École islamiste subventionnée – La sonnette d’alarme aurait dû être tirée
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École islamiste subventionnée – La sonnette d’alarme aurait dû être tirée
École islamiste subventionnée – La sonnette d’alarme aurait dû être tirée
Des islamistes qui gèrent une école subventionnée par le ministère de l’Éducation transfèrent chaque année des dizaines de milliers de dollars à des groupes soupçonnés d’être liés au terrorisme, voire à Oussama ben Laden en personne, le tout sans être inquiétés par les autorités québécoises ou canadiennes, révèle une enquête de Rue Frontenac.
Ces transferts de fonds faits par les gens qui chapeautent l’école Dar Al-Iman de Montréal ne sont pas criminels en vertu de la loi et rien ne prouve qu’un seul dollar versé par Québec ait réellement financé le jihad mondial.
Mais les nombreux soupçons qui pèsent sur les bénéficiaires des fonds, les organismes de charité Islamic Relief, IRFAN et Human Concern International, auraient dû pousser les autorités à tirer la sonnette d’alarme, selon deux anciens hauts dirigeants du Service canadien de renseignement de sécurité (SCRS) interrogés dans le cadre de notre reportage.
« On a trois colonnes de fumée. Est-ce qu’il y a du feu ? Comment se fait-il qu’à Québec et Ottawa, ils n’aient pas examiné ça ? Ça démontre que quelqu’un ne se force pas. C’en est choquant ! », s’insurge Michel Juneau-Katsuya, ancien directeur du Bureau de l’analyse stratégique de l’Asie-Pacifique au SCRS.
Son ex-collègue et ancien chef de la planification stratégique, David B. Harris, est du même avis. « Le contexte me laisse profondément mal à l’aise », dit-il.
À l’école des Frères Musulmans
Comme le révélait Rue Frontenac en décembre, le ministère de l’Éducation du Québec verse 555 500 $ par année en subventions à l’école musulmane Dar Al-Iman, laquelle se réclame de la philosophie des Frères Musulmans. Ce groupe intégriste milite pour l’instauration de gouvernements islamistes et a donné naissance au Hamas, en Palestine.
L’école, construite grâce à une subvention de 232 000 $ de la Banque islamique de développement, est affiliée à la Muslim Association of Canada (MAC), un organisme de bienfaisance pancanadien qui fait la promotion de la doctrine des Frères Musulmans. Le directeur de l’établissement, Lazhar Aissaoui, est même un des dirigeants de la MAC.
En plus de s’occuper de son école subventionnée par Québec dans l’arrondissement Saint-Laurent, cette dernière amasse des fonds pour divers organismes de charité qui viennent en aide aux populations musulmanes en détresse.
Organismes de charité sous la loupe
Parmi les nombreuses œuvres qu’elle soutient, trois groupes ont eu maintes fois à se défendre d’allégations relatives au terrorisme islamique.
C’est le cas d’Islamic Relief, dont la branche canadienne a reçu de la part du MAC 108 000 $ au cours des dernières années, selon les rapports de l’Agence du revenu du Canada. Le chapitre canadien n’a jamais été accusé de quoi que ce soit. Mais Islamic Relief possède des filiales partout dans le monde et ses chapitres philippins et indonésiens font partie de la liste établie par l’ONU des groupes associés à al-Qaida, à Oussama ben Laden et aux talibans.
Dans un dossier d’immigration qui s’est retrouvé devant les tribunaux canadiens, des agents du SCRS ont aussi fait état de liens entre un chapitre étranger d’Islamic Relief et le cerveau terroriste Oussama ben Laden.
Des câbles diplomatiques américains divulgués par WikiLeaks montrent également l’inquiétude du Département d’État américain à ce sujet. Dans l’un d’eux, daté de 2009, la Secrétaire d’État américaine Hillary Clinton identifie des organismes de charité saoudiens qui financent les extrémistes. Leurs noms sont censurés dans la version publiée par WikiLeaks sur Internet, mais selon le Wall Street Journal, Islamic Relief est du nombre.
Un autre câble diplomatique, datant de 2007, relate les soupçons du Département d’État qui craignait qu’un diplomate saoudien soit lié au terrorisme parce qu’il avait demandé la libération de militants emprisonnés d’Islamic Relief. À ce jour, Islamic Relief nie vigoureusement tout lien avec les extrémistes.
Un autre groupe bénéficiant des largesses de la MAC est Human Concern International, à qui elle a fait don de 169 000 $ au cours des dix dernières années.
L’organisme n’a jamais été accusé de quoi que ce soit au Canada. Il a publiquement dénoncé le terrorisme et assure se consacrer uniquement au travail humanitaire. Mais le SCRS, lui, est convaincu que Human Concern International a travaillé en collaboration avec al-Qaida.
À preuve, le service a présenté en cour des documents liant Human Concern International à al-Qaida dans le cadre de procédures judiciaires contre un homme qu’il accuse d’être un agent du réseau de ben Laden, Mohamed Harkat.
Autre point d’inquiétude, Ahmed Said Khadr, ami proche d’Oussama ben Laden et père du Canadien détenu à Guantanamo Omar Khadr, a déjà été l’un des dirigeants de l’organisme.
M. Khadr, tué en 2003 au Pakistan, gérait des fonds de Human Concern International en 1995 lorsqu’il a été arrêté sous des soupçons d’avoir financé l’attentat contre l’ambassade égyptienne au Pakistan, qui a fait 17 morts.
Plainte contre le SCRS
Outré d’être ainsi associé au terrorisme, l’organisme de charité a porté plainte au Comité de surveillance des activités du SCRS. Ce comité civil a demandé au SCRS de présenter ses excuses pour cette affirmation non prouvée. Sûr de ses sources, le patron des services de renseignements a refusé de se rétracter, comme l’a rapporté La Presse Canadienne.
Le troisième organisme controversé financé par la MAC est pour sa part soupçonné d’être une vache à lait du Hamas palestinien, qui est considéré comme terroriste par le Canada. Il s’agit de l’International Relief Fund for the Afflicted and Needy (IRFAN-Canada), qui a reçu 297 000 $ depuis dix ans.
En 2004, le député conservateur Stockwell Day, à l’époque membre de l’opposition, a demandé au gouvernement d’enquêter sur IRFAN, qu’il accusait d’être un organe de financement du Hamas.
Une opinion partagée par les autorités judiciaires américaines, qui citent ses liens avec le Hamas dans un document déposé en cour lors d’un procès très médiatisé pour financement du terrorisme. IRFAN faisait partie des « coconspirateurs non accusés » dans cette affaire.
À l’instar des deux autres groupes, IRFAN nie toutes les allégations à son endroit. Elle poursuit d’ailleurs le ministre Day en diffamation pour 12 millions de dollars.
Vérifié par la MEQ
Informé de la situation par Rue Frontenac, le ministère de l’Éducation du Québec a fait des vérifications et assure que les états financiers vérifiés de l’école Dar Al-Iman démontrent que les subventions publiques ont été utilisées à bon escient, pour l’éducation des enfants et pour rien d’autre.
« Si on se réfère au dernier rapport de vérification externe de 2009-2010, le vérificateur ne soulevait aucune irrégularité. Et cette vérification a été réalisée conformément aux normes reconnues au Canada », assure Esther Chouinard, porte-parole du ministère.
Elle souligne aussi que l’argent du ministère n’est pas versé directement à la MAC, mais à une corporation appelée Institut d’enseignement Dar Al-Iman et créée après que des fonctionnaires se furent inquiétés du fait que l’école ait été donnée à 100 % à la « Muslim Association of Canada, dont le siège social est situé à Toronto ».
Mais la vérification des états financiers n’est pas suffisante, affirme l’ancien cadre du SCRS David B. Harris.
« Ici, le contexte, incluant l’orientation des Frères Musulmans, soulève des questions quant à la réception et la redirection de fonds gouvernementaux. Les gouvernements du Québec et du Canada devraient s’appliquer plus rigoureusement à l’examen de l’orientation de certaines institutions islamistes, surtout lorsqu’il est question de flux financiers », dit-il.
« Allégations »
Le président de la MAC, Sharaf H. A. Sharafeldin, rétorque que les organismes en question n’ont été trouvés coupables de rien au Canada. « Nous sommes au courant des allégations que vous mentionnez (…) mais cela demeure des allégations, à moins de preuve du contraire par une autorité compétente. » Les groupes qu’il finance sont tous enregistrés comme organismes de bienfaisance légaux et nient les allégations à leur endroit, observe-t-il.
« Dans l’histoire du Québec et du Canada, il y a eu maintes allégations contre des personnages politiques d’envergure; ils ont été étiquetés communistes, radicaux, subversifs, etc. Plus tard, ces mêmes personnes sont devenues les leaders de partis, de groupes d’opposition et les fondateurs du régime de santé public », fait-il remarquer.
Source : Rue Frontenac, par Vincent Larouche, 20 janvier 2011
Freres musulmans - Principes 1935
Allah est notre but
le Prophete notre modele
le Coran notre loi
le Djihad notre vie
le martyre notr voeux
Eh bien cela va faire des enfants bien instruits....
Des islamistes qui gèrent une école subventionnée par le ministère de l’Éducation transfèrent chaque année des dizaines de milliers de dollars à des groupes soupçonnés d’être liés au terrorisme, voire à Oussama ben Laden en personne, le tout sans être inquiétés par les autorités québécoises ou canadiennes, révèle une enquête de Rue Frontenac.
Ces transferts de fonds faits par les gens qui chapeautent l’école Dar Al-Iman de Montréal ne sont pas criminels en vertu de la loi et rien ne prouve qu’un seul dollar versé par Québec ait réellement financé le jihad mondial.
Mais les nombreux soupçons qui pèsent sur les bénéficiaires des fonds, les organismes de charité Islamic Relief, IRFAN et Human Concern International, auraient dû pousser les autorités à tirer la sonnette d’alarme, selon deux anciens hauts dirigeants du Service canadien de renseignement de sécurité (SCRS) interrogés dans le cadre de notre reportage.
« On a trois colonnes de fumée. Est-ce qu’il y a du feu ? Comment se fait-il qu’à Québec et Ottawa, ils n’aient pas examiné ça ? Ça démontre que quelqu’un ne se force pas. C’en est choquant ! », s’insurge Michel Juneau-Katsuya, ancien directeur du Bureau de l’analyse stratégique de l’Asie-Pacifique au SCRS.
Son ex-collègue et ancien chef de la planification stratégique, David B. Harris, est du même avis. « Le contexte me laisse profondément mal à l’aise », dit-il.
À l’école des Frères Musulmans
Comme le révélait Rue Frontenac en décembre, le ministère de l’Éducation du Québec verse 555 500 $ par année en subventions à l’école musulmane Dar Al-Iman, laquelle se réclame de la philosophie des Frères Musulmans. Ce groupe intégriste milite pour l’instauration de gouvernements islamistes et a donné naissance au Hamas, en Palestine.
L’école, construite grâce à une subvention de 232 000 $ de la Banque islamique de développement, est affiliée à la Muslim Association of Canada (MAC), un organisme de bienfaisance pancanadien qui fait la promotion de la doctrine des Frères Musulmans. Le directeur de l’établissement, Lazhar Aissaoui, est même un des dirigeants de la MAC.
En plus de s’occuper de son école subventionnée par Québec dans l’arrondissement Saint-Laurent, cette dernière amasse des fonds pour divers organismes de charité qui viennent en aide aux populations musulmanes en détresse.
Organismes de charité sous la loupe
Parmi les nombreuses œuvres qu’elle soutient, trois groupes ont eu maintes fois à se défendre d’allégations relatives au terrorisme islamique.
C’est le cas d’Islamic Relief, dont la branche canadienne a reçu de la part du MAC 108 000 $ au cours des dernières années, selon les rapports de l’Agence du revenu du Canada. Le chapitre canadien n’a jamais été accusé de quoi que ce soit. Mais Islamic Relief possède des filiales partout dans le monde et ses chapitres philippins et indonésiens font partie de la liste établie par l’ONU des groupes associés à al-Qaida, à Oussama ben Laden et aux talibans.
Dans un dossier d’immigration qui s’est retrouvé devant les tribunaux canadiens, des agents du SCRS ont aussi fait état de liens entre un chapitre étranger d’Islamic Relief et le cerveau terroriste Oussama ben Laden.
Des câbles diplomatiques américains divulgués par WikiLeaks montrent également l’inquiétude du Département d’État américain à ce sujet. Dans l’un d’eux, daté de 2009, la Secrétaire d’État américaine Hillary Clinton identifie des organismes de charité saoudiens qui financent les extrémistes. Leurs noms sont censurés dans la version publiée par WikiLeaks sur Internet, mais selon le Wall Street Journal, Islamic Relief est du nombre.
Un autre câble diplomatique, datant de 2007, relate les soupçons du Département d’État qui craignait qu’un diplomate saoudien soit lié au terrorisme parce qu’il avait demandé la libération de militants emprisonnés d’Islamic Relief. À ce jour, Islamic Relief nie vigoureusement tout lien avec les extrémistes.
Un autre groupe bénéficiant des largesses de la MAC est Human Concern International, à qui elle a fait don de 169 000 $ au cours des dix dernières années.
L’organisme n’a jamais été accusé de quoi que ce soit au Canada. Il a publiquement dénoncé le terrorisme et assure se consacrer uniquement au travail humanitaire. Mais le SCRS, lui, est convaincu que Human Concern International a travaillé en collaboration avec al-Qaida.
À preuve, le service a présenté en cour des documents liant Human Concern International à al-Qaida dans le cadre de procédures judiciaires contre un homme qu’il accuse d’être un agent du réseau de ben Laden, Mohamed Harkat.
Autre point d’inquiétude, Ahmed Said Khadr, ami proche d’Oussama ben Laden et père du Canadien détenu à Guantanamo Omar Khadr, a déjà été l’un des dirigeants de l’organisme.
M. Khadr, tué en 2003 au Pakistan, gérait des fonds de Human Concern International en 1995 lorsqu’il a été arrêté sous des soupçons d’avoir financé l’attentat contre l’ambassade égyptienne au Pakistan, qui a fait 17 morts.
Plainte contre le SCRS
Outré d’être ainsi associé au terrorisme, l’organisme de charité a porté plainte au Comité de surveillance des activités du SCRS. Ce comité civil a demandé au SCRS de présenter ses excuses pour cette affirmation non prouvée. Sûr de ses sources, le patron des services de renseignements a refusé de se rétracter, comme l’a rapporté La Presse Canadienne.
Le troisième organisme controversé financé par la MAC est pour sa part soupçonné d’être une vache à lait du Hamas palestinien, qui est considéré comme terroriste par le Canada. Il s’agit de l’International Relief Fund for the Afflicted and Needy (IRFAN-Canada), qui a reçu 297 000 $ depuis dix ans.
En 2004, le député conservateur Stockwell Day, à l’époque membre de l’opposition, a demandé au gouvernement d’enquêter sur IRFAN, qu’il accusait d’être un organe de financement du Hamas.
Une opinion partagée par les autorités judiciaires américaines, qui citent ses liens avec le Hamas dans un document déposé en cour lors d’un procès très médiatisé pour financement du terrorisme. IRFAN faisait partie des « coconspirateurs non accusés » dans cette affaire.
À l’instar des deux autres groupes, IRFAN nie toutes les allégations à son endroit. Elle poursuit d’ailleurs le ministre Day en diffamation pour 12 millions de dollars.
Vérifié par la MEQ
Informé de la situation par Rue Frontenac, le ministère de l’Éducation du Québec a fait des vérifications et assure que les états financiers vérifiés de l’école Dar Al-Iman démontrent que les subventions publiques ont été utilisées à bon escient, pour l’éducation des enfants et pour rien d’autre.
« Si on se réfère au dernier rapport de vérification externe de 2009-2010, le vérificateur ne soulevait aucune irrégularité. Et cette vérification a été réalisée conformément aux normes reconnues au Canada », assure Esther Chouinard, porte-parole du ministère.
Elle souligne aussi que l’argent du ministère n’est pas versé directement à la MAC, mais à une corporation appelée Institut d’enseignement Dar Al-Iman et créée après que des fonctionnaires se furent inquiétés du fait que l’école ait été donnée à 100 % à la « Muslim Association of Canada, dont le siège social est situé à Toronto ».
Mais la vérification des états financiers n’est pas suffisante, affirme l’ancien cadre du SCRS David B. Harris.
« Ici, le contexte, incluant l’orientation des Frères Musulmans, soulève des questions quant à la réception et la redirection de fonds gouvernementaux. Les gouvernements du Québec et du Canada devraient s’appliquer plus rigoureusement à l’examen de l’orientation de certaines institutions islamistes, surtout lorsqu’il est question de flux financiers », dit-il.
« Allégations »
Le président de la MAC, Sharaf H. A. Sharafeldin, rétorque que les organismes en question n’ont été trouvés coupables de rien au Canada. « Nous sommes au courant des allégations que vous mentionnez (…) mais cela demeure des allégations, à moins de preuve du contraire par une autorité compétente. » Les groupes qu’il finance sont tous enregistrés comme organismes de bienfaisance légaux et nient les allégations à leur endroit, observe-t-il.
« Dans l’histoire du Québec et du Canada, il y a eu maintes allégations contre des personnages politiques d’envergure; ils ont été étiquetés communistes, radicaux, subversifs, etc. Plus tard, ces mêmes personnes sont devenues les leaders de partis, de groupes d’opposition et les fondateurs du régime de santé public », fait-il remarquer.
Source : Rue Frontenac, par Vincent Larouche, 20 janvier 2011
Freres musulmans - Principes 1935
Allah est notre but
le Prophete notre modele
le Coran notre loi
le Djihad notre vie
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Eh bien cela va faire des enfants bien instruits....
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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