paroles de la Salette s'accomplissent mais pas si vite que ça (Paris "rempli de toute sorte de crimes" est encore à sa place).
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Je pense on ne discerne pas avec des instruments des pensées inquisitrices. Sinon la Vierge Marie à son tour discernera dans les discerneurs l'hérésie nicolaïte.

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Dimitryet
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