Dieu manifeste t`il sa colere par des temblements de terre?

Il y a eu une série de tremblement de terre en Nouvelle-Zélande a Christchurch - qui signifie Église du Christ.

Venant du site Le peuple de la paix une observation intéressante!

Culture

A Assise, les différentes églises consacrées ont été prêtées
aux diverses religions, et l’on est arrivé à des situations
scandaleuses. C’est ainsi que la statue de Bouddha a trôné au
dessus du tabernacle dans l’église dédiée à saint Pierre.
Source :
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Franchement, il y a de quoi être profondément troublé... Comment peut-on mettre un Bouddha au-dessus du Très Saint Sacrement ??? C'est une vraie faute.

Quand on sait que 11 ans plus tard, jour pour jour, le 26 octobre 1997, il y a eu un tremblement de terre à Assises qui a causé la mort de 4 personnes !
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N'est-ce pas là un signe de la colère de Dieu.

Permettez-moi de faire un rapprochement avec ces 2 évènements suivants qui sont tout aussi troublants :

Le 26 Juin 2011, la Cathédrale Nationale à Washington D.C. et environ 50 autres Églises dans 26 États différents ont publiquement lu le Coran durant la messe du Dimanche.!!!
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Avec ce que l'on pourrait appeler le signe de la colère de Dieu (au moment-même ou le procureur de l'affaire DSK dû s'interrompre dans la lecture des conclusions de l'affaire !!) : un temblement de terre qui a touché la cathédrale nationale à Washington(quel symbole !!) il y a à peine une semaine.
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Pour moi, la vraie Eglise ne peut avoir qu'une flèche (cf photo), celle qui indique le Christ et uniquement le Christ !

L'Eglise a sûrement fait des erreurs en 1986 lors de ces rencontres oecuméniques...
J'ose croire qu'elles seront rectifiées...
Mais soyons clair, pour moi, je ne crois pas que l'Eglise aille vers le N.O.M., (vers une religion mondiale), et là je pense au Pape qui garde le Christ en point de mire (merci a Michael pour son post)... bien que certains en son sein au Vatican voudraient sûrement l'y pousser. Je crois que au sein même du Vatican certains sont prêts à semer la confusion, ce qui aboutit à ce bouddha sur un tabernacle ! C'est pourquoi, nous nous devons d'être vigilant, et l'Eglise toute entière aussi.
Non au synchrétisme religieux qui est fusion et confusion.
Le Christ est et reste la pierre angulaire.
Préservons l'identité de l'Eglise Catholique et veillons dans nos paroisses à ce que les valeurs du Christ soit défendues et préservées de toutes dérives. Prions en ce sens.

Dans un autre sens, il paraitrait que la très puissante secte à la solde de satan connait le moyen de créer des tremblements de terre et des raz de marée, ainsi que diverses catastrophes comme les cyclones etc...

Oui mais je pense plutot que c`est un signe de colere divine - le coeur s`est effondrer sur l`autel - On ne peut pas mettre les autres religions sur le meme pied que celle établie par Dieu et on ne peut pas célébrer dans une église un faux culte - ce sont des idoles dans le temple.

Cette erreur est peut-etre du a l`enthousiasme - je n`ose me prononcer - mais je doute que ce tremblement de terre soit un hasard - plutot un signe de déplaisir.

Je me demande quel point les papes sont influencés par leur entourage?

Séisme à Assise :

Deux séismes ont affecté les régions centrales de l'Italie, hier matin, provoquant la mort d'au moins onze personnes et causant des dégâts irréparables au patrimoine artistique...

On ne compte plus les lieux de culte entièrement détruits, comme l'église médiévale de Santa Maria Assunta...

Une localité riche en trésors artistiques comme Foligno, haut lieu artistique de l'Ombrie, a perdu sa tour et le clocher de la cathédrale...

Mais les dégâts les plus spectaculaires ont été infligés à la ville sainte d'Assise...

Heureusement le tombeau de S. François n'avait pas été atteint...

La basilique Saint-François... a vu sa voûte s'effondrer lors du 2e séisme, 9 heures après le premier... édifice, construit au cours du XIIe S...

Toute l'Italie centrale a été touchée... Ombrie, Toscane et Haut Latium ont été ébranlés.

Le bilan s'élevait hier à 11 morts et 5.000 sans abri.

A Rome, le lustre du Sénat est tombé sur un huissier, le blessant légèrement...

Selon le porte-parole du Vatican, le Pape est "profondément meurtri"...

Des remous polémiques ont éclaté entre catholiques à propos du concert, prévu aujourd'hui, de la vedette de rock, Bob Dylan, à Bologne... en l'honneur du pape JP 2.

Différents chanteurs d'inspiration catholique ont critiqué l'invitation d'un "communiste comme Bob Dylan", celle " d'un chanteur divorcé comme G Morandi" et celle "d'un chanteur à la morale douteuse comme L Dalla" ...»

(Le Figaro 27/9/1997, p. 3 et 9)

Après la tragédie de vendredi - Séismes en Italie : la grande peur...

Vendredi, en s'effondrant au moment de la 2e secousse, sous les caméras de la télévision italienne

[« une petite secousse une plus forte et tout est tombé, racontera un cameraman » (Ouest-France, 27-28/9/1997)],

la voûte de Saint François d'Assise a écrasé 2 Franciscains, ainsi que 2 techniciens qui étaient en train de constater les premiers dégâts dans le bâtiment.

Hier, quelque 200 nouvelles répliques ont été enregistrées.

Elles n'ont pas provoqué de nouveaux dégâts mais les habitants ont peur...»

(Nice-Matin, 28/9/1997)

L'Italie à nouveau frappée par un séisme :

... Les ondes telluriques, qui ont été ressenties dans certains quartiers de Rome, ont surtout touché les Marches et l'Ombrie, les provinces déjà sinistrées par le séisme de vendredi dernier.

Une femme de 75 ans... qui souffrait du coeur, est morte d'un infarctus à Foligno...

L'état de plusieurs monuments historiques, déjà ébranlés le 26/9 par 2 secousses de magnitudes respectives de 5,5 et 5,6 sur l'échelle de Richter, a été aggravé.

A Assise, en Ombrie, où la ville s'apprêtait à fêter aujourd'hui la fête de Saint François, une partie du tympan s'est effondrée...

La semaine dernière, les autorités italiennes avaient estimé à 1.120 le nombre de monuments d'importance touchés... 32.000 personnes ont abandonné leur habitation détruite ou risquant de s'écrouler...» (Nice-Matin, 4/10/1997)


Gravement endommagée lors du 1er séisme du 26/9, la coupole du clocher de Foligno était devenue pour toute l'Italie centrale le symbole de la résistance à l'adversité.
Penchant dangereusement d'un côté, la coupole, qui date du XVe S., avait résisté à toutes les secousses secondaires.

Mais mardi, à 1h 23, le monstre qui rugit dans les entrailles de l'Italie a abattu cette faible lumière d'espoir.

Une secousse d'amplitude 4,9... a fait s'écrouler le clocher médiéval. Et les habitants de Foligno se sont sentis plus seuls, plus abandonnés, plus démunis.

A Sellano, une commune de 1.260 habitants près de Pérouse, on croyait aussi que le village allait survivre.

Lundi dernier, la municipalité avait refusé l'envoi de préfabriqués pour héberger les personnes restées sans abri après le séisme du 26/9. « Les maisons détruites seront reconstruites par les habitants du village en quelques semaines », avait déclaré le maire.

La secousse de mardi a tué cet espoir. Le centre historique est désormais pratiquement entièrement détruit...
« Nous sommes dans un village qui n'existe plus, affirme aujourd'hui le maire. Les habitants n'en peuvent plus. Ils n'ont qu'une idée : quitter cet enfer.»

Un enfer : ce mot revient souvent dans la bouche des habitants d'Ombrie et des Marches, les 2 régions touchées par le séisme.

Car si le tremblement de terre du 26/9, qui a fait 12 morts, avait choqué les populations, il avait aussi mobilisé la solidarité et les énergies.

Mais les 500 secousses plus ou moins fortes qui depuis 21 jours ont touché les zones du séisme, ont usé la résistance et le moral des habitants.

Chaque soubresaut de la terre provoque des dizaines de crises de nerfs.

« On ne vit pas, raconte une habitante de Golfiorito, car on attend en permanence la prochaine secousse.
Et pourtant, on est à chaque fois surpris par le grondement qui annonce le tremblement de terre.
Personne ne réussit plus à dormir plus de 2h d'affilée.

J'en arrive à souhaiter une très forte secousse, qu'on en finisse enfin.»

La situation des sans-abri est chaque jour plus difficile.... 4O.000 personnes vivent depuis 3 semaines dans leur voiture ou dans des villages de toile car les conteneurs préfabriqués n'ont pas encore été acheminés.

Et à la peur qui tenaille le ventre s'est ajouté le froid... Pour la première fois de la saison, le thermomètre est descendu à zéro. Quelques flocons de neige sont déjà tombés dans les Marches...

Une course contre la montre est engagée pour sauver les monuments les plus importants de la zone.

A Assise, le pire a été évité d'extrême justesse. Mardi matin, les travaux de consolidation du tympan de l'église supérieure avaient dû être stoppés en raison de la pluie et du vent.
Une éclaircie avait finalement permis vers midi de fixer une sorte de cage d'acier autour du pan de mur endommagé.

Sans ces travaux, la secousse de 17h23 aurait à coup sûr fait s'écrouler le tympan sur l'église inférieure qui recèle les fresques de Giotto et Cimabue.
Mais pour une basilique de Saint-François partiellement sauvée, combien d'églises, de cloîtres, de bourgs médiévaux détruits ?

Et le séisme n'a pas encore dit son dernier mot.»

(Le Parisien, 16/10/1997)


« Mais quand s'arrêtera donc ce cauchemar ? »

C'est la question que se posent, depuis maintenant 20 jours et 20 nuits les habitants de l'Ombrie et des Marches.

Mardi, une secousse de magnitude 4,9 a été ressentie jusqu'à Naples.

Depuis le 26/9, l'activité sismique n'a pas connu de trêve. On a enregistré près de 2.000 secousses dont une vingtaine dépassant les 4 degrés sur l'échelle de Richter.

Celle de mardi a, de nouveau, semé la panique et aggravé un peu plus le bilan matériel de ce séisme à répétition.

Après plusieurs jours d' "hésitation", le clocher de l'église et la tour de la mairie de Foligno se sont finalement écroulés sous les yeux du maire, en pleurs.

Cette commune d'Ombrie compte désormais 10.000 sans abri.

Mais surtout, l'absence d'accalmie interdit même aux plus courageux de se retrousser les manches...


Les sismologues n'incitent guère à l'optimisme : « C'est la première fois que l'on enregistre un nombre aussi importants de répliques », affirment-ils.

Celle de mardi... a été ressentie jusqu'à Rome et même à Naples, ce qui fait craindre de possibles contrecoups dans le sud de la péninsule...»

(Ouest-France, 13/10/1997)

Devant le séisme qui sévit depuis 3 semaines en Italie centrale, les spécialistes sont contraints d'avouer leur impuissance.

Les scientifiques raisonnent sur des modèles conçus d'après l'observation de phénomènes précédents.

Ils conçoivent ainsi les scénarios par analogie... à la règle fondamentale qui veut que les secousses secondaires soient toujours d'intensité inférieure à la principale....» (Le Parisien, 16/10/1997)


« Des secousses imprévisibles :

Le nouveau séisme de magnitude 4,9 qui a frappé dans la nuit de lundi à mardi la région d'Assise, en Ombrie, présente aux yeux des sismologues un caractère atypique de "futur cas d'école".


En effet, selon JC Gariel, chef du bureau d'évaluation des risques sismiques à l'Institut de protection et de sûreté nucléaire (IPSN), cette activité tellurique est directement liée à une série de failles normales, dans une zone connue, à l'activité sismique régulière.

Et pourtant ces séismes déconcertent aujourd'hui les spécialistes.

« Cette série de gros séismes est d'autant plus imprévisible qu'elle n'entre dans aucun des 3 cas de séquences sismiques traditionnelles » a-t-il précisé.

L'activité tellurique a débuté au cours du mois de juillet avec un certain nombre de précurseurs qui se sont poursuivis jusqu'au 26/9.

C'est ce jour-là que s'est produit le premier gros séisme, de magnitude 5,5, dont on a cru qu'il était le choc principal. Il est apparu depuis que ce tremblement de terre n'était en fait qu'un précurseur de la secousse de magnitude 5,8 qui a frappé quelques heures plus tard, ajoutant ses dégâts à ceux du précédent.

« Que 2 séismes d'une telle magnitude - on les appelle "doublets" - se soient produits en quelques heures est une première particularité.

[« Il est extrêmement rare que 2 secousses de forte intensité se déroulent à quelques heures d'intervalle.

Au point que secrétaire d'Etat à la Protection civile, le vulcanologue F Barberi, venait à peine d'exclure lors d'une conférence de presse toute nouvelle secousse, après celle qui a surpris l'Italie centrale dans le sommeil à 2h 33 du matin, quand une seconde, encore plus forte, a eu lieu : il était 11h 50 du matin.

Le séisme était compris entre 9 et 10 points sur l'échelle de Mercalli, graduée en 12 points. Celui de la nuit, avait atteint 5,5 points.» (Le Figaro, 27/28/9/1997 p. 9)]


La seconde réside dans le fait qu'il n'y a pas eu décroissance régulière de la série de répliques, mais au contraire, que l'activité a connu un fort regain avec la survenue d'un séisme de magnitude 5 le 3/10 et, la nuit dernière, d'un autre de magnitude 4,9 ».

Les secousses telluriques d'Assise démontrent qu' « il n'existe pas, à l'heure actuelle, de modèles physiques permettant d'expliquer le déroulement d'une séquence sismique avec certitude »

et donc de renseigner les secours et les autorités sur le danger potentiel.» ( Nice-Matin, 8/10/1997)



Après la tragédie de vendredi - Séismes en Italie : la grande peur...

Vendredi, en s'effondrant au moment de la 2e secousse, sous les caméras de la télévision italienne

[« une petite secousse une plus forte et tout est tombé, racontera un cameraman » (Ouest-France, 27-28/9/1997)],

la voûte de Saint François d'Assise a écrasé 2 Franciscains, ainsi que 2 techniciens qui étaient en train de constater les premiers dégâts dans le bâtiment.

Hier, quelque 200 nouvelles répliques ont été enregistrées.

Elles n'ont pas provoqué de nouveaux dégâts mais les habitants ont peur...»

(Nice-Matin, 28/9/1997)

« Deux des 4 voutes de la nef se sont effondrées ainsi que l'autel.»



(Ouest-France, 27-28/9/1997)