mysterieuse Presence
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mysterieuse Presence
Mystérieuse Présence
Dans le crépuscule d’un jour sans soleil,
Mon âme distille une noire amertume.
Je voudrais pouvoir contempler au delà de la brume,
La tendresse d’un visage comme un baiser de miel
L’espérance pourtant me beigne de douceur,
Une présence au cœur même de la nuit,
Qui me porte alors que l’ennemi me nuit,
Et me donne la force de marcher aux tumultes de mes peurs
La révolte s’est éteinte au souffle de Son Cœur,
Je lui redis le oui de mes lèvres blessées.
Il m’a labouré pour mieux m’ensemencer,
Et je veux plus encore même s’il faut que j’en meure
J’ai tout perdu sur la route des jours.
Les souillures du mal m’ont crevé les yeux.
Je suis le mendiant sur le sentier des cieux.
Il ne me reste que Lui et je languis d’amour.
Mais je Le sais là au sourire de sa mère
Qui peint si bien sur le décor du temps
La transparence pastel des prières de l’avant.
Il me faut naître, petit, pour la Tendresse du Père.
Quel mystérieux mélange où l’absence est Présence,
Où la nuit se fait jour et la tristesse joie.
C’est sans doute cela la grâce de la foi,
Qui sur la croix transfigure la souffrance.
Il n’y a qu’une porte aux prairies du ciel
C’est celle du pardon qui s’ouvre en déchirure.
Nul n’est digne des profondeurs azur
Qui au dessus des nuages se teintent de vermeil.
Il n’est pas aisé pour nos pantomimes orgueilleuses
De se retrouver nu, rachitique et souillé
Et d’accepter d’être ainsi humilié.
Et pourtant c’est cela que nous sommes malgré nos paroles pieuses.
C’est cela qu’il est venu sauver
Avec passion folle au dimension divine
Il nous a ramassé, gisant dans la ravine
Pour nous emporter dans Son éternité.
Alors je reste là le temps qui lui plaira,
Effeuillant ses paroles sur les pages du Livre
Qui me parle de Lui et m’enseigne à bien vivre
Me donnant tout entier, blottit par la foi dans le ni de Ses bras.
[i]dans le suite du partage. Ce petit poème. Merci de vos prieres
Dans le crépuscule d’un jour sans soleil,
Mon âme distille une noire amertume.
Je voudrais pouvoir contempler au delà de la brume,
La tendresse d’un visage comme un baiser de miel
L’espérance pourtant me beigne de douceur,
Une présence au cœur même de la nuit,
Qui me porte alors que l’ennemi me nuit,
Et me donne la force de marcher aux tumultes de mes peurs
La révolte s’est éteinte au souffle de Son Cœur,
Je lui redis le oui de mes lèvres blessées.
Il m’a labouré pour mieux m’ensemencer,
Et je veux plus encore même s’il faut que j’en meure
J’ai tout perdu sur la route des jours.
Les souillures du mal m’ont crevé les yeux.
Je suis le mendiant sur le sentier des cieux.
Il ne me reste que Lui et je languis d’amour.
Mais je Le sais là au sourire de sa mère
Qui peint si bien sur le décor du temps
La transparence pastel des prières de l’avant.
Il me faut naître, petit, pour la Tendresse du Père.
Quel mystérieux mélange où l’absence est Présence,
Où la nuit se fait jour et la tristesse joie.
C’est sans doute cela la grâce de la foi,
Qui sur la croix transfigure la souffrance.
Il n’y a qu’une porte aux prairies du ciel
C’est celle du pardon qui s’ouvre en déchirure.
Nul n’est digne des profondeurs azur
Qui au dessus des nuages se teintent de vermeil.
Il n’est pas aisé pour nos pantomimes orgueilleuses
De se retrouver nu, rachitique et souillé
Et d’accepter d’être ainsi humilié.
Et pourtant c’est cela que nous sommes malgré nos paroles pieuses.
C’est cela qu’il est venu sauver
Avec passion folle au dimension divine
Il nous a ramassé, gisant dans la ravine
Pour nous emporter dans Son éternité.
Alors je reste là le temps qui lui plaira,
Effeuillant ses paroles sur les pages du Livre
Qui me parle de Lui et m’enseigne à bien vivre
Me donnant tout entier, blottit par la foi dans le ni de Ses bras.
[i]dans le suite du partage. Ce petit poème. Merci de vos prieres
joel queyras- Date d'inscription : 06/05/2011
Age : 77
Localisation : inde
Re: mysterieuse Presence
Une présence au cœur même de la nuit,
Qui me porte alors que l’ennemi me nuit,
Et me donne la force de marcher aux tumultes de mes peurs
Ca ressemble a du st Jean de la Croix.De qui est ce?Je lui redis le oui de mes lèvres blessées.
Il m’a labouré pour mieux m’ensemencer,
Et je veux plus encore même s’il faut que j’en meure
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: mysterieuse Presence
Tout le travail pour que le vieil homme meurt et que l'homme nouveau vive au souffle de l'esprit....
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: mysterieuse Presence
Avec la grâce de Dieu . C'est un de mes poèmes. Dieu aime jouer sur les cordes de l’âme mémé pour des enfants terribles comme moi.
joel queyras- Date d'inscription : 06/05/2011
Age : 77
Localisation : inde
Re: mysterieuse Presence
De qui est ce poeme Joel?
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: mysterieuse Presence
C'est un des poèmes que j'ai écris
joel queyras- Date d'inscription : 06/05/2011
Age : 77
Localisation : inde
Re: mysterieuse Presence
Mon dieu,tu as du talent joel.Tu devrais nous faire partager encore plus tes écrits(poemes).
Re: mysterieuse Presence
Miséricorde
O ! Dieu dans l’attente du jour,
Où bercée de tendres Amours,
Je pourrais dans ton cœur
Abandonner mes peurs,
Je reste tranquille au pied de Ta Croix.
Nuit épouvante au creuset de la foi.
Déjà je reçois tout de Tes Mains transpercées
Et Ta Parole résonne en mon âme déchirée.
Contre toi, comme un enfant confiant,
Je me laisse étreindre par Ton immense tourment.
Toi l’Abandonné au crucifie des jours,
Toi le tout donné en un cri d’Amour.
Les larmes en mon âme, aux profondeurs cachées,
Ensemence le jardin de nos intimités.
Je voudrai plus encore !
Laisser s’enflammer de Ton Feu mon esprit et mon corps
Pour que devenu cendre aux terres labourées,
Il n’y est que Toi pour dire l’éternité.
Pauvre jeté aux chemins sans issus,
J’ouvrirai une porte à mes frères qui ont cru
Que la Miséricorde dans leurs tombeaux scellés,
Peut transformer la nuit en éternelle clarté.
Jésus qui habite nos blessures secrètes
Tu m’entraînes la ou l’espoir s’arrête,
Pour engendrer en un chant de victoire,
L’Espérance, qui réfléchit Ta Beauté aux miroirs
De ses yeux,
Tandis que s’évanouissent les songes en un geste d’adieu.
Devenir fou de Ta sagesse,
Irradié de Ta Tendresse !
Avoir Tes yeux pour regarder le monde
Et faire sourire de joie les habitants de l’ombre.
Avoir ta bouche, au baiser compassion,
Pour les lépreux mourants aux geôles des passions.
Avoir tes mains pour détacher les chaînes
Des poignets meurtris des victimes de la haine.
Avoir tes pieds pour parcourir les chemins
Tracés aux promesses sans lendemain,
Qu’empruntent des foules d’enfants abusés.
Avoir Tes Epaules pour les porter
A la maison du Père,
Loin, très loin de leur terrible enfer.
Et par-dessus tout, laisser en moi
Battre Ton Cœur pour faire de tes pauvres un peuple de roi.
Joël Dhalu Bai
O ! Dieu dans l’attente du jour,
Où bercée de tendres Amours,
Je pourrais dans ton cœur
Abandonner mes peurs,
Je reste tranquille au pied de Ta Croix.
Nuit épouvante au creuset de la foi.
Déjà je reçois tout de Tes Mains transpercées
Et Ta Parole résonne en mon âme déchirée.
Contre toi, comme un enfant confiant,
Je me laisse étreindre par Ton immense tourment.
Toi l’Abandonné au crucifie des jours,
Toi le tout donné en un cri d’Amour.
Les larmes en mon âme, aux profondeurs cachées,
Ensemence le jardin de nos intimités.
Je voudrai plus encore !
Laisser s’enflammer de Ton Feu mon esprit et mon corps
Pour que devenu cendre aux terres labourées,
Il n’y est que Toi pour dire l’éternité.
Pauvre jeté aux chemins sans issus,
J’ouvrirai une porte à mes frères qui ont cru
Que la Miséricorde dans leurs tombeaux scellés,
Peut transformer la nuit en éternelle clarté.
Jésus qui habite nos blessures secrètes
Tu m’entraînes la ou l’espoir s’arrête,
Pour engendrer en un chant de victoire,
L’Espérance, qui réfléchit Ta Beauté aux miroirs
De ses yeux,
Tandis que s’évanouissent les songes en un geste d’adieu.
Devenir fou de Ta sagesse,
Irradié de Ta Tendresse !
Avoir Tes yeux pour regarder le monde
Et faire sourire de joie les habitants de l’ombre.
Avoir ta bouche, au baiser compassion,
Pour les lépreux mourants aux geôles des passions.
Avoir tes mains pour détacher les chaînes
Des poignets meurtris des victimes de la haine.
Avoir tes pieds pour parcourir les chemins
Tracés aux promesses sans lendemain,
Qu’empruntent des foules d’enfants abusés.
Avoir Tes Epaules pour les porter
A la maison du Père,
Loin, très loin de leur terrible enfer.
Et par-dessus tout, laisser en moi
Battre Ton Cœur pour faire de tes pauvres un peuple de roi.
Joël Dhalu Bai
joel queyras- Date d'inscription : 06/05/2011
Age : 77
Localisation : inde
Re: mysterieuse Presence
La quête est dedans, la quête est dehors
La quête est dedans, la quête est dehors. Le ciel et la terre au mariage du cœur. Ange enraciné dans la terre des mondes.
La quête a parfois la saveur du pain partagé dans l’humble chaumière ouverte au mendiant.
Le chemin s’ouvre á l’horizon de l’aurore quand le jour et la nuit se baisent pudiquement aux premières couleurs de la lumière, juste un trait d’or pur au loin, la ou regard ne peut que deviner.
La puissance des invisibles extases se manifeste dans le geste simple, plein, pur, aimant.
Nos pas nous conduisent en balade tranquille sur les chemins de notre enfance. Il faut écouter ses pieds.
La caresse d’un printemps sur la fragilité d’une fleure qui vient de naître.
Les rides de nos âmes sont des sillons de jeunesse pour les semences du Verbe.
Nous touchons des doigts de l’âme, le Bien Aimé des rives lointaines, lorsque nos amours se brisent en éclats de feux, puis se concentrent en une flamme unique.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » Moi et l’Autre, encore le dedans et le dehors, comme une respiration, un inspire et un expire. Écouter battre le cœur de Dieu créant les univers et se laisser emporter au rythme de Son silence lorsque les deux mouvements sont suspendus dans l’attente l’un de l’autre.
Dieu déploie son geste créateur, par son souffle mélodieux dans la flûte creuse de notre rien. Chaque blessure est un troue d’harmonie pour que naisse la mélodie propre á chacun.
Lorsque tu cherches à saisir la lumière inaccessible elle se dérobe sans cesse. Qui peut saisir l’insaisissable ? Mais si ton cœur sait être pauvre et nu, vulnérable comme l’eau, alors c’est Lui qui te saisit. C’est Lui qui est là, l’Eternel donné.
Ne plus penser à la quête, mais la vivre dans l’oublie d’amour, est une des clés du passage.
Seul avec la Seul, pour être tous avec tous.
Se laisser aimer pour aimer a son tour.
Se laisser servir pour servir a son tour. « Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit: Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi ».
Nous voulons toujours faire et faire encore, en fait nous ne faisons que défaire. « … qui se tenant aux pied du Seigneur écoutait Sa Parole… Elle a choisit la meilleur part, elle ne lui sera pas enlever ». C’est une course à l’oublie, une obsession de fuir notre qualité d’être. Nos paroles basculent dans l’absurde, nous ne suivons plus la Voix qui nous appelle, mais lui ordonnons de nous écouter et de nous suivre.
Qu’il est dur de mourir a nous même, de laisser, sans intervenir, brûler nos constructions de papier ! Si celles-ci ne sont qu’un jeu d’enfant jaillit de l’innocence, elles sont un sourire du Père. Mais gardons nous de les prendre au sérieux. L’enfant applaudit autant à la beauté de la flamme qu’à la forme passagère de ce qu’il vient de faire.
« Vanité des vanités, tout est vanité » Vent, souffle. Seul le souffle de l’Esprit résonne dans l’éphémère et donne de la joie aux corps du temps et de l’espace. « Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l‘Esprit ». Fils du vent, léger comme un plume, un duvet d’amour cueillit aux ailes des anges, si léger qu’il danse toutes les danses du divin.
…………………………………………………………………………………………
J’ai posé sur ma table un fruit donné par une main d’ami, fruit offert au divin aux chants balbutiants des hymnes païennes. Apres avoir laissé l’Amour bénir l’amour je le mangerai en rendant grâce. Le dedans, le dehors. De ma religion je t’aime religion de l’autre.
Joël Dhayalu Bai (extrait de la quête mystique)
La quête est dedans, la quête est dehors. Le ciel et la terre au mariage du cœur. Ange enraciné dans la terre des mondes.
La quête a parfois la saveur du pain partagé dans l’humble chaumière ouverte au mendiant.
Le chemin s’ouvre á l’horizon de l’aurore quand le jour et la nuit se baisent pudiquement aux premières couleurs de la lumière, juste un trait d’or pur au loin, la ou regard ne peut que deviner.
La puissance des invisibles extases se manifeste dans le geste simple, plein, pur, aimant.
Nos pas nous conduisent en balade tranquille sur les chemins de notre enfance. Il faut écouter ses pieds.
La caresse d’un printemps sur la fragilité d’une fleure qui vient de naître.
Les rides de nos âmes sont des sillons de jeunesse pour les semences du Verbe.
Nous touchons des doigts de l’âme, le Bien Aimé des rives lointaines, lorsque nos amours se brisent en éclats de feux, puis se concentrent en une flamme unique.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » Moi et l’Autre, encore le dedans et le dehors, comme une respiration, un inspire et un expire. Écouter battre le cœur de Dieu créant les univers et se laisser emporter au rythme de Son silence lorsque les deux mouvements sont suspendus dans l’attente l’un de l’autre.
Dieu déploie son geste créateur, par son souffle mélodieux dans la flûte creuse de notre rien. Chaque blessure est un troue d’harmonie pour que naisse la mélodie propre á chacun.
Lorsque tu cherches à saisir la lumière inaccessible elle se dérobe sans cesse. Qui peut saisir l’insaisissable ? Mais si ton cœur sait être pauvre et nu, vulnérable comme l’eau, alors c’est Lui qui te saisit. C’est Lui qui est là, l’Eternel donné.
Ne plus penser à la quête, mais la vivre dans l’oublie d’amour, est une des clés du passage.
Seul avec la Seul, pour être tous avec tous.
Se laisser aimer pour aimer a son tour.
Se laisser servir pour servir a son tour. « Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit: Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi ».
Nous voulons toujours faire et faire encore, en fait nous ne faisons que défaire. « … qui se tenant aux pied du Seigneur écoutait Sa Parole… Elle a choisit la meilleur part, elle ne lui sera pas enlever ». C’est une course à l’oublie, une obsession de fuir notre qualité d’être. Nos paroles basculent dans l’absurde, nous ne suivons plus la Voix qui nous appelle, mais lui ordonnons de nous écouter et de nous suivre.
Qu’il est dur de mourir a nous même, de laisser, sans intervenir, brûler nos constructions de papier ! Si celles-ci ne sont qu’un jeu d’enfant jaillit de l’innocence, elles sont un sourire du Père. Mais gardons nous de les prendre au sérieux. L’enfant applaudit autant à la beauté de la flamme qu’à la forme passagère de ce qu’il vient de faire.
« Vanité des vanités, tout est vanité » Vent, souffle. Seul le souffle de l’Esprit résonne dans l’éphémère et donne de la joie aux corps du temps et de l’espace. « Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l‘Esprit ». Fils du vent, léger comme un plume, un duvet d’amour cueillit aux ailes des anges, si léger qu’il danse toutes les danses du divin.
…………………………………………………………………………………………
J’ai posé sur ma table un fruit donné par une main d’ami, fruit offert au divin aux chants balbutiants des hymnes païennes. Apres avoir laissé l’Amour bénir l’amour je le mangerai en rendant grâce. Le dedans, le dehors. De ma religion je t’aime religion de l’autre.
Joël Dhayalu Bai (extrait de la quête mystique)
joel queyras- Date d'inscription : 06/05/2011
Age : 77
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