De l'immigration à l'invasion ?
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De l'immigration à l'invasion ?
Le : 03 Novembre 2011
De l'immigration à l'invasion ?
L’agence2presse
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a mis en ligne une vidéo sur le thème « De l’immigration à l’invasion ? » Cette conférence a été prononcée par Jean-Yves Le Gallou, en juillet 2010, à l’Université d’été de Renaissance catholique consacrée à l’Identité nationale. Il s’agit là d’un point précis, complet et sans concession sur la question de l’immigration. Polémia en présente ici un court résumé ainsi qu’un lien vers la vidéo.
Polémia
Dès 1991, Valéry Giscard d’Estaing avait évoqué, dans le Figaro Magazine, le risque que l’immigration ne se transforme en « invasion ». Selon la définition des dictionnaires, toutes les invasions ne sont pas guerrières. On peut aussi parler d’invasion lors d’arrivées de personnes en grand nombre (« invasions de touristes », par exemple). L’action d’envahir correspond aussi au fait de « se répandre dangereusement ».
Une immigration « subie » et non « choisie »
Deux remarques ici s’imposent :
•- l’une, historique, rappellera que ce que les Français nomment les « grandes invasions » du Haut Moyen Age n’étaient que des migrations infiniment lentes, définies comme « une promenade des peuples » (Völkerwanderung en allemand) ;
•- l’autre, politique, fera observer que l’immigration qualifiée de « choisie » dans le langage gouvernemental ne représente que 10% du total (20.000 migrants sur 200.000, clandestins non compris).
L’immigration est donc d’abord le résultat d’un très grand nombre de décisions individuelles étrangères : immigration nuptiale (à hauteur de 50.000 cas par an), immigration d’étudiants, regroupement familial, immigration « humanitaire ».
Les étrangers clandestins sont aussi en nombre croissant puisque l’Aide médicale d’Etat dont ils bénéficient concernait 74.000 cas en 2000 mais 204.000 en 2009, soit trois fois plus.
Et ce, sans parler de l’outre-mer où Mayotte et la Guyane sont littéralement submergées : Saint-Laurent-du-Maroni et Mamoudzou étant les premières maternités de France par le nombre de naissances.
Des mouvements migratoires ni toujours pacifiques, ni toujours amicaux
Or, force est de reconnaître que ces mouvements migratoires ne sont ni toujours parfaitement pacifiques, ni toujours parfaitement amicaux.
L’islam notamment impose ses mœurs : vestimentaires (voile), architecturales (mosquées, coupoles et minarets) et ses interdits alimentaires (halal). Aux siens d’abord, ce qui est une vision communautariste des choses, mais aussi aux autres, ce qui est un processus de colonisation agressive.
Dans les quartiers à forte immigration on constate aussi fréquemment des comportements de prédation. Dans les prisons françaises, plus de la moitié des détenus sont musulmans. Heureusement, depuis la spectaculaire sortie d’Eric Zemmour, il n’est plus médiatiquement possible de nier le lien entre délinquance et immigration.
Ainsi les conclusions sont évidentes : l’immigration est un phénomène massif (nos amis suisses parlent à juste titre « d’immigration de masse ») ; c’est un phénomène subi plus que souhaité par le pays d’accueil ; c’est un phénomène qui présente des aspects de prédation. Il n’est donc pas linguistiquement illégitime de parler d’invasion.
Différentiel de pressions : démographique, sociale, morale
Cette immigration/invasion s’explique par la mise en œuvre de différentiels de pression :
•- différentiel de pression démographique entre le sud et le nord de la Méditerranée ;
•- différentiel de pression sociale : la France qui a des frontières ouvertes et un Etat-providence très généreux apparaissant comme un eldorado ;
•- différentiel de pression morale entre des minorités conquérantes et une majorité culpabilisée (selon le triptyque esclavage, colonisation, « shoah »).
Acteurs et complices de l’immigration/invasion
Cette invasion a des acteurs :
•- les gouvernements étrangers, qui exportent des chômeurs et récupèrent des devises ; - le patronat, qui utilise l’immigration pour faire baisser les salaires ;
•- les riches (et les moins riches), qui font appel à une main-d’œuvre domestique bon marché ;
•- les associations et les avocats immigrationnistes qui vivent de subventions publiques.
Cette invasion a aussi des complices : les hommes politiques et les chefs syndicalistes qui savent mais se taisent.
Le basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante
Les remèdes ne sont ni technologiques, ni administratifs, ni même politiciens. La mise en œuvre d’une vraie solution suppose un basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante.
•- Rompre avec l’individualisme marchand et retrouver le sens de la souveraineté nationale ;
•- Rejeter l’actuelle rupture avec les traditions et revenir aux racines de la civilisation européenne et chrétienne d’expression française ;
•- Jeter aux orties l’antiracisme « communisme du XXIe siècle » et retrouver le discernement, le libre choix et le droit à la préférence nationale ;
•- Abandonner le mondialisme au profit du patriotisme économique, de l’identité nationale et de la frontière.
Ceci devrait s’accompagner de l’application du principe de précaution : ne pas accepter d’immigration nouvelle en provenance de pays dont beaucoup de ressortissants présents en France ne sont pas pleinement assimilés.
Les conditions d’un basculement sont en train d’être réunies :
•- La France connaît une « fin de partie » budgétaire : il n’est plus possible de financer l’immigration en créant de la dette ;
•- La France connaît une « fin de partie » médiatique : les médias de l’oligarchie ne sont plus crédibles et les médias alternatifs éclairent de mieux en mieux l’opinion.
Polemia
Jean-Yves Le Gallou
3/11/2011
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a mis en ligne une vidéo sur le thème « De l’immigration à l’invasion ? » Cette conférence a été prononcée par Jean-Yves Le Gallou, en juillet 2010, à l’Université d’été de Renaissance catholique consacrée à l’Identité nationale. Il s’agit là d’un point précis, complet et sans concession sur la question de l’immigration. Polémia en présente ici un court résumé ainsi qu’un lien vers la vidéo.
Polémia
Dès 1991, Valéry Giscard d’Estaing avait évoqué, dans le Figaro Magazine, le risque que l’immigration ne se transforme en « invasion ». Selon la définition des dictionnaires, toutes les invasions ne sont pas guerrières. On peut aussi parler d’invasion lors d’arrivées de personnes en grand nombre (« invasions de touristes », par exemple). L’action d’envahir correspond aussi au fait de « se répandre dangereusement ».
Une immigration « subie » et non « choisie »
Deux remarques ici s’imposent :
•- l’une, historique, rappellera que ce que les Français nomment les « grandes invasions » du Haut Moyen Age n’étaient que des migrations infiniment lentes, définies comme « une promenade des peuples » (Völkerwanderung en allemand) ;
•- l’autre, politique, fera observer que l’immigration qualifiée de « choisie » dans le langage gouvernemental ne représente que 10% du total (20.000 migrants sur 200.000, clandestins non compris).
L’immigration est donc d’abord le résultat d’un très grand nombre de décisions individuelles étrangères : immigration nuptiale (à hauteur de 50.000 cas par an), immigration d’étudiants, regroupement familial, immigration « humanitaire ».
Les étrangers clandestins sont aussi en nombre croissant puisque l’Aide médicale d’Etat dont ils bénéficient concernait 74.000 cas en 2000 mais 204.000 en 2009, soit trois fois plus.
Et ce, sans parler de l’outre-mer où Mayotte et la Guyane sont littéralement submergées : Saint-Laurent-du-Maroni et Mamoudzou étant les premières maternités de France par le nombre de naissances.
Des mouvements migratoires ni toujours pacifiques, ni toujours amicaux
Or, force est de reconnaître que ces mouvements migratoires ne sont ni toujours parfaitement pacifiques, ni toujours parfaitement amicaux.
L’islam notamment impose ses mœurs : vestimentaires (voile), architecturales (mosquées, coupoles et minarets) et ses interdits alimentaires (halal). Aux siens d’abord, ce qui est une vision communautariste des choses, mais aussi aux autres, ce qui est un processus de colonisation agressive.
Dans les quartiers à forte immigration on constate aussi fréquemment des comportements de prédation. Dans les prisons françaises, plus de la moitié des détenus sont musulmans. Heureusement, depuis la spectaculaire sortie d’Eric Zemmour, il n’est plus médiatiquement possible de nier le lien entre délinquance et immigration.
Ainsi les conclusions sont évidentes : l’immigration est un phénomène massif (nos amis suisses parlent à juste titre « d’immigration de masse ») ; c’est un phénomène subi plus que souhaité par le pays d’accueil ; c’est un phénomène qui présente des aspects de prédation. Il n’est donc pas linguistiquement illégitime de parler d’invasion.
Différentiel de pressions : démographique, sociale, morale
Cette immigration/invasion s’explique par la mise en œuvre de différentiels de pression :
•- différentiel de pression démographique entre le sud et le nord de la Méditerranée ;
•- différentiel de pression sociale : la France qui a des frontières ouvertes et un Etat-providence très généreux apparaissant comme un eldorado ;
•- différentiel de pression morale entre des minorités conquérantes et une majorité culpabilisée (selon le triptyque esclavage, colonisation, « shoah »).
Acteurs et complices de l’immigration/invasion
Cette invasion a des acteurs :
•- les gouvernements étrangers, qui exportent des chômeurs et récupèrent des devises ; - le patronat, qui utilise l’immigration pour faire baisser les salaires ;
•- les riches (et les moins riches), qui font appel à une main-d’œuvre domestique bon marché ;
•- les associations et les avocats immigrationnistes qui vivent de subventions publiques.
Cette invasion a aussi des complices : les hommes politiques et les chefs syndicalistes qui savent mais se taisent.
Le basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante
Les remèdes ne sont ni technologiques, ni administratifs, ni même politiciens. La mise en œuvre d’une vraie solution suppose un basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante.
•- Rompre avec l’individualisme marchand et retrouver le sens de la souveraineté nationale ;
•- Rejeter l’actuelle rupture avec les traditions et revenir aux racines de la civilisation européenne et chrétienne d’expression française ;
•- Jeter aux orties l’antiracisme « communisme du XXIe siècle » et retrouver le discernement, le libre choix et le droit à la préférence nationale ;
•- Abandonner le mondialisme au profit du patriotisme économique, de l’identité nationale et de la frontière.
Ceci devrait s’accompagner de l’application du principe de précaution : ne pas accepter d’immigration nouvelle en provenance de pays dont beaucoup de ressortissants présents en France ne sont pas pleinement assimilés.
Les conditions d’un basculement sont en train d’être réunies :
•- La France connaît une « fin de partie » budgétaire : il n’est plus possible de financer l’immigration en créant de la dette ;
•- La France connaît une « fin de partie » médiatique : les médias de l’oligarchie ne sont plus crédibles et les médias alternatifs éclairent de mieux en mieux l’opinion.
Polemia
Jean-Yves Le Gallou
3/11/2011
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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