L`origine des bulles financieres
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L`origine des bulles financieres
Dans un petit livre, publié au début du XXème siècle sous le titre de « The Federal Reserve System and the Banks », on peut lire en page 11 : « Si le fermier Jones dépose 1 000 $ dans une banque de Elk River, au Minnesota, et que cette banque déposait à son tour ce montant dans une banque de Minneapolis. Qu’à son tour enfin, la banque de Minneapolis le dépose à New York (à la banque centrale) pour un intérêt de 2%. Qu’alors New York investisse cet argent contre du papier (1) à 3%. Ce serait la plus extraordinaire et la plus unique des méthodes pour permettre aux banques d’Elk River et de Minneapolis de comptabiliser ce dépôt comme des réserves. Cependant, si la banque d’Elk River achetait elle-même le papier (1), tout le système s’écroulerait ».
C’est au nom de cette théorie que fut fondée la banque centrale américaine, la « Federal reserve bank », en 1913. Que signifie-t-elle ?
Le reçu dont dispose la banque d’Elk River lui permet de considérer ce dépôt dans une autre banque comme un actif. La banque de Minneapolis agit de même, ainsi que la banque centrale à New York. Chacune des trois institutions s’estiment donc pleinement détentrice de la totalité des 1000 $ déposés par le fermier Jones.
Quand la comptabilité nationale additionne les actifs de toutes les banques, les 1000 $, par cet artifice comptable, deviennent 3000 $. Quand vous parlez de milliards de dollars de dépôts, passant non par trois institutions, mais huit, neuf voire plus, la richesse d’un pays se voit ainsi exagérément gonflée.
En fin de circuit, la banque centrale délivre des bons du Trésor. Mais, que l’État se trouve en situation de faillite, comme en Grèce par exemple, et tout le système s’écroule : les banques sont ruinées et les 1000 $ du fermier Jones perdus.
Cela ne suffisait pas. Les banquiers américains ont fait entrer les dettes des acquéreurs de maisons dans le circuit, transformant les engagements de remboursement en « actifs ». Puis ces dettes, sous la forme de papier, se voyaient rétrocédées à d’autres banques. C’était les fameuses « subprimes ».
Quand un certain nombre d’emprunteurs, les acquéreurs de maisons, n’ont pas pu effectuer les remboursements, brusquement le papier représentant les dettes s’est trouvé sans valeur. L’actif des banques concernées s’est effondré, et ces dernières se sont retrouvées en difficulté.
On comprend qu’il s’agit d’un système pervers, inventé par des inconscients, sinon pire. Nous devons les prémices de cette « martingale » financière à Paul Moritz Warburg. Né à Hambourg (Allemagne) le 10 août 1868 dans une famille de banquiers juifs, il s’installa aux États-Unis en 1904. Il travailla à la promotion d’une banque centrale. Proche du Président Wilson, en 1913, il vit la concrétisation de ses espérances avec la création de la « Federal reserve bank ».
L’histoire de ce mauvais génie de la finance ne s’arrête pas là. Paul Moritz Warburg avait quatre frères : Felix, Max, Fritz et Aby (ou Abraham), prénoms auxquels ils ajoutaient celui de Moritz, hérité selon la tradition de leur père : Moritz Moses Warburg, lui même un banquier à Hambourg.
Felix s’installa lui aussi aux États-Unis et fit carrière dans la banque juive Kuhn, Loeb & Co, qui devait devenir un jour la fameuse Lehman Brothers. (En 2007, cette même Lehman Brothers fut la première banque à faire faillite à cause du système des « subprimes »).
Autre détail, selon Pierre de Villemarest, la banque Kuhn, Loeb & Co a favorisé la guerre russo-japonaise, disant à Tokyo être prête à financer le Japon en cas de conflit entre les deux pays (2).
Paul, le rédacteur du petit ouvrage dont nous parlons plus haut, appartenait aussi à la direction de Kuhn, Loeb & Co. Il a du reste épousé Nina Loeb, fille d’un fondateur de la banque, Solomon Loeb.
Les trois autres frères Warburg sont restés en Allemagne. Max prit la tête de la banque familiale, à Hambourg, développant un réseau international. Puis, il devint un conseiller du Kaiser Guillaume II. Pendant la Première Guerre mondiale, ce dernier lui confia de hautes responsabilités au sein des services secrets allemands.
Avec la montée du nazisme, il crût pourtant continuer de faire fortune en Allemagne. En 1933, il entra même à la direction à la Reichsbank. En 1938, néanmoins, il vendit la banque familiale et s’enfuit aux États-Unis. Fritz, lui aussi banquier, servit comme attaché commercial de l’Allemagne à Stockholm, pendant la Première Guerre mondiale.
Un lien très fort existait entre Max, en Allemagne, et Paul, aux États-Unis. D’une part les frères Warburg, à l’exception d’Aby, restaient actionnaires dans la banque familiale basée à Hambourg. D’autre part, Max faisait partie de la direction d’IG Farben, le trust chimique allemand qui finança la montée du nazisme et fabriqua le gaz zyklon B. Or, Paul, de son côté, faisait partie de IG Chemical Corporation, plus tard nommé General Aniline Film, succursale de IG Farben aux États-Unis.
Certes, les deux groupes prirent leurs distances en raison de la montée des risques de guerre. Néanmoins, en 1941 encore, un autre financier américain dont la famille venait d’Allemagne, John David Rockfeller, dût affronter une enquête judiciaire en raison des relations qu’il continuait d’entretenir avec IG Farben.
Dans ce climat « internationaliste », comment s’étonner que Paul et Felix, les « Warburg américains », aient tous deux appartenu au CFR (Council on Foreign Relations) (3) ?
Comment s’étonner que, le 17 février 1950, prenant la parole devant le Comité des Affaires étrangères du Sénat des États-Unis, le fils de Paul, James, ait déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La question est seulement de savoir si ce gouvernement mondial arrivera par le consentement ou par la conquête ». James, comme son père et son oncle, appartenait au CFR. Plusieurs fois au gouvernement des États-Unis, en outre conseiller financier de Franklin Roosvelt, il a été vice-président de la banque de Manhattan, la banque des Rockefeller.
Aby, ou Abraham, le quatrième frère de Paul, vécut un destin à part. Restant en Allemagne, sa soif de savoir fit de lui un universitaire qui s’intéressa à la philosophie, à l’anthropologie et à l’histoire de l’art. Mis à l’écart de sa famille en raison de ses préférences trop éloignées du monde du profit, il manifesta à plusieurs reprises un rejet du judaïsme. D’abord en épousant une non-juive, ensuite en allant jusqu’à se déclarer chrétien.
En 1918, étudiant les documents dont il disposait sur les causes de la Première Guerre mondiale, il finit par se croire coupable de son déclenchement et entra dans une période de folie. Le comportement de ses frères et leurs rôles ambigus, respectivement aux États-Unis et en Allemagne, peut-on imaginer, furent la cause de ce sentiment et de la folie qui en découla.
Arrangeant bien en cela sa famille, il fut déclaré inapte à la recherche, ses thérapeutes l’estimant incapables de se concentrer longtemps sur un sujet. Les prenant au mot, en 1923, il fit devant le personnel médical et des malades de la clinique la démonstration du contraire, donnant une conférence sur les indiens Hopis du sud-ouest des États-Unis. Reconnu sain d’esprit, il retourna alors à la vie et reprit ses recherches. Il mourut en 1929 d’une crise cardiaque.
Entre cet hyper émotif et ces quatre frères, c’est à se demander lequel était le plus doué de raison.
Notes
(1) Par « papier », l’auteur entend ce que nous appelons aujourd’hui bon du Trésor.
(2) « Les sources financières du nazisme », Pierre de Villemarest.
(3) Nos lecteurs connaissent le CFR pour être une structure américaine travaillant à la mise sur pied d’un gouvernement mondial. Se référer aux ouvrages de Pierre de Villemarest.
La 58ème rencontre
de Bilderberg, du 3 au 6 juin, à Sitges (Espagne)
En France l’AFP, Le Parisien, Marianne, Rue 89 et même Le Figaro s’en sont fait l’écho. Sur un site Internet ouvert par le groupe de Bilderberg, on pouvait prendre connaissance de la liste de participants. Quelques constats s’imposent.
Le groupe de Bilderberg était jusqu’ici inconnu du grand public. La liste des participants circulait sous le manteau et les journalistes de la presse à grand tirage disaient tout en ignorer. Évoquant son existence, comme Pierre de Villemarest n’a jamais cessé de le faire, on passait pour un illuminé, « un conspirationiste » comme disaient avec un sourire entendu les serviteurs de l’ordre mondialiste placés aux commandes de la plupart des médias.
Ouvrant un site sur Internet et allant jusqu’à diffuser les noms de ses membres, le groupe de Bilderberg prouve que Pierre de Villemarest n’inventait pas. En revanche, de deux choses l’une, ou l’ensemble des journalistes traitant de politique et d’économie étaient très mal informés, donc mauvais, ou ils savaient et se taisaient pour conserver leur place. Dans les deux cas ils sont indignes de leur métier.
Autre point auquel il faut réfléchir, le groupe Bilderberg a décidé de sortir de l’ombre. Tout en préservant le secret de ses réunions, certes, mais adoptant un comportement nou-veau. Nous entrons dans une phase nouvelle du mondialis-me. Elle ne peut qu’annoncer plus de communications des cercles, qui le soutiennent, pour nous faire avaler la pilule d’un gouvernement mondial et la suppression des États et des Nations.Pour le reste, l’opacité reste entière. Le communiqué du groupe évoque les domaines approchés : réforme financière, sécurité, cyber technologie, Afghanistan etc... mais sans plus. « En bref, ajoute-t-il, Bilderberg est un forum international, petit, flexible, informel et confidentiel, au cours duquel des points de vues différents peuvent être exprimés et la compréhension mutuelle fortifiée ». Le secret des débats, apprend-on en outre, est destiné à « permettre aux participants de parler ouvertement et librement ».
« Parler ouvertement et librement » ! Décidément difficile à avaler, surtout avec des Henry Kissinger et des Richard Perle, ce cynique promoteur de la guerre contre l’Irak, dans le comité directeur du groupe de Bilderberg.
Source: Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
C’est au nom de cette théorie que fut fondée la banque centrale américaine, la « Federal reserve bank », en 1913. Que signifie-t-elle ?
Le reçu dont dispose la banque d’Elk River lui permet de considérer ce dépôt dans une autre banque comme un actif. La banque de Minneapolis agit de même, ainsi que la banque centrale à New York. Chacune des trois institutions s’estiment donc pleinement détentrice de la totalité des 1000 $ déposés par le fermier Jones.
Quand la comptabilité nationale additionne les actifs de toutes les banques, les 1000 $, par cet artifice comptable, deviennent 3000 $. Quand vous parlez de milliards de dollars de dépôts, passant non par trois institutions, mais huit, neuf voire plus, la richesse d’un pays se voit ainsi exagérément gonflée.
En fin de circuit, la banque centrale délivre des bons du Trésor. Mais, que l’État se trouve en situation de faillite, comme en Grèce par exemple, et tout le système s’écroule : les banques sont ruinées et les 1000 $ du fermier Jones perdus.
Cela ne suffisait pas. Les banquiers américains ont fait entrer les dettes des acquéreurs de maisons dans le circuit, transformant les engagements de remboursement en « actifs ». Puis ces dettes, sous la forme de papier, se voyaient rétrocédées à d’autres banques. C’était les fameuses « subprimes ».
Quand un certain nombre d’emprunteurs, les acquéreurs de maisons, n’ont pas pu effectuer les remboursements, brusquement le papier représentant les dettes s’est trouvé sans valeur. L’actif des banques concernées s’est effondré, et ces dernières se sont retrouvées en difficulté.
On comprend qu’il s’agit d’un système pervers, inventé par des inconscients, sinon pire. Nous devons les prémices de cette « martingale » financière à Paul Moritz Warburg. Né à Hambourg (Allemagne) le 10 août 1868 dans une famille de banquiers juifs, il s’installa aux États-Unis en 1904. Il travailla à la promotion d’une banque centrale. Proche du Président Wilson, en 1913, il vit la concrétisation de ses espérances avec la création de la « Federal reserve bank ».
L’histoire de ce mauvais génie de la finance ne s’arrête pas là. Paul Moritz Warburg avait quatre frères : Felix, Max, Fritz et Aby (ou Abraham), prénoms auxquels ils ajoutaient celui de Moritz, hérité selon la tradition de leur père : Moritz Moses Warburg, lui même un banquier à Hambourg.
Felix s’installa lui aussi aux États-Unis et fit carrière dans la banque juive Kuhn, Loeb & Co, qui devait devenir un jour la fameuse Lehman Brothers. (En 2007, cette même Lehman Brothers fut la première banque à faire faillite à cause du système des « subprimes »).
Autre détail, selon Pierre de Villemarest, la banque Kuhn, Loeb & Co a favorisé la guerre russo-japonaise, disant à Tokyo être prête à financer le Japon en cas de conflit entre les deux pays (2).
Paul, le rédacteur du petit ouvrage dont nous parlons plus haut, appartenait aussi à la direction de Kuhn, Loeb & Co. Il a du reste épousé Nina Loeb, fille d’un fondateur de la banque, Solomon Loeb.
Les trois autres frères Warburg sont restés en Allemagne. Max prit la tête de la banque familiale, à Hambourg, développant un réseau international. Puis, il devint un conseiller du Kaiser Guillaume II. Pendant la Première Guerre mondiale, ce dernier lui confia de hautes responsabilités au sein des services secrets allemands.
Avec la montée du nazisme, il crût pourtant continuer de faire fortune en Allemagne. En 1933, il entra même à la direction à la Reichsbank. En 1938, néanmoins, il vendit la banque familiale et s’enfuit aux États-Unis. Fritz, lui aussi banquier, servit comme attaché commercial de l’Allemagne à Stockholm, pendant la Première Guerre mondiale.
Un lien très fort existait entre Max, en Allemagne, et Paul, aux États-Unis. D’une part les frères Warburg, à l’exception d’Aby, restaient actionnaires dans la banque familiale basée à Hambourg. D’autre part, Max faisait partie de la direction d’IG Farben, le trust chimique allemand qui finança la montée du nazisme et fabriqua le gaz zyklon B. Or, Paul, de son côté, faisait partie de IG Chemical Corporation, plus tard nommé General Aniline Film, succursale de IG Farben aux États-Unis.
Certes, les deux groupes prirent leurs distances en raison de la montée des risques de guerre. Néanmoins, en 1941 encore, un autre financier américain dont la famille venait d’Allemagne, John David Rockfeller, dût affronter une enquête judiciaire en raison des relations qu’il continuait d’entretenir avec IG Farben.
Dans ce climat « internationaliste », comment s’étonner que Paul et Felix, les « Warburg américains », aient tous deux appartenu au CFR (Council on Foreign Relations) (3) ?
Comment s’étonner que, le 17 février 1950, prenant la parole devant le Comité des Affaires étrangères du Sénat des États-Unis, le fils de Paul, James, ait déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La question est seulement de savoir si ce gouvernement mondial arrivera par le consentement ou par la conquête ». James, comme son père et son oncle, appartenait au CFR. Plusieurs fois au gouvernement des États-Unis, en outre conseiller financier de Franklin Roosvelt, il a été vice-président de la banque de Manhattan, la banque des Rockefeller.
Aby, ou Abraham, le quatrième frère de Paul, vécut un destin à part. Restant en Allemagne, sa soif de savoir fit de lui un universitaire qui s’intéressa à la philosophie, à l’anthropologie et à l’histoire de l’art. Mis à l’écart de sa famille en raison de ses préférences trop éloignées du monde du profit, il manifesta à plusieurs reprises un rejet du judaïsme. D’abord en épousant une non-juive, ensuite en allant jusqu’à se déclarer chrétien.
En 1918, étudiant les documents dont il disposait sur les causes de la Première Guerre mondiale, il finit par se croire coupable de son déclenchement et entra dans une période de folie. Le comportement de ses frères et leurs rôles ambigus, respectivement aux États-Unis et en Allemagne, peut-on imaginer, furent la cause de ce sentiment et de la folie qui en découla.
Arrangeant bien en cela sa famille, il fut déclaré inapte à la recherche, ses thérapeutes l’estimant incapables de se concentrer longtemps sur un sujet. Les prenant au mot, en 1923, il fit devant le personnel médical et des malades de la clinique la démonstration du contraire, donnant une conférence sur les indiens Hopis du sud-ouest des États-Unis. Reconnu sain d’esprit, il retourna alors à la vie et reprit ses recherches. Il mourut en 1929 d’une crise cardiaque.
Entre cet hyper émotif et ces quatre frères, c’est à se demander lequel était le plus doué de raison.
Notes
(1) Par « papier », l’auteur entend ce que nous appelons aujourd’hui bon du Trésor.
(2) « Les sources financières du nazisme », Pierre de Villemarest.
(3) Nos lecteurs connaissent le CFR pour être une structure américaine travaillant à la mise sur pied d’un gouvernement mondial. Se référer aux ouvrages de Pierre de Villemarest.
La 58ème rencontre
de Bilderberg, du 3 au 6 juin, à Sitges (Espagne)
En France l’AFP, Le Parisien, Marianne, Rue 89 et même Le Figaro s’en sont fait l’écho. Sur un site Internet ouvert par le groupe de Bilderberg, on pouvait prendre connaissance de la liste de participants. Quelques constats s’imposent.
Le groupe de Bilderberg était jusqu’ici inconnu du grand public. La liste des participants circulait sous le manteau et les journalistes de la presse à grand tirage disaient tout en ignorer. Évoquant son existence, comme Pierre de Villemarest n’a jamais cessé de le faire, on passait pour un illuminé, « un conspirationiste » comme disaient avec un sourire entendu les serviteurs de l’ordre mondialiste placés aux commandes de la plupart des médias.
Ouvrant un site sur Internet et allant jusqu’à diffuser les noms de ses membres, le groupe de Bilderberg prouve que Pierre de Villemarest n’inventait pas. En revanche, de deux choses l’une, ou l’ensemble des journalistes traitant de politique et d’économie étaient très mal informés, donc mauvais, ou ils savaient et se taisaient pour conserver leur place. Dans les deux cas ils sont indignes de leur métier.
Autre point auquel il faut réfléchir, le groupe Bilderberg a décidé de sortir de l’ombre. Tout en préservant le secret de ses réunions, certes, mais adoptant un comportement nou-veau. Nous entrons dans une phase nouvelle du mondialis-me. Elle ne peut qu’annoncer plus de communications des cercles, qui le soutiennent, pour nous faire avaler la pilule d’un gouvernement mondial et la suppression des États et des Nations.Pour le reste, l’opacité reste entière. Le communiqué du groupe évoque les domaines approchés : réforme financière, sécurité, cyber technologie, Afghanistan etc... mais sans plus. « En bref, ajoute-t-il, Bilderberg est un forum international, petit, flexible, informel et confidentiel, au cours duquel des points de vues différents peuvent être exprimés et la compréhension mutuelle fortifiée ». Le secret des débats, apprend-on en outre, est destiné à « permettre aux participants de parler ouvertement et librement ».
« Parler ouvertement et librement » ! Décidément difficile à avaler, surtout avec des Henry Kissinger et des Richard Perle, ce cynique promoteur de la guerre contre l’Irak, dans le comité directeur du groupe de Bilderberg.
Source: Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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