Deux musulmanes de Toronto parties mener le djihad en Somalie
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Deux musulmanes de Toronto parties mener le djihad en Somalie
01/04/2011
Deux musulmanes de Toronto parties mener le djihad en Somalie
C'est toujours la même réaction : le choc et la consternation chez la communauté musulmane et les parents quand des jeunes d'ici s'en vont tuer des musulmans innocents à l'étranger.
L'une d'elles étudiait à l'Université de Toronto. On ne parle pas de jeunes qui sont pauvres et marginalisés.
C'était pourtant prévisible : il y a des mosquées radicales, et les associations d'étudiants musulmans sont des foyers de radicalisation. Mais tout le monde se met la tête dans le sable : les universitaires, les leaders des communautés musulmanes, les médias, et les élus.
Deux Canadiennes d’origine somalienne disparues de Toronto au début de janvier se sont rendues en Somalie et sont soupçonnées d'avoir rejoint Al Shabaab, disent les membres de la communauté qui craignent l'attrait grandissant de ce groupe terroriste auprès des jeunes.
«Personne ne sait ce qui s'est passé. . . comment elles ont été endoctrinése», a déclaré Mohamed Gilao de Dejinta Beesha, un organisme de Rexdale qui vient en aide aux Canadiens d'origine somalienne. «C’est très, très inquiétant».
Il s'agit du premier cas connu de recrutement de femmes par Shabaab en Amérique du Nord, ce qui a envoyé une onde de choc dans la communauté somalienne de Toronto. Leur disparition est particulièrement troublante pour ceux qui sont encore sous le choc depuis la nouvelle de l'arrestation mardi soir de Mohamed Hersi, 25 ans, à l'aéroport Pearson de Toronto avant son départ pour le Caire. Selon la police, il avait prévu de se rendre en Somalie pour rejoindre Shabaab. L'homme de Scarborough fait face à des accusations liées au terrorisme.
Aux États-Unis, deux femmes d'origine somalienne ont été inculpées en 2010 pour leur rôle présumé dans un système de collecte de fonds pour le groupe Shabaab. Bien que leurs efforts de collecte de fonds fussent centrés sur les États-Unis, elles auraient également sollicité des fonds au Canada.
Les femmes de Toronto, qui seraient de bonnes amies, ont entre 18 et 20 ans. Elles sont disparues de chez elles un matin de janvier, laissant derrière elles des familles qui ne s'étaient douté de rien. Plus tard, elles ont envoyé des courriels disant qu’elles étaient en Somalie, rappelle un membre de la communauté qui connaît les deux familles et ne veut pas que son nom soit publié. «Elles ont dit à leurs parents qu’elles se portaient bien, et leur ont demandé de ne pas les chercher. Les parents sont dévastés … ils ne savent pas quoi faire». Il a dit que les deux familles n'avaient pas d'indication de leurs filles avaient été radicalisées. «Ils ne se sont jamais doutés de rien. Maintenant, ils sont aussi très inquiets pour leurs autres enfants.»
Les deux femmes vivaient avec leur famille et seraient nées au Canada. L’une elles étudiant à l’Université de Toronto, et on ne sait pas où étudiait l’autre. Elles font partie du nombre croissant de jeunes du pays qui sont soupçonnés d’avoir été recrutés par le mouvement inspiré d’Al Qaïda. D'autres personnes recrutées à Toronto comprennent un groupe de six jeunes hommes qui ont disparu à la fin de 2009.
Source : Somali terrorists lure Toronto women, par Raveena Aulakh et Isabel Teotonio, The Star, 1 avril 2011. Traduction partielle
Deux musulmanes de Toronto parties mener le djihad en Somalie
C'est toujours la même réaction : le choc et la consternation chez la communauté musulmane et les parents quand des jeunes d'ici s'en vont tuer des musulmans innocents à l'étranger.
L'une d'elles étudiait à l'Université de Toronto. On ne parle pas de jeunes qui sont pauvres et marginalisés.
C'était pourtant prévisible : il y a des mosquées radicales, et les associations d'étudiants musulmans sont des foyers de radicalisation. Mais tout le monde se met la tête dans le sable : les universitaires, les leaders des communautés musulmanes, les médias, et les élus.
Deux Canadiennes d’origine somalienne disparues de Toronto au début de janvier se sont rendues en Somalie et sont soupçonnées d'avoir rejoint Al Shabaab, disent les membres de la communauté qui craignent l'attrait grandissant de ce groupe terroriste auprès des jeunes.
«Personne ne sait ce qui s'est passé. . . comment elles ont été endoctrinése», a déclaré Mohamed Gilao de Dejinta Beesha, un organisme de Rexdale qui vient en aide aux Canadiens d'origine somalienne. «C’est très, très inquiétant».
Il s'agit du premier cas connu de recrutement de femmes par Shabaab en Amérique du Nord, ce qui a envoyé une onde de choc dans la communauté somalienne de Toronto. Leur disparition est particulièrement troublante pour ceux qui sont encore sous le choc depuis la nouvelle de l'arrestation mardi soir de Mohamed Hersi, 25 ans, à l'aéroport Pearson de Toronto avant son départ pour le Caire. Selon la police, il avait prévu de se rendre en Somalie pour rejoindre Shabaab. L'homme de Scarborough fait face à des accusations liées au terrorisme.
Aux États-Unis, deux femmes d'origine somalienne ont été inculpées en 2010 pour leur rôle présumé dans un système de collecte de fonds pour le groupe Shabaab. Bien que leurs efforts de collecte de fonds fussent centrés sur les États-Unis, elles auraient également sollicité des fonds au Canada.
Les femmes de Toronto, qui seraient de bonnes amies, ont entre 18 et 20 ans. Elles sont disparues de chez elles un matin de janvier, laissant derrière elles des familles qui ne s'étaient douté de rien. Plus tard, elles ont envoyé des courriels disant qu’elles étaient en Somalie, rappelle un membre de la communauté qui connaît les deux familles et ne veut pas que son nom soit publié. «Elles ont dit à leurs parents qu’elles se portaient bien, et leur ont demandé de ne pas les chercher. Les parents sont dévastés … ils ne savent pas quoi faire». Il a dit que les deux familles n'avaient pas d'indication de leurs filles avaient été radicalisées. «Ils ne se sont jamais doutés de rien. Maintenant, ils sont aussi très inquiets pour leurs autres enfants.»
Les deux femmes vivaient avec leur famille et seraient nées au Canada. L’une elles étudiant à l’Université de Toronto, et on ne sait pas où étudiait l’autre. Elles font partie du nombre croissant de jeunes du pays qui sont soupçonnés d’avoir été recrutés par le mouvement inspiré d’Al Qaïda. D'autres personnes recrutées à Toronto comprennent un groupe de six jeunes hommes qui ont disparu à la fin de 2009.
Source : Somali terrorists lure Toronto women, par Raveena Aulakh et Isabel Teotonio, The Star, 1 avril 2011. Traduction partielle
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Deux musulmanes de Toronto parties mener le djihad en Somalie
Texte tres intéressant qui montre a quel point l'ENDOCTRINEMENT PEUT ETRE PUISSANT....
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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