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La communauté des Petites Soeurs d'Israel et sa fondatrice Mere Myriam

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Message par Francesco Mar 21 Juin 2011 - 3:00

Je ne connais pas cette nouvelle communauté religieuse mais ,selon ce texte,ca ne sent pas bon.quelqu'un en sait il un peu plus?
LE MONDE | 27.01.01

Des parents d’enfants recrutés par des groupes reconnus par l’Eglise viennent d’écrire aux évêques pour dénoncer les abus de pouvoir de « certains fondateurs de ces communautés ». L’épiscopat commence timidement à reconnaître cette réalité.

« Des sectes dans l’Eglise catholique. » En mai 1996, un livre portant cette affirmation en sous-titre avait créé un beau scandale. Les auteurs de cet ouvrage collectif (Les Naufragés de l’Esprit, Seuil) mettaient en cause de graves dérives existant, selon eux, dans plusieurs communautés religieuses issues du Renouveau charismatique. L’épiscopat avait vivement protesté, dans un communiqué, contre ce « réquisitoire » jetant le soupçon sur « la vigilance des évêques »: « Veut-on accréditer l’idée qu’il y aurait des sectes dans l’Eglise? (…) Nous ne pouvons l’admettre. »

Cinq ans plus tard, une timide prise de conscience semble se dessiner. L’Eglise catholique de France vient d’admettre, dans un texte rédigé par le Père Jean Vernette, secrétaire national du service « Pastorale, sectes et nouvelles croyances », que des « dérives sectaires » pouvaient exister en son sein (Le Monde du 17janvier). Le document, publié dans la lettre d’information de l’épiscopat (SNOP) datée du 15 janvier, est l’un des premiers résultats d’une réflexion entamée depuis deux ans au sein d’un « groupe Gamaliel »: constituée dans la plus grande discrétion, cette commission de travail intra-ecclésial a pour but de remédier à de possibles abus dans des communautés religieuses, et particulièrement dans ce qu’on appelle les « communautés nouvelles », fondées au cours des trente dernières années.

«FORTES PRESSIONS MORALES »

Il est temps: plusieurs familles dont les enfants appartiennent à des groupes reconnus par l’Eglise catholique se sont organisées en association et interpellent la hiérarchie. L’Association vie religieuse et familles (Avref), créée en 1998, a adressé le 29 novembre une lettre à tous les évêques de France. Elle y dénonce les abus de pouvoir de certains « fondateurs de communautés ou de leurs collaborateurs », le « manque de discernement » au stade du recrutement et surtout « les fortes pressions morales exercées lors de retraites ou au cours de directions spirituelles ou de confessions privées ». L’Avref déplore que, jusqu’à présent, ses « appels au secours n’aient pas été entendus et pris au sérieux » par les responsables catholiques.

Au premier rang des communautés visées par l’Avref figurent les Sœurs mariales d’Israël et de Saint-Jean: une communauté dont la fondatrice, Mère Myriam, a défrayé la chronique en menant une grève de la faim, en 1988, sous les fenêtres de l’archevêché de Lyon. En 1982, cette jeune femme d’origine hongroise (elle s’appelle Tünde Szentes) fonde à Rimont, près d’Autun (Saône-et-Loire), la communauté des Petites Sœurs d’Israël et prend le nom de Mère Myriam. Elle cherche à obtenir une reconnaissance canonique auprès de MgrArmand Le Bourgeois, alors évêque d’Autun, qui lui accorde un agrément provisoire ad experimentum.

En 1986, plusieurs familles dont les filles sont chez les Petites Sœurs, ainsi qu’une ex-religieuse, dénoncent la « pression psychologique » exercée par la supérieure, et même des « vexations, humiliations et sévices corporels ». Plusieurs témoignages relatent des scènes d’hystérie au cours desquelles Mère Myriam frappe ses compagnes. Les parents–des catholiques convaincus–décident de s’adresser au tribunal ecclésiastique (ou officialité) de Lyon. Le jugement est rendu le 23 septembre 1987. Il déclare recevable la demande des familles. Il conclut que « l’étroite dépendance des filles à l’égard de Mère Myriam est certaine et dûment établie. L’autorité que Tünde Szentes exerce sur elles est assez contraignante pour être considérée comme abusive et de nature à porter atteinte à leur liberté spirituelle. » Comme il est d’usage dans les officialités, les juges s’en remettent à la décision de l’archevêque de Lyon et de l’évêque d’Autun.

GRÈVE DE LA FAIM

C’est alors que Mère Myriam entame sa grève de la faim. Elle se plaint qu’on la persécute parce qu’elle est « juive, immigrée et socialiste ». Le cardinal Decourtray, archevêque de Lyon, cède: il renouvelle l’agrément de la communauté. Le 18 février 1991, un deuxième jugement en appel annule le premier, au motif que les parents des victimes n’avaient pas qualité pour ester en justice devant une officialité.

En 1994, Mgr Decourtray accorde à la communauté le statut d’association privée de fidèles. Un an plus tard, les Petites Sœurs de la Compassion, d’Israël et de Saint-Jean sont admises par les congrégations des Frères et Sœurs de Saint-Jean comme une «nouvelle branche» de leur «famille». A partir de cette date, la communauté de Mère Myriam est régulièrement mentionnée dans la Lettre aux amis de Saint-Jean. Il faut dire que le fondateur des Frères de Saint-Jean, le dominicain Marie-Dominique Philippe, est très proche de Tünde Szentes, dont il a été le professeur de philosophie à Fribourg. Dernière péripétie: le 2 février 1999, la communauté de Mère Myriam, dont la maison se trouve désormais à Mars (Loire), dans le diocèse de Lyon, obtient d’un évêque slovaque, Mgr Kosnoc, de Roznavsky, une reconnaissance comme institut de vie consacrée.

Aujourd’hui, les Petites sœurs d’Israël continuent de recruter, en France, mais aussi en Hongrie, en Roumanie et en Slovaquie, dans des conditions pour le moins discutables. M. H. (comme beaucoup de membres de l’Avref, il préfère garder l’anonymat «par crainte de représailles») en a fait la douloureuse expérience. Au cours d’un rassemblement catholique, sa fille de vingt-trois ans fait la connaissance des Petites Sœurs d’Israël, qui lui proposent de participer à «une retraite de jeunes». En fait de retraite, elle se trouve être la seule laïque quand elle arrive au couvent, le 26 décembre 1997. Dès le 1erjanvier, on lui remet l’habit religieux. Le Père Marie-Dominique Philippe prend contact avec sa famille: « Au cours d’une confession, j’ai découvert que votre fille avait la vocation… » Les parents tentent en vain de rencontrer leur fille en tête-à-tête: cette permission leur est refusée. Finalement, c’est grâce à l’intervention énergique d’un parent prêtre que la jeune fille peut sortir du couvent de Mère Myriam, en septembre 1998. « Elle reconnaît aujourd’hui qu’elle s’est fait avoir », raconte son père.

Le Père Fülop, aumônier de la Mission catholique hongroise à Lyon, est très disert sur le cas de Mère Myriam. Il décrit ses méthodes de recrutement musclées, lorsqu’elle se rend en Hongrie, accompagnée du Père Marie-Dominique Philippe: « Elle parcourt les villages et dit aux jeunes filles: “Suivez-moi, je vous offrirai une belle vie en France.” Les filles sont attirées. Elle les fait entrer dans une maison dont elles ne peuvent plus sortir. Au mois d’août1998, le Père Philippe et Mère Myriam se sont battus à coups de bâtons de chaise avec des villageois qui voulaient récupérer leur fille, enfermée dans le presbytère. Cela se passait dans le village de Sur, au nord du lac Balaton. La presse et la télévision hongroise en ont largement parlé et ont dénoncé ces méthodes.» Une autre fois, en avril 1999, c’est une jeune Hongroise que la police trouve égarée sur un quai de gare à Lyon. Elle a tenté de s’échapper du couvent de Mère Myriam, mais celle-ci lui a confisqué son passeport…

Les familles dont les filles se trouvent toujours dans la communauté des Petites Sœurs d’Israël ne savent plus à quel saint se vouer. L’une d’elles a appris par hasard, en lisant la Lettre aux amis, que sa fille venait de prononcer ses vœux perpétuels… Les parents tirent toutes les sonnettes. En vain. Réponse de l’évêque d’Autun, MgrSegui: « Je n’ai malheureusement aucune compétence pour ce dossier, n’étant pas l’évêque protecteur de cette association. » Réponse de l’archevêque de Lyon, MgrBillé: « Qu’il soit bien clair que je n’ai pas reconnu cette communauté. » Réponse de la Congrégation pour les religieux, au Vatican: « Ces problèmes (…) doivent être examinés par l’autorité diocésaine du lieu où est établie l’association concernée »…

Interrogé par Le Monde, le Père Vernette se veut optimiste: « L’Eglise catholique s’est engagée dans une opération vérité à laquelle elle tient et qui sera bénéfique à tous. » De son côté, Mgr Billé fait savoir qu’il « examine tous les points qui permettront de dire si la communauté de Mère Myriam a ou non un avenir ».

Xavier Ternisien



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Message par Francesco Mar 21 Juin 2011 - 3:01

Ce texte date de 10 ans....


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Message par Francesco Mar 21 Juin 2011 - 3:03

Finalement,il n'y avait pas de fumée sans feu car cette communauté fut dissoute:
Mère Myriam
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Mère Myriam, de son vrai nom Tünde Szentes de Madefalna de Kibaczon, née à Budapest en 1949, est une religieuse catholique hongroise qui fonda en France la communauté des « Petites Sœurs de l'Immaculée », ensuite nommées « Petites Sœurs d'Israël, Filles de l'Immaculée », puis « Sœurs mariales d'Israël et de Saint-Jean »[1]. Cette communauté fut dissoute en mars 2005 par l'Église catholique.

Sommaire [masquer]
1 Tünde Szentes
2 Mère Myriam
3 Notes
4 Bibliographie

Tünde SzentesTünde Szentes appartient par son père à une lignée d'aristocrates de Transylvanie. Sa mère, d'origine juive, s'est convertie au christianisme. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a secondé Raoul Wallenberg dans son action pour sauver les Juifs de Hongrie[1].

Tünde Szentes passe ses premières années à Budapest. Après avoir étudié le piano, elle souhaite poursuivre sa formation au Conservatoire de musique de Paris et, au bout de trois ans d'attente, elle réussit à quitter la Hongrie en 1968 grâce à un haut fonctionnaire de l'UNESCO.

En France, elle fait la connaissance du père Marie-Dominique Philippe lors d'une retraite à Poissy, dans l'un des Foyers de Charité fondés à l'initiative de Marthe Robin[1]. Elle rencontrera Marthe Robin quelques années plus tard, en 1974, lors d'une retraite à Châteauneuf-de-Galaure, et se rendra souvent chez elle pour solliciter ses conseils[2].

Le père Philippe lui suggère de s'inscrire à l'université de Fribourg, en Suisse, où il enseigne la philosophie. Il lui fait obtenir deux bourses d'études, l'une de l'université et l'autre du canton de Fribourg. En 1973, Tünde Szentes s'installe donc en Suisse, où elle restera sept ans. Elle y étudiera plus particulièrement l'œuvre d'Aristote et de Thomas d'Aquin, et présentera deux thèses de doctorat proposant une alternative intellectuelle au marxisme. Elle travaille également comme secrétaire de rédaction pour le père Philippe[1].

La découverte de l'œuvre de Maximilien Kolbe l'incite à entrer à la « Milice de l'Immaculée », mouvement d'évangélisation créé par le père Kolbe. Elle en devient bientôt l'un des porte-parole[1]. Puis, en 1982, elle fonde la communauté des « Petites Sœurs de l'Immaculée ».

Mère MyriamEn 1982, son nom de religieuse est « mère Catherine-Marie ». Cependant, la même année, elle effectue un pèlerinage en Israël avec le père Philippe. Ce pèlerinage, ajouté au fait qu'elle apprend seulement à cette date l'ascendance juive de sa mère, lui permet de mieux prendre en compte les origines juives du christianisme[1]. Elle devient alors « mère Myriam » et les « Petites Sœurs de l'Immaculée » s'appellent désormais les « Petites Sœurs d'Israël, Filles de l'Immaculée ». Lors d'incidents antisémites à Chalon-sur-Saône, elle prend la défense de la communauté juive[1].

D'abord située dans le diocèse d'Autun, la communauté de mère Myriam s'installe ensuite dans le diocèse de Lyon.

Dès 1986, plusieurs familles dénoncent de graves dérives sectaires, voire des maltraitances physiques et des « sévices corporels » qu'exercerait mère Myriam envers les religieuses. L'année suivante, l'officialité (le tribunal ecclésiastique) de Lyon conclut à une « étroite dépendance » des religieuses envers leur supérieure. Celle-ci entame peu après une grève de la faim devant l'archevêché de Lyon[3]. À la suite de cela, le cardinal Decourtray, archevêque de Lyon, renouvelle l'agrément de la communauté. Puis, en 1991, un jugement en appel annule le premier. Quelques jours avant sa mort, en 1994, le cardinal Decourtray accorde à la communauté le statut d'« association privée de fidèles ». En 1995, cette association devient une « nouvelle branche » de la communauté Saint Jean[4], dirigée par le père Philippe, qui en est nommé le « conseiller »[5]. Quatre ans plus tard, mère Myriam obtient d'un évêque slovaque la reconnaissance de sa communauté en tant qu'« institut de vie consacrée ».

Cependant, diverses associations de lutte contre les sectes ainsi que les médias continuent à dénoncer les agissements de mère Myriam, depuis les violences physiques et psychiques jusqu'à ses méthodes de recrutement en France, en Hongrie, en Roumanie et en Slovaquie. Un scandale a lieu en 1998 lorsque mère Myriam et le père Philippe veulent emmener une jeune fille contre le gré de ses parents[3].

La communauté est ensuite dissoute par la hiérarchie catholique[6], selon un décret pris le 15 mars 2005 par le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon[7]. D'après les autorités diocésaines, il s'agit là d'une « mesure grave et rare », justifiée par plusieurs raisons : le « comportement de la responsable du groupe », le « manque de liberté », les « violences invoquées à plusieurs reprises par les familles des religieuses » et « par des associations de lutte contre les dérives sectaires », ainsi que le « charisme mal défini de la communauté »[8].

Il a été reproché au père Philippe de ne pas s'être assez désolidarisé de mère Myriam[9].

Notes↑ a, b, c, d, e, f et g Olivier Landron, Les Communautés nouvelles, éd. du Cerf, 2004, p. 22 sqq. Texte en ligne, p. 22 sqq [archive]
↑ Olivier Landron, Les Communautés nouvelles, éd. du Cerf 2004, page 124. Texte en ligne, p. 124 sqq [archive].
↑ a et b Enquête sur des dérives sectaires au sein de l'Eglise catholique [archive], Le Monde, 27 janvier 2001.
↑ L'une de ses trois branches féminines.
↑ « Dérives sectaires » dans l'Eglise catholique, Le Monde, 22 février 2001 Extraits sur le site Antisectes [archive].
↑ Le Bien public, 20 mars 2005 [archive].
↑ Sœurs mariales : quitter l'habit avant les monastères, Le Progrès, 6 avril 2005, sur le site Prevensectes [archive].
↑ Infocatho, 23 mars 2005 [archive].
↑ Eucharistie Miséricordieuse [archive]
BibliographieMère Myriam, Petite Sœur juive de l'Immaculée, Propos recueillis par Emmanuel Haymann, Éditions Favre, Suisse, 1985


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Message par Francesco Mar 21 Juin 2011 - 3:05

Mère Myriam
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Mère Myriam, de son vrai nom Tünde Szentes de Madefalna de Kibaczon, née à Budapest en 1949, est une religieuse catholique hongroise qui fonda en France la communauté des « Petites Sœurs de l'Immaculée », ensuite nommées « Petites Sœurs d'Israël, Filles de l'Immaculée », puis « Sœurs mariales d'Israël et de Saint-Jean »[1]. Cette communauté fut dissoute en mars 2005 par l'Église catholique.

Quelqu'un connait il cet ex mouvement et des ex membres ?


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Message par marie-alice Ven 6 Avr 2012 - 21:13

Oui je connais une membre de ce mouvement , et effectivement elle est partie en Slovaquie. Savez vous en plus sur les pratiques de cette communauté??

marie-alice

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Message par Rémi Sam 7 Avr 2012 - 3:50

marie-alice a écrit:Oui je connais une membre de ce mouvement , et effectivement elle est partie en Slovaquie. Savez vous en plus sur les pratiques de cette communauté??

La question est lancée au lecteur de ce forum. Pour ma part je n'ai pas d'informations sur ce mouvement.


Mon site Web : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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Localisation : Canada, Québec

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Message par Toison Jeu 5 Fév 2015 - 21:02

Bonjour à tous,
Puisque vous avez l’honnêteté de poser la question sur les Soeurs Mariales, qui est la Communauté de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], j'aurai la franchise de vous répondre. Personnellement, je crois être la mieux qualifiée pour vous renseigner car je suis une Soeur Mariale, depuis 17 ans, heureuse et épanouie dans ma vocation.
Un site de documentation, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , fait par des amis et familles, donne des textes officiels, les résultats, très bons, des enquêtes civiles et ecclésiastiques, innocentant totalement la communauté (née en 1973) et sa fondatrice, Mère Myriam.
Les faux témoignages ont été réfutés officiellement : la visite canonique en  France, la visite apostolique en Slovaquie, ont été toutes deux positives. Après la dissolution de l'Association de fidèles à Lyon, le Saint Siège a reconnu valide la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] comme Institut de Vie Consacrée existant en tant que tel depuis 1999 - mais peu le savent !
Les enquêtes civiles aussi, partout, ont conclu à la transparence et à la liberté des soeurs.
Quant à notre fondatrice, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], les accusations ont été démenties par les faits, les enquêtes civiles et ecclésiastiques, le témoignage de son silence et de son obéissance ecclésiale, la joie de nos Evêques, le soutien du P MD Phillippe, de Marthe Robin, de Jean-Paul II, comme le montre le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Personnellement, je pense que Mère Myriam doit être bien aimée de Dieu pour que toute sa vie ne soit qu'un calvaire de lynchage médiatique, sans pitié, face auquel elle n'a jamais été que silence, patience, Espérance en Dieu.
Alors, je crois qu'une vie constamment donnée à Dieu mérite un peu de respect.

(cf aussi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de Monseigneur Kojnok, youtube)
Toison
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Localisation : Gaule

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