99 % des prêtres catholiques NE SONT PAS pédophiles

Plus de 99 % des prêtres catholiques NE SONT PAS pédophiles
La Voix de l'Est


Loin de vouloir diminuer les abominations qui ont été commises, peut-on mettre les choses en perspective et surtout mettre en lumière que l'écrasante majorité des prêtres catholiques sont là pour les bonnes raisons, à savoir servir Dieu, l'Église et leur prochain dans l'amour véritable ?
Des gens sérieux se sont penchés sur le cas des prêtres pédophiles. En voici quelques extraits.

Philip Jenkins (non catholique), professeur de religions à l'université de Pennsylvanie, il écrit également des articles dans les plus grands journaux américains. Voici quelquesunes de ses affirmations : « Il n'y a absolument aucune évidence que les prêtres sont plus enclins à abuser des enfants que l'est n'importe quel autre groupe d'hommes. L'utilisation d'enfants par des adultes pour des plaisirs sexuels est une épidémie à travers toutes les classes, professions, religions et communautés ethniques à travers le globe. La pédophilie chez les prêtres est extrêmement rare, n'affectant que 0,3 % du clergé. Cette figure citée dans son livre Pedophiles and Priests qui est une des études les plus approfondies sur le sujet, affirmant entre autres que sur une période de trente ans, un seul prêtre sur 2,252 en moyenne fut affligé par ce désordre.

Un plus grand nombre de prêtres est plutôt aux prises avec l'éphébophilie, c'est-à-dire un attrait homosexuel envers des garçons adolescents. Malgré cela, le total des deux déviations n'atteint pas 2 % de la population du clergé sur les trente ans de recherche jusqu'en 2002.


Selon M. Jenkins, la meilleure étude sur le sujet est probablement celle du John Jay College of Criminal Justice de New York publiée en 2004, qui examine toutes les plaintes pour abus sexuels déposées contre le clergé américain entre 1950 et 2002. Elle montre qu'environ 4,5 % de tous les prêtres américains (environ 100 000 hommes sur cette période) ont été accusés d'au moins un acte sexuel répréhensible perpétré sur un mineur en dessous de 18 ans.

Toutefois, une grande partie de ces charges ont été abandonnées et 56 % des accusations restantes n'étaient que pour un seul acte par prêtre. Ce qui explique un si grand nombre d'accusations est qu'un petit nombre de prêtres englobent à eux seuls la majorité des accusations. Pour conclure, l'étude arrive à un total de 200 enfants agressés par an, sur toute la durée de l'étude 1950-2002 pour une église de 50 millions de membres et 50 000 prêtres actifs par an. Faites vos calculs ou vos comparaisons.

Je n'ai pas de chiffres comparatifs parce qu'il n'y a pas d'études comparatives sur d'autres groupes, mais je vous cite une réponse de Mgr. Silvano Tomasi, observateur permanent du Vatican aux Nations unies, pris à partie en 2009 sur le manque d'efforts de l'Église Catholique sur le recensement des cas d'abus. Sa réplique : « Bien que certains journaux se concentrent sur le problème des prêtres pédophiles dans l'Église catholique, la plupart des églises américaines qui font l'objet d'allégations d'abus sexuels sur des enfants sont protestantes.

Le nombre d'abus sexuels au sein des communautés juives s'approche également de celui du clergé protestant. Il précise aussi que la majorité des abus sexuels sur les enfants sont commis par les membres de leur entourage. Il faisait enfin allusion à d'autres églises qui ne font rien pour enrayer ce fléau alors que l'Église catholique fait un effort de nettoyage sans précédent à ce niveau.

Aux chères victimes de ces abominations, sachez que l'écrasante majorité des catholiques prie et souffre avec vous en espérant que justice soit faite pour tous les coupables de tels gestes. Pardonnez-moi d'avoir abordé un sujet aussi cruel pour vous, mais comprenez que 99 % des prêtres qui se dévouent sincèrement pour leurs frères et soeurs, souvent les plus démunis, ne méritent pas de se faire traîner dans la boue pour les agissements d'une infime minorité.

Chers frères prêtres, je vous en devais une. Alors qu'un jour, la science médicale ne pouvait plus rien pour moi, c'est vous qui m'avez ramené à la Vie. Éternel remerciement !

Jean-Pierre Blais

Granby

Merci, Oscar pour cette si juste mise au point.

« Il n'y a absolument aucune évidence que les prêtres sont plus enclins à abuser des enfants que l'est n'importe quel autre groupe d'hommes. L'utilisation d'enfants par des adultes pour des plaisirs sexuels est une épidémie à travers toutes les classes, professions, religions et communautés ethniques à travers le globe. La pédophilie chez les prêtres est extrêmement rare, n'affectant que 0,3 % du clergé. Cette figure citée dans son livre Pedophiles and Priests qui est une des études les plus approfondies sur le sujet, affirmant entre autres que sur une période de trente ans, un seul prêtre sur 2,252 en moyenne fut affligé par ce désordre.

Un plus grand nombre de prêtres est plutôt aux prises avec l'éphébophilie, c'est-à-dire un attrait homosexuel envers des garçons adolescents. Malgré cela, le total des deux déviations n'atteint pas 2 % de la population du clergé sur les trente ans de recherche jusqu'en 2002.

Toutefois,je me dois de préciser qu'un attrait chez un adulte,pour un adolescent est un désir pédophile...

L'éphébophilie est une paraphilie désignant une forme de désir sexuel d'un adulte pour les adolescent(e)s âgé(e)s entre 15 à 19 ans, soit principalement des mineurs légaux mais majeurs sexuels donc jugés apte à consentir à une relation sexuelle (à la différence de la pédophilie).

Terminologie
L'éphébophilie, au sens premier du terme, se rapporte d'abord à l' attirance exercée par le corps des adolescents, et dans un sens plus restrictif aux pratiques sexuelles induites par cette attirance. Le sexologue allemand Magnus Hirschfeld appelait éphébophiles les homosexuels attirés par les adolescents de quinze à vingt-deux ans. L'éphébophilie est parfois confondue avec la pédophilie par des personnes qui, s'inscrivant dans une perspective de défense de l'ordre moral, désapprouvent tout rapport sexuel avec un adolescent de la même façon qu'avec un enfant. Toutefois, la pédophilie dans le sens précis qui est donné à ce terme aujourd'hui est l'attirance pour des enfants pré-pubères. L'éphébophilie ne doit donc pas lui être assimilée.
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Pédophilie. Apparu en France il y a plus d’un siècle, ce mot (du grec paidos, enfant, et philein, aimer) s’est diffusé après 1968, sans connotation sexuelle au départ, par le biais de courants de pensée qui souhaitaient mettre l’enfant au centre. Selon Le Petit Robert, la pédophilie est « l’attraction sexuelle pour les enfants prépubères » ; un pédophile est donc une personne « qui ressent une attirance sexuelle pour les enfants » ou « qui recherche et pratique des relations sexuelles avec des enfants». L’Organisation mondiale de la santé classe la pédophilie dans les maladies mentales, sous la rubrique « trouble de la préférence sexuelle ».

Pédérastie. Ce terme qui a longtemps désigné toute relation homosexuelle masculine, a quasiment disparu du langage courant. Depuis les années 1990, il n’est employé que pour désigner des formes de relations ou d’agressions sexuelles sur des mineurs, garçons ou filles (de l’attouchement au viol avec violence).

Ephèbophilie. En France, ce mot (du grec ephêbos beau jeune homme) qui ne figure pas dans les dictionnaires, désigne l’attirance sexuelle pour les adolescents pubères, garçons ou filles. Ailleurs, il désigne uniquement l’attirance homosexuelle pour les grands adolescents, avec ou non passage à l’acte. L’éphèbophilie n’est en général pas considérée comme une « maladie ».

Aucun de ces termes ne figure dans les textes de loi. En effet, « l’attraction sexuelle pour un enfant ou un adolescent ne constitue pas un délit, tandis que le passage à l’acte est un crime. Le Code pénal punit l’« atteinte sexuelle », l’« agression sexuelle » et le « viol », avec circonstances aggravantes d’une part, « lorsque l’acte est commis sur un mineur de moins de 15 ans » (âge de la majorité sexuelle en France). Avant cet âge, la victime ne peut être considérée comme « consentante » (la relation sexuelle est donc d’emblée considérée comme un viol) ; et d’autre part « lorsque l’acte est commis par un ascendant ou toute personne ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait ».


Christine LEGRAND

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L'éphébophilie est une paraphilie désignant une forme de désir sexuel d'un adulte pour les adolescent(e)s âgé(e)s entre 15 à 19 ans, soit principalement des mineurs légaux mais majeurs sexuels donc jugés apte à consentir à une relation sexuelle (à la différence de la pédophilie).

La,ca va dépendre des lois des pays.Au Canada,il faut avoir 18 ans pour etre considéré comme majeur alors si un adulte a des relations sexuelles avec un ado en bas de 18 ans.,il s'agit bien d'un acte pédophile...Et un adulte qui a des relations sexuelles avec un ado de 18 ans a une relation consentante.....a moins bien sur de viol...


Mais si nous ne parlons que de désir,tu as raison bien que la limite est bien mince.....