APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
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APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉau diocèse de Poitiers
En 1826, le curé de la paroisse de Migné, qui compte un peu plus de 2.000 habitants, M. François Borein de Beaupré, avait décidé de faire donner à ses fidèles les exercices de la mission à l'occasion du jubilé et en vue de renouveler parmi eux l'esprit religieux. Il avait choisi comme prédicateurs deux prêtres éloquents et dévoués, M. Pasquier, curé de Saint Porchaire, à Poitiers et M. Marsault, aumônier du collège royal.
La mission s'ouvrit le 5 novembre et son succès fut tel qu'il fut décidé qu'elle se poursuivrait jusqu'au 17 décembre. Ce jour-là une croix devait être érigée dans le cimetière de la paroisse. On alla la chercher en procession au château d'Auxance, à un kilomètre de là, d'où l'on revint en cortège à Migné. Il était environ quatre heures et demie du soir quand la Croix ayant été planté, M. Marsault prit la parole devant une foule d'environ 2.000 personnes, pour tirer de cette cérémonie les leçons qu'elle comportait.
Il en était venu, dans son discours, à évoquer le souvenir de la Croix qui apparut à l'empereur Constantin, marchant en guerre contre Maxence, quand il s'aperçut d'un murmure confus, qui s'augmentait autour de lui. Pour dominer ce bruit, dont il ignorait la cause, il éleva encore la voix, tandis que M. l'abbé Pasquier recommandait le silence à la foule.
C'est alors que les fidèles montrèrent du geste à l'abbé Pasquier la Croix lumineuse qui venait d'apparaître dans le ciel. Plein d'émotion il cria à l'abbé Marsault : "Ne parlez plus de la Croix qui apparut à Constantin : voyez celle qui parait dans les airs !...". En même temps, le curé de Migné, remarquant à son tour le prodige tirait le prédicateur par le bras criant aussi : "Marsault ! Marsault, c'est un miracle !
La Croix lumineuse. Dans le ciel, en effet, et dans l'obscurité de la nuit qui était tombée, à environ cinquante mètres au-dessus du sol, une Croix lumineuse, sans être éblouissante, se dressait, immobile et majestueuse. Elle était couchée dans la direction de l'occident, le pied correspondant au pignon de la façade de l'Église, tandis que la tête se projetait au-dessus d'un moulin, au bord de l'Auxance. Sa longueur pouvait être d'environ quarante cinq mètres. Tous ses contours se précisaient avec netteté, la traverse qui formait les bras coupant à angle droit la tige principale.
Elle fut visible de cinq heures à cinq heures et demie du soir, par toute la foule invitée par l'abbé Marsault à chanter le cantique : Vive Jésus ! Vive sa Croix. Vers cinq heures et demie, tandis qu'on donnait dans l'Église la bénédiction du Saint-Sacrement, elle commença de s'effacer, en diminuant progressivement ; quand on sortit de l'Église, elle avait disparu.
L'enquête canonique. Un tel événement n'avait pu manquer de susciter à Migné et dans la contrée une vive émotion. Dès le 22 décembre, le curé de Migné, les prédicateurs, diverses personnes, dont le maire et l'adjoint, en attestèrent de la réalité dans un procès-verbal que signèrent avec eux quarante et un témoins.
le 31 décembre, un nouveau rapport fut envoyé au préfet du département. Le 16 janvier 1827, une enquête canonique fut prescrite par Mgr de Bouillié, évêque de Poitiers, qui ne fut close que le 7 février ; enfin, le 28 novembre 1827, Mgr de Bouillié, dans une lettre pastorale, ayant déclaré les faits authentiques, décida qu'un Te Deum d'action de grâces serait chanté, le 16 décembre, dans toutes les églises de son diocèse. Entre temps, trois brefs pontificaux avaient été publiés, dont le troisième en date du 18 août 1827, renfermait les paroles du Pape Léon XII, se disant "personnellement et d'après son jugement particulier, persuadé que le prodige de Migné ne peut être attribué à des causes purement naturelles, sans vouloir encore cependant, affirmer, par lettres publiques, que ce soit un incontestable miracle".
Mais, depuis lors, le souvenir de l'apparition du 17 décembre 1826 fut régulièrement commémoré, notamment lors de son vingt-cinquième et son cinquantième anniversaire, en 1851 et en 1876 sous l'épiscopat du cardinal Pie. En 1876, il y avait encore, à Migné, environ quatre vingt témoins du prodige. Ils avaient entre 60 et 88 ans. Ils renouvelèrent leur témoignage public, en faveur de l'authenticité de légèrement.
Migné en 2006. Dans l'Église est présent le souvenir de cet événement miraculeux. A l'intérieur, on peut voir à l'endroit de l'apparition, une grande croix recouverte de cuivre, fixée à la voûte du transept.
Une inscription gravée au-dessus de l'entrée de l'église remémore l'apparition.
L'apparition miraculeuse de la Croix de Migné-Auxances
Le 17 décembre 1826, dans le Diocèse de Poitiers, France
17 décembre 1826. Un événement extraordinaire met en émoi la petite commune de Migné. La population du village et des environs s'est réunie pour la plantation d'une croix de mission. Alors que l'assemblée écoute le discours du prédicateur, une croix mystérieuse apparait dans le ciel. Contrairement à la croix qu'on vient de dresser, celle-ci est très grande, régulière, lumineuse et couchée. Elle reste ainsi une bonne demi-heure, orientée d'est en ouest, étendue par-dessus la foule, rassemblée devant l'église.
Les autorités civiles et religieuses sont alertées. Une commission d'enquête chargée de vérifier les faits est mise en place. La publication des conclusions de cette commission, qui confirment le fait, et la diffusion de lithographies représentant le miracle déclenchent une polémique nationale diffusée par les médias de l'époque: presse, brochures et livres. Les tenants de l'Eglise et du Concordat y voient une approbation divine, les anti-Concordataires dénoncent le coup monté et les libres-penseurs tournent en dérision les gens de Migné qu'ils traitent de paysans arriérés et crédules. Mais peu à peu d'autres préoccupations font la une de l'actualité et les médias abandonnent l'affaire de Migné.
La Croix commémorative accrochée à la voûte de l'église de Migné Auxances
L'apparition n'en est pas oubliée pour autant. Dans un mandement officiel l'évêque de Poitiers, monseigneur de Bouillé la déclare miraculeuse. Il fait agrandir l'église en forme de croix et la réoriente vers l'ouest, dans le sens de la croix de l'apparition. Sur la stèle de Mgr de Bouillé dans la cathédrale de Poitiers, un bas-relief illustre tout à la fois l'apparition et la reconstruction de l'église. Cette église reste le mémorial essentiel de l'événement. A l'intérieur, une grande croix recouverte de cuivre est fixée à la voûte du transept, à l'endroit exact de l'apparition. Un tableau dans la nef et le vitrail du transept de gauche représentent l'événement. Une inscription gravée au-dessus de l'entrée de l'église et une autre dans le transept, rappellent aussi ce fait exceptionnel. Même à Paris, il est possible de se remémorer ce miracle. Dans la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre, la première chapelle de gauche est consacrée à sainte Radegonde, patronne de Poitiers. L'autel fut construit aux frais de la Comtesse de Beauchamp de St Julien l'Ars en mémoire de sa belle-fille brûlée vive dans la catastrophe de l'incendie du bazar de la charité à Paris le 4 mai 1897. Il comprend deux bas-reliefs: Celui de gauche retrace l'arrivée à Sigon (quartier de Migné) en 569 de l'évêque de Tours apportant à sainte Radegonde un fragment de la croix du Christ offert par l'empereur de Constantinople. Le bas-relief de droite représente le miracle de l'apparition de la croix lumineuse le 17 décembre 1826.
Le bas relief de l'autel de Sainte Radegonde de la Basilique du Sacré Coeur de Montmartre
Prière à la Sainte Croix
Dieu tout puissant, qui avez souffert la mort à l’arbre patibulaire pour tous nos péchés, soyez avec moi.
Sainte Croix de Jésus-Christ, ayez pitié de moi.
Sainte Croix de Jésus-Christ, soyez mon espoir
Sainte Croix de Jésus-Christ, repoussez de moi toute arme tranchante
Sainte Croix de Jésus-Christ, versez en moi tout bien,
Sainte Croix de Jésus-Christ, détournez de moi tout mal,
Sainte Croix de Jésus-Christ, faites que je parvienne au chemin du salut.
Sainte Croix de Jésus-Christ, repoussez de moi toute atteinte de mort
Sainte Croix de Jésus-Christ, préservez-moi des accidents corporels et temporels
Que j’adore la Sainte Croix de Jésus-Christ à jamais !
Jésus de Nazareth crucifié, ayez pitié de moi.
Faites que l’esprit malin et nuisible, fuie de moi dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
En l’honneur du sang précieux de Notre Seigneur Jésus Christ, En l’honneur de son incarnation, par où Il peut nous conduire à la vie éternelle, aussi vrai que Notre Seigneur Jésus Christ est né le jour de Noël et qu’Il a été crucifié le Vendredi Saint. Ainsi soit-il.
http://imagessaintes.canalblog.com/archives/2008/06/24/9690951.html
En 1826, le curé de la paroisse de Migné, qui compte un peu plus de 2.000 habitants, M. François Borein de Beaupré, avait décidé de faire donner à ses fidèles les exercices de la mission à l'occasion du jubilé et en vue de renouveler parmi eux l'esprit religieux. Il avait choisi comme prédicateurs deux prêtres éloquents et dévoués, M. Pasquier, curé de Saint Porchaire, à Poitiers et M. Marsault, aumônier du collège royal.
La mission s'ouvrit le 5 novembre et son succès fut tel qu'il fut décidé qu'elle se poursuivrait jusqu'au 17 décembre. Ce jour-là une croix devait être érigée dans le cimetière de la paroisse. On alla la chercher en procession au château d'Auxance, à un kilomètre de là, d'où l'on revint en cortège à Migné. Il était environ quatre heures et demie du soir quand la Croix ayant été planté, M. Marsault prit la parole devant une foule d'environ 2.000 personnes, pour tirer de cette cérémonie les leçons qu'elle comportait.
Il en était venu, dans son discours, à évoquer le souvenir de la Croix qui apparut à l'empereur Constantin, marchant en guerre contre Maxence, quand il s'aperçut d'un murmure confus, qui s'augmentait autour de lui. Pour dominer ce bruit, dont il ignorait la cause, il éleva encore la voix, tandis que M. l'abbé Pasquier recommandait le silence à la foule.
C'est alors que les fidèles montrèrent du geste à l'abbé Pasquier la Croix lumineuse qui venait d'apparaître dans le ciel. Plein d'émotion il cria à l'abbé Marsault : "Ne parlez plus de la Croix qui apparut à Constantin : voyez celle qui parait dans les airs !...". En même temps, le curé de Migné, remarquant à son tour le prodige tirait le prédicateur par le bras criant aussi : "Marsault ! Marsault, c'est un miracle !
La Croix lumineuse. Dans le ciel, en effet, et dans l'obscurité de la nuit qui était tombée, à environ cinquante mètres au-dessus du sol, une Croix lumineuse, sans être éblouissante, se dressait, immobile et majestueuse. Elle était couchée dans la direction de l'occident, le pied correspondant au pignon de la façade de l'Église, tandis que la tête se projetait au-dessus d'un moulin, au bord de l'Auxance. Sa longueur pouvait être d'environ quarante cinq mètres. Tous ses contours se précisaient avec netteté, la traverse qui formait les bras coupant à angle droit la tige principale.
Elle fut visible de cinq heures à cinq heures et demie du soir, par toute la foule invitée par l'abbé Marsault à chanter le cantique : Vive Jésus ! Vive sa Croix. Vers cinq heures et demie, tandis qu'on donnait dans l'Église la bénédiction du Saint-Sacrement, elle commença de s'effacer, en diminuant progressivement ; quand on sortit de l'Église, elle avait disparu.
L'enquête canonique. Un tel événement n'avait pu manquer de susciter à Migné et dans la contrée une vive émotion. Dès le 22 décembre, le curé de Migné, les prédicateurs, diverses personnes, dont le maire et l'adjoint, en attestèrent de la réalité dans un procès-verbal que signèrent avec eux quarante et un témoins.
le 31 décembre, un nouveau rapport fut envoyé au préfet du département. Le 16 janvier 1827, une enquête canonique fut prescrite par Mgr de Bouillié, évêque de Poitiers, qui ne fut close que le 7 février ; enfin, le 28 novembre 1827, Mgr de Bouillié, dans une lettre pastorale, ayant déclaré les faits authentiques, décida qu'un Te Deum d'action de grâces serait chanté, le 16 décembre, dans toutes les églises de son diocèse. Entre temps, trois brefs pontificaux avaient été publiés, dont le troisième en date du 18 août 1827, renfermait les paroles du Pape Léon XII, se disant "personnellement et d'après son jugement particulier, persuadé que le prodige de Migné ne peut être attribué à des causes purement naturelles, sans vouloir encore cependant, affirmer, par lettres publiques, que ce soit un incontestable miracle".
Mais, depuis lors, le souvenir de l'apparition du 17 décembre 1826 fut régulièrement commémoré, notamment lors de son vingt-cinquième et son cinquantième anniversaire, en 1851 et en 1876 sous l'épiscopat du cardinal Pie. En 1876, il y avait encore, à Migné, environ quatre vingt témoins du prodige. Ils avaient entre 60 et 88 ans. Ils renouvelèrent leur témoignage public, en faveur de l'authenticité de légèrement.
Migné en 2006. Dans l'Église est présent le souvenir de cet événement miraculeux. A l'intérieur, on peut voir à l'endroit de l'apparition, une grande croix recouverte de cuivre, fixée à la voûte du transept.
Une inscription gravée au-dessus de l'entrée de l'église remémore l'apparition.
L'apparition miraculeuse de la Croix de Migné-Auxances
Le 17 décembre 1826, dans le Diocèse de Poitiers, France
17 décembre 1826. Un événement extraordinaire met en émoi la petite commune de Migné. La population du village et des environs s'est réunie pour la plantation d'une croix de mission. Alors que l'assemblée écoute le discours du prédicateur, une croix mystérieuse apparait dans le ciel. Contrairement à la croix qu'on vient de dresser, celle-ci est très grande, régulière, lumineuse et couchée. Elle reste ainsi une bonne demi-heure, orientée d'est en ouest, étendue par-dessus la foule, rassemblée devant l'église.
Les autorités civiles et religieuses sont alertées. Une commission d'enquête chargée de vérifier les faits est mise en place. La publication des conclusions de cette commission, qui confirment le fait, et la diffusion de lithographies représentant le miracle déclenchent une polémique nationale diffusée par les médias de l'époque: presse, brochures et livres. Les tenants de l'Eglise et du Concordat y voient une approbation divine, les anti-Concordataires dénoncent le coup monté et les libres-penseurs tournent en dérision les gens de Migné qu'ils traitent de paysans arriérés et crédules. Mais peu à peu d'autres préoccupations font la une de l'actualité et les médias abandonnent l'affaire de Migné.
La Croix commémorative accrochée à la voûte de l'église de Migné Auxances
L'apparition n'en est pas oubliée pour autant. Dans un mandement officiel l'évêque de Poitiers, monseigneur de Bouillé la déclare miraculeuse. Il fait agrandir l'église en forme de croix et la réoriente vers l'ouest, dans le sens de la croix de l'apparition. Sur la stèle de Mgr de Bouillé dans la cathédrale de Poitiers, un bas-relief illustre tout à la fois l'apparition et la reconstruction de l'église. Cette église reste le mémorial essentiel de l'événement. A l'intérieur, une grande croix recouverte de cuivre est fixée à la voûte du transept, à l'endroit exact de l'apparition. Un tableau dans la nef et le vitrail du transept de gauche représentent l'événement. Une inscription gravée au-dessus de l'entrée de l'église et une autre dans le transept, rappellent aussi ce fait exceptionnel. Même à Paris, il est possible de se remémorer ce miracle. Dans la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre, la première chapelle de gauche est consacrée à sainte Radegonde, patronne de Poitiers. L'autel fut construit aux frais de la Comtesse de Beauchamp de St Julien l'Ars en mémoire de sa belle-fille brûlée vive dans la catastrophe de l'incendie du bazar de la charité à Paris le 4 mai 1897. Il comprend deux bas-reliefs: Celui de gauche retrace l'arrivée à Sigon (quartier de Migné) en 569 de l'évêque de Tours apportant à sainte Radegonde un fragment de la croix du Christ offert par l'empereur de Constantinople. Le bas-relief de droite représente le miracle de l'apparition de la croix lumineuse le 17 décembre 1826.
Le bas relief de l'autel de Sainte Radegonde de la Basilique du Sacré Coeur de Montmartre
Prière à la Sainte Croix
Dieu tout puissant, qui avez souffert la mort à l’arbre patibulaire pour tous nos péchés, soyez avec moi.
Sainte Croix de Jésus-Christ, ayez pitié de moi.
Sainte Croix de Jésus-Christ, soyez mon espoir
Sainte Croix de Jésus-Christ, repoussez de moi toute arme tranchante
Sainte Croix de Jésus-Christ, versez en moi tout bien,
Sainte Croix de Jésus-Christ, détournez de moi tout mal,
Sainte Croix de Jésus-Christ, faites que je parvienne au chemin du salut.
Sainte Croix de Jésus-Christ, repoussez de moi toute atteinte de mort
Sainte Croix de Jésus-Christ, préservez-moi des accidents corporels et temporels
Que j’adore la Sainte Croix de Jésus-Christ à jamais !
Jésus de Nazareth crucifié, ayez pitié de moi.
Faites que l’esprit malin et nuisible, fuie de moi dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
En l’honneur du sang précieux de Notre Seigneur Jésus Christ, En l’honneur de son incarnation, par où Il peut nous conduire à la vie éternelle, aussi vrai que Notre Seigneur Jésus Christ est né le jour de Noël et qu’Il a été crucifié le Vendredi Saint. Ainsi soit-il.
http://imagessaintes.canalblog.com/archives/2008/06/24/9690951.html
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
Certaines révélations privées annoncent que
sera un des signes visibles des derniers temps dans un futur pas trop loitain(selon moi et l'analyse que je fais de ces textes)....La Croix lumineuse. Dans le ciel
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
Si un jour vous allé Migné-Auxances, allez frapper à la porte du Carmel, car ils ont un livre sur toute l'histoire, instructif et à un prix très raisonnable.
alex- Date d'inscription : 16/03/2011
Re: APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
Sur ce site:
http://sites.google.com/site/jesusmisericorde/home/la-croix-de-migne
on peut lire le récit de l'évènement raconté par Arthur Loth journaliste de la revue L'Univers au 19 ème siècle
http://sites.google.com/site/jesusmisericorde/home/la-croix-de-migne
on peut lire le récit de l'évènement raconté par Arthur Loth journaliste de la revue L'Univers au 19 ème siècle
Houdan Michel- Date d'inscription : 14/07/2011
Re: APPARITION DE LA SAINTE CROIX A MIGNÉ
Bonjour Houdan Michel et Bienvenue sur l'Arche de Marie.Pourriez vous vous présentez ds la section appropriée?Merci.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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