Nourrie pendant mille deux cent soixante jours

Interprétation intéressante si on regarde - le message de La Salette, la vision du Pape en 1884 sur les 100 ans de puissance de Satan. Si l`église a toujours subit des assauts meme en Occident - Ils deviennent beaucoup plus violent a partir de cette date - montée en puissance du communisme en Europe, révolution bolchévique, nazisme, modernisme, Mai 68, grave crise de la foi et de l`église surtout a partir de 1960. Il faut aussi penser que Holzhauser dit que tout comme les juifs ont eu les Gentils comme ennemis permanents, les chrétiens et l`église auront Mahomet et sa secte comme ennemis permanent jusqu`a la fin du monde. Nous voyons maintenant la montée en puissance de la secte de Mahomet considérée par Holzhauser comme une des tetes du dragon.

"Nous voyons maintenant la montée en puissance de la secte de Mahomet considérée par Holzhauser comme une des tetes du dragon".

Cette bete qui s`éleve de la mer, c`est l`empire de Mahomet ou l`empire des turcs dont parle Daniel chap VII, 7. Il est dit que cette bete s`éleve de la mer, parceque son royaume a pris naissance entre les mers; car Mahomet fut d`abord chef des Arabes. Cette bete avait 7 tetes ; ce qui signifie l`universalité des rois qui gouverneront cet empire jusqu`a la consommation des siecles. Ses dix cornes représentent l`universalité des royaumes et des provinces qui sont soumisent a cet empire et de celles qui lui seront soumisent au temps de l`antechrist.

La religion musulmane

L’Église regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre [5], qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète ; ils honorent sa Mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement, où Dieu rétribuera tous les hommes après les avoir ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne.

Même si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le saint Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté.

Cette analyse est baclée - elle a été faites a une époque ou des tiers-mondistes pleunichaient sur la décolonisation incluant ceux qui ont écrit ces ces lignes.

Compréhension ne veut pas dire suicide

Et ne change rien a l`analyse de l`Épitre de Jean!

18 La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour.

Philippe-Antoine a écrit:Le catholicisme (religion universelle) lui aussi est né et a pris son essor dans le Bassin Méditerranéen. Cette explication prise au premier degré (qui n'a rien à envier à celles des fondamentalistes protestants pour tenter de discréditer Rome) n'a donc aucun sens!

La bête de la mer, ce n'est pas autre chose le péché des hommes qui est hélas universel.

Philippe-Antoine

MichelT a écrit:La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour.

Je ne suis pas parfait en amour - mais en quoi cela change l`analyse des doctrines.

J`espere que vous irez en avant dans l`évangélisation des musulmans - Montrez l`exemple, N`ayez pas peur!

Prenez des coups!

La compréhension exige un effort HONNETE des deux parties. Hors pour que cela soit possible ils doivent renoncer a leur doctrine de Takkya (mensonge et ruse permis par la religion) et au Jihad (l`expansion violente de leur foi). Et meme si ils renoncaient, votre devoir est la conversion, votre devoir est de les LIBÉRÉS d`une fausse doctrine si vous etes pretres.

Je préfere les avis du pere Boulad qui vit en Égypte depuis des décennies ou ceux de Alcader - un kabyle arabe - qui connait l`islam pour l`avoir vécu que l`avis de pretres qui n`ont pas d`expérience pratique de l`islam.

Le Christ avait des ennemis mais l`Église n`en aurait pas

Meme l`Imitation de Jésus-Christ dit en page 68: Jésus-Christ a eu des ennemis et des détracteurs: et toi tu ne voudrais que des amis et des bienfaiteurs...

Ce qui se passe actuellement dans le monde musulmans montre que l`heure de l`Évanglisation et de la conversion sonne: si l`église arrive a former des pretres ex-musulmans et arabisant ils feront des miracles avec l`Évangile et pourront libérer ces gens d`une doctrine fausse et destructrice.

Les protestants évangéliques le font bien et l`Église catholique doit le faire aussi!

admin2 a écrit:

Philippe-Antoine a écrit:Le catholicisme (religion universelle) lui aussi est né et a pris son essor dans le Bassin Méditerranéen. Cette explication prise au premier degré (qui n'a rien à envier à celles des fondamentalistes protestants pour tenter de discréditer Rome) n'a donc aucun sens!

La bête de la mer, ce n'est pas autre chose le péché des hommes qui est hélas universel.

Philippe-Antoine

Holzhauser est vénérable et donc,son proces en béatification est ouvert.....Il a donc une certaine crédibilité....et est un auteur reconnu.

L`islam peut venir de Satan, ou il peut etre une fausse doctrine humaine mais alors pourquoi Dieu lui a permis de réussir. A moins que l`islam est gardé par Dieu pour élaguer son Église quand elle dérape et pour la frapper comme il le fit avec Babylone et l`Assyrie pour les juifs.

Dans les calamités publiques : nous devons nous conformer à la Volonté de Dieu dans toutes les calamités publiques, telles que la guerre, la famine, la peste ; révérer et adorer ses jugements avec une profonde humilité, et, quelque rigoureux qu'ils paraissent, croire avec toute assurance que ce Dieu d'infinie Bonté n'enverrait pas de semblables fléaux, s'il ne devait en résulter de grands biens. En effet, combien d'âmes sauvées par les tribulations, qui se seraient perdues par une autre route ! Combien qui, dans les traverses et les afflictions, se convertissent à Dieu de tout leur cœur et meurent avec un véritable repentir de leurs péchés ! Ainsi, ce qui nous paraît un fléau et un châtiment, est souvent une grâce et une Miséricorde insigne. Pour ce qui nous concerne personnellement, pénétrons-nous bien de cette vérité de notre Sainte foi, que tous les cheveux de notre tête sont comptés et qu'il n'en tombera pas un seul sinon par la Volonté de Dieu ; en d'autres termes, que la moindre atteinte ne nous sera jamais portée, qu'Il ne le Veuille et ne l'ordonne. Éclairés par la méditation de cette vérité, nous comprendrons aisément que nous n'avons ni plus ni moins à craindre, dans un temps de désastre public que dans n'importe quel autre temps, que Dieu peut fort bien nous mettre à l'abri de tout mal, au milieu de l'accablement général, comme il peut nous livrer à tous les maux, pendant qu'autour de nous chacun est dans la paix et la joie, que ce qui doit donc uniquement nous occuper c'est de nous rendre favorable le Dieu Tout-Puissant. Or, c'est là l'effet infaillible de la conformité de notre volonté à la sienne. Empressons-nous donc d'accepter de sa main tout ce qu'Il nous enverra. Cette disposition a plein pouvoir sur son cœur. Agréant notre humble et confiant abandon, ou bien Il nous fera retirer les plus précieux avantages des maux auxquels nous nous soumettons de la sorte, ou bien Il nous épargnera ces maux. En l'an 451, le farouche Attila, roi des Huns, envahissait les Gaules à la tête d'une armée formidable. Il s'appelait lui-même la Terreur du monde et le Fléau de Dieu, se considérant comme envoyé de Dieu pour châtier les crimes des peuples. Tout était mis à feu et à sang, livré au massacre, au pillage et à l'incendie. Un grand nombre de villes populeuses et florissantes avaient déjà succombé. Troyes allait avoir son tour et les habitants étaient plongés dans la consternation. Mais Saint-Loup, leur évêque, plaçant toute sa confiance dans la protection du Ciel, revêtit ses habits pontificaux et, précédé de la croix et suivi de son clergé, il alla trouver Attila. Admis en sa présence: « Qui êtes-vous - lui dit-il - vous qui ravagez ainsi nos contrées et troublez le monde du bruit de vos armes ? » - « Je suis le fléau de Dieu » - répondit Attila. - « Que le fléau de Dieu soit le bienvenu ! - dit alors le Saint - car, qui peut résister au fléau de Dieu ? ». Et il ordonna qu'on ouvrît les portes de la ville. Mais, à mesure que les Barbares y entraient, Dieu les disposait de telle sorte qu'ils la traversèrent sans faire aucun mal. Ainsi, remarque le P. Rodriguez, quoique Attila fut véritablement le fléau de Dieu, Dieu ne voulut pas qu'il remplît ce rôle à l'égard de ceux qui le recevaient comme son fléau avec tant de soumission.

Philippe-Antoine a écrit:Saint Loup vous répond :

Dans les calamités publiques : nous devons nous conformer à la Volonté de Dieu dans toutes les calamités publiques, telles que la guerre, la famine, la peste ; révérer et adorer ses jugements avec une profonde humilité, et, quelque rigoureux qu'ils paraissent, croire avec toute assurance que ce Dieu d'infinie Bonté n'enverrait pas de semblables fléaux, s'il ne devait en résulter de grands biens. En effet, combien d'âmes sauvées par les tribulations, qui se seraient perdues par une autre route ! Combien qui, dans les traverses et les afflictions, se convertissent à Dieu de tout leur cœur et meurent avec un véritable repentir de leurs péchés ! Ainsi, ce qui nous paraît un fléau et un châtiment, est souvent une grâce et une Miséricorde insigne. Pour ce qui nous concerne personnellement, pénétrons-nous bien de cette vérité de notre Sainte foi, que tous les cheveux de notre tête sont comptés et qu'il n'en tombera pas un seul sinon par la Volonté de Dieu ; en d'autres termes, que la moindre atteinte ne nous sera jamais portée, qu'Il ne le Veuille et ne l'ordonne. Éclairés par la méditation de cette vérité, nous comprendrons aisément que nous n'avons ni plus ni moins à craindre, dans un temps de désastre public que dans n'importe quel autre temps, que Dieu peut fort bien nous mettre à l'abri de tout mal, au milieu de l'accablement général, comme il peut nous livrer à tous les maux, pendant qu'autour de nous chacun est dans la paix et la joie, que ce qui doit donc uniquement nous occuper c'est de nous rendre favorable le Dieu Tout-Puissant. Or, c'est là l'effet infaillible de la conformité de notre volonté à la sienne. Empressons-nous donc d'accepter de sa main tout ce qu'Il nous enverra. Cette disposition a plein pouvoir sur son cœur. Agréant notre humble et confiant abandon, ou bien Il nous fera retirer les plus précieux avantages des maux auxquels nous nous soumettons de la sorte, ou bien Il nous épargnera ces maux. En l'an 451, le farouche Attila, roi des Huns, envahissait les Gaules à la tête d'une armée formidable. Il s'appelait lui-même la Terreur du monde et le Fléau de Dieu, se considérant comme envoyé de Dieu pour châtier les crimes des peuples. Tout était mis à feu et à sang, livré au massacre, au pillage et à l'incendie. Un grand nombre de villes populeuses et florissantes avaient déjà succombé. Troyes allait avoir son tour et les habitants étaient plongés dans la consternation. Mais Saint-Loup, leur évêque, plaçant toute sa confiance dans la protection du Ciel, revêtit ses habits pontificaux et, précédé de la croix et suivi de son clergé, il alla trouver Attila. Admis en sa présence: « Qui êtes-vous - lui dit-il - vous qui ravagez ainsi nos contrées et troublez le monde du bruit de vos armes ? » - « Je suis le fléau de Dieu » - répondit Attila. - « Que le fléau de Dieu soit le bienvenu ! - dit alors le Saint - car, qui peut résister au fléau de Dieu ? ». Et il ordonna qu'on ouvrît les portes de la ville. Mais, à mesure que les Barbares y entraient, Dieu les disposait de telle sorte qu'ils la traversèrent sans faire aucun mal. Ainsi, remarque le P. Rodriguez, quoique Attila fut véritablement le fléau de Dieu, Dieu ne voulut pas qu'il remplît ce rôle à l'égard de ceux qui le recevaient comme son fléau avec tant de soumission.

J'ajouterai que nous avons beaucoup plus à craindre de notre manque de foi que de l'Islam!

Ph-Antoine

Qui est st Loup?